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Un homme a été arrêté, jeudi 1er avril, dans l’enquête menée par la police judiciaire de Montpellier après l’agression sauvage, à Montpellier, du metteur en scène Alain Françon, a-t-on appris, vendredi 2 avril, de source proche du dossier relayée par Le Midi libre. Aucun autre détail sur cette arrestation n’a été donné dans l’immédiat.
« Un Algérien d’une trentaine d’années, connu pour de très nombreux faits de délinquance »
Deux semaines après l’agression violente qui avait failli coûter la vie au dramaturge, les enquêteurs ont interpellé à son domicile « un Algérien d’une trentaine d’années, connu pour de très nombreux faits de délinquance et de violence », détaille le quotidien régional.
Une attaque « abominable »
Le metteur en scène Alain Françon, l’un des plus prolifiques du théâtre français, avait été grièvement blessé à l’arme blanche au niveau du cou, le mercredi 17 mars dernier, à Montpellier, dans des circonstances floues. Âgé de 76 ans, il s’était effondré dans une rue du centre près de l’église Saint-Roch.
Survenue en plein jour en zone piétonne, cette attaque avait choqué les Montpelliérains et avait eu un retentissement national en raison de l’identité de la victime, le maire de Montpellier Michaël Delafosse la jugeant « abominable » et le ministre de la Culture Roselyne Bachelot « terrible ».
Boulevard Voltaire
Verlaine Djeni : « Pépita a été insultée et traitée de “négresse de maison” car elle ne s’est pas posée en victime de racisme
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TMC a ressorti des images d’archives du jeu télévisé « Pyramides » diffusé dans les années 90 qui font penser que l’animatrice Pépita aurait subi des attaques racistes et misogynes. L’ancienne animatrice a réfuté en bloc ces attaques et garde un excellent souvenir de cette émission, ce qui lui a valu des insultes.
Verlaine Djeni réagit à cette polémique et dénonce une affaire « d’une bêtise incroyable » lancée par des militants racialistes.
L’émission « Quotidien » sort une séquence où on voit l’animatrice Pépita du jeu « Pyramide » qui aurait été victime de stéréotypes racistes pendant cette émission. « Touche pas à mon poste » invite Pépita sur le plateau et celle-ci déclare qu’elle ne s’est jamais sentie victime de racisme. Qu’est-ce que cela révèle ?
D’une part, c’est assez triste et, d’autre part, c’est révoltant pour la personne de couleur que je suis. Pour ceux qui n’ont pas suivi le déroulé de l’histoire, à la saison 1, Pépita est une pauvre petite victime du racisme, et saison 2, Pépita dit qu’elle n’a jamais été victime de racisme.
Aujourd’hui, des personnes s’arrogent le droit de choisir qui est victime du racisme. Ce ne sont pas les Noirs qui sont derrière tout cela, mais ce sont des personnes qui ne sont pas noires qui montent des Noirs contre d’autres Noirs. La France vaut mieux que toutes ces petites combines. Cela laisse planer des lendemains incertains. Combien y aura-t-il de Pépita, demain ? Combien y aura-t-il d’émissions que l’on va ressortir parce qu’un animateur aura osé dire vert à quelqu’un qui est bleu ? C’est hallucinant. Il n’y a pas de mots…
Une fois que Pépita a déclaré qu’elle avait gardé un très bon souvenir de cette émission, des dizaines de milliers de tweets insultants sont apparus envers les personnes de couleur qui ne seraient pas juste dans une position victimaire.
C’est incroyable. Ici, nous avons la preuve de ce que nous autres vivons. Cela va bientôt faire dix ans que je subis ces insultes sur les réseaux sociaux. Dès lors que l’on ne va pas dans le sens de ces personnes racistes, on est indubitablement Bounty ou nègre de maison.
Le pire, dans l’histoire de Pépita, c’est que le changement s’est fait sur 24 heures. En une journée, nous avons eu des personnes qui ont dit « La pauvre petite, elle est victime du racisme » et, le lendemain, ces mêmes personnes ont dit « Négresse de maison ». Pourquoi ? Parce qu’elle a tout simplement dit la vérité. Elle aurait pu se cantonner dans ce rôle que d’autres aiment bien. Mais elle ne l’a pas fait. C’est formidable. Et Aurélien Taché, élu de la République, se permet de remettre en question la défense de Rachel Khan, écrivain, envers Pépita. Il argumentait que Rachel Khan « mettait de l’huile sur le feu ».
