++ WEBTUBE : Mercredi 22 novembre, plus de 6.000 personnes se sont rassemblées à Romans-sur-Isère pour rendre hommage à Thomas, ce jeune adolescent rugbyman de 16 ans, sauvagement agressé et tué lors d’une soirée à Crépol. Pour BV, Jordan Florentin s’est rendu à la marche blanche où il a pu recueillir les témoignages poignants de sa famille et de ses proches, dont son meilleur ami. Des anonymes lui ont aussi fait part de leur colère.
++ WEBTUBE : La fête chrétienne de Saint-Nicolas est décidément bien chahutée en Europe ces derniers jours. Aux Pays-Bas, une manifestation contre le personnage de « Pierre le Noir » en raison de son visage grimé de noir a provoqué des affrontements avec la population locale. « Blackface », Saint-Nicolas et affrontements aux Pays-Bas. La suite ci-dessous :
« Blackface », Saint-Nicolas et affrontements aux Pays-Bas
Comme prévu, la propagation de la terreur woke dans différents domaines associée à une proportion de population d’origine extra-européenne de plus en plus importante dans la plupart des pays d’Europe de l’Ouest tiennent toutes leurs promesses…
En raison du calendrier, c’est la traditionnelle fête chrétienne de la Saint-Nicolas, célébrée le 6 décembre, qui a fait l’objet de critiques dans différents états européens ces derniers jours. Dernier délire gauchiste en date, celui survenu aux Pays-Bas samedi 18 novembre dans le village de De Lier, situé au sud du pays tandis qu’en Hollande, plusieurs villes ont célébré l’arrivée annuelle de Saint-Nicolas le week-end dernier.
Dans le village en question, des manifestants avaient organisé un rassemblement afin de dénoncer la présence du personnage de Zwarte Piet (« Pierre noir», en français), compagnon de la Saint-Nicolas dont l’incarnation par un individu au visage grimé de noir (pratique appelée « Blackface ») vaut désormais accusation de racisme pour les ethno-masochistes d’extrême-gauche. Qui n’avaient pas oublié de repeindre le tambour accompagnant leur manifestation aux couleurs du drapeau palestinien…
Après Black Lives Matter, un ethno-masochisme accru
S’il ne s’agissait pas du premier mouvement d’opposition au personnage de Zwarte Piet organisé en Hollande, la population locale a cette fois décidé de réagir. Plutôt vivement d’ailleurs, lorsque des centaines de personnes ont lancé divers projectiles sur ces manifestants « antiracistes », y compris les feux d’artifice et des fumigènes. Une altercation qui a nécessité une intervention de la police.
Quant aux trouble-fêtes gauchistes, le rassemblement en question a été organisé à l’appel du collectif «Kick Out Zwarte Piet » (« Jetez Zwarte Piet Dehors »), créé en 2011. Un groupe déjà rompu à l’organisation de ce type de manifestations et faisant parler de lui chaque année aux Pays-Bas pour dénoncer cette tradition qu’il considère comme « un vestige de l’époque coloniale », précise le journal français Libération.
Ce dernier soulignant par ailleurs que la pression exercée par l’extrême-gauche hollandaise pour que disparaisse ce personnage traditionnel de la Saint-Nicolas s’est accrue depuis les manifestations du mouvement Black Lives Matter à l’été 2020. Mouvement qui a été depuis au cœur de nombreuses polémiques, y compris financières.
Saint-Nicolas menacé en Autriche et en Belgique
Cette affaire hollandaise intervient quelques jours seulement après une autre polémique dont nous nous sommes faits l’écho, cette fois en Autriche, où la traditionnelle visite de Saint-Nicolas le 6 décembre aux enfants d’un jardin d’enfants à Plainfeld a été remise en question pour la première fois. Le motif invoqué par la directrice de l’établissement ? La protection des enfants issus de l’immigration des traditions ayant une référence chrétienne. Ce qui a provoqué l’indignation des parents et du maire.
Quelques jours plus tôt, c’était au tour du maire socialiste du quartier Saint-Gilles, à Bruxelles (Belgique), de partager l’une de ses idées lumineuses : renommer Saint-Nicolas en Sidi Nicolas, perspective qui représenterait selon lui « un moyen de trouver un lien avec la communauté musulmane de la commune », cette dernière voyant résider « beaucoup de personnes […] originaires du Maroc. »
Et de conclure sans rire que, pour lui et ses élus, « Saint-Nicolas doit être respectueux de l’environnement, respectueux des cultes et intersectionnel. Le Père Fouettard a d’ailleurs été viré depuis longtemps ». Breizh-info.com
++ WEBTUBE :Un peu de légèreté au milieu de ces informations indigestes…. avec Raymond Devos. RIEN à dire, c’est génial ! Vous comprendrez en regardant le skectch
++ WEBTUBE : Jusqu’où notre pays va-t-il sombrer avant que les gens ne finissent par comprendre en acceptant d’ouvrir les yeux et de voir la réalité telle qu’elle est ? Il faut dire que, sur ce plan, par les temps qui courent, on atteint des sommets… Par exemple, le petit Thomas tué à coups de couteau par des racailles de cité. Il faisait du rugby. C’était même le capitaine de l’équipe junior de Romans-sur-Isère, parait-il. Je me souviens qu’en 2022 un certain Antoine Dupont, joueur de rugby et capitaine lui aussi, mais de l’équipe de France, avait trouvé opportun de signer un appel pour faire barrage au RN de Marine Le Pen au 2e tour de l’élection présidentielle afin d’empêcher le fascisme de submerger notre pays.Et là, pour l’assassinat de Thomas, Antoine Dupont n’a visiblement rien à dire. Du moins s’il dit quelque chose c’est très discrètement et il ne souhaite visiblement pas que ça se sache. Contrairement à l’an dernier.L’article complet ci-dessous :
Jusqu’où notre pays va-t-il sombrer avant que les gens ne finissent par comprendre en acceptant d’ouvrir les yeux et de voir la réalité telle qu’elle est ?
Il faut dire que, sur ce plan, par les temps qui courent, on atteint des sommets…
Par exemple, le petit Thomas tué à coups de couteau par des racailles de cité. Il faisait du rugby. C’était même le capitaine de l’équipe junior de Romans-sur-Isère, parait-il.
Je me souviens qu’en 2022 un certain Antoine Dupont, joueur de rugby et capitaine lui aussi, mais de l’équipe de France, avait trouvé opportun de signer un appel pour faire barrage au RN de Marine Le Pen au 2e tour de l’élection présidentielle afin d’empêcher le fascisme de submerger notre pays.
Et là, pour l’assassinat de Thomas, Antoine Dupont n’a visiblement rien à dire. Du moins s’il dit quelque chose c’est très discrètement et il ne souhaite visiblement pas que ça se sache. Contrairement à l’an dernier.
Il y en a un autre. Kylian M’Bappé, une perle aussi celui-là. Quand c’est une petite racaille de banlieue avec déjà un beau casier judiciaire à 17 ans qui se fait tuer, c’est un « petit ange qui nous a quittés ».
Mais quand c’est Lola, Enzo ou Thomas, là pas un mot. Il est muet le Kylian et il regarde ailleurs.
Quant à la presse de « gôche », dignement représentée par l’immonde journal Le Monde, voilà ce que ce journal écrivait hier en tête de son article sur le sujet :
« Alors que l’extrême droite et une partie de la droite se sont emparées du drame en associant insécurité et immigration, les organisateurs de la marche ont appelé à un rassemblement « apolitique par respect pour la famille ». Élisabeth Borne a également appelé à la « décence » et à la « retenue » mercredi ».
Là, avec cet article, on apprend trois choses :
« L’extrême-droite et une partie de la droite » font de la récupération politique en dénonçant l’assassinat de Thomas. Ce n’est pas écrit mais c’est ce qu’ils pensent : ça fait le jeu du RN donc des « fascistes ».
