++ WEBTUBE :Toujours ce bon vieil adage : “Faites ce que je dis pas ce que je fais”. Je croyais que l’Allemagne était le bon élève de l’Europe ? Non seulement on paie notre électricité beaucoup plus cher à cause des Allemands mais en plus ils vont polluer encore un peu plus avec l’utilisation du lignite pour produire leur électricité… Et on laisse faire sans rien dire !C’est sûr l’Union Européenne c’est trop bien… Surtout pour les Allemands.
Le géant allemand de l’énergie RWE a commencé le démantèlement d’un parc éolien pour permettre l’expansion d’une mine de lignite à ciel ouvert dans la région occidentale de la Rhénanie du Nord-Westphalie.
Une éolienne a déjà été démantelée, et sept autres devraient l’être pour extraire 15 à 20 millions de tonnes supplémentaires de ce qu’on appelle le « lignite », la source d’énergie la plus polluante.
++ WEBTUBE :Politicard ringard issu du parti socialiste aujourd’hui moribond et qui cherche à se refaire une beauté en allant chercher des voies du côté des musulmans. Mélenchon est loin d’être bête mais il sacrifie les fondamentaux qui font de la France ce qu’elle est pour laisser la culture musulman nous envahir. Cet homme est à combattre.
L’article de BV :
Quelques esprits taquins exhument des archives télévisuelles un Jean-Luc Mélenchon remonté contre le voile intégral. Traitement dégradant, provocation, obscène. Le plaidoyer se déroule sur le plateau de Laurent Ruquier en 2010.
« Le voile est dégradant et c’est une provocation de certains intégristes contre la République. Je suis pour son interdiction ».
Treize ans plus tard, ne dites pas à Jean-Luc Mélenchon qu’il milite pour le port d’un signe religieux à l’école. Les dirigeants de la station-service où La France insoumise fait le plein d’électeurs ont déclaré que l’abaya n’était qu’une « espèce de mode ». En ces temps fragiles de préélections, la parole du Conseil français du culte musulman est d’or. En treize années, le tissu enveloppant les jeunes lycéennes s’est mué en une robe tendance, voire méga-branchée, limite olé olé. Epaté par cette révélation, le chargé de clientèle de LFI a décroché son téléphone pour interroger un imam : « Pensez-vous qu’il existe un lien entre une mosquée et l’islam ? » Pétri d’inquiétude, Manuel Bompard s’est saisi de l’appareil : « La collection automne-hiver est-elle plutôt fourrure ou dentelles ? » Les archéologues des médias en sont pour leurs frais. À l’époque de l’épisode anti-voile chez Ruquier, la soumission n’était pas à la mode. L’heure n’est plus aux convictions républicaines. Jean-Luc Mélenchon sera le Karl Lagerfeld de la gauche. L’indicateur infaillible des tendances vestimentaires aux portes des lycées. L’épingle de couturier a remplacé le couteau entre les dents. Voici venir le tailleur de programme et sa machine à coudre les allégeances aux religions montantes.
À l’unisson, Mathilde Panot et Clémentine Autain dénoncent l’interdiction du port de l’abaya en milieu scolaire. Il s’agit d’une stigmatisation des « musulmans. Plus précisément des musulmanes. » Ouf ! La laïcité est sauve. Il ne s’agit que de « musulmanisme ». Une pratique fortement répandue chez les porteuses de robes longues. Un hobby passager comme le fut le Yo-Yo™ et dont Mélenchon est resté l’un des fervents adeptes. Dans sa version politique, le principe est amusant : la grosse ficelle s’enroule autour du parti et le voilà ligoté par son électorat.
Au sein de la boutique macroniste, la manœuvre anti-abaya fait son petit effet. L’hameçon calibré pour attraper du poisson hostile aux signes religieux à l’école est lancé. De ce côté de l’échiquier politique, la mode est à la pêche à la ligne. Les spécialistes assis au bord de l’eau sont formels : plus l’appât est gros, plus ça mord !
++ WEBTUBE : En matière de déplacement de population on ne peut pas faire tout et n’importe quoi. Il aura fallu plus de 40 ans pour s’en rendre compte…. et encore tout le monde n’est pas encore convaincu du problème. Qu’il est long le chemin….
Des décennies durant, le Canada a été donné en exemple pour sa politique migratoire ; pour le microcosme politico-médiatique s’entend. Pays de cocagne et miroir aux alouettes à la fois, cet ancien morceau de France préfigurait donc l’avenir, inclusif et bienveillant à la fois. Seulement voilà, malgré son immense surface, a priori propre à accueillir toute la misère du monde, le modèle babélien censé incarné la société à venir tendrait plutôt à avoir du plomb dans l’aile.
