Publié le 26 juillet 2018 – par Martin Moisan, Rioste laïque
J’ai déjà proposé, il y a quelques jours, un premier article sur Benalla, expliquant que cela ne me choquait absolument pas qu’il ait un peu bousculé deux crétins gauchistes qui jetaient des projectiles sur les forces de l’ordre, en multipliant les doigts d’honneur à leur encontre.
Avant de poursuivre les raisons pour lesquelles ce Benalla me plaît de plus en plus, je voulais revenir sur cette question. Benalla est un musulman, pour qui donc seul le rapport de forces, obtenu par la ruse ou la violence, compte. Il assiste à une manifestation où deux crasseux gauchistes, certains de leur impunité, agressent les CRS, qui ont l’ordre de ne pas bouger. Inconcevable pour un muzz ! En général, à dix contre un, ils attaquent, et massacrent un infidèle. Là, il y a d’un côté un pouilleux et une pouilleuse agressifs, et de l’autre, des dizaines d’hommes lourdement armés, avec matraques et casques, qui subissent. Benalla, on le voit bien sur les images, décide de régler le problème, et va choper les gauchos. Dire qu’il les a tabassés, il ne faut pas exagérer. Il a fait un croche-pied à la gonzesse, et a un peu bousculé le branleur trentenaire. Que les pleureuses aillent au Maroc, ils verront ce que cela veut dire, le mot « tabasser ». Ceux qui osent rompre le jeûne du ramadan, en plein jour, se font autrement malmener que ces deux crasseux gauchistes. Le vrai scandale, dans cette affaire, c’est qu’il ait fallu que cela soit Benalla qui fasse le boulot, à la place des CRS.
Autre angle d’attaque contre le malheureux Benalla, il paraît qu’il aurait, quand il bossait pour Montebourg (car le bougre, petite racaille des quartiers islamisés d’Evreux, vient des réseaux PS), au volant de sa voiture, provoqué un accident, et aurait fait un délit de fuite. Là encore, attitude de parfait musulman ! La loi du plus fort ! Pourquoi s’arrêter, et faire un constat, comme un Français ? La plupart de ses coreligionnaires, quand cela leur arrive, insultent le malheureux conducteur, mettent deux ou trois coups de pied dans sa bagnole, lui balancent deux ou trois gifles, et foutent le camp en le menaçant. Personne n’a oublié, aux Mureaux, ce malheureux conducteur, par ailleurs d’origine arabo-musulmane, battu à mort par une dizaine d’islamo-racailles, suite à un accident. Cet inconscient voulait faire un constat ! Il lui a été répondu : « Tu ne vas pas faire ton français ! ». Et à dix contre un, il a été battu à mort.
Quand il a embauché Benalla, ce côté voyou a dû faire frétiller Macron, qui y a vu l’efficacité d’un loubard prêt à tout, et guère étouffé par les scrupules. Benalla a su, lors de la campagne présidentielle, faire ce qu’il fallait pour obtenir une confiance totale de la part de celui qui allait devenir président de la République. Même si, à 26 ans, il paraît déjà un peu enveloppé (je lui conseille de manger moins de loukoums, il va perdre rapidement les 10 kg qu’il a de trop), ce n’est pas un fainéant, le Alexandre (s’il s’appelle vraiment ainsi). Il n’a jamais rien fait d’autre que de la sécurité, mais il a tapé dans l’œil de Macron. Et comme celui-ci méprise les policiers et les militaires, et leur préfèrent les islamo-racailles, Benalla a su faire son trou, et se rendre indispensable au chef de l’Etat. Qu’il veuille l’installer près de ses appartements et lui confie les clés de la maison familiale du Touquet est vraiment la preuve que le courant passait bien, et que l’ancienne racaille était devenue une rouage important dans le dispositif Macron.
