Gouvernance mondiale : la pandémie instrumentalisée par les écolo-fascistes

Riposte Laïque

Hier s’est exprimé sur la chaîne du Sénat un inconnu du grand public, du nom de Cyril Dion ; venu y faire un point sur les évolutions de la convention citoyenne sur le climat. Et l’évidence est apparue : la convention est verrouillée par le pouvoir et noyautée par les écolo- fascistes et les altermondialistes qui en ont pris le contrôle, avec le concours des plus hautes instances de l’État. 

Voici ce que l’on découvre en fouillant le dossier : mondialistes, écolo-fascistes et altermondialistes instrumentalisent la crise du Coronavirus pour nous imposer des évolutions vers une nouvelle forme de gouvernance mondiale.

La convention citoyenne, une idée de Cyril Dion. Sa fiche Wikipédia nous indique que le 13 février 2019, en pleine crise des Gilets jaunes, il a rencontré Emmanuel Macron avec l’actrice Marion Cotillard et lui a proposé de mettre en place une assemblée pour chercher des solutions sur le référendum d’initiative citoyenne, la transition écologique et la justice fiscale. Entre-soi de belles personnes sans légitimité au sommet de la gouvernance ; aussitôt dit, aussitôt fait. Macron a immédiatement compris tout le bénéfice qu’il pouvait tirer d’une nouvelle opération d’enfumage où les sans-dents auraient l’air d’être associés et consultés alors que tout serait sous contrôle et décidé par avance. 

Sortie de la crise des Gilets jaunes, un enfumage généralisé en forme de tryptique

  • Les antifas et les milices d’ultragauche alliées à Macron contrôlent et dévitalisent le mouvement des Gilets jaunes sur le terrain. La question migratoire est évacuée ;
  • Macron noie les élus lors d’un grand débat en forme de marathon où il est le seul à parler ;
  • Pour finir, la convention citoyenne sur le climat préparera une sortie de crise à la mode altermondialiste et vers la gouvernance mondiale.

La convention encadrée par des « garants » désignés par le pouvoir.  Trois « garants » sont désignés par les présidents de l’Assemblée nationale, du Sénat, et du Conseil économique, social et environnemental.

  • Anne Frago, technocrate chargée d’encadrer le débat démocratique et la démocratie participative dont elle s’est emparée (sic) ;
  • Michèle Kadi, technocrate également chargée de contrôler les débats au sein de la convention ;
  • et enfin, Cyril Dion, initiateur de la manipulation et activiste écolo-fasciste, nommé en toute indépendance par le président du conseil économique et social.

Deux apparatchicks de haut niveau pour canaliser et encadrer les débats et un activiste intégriste pour les orienter au plan idéologique, pas besoin d’être grand clerc pour comprendre ce que vont peser les voix des 150 sans-dents et comment toute cette mascarade va se terminer.

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Cyril Dion, un activiste climatique sorti du néant. D’où sort ce personnage jailli du néant, inconnu de tous, sans légitimité démocratique ? Comment cet activiste apparemment isolé, mais sans doute propulsé par quelque puissance occulte se retrouve-t-il en position d’orienter la politique de la France ? Quels sont ces truchements occultes en capacité d’orienter ainsi le pouvoir dans ce pays ? Cyril Dion, réalisateur, écrivain, poète et écologiste, une synthèse de la bobocratie totalitaire qui a aidé les mondialistes à porter Macron au pouvoir. Le métrosexuel urbain indéfini, l’homme poupoule, féminisé, dévirilisé, l’exact complément de Greta.

Bref, voilà le personnage propulsé jusqu’au pouvoir macronien et désigné par lui pour orienter la convention citoyenne sur le climat et pour nous dire comment nous allons devoir vivre demain. Résultat garanti d’avance.

Une contribution très orientée. Et voilà que dans sa contribution intermédiaire du 10 avril, la convention relie la pandémie au réchauffement climatique pour justifier un programme de sortie de crise par la refondation sociale et par la réorientation de la mondialisation.

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La crise du Coronavirus instrumentalisée par les mondialistes, les écolo- fascistes et les altermondialistes. On n’ira pas jusqu’à dire que la pandémie a été initialisée à cet effet, encore que le doute soit largement permis. On observera toutefois qu’elle a créé un effet d’aubaine immédiatement exploité par les mondialistes pour impulser des changements de paradigmes fondamentaux et tenter de reprendre la main sur la conduite du monde, malgré l’effondrement de leur système. C’est ainsi que les écolo- fascistes liés aux mondialistes nous expliquent que la crise du Coronavirus leur donne raison et que la pandémie est liée au réchauffement climatique. Terrorisme climatique, terrorisme économique, terrorisme sanitaire et terrorisme tout court, tel est le combo des mondialistes, qu’ils soient libéraux, écologistes ou altermondialistes. Point de différence entre eux, seulement des nuances chromatiques. Tous ont le même objectif : la gouvernance mondiale, le nouvel ordre mondial.

Les prochaines annonces de Macron en faveur d’une gouvernance mondiale préfigurées par la contribution de la convention

Voici ce que dit le rapport :

  • Reconfiguration des relations internationales dans un esprit de justice sociale,
  • Régulation de la mondialisation en faveur du climat,
  • Importance des solidarités internationales,
  • Mise en garde contre le risque de crispation et de repli national,
  • Fédération autour des grands projets européens,
  • Diffusion d’une image positive de l’Union européenne.

Exactement ce que va nous dire Macron, probablement dès ce lundi.

Comme le communisme en son temps et exactement pour les mêmes raisons, car s’agissant des deux faces du même matérialisme totalitaire contraire à la nature profonde de l’Homme, la mondialisation est en train de s’écrouler. Ce qu’il adviendra malgré les spasmes convulsifs des mondialistes à l’agonie sera l’exact contraire de ce qu’ils espèrent.

N’ayons pas peur.

Émeutes à Bruxelles la jeunesse musulmane attaque un véhicule de Police

Pendant ce temps-là, au “Bruxellistan

En plein confinement, des émeutes ont éclaté samedi après-midi en banlieue de Bruxelles, après la mort d’un jeune. Ce dernier a été tué à scooter alors qu’il tentait d’échapper à un contrôle de police. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de sa mort.

Le confinement est-il seulement sanitaire ?

La France est devenue une prison à ciel ouvert. Le jogging est interdit en journée en maints endroits, tout comme marcher seul sur une plage, tandis que des randonneurs de montagne sont pourchassés par les hélicoptères de la gendarmerie. Partout s’observe une présence policière intraitable, interdisant même de passer d’un lieu de confinement à un autre, tandis que le portable pourrait devenir l’instrument d’un traçage impitoyable, tout cela dans un climat de psychose médiatique savamment entretenue. Ce confinement sanitaire toujours plus contraignant pourrait-il dissimuler une assignation à résidence plus politique ?

De plus en plus de Français, stupéfaits par cette criminalisation sans précédent de la liberté individuelle, s’interrogent sur l’instrumentalisation possible d’une pandémie dont personne, cependant, ne nie la gravité ni la nécessité de s’en protéger, mais avec raison gardée.

La gravité de la pandémie semble proportionnelle à l’incurie d’un pouvoir qui paraît agir contre le bon sens. Porter un masque, tester les personnes, confiner uniquement les cas positifs et soigner à base de chloroquine semble être la solution actuellement idéale que préconise le spécialiste marseillais Didier Raoult. Celui-ci semble avoir obtenu des résultats édifiants, à l’instar des Coréens et des Taïwanais qui ont appliqué les mêmes méthodes. En Suède, où le gouvernement n’a pas confiné sa population, le pic de mortalité a déjà été dépassé, avec une mortalité relativement basse.

Étrangement, la chloroquine, utilisée depuis soixante-dix ans, a été classée substance toxique et interdite, en janvier dernier. Et depuis, on compte les morts en contemplant nos rues aussi vides que celles de Phnom Penh sous Pol Pot, le pouvoir s’obstinant dans sa stratégie folle, tandis que médecins fidèles au serment d’Hippocrate qui soignent et scientifiques pérorant, souvent liés aux intérêts pharmaceutiques, s’affrontent, vainement, au sujet des bienfaits d’une chloroquine dont, peut-être, le seul défaut est d’être insuffisamment rémunératrice.

