++ WEBTUBE : Les chefs de la gendarmerie ne communiquent rien, même à leurs adjoints. Sur les prénoms des suspects, les gendarmes ont tout bloqué entre eux. “C’est vraiment inquiétant cet aveuglement. C’est reculer pour mieux sauter. Tôt ou tard, ils devront donner les infos”, confie une source gendarmerie. “En même temps, ça veut dire que ce sont des Maghrébins, traduit une source policière. S’ils s’appellaient Patrick, Roger ou David, on le saurait déjà.”
🔴 Attaque de #Crepol : des consignes ont été passées pour imposer "un blackout total", indiquent des sources sécuritaires à @Valeurs.
Les chefs de la gendarmerie ne communiquent rien, même à leurs adjoints. Sur les prénoms des suspects, les gendarmes ont tout bloqué entre eux.…
Mercredi matin, en marge du Conseil des ministres, Gérald Darmanin montre à l’un de ses collègues les noms des suspects placés en garde à vue la veille, après l’attaque au couteau à Crépol. «Ils sont français, mais pas un seul n’a un nom à consonance française, confie après coup ce ministre en soupirant. Vous verrez ce que ça suscitera dans le pays… Cette affaire traumatise légitimement nos compatriotes. Il faut remettre des règles et de l’ordre, sinon le pays partira à vau-l’eau.»
Une ligne de dramatisation et de fermeté qui n’est pas partagée par tous dans l’exécutif. Une fois encore, le pouvoir renvoie l’impression de ne pas savoir sur quel pied danser face à ces affaires criminelles qui tournent rapidement à l’affaire politique.
++ WEBTUBE : Le chef de file du Parti pour la liberté (PVV, extrême droite), Geert Wilders, qui a promis de stopper complètement l’immigration aux Pays-Bas, est en passe de réaliser une victoire retentissante aux élections législatives organisées mercredi, un sondage de sortie des urnes donnant le PVV en tête. Battant toutes les attentes, le PVV est crédité de 35 des 150 sièges parlementaires, devant l’alliance travaillistes-écologistes dirigée par l’ancien Commissaire européen Frans Timmermans, qui obtiendrait 25 sièges. Le Parti libéral (VVD) du Premier ministre sortant Mark Rutte, qui a présenté sa démission en juillet, se classe troisième avec 24 sièges.La suite ci-dessous :
Cet écart est bien plus important que ne le laissaient anticiper les enquêtes d’opinion, qui indiquaient un coude-à-coude entre l’actuelle ministre de la Justice, Dilan Yesilgoz, issue du VVD, Frans Timmermans et Geert Wilmers. Les sondages de sortie sont traditionnellement fiables dans le pays, avec une marge d’erreur d’à peine deux sièges, ce qui laisse à penser que Geert Wilders aura effectivement la charge de former un nouveau gouvernement.
Au cours d’un discours de victoire, le chef de file du PVV, anti-Europe et anti-islam, a promis mercredi soir de mettre fin “au tsunami de l’asile et de l’immigration”, déclarant qu’il allait “rendre le pays aux Néerlandais”.
Geert Wilders a profité d’un ressentiment croissant à l’égard de l’immigration, imputant la pénurie de logements aux flux de demandeurs d’asile et se servant aussi des inquiétudes des électeurs face à la hausse du coût de la vie et à la surcharge du système de santé.
Le parti néerlandais d’extrême droite de Geert Wilders a remporté les élections législatives mercredi 22 novembre, suggèrent les sondages à la sortie des urnes, ce qui, si cela était confirmé, provoquerait un séisme politique bien au-delà des frontières des Pays-Bas. Le PVV (Parti de la Liberté) a reporté 35 sièges, selon le sondages Ipos. L’alliance de gauche de Frans Timmermans est deuxième avec 26 sièges. Le centre-droit VVD a remporté 23 sièges, selon ce sondage. (…)
++ WEBTUBE : Il y a des histoires qui en disent long, non seulement sur le délabrement de nos institutions, mais aussi sur une administration de plus en plus ubuesque. Récapitulons. Nous sommes à la mi-septembre, à Charvieu-Chavagneux, dans l’Isère, petite ville comptant moins de dix mille âmes, dont Gérard Dézempte est le maire. À l’époque, ce dernier refuse de célébrer un mariage censé unir l’une de ses administrées avec un ressortissant algérien des environs. Seulement voilà, ce dernier est en situation irrégulière depuis quatre ans, son visa ayant expiré en 2019. Très logiquement, et flairant le mariage de complaisance, il refuse de célébrer cette union : « J’ai considéré que leurs intentions matrimoniales n’étaient pas suffisantes », explique-t-il ainsi de pudique manière. La suite ci-dessous :
Tout aussi logiquement, Gérard Dézempte dont BFM TV nous révèle, avec gourmandise, qu’il serait proche des « idées pro-Zemmour », transmet le dossier aux autorités compétentes, la procureur de Vienne, l’une des deux sous-préfectures du département ; laquelle conforte sa position. Notre Roméo, après avoir échoué comme candidat au mariage, l’est donc désormais à l’expulsion du territoire français. Une OQTF, comme on dit, celle que, précisément, le maire de Charvieu-Chavagneux demande au préfet de l’Isère.
