Un sondage de l’institut CSA pour CNews du 7 septembre dernier indique que 64 % des Français sont favorables à l’arrêt de l’immigration extra-européenne en France. Ce qui ne manifeste nul racisme rampant, mais du bon sens au regard des difficultés d’intégration de certaines catégories d’immigrés et de la faillite du processus d’assimilation de celles-ci.
L’erreur habituelle est de vouloir considérer les phénomènes de migration comme un tout homogène. Certaines immigrations ne posent que peu de difficultés. D’autres beaucoup. Qui oserait prétendre que le laxisme migratoire a été une réussite et que l’état de certaines de nos banlieues est exemplaire ?
La majorité des Français réagissent avec logique. Les migrations extra-européennes provenant d’aires de civilisation différentes de la nôtre, parfois antagonistes, comme les terres de l’islam conquérant, posent plus de difficultés que des immigrations de pays appartenant à la même civilisation.
L’historien de la démographie Dupâquier, longtemps membre du PCF, et Vejarano voyaient dans les mariages mixtes l’aboutissement du processus d’intégration et soulignaient le fort taux de mariage mixte chez les Italiens, dépassant 74 % pour les filles (Les naturalisés et leur destin 1986). Plus proche de nous Beate Collet et Emmanuelle Santelli (Couples d’ici, parents d’ailleurs, PUF 2012) notaient au contraire que 61 % des Français de deuxième génération, dont les parents étaient d’origine turque, maghrébine ou sahélienne, choisissaient un conjoint de même origine.
En fin de compte, c’est que traduit intuitivement le sondage de CSA. Et le fond du problème n’est pas tant une question de géographie qu’une question de civilisation. Ainsi par son caractère massif et indifférencié l’immigration actuelle ne peut déboucher que sur un échec, des tensions, des troubles de l’ordre public, dont les récentes émeutes ont été un exemple.
Pendant ce temps, imperturbable, la Commission européenne souhaite développer la « migration légale » car, selon elle, « grâce à un système bien géré, la migration peut contribuer à la croissance, à l’innovation et au dynamisme social » (pacte européen sur la migration et l’asile). Elle prône ainsi la mise en place de « voies d’accès légales et durables » ainsi que « des programmes destinés à mettre en adéquation, grâce à la migration légale, les besoins de main d’œuvre, les besoins de compétence et ceux du marché du travail ». Sous les bons sentiments, se dissimule mal la volonté de « pomper les cerveaux », de se procurer une main d’œuvre à bon marché et de compenser l’atonie démographique de la vieille Europe. Dans les faits, il s’agit aussi d’imposer un multiculturalisme périlleux qui fait perdre « cet aspect d’amitié » qui, selon les penseurs des Lumières, caractérisait un peuple.
Il est permis de souligner que l’un des enjeux géopolitique est que les pays du sud de forte émigration puissent se développer sur le plan économique et se stabiliser sur le plan politique afin que leurs populations puissent trouver un avenir sur leur terre. Ce n’est certes pas en les privant de leurs meilleurs talents que l’on y parviendra.
La doctrine de la Commission est celle du « pacte mondial pour les migrations » dit pacte de Marrakech (2018), qui a pour objectif d’« élargir et diversifier les filières de migration sûre, ordonnée et régulière » et qui affirme qu’à l’heure de la mondialisation, « les migrations sont bénéfiques pour tous ». Lors de sa signature, il avait été dit qu’il ne serait pas contraignant. Repris par la Commission, dans son esprit et certaines de ses formules, il est en passe de devenir obligatoire. Pour le moment deux règlements européens sur les procédures et la gestion de l’asile et de la migration (10083/23 et 10084/23 du 6 juin 2023) ont été adoptés par le Conseil et présentés au Parlement européen. Ils organisent la relocalisation des demandeurs d’asile. Ce qui a provoqué d’âpres discussions. Le ton est donné.
Une fois encore l’oligarchie mondialisée veut imposer ses vues à des peuples qui ne les partagent pas. Comment s’étonner du discrédit de classes politiques aux ordres, qui pensent qu’elles peuvent impunément gouverner contre leurs peuples ?
Les parents sont destinataires d’un nouveau document produit par le ministère, intitulé « Rentrée 2023 : ce qui change pour votre enfant ». Le titre est explicite et peut susciter l’intérêt du public ciblé. Mais par quoi commence-t-il ? « Des professeurs mieux rémunérés : Pour reconnaître leur engagement auprès de vos enfants, tous les enseignants bénéficient dès septembre d’une augmentation de salaire sans condition de 125 à 250 € nets par mois ». On se demande en quoi la question du salaire des enseignants concerne les parents, et constitue un « changement » pour leur enfant ? Ils ont même mis en gras les mots « augmentation de salaire », pour être sûrs que les parents ne passent pas à côté de cette information essentielle…
Gabriel Attal reprend l’idée des remplacements au débotté. Rien de nouveau, cela se faisait déjà dans la plupart des établissements lorsque c’était possible, ce qui est malheureusement rarement le cas.