Avec tout cela, ne va-t-on pas en profiter pour essayer de nous soumettre politiquement par l’utilisation d’une subtile ingénierie sociale telle qu’elle se pratiquait dans les pays communistes ? Là, un climat de tension permanente était systématiquement entretenu, cumulant régime policier, interdiction de circulation libre, pénuries récurrentes organisées pour susciter la peur de manquer et amplification démesurée des situations anxiogènes pour créer des états de soumission psychologique, la propagande médiatique suscitant l’état de déréalisation collective nécessaire. Pour maintenir l’emprise étatique, l’alternance de phases de haute et de basse intensité répressive était finement dosée, comme cela nous est déjà promis avec une pandémie annoncée cyclique, et avec d’autres phases de confinement.

À un moment de l’Histoire où les réseaux mondialisés du pouvoir oligarchique, fascinés par un modèle chinois qui a réalisé la synthèse diabolique du parti unique et du capital, craignaient les réactions populaires à l’explosion inévitable de la bulle financière qu’ils ont suscitée par spéculation effrénée, le virus paraît tomber à point pour les dédouaner de l’effondrement systémique en cours, tout en leur permettant de refonder le système sur des bases plus coercitives.

À l’heure où l’on nous vante l’efficacité du modèle chinois qui produit en masse les masques qui nous manquent si cruellement, ayons aussi une pensée pour les millions d’esclaves du laogai, le goulag chinois, peut-être occupés à les produire.

On en sort quand, et dans quel état ?

Riposte Laïque

« Quand toutes les barrières sanitaires seront tombées et qu’il y aura une grippe à New Delhi, elle arrivera dans le Berry ». (Philippe de Villiers, campagne des élections européennes, 1994).

« Ils créeront  eux-mêmes les virus et nous vendront les antidotes, faisant semblant de prendre du temps pour trouver la solution alors qu’ils l’ont déjà… »  (Mouammar Kadhafi, en 2005).

« Cette espèce de grève générale volontaire me paraît suicidaire ». (J-M. Le Pen, avril 2020).

À l’heure où je rédige cet article, j’ignore ce que va nous annoncer notre « leader minimo ».

Je sais déjà, en revanche, qu’il prendra les intonations qu’il faut, qu’il jouera au chefaillon de guerre et que, comme d’habitude, il dira aux naïfs et aux imbéciles ce qu’ils ont envie d’entendre « et en même temps » son contraire. Il va aussi nous annoncer une prolongation du confinement.

Jusqu’à quand ? Mystère et boule de gomme ! 

Les pays occidentaux ont assigné à résidence leurs populations, contrairement à certains pays asiatiques qui ont permis  aux gens de circuler, après dépistage systématique et port du masque obligatoire : la Chine, le Japon, Singapour, Hong Kong, la Corée du Sud et Taïwan conseillent (ou imposent) le port d’un masque pour tous et un dépistage systématique. De plus, ces pays disposent d’une infrastructure hospitalière digne de ce nom, efficace et rapidement mobilisable lors d’une épidémie de cette importance.

Nous, pauvres franchouillards, nous aurons été les victimes – une fois de plus – les larbins du mondialisme. Les technocrates, les européistes forcenés de Bruxelles ont facilité la circulation incontrôlée des hommes, des finances et des marchandises. Les Jacques Delors, Romano Prodi, Pascal Lamy et consorts sont les  principaux responsables du chaos économique, culturel, social, financier et sanitaire que nous vivons depuis des lustres. Ils nous ont imposé leur  « humanisme » maçonnique et leur « mondialisation heureuse », pour le plus grand bénéfice… des pays asiatiques.

Bien sûr, certains se sont indignés de voir arriver massivement des produits à prix bradés (et souvent de mauvaise qualité) venus d’Asie. Une invasion responsable de la destruction de toute notre économie : mines, sidérurgie, textile, chimie, agriculture etc. etc.

Les européistes ont fermement combattu les nationalistes, adversaires des tabous imposés par Bruxelles. Depuis le « Traité de Maastricht » (novembre 1993), faisons le bilan de cette politique suicidaire. Un inventaire qui nous amène à constater l’impuissance et le laxisme de la Commission européenne face aux défis auxquels nous sommes confrontés depuis  cette époque : Guerre du Golf en 2003, crise bancaire en 2008, guerre en Libye en 2011, conflit en Syrie depuis 2012, vague de terrorisme islamiste depuis 2015 et maintenant, gravissime crise sanitaire.