Certains grincheux vont à présent lui reprocher d’avoir exercé la terreur auprès du personnel de l’Elysée chargé de la Sécurité, et d’avoir fréquemment recommandé aux flics d’aller se faire enc…, entre autres. Là encore, parfait muzz, le présumé Alexandre ! Le prophète Mahomet lui a bien expliqué que les musulmans étaient la meilleure des communautés, et que les autres ne valaient pas mieux que des porcs et des singes. Lénine disait aux communistes, pour les encourager à faire leur service militaire : « On te donne un fusil, prends-le ! ». Macron a dit à Benalla : « Je te donne le pouvoir, à toi de jouer ! ». Alors, bien sûr, outre le profond mépris et les menaces récurrentes à l’encontre des professionnels de la sécurité, Benalla a constitué une garde prétorienne, constituée essentiellement de musulmans. Normal, cela s’appelle la solidarité clanique. Par ailleurs, on ne peut que s’interroger sur l’efficacité des troupes d’élite de l’Elysée, qui se laissent marcher dessus par un gamin de 26 ans, sous le prétexte qu’il serait le protégé du Président. Il fut un temps où cela se serait réglé entre hommes, dans un coin du Palais, et où probablement Benalla aurait compté ses dents. Mais c’était avant…
Enfin, dernier truc grandiose, le coup d’avoir été initié par les francs-maçons. Enorme pour un musulman ! Soyons clair, un disciple d’Allah n’en a rien à foutre, des conneries des déguisés en tablier et de leur compas. Mais par contre, il a compris que la franc-maçonnerie peut être un passage obligé, notamment dans les forces de l’ordre, pour y faire carrière. Une amie à moi, aujourd’hui disparue, appelait cela « Un Groupe d’Intérêt Economique ». Bien vu. Et naturellement, les Frères, toujours aussi faux culs, le suspendent, en disant qu’ils le connaissent à peine. On dirait du Collomb, autre franc-mac, mais dans une autre crèmerie.
Bref, à 26 ans, Alexandre Benalla était parti pour réussir une grande carrière, et cela uniquement par ses mérites, la concrétisation de sa foi au quotidien, et la bêtise, voire la trahison de Macron.
J’ignore si les rumeurs faisant passer l’ancien garde du corps du président de la République pour un agent du Maroc sont fondées ou pas. On sait simplement que sous Hollande, les journalistes avaient été d’une grande mansuétude avec Najat Belkacem, alors que nous avions soulevé un sacré lièvre, relevé plus tard par de Villiers, prouvant qu’elle était l’obligée du roi du Maroc.
En 1986, quand le roi Hassan II, devant Anne Sinclair abasourdie, expliquait qu’un musulman marocain ne serait jamais un bon Français, ne serait jamais laïque, et ne s’intégrerait jamais, Macron avait juste 9 ans.
Ce président de la République, qui n’aime pas la France, ni les Français, a donc délibérément donné des compétences ahurissantes à un Franco-marocain, par ailleurs musulman, ami du sulfureux avocat Karim Achoui. On ignore aujourd’hui si les informations obtenues par le jeune homme ne sont pas en possession du roi du Maroc. Mais, là encore, bravo à Benalla, il a parfaitement rempli son rôle de musulman, de façon fort méritoire, par ailleurs.
Il a compris que pour que la France devienne terre d’islam (ce qui est forcément l’objectif de tout musulman ayant compris quelque chose au Coran), il fallait plusieurs conditions :
-Le nombre, avec 10 millions, c’est bien, mais grâce à l’aide des immigrationnistes et à la démographie, cela fera bientôt 20 millions.
-La terreur. Avec les attentats et la violence quotidienne des islamo-racailles, protégés par le régime, pas de soucis.
-Avoir des journalistes dans les médias. Il suffit de regarder les noms sur les plateaux de télévision et dans les signatures des quotidiens, cela progresse.
-Les écoles et les universités. Là également, l’infiltration a été parfaitement réussie.
-Le milieu artistique. On a vu lors de la fête de la musique, et on connaît la connivence de Macron avec son « frère » Yassine Belattar.
-La sécurité et les transports. Il suffit de voir qui assure les contrôles dans les aéroports ou les palais de justice, et quels sont souvent les livreurs…
-Infiltrer le sommet de l’appareil d’Etat. S’il n’y avait que Benalla…
Tous ces musulmans, omniprésents dans la société française, font parfaitement leur travail, ainsi que les collabos qui leur servent la soupe.
Le traître, qui doit rendre des comptes aux Français, et être destitué, c’est Macron…
Martin Moisan