En effet, nous confirme Le Figaro du 28 août, l’immigration de masse ne serait pas forcément une chance pour nos lointains cousins. Le nombre d’immigrés y aurait doublé en dix ans, « passant de 259.000 en 2013 à 437.000 en 2022 ». Derrière cette véritable invasion, il y a évidemment des têtes « pensantes », soit le think tank L’Initiative du siècle, équivalent local de notre très socialiste Terra Nova, qui estime que « la croissance de la population canadienne est essentielle à la prospérité économique, l’inclusivité sociale et l’influence mondiale du pays ».
De fait, il serait donc question de « porter la population du Canada à 100 millions de personnes d’ici 2100, contre 39 millions actuellement ». Il va sans dire que Justin Trudeau, l’actuel Premier ministre, applaudit des deux mains. Certes, l’immigration de masse est désormais devenue phénomène planétaire. Chassés par la faim, les guerres civiles et les dérèglements climatiques, les habitants du sud de la planète vont se réfugier au nord de cette dernière. Devant un tel tsunami, il y a plusieurs manières d’envisager la question.
La première est celle des USA, dont l’afflux de population étrangères est quasiment gravé dans le marbre constitutionnel, puisque nation fondée sur cette même immigration ; fût-ce au prix du massacre des populations autochtones.
La seconde est celle des nations européennes, France et Angleterre, pour ne citer que des deux exemples emblématiques, qui payent aujourd’hui le tribut de l’ancien colonisateur aux peuples jadis colonisés. Mais, hormis chez quelques esprits enfiévrés, plus personne n’y estime que cette immigration puisse être une chance, étant depuis longtemps devenue problème à résoudre.
Canada, laboratoire expérimental ?
En revanche, le Canada, n’est pas entravé par ce passé colonial délicat à digérer, pas plus qu’il n’a les visées messianiques propres à son voisin états-unien. Et pourtant, il insiste et s’entête. Comme si le Canada était l’antichambre de ces dingueries sociétales à venir et déjà survenues. Comme s’il était le laboratoire du wokisme universitaire américain, cette minorité traînant plus bas que terre la majorité du pays. Pourtant, il y a aux USA des Donald Trump et des Ron DeSantis pour tirer la sonnette d’alarme. Mais dans la Belle Province, rien. Hormis un Mathieu Bock-Côté, essayiste québécois, mais dont le tocsin ne résonne qu’en nos contrées.
En attendant le réveil de conservateurs ?
L’ironie de toute cette affaire, c’est que les populations importées par millions n’ont que faire du traditionnel « vivre ensemble » canadien. C’est un défilé de turbans hindouistes et de voiles islamiques. Mais aussi de drogués et de mendiants, d’aliénés mentaux et de marginaux rendant la vie impossible, même au plus progressiste des Canadiens. C’est encore une hausse des loyers interdisant aux plus humbles des autochtones de se loger décemment. Victimes collatérales de cette bienveillance inclusive, les commerces du Village, le quartier homosexuel de Montréal, doivent fermer les uns après les autres, victimes d’une insécurité de plus en plus galopante, les nouveaux arrivants ne manifestant pas toujours une empathie contagieuse vis-à-vis de ceux dont les mœurs mériteraient fouet ou peine de mort en leurs pénates d’origine.
On dit que le Parti conservateur local aurait une confortable avance sondagière face à son homologue libéral. La prochaine échéance électorale aura lieu en 2025. De quoi voir venir. Et aussi de voir pourrir.
++ WEBTUBE :Cela fait plusieurs années qu’on en parle. On en voit déjà les effets…. Ce qu’il faut comprendre c’est qu’on est au début d’un cycle. Le pire est à venir. Bon courage.
« La vérité, c’est pas mangeable », disait Louis-Ferdinand Céline. Le tsunami migratoire qui emporte la France finit tout de même par émerger de l’incroyable chape de plomb vissée sur l’opinion publique par les médias de masse français et les responsables des partis de gouvernement pendant des décennies. Dernier à se pencher sur le phénomène, l’Institut Montaigne vient de publier une étude intitulée Démographie en France : conséquences pour l’action publique de demain. Un rapport clair, à quelques semaines du débat sur la loi en préparation.
Pour une fois, pas de faux-semblants, d’idéologie à la Hervé Le Bars et autres sociologues à la crédibilité plus qu’entamée. « La France va changer, explique le court résumé du rapport. […] Dans les premières décennies du siècle, sa population ne croîtra sans doute que par l’immigration. » L’auteur, Bruno Tertrais, expert associé à l’Institut Montaigne et directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, admettait déjà l’importance de la démographie dans l’avenir d’un pays dans son livre Le Choc démographique (Odile Jacob, 2020).
