++ WEBTUBE : Très très bon la France… On rase gratis en France! …. Ces derniers jours ils étaient 10 000 à penser cela à Lampedusa alors prêt à accueillir nos amis africains ? Macron ne se pose même plus la question, c’est oui à 100% !
« Je veux venir en France ! En France il y a l’aide sociale ! Je le sais car on en parle partout à la télévision ! »
À #Lampedusa, tous les témoignages que je recueille vont dans le même sens. 👉 Immigration économique et attractivité de la France
Cela fait des années que l’on a amassé une pile de dettes en croissance exponentielle. Après les délocalisations de l’industrie dans le tiers-monde, la variable d’ajustement c’est la délocalisation du tiers-monde en France.
Ces masses de millions d’africains sont les troupes de choc de la démocratie en faillite.
L’alliance de la finance à outrance et d’un Etat qui ne contrôle plus rien. Aux futures générations de gérer la faillite et la phase violente de la balkanisation ethnique.
++ WEBTUBE :Quand le Macron fait cette tête là c’est qu’il n’est pas content mais que voulez-vous, quand on est nul et incompétent ces choses là arrivent. Malheureusement c’est le peuple Français qui en fait les frais et surtout qui paie l’adition à la fin !
L’article de D.P.
Cette rentrée est résolument placée sous le signe du cataclysme africain.
Alors que l’invincible armada noire se jette sur l’Italie de la femme Meloni, la France est piteusement balayée dans tout le Sahel.
Macron en est réduit à faire du drama contre le Niger. Il les accuse de « tenir en otage » son ambassadeur.
Les militaires, qui ont renversé le président Mohamed Bazoum et pris le pouvoir le 26 juillet, avaient ordonné fin août l’expulsion de l’ambassadeur de France, après le refus de Paris de se conformer à un ultimatum exigeant son départ. La France continue depuis de s’opposer à ce départ, arguant que ce gouvernement n’avait aucune autorité pour fonder une telle requête.
« Au Niger, au moment où je vous parle, nous avons un ambassadeur et des membres diplomatiques qui sont pris en otage littéralement à l’ambassade de France », a déclaré le chef de l’Etat lors d’un déplacement à Semur-en-Auxois (Côte-d’Or, centre-est de la France).
« On empêche de livrer la nourriture. Il mange avec des rations militaires », a-t-il ajouté, dans une allusion aux militaires qui ont renversé le président.
Les rations militaires françaises sont excellentes, certainement les meilleures du monde.
Autant dire que cet ambassadeur est actuellement en train de se goinfrer.
La ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna a toutefois assuré vendredi soir sur la chaîne LCI que l’ambassadeur de France au Niger « travaille » et il restera à son poste tant que le président Emmanuel Macron le souhaite en dépit de l’expulsion voulue par les militaires au pouvoir
Sylvain Itté « travaille (…) Il nous est très utile par ses contacts, par ceux de son équipe, il y a encore une petite équipe autour de lui », a déclaré Catherine Colonna. « Il reste tant que nous souhaitons qu’il reste. C’est une décision qui appartient au président de la République », a-t-elle ajouté.
Il n’y a aucune prise d’otage.
C’est comme si un squatteur venait chez vous et qu’il se disait pris en otage parce que vous refusiez de le nourrir.
Autrement dit, Macron a désormais une diplomatie qu’on ne peut comparer qu’à celle d’une famille de roms.
Nous en sommes là.
Ou plutôt, ils nous met là.
L’ambassadeur Sylvain Itté n’a « plus la possibilité de sortir, il est persona non grata et on refuse qu’il puisse s’alimenter », a martelé Emmanuel Macron. Interrogé sur un éventuel rapatriement de l’ambassadeur à Paris, le chef de l’Etat a réitéré : « Je ferai ce que nous conviendrons avec le président Bazoum parce que c’est lui l’autorité légitime et je lui parle chaque jour ».
C’est grotesque.
Macron se croit en mesure de dire qui dirige quoi dans en Afrique.
Il vit dans une fiction. En fait, il est fou à lier.
Cet ambassadeur joue de malchance. Il va devoir rester dans cette ambassade à attendre que Macron cesse de le torturer en espérant que sa crise égotique se calme.