Je n’ai aucune compétence pour parler du Coronavirus mais j’en ai ma claque de tous ces gens qui nous distillent LEUR vérité sur internet ou sur les plateaux télé.

Souvenez-vous, par exemple, de Yazdan Yazdanpanah (1) éminent membre du conseil scientifique créé par Macron, qui déclarait  « Il n’y aura pas d’épidémie en France ! ». Ce cador des maladies infectieuses à l’hôpital Bichat affirmait une telle ineptie en janvier.  Dans le foulée, il s’expliquait sur RTL : « … parce qu’on sait faire, on sait contenir, on sait isoler les patients ».

Je vous laisse juge du résultat des certitudes de cet abruti d’« expert » !

La mère Buzyn, épouse Lévy (2), ministre de la Santé, affirmait le 26 janvier « il n’y a aucun risque de pénurie de masques en cas d’épidémie du Covid-19 en France ».

Certains hôpitaux attendent encore  les livraisons promises depuis… 10 semaines.

Trouve-t-on le même niveau d’incompétence ailleurs ?  (Mes chiffres remontent à fin mars).

Depuis le début de la pandémie, au Japon (130 millions d’habitants) il y avait 56 décès ; en Allemagne (84 millions d’habitants), 997 décès ;  à Taïwan (24 millions d’habitants), 3 décès ; en Corée du Sud (52 millions d’habitants), 169 morts.

En Suède, au Japon, à Taïwan, à Singapour, en Thaïlande, en Corée du Sud, il n’y a pas d’isolement obligatoire et la population est libre de se déplacer.

Pour  ne pas tuer leur économie, ces pays ont appliqué des règles simples, mais strictes, pour enrayer l’épidémie, des mesures de simple bon sens :

– Tests de dépistage massif et mise à l’isolement des individus contaminés,

– Port du masque obligatoire pour tout le monde  et mesures d’hygiène préventives,

– Mobilisation générale des tous les services hospitaliers (avec des moyens de protection pour tous les personnels),

– Des services de réanimation équipés de respirateurs artificiels en nombre.

Grâce à cette stratégie volontariste, à l’opposé de celle choisie par les pays européens, on constate que les résultats sont – et de très loin ! – bien meilleurs que chez nous.

Comment expliquer que le nombre de morts en France soit 80 fois supérieur à celui du Japon qui compte presque deux fois plus d’habitants que nous ?

Qu’est-ce qui a amené certains gouvernements européens – dont le nôtre – à des choix suicidaires, tant pour leur population que pour leur économie ?

Incompétence ? Manque d’anticipation ? Mensonges ? Manque de courage ou… volonté politique ? Sans donner dans le « complotisme », j’ai bien une petite idée.

Cette pandémie était prévue et même souhaitée par certains idéologues fumeux depuis des années : Jacques Attali, le maître à penser de Macron, le clone  de Soros, déclarait dans « l’Express » du 3 mai 2009, à propos de l’épidémie de grippe A (H1N1) qui fit 280 000 décès dans le monde :

« Et même si… cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier d’en tirer les leçons, afin qu’avant la prochaine – inévitable – on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale.

 On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un gouvernement mondial. »

Alors, est-ce vraiment par incompétence, incurie, imprévoyance, que notre pays manquait de lits, de masques, de tests de dépistages (3) et de respirateurs artificiels ? C’est ce qui a obligé le gouvernement à confiner toute la population.

Je m’étonne qu’on ne parle presque jamais de la « Grippe asiatique » (H2N2) de 1956 à 1958. Elle a touché tous les pays, et fait 4 à 5 millions de morts dans le monde. En France, elle a contaminé 9 millions de personnes et en a tué… 100 000. À l’époque en classes primaires, je n’ai pas souvenir d’avoir manqué un jour d’école. Cette pandémie n’a pas mis à mal l’économie mondiale.

Le 2 avril, un sondage – ô combien bienvenu ! – nous apprenait que 85 % des Français souhaitaient un durcissement des conditions de confinement. En dehors des protestations de quelques « Gaulois réfractaires », les citoyens-moutons appelleraient donc eux-mêmes de leurs vœux à un Nouvel ordre mondial (New World Order), rêvé par Georges Soros et Jacques Attali.

