++ WEBTUBE : La chanson du jour sera classique, plus exactement Musique Classique. Quoi de plus beau, rythmé et entrainant que cette pièce de Bach excellement intertprêtée par Martha Argerich. Un régal !
++ WEBTUBE : The song of the day will be classical, more precisely Classical Music. What could be more beautiful, rhythmic and catchy than this Bach piece excellently performed by Martha Argerich. A delight !
++ WEBTUBE : Cette France des gilets jaunes aux émeutiers, celle des « gens qui ne sont rien », des classes moyennes et modestes, des déclassés, celle des victimes de la violence qui monte chaque jour un peu plus. Celle qui refuse une politique étrangère sous influence, celle qui refuse la dilution dans l’Union européenne et le mondialisme, celle qui défend la liberté d’expression, et une politique étrangère sous influence. Henri Guaino, Régis Le Sommier, Guillaume Bigot, et Ghislain Benhessa sont nos invités exceptionnels pour en débattre.La vidéo ci-dessous :
++ WEBTUBE : Alors qu’il y a quelques jours, un individu s’est vu condamner à 35h de travaux d’intérêts généraux pour avoir trainé un policier nantais sur le bitume suite à un refus d’obtempérer, ce lundi 27 novembre 2023, six premiers jeunes patriotes étaient jugés ce lundi après-midi, devant le tribunal correctionnel de Valence en comparution immédiate et dormiront en prison dès ce soir. Ils sont des prisonniers politiques dans un pays qui se permet de critiquer la Russie. La suite ci-dessous :
Ils ont été interpellés samedi soir alors qu’ils manifestaient dans le quartier de la Monnaie, à Romans sur Isère, aux cris de “Justice pour Thomas”, “l’Islam hors d’Europe”, “la rue, la France nous appartient”. Ils exprimaient la colère ressentie par une large partie de la population après le meurtre de Thomas à Crépol, une semaine auparavant, par des racailles de ce même quartier.
Certains étaient poursuivis pour violences sur les forces de l’ordre pour avoir tiré des mortiers d’artifice dans leur direction. D’autres sont jugés pour leur participation à cette marche, précisément à “un groupement formé en vue de la préparation de violences contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens”.
La procureure a requis 12 mois de prison avec maintien en détention pour cinq d’entre eux, six mois pour le dernier. Le tribunal les a finalement condamnés à des peines de six à dix mois de prison ferme avec mandat de dépôt. Ils restent tous en prison.
C’est un jugement éminemment politique, visant à terroriser et à dissuader toute forme de contestation de la défaillance de l’Etat Républicain, fort avec les faibles mais faible avec les forts. Il suffit de prendre l’actualité de ces derniers mois pour se rendre compte que pour des crimes et délits bien plus graves, des individus ne sont pas condamnés à de telles peines, n’ont pas de mandat de dépôt, et bénéficient parfois même d’aménagement de peine.
Tous ont entre 18 et 25 ans. Ils viennent du Doubs, de Côte-d’Or, près de Dijon, du Gard, de Paris et de Lyon. La plupart vivent chez leurs parents. Ils sont étudiants, stagiaire, chômeur, militaire, développeur informatique. À l’exception de l’un d’entre eux, leur casier… https://t.co/uduolBC5v3
Les deux mules ont été condamnées à un de prison ferme mais avec une peine qu’ils effectueront chez eux sous bracelet électronique alors que la procureur avait réclamé deux ans et trois ans de prison ferme avec maintien en détention.
++ WEBTUBE : Le 22 novembre, le Parlement européen a adopté une résolution « tendant à la révision des traités ». Cela s’est fait dans une relative indifférence : le monde avait les yeux tournés vers Gaza, la France vers Crépol. L’intitulé lui-même, rébarbatif, semblait indiquer un énième ajustement bureaucratique. Or, il n’en est rien. Il s’agit de « remodeler l’Union », au prétexte de la guerre en Ukraine et des défis auxquels sont confrontés les Etats membres alors que l’Union européenne est appelée à s’élargir toujours plus. Élargissons donc aussi ses compétences dans les domaines de l’environnement, de la santé publique, de l’éducation, du commerce, de la défense, de la lutte contre les discrimination ! La suite ci-dessous :
Cette résolution, explique le député européen RN Jean-Paul Garraud à BV, « venait d’eurodéputés des groupes Renaissance, de la gauche, des Verts, du centre droit (PPE) et des socialistes ». Elle était soutenue par la Commission européenne et sa présidente, Ursula von der Leyen. Et, bien sûr, Emmanuel Macron. Leur but ? « Réduire les États à des entités condamnées à obéir sans réagir », analyse M. Garraud, en réaffirmant « la primauté du droit de l’UE sur celui des États ».