« La République islamique est une pieuvre et le voile obligatoire un de ses tentacules qu’il faut à tout prix couper pour la détruire. »
Le Point publie l’interview de Narges Mohammidi, vice-présidente du Centre pour la défense des droits humains, incarcérée depuis novembre 2021 à la prison d’Evin à Téhéran, où elle purge une peine de 16 ans d’emprisonnement…
Le magazine lui a transmis des questions écrites, laquelle a réussi à faire sortir ses réponses.
Son combat a valu à cette ingénieur de 51 ans de passer l’essentiel de ces vingt dernières années en prison, laissant son mari élever, seul, ses deux enfants en exil en France.
« Comment définissez-vous le mouvement Femme, vie, liberté ?
Il fait suite à l’émergence au cours des dernières décennies de mouvements sociaux dans les domaines des femmes, des enseignants, des ouvriers et des droits de l’homme, avec l’idée principale de sortir d’un système religieux despotique pour accéder à la liberté, à l’égalité et à la démocratie. Il s’agit d’un mouvement qui cherche à changer l’organisation politique, économique, sociale et culturelle en Iran de sorte à créer de profondes transformations sur la base des fondements de la vie et de l’humain. C’est donc à mon sens une révolution « fondamentale de la vie ».
« Estimez-vous que ce mouvement a échoué ?
Au contraire, je pense que ce mouvement a franchi au cours de l’année écoulée des paliers importants en popularisant l’idée de l’abandon d’un système despotique pour un système démocratique. Il jouera à coup sûr un rôle important dans le choix du pouvoir à l’avenir en Iran et dans son évolution. La vérité est que la colère de la population ne s’est pas apaisée. Et si le mouvement n’a plus la possibilité de mobiliser les manifestants et de lancer des marches à grande échelle, il reste néanmoins en vie grâce à des actions individuelles et collectives créatives, que ce soit dans l’espace public ou virtuel, comme le refus des femmes de porter le voile obligatoire en pleine rue. »
Le hidjab obligatoire demeure l’outil de domination, d’oppression et d’assujettissement de toute la société. De la même manière qu’il a permis de façonner et de renforcer la structure de la théocratie iranienne, il est la démonstration limpide de la privation de la volonté populaire et de la soumission de la société. Par conséquent, dans la stratégie de sortie d’une théocratie despotique, la lutte contre le voile obligatoire n’est pas seulement une affaire de femmes et de féministes, mais joue aussi un rôle important dans le combat du peuple pour le changement de pouvoir. »
« Vous avez dénoncé en début d’année des cas d’agressions, y compris sexuelles, contre des manifestantes emprisonnées. Avez-vous été témoin de telles pratiques ?
J’ai vu des visages boursouflés, des corps tuméfiés, des mentons et des côtes cassées. J’ai également été plusieurs fois témoin de cas de harcèlement et d’agressions sexuelles contre ces femmes. Ces pratiques ont augmenté au cours de l’année écoulée et se sont déroulées aussi bien dans les centres de détention que dans les véhicules du gouvernement. »
« Ce mouvement ne souffre-t-il pas d’une absence de leaders ? En êtes-vous un ?
Fondamentalement, je considère la volonté populaire, la conscience et le courage des contestataires comme autant d’éléments déterminant les changements fondamentaux de la société pour atteindre l’idéal de liberté, d’égalité et de démocratie. Pour ce faire, je crois en la stratégie visant à créer et à renforcer la société civile pour garantir le respect des droits de l’homme en tant qu’élément vital et fondamental de la démocratie. (…) La société iranienne est une société dynamique qui a mené une lutte acharnée pour mettre sur pied des institutions civiles venant du peuple. Elle est en perpétuelle évolution. Dans cette lutte, elle a connu des hauts et des bas, et a vu émerger des personnalités et des figures reconnues, fortes et fiables, capables de coopérer avec le peuple et de lutter contre le pouvoir. Ces figures peuvent représenter le consensus, le mouvement et le progrès. J’espère pour ma part que la communauté internationale, les organisations des droits de l’homme et les médias du monde entier aideront le peuple iranien à instaurer la démocratie en soutenant ces personnalités et ces institutions civiles indépendantes, car elles peuvent jouer un rôle très important dans le contrôle des violations des droits de l’homme ainsi que dans la transition pacifique du pouvoir. Ces personnalités ont besoin d’un soutien international. »
« Est-il encore possible de batailler pour le futur de l’Iran depuis la prison ?
