. Un fermier sud-africain blanc a cinq fois plus de risque d’être assassiné

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°° WEBTUBE : Telle est la comparaison établie avec un citoyen lambda. Et c’est ce massacre qui dure depuis trente ans que Donald Trump a voulu dénoncer auprès de Cyril Ramaphosa, le Président sud-africain de passage à la Maison-Blanche. Donald Trump est bien le seul à briser l’omerta, car en France, le sujet est tabou. Pour nos élites du camp du Bien, il y a des combats à mener beaucoup plus dignes que d’autres…

Au pays des droits de l’homme et de l’antiracisme, le massacre des Blancs d’Afrique du Sud est un sujet politiquement incorrect, donc sans intérêt. Depuis la fin de l’apartheid en 1994 et l’avènement de Nelson Mandela, on n’a jamais vu un média mainstream dénoncer le génocide des fermiers blancs, qui ont pourtant cinq fois plus de risque d’être assassinés que d’autres citoyens sud-africains. 

Il faut noter que toutes les statistiques officielles sont truquées. Et selon Interpol, la criminalité est bien plus élevée que les 60 meurtres quotidiens reconnus (22 000 par an).

Ce sont proportionnellement les Blancs qui paient le plus lourd tribut, victimes d’un racisme revanchard que le pouvoir nie sans jamais le combattre. Je ne reviens pas sur les chiffres, on peut les retrouver dans les liens ci-dessous. Et il va de soi que pour la presse bien-pensante, tout cela est faux. Mais ce qui est vrai, c’est que l’Afrique du Sud est devenue le pays le plus dangereux du monde.

Le racisme anti-Blanc fait des ravages, entretenu par l’opposant d’extrême gauche Julius Malemba, qui s’est fait une sinistre réputation internationale en chantant « Tuez le Boer » lors de ses meetings. Un chant de liberté anti-apartheid toujours très prisé au sein de la « paradisiaque nation Arc-en-ciel ».

La triste réalité, trente ans après la fin de l’apartheid et le passage du flambeau à l’ANC, est que le pays qui était le phare de l’Afrique et produisait 25 % du PIB du continent est en train de s’effondrer malgré ses immenses ressources minières. Et l’exode des Blancs n’arrange rien. Ils ont peur, car ce sont la violence et la criminalité qui entraînent le pays par le fond.

« Selon les dernières données de l’Institut national de la statistique, le solde migratoire des Blancs du pays a été négatif d’environ 20 000 individus par année entre mi-2001 et mi-2021, ce qui est considérable pour une population qui n’atteint désormais que 4,6 millions d’individus (soit seulement 7,7 % de la population totale du pays). »

Quand on accuse Julius Malemba de semer la haine contre les Blancs, il répond :

« Nous n’avons pas appelé au massacre des Blancs, du moins pas pour l’instant… »

On appréciera sa conception du « vivre-ensemble » !

Bien entendu, aucune réaction du pouvoir à Pretoria, aucun tollé dans nos salles de rédaction occidentales. Imaginons un Blanc parler ainsi…

Si le fait de chanter « Tuez le Boer » n’est pas un appel au meurtre de masse, qu’est-ce que c’est ? Mais la justice préfère fermer les yeux, encourageant ainsi la haine des Blancs.

L’Afrique du Sud ne mérite plus sa place au sein des BRICS. C’est un boulet, rongé par la corruption, les tensions raciales et une immigration de déshérités venus de toute l’Afrique, attirés par ce qui fut naguère un véritable Eldorado.

Être blanc en Afrique du Sud aujourd’hui, c’est n’avoir aucun avenir, avec le risque bien réel de finir dans un bidonville de Blancs, comme on en voit de plus en plus. Car à qualification égale, un Noir sera toujours prioritaire à l’embauche.

L’Union européenne, qui accueille toute la misère du monde, s’honorerait en ouvrant ses portes à tous ces infortunés, qui connaîtront tôt ou tard le sort des pieds-noirs, devant choisir la « valise ou le cercueil ».

Bravo à Trump d’avoir montré l’exemple.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque