L’épidémie régresse de façon spectaculaire, et le vaccin n’y est pour rien !

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Articles  : Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 – Nov. 2020

La nouvelle du jour : l’épidémie régresse de façon majeure, contrairement aux scénarios encore péjoratifs de nos médias.

Comment, certes, conditionner les Français à se faire vacciner à tout prix si le virus nous fait un énorme pied de nez en disparaissant juste avant qu’une tranche suffisante de la population soit vaccinée ?

Vaccination, ralentissement de la pandémie de Covid-19 : le point hebdo du Général Delawarde (breizh-info.com)

Ce jour tant attendu de régression importante et générale de l’épidémie semble pourtant bien arrivé et, à temps, avant qu’une partie importante de la population mondiale ne soit vaccinée, ce qui bien sûr aurait été mis rapidement sur l’effet de la vaccination. Mais il n’en est rien à ce jour. À ce jour moins de 1 % de la population mondiale a reçu une première injection vaccinale et moins de 0,25 % a reçu ses deux injections. Le vaccin ne peut, en aucun cas, être la cause de cette évolution récente et rapide sur l’ensemble de la planète.

Saluons l’étude du général Delawarde publiée sur Breizh-info

La grande étude publiée ce jour par le général Delawarde, extrêmement précise, démontre clairement cette chute majeure des contaminations, et, en rapport, des malades et des décès. Il est souhaitable de lire cet article en détail pour en être convaincu.

Voici les grandes lignes de ce passionnant papier à ne pas laisser passer.

« Depuis la deuxième semaine de janvier, la contamination est en baisse rapide et très importante au niveau de la planète. Cette baisse est observable sur tous les continents et sous-continents, et dans tous les hémisphères. Elle concerne la quasi-totalité des pays. Ainsi, des 746 000 tests « positifs » quotidiens (moyenne sur les 7 derniers jours) du 12 janvier dernier, la contamination mondiale est passée, en un mois, à près de 400 000 positifs par jour. (-46%)

L’ampleur, la rapidité et la persistance de cette baisse sont très importantes et inédites à ce jour. Cela constitue un signe très encourageant d’un reflux de l’épidémie que chacun espère complet et peut être définitif. »

L’arrivée des vaccins ne peut, en aucun cas, être à l’origine de ce reflux

« puisque le 12 janvier dernier, moins d’un « terrien » sur 10 000 avait reçu une première injection vaccinale, et que le vaccin met du temps à « agir » (jusqu’à 28 jours), selon ses concepteurs. »

Les causes de ce reflux sont naturelles

L’« effondrement » de la contamination à partir du 12 janvier dernier est concomitante de deux autres baisses importantes observées avec un léger décalage dans le temps, parfaitement logiques. Le nombre des cas sérieux ou critiques qui a culminé à 115 000 au niveau planétaire en 3e semaine de janvier est retombé à 99 300 aujourd’hui. (-15 %)

Le nombre des décès hebdomadaires attribués à la Covid-19 qui a culminé à 101 000 le 26 janvier dernier est désormais tombé à 84 600 (-15 %).

Ces baisses sont importantes et surtout rapides et « naturelles ».

Les variants n’ont rien changé

« L’apparition des variants anglais, sud-africains et brésiliens n’a rien changé, depuis un mois, à la tendance fortement et rapidement baissière de la contamination sur la planète. La contamination est d’ailleurs aujourd’hui en forte baisse au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil, comme partout ailleurs sur la planète ».

Cet article est passionnant et remonte le moral. Car gageons qu’il sera difficile aux autorités de poursuivre leurs mesures liberticides si ce mouvement se poursuit. Ce qui est probable, car il semble bien que ce soit l’histoire naturelle des épidémies car que le SARS et le Mers ont déjà présenté cette séquence.

Nicole Delépine, Riposte Laïque

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