Peut-être naïf, ou alors assez ignorant des subtilités byzantines du droit français, il estime alors : « Sur le fond, je pensais que l’affaire allait s’arrêter à ce niveau-là. » T’as qu’à croire, Grégoire, et va comprendre, Alexandre !
Et le ciel de tomber sur la tête de cet irréductible édile, apprenant par courrier préfectoral qu’il est impossible de renvoyer l’amoureux transi dans ses pénates d’origine, étant assujetti à un contrôle judiciaire lui interdisant désormais de quitter l’Hexagone.
Une situation que Gérard Dézempte résume de la sorte : « J’ai compris qu’en fait, il suffisait que quelqu’un qui n’était pas en situation régulière commette un acte délictueux pour être sous contrôle judiciaire et, finalement, éviter une mesure d’éloignement du territoire français. » Bien vu, Lulu, et bonne chance, Hortense !
En matière de dingueries de ronds-de-cuir, un vilain lieu commun pousse souvent nos confrères à évoquer « des trous dans la raquette »… Notre maire est autrement plus direct, évoquant « une raquette sans tamis », avant de poster ce message sur X : « J’ai saisi le préfet de l’Isère et la procureur de la République afin qu’ils engagent les vérifications nécessaires. Stop au laxisme ! Stop à l’impuissance ! » Depuis, le recalé de la tendresse conjugale coulerait aujourd’hui des jours tranquilles à Marseille. Victoire de l’amour ! Non : celle d’une bureaucratie devenue folle.
On peut en rire, surtout lorsque se reportant au brillant roman de Benoît Duteurtre, La Petite Fille et la Cigarette (Folio), où l’administration américaine se retrouve en proie à un semblable imbroglio judiciaire : un condamné à mort a droit à une dernière cigarette avant de passer à la chaise électrique. Mais cela contrevient aux lois sur la santé publique et n’est pas bon pour la sienne. Quant à ceux qui sont chargés de l’accompagner dans ses derniers moments, ils craignent pour leurs poumons – tabagisme passif oblige. Que faire ?
Mais on peut aussi pleurer devant une administration organisant elle-même sa propre impuissance. Ou quand le serpent se mord la queue tout en marchant sur la tête.
++ WEBTUBE : Imaginez un instant : un groupe d’une dizaine de rugbymen du terroir fait une descente dans une cité, choisissant pour cible une fête bon enfant organisée par des jeunes issus de l’immigration. Armés de couteaux, ils frappent à l’aveugle tous azimuts. Ils tuent un adolescent de 16 ans et en blessent grièvement plusieurs autres. Des témoins rapportent à la presse avoir entendu : « On est là pour planter des Noirs » (ou des Arabes). L’émotion serait – légitimement – à son comble. Une déflagration inouïe. La classe politique, le monde médiatique ne parleraient plus que de ça. À l’Assemblée nationale, sur le pavé parisien retentiraient, à raison, les cris d’indignation à l’unisson.Sauf qu’à Crépol, c’est exactement l’inverse qui s’est passé. La suite ci-dessous :
C’est un bal rural , comme il en existe depuis toujours dans nos villages – notamment le 15 août -, de ceux que chante Jean Ferrat dans La Montagne, qui a été sauvagement agressé. Mais il faut avoir de bonnes lunettes et un abonnement au Dauphiné libéré pour découvrir, au détour d’un paragraphe, les motivations des meurtriers, clairement exprimées, pourtant, puisque rapportées par deux témoins : « On est là pour planter des Blancs. »
Ces jeunes horriblement choqués auxquels, comme d’habitude, on n’a pas su apporter d’autres réponses qu’une minute de silence, une cellule psychologique et une marche blanche, ne peut-on au moins leur faire la politesse de les écouter ? « C’était pas juste une bagarre comme on a l’habitude, où ça s’envoie des petits coups de poing. Les bals de village, on les a tous faits, cet été. Dans un bon bal, il y a toujours des bagarres à la fin, sinon c’est pas un bon bal. Mais là, c’était pas ça. On a vu arriver entre 15 et 20 personnes. On ne les connaissait pas, ils ont sorti les couteaux, ils étaient là pour tuer. On a vécu ça comme un attentat. »
Le mot n’est pas neutre. Bien sûr, cette attaque du bal d’un petit village de la Drôme n’est pas comparable, dans son ampleur ni sa préparation, au carnage de la rave party israélienne ou à celui du Bataclan. Mais on y trouve des similitudes : l’offensive est d’autant plus violente qu’elle frappe une fête par essence insouciante. Les victimes sont des jeunes, et même des très jeunes, parfaitement démunis, qui se croyaient en totale sécurité. On disait, autrefois, de certaines cités qu’elles étaient des zones de non-droit. Des sortes de forteresses bien gardées. Mais cela, c’était avant. La démarche n’est plus défensive mais offensive. Les caïds de ces cités jouent aujourd’hui à l’extérieur.
