++ WEBTUBE : (…) Au total, 120 membres des forces de l’ordre sont présents sur place. (…) (…) Ils ont été rapidement bloqués par les forces de l’ordre (gendarmes et police) avant qu’ils n’arrivent dans le quartier. Le groupe s’est alors dirigé vers le centre-ville de Romans-sur-Isère. Et c’est rue de Delay, derrière la gare qu’une soixantaine de policiers ont procédé à 16 interpellations. Les autres membres du groupe de l’ultra droite se sont volatilisés de l’autre côté des rails. (…)
« Islam hors d'Europe ! » : des individus défilent à Romans-sur-Isère suite à l'attaque de #Crepol où Thomas s'est fait tuerpic.twitter.com/c0pEI5F3sF
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) November 25, 2023
++ WEBTUBE : Le ras le bol du peuple français historique s’exprime aujourd’hui dans les rues de Valence
Valence : De jeunes lycéens s'inspirent des irlandais et se rassemblent pour Thomas en scandant dans les rues de la ville "La France aux Français" pic.twitter.com/rGSuzYuo0K
Guillaume Bigot: "Il y a 12M de français en âge de se battre(…) Si la guerre civile éclate, elle tournerait rapidement au massacre des séparatistes. Je conseille à Bassem et ses amis de rester calme car à chaque fois qu'une minorité séparatiste s'est levée, elle a fini écrasée" pic.twitter.com/eoYd26fMgi
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) November 25, 2023
++ WEBTUBE : Depuis l’assassinat de Dominique Bernard en octobre dernier, Gérald Darmanin recense chaque jour – ou presque – les expulsions d’étrangers réalisées par les autorités françaises, sur son compte X (anciennement Twitter). Mais ce qu’oublie de préciser le ministre de l’Intérieur, ce sont les conditions dans lesquelles se déroulent ces opérations. Car bien souvent, ces expulsions nécessitent la présence de plusieurs policiers et sont loin de s’effectuer dans le calme. Des agents de la police aux frontières de Corse en ont fait les frais, cette semaine. La suite ci-dessous :
Ce 22 novembre, trois policiers escortent ainsi Ridha A., un Tunisien de 48 ans, visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Alors qu’ils embarquent dans l’avion en partance pour la Tunisie, l’homme, condamné pour violences avec armes et apologie du terrorisme, se rebelle sur le tarmac de l’aéroport de Marseille. Avec l’intervention d’autres agents, les policiers finissent par le maîtriser de façon professionnelle, détaille le syndicat Unité SGP Police. Une fois installés à bord et le calme revenu, le ressortissant tunisien se serait alors excusé pour son comportement. Mais la situation dégénère à nouveau à leur arrivée sur le sol tunisien.
Interpellés par la police tunisienne
Alors qu’ils finissent les formalités administratives, les trois agents français se voient interpellés et placés en garde à vue par la police tunisienne. Leurs passeports sont confisqués. Ridha A. souhaiterait porter plainte pour violences. Il accuse les policiers français de l’avoir brutalisé avant de l’expulser. Les autorités tunisiennes assurent avoir en leur possession une vidéo tournée par une avocate au moment des faits qui incriminerait les agents français. Cette vidéo ne leur sera jamais montrée. En revanche, d’autres images, prises cette fois-ci par un membre de l’équipage, confirment la version des agents corses. Le ressortissant tunisien se plaint, par ailleurs, d’une « côte cassée ». Mais là encore, aucune preuve médicale ne sera apportée. Finalement relâchés, ils auront passés près de six heures en interrogatoire. Les trois agents français ont atterri à Nice ce jeudi 23 novembre.
L’interpellation et l’audition des policiers français ont soulevé une vague d’indignation au sein de la police française. Le syndicat Unité SGP Police dénonce « un scandale ». Linda Kebab, déléguée nationale du syndicat, ajoute : « Alors qu’ils reconduisaient un OQTF violent en Tunisie, des policiers français ont été arbitrairement interpellés par leurs homologues tunisiens. Prochaine étape : le risque de prison en guise de rétorsion diplomatique ? » Une indignation partagée par ses collègues du syndicat Alliance Police qui déplorent, sur leurs réseaux sociaux : « Nos collègues ne sont pas des variables d’ajustement diplomatiques. »
Alors qu’ils reconduisaient un OQTF violent en Tunisie, des policiers français ont été arbitrairement interpellés par leurs homologues tunisiens.