Il annonce « plus de savoirs fondamentaux ». On ne peut que s’en réjouir. Quels changements pour cela ? Ils revoient enfin les programmes et le contenu des examens ? Ils suppriment les activités annexes chronophages et inutiles ? Non. Ils intègrent une heure de soutien en 6è, en français ou en mathématiques, et imposent une nouvelle évaluation en 4è, qui s’ajoute aux évaluations de CP, CE1, 6è et Seconde. A-t-on vraiment besoin d’évaluer encore les élèves, alors que les enseignants passent leur temps à le faire et que nous pourrions tous parfaitement renseigner l’administration sur le niveau de nos chers petits ? Le diagnostic est posé depuis longtemps, le temps du traitement curatif semblerait venu. Mais pas pour le ministre, qui veut toujours plus d’évaluations « diagnostiques » (c’est leur nom, comme si les élèves étaient malades…). Dernière mesure : « Pour consolider les savoirs fondamentaux et combler d’éventuelles lacunes, davantage de stages de réussite sont organisés pendant les vacances scolaires. 100.000 heures supplémentaires à l’échelle nationale seront assurées par des professeurs ou des personnels de l’éducation nationale ». 100.000 heures pour 12 millions d’élèves, ça ne fera pas lourd par élève… Si on les prend par groupe de 15, cela fait 6 minutes de cours. De quoi combler de grosses lacunes. Cela ne concernera donc qu’un petit pourcentage d’élèves. On se demande bien lesquels…
Enfin, le document présente les dernières mesures choc. D’abord l’ouverture d’une « plateforme d’écoute spécialisée » pour lutter contre le harcèlement scolaire. Tout va donc changer, et l’on peut dormir tranquille dans les chaumières. « Les équipes sont formées à la prévention, au repérage et à l’écoute ». Première nouvelle ! Cela a dû être une formation flash, car on ne l’a pas vue passer. Ensuite, « afin de lutter contre les infections à papillomavirus humains, votre enfant pourra dès octobre être vacciné gratuitement au collège ». Les garçons aussi évidemment, car on ne va pas les priver de ce vaccin au motif qu’ils ne peuvent pas développer de cancer de l’utérus. Le document paraphé par le ministre se termine sur cette information essentielle, qui saura rassurer tous les parents soucieux de l’avenir de leur enfant. Ayez confiance, le ministre prend à bras le corps la question de la chute du niveau scolaire ! Ça va bien se passer.
Voici pourquoi aux européennes, je voterai pour la liste Marion
La campagne pour les élections européennes ne va pas tarder et chaque parti se met en ordre de bataille.
Désignée comme tête de liste Reconquête par Éric Zemmour, Marion Maréchal vient d’accorder une interview au JDD. Elle y exprime une vision claire de la situation, sans se livrer aux contorsions habituelles qu’affectionnent les politiques sans conviction ni courage. Quand Macron godille sans cesse de droite à gauche sur tous les sujets, fidèle à son débile “en même temps”, au point de dire tout et son contraire, au point de dire blanc et de faire noir, chez Reconquête, on garde le cap.
Zemmour entend sauver la France quand Macron fait tout pour la détruire, tandis que les autres partis sont complices du désastre.
Pour les patriotes, conscients des ravages provoqués par l’idéologie mondialiste imposée par les illuminés de Bruxelles, il s’agit de faire basculer l’Europe actuelle, tenue par la gauche et le centre, vers une droite authentique, qui défend les nations et l’héritage culturel européen, bien loin des délires multiculturalistes qui n’apportent que le chaos et aggravent la fracture identitaire.
Comme le dit Marion, il est temps de “répondre à la triple menace que représentent la submersion migratoire, l’islamisation et l’effondrement de la natalité sur notre continent.”
Elle nous rappelle que les LR, au sein du PPE, le Parti Populaire Européen, sont les principaux complices de la politique dévastatrice menée par Ursula von der Leyen.
“Les Français doivent savoir que les élus de monsieur Ciotti ont placé Ursula von der Leyen à la tête de la Commission, que ses députés européens ont voté, par exemple, la répartition obligatoire des migrants, les sanctions contre les gouvernements conservateurs polonais et hongrois, ou encore les accords commerciaux qui ont ruiné notre industrie et notre agriculture.”
On le voit, Ciotti est le roi du double jeu. Il tient un discours de droite musclé mais soutient la politique mondialiste qui nous détruit. Depuis 1990 et les Assises sur l’immigration de Villepinte, la droite a toujours trahi en reniant ses convictions identitaires. Les LR sont des imposteurs qui se disent gaullistes alors qu’ils bradent la nation et soutiennent Macron contre les partis patriotes et souverainistes.