Bruno Tertrais enterre l’épaisse couche de communication qui a permis de biaiser durablement le vote des Français.
Il pointe d’abord le danger démographique qui menace la France : « Le vieillissement de la population prend depuis quelques années une trajectoire ascendante alors que le taux de natalité des Français est en berne. » Un défi dont les responsables politiques ne parlent jamais et que, contrairement à un Orbán en Hongrie, ils ne relèvent pas. Pour eux, l’immigration est la solution à tout. Le phénomène s’aggrave depuis les années 2000. « L’excédent naturel en 2022 (différence entre naissances et décès : +56.000) était ainsi le plus faible depuis 1945 », écrit Tertrais. Notre pays « est désormais, en Europe, l’un des pays pionniers du vieillissement ». À qui la faute ?
La France vieillit et ce n’est pas de la faute des populations immigrées et d’origine immigrée : « En 2022, l’immigration a compté pour près des trois quarts de l’accroissement de la population, une proportion inédite », écrit-il.
L’immigration n’est plus un « fantasme ». « Les “immigrés étrangers” (soit les personnes nées à l’étranger, vivant en France mais non naturalisées françaises) sont 4,5 millions, compte Bruno Tertrais. Le total des “résidents français nés à l’étranger” additionne les immigrés (7 millions dont 2,5 millions de naturalisés) et les personnes nées françaises à l’étranger (1,7 million), soit 8,7 millions. » L’Institut Montaigne, qui ne compte pas les familles d’origine étrangère de première ou seconde génération, tire un constat qu’on n’entend jamais : « Il n’y a jamais eu autant d’étrangers en France depuis le Second Empire. » Et sans doute bien avant… À l’époque de Napoléon III, en 1851, la France comptait 1 % d’étrangers ; nous avons passé la barre des 10 %. Sans compter les millions d’étrangers naturalisés.
Surtout, 4 millions d'étrangers ont acquis la nationalité FR depuis 1982 dont 2 millions depuis 2005.
Pour cela, on regarde d'abord les données relatives aux immigrés (= personnes nées étrangères à l'étranger).
— Observatoire de l'immigration et de la démographie (@ObservatoireID) August 29, 2023
Tout concorde : « Le stock de titres de séjour valides a augmenté significativement depuis trente ans et est désormais proche de quatre millions, poursuit Tertrais. Les flux annuels d’entrée d’étrangers de pays tiers (premiers titres de séjour) sont eux aussi en augmentation constante depuis trente ans. Ils sont supérieurs à 200.000 depuis dix ans et 2022 a été une année record avec plus de 320.000 premiers titres délivrés (hors Britanniques). Les personnes concernées sont majoritairement africaines (Maghreb notamment). »
Comment ne pas penser à l’immense cohorte des sachants qui ont nié le phénomène, accusant des pires turpitudes ceux qui l’annonçaient, puis l’ont minimisé pour, enfin, aujourd’hui, le présenter comme inéluctable. L’histoire de cette manipulation reste à écrire depuis l’époque où un certain Jean-Marie Le Pen, à « L’Heure de vérité », le 13 février 1984, prévenait de « la véritable vague déferlante de l’immigration en provenance du tiers-monde dans un pays comme le nôtre frappé par la dénatalité, (vague venue) de pays qui sont à la fois pauvres et connaissent une véritable explosion démographique ».
Enfin, un coup de chapeau à ceux qui – et ils sont nombreux – affectionnent la position de l’autruche, la tête profondément enfoncée dans le sable : « La France est, du fait de son héritage migratoire, au premier rang des États d’Europe de l’Ouest en ce qui concerne la population totale d’origine immigrée selon les critères de l’OCDE. » Un modèle, en quelque sorte, de ce qu’il ne faut pas faire.
« La démographie, c’est le destin », répète à juste titre Éric Zemmour, à la suite d’Auguste Comte. Combien l’ont nié ? Sur la réalité de l’immigration, le nombre de contre-vérités, de « fake news », de unes de presse mensongères parues depuis quarante ans, y compris dans les titres aujourd’hui chargés de faire la police de la vérité, reste à étudier.
Avec Jean-Paul Gourevitch, spécialiste des questions migratoires et auteur de l’étude publiée par l’association Contribuables associés ; Bernard Lugan, historien et auteur de “Histoire du Sahel, des origines à nos jours” aux éditions du Rocher. Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12h à 14h sur #SudRadio. — Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
Ukraine : l’opinion américaine se retourne et devient hostile à toute aide supplémentaire à Kiev
Pour la première fois, un sondage montre que 55 % des Américains se lassent et jugent qu’en l’absence de percée ukrainienne durant la contre-offensive, il devient inutile de déverser des milliards à fonds perdus en Ukraine. En effet, ce sont 113 milliards de dollars qui ont été accordés à Kiev, soit 900 dollars par foyer, pour un résultat nul, puisque Moscou occupe toujours 20 % du territoire ukrainien.
Chez les républicains, ce sont 72 % des sondés qui souhaitent réserver ces milliards au peuple américain. Les candidats républicains, Donald Trump le premier, préconisent de se concentrer sur les problèmes domestiques.
Le candidat républicain Vivek Ramaswamy, qui n’a aucune chance d’être élu, vient de déclarer : “Si je suis élu, je reconnais le contrôle de la Fédération de Russie sur les territoires occupés de l’Ukraine”. Et il promet la fin des sanctions, ainsi que le blocage de la candidature de l’Ukraine à l’Otan. Ce positionnement montre que le dossier ukrainien n’est plus porteur, après 18 mois de guerre sans résultat.
Mais de son côté, Joe Biden, qui est le principal fauteur de guerre et responsable de l’hécatombe pour avoir refusé à plusieurs reprises de négocier, réclame une rallonge de 40 milliards pour Zelensky. Pas question d’endosser la responsabilité d’une énième défaite de l’Otan et des centaines de milliers de morts inutiles, à la veille des élections de 2024.
Personne n’ose donner les vrais chiffres des pertes ukrainiennes, mais si on en juge par le nombre de sépultures qui s’étendent autour des villes, ce sont plusieurs centaines de milliers de soldats ukrainiens qui sont tombés, parce que Biden en a décidé ainsi.
“L’ampleur de l’augmentation des cimetières en Ukraine et le nombre d’inhumations selon les normes :
Région de Kiev + 266 hectares pour 600 à 800 000 personnes ; Tcherkassy + 67 hectares pour 280 000 personnes ; Krivoï Rog +37 hectares pour 150 000 habitants ; + nouveaux cimetières à Rivne, Khmelnitsky, Lvov, Krementchoug, Loutsk, Tchernivtsi, Zaporozhye, Dnepropetrovsk, Odessa, Tchernigov – + 450 000 sépultures supplémentaires.
Même selon la limite inférieure, cela représente environ +1,5 million de tombes. La plupart des cimetières sont des monuments militaires, comme près de Kiev. Il s’agit d’informations ouvertes provenant de sources ukrainiennes.”
Mais la propagande otanienne va bon train.
Le moindre confetti de terrain gagné vers Zaporijjia par les Ukrainiens est monté en épingle, même si les Russes en gagnent davantage vers Koupiansk. Un carré de 10 km sur 10 pris à Robotyne suscite aussitôt les commentaires les plus farfelus, annonçant une percée vers la mer d’Azov pour couper l’armée russe en deux. Après Robotyne, en route vers Tokmak et Melitopol ? Un petit détail mis sous le tapis : la mer d’Azov est encore à 150 km de Robotyne ! Comme si l’aviation et l’artillerie russes allaient rester les bras croisés !
Après nous avoir rabâché que l’armée russe n’était qu’un ramassis de traîne-savates mal commandés, mal équipés et démotivés, incapables de résister à l’Otan, on nous dit aujourd’hui que si la contre-offensive a échoué, c’est parce que Kiev combat la deuxième armée du monde, laquelle possède la maîtrise du ciel et une artillerie bien plus puissante. Bref, l’armée russe a visiblement redoré son blason en résistant à 40 nations, seule contre tous.
Tout n’a été que mensonges du côté occidental et cela continue.
Poutine mourant ? Il est en pleine forme !
Poutine isolé ? L’élargissement des BRICS prouve le contraire.
La Russie à court de munitions ? Elle tire 10 fois plus d’obus que les Ukrainiens aidés militairement par 30 nations.
Poutine de moins en moins populaire ? Il caracole en tête de tous les leaders.
Au 86e jour de la contre-offensive, Marc Legrand donne 57 430 tués. Pour la seule journée d’hier, Kiev compte 590 tués et 720 blessés.
L’Ukraine devient le théâtre d’opérations le plus sanglant depuis 1945. Jusqu’à quand resterons-nous complices de cette boucherie inacceptable ? Il n’y aura jamais de paix aux conditions de Zelensky, qui veut le retour aux frontières de 1991, exige des dommages de guerre et réclame le jugement de Poutine pour crimes de guerre. La paix se fera aux conditions de Moscou. L’Ukraine devra perdre une partie de son territoire et accepter le statut de pays neutre.
Macron vient de déclarer que Poutine “était l’agresseur et violait de manière flagrante la souveraineté d’un État indépendant en Europe.”