Désormais le racisme anti-blancs frappe jusque dans nos campagnes. À #Crépol, deux témoins racontent dans le @ledauphine que les barbares voulaient “planter des blancs”. C’est la chasse aux Gaulois. pic.twitter.com/DEeoyN6TYL
Lundi, sur le réseau X, Jean-Luc Mélenchon s’est ému d’une « ignoble tentative d’égorgement arabophobe du Val-de-Marne ». Un homme âgé a, de fait, agressé au moyen d’un cutter un jardinier qui lui barrait la route avec sa fourgonnette en le traitant de « bougnoule ». Jean-Luc Mélenchon y a vu « le résultat du laisser-aller raciste dans la sphère publique ». Il a enjoint « la classe médiatico-poltique à se ressaisir ».
L'ignoble tentative d'égorgement arabophobe du Val-de-Marne est le résultat du laisser-aller raciste dans la sphère publique. La classe médiatico-politique doit se ressaisir. Pensées émues pour la famille de la victime et ses proches. Exigeons justice et tenons loin de nous le…
À l’heure où j’écris ces lignes, Jean-Luc Mélenchon n’a pas encore jugé utile de s’exprimer sur Crépol. Pourtant, il ne s’agit pas là d’une « ignoble tentative d’égorgement » mais d’un ignoble égorgement tout court : dans un cas, la victime a survécu. Dans l’autre, elle est décédée. Certes, ce crime n’est pas « arabophobe », un détail qui fait sans doute toute la différence pour Jean-Luc Mélenchon.
Gérald Darmanin, interrogé lundi soir sur la 5, disait ne pas savoir si l’immigration était une partie de l’explication dans cette affaire-là. Il faut donc en conclure que les témoignages rapportés par Le Dauphiné n’avaient pas encore été communiqués au ministère de l’Intérieur ?
Ce gouvernement compte décidément beaucoup de ministres qui-ne-savent-pas. On connaissait les rois fainéants, voici les rois ignorants. Après Yaël Braun-Pivet, qui ne voit pas quel peut être le carburant de l’antisémitisme actuellement en France, et Clément Beaune qui ignore d’où vient la violence dans les transports, voici Gérald Darmanin. Le problème est qu’une partie grandissante des Français, elle, sait. Elle sait avec certitude qu’on se paie sa tête.
++ WEBTUBE : Sans bruit, en coulisses, l’autorité de régulation des médias Arcom (ex-CSA) resserre l’étau autour de la chaîne d’information CNews. Aucune communication officielle n’a pour l’instant franchi les murs de la maison. Interrogé par BV, le gendarme des médias n’a pour l’instant pas répondu. De son côté, CNews fait profil bas : « On ne communique pas pour le moment. On essaie de régler le problème avec l’Arcom », glisse une porte-parole. Selon nos informations, CNews est mise en demeure de classer en temps de parole politique (donc limité et équilibré entre les partis) les propos tenus à l’antenne d’une dizaine de personnalités habituées de ses plateaux. Cette nouvelle règle s’appliquerait à compter du 14 novembre. Certaines des personnalités concernées, furieuses, commencent à s’exprimer.La suite ci-dessous :
Sans bruit, en coulisses, l’autorité de régulation des médias Arcom (ex-CSA) resserre l’étau autour de la chaîne d’information CNews. Aucune communication officielle n’a pour l’instant franchi les murs de la maison. Interrogé par BV, le gendarme des médias n’a pour l’instant pas répondu. De son côté, CNews fait profil bas : « On ne communique pas pour le moment. On essaie de régler le problème avec l’Arcom », glisse une porte-parole.