À l’inverse, Élisabeth Borne appelle à la retenue et la décence (mais bien sûr elle ne fera pas observer une minute de silence à l’Assemblée nationale).
Il n’y aurait pas de lien entre insécurité et immigration. Pourtant, même Darmanin et Macron reconnaissent qu’il y a un lien. Seul Le Monde feint de l’ignorer.
Quand c’est Lola, Enzo ou Thomas, il faut avoir de la retenue et de la décence. Il ne faut pas dénoncer les racailles de banlieue qui tuent nos jeunes à coups de couteau. Sinon ça stigmatise une partie de la population et de plus c’est raciste et islamophobe puisque les auteurs sont essentiellement d’origine immigrée et musulmane pour la plupart.
Donc si vous n’avez pas cette attitude, c’est que vous roulez pour les fachos.
C’est curieux, mais quand il s’agissait de Nahel Merzouk, la petite crapule de Nanterre, Le Monde n’avait pas du tout tenu le même discours. C’était même exactement l’inverse et son tapage médiatique a duré des jours.
La récupération politique et l’indécence qu’il dénonce aujourd’hui, cela ne lui posait aucun problème à l’occasion de la mort de Nahel.
Ajoutons aussi que même la présentation de la page contenant l’article d’hier était parlante à elle seule.
En haut, il y avait l’article sur Thomas. Et en bas de la même page, sur une surface représentant presque la moitié de la page, un article sur le coup de cutter reçu par le jardinier provocateur dans le 94.
En décodant, cela signifie pour Le Monde que ces deux faits sont aussi représentatifs l’un que l’autre.
Peut-on être plus malhonnête ? Pour un coup de cutter qui n’a que blessé, combien de morts tués comme Thomas à coups de couteau par des racailles de cité, à travers tout le pays ? On rappelle qu’il y a 120 à 140 coups de couteau par jour en France. Il y a donc tous les jours des morts. Mais pour Le Monde, il y aurait autant de violence contre les immigrés que contre les Français !
Pauvre journal Le Monde. Il est loin le temps d’Hubert Beuve-Méry. Le journalisme qu’il pratique aujourd’hui, ce n’est pas de l’information, c’est de la propagande et les journalistes qui produisent ce type d’articles sont des plumes prostituées à la bien-pensance.
Quant à Mme Borne, je n’ai pas souvenir de l’avoir entendu déclarer aux émeutiers de juin qu’il fallait de la retenue et de la décence face à la mort de Nahel Merzouk.
Tous ces responsables politiques et journalistes ont des indignations et des discours à géométrie variable qui sont proprement insupportables.
Parlons maintenant de l’antisémitisme. Là aussi ce que nous voyons est stupéfiant.
Depuis le 7 octobre c’est un déchaînement contre les Juifs en France. Ce qui est déjà en soi extraordinaire puisque que ce sont eux les victimes des épouvantables massacres en Israël par les terroristes abjects du Hamas.
D’habitude, si j’ose dire, il y a en France 400 actes antisémites par an. Là, depuis le 7 octobre, en un peu plus d’un mois, il y a eu plus de 2.000 actes antisémites. C’est-à-dire 60 fois plus en seulement un mois !
On remarquera d’abord que si le ministère de l’Intérieur donne ces chiffres, il se garde bien de compléter notre information en disant qui sont les auteurs de ces actes antisémites, car il y a bien eu des arrestations et des mis en cause. Donc, ils savent.
Alors, à votre avis, pourquoi les auteurs ne sont-ils pas clairement désignés. Je vous laisse chercher…
Au passage on me permettra de rappeler, parce que j’en ai par dessus la tête d’entendre des gens malhonnêtes ou incultes dire qu’il faut soutenir les Palestiniens victimes d’Israël et que le Hamas serait constitué de respectables « combattants »…
Depuis 1947, l’ONU a voté et proposé une solution à deux États. Israël a accepté. Pas les Palestiniens. Et dès 1949 la première guerre a été déclenchée contre Israël par les pays arabes. L’affrontement dure depuis.