Prochaine étape : le risque de prison pour les policiers en guise de rétorsion diplomatique ?
Côté politique, certaines voix s’élèvent et réclament une condamnation diplomatique. Sur X, Julien Aubert, membre des Républicains et ancien député de Vaucluse, espère ainsi que « l’ambassadeur de Tunisie sera convoqué au Quay d’Orsay pour s’expliquer sur ce comportement atterrant et hostile à l’encontre des policiers français ». Dans les rangs du Rassemblement national, Alexandra Masson, députée des Alpes-Maritimes, appelle, elle aussi, à une « riposte diplomatique ». Cependant, la France ayant besoin des précieux laissez-passer consulaires pour expulser les étrangers qui se trouvent sur son territoire, il apparaît peu probable qu’une réaction diplomatique soit envisagée par l’exécutif. Pour l’heure, ni le ministère des Affaires étrangères, alerté par les syndicats, ni le ministère de l’Intérieur n’ont réagi à cette affaire.
++ WEBTUBE : Jeudi 23 novembre, dans une rue de Dublin, en Irlande, un homme a poignardé, sans la moindre raison, un groupe de femmes et d’enfants, faisant cinq blessés. C’est d’ailleurs un jeune héros français qui l’a maîtrisé, un petit Gaulois de 17 ans. Après Henri à Annecy, ça va devenir une spécialité française, de sauver les innocents. Soyons-en fiers. La suite de l’article ci-dessous :
Alan Loren-Guille, héros 🇫🇷 qui a désarmé l’assaillant au couteau hier après-midi en Irlande. Bravo à ce jeune de 17 ans qui n’a écouté que son courage pour stopper un criminel qui venait de poignarder une femme, un homme et trois enfants dont une fillette âgée de 5 ans. Ce… pic.twitter.com/95IoLlYcSr
L’auteur de cette attaque sanglante ? The Irish Times parlait, jeudi soir, d’une personne naturalisée irlandaise et vivant dans le pays depuis vingt ans. Ce vendredi soir, Newsweek indique que le suspect serait un Algérien et qu’il est actuellement interrogé par la police.
En réaction, des manifestations spontanées ont éclaté à Dublin et tourné à l’émeute. Des voitures et même un centre d’hébergement de clandestins ont été brûlés. L’Irlande silencieuse a crié « Les migrants dehors ! » Comme l’a souligné Sébastien Ferjou, les manifestants ou émeutiers ont immédiatement été catalogués : « des hooligans ». En revanche, rien sur l’identité de l’agresseur…
Selon la chef de la police🇮🇪, l’émeute ayant secoué #Dublin en réaction à une attaque au couteau c/des enfants est due à “des hooligans déments motivés par une idéologie d'ext-droite”
L’identité de l’attaquant, elle, n’a fait l’objet d’aucun commentaire… https://t.co/VzL4HoC2Mb
Pourquoi, ce jour-là précisément, Dublin s’est-elle enflammée ? La réponse serait peut-être à chercher du côté d’un certain ras-le-bol, non ? La civilisation moderne est une invitation à la déprime et à l’anesthésie. Elle nous rend, si nous n’y prenons pas garde, tristes, hargneux, dégoûtés, bouillonnants d’impuissance et écrasés par le politiquement correct. Beaucoup de « braves gens » pourraient s’approprier le monologue de Tyler Durden dans Fight Club. La révolte des « petits » est imprévisible.
Leur Premier ministre a réagi à ces émeutes dans la presse irlandaise : il ressent de la « honte ».