C’est pour cela que Marion en appelle aux électeurs trahis de la droite LR, pour qu’ils rejoignent Reconquête afin que la voix de la France en Europe soit respectée.
Reconquête se démarque clairement du RN et de LR
“Nous sommes les seuls à dire à la fois qu’un Grand remplacement est à l’œuvre, que la France n’a pas vocation à devenir une terre d’islam, que le travail doit payer plus que l’assistanat, que la théorie du genre est une idéologie dangereuse et la GPA une monstruosité. Nous défendons nos idées sans avoir peur du politiquement correct.”
La boussole, pour Marion, c’est la défense de notre civilisation européenne :
– En assumant et en affirmant nos racines chrétiennes
– En refusant l’islamisation de nos nations
– En protégeant nos entreprises, nos frontières et notre indépendance en matière numérique ou agricole
– En refusant la repentance
– En valorisant notre incroyable patrimoine culturel, architectural, naturel.
Marion multiplie les contacts avec des leaders conservateurs européens, heureuse d’avoir été reçue en Hongrie par le plus emblématique d’entre eux : Viktor Orban.
Sur le pouvoir d’achat et l’inflation, la solution ne passe pas par des chèques sans provisions qui plombent la dette déjà abyssale, mais en diminuant la fiscalité, en limitant la dépense publique, en valorisant le travail et en freinant l’assistanat.
Les gisements d’économie sont nombreux :
– Dépenses sociales égales au tiers du PIB, record mondial
– Politique de la ville sans résultat, ayant englouti 117 milliards depuis 2010
– Subventions publiques aux syndicats, régime ruineux des intermittents du spectacle, “sur-administration”, etc.
Autant de tabous qu’il faut briser pour ne pas décourager les chefs d’entreprises et les Français qui travaillent.
Voilà un programme qui me convient parfaitement.
J’ajoute que Reconquête est le seul parti qui refuse de rejoindre la meute haineuse harcelant l’Ours russe. Même Bardella se dit admiratif du patriote Zelensky, oubliant que le régime mafieux et corrompu de Kiev détourne des centaines de millions de l’aide occidentale et revend les armes de l’Otan qu’on retrouve sur le darknet. Un patriote qui sacrifie son peuple (400 000 tués) aux seuls intérêts américains, au lieu de négocier, ne suscite pas mon admiration.
Pour Zemmour, il faut défendre une vision gaullienne d’une Europe de Brest à Vladivostok. La France doit entretenir un dialogue avec Moscou, refuser tout alignement et mener sa diplomatie propre.
Pour ce faire, il faut quitter le commandement intégré de l’Otan et reconnaître qu’un monde multipolaire se met en place, où l’Europe devra compter avec des nations comme la Chine, l’Inde, le Brésil, qui ne veulent plus de cette domination occidentale qui a régné sans partage depuis 1945.
Au dernier sondage, Reconquête est crédité de 7 % aux européennes. Soit autant que le score de Zemmour à la présidentielle. Pour un parti qui n’a aucun élu au Parlement national, c’est un bon score avant que la campagne commence. LR est à 9 %.
Puisse Marion porter haut les couleurs des patriotes qui refusent la soumission au mondialisme et entendent défendre les 2 000 ans d’histoire de notre chère France et ses 1 500 ans de chrétienté.
C’est ce fabuleux héritage culturel qu’il faut avant tout protéger pour le léguer aux générations futures. La France appartient aux Français qui l’ont construite dans le sang et les larmes au fil des siècles, elle n’appartient pas aux mondialistes qui veulent la détruire, en la diluant dans le grand village mondial de leurs rêves.
Les nations, les peuples et leur histoire, la famille traditionnelle n’accepteront jamais de disparaître en cédant aux délires des mondialistes.
Je soutiendrai donc Marion, car Reconquête, c’est notre assurance-vie en tant que nation. Et rappelons que c’est la règle de la proportionnelle intégrale qui s’applique, en un seul tour, évitant ainsi la tambouille électorale des scrutins à deux tours.
Profil des émeutiers de juin : « il y avait beaucoup de Kevin et de Matteo », rapportait Darmanin en juillet dernier. L'étude sociologie qu'il évoquait, démontre que la majorité « sont originaires de l’immigration du Maghreb ou d'Afrique subsaharienne » https://t.co/ZIEPtr2Meepic.twitter.com/oqzKnD4T8B
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) September 11, 2023
Émeutes de juin : le rapport qui pointe l’ultraviolence du désœuvrement
Dix jours d’émeutes d’une ampleur que n’avaient même jamais atteinte celles de 2005, référence du genre. Soixante-six départements métropolitains – dont 13 durant toutes les nuits – et 516 communes ont été touchés, contre respectivement 25 et 200 en 2005. Cette expansion a concerné «des secteurs périurbains, des villes moyennes, des petites communes urbaines isolées ou encore des communes rurales mais aussi des centres-villes» et non plus seulement les quartiers sensibles des agglomérations urbaines comme il y a vingt ans: 15% des infractions ont été commises dans des unités urbaines de moins de 50.000 habitants.