La prison est le noyau dur de la résistance de la société iranienne et notre combat à l’intérieur de celle-ci est un message clair au pouvoir despotique selon lequel la prison n’entravera pas notre mouvement de vie, de résistance et de lutte contre le pouvoir. (…) Voilà pourquoi il est de la responsabilité des défenseurs de la liberté, des militants des droits de l’homme et de tous ceux qui luttent dans le monde pour la paix, la solidarité, l’amour et l’espoir de ne pas oublier les prisonniers politiques et de lutter pour leur liberté. »
« Que peuvent penser l’époux et les fils de Narges Mohammidi, réfugiés dans un pays où les femmes voilées sont de plus en plus nombreuses et âprement défendues par une multitude de pseudo-féministes et nombre d’élus ?
Honte à ces célébrités qui se coupèrent quelques mèches de cheveux en « solidarité » avec les Iraniennes opprimées et emprisonnées !
Honte soit faite à toutes ces politocardes et politocards qui se targuent de protéger la cause des femmes en défendant le hidjab, le burkini et l’abaya, au nom de l’anti-racisme et de l’islamophobie !
Honte aux journalistes qui jamais ne les confrontent à leurs mensonges ignominieux et contradictions scandaleuses ! »
++ WEBTUBE :Les événements se précipitent, crise économique majeure, déclassement de notre pays, invasion migratoire… Dans ce monde de plus en plus hostile et dangereux se regrouper pour faire front devient de plus en plus nécessaire pour le peuple français de cœur.
L’article ci-dessous:
Les événements des dernières décennies ont « déboussolé» un grand nombre d’individus, lesquels se sont réfugiés vers ce qui leur semblait être une solution, adhésion à des partis politiques, des blogs ou sites internet, des clubs de sport, tir sportif, sports de combat. Les émeutes de 2023 et l’explosion de la délinquance vont encore renforcer les inquiétudes et donc les réactions.
Ainsi divers mouvements sont nés ou se sont développés, parmi ceux-ci le survivalisme; dans le passé, pendant la guerre froide par exemple, les adeptes du survivalisme étaient principalement dans la crainte d’une guerre nucléaire. Aujourd’hui ce sont plutôt des événements climatiques ou sanitaires qui motivent les survivalistes. Ces gens qui se préparent à la fin du monde étaient souvent moqués ; ces dernières années cependant, l’effondrement économique prévisible, visible même, l’invasion migratoire encore plus visible, le développement de la violence ont provoqué de nouvelles adhésions à ce mouvement. On ne sourit plus en entendant le mot survivalisme, on s’y intéresse. Ce dernier semble de plus en plus intégrer des techniques d’autodéfense, on craint la guerre civile, laquelle est même évoquée publiquement et en plus haut lieu, les attentats islamistes et la violence des banlieues sont passés par là ; c’est logique.
La première chose que cherche l’être humain après la satisfaction de ses besoins naturels de survie, manger, boire, c’est la sécurité. Doutant que l’État puisse le protéger, l’individu cherche une alternative, en se regroupant autour d’une organisation semblant pouvoir lui assurer une alimentation quoi qu’il arrive et une plus grande force de défense par le groupe en cas de problème de sécurité physique.
L’adhésion à des partis politiques nouveaux ou relativement nouveaux comme le FN devenu RN ou Reconquête a aussi fait partie de la réaction, une grande masse de la population semblant croire que l’expression démocratique pourrait être une solution. Cela pourrait être ou devrait être le cas mais c’est sans compter sur les embûches émises par le système en place, diabolisation, remplacement d’une partie de l’électorat de souche, confiscation du pouvoir par des structures supranationales.
Il est probable qu’à terme, un bon nombre des militants de ces partis sentant l’impossibilité d’arriver au pouvoir ou la stérilité qui risque de suivre leur arrivée au pouvoir, rejoindront de nouveaux bataillons de communautaristes alternatifs. Déjà les éléments les plus radicaux des idées patriotiques et identitaires se regroupent en communauté d’affection à travers de micro-partis politiques ou d’associations. Ils semblent mûrs pour adhérer à une communauté, la communauté des Français de souche.