Mensonge. Mais Macron semble oublier que l’Otan a dépecé la Serbie en 2008 en l’amputant de la province du Kosovo et en accusant à tort Belgrade des pires exactions à l’encontre des Albanais kosovars. Encore une ignoble saloperie des Américains, que nous avons cautionnée en reconnaissant l’indépendance de cette province serbe. Le droit international, pour Macron, c’est le droit américain.
Mais puisque personne ne veut la paix en Occident, laissons parler les armes. À la place des Européens, et notamment les Polonais qui veulent en découdre, je me méfierais. L’Otan n’engagera pas une troisième guerre mondiale avec Moscou si d’aventure la Pologne prend quelques missiles russes sur le museau.
Cela dit, ni les F-16, ni les missiles ATACMS longue portée que réclame Kiev ne changeront le cours de la guerre. Cela ne fera que prolonger l’agonie du peuple ukrainien, sacrifié aux intérêts des seuls Américains, ou plutôt aux seuls intérêts du clan Biden.
Nous continuons nos rencontres avec des militants patriotes, qui, quels que soient leurs choix, s’engagent au service de la France. Ce jour, rencontre avec Pascal Lepetit, dans la Nièvre…
Riposte Laïque : Même si vous avez déjà publié quelques articles pour notre site, pourriez-vous expliquer votre parcours syndical, associatif ou politique à nos lecteurs, que nous vous connaissions mieux ?
Pascal Lepetit : Je suis un Français moyen, issu de parents provinciaux venus s’installer en région parisienne pour y travailler ; j’ai donc une double culture, urbaine et provinciale. Je formais les conducteurs de métro à la RATP et j’écrivais la règlementation ferroviaire. J’avais des responsabilités syndicales lorsque j’étais en activité, je plaidais régulièrement au tribunal des prudhommes de Paris, j’ai aussi été élu au Comité hygiène, sécurité et conditions de travail.
Aujourd’hui je me suis installé en famille dans la Nièvre, il s’agit d’un retour aux sources. J’ai immédiatement été confronté aux réalités des campagnes françaises : projets de camps de migrants, installation de sites industriels éoliens entre autres. J’ai rapidement rejoint Debout la France, le mouvement de Nicolas Dupont-Aignan. J’étais encore jeune, j’avais du temps et une culture syndicale utile en politique de terrain, je suis devenu secrétaire départemental puis régional pour la Bourgogne-Franche-Comté, je me suis présenté aux élections départementales en 2021, j’ai aussi été candidat aux dernières élections législatives. J’ai quitté Debout la France en janvier dernier sans désaccord politique sur le fond car je suis un souverainiste et j’ai la fibre sociale, caractéristiques du camp gaulliste. J’avais pourtant des divergences de vue en termes de stratégie, je suis donc parti sans rancune ni rancœur. Depuis, avec des amis au parcours politique proche, nous avons créé le Cercle de Réflexion Nivernais dont la devise est parlante : nous sommes visionnaires et enracinés. Et nous continuons à participer au débat politique local.
Riposte Laïque : Vous vivez donc dans la Nièvre. On pensait ce département préservé des conséquences du Grand Remplacement, or vous nous nous avez fait parvenir un article, le 5 juillet, nous informant que des émeutes avaient également eu lieu dans ce département. Pouvez-vous nous en dire davantage sur la situation de la Nièvre ?
Pascal Lepetit : Sur le plan politique, la Nièvre est un territoire de réseaux tenus par la même bande socialiste depuis plus de 40 ans qui se partage les postes ; certains se sont reconvertis au macronisme. Ils sont talonnés par des centristes qui se font parfois élire sur des listes « divers droite » pour ensuite se revendiquer du centre. Ils votent tous comme un seul homme au soir du deuxième tour et distillent un discours axé sur le « vivre-ensemble » qui reste encore abstrait dans nos campagnes. Le RN est en embuscade, mais a encore échoué aux dernières législatives.
Pourtant, à Nevers ou Cosne, la réalité s’impose. Comme partout en France, les quartiers sont arrosés d’argent public sans aucun résultat et au détriment des populations rurales qui n’ont droit à rien en termes d’équipements et infrastructures et qui pourtant ne brûlent pas la voiture de leur voisin. L’insécurité monte à Nevers et elle ne se résume pas aux derniers faits. Je me souviens avec émotion d’un jeune de 22 ans, Thibault Cochet, qui a été égorgé en plein centre-ville en 2017.
Dans le même temps nous avons des élus, parfois dans des villages, qui pratiquent une politique de Grand Remplacement à leur échelle, avec le soutien actif de la presse locale et de grand chemin et malgré les réticences de leurs populations mises devant le fait accompli. Les Français en général n’aiment pas les conflits, ils souhaitent vivre tranquillement, ne pas être stigmatisés, ils veulent continuer à parler de la pluie et du beau temps avec tout le monde, alors ils se taisent mais ils mettent leur gamin à l’école dans le village d’à côté : il n’y a pas beaucoup de Pierre Cassen, de Christine Tasin ou de Pascal Lepetit.