(…) Pourtant, l’autorité judiciaire a travaillé à flux tendu, attesté par des «chiffres considérables». Sur cette période de dix jours, les experts ont totalisé «58.297 infractions en France métropolitaine» pour «12.233 personnes mises en cause», tandis que la Direction des affaires criminelles et des grâces «fait état de 4481 mesures de gardes à vue». Dans 81% des dossiers, «les condamnés ont agi en coaction». «En l’espace d’un mois, les parquets ont été saisis de 4164 auteurs, 26 mis en cause pour l’une des 549 natures d’infractions susceptibles d’être liées aux violences urbaines». L’ampleur a été telle qu’elle a obligé les magistrats à «modéliser les organisations à mettre en place en pareille situation et à intégrer la gestion de crise dans leur fonctionnement quotidien».
(…) Majoritairement âgés de 18 à 24 ans, les condamnés se déclarent à 87% célibataires, sans enfant à charge, hébergés à titre gratuit et à 36% inactifs. 29% des auteurs ne détiennent aucun diplôme et 38% sont titulaires d’un diplôme inférieur au baccalauréat (BEP, CAP, brevet des collèges). Enfin, selon la Préfecture de police de Paris, «une grande majorité des émeutiers interpellés sont des jeunes individus de nationalité française, mais originaires de l’immigration (2e ou 3e génération), principalement du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne».
++ WEBTUBE :C’est avec un réel plaisir qu’on retrouve les analyses de Charles et Emmanuelle Gave.
Dans cette nouvelle video de rentrée de l’Economie expliquée par mon père, Charles et Emmanuelle Gave reviendront sur trois thèmes centraux principaux. I/ Alors que Bruno Lemaire, ministre de l’Economie et Christine Lagarde se complaisent à l’idée d’avoir laissé le pic de l’inflation derrière nous, qu’en pense Charles Gave? A cet effet, ce dernier à mis au point un indice qui nous appellerons l’indice “Gilets jaunes” qui est loyer+energie (chauffage, essence)+ alimentaire. Cet indice nous montre au contraire un décrochement pour les classes les plus populaires et une baisse du niveau de vie de 10% 14:10 Que penser de l’idée “arrêtons de consommer”? Par Charles Gave. 20:28 Que penser de Bernard Arnault? 28:00 L’immobilier en Europe? 30:26. LA CHINE Explication du cycle de Juglar et de Afftalion. 36:24 Ou acheter en Chine? 44:00 Les BRICS.
Pierre Gentillet est l’invité spécial d’Éric Morillot pour ce Bistro Libertés de la rentrée. Cet avocat très médiatique, qui a fait ses armes à TVL, appartient à cette jeune génération qui revendique l’appartenance à une droite décomplexée. Avec les sociétaires, ils évoquent les deux sujets du réchauffement politique de cet été : les émeutes de juillet en France et la guerre en Ukraine qui ne connait pas de trêve. L’insécurité est-il un fléau français ? La sécurité, un droit bafoué ? Faut-il s’inquiéter de la montée de la violence en France ? Comment pacifier les banlieues ? Guerre en Ukraine, bientôt la fin ? Quel bilan tirer d’un été agité ? S’achemine-t-on vers la fin du conflit ? Poutine est-il encore crédible aujourd’hui ?
Certaines statistiques sonnent comme des gifles pour nos gouvernants européistes et mondialistes, toujours si certains de la supériorité de leur politique. Ainsi de la révision des perspectives économiques du Royaume-Uni. Le Monde, peu suspect d’excessive sympathie pour le Brexit, est bien obligé de le reconnaître : « L’économie britannique (est) finalement nettement plus solide qu’annoncé », annonçait le quotidien du soir sur son site le 4 septembre. Les Echos titrait aussi le 1er septembre : « La révision des chiffres du PIB (Produit intérieur brut) place le Royaume-Uni parmi les meilleurs élèves en Europe ».
Le redressement du voisin anglais s’annonce spectaculaire. « Au lieu du bonnet d’âne, l’économie britannique pourrait finalement se voir décerner des lauriers pour la rapidité avec laquelle elle s’est relevée du Covid en 2021 », écrit Les Echos. Selon les nouveaux chiffres du Bureau de la statistique nationale britannique (ONS), à fin 2021, le PIB du Royaume-Uni était de 0,6 % supérieur à son niveau d’avant-pandémie, et non inférieur de 1,2 % à ce même niveau. « L’économie britannique se serait ainsi placée parmi les plus performantes au sein des pays développés, contredisant le qualificatif
“d’homme malade de l’Europe », couramment véhiculé depuis le Covid et le Brexit », admet le quotidien économique et financier français.