Bientôt un président de l’Union européenne ?
Signe que l’Union européenne avance ses pions, la résolution évoque l’idée d’un « président de l’Union européenne ». La Commission européenne deviendrait alors « l’exécutif européen ». Autrement dit, « les technocrates bruxellois, bien aidés par ces eurodéputés hors-sol et sans attache, continue J.-P. Garraud, souhaitent mettre fin à nos nations afin de créer un grand ensemble européen où seul le marché importe. Ils comptent sur le profit économique pour unir les Européens, faisant fi des nombreuses différences qui les séparent pourtant : culturelles, linguistiques, etc. Cela va bien au-delà du fédéralisme, c’est de l’impérialisme. »
Pour asseoir cet impérialisme, il est nécessaire de désamorcer par avance les blocages que peuvent faire certains pays, empêcheurs de tourner en rond. La résolution demande d’abolir la nécessité de l’unanimité pour un certain nombre de décisions. Le Parlement européen « réclame le renforcement de la capacité d’action de l’Union, en augmentant considérablement le nombre de domaines dans lesquels les actions sont décidées par un vote à la majorité qualifiée ». C’était, figurez-vous, un vœu qu’exprimait Emmanuel Macron en mai 2022 – qui sait si, ayant tout raté en France, il ne se voit pas en premier président de l’Union européenne, avec des États aux ordres ?
Marine Le Pen, dès le lendemain du vote, a résumé la situation sur France Info : le rapport à l’origine de la résolution « dépouille en réalité les nations de l’intégralité quasiment de leur souveraineté ». Soupçonneuse, France Info s’est penchée sur la question et a bien été obligée de l’admettre : s’il faut faire la part de l’interprétation dans l’analyse de Marine Le Pen, il y a aussi du vrai. Ce n’est pas de l’ordre du fantasme.
Un grand plan de déconstruction de l’Europe
Cette captation de souveraineté se fait évidemment – les Tartuffes ! – en réaffirmant les « valeurs démocratiques » que devraient promouvoir aussi bien l’éducation que la « politique commerciale commune ». Et le genre, donc ? On ne parlera plus d’instaurer « l’égalité entre les hommes et les femmes » mais « l’égalité de genre ». Cela renvoie, dit le Conseil de l’Europe, « à des notions plus larges d’égalité en relation à l’identité de genre (les attentes et normes sociales associées à ce qui est masculin et féminin) et à l’orientation sexuelle ».
Pour Jean-Paul Garraud, se révèle par ces injonctions « une vraie volonté de ces gens de tout déconstruire, de faire disparaître nos repères, dont le genre fait partie, afin de nous noyer tous dans cette grande masse qu’est l’économie de marché ». Ce primat du marché régit aussi l’immigration, fût-ce contre les peuples : selon la résolution, l’UE vise à assurer par sa politique migratoire « la capacité à répondre aux besoins de main-d’œuvre du marché unique pour soutenir la situation économique des États membres ». Quand on vous dit que c’est pour votre bien !
Contre cette volonté d’asservir les États par la technocratie et des valeurs qui ne sont pas celles de l’Europe, se sont élevés les groupes Identité et Démocratie (auquel appartiennent les eurodéputés RN), celui des Réformistes et Conservateurs européens (ECR), les élus du Fidesz hongrois. La résolution l’a emporté à une courte majorité : 291 voix pour, 274 contre et 44 abstentions.