Est-il besoin de rappeler que l’OLP et le Hamas veulent la destruction de l’État d’Israël ? Ils ne veulent nullement une solution à deux États. Donc soutenir aujourd’hui le combat des Palestiniens est synonyme de soutenir le combat pour la destruction d’Israël.
Quant au Hamas, ses deux principaux dirigeants vivent tranquillement au Qatar, leur pourvoyeur de fonds, et y possèdent des comptes contenant des milliards. Argent détourné, pour eux et leurs familles, des versements effectués par de nombreuses structures dont l’Union européenne afin d’aider les « Palestiniens ».
C’est aussi le Hamas qui a chassé l’OLP (OLP qui est principalement en Cisjordanie aujourd’hui) de Gaza à coups de fusil et fait régner la terreur parmi les Gazaouis qui ne soutiennent pas ses vues terroristes vis-à-vis d’Israël. Le Hamas est un cancer et c’est pour cela qu’il n’est d’autre solution que de l’éradiquer.
En soutien aux Juifs et à l’État d’Israël après les massacres du 7 octobre, une marche contre l’antisémitisme a été appelée à Paris par Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale et Gérard Larcher, président du Sénat.
Évidemment on n’a pas échappé à la minable discussion sur le sujet : faut-il accepter la présence du RN à cette marche ? Comme cela avait déjà été le cas pour l’enterrement de Mireille Knoll, une vieille dame juive, tuée sauvagement à Paris par un musulman au cri de « Allah Akbar ».
Comment se fait-il que les représentants des organisations juives en France ne comprennent pas que le RN n’est absolument pas leur ennemi ? Bien au contraire.
Leur ennemi, il est à gauche et dans les banlieues.
Banlieues d’où les Juifs ont été chassés. L’ont-ils oublié ? Et par qui ont-ils été chassés ?… Par le RN ?
Les responsables de la communauté juive feraient bien de réfléchir sérieusement au fait que lorsque la question de la présence du président de la République à cette marche contre l’antisémitisme a été posée, le célèbre Yacine Belattar (condamné par un tribunal pour menaces de mort et de crime) a été invité à l’Élysée afin de conseiller le président sur la conduite à tenir. C’est déjà totalement extravagant que le président considère qu’un tel individu puisse le conseiller, mais quand on prend connaissance du conseil qu’il a dispensé, on en reste pantois. Même s’il est stupéfiant, son conseil a été des plus clairs : « N’allez pas à cette manifestation, sinon cela va déplaire et ça risque de faire s’enflammer les quartiers ».
Et le président est courageusement resté à l’Élysée ! Ne pas déplaire aux quartiers, ça c’est important… !
Mais pourquoi Emmanuel Macron a-t-il peur « d’enflammer les quartiers » ?
Tout simplement parce qu’il se souvient des émeutes de juin et surtout il sait deux choses :
Selon Florence Bergeaud-Blackler (chercheuse au CNRS) il y aurait entre 10 et 12 millions de musulmans en France, alors que le chiffre officiel annoncé est de seulement 6 millions. Donc deux fois plus en réalité. Macron connaît, lui, le vrai chiffre.
De plus, Emmanuel Macron sait que dans tous ces quartiers il y a une multitude d’armes de guerre.
Alors il est terrorisé à l’idée que les émeutes de juin ne recommencent, mais que cette fois les émeutiers aient des armes. S’il y a bien 10 à 12 millions de musulmans répartis sur tout le territoire et s’ils déclenchent des émeutes armées dans tout le pays, il n’y aura pas assez de policiers, de gendarmes et de militaires pour rétablir l’ordre.
Alors le président reste sagement dans son palais afin de ne pas enflammer « la rue arabe » ou les quartiers.
Reste que cette anecdote est riche d’enseignements.
Le plus important étant que l’antisémitisme vient principalement des populations immigrées vivant dans les quartiers.
Tous ceux, comme Boualem Sansal, qui connaissent ce type de populations savent et disent que dès leur plus jeune âge, ils sont biberonnés à la haine du Juif. Ensuite il suffit d’un événement ou d’un prétexte pour que cet antisémitisme s’exprime.