Evidemment, le ministre des finances anglais Jeremy Hunt, qui n’a pas eu que des bonnes nouvelles à annoncer ces derniers temps, triomphe : « Le fait que le Royaume-Uni se soit redressé de la pandémie bien plus rapidement que ce qu’on pensait donne tort à ceux qui sont déterminés à dénigrer l’économie britannique », a-t-il écrit sur X (ex-Twitter). Une pierre dans le jardin des défenseurs aveugles de l’Europe de Bruxelles, les macronistes français, leur chef en tête.
Ces chiffres récents devraient inciter nos européistes à la plus grande prudence, voire à une humilité de grand pénitent. Car que n’a-t-on entendu jusqu’à aujourd’hui de ce côté-ci du Channel sur la folie autodestructrice et la stupidité ontologique de nos voisins anglais, endormis, bernés, trompés, ruinés, abêtis et envoyés dans le mur par les sirènes fatales des épouvantables « populistes » du Brexit. Inutile de rappeler les milliers de titres de presse annonçant la ruine du système anglais à court terme. En décembre 2020, au moment où le Royaume-Uni quitte effectivement l’UE, une dépêche Reuters résume la pensée de la classe dominante en France : « Les opposants au divorce avec l’UE y voient une sottise qui va affaiblir l’Occident, torpiller ce qui reste de l’influence du Royaume-Uni sur la scène internationale, nuire à l’économie britannique et, au final, laisser simplement un groupe d’îles moins cosmopolite », résume Reuters. En France, les mondialistes pleurnichent bruyamment. Le ministre Clément Beaune, alors secrétaire d’Etat aux affaires européennes, parlait d’un jour à la fois « historique et triste » : « Le Brexit doit nous enseigner un certain nombre de leçons, d’abord sur les mensonges qui ont été proférés, et on verra que ce qui a été promis – une sorte de liberté totale, d’absence de contrainte, de rayonnement – (…) n’arrivera pas », tranchait ce grand visionnaire qui en rajoutait une louche à l’antenne de LCI : « Avec le Brexit, je crois que c’est le Royaume-Uni qui se punit lui-même ».
Réveils douloureux
Passons sur l’incroyable mépris de la démocratie de la part du personnage, les Britanniques ayant voté clairement… Un bond du PIB ? Voilà une punition qui arrangerait bien les Français ! Moins de trois ans après le départ effectif du Royaume-Uni de l’UE, les grands prophètes et donneurs de leçons apparaissent plus proches du bonnet d’âne que du prix de la prévision économique. Evidemment, tout ne va pas bien au Royaume-Uni aux prises avec une immigration folle, entre autres. Une hirondelle ne fait pas le printemps et il est encore tôt pour tirer des conclusions définitives de l’évolution post-Brexit. Mais les éternels distributeurs de mépris à Bruxelles et en France, formidablement représentés par le camp macroniste, si rapides à pincer le nez envers une monarchie (pouah !), europhobe (horreur !), risquent d’avoir demain des réveils douloureux.
Venu d’un pays qui s’apprête à donner un sérieux tour de vis à sa politique migratoire, Charles III arrivera donc en France ce 20 septembre après un report honteux de son voyage pour cause de chienlit dans nos banlieues. Pas de quoi pavoiser et, pourtant, l’Europe anti-nationale reste la seule idée forte, invariable, d’Emmanuel Macron.
Manuel Valls, souvenez vous. C’est notre ancien Premier ministre, ayant quitté la France en claquant la porte, et qui avait cru pouvoir se refaire une santé politique en Espagne. Vous connaissez la suite, un fiasco. De retour en France, il tente désespérément d’exister en rêvant d’un retour en politique, comme beaucoup d’autres politiciens mis sur la touche prématurément, incapables de se résigner à vivre loin du pouvoir.
Dans une tribune du Figaro, Manuel Valls s’en prend au discours de Nicolas Sarkozy, lequel souhaite une sortie du conflit en décrétant la neutralité de l’Ukraine, qui n’a pas vocation à intégrer l’Otan ou l’UE, et en statuant sur le sort de la Crimée par voie référendaire.
En dénonçant la sage position de Nicolas Sarkozy, Valls reprend le récent discours de Jospin, en bon petit soldat de l’Otan.
Ce qui est frappant dans les propos de Manuel Valls, c’est la pauvreté de ses arguments, rabâchant une fois de plus le narratif otanien avec la mauvaise foi la plus renversante. C’est très simple : toutes les causes réelles qui ont poussé Poutine à lancer son offensive sont évacuées, ne subsistant que les mensonges et les faux procès à l’encontre du Tsar.