Selon nos informations, CNews est mise en demeure de classer en temps de parole politique (donc limité et équilibré entre les partis) les propos tenus à l’antenne d’une dizaine de personnalités habituées de ses plateaux. Cette nouvelle règle s’appliquerait à compter du 14 novembre. Certaines des personnalités concernées, furieuses, commencent à s’exprimer.
« Un homme politique d’un genre nouveau »
Tour à tour, l’économiste, haut fonctionnaire et polémiste Jean Messiha et le politologue Guillaume Bigot se sont défendus. Jean Messiha a ainsi publié sur X une vidéo, le 20 novembre à 18 heures, à sa sortie du siège de la police judiciaire de Paris où il était convoqué dans le cadre de l’affaire de la cagnotte au policier auteur du tir fatal sur le jeune Nahel. Entouré de ses deux avocats, il évoque incidemment les exigences de l’Arcom. « Je découvre […] qu’il y a deux jours, l’Arcom a décidé de me classer comme personnalité politique de droite !, tempête Messiha. Et de décompter mon temps de parole d’un courant de droite virtuelle, ce qui revient à faire de moi un homme politique d’un genre nouveau, sans parti politique, sans mandat électif et sans aucune candidature à aucune élection. »
Le président du cercle de réflexion Vivre français reste un politique, estime l’Arcom : son temps de parole doit être décompté de celui des élus divers droite. « La conséquence de tout cela, c’est que, classé à droite, je ne peux plus parler, estime Jean Messiha. C’est une censure, un musellement ou, en tout cas, une tentative : mes plateaux (sur CNews) sont annulés jusqu’à nouvel ordre. » Pour lui, c’est simple : « On cherche à me faire taire. »
Même son de cloche chez Guillaume Bigot, furieux lui aussi. Parmi la dizaine de noms problématiques sur la liste de l’Arcom, « certains ont accepté de donner un coup de main juridique à un véritable parti politique il y a plus de dix ans, admet Guillaume Bigot, mais cela suffit pour l’Arcom à faire d’eux des porte-drapeaux de ce parti politique ». Dans cette liste, « on compte également des élus municipaux sans étiquette, mais on doit veiller au temps de parole du “sans-étiquetisme”, c’est original, c’est une percée conceptuelle, persiffle l’éditorialiste de CNews. Décidément, la Macronie ne déçoit jamais. » Et pourtant… France souveraine « n’est pas du tout dans un processus électoral pour l’instant », précise Guillaume Bigot, qui a choisi de se soumettre. Élu en septembre 2021 à la présidence de son mouvement, il a donné sa démission pour rester éditorialiste et politologue à CNews.
Menaces
Une énième tracasserie mise en travers d’une chaîne qui monte, bat ses propres records d’audience et dérange le gouvernement. Dans une intervention sur France Inter, le 9 février dernier, le ministre de la culture Rima Abdul-Malak avait carrément menacé CNews et C8 de supprimer leur fréquence, C8 cumulant plusieurs amendes de 3 à 4 millions d’euros chacune : « C’est le rôle de l’Arcom, au moment de faire le bilan de ses obligations, de vérifier qu’elles ont bien été respectées pour pouvoir ensuite évaluer si la reconduction de cette fréquence est justifiée ou pas. » Une menace de fermeture de l’antenne pour réattribuer l’exploitation, le cas échéant, à un autre groupe que Canal+/Bolloré. Dans Le Monde, mi-janvier, le ministre avait déjà invité l’Arcom à « regarder comment [C8 et CNews] ont respecté [leurs] obligations » au moment de l’analyse de leur bilan en 2025 pour la reconduction de leurs autorisations de diffusion. L’affaire des menaces ministérielles avait atteint les bancs de l’Assemblée. Le 14 février, le député de l’Ain et conseiller régional (LR) Auvergne-Rhône-Alpes Xavier Breton lançait au ministre en séance : « De très nombreuses personnes ont été choquées par les menaces que vous avez formulées à l’encontre des chaînes C8 et CNews. »CNews et C8 le savent : elles sont sur la sellette. Rien ne leur sera pardonné.