La semaine dernière, plusieurs chaînes de télé recevaient l’ancien ministre Douste-Blazy, venu nous dire qu’il croit au traitement proposé par le professeur Didier Raoult, ce qui est plutôt bien. Puis, dans un deuxième temps, il nous a assénés la doxa mondialiste : « Après cette pandémie, rien ne sera comme avant. Il faut créer un ordre mondial de la santé. »

Sous couvert du Coronavirus, dont  le funeste tandem Olivier Véran-Jérôme Salomon  vient nous faire  tous les jours le bilan macabre, on terrorise les Français qui assistent  à la mise en place d’un système sécuritaire mondial. Ses moyens de contrôle seront là pour notre bien et notre sécurité. « Quoi qu’il en coûte ! » nous dit Macron qui sait être généreux avec NOTRE argent.

Mais une crise économique, conséquence d’une crise sanitaire orchestrée, peut aussi cacher un nouveau krach financier. Macron et ses séides mondialistes ont mis la France à l’arrêt. Elle sera dans une situation catastrophique si le confinement se prolonge encore un mois ou deux.

Selon les économistes, un mois de confinement se traduit par 3 points de PIB en moins. Nous sommes déjà dans une situation pire que lors de la crise de 1929. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est Bruno Le Maire. Mais gardons l’espoir car nous savons que Bruno Le Maire est un menteur.

On se souvient tous qu’en 2017, quand il sévissait encore dans la droite molle, il disait pis que pendre de Macron auquel il n’accordait « aucune confiance ». On connaît la suite.

Un jour (quand ? Je n’en ai pas la moindre idée), nous sortirons de ce confinement.

Dans quel état physique et/ou économique ? Je n’en sais rien non plus. Ma seule certitude du moment, c’est que je n’écouterai pas le discours-fleuve de Fidel Castré. Son regard fixe de gourou, son phrasé sentencieux et moralisateur, sa dramatisation à outrance et… ses mensonges permanents m’insupportent. Il a bien retenu les leçons que lui prodiguait madame Auzière, née Trogneux, sa prof de français ET de théâtre d’Amiens. Mais la France n’est pas un théâtre et Guignol n’y a pas sa place !

Je souhaite de Joyeuses Pâques à mes lecteurs confinés…

1)- Un nom facile à retenir ; un peu comme Boutros Boutros Ghali.

2)- Yves Lévy est l’ancien patron de l’Inserm.

3)- On se souvient qu’au début de la pandémie, Macron, grand et généreux avec NOTRE argent, offrait des masques à la Chine,  puis, plus tard, des tests de dépistage à l’Algérie.

Amis confinés gaulois, on n’a pas fini d’en baver

Riposte Laïque

Amis confinés, nous espérons tous une sortie rapide de cette confinerie suivie d’un avenir radieux ou du moins raisonnablement supportable, après que le fléau sera passé. Et d’abord, comme ce sera l’été, nous nous échapperons massivement comme un vol de gerfauts hors du charnier natal vers les vacances lointaines si longtemps retardées. À nous le soleil, à nous la plage, à nous la vraie vie, on va pouvoir glander toute la journée sans même y être obligés par Rantanplan.

Mais stop ! si nous croyons ça, nous croyons au Père Noël, ce qui, à Pâques, dénote une grave perte de contact avec la réalité résultant probablement d’une overdose de BFM TV. Car notre avenir immédiat est inscrit dans notre passé, il en est la suite logique inéluctable, il en découle exactement comme la poule découle de l’œuf (qui découle aussi de la poule, mais ne compliquons pas les choses).

Car pourquoi sommes-nous confinés ? C’est pour notre bien et notre santé, nous répètent à l’envi les médias subventionnés, sans oublier l’indispensable vacherie culpabilisante (« Sauvez des vies : restez chez vous ») qui, l’air de rien, nous dit que tout ça c’est aussi un peu de notre faute. En réalité, nous sommes confinés parce qu’il n’y avait tout simplement pas d’autre choix possible. Quand la 5e (ou 6e) puissance économique mondiale découvre avec stupéfaction qu’elle n’a pas de masques (fabriqués en Chine), qu’elle n’a pas de tests de dépistage (fabriqués en Chine), qu’elle n’a pas de gel hydroalcoolique (fabriqué en Chine), qu’elle n’a pas de tenues de protection (fabriquées en Chine), qu’elle n’a pas assez de places en hôpital (sacrifiées à l’ogre vorace des économies budgétaires), qu’elle n’a pas assez de personnel soignant (payé au lance-pierres ou à la grenade lacrymogène), qu’elle n’a pas assez de respirateurs (fabriqués en Chine), que voulez-vous qu’elle fasse d’autre que le gros dos en attendant que l’orage passe et aille se faire voir ailleurs ? C’est la célèbre doctrine « Ligne Maginot » qui a fait ses preuves en d’autres temps.