Innocent children ruthlessly stabbed by a mentally deranged non-national in Dublin, Ireland today. Our chief of police had this to say on the riots in the aftermath. Drew, not good enough. There is grave danger among us in Ireland that should never be here in the first place, and… https://t.co/ac6j1GIjXD
Quoi qu’il en soit, il est peut-être en train de se passer quelque chose. Ainsi, Connor McGregor, le champion de MMA, a manifesté sa sympathie et son soutien à ses compatriotes. Il est même allé au-delà, sur X, puisqu’il trouve cela normal qu’on en ait assez de se faire tuer par des tordus qui n’ont de toute façon rien à faire là. Il considère que le juste châtiment pour l’auteur de l’attaque serait « la torture et la mort ». On lui laisse la responsabilité de ses propos. Et de conclure, en référence à la façon dont la police juge les manifestants (« des hooligans d’extrême droite ») : « Appelez ça comme vous voulez. Peu nous importe. Que Dieu nous bénisse tous. »
La même semaine, nous avons perdu le jeune Thomas, seize ans. Personne n’a rien brûlé. Nous sommes bien élevés. Ou peut-être, comme une lame de fond, la silencieuse colère des Français de souche commence-t-elle à monter des profondeurs d’un peuple méprisé, moqué, racketté, poignardé, et qui en a vraiment ras le bol.
++ WEBTUBE : Cette semaine, les sans-papiers vivent un enfer en France, la guerre des boutons fait rage et Séverine pourrit la vie des usagers du métro ! Retrouvez, chaque vendredi, le meilleur des perles politiques de la semaine !
++ WEBTUBE : L’islam est peut-être une religion de tolérance, de paix et d’amour, mais c’est la seule qui lance des fatwas invitant à décapiter ses contradicteurs. C’est ainsi que Geert Wilders vit sous protection policière depuis des années, 24 heures sur 24. La suite ci-dessous :
En 2004, le cinéaste Theo van Gogh a été assassiné par un islamiste et l’élue d’origine somalienne Ayaan Hirsi Ali a dû fuir le pays pour avoir dénoncé le danger de l’islam, comme système juridico-politico-religieux.
Mais face à l’intolérance et la violence, Geert Wilders n’a jamais reculé et a gardé ses convictions.
Il n’a rien de l’universitaire bardé de diplômes. À 18 ans, il est parti dans un kibboutz pour en revenir très pro-israélien. En fait, Geert Wilders est le Trump hollandais et on comprend que sa victoire donne des sueurs froides à Bruxelles et aux apôtres du multiculturalisme débridé.
Wilders est un anti-tout, c’est donc un véritable épouvantail pour l’UE
Il est le candidat anti-islam, anti-immigration, anti-UE, anti-mondialisme, anti-écologie punitive, anti-wokisme, anti-LGBT, anti-Ukraine. Bref, il est le candidat populiste odieux, raciste et islamophobe, le contre-modèle absolu de l’européiste intégriste. En résumé, le contre-modèle de Macron.
Il est clair que la tragédie du 7 octobre et les abominations commises par le Hamas, accompagnées par des manifestations pro-palestiniennes, ont donné un coup de pouce à sa candidature. Son parti, le PVV, remporte 37 sièges sur 150. La patience a payé, après 17 ans de combat face à la dictature bien-pensante.
Évidemment, s’il veut devenir Premier ministre, il devra composer et faire des concessions. Plus question d’interdire le Coran ou les mosquées, plus question de sortir de l’Union pour l’instant.
Il n’est pas favorable à l’aide à l’Ukraine et veut réarmer son pays. La sagesse même quand on voit le naufrage de la politique russophobe actuelle, menée par ces crétins d’Européens, qui veulent nous faire croire que l’ours russe est une menace pour l’Europe.
En coulisses, Geert Wilders essaie de monter une coalition de droite en lissant son discours.
“Si je deviens Premier ministre, je le serais pour tous les Néerlandais, quelle que soit leur identité, leur sexe ou leur religion”
La majorité absolue est à 76 sièges, il lui en manque une quarantaine. C’est donc jouable.
À la lumière de ce scrutin, on mesure l’exaspération des peuples européens qui se sentent peu à peu dépossédés de leur pays et surtout, qui se voient abandonnés par les dirigeants en place, tous des mondialistes illuminés, ivres de multiculturalisme malgré l’échec de l’intégration et le naufrage incontestable du vivre-ensemble.