++ WEBTUBE : Non ce n’était pas une rixe (scène de violence entre deux individus ou deux groupes, qui décident de s’affronter) ; c’était une agression sauvage, gratuite, préméditée, avec volonté délibérée de blesser voire de tuer !Aucun citoyen Français digne de ce nom, c’est-à-dire ayant su garder suffisamment de bon sens, et de patriotisme pour analyser la situation actuelle sans le recours des sirènes médiatiques « officielles », ne sachant diffuser que mensonges et contre-vérités, ne doit ignorer la gravité de ce qui s’est passé à Crépol ! La suite ci-dessous :
Non ce n’était pas une rixe(scène de violence entre deux individus ou deux groupes, qui décident de s’affronter) ; c’était une agression sauvage, gratuite, préméditée, avec volonté délibérée de blesser voire de tuer !
Aucun citoyen Français digne de ce nom, c’est-à-dire ayant su garder suffisamment de bon sens, et de patriotisme pour analyser la situation actuelle sans le recours des sirènes médiatiques « officielles », ne sachant diffuser que mensonges et contre-vérités, ne doit ignorer la gravité de ce qui s’est passé à Crépol !
Ce qui doit absolument être considéré comme un avertissement sérieux de ce qui se prépare en douce… avec la meurtrière complicité de la mafia « gouvernement-Parlement-médias-magistrats » composée d’islamo-gauchistes… prêts à tout pour conserver leurs places au soleil… incapables de comprendre, aveuglés par leur stupide vanité, que leurs « potes » d’aujourd’hui, encore plus roués qu’eux, ne partageront jamais le pouvoir avec ceux qui leur font la courte échelle… et passeront donc à la trappe les premiers !
Dans les drames qui se jouent chaque jour sur tout le territoire, et l’angoissante attente d’une mortelle guerre civile qui se prépare, c’est, avec notre détermination à « mourir debout plutôt que vivre à genoux, face à des sous-hommes victorieux », la pensée qui maintient notre foi en une vraie justice dont ces félons ne se méfient pas.
En attendant, obligation est faite à chacun de ceux qui savent de partager leur savoir avec le plus grand nombre, car cela pourrait devenir un moyen de survie pour des citoyens qui actuellement vivent dans l’absolu déni du réel, de la part de toutes les pourritures du pouvoir (et annexes) qui pensent s’en tirer, sans se soucier de ceux qu’ils précipitent dans la sanglante tragédie qui nous menace.
Une évidence qui semble échapper totalement aux « journaleux » du système, bien plus préoccupés de rester dans le vocabulaire politiquement correct que d’informer des faits sans interprétation : les criminels qui ont débarqué, couteaux à la main dans cette fête de village, ne sont pas des « jeunes gens », mais des racailles bien décidées à semer la mort !
Et ce, quelle qu’ait été leur motivation ; laquelle saute immédiatement aux yeux de ceux qui savent aller au-delà des « savantes » formules médiatiques, destinées à leurrer les populations sur l’angoissante situation qui se profile un peu plus chaque jour.
Sans en faire des tonnes, comme savent si bien le faire les familles des quelques rares racailles payant leurs crimes et exactions, soutenus par les pleutres de la doxa dominante (élus-médias subventionnés-magistrats politisés…), Zemmour à son habitude, résume les faits en quelques mots, mettant simplement les points sur les « i » de la stricte vérité, n’ayant nul besoin de fioritures pour énoncer des faits, non les élucubrations destinées à éloigner toutes précisions pouvant nuire à l’unique communauté capable de tuer sans autre raison que la haine des Français qui les consume.
Passé le premier choc de l’annonce, où effectivement les médias ont immédiatement utilisé les termes innocents de « jeunes », « jeunes gens », « rixe »… là où nous aurions eu les CV détaillés si les agresseurs étaient de méchants Français racistes s’en prenant sans raison à de pauvres « anges »…
Nous en savons désormais un peu plus, pour compléter le résumé ci-dessus d’Éric Zemmour sur ce qui s’est passé en plusieurs temps :
1ère étape, 1ère nuance aux discours « officiels » : quelques racailles des cités voisines (selon les témoignages de ceux qui étaient présents) paient leur place et entrent dans la salle… armés de couteaux. Ce n’est donc pas parce que les organisateurs ont refusé de laisser entrer dès le départ un groupe de personnes comme l’ont prétendu les premiers commentaires médiatiques.