Or donc, nos dirigeants éclairés (que les saints Jenner et Pasteur les protègent), nous ont affirmé, pour cacher leur incurie congénitale, que les masques ne servaient à rien (alors que tout le monde est masqué dans les pays asiatiques), que les tests généralisés ne servaient à rien (alors que l’Allemagne en pratique 500 000 par semaine mais Philippe doute de ce chiffre), que notre système de santé était le meilleur du monde et que c’est pas un pouilleux de virus fabriqué en Chine qui allait faire peur au coq gaulois fièrement dressé sur ses ergots comme en 14.

On a vu : le virus s’est abattu sur nous comme un monstrueux coup de massue et la réaction hystérique a été « Tous aux abris ! » dans une improvisation, une panique et un foutoir généralisés. Après quelques jours d’une posture méprisante où l’on vit même une élection se tenir, la riposte officielle à l’agression a donc été l’enfermement immédiat et massif de toute la population, sauf de sa fraction la plus exotique qui se soigne à l’urine de chameau et à l’économie souterraine. Et pendant que tout le monde reste peureusement confiné à la maison en craignant d’y voir le virus à l’œil nu comme Greta voit le CO2, on comptabilise minutieusement les morts chaque soir, notamment les vieux qui après tri sélectif crèvent dans les hôpitaux-mouroirs (hôpitaux surchargés, hôpitaux débordés, hôpitaux martyrisés mais hôpitaux déterminés) et les Ehpad-mouroirs (l’au-delà contre les économies d’une vie) et même parfois égoïstement à domicile, ce qui prouve bien que ce sont rien que des vieux cons. Quant à notre vie économique, elle est à l’arrêt presque complet et coule, inéluctablement, dans les abysses.

Mais si nos étincelants dirigeants n’agissent pas, qu’est-ce qu’ils parlent ! Ils brassent une quantité considérable de vent, ce qui ne peut que favoriser une transmission accélérée du virus. On aura des masques, ils nous le jurent en levant la main droite, quand la Chine voudra bien nous en vendre qui ne soient pas faits de PQ recyclé et que nos « amis » ne nous les voleront pas comme au Far West ; et à ce moment-là, évidemment, ils seront obligatoires. On fera aussi 100 000 tests par jour, mais en juin ou en juillet, quand tout sera fini. En attendant ces jours meilleurs, prions sainte Rita, patronne des causes désespérées, elle a du boulot, la pauvrette.

Et maintenant, qu’est-ce-qu’on fait ? Car c’est pas tout mais il va bien falloir en sortir, de ce confinement. Mais le peut-on seulement ? S’il se termine au même moment pour tout le monde, on peut être sûr que le virus, qui lui aussi s’informe sur BFM TV, n’attend que ça pour se jeter voracement sur la tendre chair fraîche qui lui sera ainsi offerte en pâture. On pourra appeler ça plaisamment la « Nouvelle Vague » mais son ancêtre de 1918 est surtout connue pour avoir rempli à ras bord des cimetières déjà bien pleins. Alors une sortie au compte-gouttes, peut-être ? Mais il faut déterminer les gouttes qui sortent de celles qui restent dans le tube pour jouer les prolongations. On peut choisir de libérer d’abord le 9-3 dont toutes les jeunes forces vives sont depuis longtemps dehors pour niquer la France autour de barbecues des voitures de police. On peut préférer libérer le sud-ouest, actuellement peu touché par l’épidémie, ce qui régalera et rassasiera le virus et nous débarrassera par la même occasion du cassoulet (qui fait péter), du foie gras (les animalistes végans diront merci), de la corrida (les animalistes, etc.) et des prétentieux surfeurs de la côte landaise qui roulent des mécaniques en se croyant en Californie.

