. Nikos Aliagas, dernière star victime du « home-jacking » : un sport national

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++ WEBTUBE : Depuis quelques semaines, un phénomène d’un genre nouveau fait la une de la rubrique « faits divers ». On ne parle pas des crimes classiques, imputables à la bienfaisante diversité. Attaques au couteau, assassinats pour un regard ou une cigarette, viols de vieilles dames (on en parlait hier) sont devenus, pour ainsi dire, tristement banals. Non, ces nouveaux faits de délinquance reprennent la vieille tradition de l’attaque à domicile, du « home-jacking » comme on le dit aujourd’hui.

Ces cambriolages ultra-violents évoluent

Le 19 décembre dernier, Alexandre Letellier, gardien du PSG, était violemment agressé à son domicile des Yvelines, en présence de sa femme et de leurs deux enfants. Le lendemain, la chanteuse Vitaa, connue entre autres pour son duo avec Diam’s (Confession nocturne), était à son tour séquestrée avec sa famille, à Rueil-Malmaison, où elle vit. Le 29 décembre, c’était au tour de l’animateur de télévision Étienne Leenhardt, d’apprendre que sa maison de Sèvres avait été « visitée » en son absence. Et, donc, c’est dans la nuit du 1er au 2 janvier que des malfaiteurs, cette fois, se sont attaqués à la villa que le présentateur de la Star AcademyNikos Aliagas, possède à Fontenay-sous-Bois. L’animateur n’était pas chez lui et les apprentis cambrioleurs ont échoué à entrer. Au terme d’une course-poursuite qui a mené la police jusqu’à Nogent-sur-Marne, les quatre voleurs ont percuté un terre-plein central et ont été immédiatement arrêtés et hospitalisés.

Si la police rappelle régulièrement que le phénomène de home-jacking n’a rien de nouveau, les modalités de ces cambriolages ultra-violents évoluent. Aujourd’hui, selon le responsable de la brigade de répression du banditisme (BRB) de Versailles, le profil type de ces délinquants serait celui de « jeunes » de 15-16 ans, « plutôt originaire de banlieues » et possédant déjà un fichier d’antécédents judiciaires bien garni. Qu’il n’en dise pas plus, on a déjà très bien compris : une fois de plus, ce sont les mêmes. Des barbares sans éducation, sans cellule familiale, sans instruction. Des abrutis mineurs, fascinés par l’argent facile, les réseaux sociaux et Dubaï. Des « Lacoste TN » pour qui la vie humaine n’a aucune valeur et qui sont ravis de braquer des Français devant leurs enfants. La femme d’Alexandre Letellier a, ainsi, reçu un coup de poing dans la figure alors qu’elle tenait son enfant dans les bras.

À ce sujet — 2024 commence par des viols de personnes vulnérables

La question n’est donc pas celle du « mystérieux profil » des assaillants. On sait très bien de qui il s’agit. On le sait très bien et on n’a pas le droit de le dire. Ce sont les mêmes qui ont assassiné Thomas à Crépol. Ce sont les mêmes qui ont tout brûlé, cet été, quand Nahel, l’un des leurs, est mort au volant d’une voiture qu’il n’avait pas le droit de conduire, pour un refus d’obtempérer. Ce sont les mêmes qui mettent le bazar dans les projections de navets comme Les SEGPA au ski. Ce sont les mêmes qui mettent le son de leurs enceintes à fond dans les transports. On a compris, on vous dit.

Ce que nous voulons, c’est la France

La question n’est donc pas de savoir qui sont ces jeunes gens, ni pourquoi ils font cela, ni comment on les laisse faire. La seule question est malheureusement de savoir où on est encore en sécurité, puisque même les résidences sécurisées, même les quartiers chics, même les immeubles cossus ne sont plus à l’abri de l’enrichissement culturel. Si nous fuyons à la campagne, ils finiront par nous rattraper, par la grâce d’un plan de répartition des « difficultés ». Si nous nous expatrions, ce sera une manière d’avouer que nous reconnaissons avoir abandonné la terre de nos ancêtres.

Ce que nous voulons, ce n’est pas davantage de flics ni davantage de migrants. Ce ne sont pas des vendeurs à la sauvette à la place des bouquinistes pour acheter la paix sociale. Ce que nous voulons, c’est la France. Une France dans laquelle il y aura des voleurs, comme toujours, mais dans laquelle nous cesserons d’en importer toujours plus.

Arnaud Florac, Boulevard Voltaire

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