Verlaine Djeni Boulevard Voltaire
Les dix “gros bonnets” de la drogue en France : tous des “Chances Pour la France” Quelle “Chance” !
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Dans un article du 28 mars dernier, L’Obs nous dévoile le prestigieux palmarès des dix plus gros narcotrafiquants “français”.
Tous CPF – Chances Pour la France – “de Souche”.
En voici la liste, avec leur CV abrégé.
Moufide Bouchibi
Condamné pour trafic de drogue en septembre 2015 par le tribunal de Bordeaux à 20 ans de prison, le ressortissant “français” Moufide Bouchibi a été interpellé à Dubaï (Émirats-Arabes-Unis, EAU) ce 21 mars 2021 après six ans de cavale. Ex-associé puis rival de Sophiane Hambli – l’ancien trafiquant numéro 1 devenu le principal informateur de l’office des stups –, Bouchibi a dû quitter le Maroc, son pays natal, après une série de règlements de comptes en 2013. En contact direct avec les producteurs, Bouchibi est considéré comme le principal exportateur de résine de cannabis en France (il enverrait 50 tonnes par mois selon les estimations des policiers). La France vient de demander son extradition aux EAU.
Reda Abakrim
Surnommé le Baron de la drogue dans le milieu, Reda Abakrim, condamné par contumace en juin 2020 à vingt ans de prison pour l’enlèvement et le meurtre d’un autre caïd de la drogue, Brahim Hajaji, dans la cité de La Coudraie à Poissy, Abakrim a été interpellé le 22 décembre 2020 à Casablanca (Maroc). Il est également surnommé Turbo, confie un informateur des stups « parce qu’il est capable de faire sortir une tonne de résine de cannabis du Maroc par jour ». Un exemple d’intégration réussie. Lors de son procès en 2020, Abakrim a été défendu par Me Eric Dupond-Moretti, l’avocat des pauvres et des déshérités.
Nordine D.
Photo bienvenue : Nordine, si tu nous lis…
D’après L’Obs : « Jamais condamné pour trafic de stupéfiants, il ne ferait actuellement l’objet d’aucune mise en examen. Selon des sources policières, il aurait récupéré une partie de la clientèle de Djamel Talhi, dit « James Dean », un ancien associé de Sophiane Hambli, devenu le numéro 2 du trafic derrière Moufide Bouchibi (voir supra) avant d’être arrêté en 2014 [et de devenir le principal informateur de l’office des stups]. Selon le dossier judiciaire, une partie de la marchandise retrouvée lors de la fameuse saisie des Douanes effectuée boulevard Exelmans, Paris 16e, en octobre 2015, lui appartiendrait. »
Ben de Trappes
Photo bienvenue : Ben, si tu nous lis…
Ben est originaire de la paisible ville de Trappes dans les Yvelines. Ben a été arrêté en France en 2018 dans une simple affaire d’usurpation d’identité. Arrêté et mis en examen en novembre dernier à Versailles pour trafic de stupéfiant, Ben réussit à prendre la fuite. Selon des sources généralement bien informées, Ben gérerait dorénavant ses affaires depuis le Maroc.
Bouchaïb El Kacimi
Photo bienvenue : Bouchaïb, si tu nous lis…
Selon L’Obs : “En 2014, ce Franco-Marocain a été considéré comme le responsable d’un vaste réseau d’importation de résine de cannabis et condamné à vingt ans de prison. Son équipe avait organisé pas moins de 45 “go-fast” depuis l’Espagne en quatorze mois pour importer 50 tonnes de cannabis.”
Plusieurs membres présumés de l’organisation “Furax” (surnom de El Kacimi) ont comparu en octobre 2014 devant les assises spéciales de Paris. “Pour vous, c’était un peu comme un trafic d’alcool ou de cigarettes ?”, l’a interrogé l’avocat général, Philibert Demory, durant le procès. “Tout à fait”, a répondu El Kacimi qui a affirmé aspirer dorénavant à “une vie posée, sans souci”. En fuite depuis 2019, El Kacimi gérerait ses juteuses affaires depuis le Maroc.