On en a un exemple frappant avec les chauffeurs de taxis parisiens. Parmi eux, il y en a de nombreux venus depuis l’autre côté de la Méditerranée.
Après les événements du 7 octobre, le Canard Enchaîné a rapporté qu’un chauffeur de taxi, à l’aéroport, a refusé de prendre en charge une famille arrivant d’Israël en les traitant de « sales Juifs ». Et d’ajouter « De toute façon, si je vous avais pris, je vous aurais égorgés ». La famille a refusé de porter plainte par peur des représailles. Telle est la France de 2023.
Aux dernières nouvelles, ce cas serait loin d’être un cas isolé…
Et que va-t-il se passer à l’avenir ?
Bien malin celui qui pourrait décrire par le détail ce que seront les événements à venir.
Par contre on peut affirmer sans peur de se tromper que la lâcheté des autorités va amener le pays à changer certaines pratiques.
Ainsi, il y a fort à parier que les prochaines fêtes dans les bourgades de campagne et même en ville vont voir la population mettre en place des « comités d’accueil » afin de ne pas revivre ce qui s’est passé à Crépol.
À la campagne, il y a beaucoup de chasseurs. Il n’est donc pas impossible que quelques fusils soient de sortie sur place les jours de fête… au cas où.
Et statistiquement, c’est une certitude, un jour ils serviront.
Ce jour-là on aura franchi une étape de plus. Au bout du compte, la généralisation de ce type d’événements porte un nom : la guerre civile. Je crois malheureusement qu’elle est inévitable, principalement – comme je le disais – à cause de l’incroyable lâcheté de tout le personnel politique.
Tous ces responsables savent que l’immigration incontrôlée qui submerge notre pays est incompatible avec notre société et notre mode de vie.
Mais comme ils n’ont pas le volonté d’y mettre un terme, et souvent aussi la trouille, ils nous demandent de « vivre-ensemble » ce qui est impossible du fait de la trop grande différence entre nos populations.
N’oublions jamais ce que disait le général De Gaulle :
« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France.
Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »
Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants.
Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français.
Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ?
Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcheriez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ?
Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées. »
Et pour notre malheur, les chiffres indiquent selon Florence Bergeaud-Blackler qu’il y a déjà entre 10 et 12 millions de musulmans en France. Et ce chiffre ne fait qu’augmenter…
++ WEBTUBE : J’ai tenu à me rendre dans la cité des agresseurs et assassins de #Thomas, le quartier de la Monnaie. Pour ceux à gauche qui doutent encore du profil de ces « chances pour la France », je vous invite à visionner les 18 minutes de notre reportage : https://youtu.be/Fw_3TxNxMFQ#Crepol
J’ai tenu à me rendre dans la cité des agresseurs et assassins de #Thomas, le quartier de la Monnaie. Pour ceux à gauche qui doutent encore du profil de ces « chances pour la France », je vous invite à visionner les 18 minutes de notre reportage : https://t.co/IHKGaTIFI6#Crepolpic.twitter.com/ThnMMuoZLX
++ WEBTUBE : Russie, un ado lance un cocktail Molotov sur un bureau de recrutement : 6 ans de prison. En France, on ne compte plus le nombre de commissariats attaqués par des bandes de mineurs qui ne sont jamais condamnés. Certains en sont à leur énième rappel à la loi et rient au nez des juges, qui préfèrent se coucher misérablement. Par conséquent, il est impossible de combattre l’insécurité sans réponse pénale dissuasive. La violence quotidienne, notre justice laxiste la cultive.La suite ci-dessous :
Certains objecteront que 6 ans dans une “colonie éducative”, c’est cher payé. Certes, mais en Russie ce ne sont pas les policiers et les juges qui ont peur, mais les racailles. Ce qui est certain, c’est que ce jeune rebelle n’aura pas l’occasion de récidiver pendant 6 ans.
Rappelons qu’en France, 100 000 peines de prison ferme ne sont pas exécutées faute de place dans les établissements pénitentiaires. Macron avait promis 15 000 places de prison supplémentaires, à peine 2 000 ont vu le jour.