À coté de ces tendances, il y a la masse des gens qui préfèrent regarder ailleurs ou feignent de ne pas voir, de ne pas croire. D’autres cependant, en quête d’une identité, deviennent parfois écolo radicaux, végans, se plongent dans des mouvement féministes souvent douteux ou LBGTistes, eux aussi se communautarisent. Sans oublier des communautés étrangères liées à l’invasion migratoires de ces dernières décennies, la France de demain ainsi que tous les pays occidentaux, seront communautaristes.
Pour revenir au camp patriote et identitaire, les éléments les plus conscients de la situation, les plus éduqués sur le drame que nous vivons, les éléments les plus radicaux diront certains, représentent déjà une grande masse. Si on additionne les adhérents des principaux partis, les membres de partis politiques considérés d’extrême droite, les lecteurs de revues comme VA, les téléspectateurs de Cnews, de TVL, RR, RL, Fdesouche, Breizh info, etc., les suiveurs de bloggeurs tel Rochedy, Papacito et bien d’autres, il est difficile d’en évaluer le nombre. Cependant on peut supposer qu’ils pourraient être 2 ou 3 millions.
Pour l’instant, ces millions de gens n’ont peu ou pas conscience qu’ils pourraient former une communauté, laquelle en s’organisant pourrait non seulement peser sur l’évolution de la société mais aussi leur offrir une sorte de salut qui leur permettrait d’ores et déjà de vivre entres eux une certaine victoire de leurs idéaux. Vivre c’est combattre disait Venner, se battre c’est bien, mais gagner c’est encore mieux; mais surtout se battre en voyant la victoire impossible peut être traumatisant. S’organiser en communauté d’affection, au niveau économique, politique, culturel, éducatif peut donner un sentiment de victoire indispensable à son équilibre, dans ce monde occidental qui semble évoluer vers les abîmes.
L’avenir de l’homme blanc occidental semble évoluer dans une forme étendue de survivalisme communautaire.
++ WEBTUBE :C’est malheureusement le choix de nos dirigeants, une telle incompétence est insupportable. A croire que tout cela est voulu !
Cette interview est parue peu après la tribune des généraux, mais avec les nouvelles émeutes que connait la France et les tensions communautaires qui s’aggravent, elle a encore toute sa place, aujourd’hui comme demain.
Avoir enterré la lettre des généraux sans en mesurer la portée, comme l’a fait Emmanuel Macron, est un crime qui aura des conséquences funestes dans un futur proche. C’est un lâche renoncement qui sera reconnu comme tel le jour où tout explosera dans le pays, mais trop tard.
Il n’y aura jamais de mondialisation heureuse compte tenu de l’échec de l’intégration. De jour en jour, c’est le chaos racial qui se propage dans une société de plus en plus violente, où la République, la laïcité et le “vivre-ensemble” ne cessent de reculer. La France est en péril mais le pouvoir civil reste les bras ballants. Nous dansons sur un volcan.
Cette lettre des généraux, que le pouvoir a voulu faire passer pour une réaction de factieux menaçant la République, n’a jamais été une incitation au putsch. Elle est avant tout un message d’alerte, réclamant au pouvoir civil des mesures urgentes avant la désintégration de la nation, porteuse de conflits interethniques et interconfessionnels tragiques.
Le lien en début d’article, “résilience urbaine”, reprend une interview d’un officier supérieur, qui nous livre ses réflexions sur l’état réel de la France et sur cette guerre civile qui couve et qui préoccupe l’Institution militaire, compte tenu de l’inaction d’un pouvoir civil inconscient du danger.
En voici quelques extraits, mais je vous invite à lire l’interview dans son intégralité. Ceux qui attendent que l’armée agisse hors du cadre légal se trompent. L’armée n’a pas vocation à faire un putsch et ne prendra le contrôle du pays que si le pouvoir civil est défaillant en cas d’insurrection généralisée. C’est au peuple de décider de son destin, pas à l’armée. Je cite :
“La partie de la lettre où nos Anciens parlent de la guerre qui vient et des « milliers de victimes » qui vont s’accumuler, est la plus frappante. Et la plus inquiétante.
Cette lettre n’est pas seulement une lettre. C’est une image de notre patrie détruite par la guerre.
La situation est, je crois, infiniment plus grave que ne le laissent entendre nos aînés.
Ce que j’essaie de vous faire comprendre, c’est que presque tous les jeunes cadres de notre armée, les futurs sergents, lieutenants, colonels et généraux sont conscients que la France est certes en train de s’effondrer. Mais surtout, ils sont conscients qu’elle va vers la guerre.