L’Europe roule vers des conflits interconfessionnels dévastateurs, mais refuse la cruelle réalité. Elle nie ses erreurs et préfère se vautrer dans une russophobie démentielle, en faisant la guerre à une nation blanche et chrétienne qui ne demandait qu’à intégrer l’Europe en 1991.
On n’a jamais vu pareil suicide collectif au cours de l’histoire. Ce ne sont pas les Russes qui veulent envahir l’Europe, mais c’est l’islam conquérant que nos élus caressent dans le sens du poil au cri de “pas d’amalgame”. Puisse l’exemple hollandais faire boule de neige en Europe et réveiller tout un continent qui creuse sa tombe sans le savoir, persuadé que la civilisation occidentale est éternelle.
++ WEBTUBE : C’est terminé, l’Union européenne vient de franchir le Rubicon en votant la création d’un « État européen ». Comprenez bien qu’en prenant cette décision, l’UE vient de décider que cet État européen va se substituer à toutes les nations existantes, membres de l’Union européenne. Cette forfaiture vient d’être commise avec les voix de TOUS les macronistes.
Article complet :
C’est terminé, l’Union européenne vient de franchir le Rubicon en votant la création d’un « État européen ». Comprenez bien qu’en prenant cette décision, l’UE vient de décider que cet État européen va se substituer à toutes les nations existantes, membres de l’Union européenne.
Cette forfaiture vient d’être commise avec les voix de TOUS les macronistes.
Lorsque ces mesures seront mises en place, les pays de l’UE ne seront plus que des « régions » ou des « provinces » mais plus des États à part entière. Les conséquences de cette révolution, car c’en est une, sont incalculables.
Ne tournons pas autour du pot. N’ayons pas peur d’utiliser les mots appropriés, nous assistons en direct à un authentique coup d’État.
Parmi les principales mesures (liste non exhaustive), voyons celles qui sont les plus importantes :
La prise de décision à l’unanimité des États membres devient l’exception. Le vote à la majorité simple ou qualifiée la règle.
On rappellera à ce sujet que c’est le général De Gaulle en 1966 qui a imposé le vote des États membres à l’unanimité sur les questions importantes (Accord de Luxembourg). Il l’a obtenu en pratiquant la politique de la « chaise vide » en réponse à Walter Hallstein qui voulait imposer son projet d’Europe fédérale. À l’époque, De Gaulle avait obtenu gain de cause, et même le départ de Walter Hallstein en 1967.
On assiste au retour du même projet, mais en bien pire que ce que prévoyait Hallstein en 1966.
Création d’une fonction de « Président de l’Union européenne » en remplacement des présidents du « Conseil européen » et de la Commission européenne » qui est elle-même remplacée par un « exécutif ».
La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée.
Qui est assez naïf pour croire que le président ou le dirigeant d’un pays membre pourra encore prendre des décisions dans le cadre de la souveraineté et l’indépendance nationale de chaque pays ? L’UE annonce la mise en place d’un exécutif qui va se substituer à tous les pouvoirs nationaux.
Les dirigeant de chaque pays ne seront plus que les exécutants des décisions de l’exécutif européen.
La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée.
Création d’une “union de la défense” dotée de “capacités militaires” sous le “commandement opérationnel de l’UE” qui peut acquérir des armes au nom de l’UE ainsi que la constitution d’une véritable armée de l’UE.
L’arme nucléaire française va-telle être mutualisée ou cédée à l’exécutif européen qui serait le seul à avoir les codes de mise à feu ?
Et le siège de la France au Conseil de sécurité de l’ONU va-t-il être donné à l’UE ?
Mise en place d’un mécanisme de défense collective : une attaque contre un État membre de l’UE est considérée comme une attaque contre tous ses États membres
L’UE pourra avoir recours à des moyens civils et militaires contre… les campagnes de désinformation.
C’est une véritable dictature qui est en train de se mettre en place. Sera qualifié de « désinformation », et donc poursuivi, tout ce qui sera contraire à la doxa. Le délit d’opinion et les procès politiques vont devenir la règle et la démocratie, un lointain souvenir.
Les compétences de l’Europe ne sont plus partagées.