La cible privilégiée des juges de gauche, c’est l’extrême droite et surtout les policiers, toujours lourdement condamnés. Le peuple français subit 3 000 agressions gratuites par jour (pour 1 000 déclarées) qui restent quasiment impunies. Il ne faut donc pas s’étonner que la criminalité ait quintuplé depuis 1960 et que la France soit devenue le pays le plus dangereux d’Europe.
Même dans le petit village le plus reculé, on risque sa peau, comme on l’a vu à Crépol. Mais ce ne sont pas les marches blanches, ni les fleurs et les bougies qui rétabliront la sécurité.
Nos jugent ne connaissent que le mot réinsertion, qu’ils placent bien avant la sanction.
Récemment, un mineur au volant d’une voiture volée a traîné un policier sur 20 mètres après un refus d’obtempérer. Verdict : 35 heures de travaux d’intérêt général, alors que le policier garde des séquelles cérébrales. Imaginons la situation inverse, le mineur victime du policier avec les mêmes séquelles… Il y a donc bien une volonté de l’État de détruire le quotidien des Français. Le pouvoir et les juges n’ont que mépris pour les forces de l’ordre.
Ils ont fait des droits de l’homme et de nos valeurs humanistes à sens unique une véritable mise en danger de la vie d’autrui. On ne compte plus les innocents victimes de récidivistes laissés en liberté.
Mais retournons en Russie. Je cite le blog Telegram de Boris Karpov :
Un adolescent qui a lancé un cocktail Molotov sur le bureau d’enregistrement et d’enrôlement militaire a été envoyé dans une colonie éducative pendant 6 ans.
Le 1er tribunal militaire du district occidental de Saint-Pétersbourg a condamné Egor Balazeikin, lycéen de 17 ans, à six ans de prison pour « tentative d’attentat terroriste », rapporte Novaïa Gazeta. L’Europe.
Tout empire puisqu’il n’y a plus d’État. C’est un Poutine dont la France a besoin car nous roulons vers l’abîme. Il suffit de comparer :
France : un mineur au volant d’une voiture volée, refuse d’obtempérer et traîne un policier sur 20 mètres, lequel gardera des séquelles à vie = 35 heures de TIG.
Russie : un mineur lance un cocktail Molotov sur un centre de recrutement : 6 ans de colonie éducative.
++ WEBTUBE : Les chefs de la gendarmerie ne communiquent rien, même à leurs adjoints. Sur les prénoms des suspects, les gendarmes ont tout bloqué entre eux. “C’est vraiment inquiétant cet aveuglement. C’est reculer pour mieux sauter. Tôt ou tard, ils devront donner les infos”, confie une source gendarmerie. “En même temps, ça veut dire que ce sont des Maghrébins, traduit une source policière. S’ils s’appellaient Patrick, Roger ou David, on le saurait déjà.”
🔴 Attaque de #Crepol : des consignes ont été passées pour imposer "un blackout total", indiquent des sources sécuritaires à @Valeurs.
Les chefs de la gendarmerie ne communiquent rien, même à leurs adjoints. Sur les prénoms des suspects, les gendarmes ont tout bloqué entre eux.…
Mercredi matin, en marge du Conseil des ministres, Gérald Darmanin montre à l’un de ses collègues les noms des suspects placés en garde à vue la veille, après l’attaque au couteau à Crépol. «Ils sont français, mais pas un seul n’a un nom à consonance française, confie après coup ce ministre en soupirant. Vous verrez ce que ça suscitera dans le pays… Cette affaire traumatise légitimement nos compatriotes. Il faut remettre des règles et de l’ordre, sinon le pays partira à vau-l’eau.»
Une ligne de dramatisation et de fermeté qui n’est pas partagée par tous dans l’exécutif. Une fois encore, le pouvoir renvoie l’impression de ne pas savoir sur quel pied danser face à ces affaires criminelles qui tournent rapidement à l’affaire politique.