Cette lettre est un appel à l’action dirigé vers les politiciens. C’est aussi un appel à la prise de conscience adressé au peuple français.
Cette lettre était une alerte, rien de plus, il n’y a pas de complot de militaires patriotes qui, dans l’ombre, préparent un coup d’État pour sauver la France.
Il est très probable qu’un jour, pour une raison ou une autre, la population française se mettra à bouger sur des bases plus ou moins claires. Et il est très probable qu’à ce moment-là, une fois la fenêtre d’opportunité ouverte, l’armée en profitera et pèsera de tout son poids d’un côté ou de l’autre.
La balle est maintenant dans le camp des Français. L’acteur principal du prochain acte ne sera pas l’armée, ce sera le peuple français. Ce sera vous. L’armée la plus puissante de France, c’est vous, une coalition de 67 millions de civils.
Ce qui est menacé, c’est la France. Ce qui est menacé à moyen et long terme, ce sont les Français de souche.
La France n’est pas attaquée, elle ne meurt pas tuée par un ennemi plus fort. Elle se suicide.
C’est ce débat qui devrait être au centre de la scène publique, et c’est ce débat tabou qui n’est pas évoqué par les généraux : celui de la tension raciale qui commence et qui va atteindre un pic paroxystique.
La question qui se pose au XXIe siècle est celle de savoir si les Français de souche auront encore un pays à la fin du siècle. C’est tout.
Le “Grand Remplacement” n’est pas une théorie, le remplacement démographique est une observation empirique de base.
Les bébés qui peuplent nos maternités ne sont pas les arrière-petits-enfants des Français du XVIe siècle. Celui qui ose dire le contraire est un négationniste.
J’espère que les parents qui lisent ceci en sont conscients : le monde que vous connaissez n’existe plus pour vos enfants. Il n’existe plus. Leur monde, c’est le Brésil mélangé au Liban, ce n’est pas les Trente Glorieuses.
Les Français comprendront qu’il ne s’agit pas seulement d’un débat théorique, lorsqu’ils comprendront que c’est leur vie, en tant qu’individus et en tant que peuple, qui est en jeu.
Les Français comprennent-ils la gravité de la situation ? Absolument pas. Je le pense vraiment.
Le sort des Français de souche est déjà liquidé. Que vous soyez de gauche ou de droite, si vous me lisez, sachez que dans tous les cas le scénario du film est déjà écrit, et vous n’êtes pas au casting.
Pour l’instant, la situation en France se maintient de manière assez artificielle… En 2050, un enfant (de souche) naîtra dans une France où plus de 65 % des autres enfants seront d’origine africaine. C’est une dynamique inéluctable, car la démographie est inéluctable et les instincts tribaux ou raciaux que la démographie réveille sont violents.
« La sueur épargne le sang », les Français refusent depuis plusieurs années d’affronter réellement et définitivement le problème, ils auront donc le sang.
La politique échouera à résoudre le problème. Regardez la Yougoslavie, le Liban, l’Afrique du Sud, la Palestine…La guerre s’imposera donc naturellement comme la seule possibilité pour le perdant d’obtenir ce qu’il veut.
Il est maintenant trop tard. La vérité que personne n’ose affirmer est que nous ne pouvons plus traiter le problème de manière pacifique ou politique (immigrés trop nombreux, depuis trop longtemps, avec l’aide de trop de traîtres).
La question n’est donc plus « comment agir pour éviter l’éclatement du pays, la division, la partition, la guerre civile ? ». La seule question qui se pose est : « Quand cette rupture arrivera-t-elle et comment en triompherons-nous ? »
Les Français ont un droit inaliénable et exclusif sur la terre de leurs ancêtres et tant qu’ils porteront cette certitude comme une flamme dans leur cœur, ils seront invincibles.
Le défi militaire sera gagné en quelques jours. Si l’armée avait les mains libres, le pays entier serait « libéré » en dix jours. Si l’armée avait les mains libres, le pays entier et ses institutions seraient purgés en un mois. La difficulté est ailleurs.
La question qui va se poser est en effet la suivante : “jusqu’où la population française est-elle prête à aller pour garantir sa survie et l’avenir de ses enfants ?”