Jusqu’à maintenant, il y avait trois types de compétences. Les compétences exclusives de l’Europe, les compétences partagées (qui en fait n’existaient pas puisque c’étaient celles sur lesquelles elle n’avait pas légiféré ou dont elle ne voulait pas s’occuper. Mais dès qu’elle s’en occupait, ces compétences devenaient exclusives). Enfin il y avait les compétences appartenant à chaque État.
Même ces dernières sont supprimées. Donc l’UE devient décisionnaire sur tous les domaines. Et chaque État est tenu d’appliquer ce que l’UE aura décidé.
La politique commune migratoire devra tenir compte de la stabilité économique et sociale des États membres et répondre aux besoins de mains-d’œuvre du marché unique.
Nos dirigeants sont de bons petits caniches obéissants. Ils connaissaient ce souhait de l’Europe et sont déjà en train de le mettre en œuvre. Cela s’appelle l’immigration choisie pour répondre aux « métiers en tension ».
Création d’un “État d’urgence” européen : le Parlement européen, à la majorité simple, avec le Conseil européen, à la majorité qualifiée, pourront donner des pouvoirs extraordinaires à la Commission (l’exécutif).
Et la cerise sur le gâteau, c’est la possibilité de mettre en place un état d’urgence. Comprenez, si les peuples se mettaient dans la tête de se rebeller, l’UE pourrait employer la force pour les mâter.
Il y a quelques décennies, c’était les communistes qui avaient mis en place, dans le cadre du Pacte de Varsovie, ce type de système. À l’époque les pays de l’Ouest appelaient cela une dictature.
Aujourd’hui les mêmes pays de l’Ouest mettent en place un système identique. Mais comme c’est à « l’Ouest », on est prié d’appeler cela… la démocratie.
On n’oubliera pas non plus les GOPÉ, c’est à dire les Grandes Orientations des Politiques Économiques qui sont imposées chaque année à chaque pays et qu’il est tenu d’appliquer sous peine de sanctions économiques très lourdes (0,1 à 0,5 % du PIB). Ne pensez pas que c’est insignifiant. Le PIB de la France est d’environ 2 800 milliards d’€. Donc 0,5 % c’est 14 milliards d’€. Pour mémoire c’est le montant du déficit du régime de retraite qui a été le justificatif de Macron pour faire sa réforme des retraite.
Avec les GOPÉ on comprend que les discussions sur les politiques à conduire dans chaque pays sont des blagues. C’est l’Union européenne qui pilote depuis des années et les élus ne font qu’appliquer ce que l’UE a décidé. Même la France Insoumise (Manon Aubry) l’a reconnu en déclarant en mars 2023 que la réforme des retraites (64 ans) étaient noir sur blanc dans les GOPÉ de la France et que Macron ne faisait qu’appliquer ce que l’UE avait décidé.
Cette fois-ci tous les peuples d’Europe sont au pied du mur :
Soit l’UE impose son projet et c’est clairement une dictature qui va s’imposer à tous.
Soit les peuples d’Europe se révoltent et font voler en éclat cette construction machiavélique et diabolique qui s’appelle l’Union européenne.
Pour conclure, l’affaire est tellement importante qu’il me paraît impossible que l’UE décide de passer en force c’est-à-dire refuse de consulter les peuples des pays membres par référendum.
Si l’UE refuse d’organiser ce référendum, il faut engager immédiatement le combat pour imposer ce référendum. Sinon, c’est que nous acceptons la dictature et il ne faudra plus se plaindre de rien.
Je rappelle, et ce n’est pas un détail, qu’à part le Parlement européen (qui n’a quasiment aucun pouvoir) personne n’est élu parmi les dirigeants de l’Union européenne. Et pourtant ils imposent leurs volontés à près de 500 millions de personnes.
Il est absolument vital de sortir… et vite de ce système entièrement dictatorial.
Un dernier mot pour signaler que j’ai écrit un livre sur l’Union européenne qui reprend tous ces points et expose pourquoi il faut en sortir au plus vite.
Il sort dans les premiers jours de décembre. Il est publié chez Synthèse Nationale.