Kévin Douré
Kévin nous vient quant à lui de la Martinique. D’où peut-être son surnom particulièrement politiquement incorrect de “El negro” dans le milieu. Mais soyons indulgents : ces gens-là n’ont pas nécessairement les codes.
Selon L’Obs : “Lors d’un premier séjour en prison, il noue des relations avec des « Vénez », surnom donné en Martinique aux Vénézuéliens installés sur l’île, représentants des plus gros narcos sud-américains. Au faîte de sa gloire, on estime qu’il expédiait une tonne de cocaïne par mois.”
Arrêté en octobre 2013 avec des complices suite à une enquête de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), il travaillait avec des intermédiaires vénézuéliens — ces derniers se procurant la drogue en Colombie — pour l’importer vers l’Europe. Son réseau utilisait le «rip off» (placer la marchandise dans un conteneur avant son chargement sur un navire), avec des complicités parmi les dockers en Martinique, à Sainte-Lucie, au Havre et à Dunkerque.
En juin 2018, il est condamné à 22 années d’emprisonnement. Fait tout à fait surprenant : Kévin Douré est actuellement sous les verrous. Sa malencontreuse couleur de peau ne lui a sans doute pas permis de bénéficier des mêmes complicités d’évasion que les susnommés. Ce n’est qu’une hypothèse, naturellement. Son incarcération ne l’empêche apparemment pas de continuer à gérer ses lucratives activités via son réseau.
Rachid El M.
Rachid nous vient de Strasbourg. C’est un proche de Moufide Bouchibi (voir supra) depuis de longues années, il serait l’un des principaux fournisseurs de cannabis de l’Est de la France. Il disposerait de contacts privilégiés chez les producteurs marocains. Condamné à une peine de sept ans de prison en 2017, il est actuellement en fuite…
Nasserdine et Abdelrani T.
Photos manquantes : Nasserine et Abdelrami, si vous nous lisez…
Deux trafiquants en un. Surnommés “les jumeaux” dans le milieu, les deux frères, condamnés par le passé pour des affaires de vols, approvisionne(raie)nt la région de Marseille (d’où ils sont originaires) en résine de cannabis. Ils ne font actuellement pas l’objet de mandats de recherche et seraient, selon certaines sources, installés dans la région de Malaga, dans le sud de l’Espagne d’où ils gèrent leur petit commerce, apparemment sans être autrement inquiétés par les autorités françaises ou espagnoles. Comme chez les Dalton, il semble qu’il y ait un frère dominant. C’est manifestement Nasserdine.
Younès L.
Photo manquante : Younès, si tu nous lis…
Commentaires de L’Obs : “Appartenant à une famille bien connue de la PJ nantaise, ce Franco-Marocain né à Meknès est considéré comme le principal pourvoyeur en résine de cannabis du Grand Ouest. Connu pour des faits de vol commis dès l’âge de 15 ans, il n’a jamais été condamné pour trafic de stupéfiants à ce jour”. Il serait actuellement au Maroc.
Ali et Messaoud Bouchareb
Alors qu’il était activement recherché dans le cadre de l’affaire “Air Cocaïne”, le “Stéphanois” Ali Bouchareb a été interpellé en mai 2016 près de Barcelone. Le procès d’Ali Bouchareb s’est ouvert en février 2019. La vie des deux frères Bouchareb est un roman palpitant : nous vous la laissons découvrir dans cet article de Lyon Capitale.
Henri Dubost (dans R.L.)
Valls – le torero – mis à mort par Zemmour !
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Le débat annoncé sur CNews entre Éric Zemmour et Manuel Valls était l’affiche incontournable de la semaine. Une affiche particulièrement alléchante : car je suis de ceux qui considèrent Manuel Valls comme un débatteur de haut niveau, coriace, roué, doté d’une forte personnalité. Un débatteur qui jouait gros ce soir : de retour d’Espagne, Valls voulait absolument se repositionner dans le paysage politique français, en présentant une posture républicaine et française ferme et déterminée.
Les quarante premières minutes m’ont donné raison : sur les questions qui touchaient à l’histoire de France, à la controverse de Gaulle/Pétain, ou encore au choc de civilisation, l’ex-Premier ministre a résisté à l’éloquence et à l’érudition légendaire de notre favori. Une résistance surtout due à son caractère combatif, et à sa maîtrise de la technique du débat.