———————————-
Je vous laisse lire le scénario imaginé par les groupes de réflexion qui cogitent sur le sujet au sein de nos armées et échangent leurs travaux. On n’est plus dans le roman ou la fiction, mais dans l’analyse la plus réaliste qui soit, ponctuée d’innombrables inconnues. À vous d’en juger. Il est en tout cas vital que nos cadres militaires pallient les défaillances d’un pouvoir civil aussi lâche qu’irresponsable, qui poursuit sa politique suicidaire de désintégration de la nation.
Comme dans toutes les guerres, se révéleront les lâches et les héros, les traîtres et les patriotes. Mais dans un éventail qui va de la soumission à la guerre totale, nombreux sont les scénarios possibles.
Que le commandement se prépare au pire, c’est une évidence. Mais que le pouvoir civil prenne le risque au sérieux, je n’en crois rien. Si Macron et la classe politique jugeaient qu’une guerre civile est probable, l’arrêt de l’immigration deviendrait une priorité. Or, tout empire. Quand Gérard Collomb, parfaitement renseigné sur le volcan qui gronde dans les banlieues, a évoqué le face-à-face entre communautés dans les cinq ans, qui l’a écouté ?
La France des Trente Glorieuses fut un paradis. Mais des légions de traîtres, de gauche comme de droite, car je mets tous les partis qui ont gouverné dans le même sac, ont livré notre France millénaire aux délires mondialistes qui vont disloquer la nation et ses 2000 ans d’histoire.
C’est donc au peuple de prendre conscience de la gravité de la situation, qui ne cesse d’empirer. Ou bien ce peuple français a conservé au tréfonds de lui-même l’ADN de nos Poilus de 14-18 et il va se battre pour l’avenir de ses enfants, ou bien il est devenu un peuple irrémédiablement avachi, mûr pour la soumission sans combattre. Ce sera le sursaut salvateur ou bien la fin de l’Histoire pour le peuple gaulois.
++ WEBTUBE : Avec la vague d’arrivée de clandestins à Lampedusa, ce genre d’affaire n’est pas près de s’arrêter. Que fait-on ?
Un Limougeaud a découvert son appartement occupé par des squatteurs ce mercredi en rentrant du travail. Les trois hommes, qui sont en situation irrégulière en France, avaient même changé le barillet de la serrure. Ils seront jugés en 2024 et sont sous le coup d’une obligation de quitter le pays.
Un locataire limougeaud est tombé nez à nez avec un squatteur alors qu’il rentrait du travail, ce mercredi 13 septembre. (…)
Cet Algérien, sans papiers ni domicile, a été interpellé par la police et placé en garde à vue, de même que ses deux complices présumés qui se sont présentés un peu plus tard à cet appartement. Le locataire a porté plainte pour l’effraction, mais aussi pour vol de bijoux et d’un chéquier notamment. Des faits niés en bloc par les trois individus, malgré la découverte dans leurs affaires d’objets rattachés à d’autres affaires de vols et violations de domicile.
Le plus jeune, âgé de 20 ans, avait déjà passé une partie du week-end précédent en garde à vue, pour des violences sur un agent de sécurité du supermarché Hyper U de Corgnac. Il était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), de même que l’homme de 30 ans qui se trouvait dans l’appartement à l’arrivée du locataire.
++ WEBTUBE : C’est le moins que l’on puisse faire !
Fin août, des étudiants du Niger, Mali et Burkina Fasoont reçu un message du ministère des affaires étrangères les informant de l’annulation de leur séjour en France en raison de la crise diplomatique en cours.
Le mail est arrivé le 30 août, deux jours avant le départ pour la France de Koffi (prénom d’emprunt), étudiant burkinabé et doctorant en géographie. « J’ai le regret de vous informer que nous annulons notre soutien pour votre séjour en France, toutes les prestations de Campus France sont annulées (billet d’avion, allocations et assurance santé)», y annonçait un interlocuteur du ministère de l’Europe et des affaires étrangères.
La décision fait suite aux « événements intervenus à Niamey [Niger] fin juillet », poursuit l’auteur de ce message que Le Monde s’est procuré, en référence au coup d’Etat mené par des généraux désormais au pouvoir. « La France a suspendu son aide au développement à destination du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Cette décision concerne également les bourses de mobilité du gouvernement français, dont vous êtes bénéficiaire », acte-t-il. Soit une somme de 1 500 euros mensuels, pour une durée de trois mois, que devait percevoir Koffi durant son séjour de recherche en France. […]
Du côté du ministère de l’enseignement supérieur, on assure que concernant la délivrance de nouveaux visas, la situation sera « réévaluée dans les semaines à venir à l’aune de l’évolution sécuritaire dans la région ». « Il n’a jamais été question et il ne sera jamais question ni de faire payer les populations pour les erreurs de leurs dirigeants ni de confondre coopération scientifique et politique », justifie l’entourage de Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur.