Qu’un ex-Premier ministre ose étaler autant de contre-vérités en prétendant éclairer le lecteur laisse pantois.
Ou bien Valls ment sciemment en véhiculant le discours otanien, ou bien il ne connait rien au dossier ukrainien. Dans les deux cas, il n’est pas crédible. Il est vrai que contredire Washington n’est pas très porteur quand on aspire à un retour aux affaires. Sa tribune n’est qu’un tissu de niaiseries sans intérêt et un monument d’hypocrisie.
– Pas un mot sur l’élargissement de l’Otan, passée de 16 membres en 1990 à 31 aujourd’hui, alors que le Pacte de Varsovie a été dissous dès 1991. Qui menace qui ?
– Pas un mot sur le deal entre Gorbatchev et les États-Unis : “oui à la réunification allemande, à condition qu’il n’y ait pas d’élargissement de l’Otan à l’Est”
– Pas un mot sur le coup d’État de la CIA en 2014, pour renverser le gouvernement prorusse en place à Kiev
– Pas un mot sur le non-respect des accords de Minsk de 2015, qui prévoyaient l’autonomie du Donbass
– Pas un mot sur la guerre du Donbass, qui a fait 14 000 morts en huit ans et qui a martyrisé les populations russophones des républiques séparatistes
– Pas un mot sur les crimes de guerre de Kiev durant huit ans, pourtant dénoncés par Amnesty International, par Human Right Watch, par la Croix Rouge et par l’ONU
– Pas un mot sur l’odieuse agression de l’Otan contre Belgrade en 1999 et le dépeçage de la Serbie en l’amputant du Kosovo en 2008
– Pas un mot sur les mensonges d’État des Occidentaux pour déclencher leurs guerres injustes (armes de destruction massive imaginaires en Irak, faux génocide au Kosovo, etc.)
– Pas un mot sur la présence d’unités nazies dans l’armée ukrainienne, alors que Kiev assume pleinement cette réalité
– Pas un mot sur le régime mafieux et corrompu de Zelensky, qui détourne une partie des aides occidentales et revend les armes de l’Otan, qu’on retrouve sur le darknet
– Pas un mot sur les innombrables demandes de Poutine, réclamant des garanties de sécurité pour l’Europe, toutes rejetées avec mépris par Washington
– Pas un mot sur l’offensive contre le Donbass, que Kiev avait programmée pour mars 2022, avec une armée équipée, formée et conseillée par l’Otan
– Pas un mot sur l’appel au secours des populations du Donbass, réclamant d’urgence la protection de la Russie
– Pas un mot sur la mise au ban de l’humanité des athlètes russes, des artistes russes, de la culture et de la science russes, qui nous ont tant apporté.
Cet acharnement contre le peuple russe fait des Occidentaux des barbares, au même rang que les talibans dynamitant les Bouddhas géants de Bâmiyân ou les jihadistes détruisant les vestiges de Palmyre. Une infamie impardonnable qui montre combien les Américains, mais aussi leurs valets, ont la haine des Russes.
Comment être crédible en évacuant toutes les causes réelles de cette guerre et en faisant de Poutine l’unique agresseur ? Voilà tout ce que Manuel Valls a mis sous le tapis, en prétendant “éclairer l’opinion”. C’est cela le discours otanien, c’est cela la morale occidentale, qui prétend défendre la démocratie après avoir fomenté un coup d’État pour placer un régime antirusse à Kiev.
La neutralité de l’Ukraine est la condition essentielle pour assurer la paix en Europe. Poutine ne veut pas de missiles à ses frontières, tout comme John Kennedy ne voulait pas de fusées russes à Cuba en 1962. Est-ce si difficile à comprendre ?
Chacun sait que les Américains ont toujours menti et que si l’Ukraine intègre l’Otan, des armes nucléaires américaines y seront aussitôt stationnées, parce que l’Amérique a la haine des Russes et n’a jamais accepté la fin de la guerre froide.
Non monsieur Valls, Poutine n’a jamais voulu s’emparer de l’Ukraine. Il voulait renverser le régime antirusse mis en place à Kiev par la CIA en 2014. En revanche, il est clair que l’Amérique dominatrice rêve de disloquer la Fédération de Russie pour mieux la spolier de ses immenses richesses. Sinon, comment expliquer que l’Otan s’est élargie de 16 à 31 membres, alors que les Russes ont dissous le Pacte de Varsovie ? Washington n’a jamais voulu de cette Europe de l’Atlantique à l’Oural si chère au général de Gaulle.
En France, tous ceux qui se réfèrent au gaullisme sont des imposteurs. En soutenant l’Ukraine, ils montrent leur vrai visage d’atlantistes intégristes. Ce sont en fait les pires ennemis du gaullisme. Ils ont d’ailleurs saccagé l’héritage des Trente Glorieuses légué par le Général.