2ème étape : les vigiles s’apercevant qu’ils sont armés les font sortir.
3ème étape : les mêmes reviennent « en meute », avec des couteaux de 20 cm et plantent tous ceux qui sont sur leur chemin ; selon le scénario habituel des scélérats se regroupant immédiatement dès que l’un d’entre eux ou un petit groupe est contrarié dans ses agissements !
Bilan : Thomas, 16 ans, meurt de plusieurs coups de couteaux, 2 urgences absolues, 20 blessés !
4ème étape : médias et autorités, qui n’étaient pas plus sur place que vous et moi… entament immédiatement le mode « enfumage des masses » en qualifiant les faits de rixe, bagarre, règlement de compte… restant volontairement dans un flou artistique destiné à noyer le poisson, évitant à tous prix qu’un amalgame puisse être fait avec ce qui se passe partout ailleurs où les bandes des cités font régulièrement des descentes, dans le but d’asseoir leur autorité par la terreur.
La question que ne se posent pas les médis serviles du pouvoir c’est : vient-on à un bal, une fête… avec des couteaux en poche lorsque l’on est un citoyen paisible ?
Le jeune Stanislas Rigault, 24 ans, président de Génération Z et membre du bureau exécutif de Reconquête, ne mâche pas ses mots dans le récit détaillé qu’il fait du drame.
De même l’analyse sans concession faite par Nicolas Faure – Sunrise, préfaçant ainsi sur X sa vidéo de 30’.
Le crime atroce qui a coûté la vie à Thomas est un symbole de ce qui attend la France si rien n’est fait. Il est temps que la France se réveille, que les gauchistes se taisent et que les expulsions commencent. Le réveil ou la mort.
Quelle différence entre les témoignages sans langue de bois de ces deux courageux jeunes hommes, et les baratins bien huilés de la secte des menteurs officiels !
Tous les trouillards qui complotent dans le dos des peuples en Europe, et particulièrement en France, sont morts de trouille à l’idée que ce peuple qu’ils insultent, manipulent, trompent… à longueur de temps, puisse se réveiller avant la finalité de leur mission de destruction de la France… Ces jeanfoutres ne voulant pas comprendre qu’ils sont sur le même bateau que nous, et que donc, le moment venu, ils subiront le même sort, à une nuance près : quels que soient les gagnants de l’affrontement final entre les patriotes et les envahisseurs… pour ces gueux qui ont tant trahis, la note sera salée… très salée !
++ WEBTUBE :Crépol, village de 500 âmes dans la Drôme, reste sous le choc. Ce samedi 18 novembre, alors que le comité d’animation de la commune organisait un bal d’hiver dans la salle des fêtes pour le plus grand bonheur des jeunes des alentours, la soirée vire au drame. Vers 1 h 30, une dizaine de « jeunes des cités », décrits en « survêtement et TN [baskets, NDLR] », tente de s’infiltrer. Après avoir blessé le vigile, ils sèment la panique parmi les participants. Blessé à l’arme blanche, Thomas, un adolescent de 16 ans « sans histoire », décède. Huit autres jeunes sont blessés et transportés vers les hôpitaux les plus proches, dont deux en urgence absolue. Les autres participants sont traumatisés. « La commune et le comité des fêtes auront du mal à se remettre d’une chose pareille. […] On envoie ses enfants pour s’amuser et on vient récupérer un cercueil », réagit Marine Legut, maire de la commune, auprès de la presse locale. L’article complet ci-dessous :
Crépol, village de 500 âmes dans la Drôme, reste sous le choc. Ce samedi 18 novembre, alors que le comité d’animation de la commune organisait un bal d’hiver dans la salle des fêtes pour le plus grand bonheur des jeunes des alentours, la soirée vire au drame. Vers 1 h 30, une dizaine de « jeunes des cités », décrits en « survêtement et TN [baskets, NDLR] », tente de s’infiltrer. Après avoir blessé le vigile, ils sèment la panique parmi les participants. Blessé à l’arme blanche, Thomas, un adolescent de 16 ans « sans histoire », décède. Huit autres jeunes sont blessés et transportés vers les hôpitaux les plus proches, dont deux en urgence absolue. Les autres participants sont traumatisés. « La commune et le comité des fêtes auront du mal à se remettre d’une chose pareille. […] On envoie ses enfants pour s’amuser et on vient récupérer un cercueil », réagit Marine Legut, maire de la commune, auprès de la presse locale.