Quel casse-tête ! On voit bien que la seule méthode sûre de déconfinement, c’est de ne surtout pas déconfiner. Il faut maintenir le confinement le plus longtemps possible et en reporter la sortie aux calendes grecques pour ne pas dire à la saint Glinglin. Pour cela, il faut donc cesser d’en parler et faire comme si c’était la vie normale désormais, jusqu’à ce que les Gaulois fatigués de tourner en rond dans leur hutte avec bobonne et les mioches qui leur tapent sur les nerfs oublient leur vie d’avant et se résignent au confinement perpétuel. C’est le retour de la prison à vie, mais pour les honnêtes gens, ce qui pose un léger problème de droit mais passons : nécessité fait loi. L’important est la suppression de tout risque de nouvelle vague épidémique. D’ailleurs c’est la méthode utilisée et fabriquée en Chine, c’est dire le sérieux du produit. Si j’étais notre divin Président (que les anges chantent sa gloire), je sais bien ce que je ferais. Évidemment, l’économie va continuer à dégringoler jusqu’au fond du trou. Mais franchement, au point où nous en sommes…

François Asselineau : “Je pense que Macron est complètement à l’Ouest !”

François Asselineau : “Je pense qu’il (E.Macron) est complètement à l’Ouest !” – Les Incorrectibles

À quand la révolte des Français confinés ?

Riposte Laïque

26e jour de confinement.
Une journée d’été.
La gendarmerie du coin s’est équipée de VTT pour traquer les promeneurs sur les sentiers et les chemins.
Pendant ce temps, nos chances-pour-la France – dealers au chômage partiel ? – gonflent des piscines dans les banlieues.

Ah ! le respect du confinement de ces gens-là est admirable, comme l’a dit notre vénéneux Président.

Le Monde continue sa croisade anti-Raoult – à croire que l’infectiologue a résilié son abonnement, d’où la hargne du quotidien. Les journaleux ne peuvent écrire sur le professeur sans l’affubler de quelques adjectifs dont le plus tendre est « sulfureux ». Dans les colonnes du journal, on lit qu’il se livre à « des parodies d’essais cliniques » et tient des propos qui « font froid dans le dos ». Bientôt, il aura des cornes, une queue, des pieds crochus et une fourche. En attendant, à Marseille, c’est l’autre version qui est de mise.

Quand on a le courage de parvenir à la dernière ligne des articles, on note qu’ils sont souvent écrits avec le fiel d’historiens et de sociologues en médecine rémunérés par… l’Inserm et le CNRS. Donc des « scientifiques » complètement objectifs, n’est-ce pas ?

Mais tout n’est pas à jeter dans Le Monde.
Je viens d’y lire une interview de William Dab, médecin et épidémiologiste, ancien directeur général de la Santé.
Comme beaucoup d’entre nous, il est frappé par le fait qu’après bientôt quatre semaines de peine d’emprisonnement infligée à presque toute la population, la pandémie est à peine ralentie. Il voit plusieurs raisons à cela : les gens continuant de travailler empruntent les transports en commun et rentrent chez eux peut-être contaminés, le port du masque est loin d’être généralisé, la propagation par aérosolisation du virus (la simple respiration).

« De façon générale, dans les mesures adoptées, il y a un mélange d’excellence et de médiocrité. L’excellence, ce sont les soins », dit-il.
La médiocrité ?
Les carences monstrueuses dans la prévention qui se résume à confiner la population et des gestes barrières d’une efficacité plus que douteuse. On peut ajouter la fabrication de masques facultatifs avec un morceau de tissu et un filtre à café. « Autrement dit, on fait peser sur la population la totalité des efforts de prévention. […]. Si l’effort de prévention est partagé, cela peut tenir encore quelque temps, mais, s’il ne se passe rien d’autre, il y aura des mouvements de révolte », analyse-t-il.
Pour lui, punir la population en la confinant présente plus d’inconvénients (économiques, psychologiques, familiaux, médicaux) que de bénéfices.
Alors à qui profite le crime de criminaliser tous les Français ?