L’annexion de la Crimée en 2014, c’est la légitime réponse de Poutine aux Américains, qui ont dépecé la Serbie en 2008, alliée des Russes. Mais à l’époque, Poutine n’avait pas encore reconstruit son armée pour voler au secours de Belgrade.
C’est l’Otan qui a “violé de manière flagrante la souveraineté d’un État indépendant en Europe”, en décrétant l’indépendance du Kosovo de façon unilatérale et au mépris du droit international. Poutine, quant à lui, n’a fait que récupérer la Crimée historiquement russe.
Oui, monsieur Valls, la guerre sème la mort, apporte son lot d’atrocités et de souffrances, avec des conséquences humaines, politiques et économiques dévastatrices. Mais à qui la faute ? Cette guerre était largement évitable :
– si les Occidentaux avaient respecté et appliqué les accords de Minsk, au lieu de persécuter les populations du Donbass
– si Washington avait écouté Poutine, qui réclamait des garanties de sécurité en Europe
Mais l’Otan voulait la guerre, croyant ne faire qu’une bouchée de l’Ours russe en l’asphyxiant économiquement mais en sous-estimant tragiquement la puissance de l’armée russe. Rien ne s’est déroulé comme prévu.
Votre position d’intensifier l’escalade, “en livrant munitions, armes de précision à longue portée et d’avions de combat”, prouve que vous ne savez pas de quoi vous parlez et que vous ignorez totalement le risque d’un embrasement.
Pour en ex-Premier ministre, cela fait léger.
Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi Washington n’envoyait pas ses propres légions en Ukraine ? Vous ne vous êtes jamais interrogé sur la suprématie de l’armée russe en armes nucléaires et surtout en armes hypersoniques ? Poutine a mis vingt ans pour reconstruire son armée tandis que nous détruisions la nôtre. Mais aujourd’hui, les Russes ont vingt ans d’avance sur les Occidentaux.
C’est pour cette raison que Biden sacrifie le peuple ukrainien.
Vous êtes un va-t-en-guerre qui semble ignorer que la France ne tiendrait que trois jours dans une guerre de haute intensité. Avec ses 200 chars Leclerc, ses 200 Rafale (qui ne sont pas tous opérationnels) et ses maigres munitions, notre armée est squelettique après plus de trente années passées à récolter les dividendes de la paix. Notre sort serait réglé encore plus vite qu’en 1940.
Vous semblez ignorer également que la contre-offensive ukrainienne a échoué, malgré le sacrifice de 66 000 soldats morts aux ordres de Biden. Kiev est en train de perdre sa troisième armée et ni les avions, ni les missiles longue portée que vous espérez, ne changeront la donne. Aujourd’hui, ce sont 820 soldats tués au combat et 980 blessés que Kiev a perdus. Faut-il s’obstiner ?
N’avez vous pas compris que Poutine a construit en vingt ans la meilleure armée du monde avec l’industrie de l’armement la plus performante qui soit et surtout avec les meilleurs ingénieurs ? Personne ne peut vaincre les Russes et certainement pas les Américains, qui cumulent les échecs avec leurs essais hypersoniques, l’arme invincible des Russes, capable de d’arriver à mach 10 sur un bunker enterré à 100 m de profondeur ou de couler un porte-avions comme une coquille de noix.
J’ose espérer que vous ne croyez pas à la fable otanienne de la reconquête. En trois mois, les Russes ont avancé dans le secteur de Kharkov, tandis que les Ukrainiens ont “repris” 250 km2 sur les 120 000 km2 gagnés par Moscou. Le gain territorial des Ukrainiens est donc de 0,2% pour 66 000 soldats tués ! Difficile de trouver bilan plus sanglant. Soit 260 morts par kilomètre carré gagné ! Et vous souhaitez continuer ?
Pour conclure, c’est à cause d’irresponsables comme vous que le peuple ukrainien est saigné. Vous prêchez la guerre contre la Russie, confortablement installé chez vous, sans prendre le moindre risque, tout comme Biden et ses valets européens.
Mais qui assumera la responsabilité des 400 ou 500 000 morts ukrainiens, sacrifiés aux seuls intérêts américains et finalement morts pour rien, puisque Poutine ne peut que gagner cette guerre ? Serez vous comptable des centaines de milliers de morts, de veuves et d’orphelins, sacrifiés sur l’autel des délires otaniens ? Non, bien sûr. Tous les leaders occidentaux se laveront les mains de la tragédie ukrainienne provoquée et entretenue par Washington.
En incitant à l’escalade, en entretenant le mythe d’une défaite russe, vous prolongez l’hécatombe et l’agonie de l’Ukraine. Kiev perd 20 000 soldats chaque mois, qui sont tués au combat et on dénombre encore plus de blessés. N’est-ce pas suffisant ? Vous faut-il toujours plus de sang ukrainien par soumission à Washington et aux fous furieux du Pentagone ? Jamais Poutine ne reculera et il est impossible de vaincre la Russie, il serait temps de le reconnaître avant que tout devienne incontrôlable.