Riposte Laïque : Votre département a également la particularité de l’IESH (Institut européen des sciences humaines), à Château-Chinon, un institut privé qui, comme son nom ne l’indique pas, forme les imams. Cela pose-t-il un problème particulier, dans le quotidien ?
Pascal Lepetit : L’IESH de Château-Chinon est le siège social d’une nébuleuse liée aux Frères musulmans, qui forme imams et aumôniers dans différents pays européens. Il suffit de consulter les articles publiés sur le net pour comprendre que cette organisation est plus que trouble de par les profils des membres fondateurs, le financement, le contenu pédagogique. Leur stratégie repose sur l’ouverture ; elle est efficace puisque certains politiques locaux les soutiennent de façon appuyée. Et pourtant les IESH apparaissent ou font encore l’objet de deux articles ce dernier mois, l’un dans Valeurs Actuelles (Notre enquête sur la toile que tisse, en Europe, la dangereuse confrérie des Frères musulmans) l’autre dans le journal Le Monde et qui permettent de comprendre leur rôle et leur intention : faire de notre société démocratique une société théocratique, partout en Europe.
Riposte Laïque : Apparemment, vous auriez avec eux quelques soucis judiciaires ?
Pascal Lepetit : Je fais l’objet d’une plainte en justice de leur part pour avoir rédigé il y a un an une note sur l’IESH de Château-Chinon. Cette note a été publiée sur le site officiel de Debout la France avec l’aval de Nicolas Dupont-Aignan, elle reprend les éléments que l’on trouve sur le net, je n’ai rien inventé, tout est vérifiable. Cette note a été publiée dans la foulée par Riposte Laïque, même contenu, même signature. J’exprimais en conclusion et au nom de Debout la France le souhait de voir l’État fermer les IESH, tout comme Gilles Platret, maire LR de Chalon-sur-Saône le proposait dans son programme pour les régionales en 2021 pour le département de la Nièvre, tout comme 22 personnalités le demandaient aussi dans une lettre ouverte adressée au Président de la République, au Premier ministre et au ministre de l’Intérieur en 2020, signée notamment par Razika Adnani, philosophe, Julien Aubert, député du Vaucluse, Bruno Retailleau, sénateur de Vendée, Zineb el Rhazoui, Georges Kuzmanovic, président de République Souveraine, Valérie Boyer, sénatrice des Bouches-du-Rhône, Guillaume Bigot sur le site Atlantico. Lettre ouverte : “Pour une dissolution de l’organisation « musulmans de France » (ex-UOIF)” | Atlantico.fr
J’ai reçu le 14 août l’avis préalable à une mise en examen en matière de délits de diffamation ou d’injure publique, émanant du tribunal judiciaire de Lyon.
Riposte Laïque : Comment comptez-vous faire face à ce procès, et comment peut-on vous aider ?
Pascal Lepetit : Ce procès, dont la date est pour le moment en attente, s’inscrit dans une stratégie que je qualifie de djihad juridique : assécher l’adversaire financièrement même si l’issue du procès ne fait pas de doute à mes yeux, l’attaquer financièrement en allant éventuellement jusqu’en cassation pour le dissuader de s’exprimer même si ce qu’il énonce est vrai et connu. Et décourager d’autres de se lever. J’ai engagé un avocat, il s’agit de maître Frédéric Pichon, qui défend aussi Jean Messiha notamment. Pour faire face aux frais importants engagés et à venir, j’ai créé une cagnotte participative afin que tous ceux qui souhaitent m’aider et participer à ce combat judiciaire puissent le faire, car il s’agit d’un combat qui nous concerne tous : Cagnottes organisées par Pascal Lepetit : Pascal LEPETIT face à l’ IESH de Château-Chinon (gofundme.com)
Riposte Laïque : Que pensez-vous de l’affaire des abayas, qui paraît alimenter l’actualité de la rentrée scolaire ?
Pascal Lepetit : C’est une réponse incomplète aux provocations islamistes à l’école : aujourd’hui, dans le même temps, les accompagnantes scolaires ont le droit de porter le voile, le conseil d’État ayant choisi de ne pas trancher la question. La directive concernant l’interdiction de l’abaya va être attaquée juridiquement et déjà certains provocateurs appellent les élèves à la porter massivement dès la rentrée. Je suis pour un État fort, condition indispensable à l’existence d’une nation. C’est loin d’être le cas à l’heure actuelle, la mesure annoncée par Gabriel Attal va être pulvérisée par les dynamiteurs de la France, islamistes et divers gauchistes. En attendant, plutôt que d’exposer encore une fois les chefs d’établissements et les enseignants aux pressions et menaces, se pose à nouveau la question du port de l’uniforme à l’école, solution au problème.