Les coopérations existantes avec des universités ou d’autres établissements scientifiques se poursuivront, ajoute-t-on. « Les intellectuels, les chercheurs et les étudiants qui doivent se rendre en France et qui détiennent déjà un visa pourront, comme les artistes, continuer de le faire », affirme l’entourage de la ministre. Le cas du doctorant Koffi montre pourtant que jusqu’ici, la détention d’un visa ne semble pas suffire pour permettre une mobilité.
Une chose est sûre, selon le ministère : les étudiants originaires des trois pays qui poursuivent leurs études actuellement en France et bénéficient d’une aide financière d’un opérateur public continueront de la percevoir. Au cours de l’année 2022-2023, Campus France a recensé un total de quelque 3 000 étudiants maliens, 2 500 Burkinabés et 1 200 Nigériens.
« Je ne peux pas admettre que ce prédateur, cette pourriture, ait pu être en liberté, dehors avec ce qu’on savait de lui. Les autorités connaissaient toutes ses condamnations. Il faisait régner la terreur dans son quartier, dans sa famille. Mais non, il pouvait se promener comme ça tranquillement en ville… Faut vraiment pas que je pense à ça. Ça me rend fou. »
Mais pour l’Etat français, le danger, ce sont les militants identitaires qui dénoncent l’inaction de l’Etat et appellent les citoyens à organiser eux mêmes leur défense et celle des leurs puisque les autorités ne font rien. Les policiers qui les ont arrêté suite à un barrage filtrant samedi ne faisaient rien, dans le même temps, pour lutter contre le crime organisé.
La République française contre son peuple ? C’est l’impression que cette féroce répression donne (le procès est ajourné suite au refus des militants de paraitre en comparution immédiate). Ils sont en attendant tous sous contrôle judiciaire pendant que d’autres sont remis en liberté y compris en ayant commis des actes inqualifiables. Pour évoquer cette affaire, témoin de l’effondrement de l’Etat d’un côté, de sa férocité de l’autre, nous avons interrogé Edouard, jeune porte-parole du mouvement Argos.
A écouter ci-dessous.
Une cagnotte de soutien a été lancée par l’ASLA, en soutien aux militants poursuivis. C’est ici pour aider.
⚠️ Les 12 militants Argos interpellés suite à leur action pacifique devant le domicile d’Oumar N. passeront devant le tribunal demain matin après 48H DE GARDE À VUE.
Ils sont poursuivis pour :
1️⃣ Provocation à la commission d’un crime ou d’un délit en raison d’un slogan inscrit… pic.twitter.com/lk4P72tCNx
Tous les matins, Apolline de Malherbe reçoit chaque jour la personnalité qui fait l’actualité dans son “Face à face”. Politiques, femmes et hommes issus de la société civile, grands patrons… se succéderont à son micro. En simultané sur BFMTV. Ci-dessous l‘interview politique intégrale de Marion Maréchal.
Jean Messiha se rebiffe. L’homme qui a monté la cagnotte destinée à la famille du policier, devenue un phénomène de société, appelle à soutenir les forces de l’ordre dans une grande manifestation, le 30 septembre, à Paris. « Une écrasante majorité des Français soutient les forces de l’ordre », martèle-t-il. Lucide, remonté, jamais avare de phrases chocs, Jean Messiha évoque les élections européennes, les stratégies des partis et la sienne pour la France. Sans oublier l’essentiel : « Quand ils nous parlent d’Europe, c’est pour en finir avec la France », lance-t-il. Et sans ménager le pouvoir pris en flagrant délit d’incohérence sur l’abaya. « Comment, chaque année, voulez-vous faire entrer en France 500.000 personnes légales et illégales dont une grande majorité est musulmane pour venir, ensuite, en aval, regretter que les musulmans soient ce qu’ils sont, c’est-à-dire musulmans ? », demande-t-il. Le puncheur Messiha est monté sur le ring et n’est pas près d’en descendre.