Le fléau des attaques au couteau
Ce lundi matin, vingt-quatre heures après le drame, les hommages se multiplient. Le club de rugby de Romans-Péage (RCRP), dans lequel Thomas évoluait, a organisé une minute de silence avant l’un de ses matchs et a publié un nouveau logo à l’effigie du garçon. Son lycée, Le Dauphiné, à Romans-sur-Isère, a organisé une minute de silence en sa mémoire. Et sur les réseaux sociaux, ses amis partagent leur émotion et pleurent « un ange parti trop tôt ». Côté politique, la droit s’indigne. Gérald Darmanin n’a, pour le moment, pas réagi. Une enquête a été ouverte pour « homicide volontaire » et « tentative d’homicide ». D’après les premiers éléments, « les faits s’apparenteraient à un règlement de comptes », note le procureur en charge du dossier. Et il ajoute : « Les jeunes pourraient être venus de Romans, peut-être du quartier de la Monnaie [quartier au cœur des émeutes en juin 2023 et où des policiers ont été caillassés en octobre dernier, NDLR], sans que nous n’ayons aucune certitude. »
Lisette Pollet, députée RN de la Drôme, jointe par BV, est encore « atterrée ». « Je pense aux familles. En tant que maman et grand-mère, je comprends la douleur des familles. Ça aurait pu être les nôtres… », ajoute l’élue. « Aujourd’hui, on va faire la fête et on meurt. On peut mourir pour une clope, pour un mauvais regard. Plus personne n’est à l’abri, ça peut être n’importe qui ! », s’alarme le député, qui refuse cependant de baisser les bras. Comme le rappelle Pierre-Marie Sève, directeur de l’Institut pour la justice (IPJ), ce sont 120 attaques à l’arme blanche qui se déroulent chaque jour en France. Un fléau qui a entrainé la mort de nombreux Français. En juillet, Enzo, 15 ans, était tué au couteau pour « un mauvais regard ». Un mois plus tard, Anthony Monet, jeune père de famille, était poignardé à mort lors d’un anniversaire. Au printemps dernier, un jeune homme de 24 ans a été frappé de plusieurs coups de couteau lors d’une fête à Aurillac.
L’étalement de la violence en zone rurale
Face à la multiplication de ces drames, Lisette Pollet attend une réponse ferme de la Justice. « Pour un policier traîné, on s’en sort avec des heures de travaux d’intérêt général, ce n’est pas normal. Il faut de la fermeté : on n’ôte pas la vie des gens sans en porter les conséquences », conclut-elle. Un sentiment partagé par Pierre-Marie Sève. Selon lui, « encore une fois, malheureusement, il n’y a rien d’étonnant. Les mêmes causes appellent les mêmes effets. » Et il précise : « Cela fait des années que beaucoup alertent sur le combo immigration et laxisme judiciaire. Comme rien ne change, des drames en série se produisent. » Sur la question des armes blanches, Pierre-Marie Sève ajoute : « Si la Justice faisait son travail et condamnait les personnes qui portent une arme blanche comme le prévoit la loi, alors il y aurait un aspect dissuasif. »
Pour Pierre-Marie Sève, le drame de Crépol illustre par ailleurs l’étalement de la violence en zone rurale. L’augmentation rapide de la délinquance à la campagne est la conséquence, selon lui, de la politique d’aménagement du territoire, et notamment de la loi SRU qui impose aux communes de plus de 3.500 habitants entre 20 et 25 % de logements sociaux. « Je n’ai rien contre les HLM. Mais aujourd’hui, les HLM sont devenues des foyers de délinquance. En imposant des HLM sur tout le territoire, on étale la délinquance. » Crépol, village sans histoire, est ainsi entouré de communes concernées par la loi SRU (Romans-sur-Isère, Valence, Tournon-sur-Rhône…). De quoi rompre la tranquillité de la campagne drômoise.
