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°° WEBTUBE : Les agriculteurs, véritables piliers de nos sociétés, assurent chaque jour notre sécurité alimentaire. Pourtant, dans le monde moderne, leur rôle essentiel est souvent négligé. Si leur activité venait à disparaître, nos assiettes resteraient vides, et les conséquences seraient désastreuses. Aujourd’hui, la sécurité alimentaire, autrefois au cœur des politiques nationales, est menacée par des idéologies globalistes et des mesures bureaucratiques qui mettent en péril non seulement l’agriculture, mais aussi les fondements mêmes de la civilisation occidentale.
Un héritage de sécurité alimentaire fragilisé
Après la Seconde Guerre mondiale, l’Europe a tiré des leçons des pénuries alimentaires qui avaient ravagé le continent. La création de la Communauté économique européenne (CEE) et, en 1962, de la Politique agricole commune (PAC) visait à garantir une production suffisante, réduire la dépendance aux importations et protéger les citoyens contre de futures crises alimentaires. Ce système a transformé l’Europe en un leader mondial de l’agriculture.
Aujourd’hui, cependant, ces principes semblent oubliés. L’Union européenne (UE), sous prétexte de durabilité environnementale, impose des politiques qui étranglent littéralement ses agriculteurs. Aux Pays-Bas, les émissions d’azote servent de prétexte pour exproprier des terres agricoles. En Allemagne, des taxes punitives affaiblissent les exploitants. Cette tendance conduit à une crise généralisée, marquée par des faillites, des suicides d’agriculteurs et une menace croissante sur la souveraineté alimentaire.
Une crise mondiale de l’agriculture
Le phénomène ne se limite pas à l’Europe. En Amérique du Nord, les réglementations sur l’eau et les engrais mettent les agriculteurs sous pression. Au Canada, des restrictions sévères sur les fertilisants handicapent la productivité. En Nouvelle-Zélande, les émissions de méthane sont au centre des politiques, tandis que les agriculteurs sud-américains font face à des contraintes économiques et environnementales croissantes. Ces tendances montrent un effort coordonné visant à affaiblir les fondations agricoles des sociétés occidentales.
Derrière ces mesures se cache une idéologie globaliste promue par des institutions supranationales comme les Nations unies. Sous couvert de durabilité et d’égalité, des initiatives comme l’Agenda 2030 cherchent à concentrer le pouvoir entre les mains d’élites non élues, au détriment de la souveraineté nationale et de la démocratie. Les ONG, financées par des philanthropes influents, exercent également une pression immense sur les politiques agricoles, contournant ainsi la volonté populaire.
Le discours climatique est utilisé pour justifier des restrictions draconiennes sur l’agriculture, tout en négligeant des incohérences flagrantes. Par exemple, l’Union européenne continue de signer des accords commerciaux avec des pays qui ne respectent pas les mêmes normes environnementales. Les importations de denrées produites dans des conditions peu régulées exposent un double discours : il ne s’agit pas de protéger la planète, mais de contrôler les ressources.
Une attaque contre les valeurs occidentales
Cette guerre contre les agriculteurs va au-delà de l’économie. Elle menace les valeurs occidentales enracinées dans les traditions agricoles. Depuis des siècles, les agriculteurs incarnent la stabilité, l’indépendance et le lien avec la terre. Leur disparition affaiblit ces piliers culturels et ouvre la voie à une société globalisée et homogénéisée, dépourvue de son identité propre.
En parallèle, des politiques migratoires massives redéfinissent les dynamiques sociales et culturelles des nations occidentales. Ces deux tendances combinées semblent viser à effacer les spécificités culturelles et économiques, créant une population mondiale uniformisée et docile.
L’histoire regorge d’exemples tragiques où l’agriculture a été sacrifiée sur l’autel de l’idéologie. Dans les années 1930, la collectivisation stalinienne en Ukraine a entraîné l’Holodomor, une famine artificielle ayant causé des millions de morts. De même, le Grand Bond en avant de Mao Zedong a dévasté l’agriculture chinoise, provoquant une famine généralisée. Ces exemples montrent que s’attaquer aux agriculteurs, c’est mettre en péril la société entière.
Pour préserver la souveraineté alimentaire et les valeurs occidentales, il est crucial de défendre les agriculteurs face à ces politiques globalistes. Les gouvernements doivent soutenir les producteurs locaux, adopter des politiques agricoles équitables et résister aux pressions des organisations supranationales. La promotion de pratiques agricoles durables et locales doit primer sur les importations bon marché venues de régions aux régulations laxistes.
Protéger les agriculteurs revient à défendre notre liberté, notre patrimoine et notre avenir. Un réfrigérateur vide n’est pas qu’un simple inconvénient : c’est le symbole d’une dépendance et d’une vulnérabilité croissantes. Il est impératif d’agir maintenant pour garantir que les agriculteurs, gardiens de nos terres et de nos traditions, continuent à nourrir non seulement nos corps, mais aussi notre civilisation.