Riposte Laïque : Serez-vous candidat aux prochaines élections européennes, et quel est votre regard sur la stratégie des partis politiques patriotiques ?
Pascal Lepetit : Non, et je n’ai d’ailleurs jamais figuré sur une telle liste, les élections européennes ne servant à rien pour les Français, selon moi. Le RN et Reconquête vont y aller seuls, il y aura peut-être une liste souverainiste qui ramassera les miettes, peu importe : les seules élections qui puissent sauver le pays sont l’élection présidentielle et les Législatives. Pour la prochaine Présidentielle, je souhaite ardemment une union large des partis politiques patriotiques dès le premier tour : RN, Reconquête, Debout la France, les Patriotes, l’UPR, Génération Frexit, rejointe par certaines figures des LR qui n’ont plus rien à y faire, comme Gilles Platret ou Julien Aubert. Ce serait la victoire assurée et le retour à la France.
Plus surveillé qu’un Mathéo ou un Kevin un soir d’émeute, Gérald Darmanin faisait, ce dimanche, sa rentrée à Tourcoing. Marqué à la culotte par une Élisabeth Borne missionnée d’en haut afin d’éviter toute sortie de route, le ministre de l’Intérieur a été contraint de transformer son désir de fugue en hommage présidentiel. Son discours, nous dit Le Figaro, a même été relu par Emmanuel Macron. On n’est jamais trop prudent…
Bref, « sous surveillance » très rapprochée, le ministre nous a assuré que la sécurité des Français était désormais sa seule préoccupation : « Les gens ordinaires ont besoin de sécurité, car l’État est leur seul bien pour défendre leur famille. » Alors, « nous devons nous battre pour que la sécurité soit garantie pour tous sur le territoire national ». Décidé à « affirmer partout l’autorité de l’État », comme il l’a déclaré à Nîmes, Gérald Darmanin veut faire de la lutte contre le trafic de drogue « la mère de toutes les batailles ». Certes, le dicton assure qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire ; hélas, il y a aussi des dictons très bêtes.
Et donc, après ces gerbes d’eau tiède déversées dans le parc floral de Tourcoing, que fait-on, concrètement parlant ?
Pour faire mal aux voyous, il faut les frapper au portefeuille, c’est du bon sens! Dans le Val-de-Marne, le Fisc sanctionne les trafiquants de stups, d’arme et d’argent sale avec des amendes de 5.000 à 50.000 euros! Il leur fait aussi payer des impôts colossaux jusqu’à 2 ans… pic.twitter.com/h6ovzkCUNL
Sur BFM TV, Matthieu Valet, porte-parole du Syndicat indépendant des commissaires de police, donnait sur le sujet une piste intéressante et surtout efficace : la saisie des avoirs criminels. « Il faut taper au portefeuille des dealers, des gros bonnets, des voyous, de ceux qui font tourner l’argent sale dans ces cités en faisant des morts », dit-il, et pour cela, on a un outil redoutable : « les amendes de flagrance fiscale. Ce sont des amendes qui vont de 5.000 à 50.000 € , qui traitent des armes, des stupéfiants et de toute cette criminalité organisée. » La procédure est simple et rapide : « Dès qu’on est dans le cadre judiciaire, on saisit le fisc et le fisc peut taper directement au portefeuille de ces gros voyous. On peut même remonter jusqu’à deux ans en arrière : le fisc peut analyser les revenus qu’a générés le trafic ou les sommes d’argent découvertes, et il peut récupérer des centaines de milliers d’euros. » Et de donner en exemple le département du Val-de-Marne où cette procédure, « grâce à l’engagement du fisc, a mis en recouvrement plus d’un million d’euros ».
La plus grosse des sanctions
On s’étonne du peu d’empressement des enquêteurs et de la Justice à utiliser cette procédure ; par méconnaissance, semble-t-il ! C’est ce que confiait la chef de la PIAC (Plate-forme d’identification des avoirs criminels) dans un entretien à l’École nationale supérieure de la police. « Il faut absolument penser à mener un volet patrimonial dans les enquêtes pénales, afin qu’on puisse récupérer les avoirs criminels, c’est-à-dire le butin. Ce n’est encore pas assez souvent fait par les enquêteurs », disait-elle. D’abord parce que « monter ce volet patrimonial en parallèle d’un dossier délictuel ou criminel prend du temps. Cela va retarder d’autant l’envoi de l’enquête au parquet, au juge d’instruction… » Donc, on ne le fait pas. Or, « attaquer les criminels au portefeuille, c’est finalement la plus grosse des sanctions ! »
Contrairement à ce que pensent les fonctionnaires de police – et la Justice ? –, « la PIAC n’est pas réservée au grand banditisme ou à la criminalité organisée, pas du tout ! » Ainsi, sachant que 85 % des crimes et délits en France sont commis dans un but de profit, il faudrait dans tous ces cas « s’attaquer aux avoirs criminels pour être sûr que la personne est punie ». On en est loin.