Puis, est arrivée la minute de vérité, celle qui permit à Zemmour de porter un coup décisif. Le “torero” a été mis à mort, avec quatre banderilles plantées par Zemmour dans le dernier tiers du débat.
La première visait au millimètre les atermoiements politico-identitaires de Valls, ces dernières années en particulier : alors que Valls roucoulait la larme à l’œil son amour pour la France, Zemmour lui rétorquait qu’il oubliait bien vite son retour aux sources raté, à Barcelone, les évocations des souvenirs de son enfance dont il a usé et abusé en vain pour amadouer les électeurs catalans qui n’y ont pas cru une seule seconde. Sonné, le matador s’est mué en un clin d’œil en Calimero, rejeté par les Français, aux prises à des difficultés familiales, qui aurait juste voulu se retrouver en se retirant de l’autre coté des Pyrénées. Mais comment paraître sincère, quand son carriérisme est mis à nu si crûment, si brutalement ?
La deuxième banderille fut portée sur le coté gauche de Valls : il a contribué, avec l’ensemble de ses collègues socialistes, à l’invasion migratoire et à l’islamisation de la France, aux attaques contre l’identité nationale, et ce depuis les années quatre-vingt. Sa réplique embrouillée n’a même pas semblé le convaincre lui même… Valls, tout affairé à sa carrière politique, a bien suivi sans jamais broncher ses chefs Mitterrand et Hollande dans ce “théâtre de l’antiracisme”, comme disait Jospin….
La troisième banderille fut celle qui rappela son action en tant que Premier ministre : Valls a favorisé la régularisation de sans-papiers comme personne auparavant, avec sa fameuse “circulaire Valls”. Celui qui veut désormais se faire passer pour la réplique moderne de Clemenceau, un chantre absolu des valeurs républicaines, fut celui qui a le plus contribué à la montée de l’islamisme en France.
La dernière banderille fut sans doute la plus cruelle, elle acheva définitivement le “torero” catalan. Alors que Valls contestait la notion de “Grand Remplacement“, alors qu’il minorait l’immigration en s’embrouillant dans une logorrhée de chiffres, Zemmour lui rappela sa fameuse saillie devenue légendaire sur YouTube : “Fais venir des white, des blancos, c’est mieux pour l’image de la ville”, avait-il ordonné à un collaborateur, un jour qu’il serrait des mains très basanées dans les rues d’Évry… Et là, Valls au supplice, blême, liquéfié, n’a pu bredouiller autre chose que l’antienne usée jusqu’à la corde, comme quoi “il est plus facile à un journaliste de critiquer qu’à un dirigeant de diriger”… Sans pouvoir bien sûr répliquer sur la vraie question : l’immigration envahit les rues de nos villes, de la sienne en particulier, et cela ne lui a pas échappé, même s’il s’en défend en public.
Carriérisme, ambition, opportunisme, double discours, tartuferie, tous les travers de Valls ont crevé l’écran, aussi voyants que des verrues purulentes au milieu du visage… Valls a quitté la scène anéanti, pulvérisé, KO debout. Pas sûr qu’il revienne se frotter à Zemmour une prochaine fois sur le plateau de “Face à l’Info”…
Olivier Piacentini (source R. L.)
I-Média n°342 – Audrey Pulvar : la haine des blancs au programme
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00:00 Introduction
01:51 L’image de la semaine L’image de la semaine est une caricature à propos de la subvention d’une mosquée radicale par la mairie de Strasbourg. Une caricature qui n’a pas été retenue par le média régional Les Dernières Nouvelles d’Alsace !
06:37 Audrey Pulvar : la haine des blancs au programme Dans un entretien accordé à BFM, Audrey Pulvar a annoncé que les Blancs devaient se taire s’ils assistaient à des réunions réservées aux extra-européens. Des propos de l’ancienne journaliste qui en disent long sur la dérive idéologique anti-blanche de la gauche.
21:01 Revue de presse
31:45 Covid-19 : catastrophisme et confinement Depuis plusieurs jours, une pression médiatique énorme était mise sur l’opinion publique avec la multiplication de propos catastrophistes. Emmanuel Macron a finalement annoncé une extension d’un confinement « allégé » à toute la France. Le « en même temps » macronien pour satisfaire tout le monde et personne à la fois ?