++ WEBTUBE : Combien étaient-ils, samedi, à défiler à Madrid, à l’appel de la droite et de la droite nationale espagnoles ? 170.000, selon le pouvoir contesté, jusqu’à 500.000, selon les organisateurs. C’est, en tout cas, une manifestation de masse qui a envahi le centre de Madrid, ce 18 novembre, pour faire triompher le droit des vieilles nations face aux tentations séparatistes des grandes régions. Une mobilisation qui a retenti dans une cinquantaine de grandes villes du pays mais dont les médias français ont peu parlé. La promesse d’amnistie donnée par le chef du gouvernement aux dirigeants et militants séparatistes poursuivis depuis leur tentative de sécession de la Catalogne en 2017, en échange d’un soutien politique, ne passe décidément pas. Le soutien des indépendantistes est indispensable à Pedro Sánchez pour rester au pouvoir : le chef du gouvernement espagnol sacrifie donc l’unité nationale et l’intérêt de l’Espagne à son propre intérêt et à celui de son parti. L’article complet ci-dessous :
Combien étaient-ils, samedi, à défiler à Madrid, à l’appel de la droite et de la droite nationale espagnoles ? 170.000, selon le pouvoir contesté, jusqu’à 500.000, selon les organisateurs. C’est, en tout cas, une manifestation de masse qui a envahi le centre de Madrid, ce 18 novembre, pour faire triompher le droit des vieilles nations face aux tentations séparatistes des grandes régions. Une mobilisation qui a retenti dans une cinquantaine de grandes villes du pays mais dont les médias français ont peu parlé.
La promesse d’amnistie donnée par le chef du gouvernement aux dirigeants et militants séparatistes poursuivis depuis leur tentative de sécession de la Catalogne en 2017, en échange d’un soutien politique, ne passe décidément pas. Le soutien des indépendantistes est indispensable à Pedro Sánchez pour rester au pouvoir : le chef du gouvernement espagnol sacrifie donc l’unité nationale et l’intérêt de l’Espagne à son propre intérêt et à celui de son parti.
La situation se durcit
Mais les vieilles nations ne se cachent pas pour mourir. Une grande partie de la population, des centristes de droite du Parti populaire aux patriotes de Vox, entend bien garder l’identité de l’Espagne, ce qui fait sa force, son identité et son Histoire. Alors qu’en Écosse ou en Corse, pour ne citer que ces deux exemples, la tentation de l’indépendance agite une partie de la population, la querelle espagnole retentit bien au-delà des Pyrénées. Et montre, comme en Argentine, l’usure de ces partis socialisants et mondialistes secoués par les peuples qui ne supportent plus qu’on programme, sans eux et contre eux, leur propre effacement.
Après cette déferlante, loin d’être close, « la situation se durcit des deux côtés », estime le journaliste espagnol José Maria Ballester, interrogé par BV. Les manifestations quotidiennes devant le siège du PS ne faiblissent pas. Ces manifestations ne sont organisées ni par le Parti populaire (centre droit) ni pas Vox mais par la société civile. Les socialistes de Sánchez font le dos rond, persistent et signent.
Affaibli, Sánchez vient d’annoncer un remaniement et l’arrivée de plusieurs ministres, mais les postes clés restent sans changement aux mains de l’équipe actuelle. Seul le puissant ministre de la Présidence devient aussi ministre de la Justice. « Dans les médias, les télévisions de gauche passent beaucoup de temps à commenter ces manifestations mais elles évitent, du coup, le fond, la loi d’amnistie », explique José Maria Ballester. C’est en effet bien l’épicentre de la crise. Pour les Espagnols, l’amnistie a un sens historique très clair : la loi d’amnistie de 1977 mettait fin à la séparation de l’Espagne entre les partisans et les opposants de Franco et de la monarchie. « Chaque camp pardonnait à l’autre », rappelle Ballester. D’autres projets d’amnistie seront par la suite interdits pour ne pas créer de précédent. Ce mot réveille l’Histoire récente de l’Espagne.
Nouvelle manifestation le 6 décembre ?
Le débat rebondira, le 6 décembre prochain, jour anniversaire du 6 décembre 1978 où fut voté, par référendum, la Constitution espagnole. Un mot d’ordre pour une nouvelle manifestation pourrait bien circuler pour le jour même, la veille ou le lendemain. Par ailleurs, le Parti populaire, majoritaire au Sénat, peut jouer la politique du blocage parlementaire. Beaucoup de recours seront déposés devant la Justice administrative ou ordinaire.
Le visage préoccupé du roi, la semaine dernière, lors d’une manifestation officielle, a frappé les téléspectateurs. Très investi, le roi d’Espagne Philippe VI a effectué plus de consultations politiques en neuf ans de règne que son père Juan Carlos en trente-neuf ans. Comme en Belgique ou au Royaume-Uni, la monarchie reste un gage et un symbole d’unité nationale.