De plus, « rétablir la surface financière d’un individu telle qu’elle existait avant la commission de l’infraction » serait profitable aux victimes, puisqu’il existe maintenant un dispositif leur permettant, en principe, « de pouvoir se faire payer les dommages et intérêts auxquels elles ont droit sur le produit des biens qui sont confisqués par la juridiction de jugement dans le cadre de leur affaire ».
Ils n’ont pas trouvé ce qu’ils étaient venus chercher… Déployées dans le quartier Pissevin (Nîmes), cité gangrenée par le trafic de drogue et endeuillée par les règlement de comptes, les forces de l’ordre fouillent minutieusement chaque recoin, à la recherche de produits stupéfiants. Au terme de l’un de leurs contrôles, filmé par CNews, aucune drogue n’est finalement saisie. Seule une seringue, vestige du trafic, gît sur le sol de l’une des caves visitées. Échec de la mission, ou presque… Car, à défaut d’une saisie de stupéfiants, les CRS et autres policiers envoyés dans ce quartier nîmois découvrent, dans les méandres des sous-sol de la cité, l’existence d’une mosquée clandestine.
« Dans les cités en sous-sol, c'est souvent… » A Nîmes, découverte d'une mosquée clandestine dans une cité de la drogue…
Architecture orientale et murs délabrés, cette salle de prière semble ne plus être régulièrement fréquentée. Mais combien d’autres mosquées clandestines, en France ? Impossible de le chiffrer précisément. Selon les policiers interrogés par CNews, « dans les sous-sols, c’est souvent que l’on découvre ce genre de bâtiments qui sont maintenant des mosquées clandestines ». Ces salles illégales viennent s’ajouter aux 2.200, selon les chiffres de Dalil Boubakeur – voire près de 2.500, selon les chiffres d’un rapport sénatorial –, mosquées légales déjà présentes sur le sol français.
Un « islam des caves »
Déjà, au début des années 2000, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, appelait à « combattre l’islam des caves et des garages ». Vingt ans plus tard, la lutte promise ne semble pas être venue à bout de cet islam sous-terrain. Bien au contraire. À une centaine de kilomètres de Nîmes, à Aix, conscients de l’illégalité de leurs réunions, des fidèles musulmans se réunissent dans une ancienne cave à vélos devenue salle de prière. Partout en France, la presse régionale et nationale se fait l’écho des fermetures de certaines de ces mosquées – et écoles coraniques – clandestines. Ainsi, il y a quelques jours, une note des renseignements révélait qu’un restaurant McDonalds en Seine-Saint-Denis avait fermé ses portes pour héberger une salle de prière. À Marseille, certains élus, dont le sénateur Reconquête Stéphane Ravier, soupçonnent l’existence de nombreuses salles illégales. Après la découverte d’une école coranique dans les quartiers nord de la cité phocéenne, il assurait, au micro de CNews, que « vu le développement de l’islamisme à Marseille, on peut penser qu’il y en ait d’autres ».
Une floraison que l’on retrouve aux quatre coins de la France. Au printemps 2021, deux salles de prière clandestines ont ainsi été fermées à Belfort. Un an et demi plus tard, c’est à Melun que deux mosquées illégales voient leurs portes fermées par la préfecture. Montpellier, Orly, Roissy, Gennevilliers, Champs-sur-Marne… Partout, « l’islam des caves » se développe. Seuls des contrôles inopinés ou la vigilance de certains voisins permettent de lutter contre ces salles illégales. Nombreuses sont les mosquées clandestines hébergées au fond d’un jardin ou dans les sous-sols d’un immeuble, qui passent donc encore inaperçues.
Pour tenter d’expliquer cet « islam des caves », les autorités musulmanes citent le faible nombre de mosquées et le manque d’accompagnement dans la construction de nouveaux lieux de culte pour les musulmans. Pourtant, un rapport sénatorial de 2015 comptabilisait déjà 20 à 30 mosquées par département. Depuis, le nombre de mosquées en construction ne cesse d’augmenter. Les méga-mosquées notamment, pouvant accueillir plusieurs milliers de fidèles, se multiplient. Dès lors, plutôt qu’un symptôme du manque de mosquée, cet « islam des caves » apparaît comme un signe de la permanence de l’islam radical en France.