Cette guerre, une fois de plus, a été voulue et orchestrée par les Etats-Unis depuis des années. Ils attisent les braises en se gardant bien d’évoquer les véritables causes de la guerre qui remontent à 1990. Une guerre alimentée par des mensonges éhontés, dont les américains sont coutumiers et que les lâches Européens n’osent pas dénoncer.
Mais les Russes qu’on diabolise injustement, savent très bien que ce ne sont pas les mensonges qui font les victoires. Et une fois la paix revenue, les esprits étant calmés, la Russie sera toujours en Europe et saura choisir ses amis.
Jamais de Gaulle n’aurait trahi nos amis russes par soumission à Washington. C’est son petit-fils Pierre de Gaulle qui est dans le vrai, en défendant l’héritage de son grand-père. Mais il est bien seul. Macron et ceux qui partagent sa position sur l’Ukraine, seront dans le camp des perdants.
Quel ratage historique, alors que la France avait un rôle majeur à jouer en oeuvrant pour la paix et en s’opposant à la livraison d’armes qui tuent des Russes, nos alliés de 14-18 et de 1945, qui nous ont délivrés de la barbarie nazie. Combien de victimes, militaires ou civiles, ont fait nos canons Caesar dans le Donbass ?
Et Manuel Valls veut que ça continue ! Je suppose qu’il n’a jamais entendu parler de l’épopée du Normandie-Niémen, quand des pilotes français combattaient l’Allemagne nazie aux côtés des pilotes russes sur des Yak-3.
Mais visiblement, Valls semble ignorer tout ce qui nous lie aux Russes et tout ce que nous leur devons. Et s’il croit que l’Amérique nous veut du bien, il se trompe lourdement. Les Américains n’ont pas d’amis. Ils ont des alliés qu’ils n’hésitent pas à poignarder dans le dos sans aucun état d’âme, comme ils viennent de le faire avec la France, en torpillant notre méga contrat des sous-marins australiens.
Ce coup de poignard méritait une sortie de l’Otan, mais Macron s’est couché misérablement.
18/06/2010 – PARIS – FRANCE Manifestants lors de l’apéro géant saucisson pinard, Avenue des Champs-Élysées, organisé à l’occasion des 70 ans de l’Appel du 18 Juin
Jean Dujardin subit la critique de l’ensemble de la gauche. Il a osé faire une cérémonie d’ouverture franchouillarde, où on met en avant les traditions françaises, le terroir, le vrai vivre-ensemble, l’amour de la gastronomie, de notre mode de vie, de nos métiers d’antan.
On croirait entendre tout ce que nous avons entendu quand nous avons organisé l’apéro saucisson pinard, le 18 juin 2010.
On comprend encore mieux pourquoi la gauche ne veut plus de porc dans les cantines, et veut imposer plein de clandestins dans ces campagnes célébrées par Dujardin : parce qu’elle déteste notre pays, veut remplacer les Français par des Africains, qui deviendront français et voteront pour Mélenchon et ses collabos.
Que ceux qui n’ont pas encore compris cela retirent les peaux de saucisson qu’ils ont devant les yeux…
++ WEBTUBE :La France ça ressemble de plus en plus à un pays du tiers monde. On n’arrive plus à organiser aucun évènement correctement. Ca sent mauvais pour les JO de 2024.
“J’ai cru mourir”, affirme un supporter du XV de la Rose au “Mail Sport”.
La presse anglaise tire à boulets rouges dimanche 10 septembre sur l’organisation de la Coupe du monde de rugby en France après les scènes de “chaos” rencontrées à l’extérieur du stade Vélodrome de Marseille avant le match entre l’Angleterre et l’Argentine samedi soir. Différentes vidéos font le tour des réseaux sociaux. On y voit des milliers de fans bloqués à l’extérieur du stade à quelques dizaines de minutes du coup d’envoi.
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) September 10, 2023
Le Guardian parle de scènes “de chaos dans la file d’attente”. Le Daily Mail a assisté à des “scènes de bousculade” avant les palpations de sécurité. “J’ai cru mourir”, affirme un supporter du XV de la Rose. Le Sunday Times et le Telegraph concluent en expliquant que “des centaines de supporters ont raté le coup d’envoi”. […]
Au moment de se rendre au Vélodrome ce samedi soir, les conditions d’accès étaient cependant difficiles. Et pour cause : arrivés tard et tous convaincus qu’il fallait entrer par le parvis du Rond-Point du Prado, une foule immense s’est massée devant le stade, empêchant certains supporters d’assister au coup d’envoi fixé à 21 heures.[…]