Publié le 6 avril 2019 – par Josiane Filio
En jaune ou en noir, toujours la même indécence, elle devrait plutôt adopter l’intégrale !
Il faut vraiment que je cesse de me pincer chaque fois que je découvre une info hallucinante dans les médias, sinon je vais devenir un véritable hématome ambulant !
L’objet de mon courroux du jour ?
L’attention bienveillante que justement les médias « officiels » portent à une mère qui, au lieu d’adopter le profil bas que toute autre femme censée ferait dans son cas, la ramène en permanence pour nous soûler de ses jérémiades, particulièrement insultantes et insupportables pour les familles des victimes !
C’est en substance ce qui se joue actuellement avec le procès en appel d’un de ses fils, où bien évidemment voilée pour bien enfoncer le clou de la provocation sans borne, la mégère qui a enfanté deux monstres, plus une troisième, « en voie de préparation » qui risque de le devenir, ose se présenter en victime !
Cette « femelle », qui n’a rien d’un être humain digne de ce nom, ne mérite pas le terme de « femme » ni même de « mère » se nomme Zoulikha Aziri et a, pour le malheur de plusieurs familles, mis au monde des enfants « pas comme les autres » contrairement à ce qu’elle ose affirmer !
– Mohammed Merah, tué le 22 mars 2012 par le Raid, au terme de plus de 32 heures de siège, est celui qui a perpétré les attentats de Toulouse et Montauban ; bilan 7 morts !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentats_de_mars_2012_en_France
– Abdelkader Merah, acquitté des faits de « complicité » des sept assassinats réalisés par son frère, il est actuellement jugé en appel par la cour d’assises de Paris après avoir été condamné à 20 ans de prison pour « association de malfaiteurs terroristes criminelle ».
– Souad Mérah, est partie en Syrie en 2014, vers les « terres du djihad » avec son mari et ses quatre enfants !
Enfin l’aîné, Abdelghani Merah, 42 ans, érigé dans les médias comme « l’anti-Merah » suite à son engagement contre l’islam radical, il a qualifié son frère de « Ben Laden français », et témoigne à nouveau à charge contre son frère Abdelkader au grand dam de sa mère.
Pour donner un aperçu de la monstruosité de celle-ci, innocentant son fils Abdelkader de toute responsabilité dans les tueries de son frère ; elle a en revanche des mots très durs pour le seul de ses fils qui n’a tué personne : Il n’est, à ses yeux, qu’un « fou », un « éclaté de la tête », selon la traduction de l’interprète qui l’assiste.
Non seulement cette mégère ne manifeste jamais aucun regret, et encore moins de condamnation, pour ce qu’ont fait deux de ses fils, pas plus qu’elle n’est capable de la moindre empathie envers les familles des victimes, présentes au procès…
Et l’on sent bien que puisque l’un des deux a été tué, elle ne perd pas son temps à le défendre, et que son unique but est de soustraire le second à la justice, n’hésitant pas pour cela à mentir, oui à se réfugier dans l’incompréhension des questions, quand cela l’arrange.
Quand l’accusation estime qu’il était peut-être au courant des projets de son frère, et qu’il aurait même peut-être pu l’inciter à passer à l’acte, Zoulika trouve anormal que son deuxième fils soit encore en prison « alors qu’il n’a rien fait » !
« Tout ce que j’ai à dire, c’est pourquoi mon fils est toujours incarcéré ? Ce n’est pas lui qui a fait l’affaire ! Celui qui a commis [les meurtres], il est mort. Pourquoi on l’incarcère lui, depuis sept ans, alors qu’il n’a rien fait ? »
Répondant à l’avocat d’une des familles de victimes, à l’abrupte question : « N’êtes-vous pas finalement qu’une fabrique à terroristes ? », elle affirmera, après avoir légèrement tangué à la barre : « Faut pas toucher à la famille ! Faut pas dire ça ! S’il vous plaît. Ça reste ma famille. C’est une famille comme tout le monde… »