Il s’interroge sur l’inexistence en France d’études sur l’étendue de la pandémie : « Comment se fait-il que ce soient des épidémiologistes britanniques qui ont estimé la proportion de Français infectés ? »
Sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine : « il y a des dizaines de milliers de patients qui prennent quotidiennement de l’hydroxychloroquine pour des maladies rhumatismales. Cela fait plus de deux mois qu’il y a un débat sur ce traitement. Pourquoi ne sait-on pas si ces patients sont moins atteints par le Coronavirus que les autres ? Nous avons des bases de données accessibles pour faire ce travail et une agence du médicament pour le faire. »
Rien.
Est-ce une volonté de chercheurs inféodés à Big Pharma proches du gouvernement ?

William Dab appuie là où ça fait mal.
Aucun déconfinement n’est envisageable s’il n’y pas de masque et pas de tests pour tout le monde. Et là, de la part du pouvoir, c’est le grand méchant flou.

Pendant ce temps, en Thaïlande, des distributeurs automatiques de masques sont installés !

La bureaucratie des rongeurs continue son petit travail comme avant la guerre « coronachroline ». Exemple : William Dab s’était inscrit à la réserve sanitaire. On lui demande s’il est prêt à aider une ARS (Agence régionale de santé) d’outre-mer. Il libère son agenda. Et puis… plus rien. Il s’inquiète. On lui répond que son dossier est incomplet, il manque la copie de son diplôme de médecin et un certificat d’aptitude médicale.

William Dab avoue qu’il est pessimiste pour la suite : « Pour gagner contre une épidémie, il faut trois conditions : la surveillance, la réactivité et un commandement resserré qui fait un lien opérationnel entre la doctrine et le terrain. »
On en est loin.
« Tous les soirs à 20 heures, nous applaudissons nos soignants. Je me demande si nous ne devrions pas siffler tous les midis les carences de la prévention de terrain jusqu’à ce qu’elle devienne efficace », termine l’ancien directeur de la santé.

Pour ma part, je serais pour huer les minables qui nous ont mis dans cette merde et qui maintenant nous en rendent responsables.

Pr. William Dab : « Je pense que nous ne sommes pas loin de ce moment de bascule où le confinement généralisé va avoir plus d’inconvénients que d’avantages»

Ancien directeur général de la Santé (2003-2005), William Dab porte un oeil critique sur la gestion de la lutte contre l’épidémie de Covid-19 en France. Cet épidémiologiste ne comprend pas pourquoi quatre semaines après le début du confinement la courbe des contaminations ne soit pas encore sur sa phase descendante. Il souhaite que « le confinement dure le moins longtemps possible« .

Qu’est ce qui selon vous fait défaut en France dans la lutte contre l’épidémie ?

[…] Pour l’instant, il n’y a que des épidémiologistes britanniques qui ont fait des estimations du nombre de personnes infectées en France. Or, nous avons les compétences pour faire cela. La question est donc de savoir si elles ont été sollicitées et par qui ?
Ensuite, il y a des centaines de gens qui se contaminent tous les jours. Pourquoi se contaminent-ils ? C’est absolument essentiel d’avoir la réponse. Et là aussi, on peut avoir des pistes. […]

Je ne dis pas que les gens qui travaillent actuellement travaillent mal. Je dis qu’il n’y a pas de commandant en chef contre cette épidémie. […] Au final, qui dirige ? Qui fait le plan d’attaque ? Qui répartit les moyens ? Qui fait la logistique ? Pour moi, c’est pas clair. Ce serait logique que ce soit la DGS (Générale de la Santé). Mais je ne vois pas qu’on lui ait donné ce mandat et les moyens qui vont avec clairement. […]

Plus on retarde le travail de terrain, plus il va falloir prolonger le confinement avec des conséquences qui vont finir par être plus néfastes que ce dont on essaye de se protéger avec ce confinement. Je pense que nous ne sommes pas loin de ce moment de bascule où le confinement généralisé va avoir plus d’inconvénients que d’avantages. Mais à ce moment là, on risque de tout perdre parce qu’on risque de perdre le front économique. On risque de perdre le front social et on risque de perdre le front épidémiologique. […] […]

Parmi les mesures à prendre en urgence, vous partagez l’avis du conseil scientifique, il faut isoler les malades et les mettre dans des hôtels. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?

[…] Les hôtels sont vides, encore une fois. C’est quand même pas compliqué à organiser. Mais il y a une sorte de procrastination. Peut-être que personne ne sait qui doit prendre cette décision là et tout le monde se dit que c’est l’autre qui va la prendre. Ça fait des jours que ça dure et rien ne se passe. […]

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