Et maintenant ? Rien n’est joué pour autant. Jean-Paul Garraud nous donne rendez-vous aux européennes 2024 : « Si ce texte est grave par le fond et la volonté folle de ses auteurs, il n’en reste pas moins une résolution sans application. Rien n’est donc encore fait, conclut-il, et l’élection en juin prochain d’une majorité patriote au Parlement européen doit absolument bloquer cela. » Disons clairement à l’Union européenne notre avis sur ces questions… tant qu’on en a encore le droit.
++ WEBTUBE : Beaucoup d’informations intéressantes dans cette interview. M. Gervais ne dis pas que le climat ne se réchauffe pas, simplement il nuance et donne du contexte à l’ensemble du débat… Ce qu’on ne fait jamais sur les médias “Maindtream”. Informez-vous avant de suivre bêtement les moutons ! Après faits-vous votre opinion.
00:00 présentation de l’invité 1:45 ce livre sera-t’il encore légal dans quelques années? 3:05 François Gervais est-il climatisceptique? 8:20 quelles sont les implications du changement climatique? 14:30 les écolos, nouveaux religieux? 17:00 à quoi bon faire des efforts? 18:10 est-ce positif d’être écolos? 24:00 l’agriculture devra s’adapter au réchauffement climatique 29:40 censurer est contre-productif pour le débat 33:35 le consensus scientifique 36:00 le dioxyde de carbone 42:50 l’eau
++ WEBTUBE : Trois mille milliards d’euros, c’est le montant symbolique qu’a atteint, cette année, la dette publique de l’Etat qui n’a plus connu de baisse depuis 1957. Un score vertigineux, alors que le gouvernement vous fait payer toujours plus, et toujours plus discrètement l’impôt. Étonnant non ? Alors comment malgré toutes ses taxes et prélèvements si bien dissimulées, les caisses de l’Etat continuent elles de s’endetter. Une question sur laquelle s’est penchée le documentaire Trois mille milliards : les secrets d’un état en faillite, réalisé par l’association @contribuables. Son directeur Benoît Perrin, est venu pour VA+ répondre à toutes nos questions sur ces 40 années d’endettement. La vidéo ci-dessous :
La vidéo en question :
Trois mille milliards : les secrets d’un État en faillite | Le film de Contribuables Associés
++ WEBTUBE : Décidément, entre Éric Zemmour et l’arrogant Patrick Cohen, cela ne peut jamais bien se passer. Quelques vidéos intéressantes de confrontations aucours de ces dernières années.
Ce dernier, qui s’interrogeait sur le fait de la pertinence de débattre avec Éric Zemmour, l’avait malgré tout invité sur France 5.
« La loi Pleven autorise les associations à ester en justice, ce qu’elles ne pouvaient pas avant. J’abolirai ce point en particulier car elles utilisent la Justice pour abattre des adversaires politiques. » Éric Zemmour #CaVous#ZemmourCroissancepic.twitter.com/cy8G0aOlmm
Et pour enfoncer le clou, Éric insista sur la nécessaire hiérarchisation, sans laquelle il n’y a pas de nation.
« J’aime d’abord les Français. Je protègerai les Français. Si on ne fait pas de hiérarchie, il n’y a pas de nation. Si les étrangers ont les mêmes droits que les Français, il n’y a plus de nation. » Éric Zemmour#CaVous#ZemmourCroissancepic.twitter.com/dzptu0kPKZ
Et il répondit magistralement au reportage tronqué sur Roubaix, un véritable village Potemkine, répondant à la dhimmitude des habitants de Roubaix.
« Dans toute la France, il y a d’innombrables enclaves étrangères qui sont islamisées et où l’on ne vit plus selon les mœurs françaises. Vous niez la réalité. » Éric Zemmour#CaVous#ZemmourCroissancepic.twitter.com/LJw6hnzXOL
Et sur Fesseinheim, il révéla l’ampleur du scandale de la fermeture de cette centrale nucléaire.
« J’ai visite Fessenheim. C’est très émouvant car tout y a été refait à neuf. Emmanuel Macron ne s’y est même pas rendu, sinon il n’aurait pas eu le cran de fermer une centrale aussi neuve. » Éric Zemmour #CaVous#ZemmourCroissancepic.twitter.com/9kSbokQpjs