🔴 [Info @Valeurs] Bruno Guillon séquestré avec sa famille
Les 4 auteurs, 3 de "type africain" et 1 de "type nord africain", ont extirpé les victimes de leurs lits, le canon d'une arme de poing a été posé sur le front du pèrehttps://t.co/GQPv3e3zTV
Quatre individus auraient pénétré au domicile de l’animateur dans la nuit de mardi à mercredi avant de repartir avec des montres, des bijoux et des sacs de luxe.
Les faits se sont déroulés en pleine nuit, aux alentours de 3h40 du matin. Bruno Guillon affirme avoir été séquestré avec sa famille – sa compagne et un enfant de 14 ans. Selon lui, quatre hommes sont entrés par effraction dans son domicile.
L’animateur explique avoir été menacé à l’aide d’une arme de poing et d’un marteau. Sa femme, elle, aurait été ligotée et bâillonnée.
Les individus seraient repartis avec des montres, des bijoux et des sacs de luxe. Le couple, qui n’a pas été blessé, est en état de choc.
Tandis que le monde de l’édition pour bobos parisiens et journalistes de gôche attend chaque année la « rentrée littéraire » qui accouche tout de même majoritairement de navets indigestes, des milliers de lecteurs eux, sont dans l’attente du livre non conformiste, impertinent, qui sortira. Et bien souvent, chaque année, c’est Laurent Obertone qui jette des pavés dans la marre.
Avec Raisonnablement sexiste, vous allez vous régaler. Et réfléchir. Il faudrait peut être même le faire digérer à Sandrine Rousseau et consorts.
C’est incisif. Percutant. Cela vous pousse y compris dans vos propres retranchements. Et surtout, c’est drôle, parfois noir. C’est un livre qui, dans une autre société ne ressemblant pas à un asile à ciel ouvert, pourrait même s’appeler traité de la normalité entre les hommes et les femmes.
Voici comment Magnus, son éditeur, présente le livre (à commander ici) :
Jamais les hommes et les femmes n’ont été à ce point malmenés, niés, séparés les uns des autres, par une époque qui semble jurer leur perte. Une relation déjà difficile, chaque jour un peu plus empoisonnée. D’un côté les salauds qu’il faut déconstruire, de l’autre les malheureuses oppressées, victimes du patriarcat sexiste.
Féminisme Netflix, wokisme « non binaire », théorie du genre dans les écoles… L’évolution des rapports amoureux, de la sexualité, des familles et des couples s’avère catastrophique.
Il est temps de renverser la vapeur.
Spécialiste des vérités qui dérangent, Laurent Obertone rompt une nouvelle fois avec le dogme, pulvérise les tabous, et nous plonge dans un bain de réel.
Comprendre les hommes et les femmes, les ramener à leurs particularités et aspirations fondamentales, pour mieux les réconcilier, les unir et les accomplir. Lecteurs et lectrices, voici l’heure du bilan sans concession, et du traitement de choc. Dans cette tragédie dont nous sommes les héros, vous seuls pouvez remettre les choses à l’endroit.
Tel est l’objet de ce livre décapant.
Tel sera le tombeau du politiquement correct.
On ne va pas vous spoiler ce livre, que vous lirez sans doute d’une traite en quelques heures, en vous régalant.
Par contre, nous avons interrogé Laurent Obertone, pour l’évoquer. Entretien ci-dessous.
Breizh-info.com : Quelle a été votre principale inspiration pour écrire “raisonnablement sexiste” ? La bibliographie de fin de livre laisse à penser que votre travail de recherche a été considérable….
Laurent Obertone : Ce sujet me travaille depuis très longtemps. Il est le fruit de mes observations et de moult lectures et publications scientifiques. Le plus délicat est de s’abstraire de ce que l’on croit savoir, ce que les médias nous rabâchent, ce que l’air du temps exige, pour revenir à une réalité dénuée d’idéologie. Évoquer de simples différences entre les hommes et les femmes est déjà quelque chose de dangereux, pour peu qu’on ne soit pas honorablement connu des autorités morales (les grands médias et leurs habitués), ça deviendra même un excellent motif de mise à mort sociale… Je dirais que c’est simplement un livre de « bon père de famille », forgé par le bon sens, conçu dans la durée, à l’abri de l’hystérie médiatique, qui régulièrement nous explique tout le chemin qui reste à faire pour gommer nos spécificités, nos identités. Ce que nous sommes.
Breizh-info.com : Comment définiriez-vous le féminisme ? Comment votre perspective sur le féminisme a-t-elle évolué au fil des changements sociétaux de ces dernières années ?
Laurent Obertone : D’abord affaire de revendications modestes autour de la condition des femmes, puis très vite sorte de panoplie idéologique bourgeoise, d’étiquette morale marketing, avec force de censure, comparable à l’antiracisme, le féminisme est au fil du temps devenu bien difficile à définir, tant il a pris plusieurs formes. Aujourd’hui des militantes se réclamant du féminisme peuvent à la fois prôner l’égalité totale de tout (aspirations, salaires, sentiments, etc.), donc l’indifférenciation entre hommes et femmes dès le plus jeune âge, mais aussi leur séparation totale, la sexualité la plus débridée ou son refus, le port du voile ou la nudité, la prostitution ou son interdiction, la déconstruction des uns et des autres, la mise à genoux option stérilisation du “patriarcat des puissants” – les hommes blancs hétérosexuels –, le soutien des hommes trans dans les compétitions féminines, la promotion de la dénatalité ou de la GPA, etc. Il est bien difficile de s’y retrouver, et ce féminisme a généralement tendance à s’effacer derrière les exigences wokistes. On peut rester féministe vis-à-vis des cartables roses, du vocabulaire et des magasins de jouets, mais on sera plus réservé vis-à-vis du harcèlement de rue, des violences et des viols quotidiens par centaines.
Breizh-info.com : En lisant votre livre, on se sent parfois bousculé, moqué même (qui peut prétendre ne pas se reconnaitre dans quelques uns des exemples que vous citez). Votre but était-il également de pousser chacun à faire une sorte d’introspection autour de sa propre vie, de ses propres contradictions ?
Laurent Obertone : Exactement ! Je m’inclus moi-même dans cette introspection, nous manquons souvent de recul sur nous-mêmes, beaucoup sont capables de mener des vies professionnelles abouties, et ramer lamentablement du point de vue sentimental ou conjugal. Nos actes ont des conséquences, nos sentiments des raisons profondes, et il n’est pas interdit d’y réfléchir, de se comprendre, de se mettre à la place de l’autre. J’ai voulu conduire le lecteur à se regarder en face, car je continue à penser qu’en prenant un peu de recul, lui seul détient la possibilité d’améliorer sa vie et ses perspectives, bien plus que quiconque – tel gourou, penseur, idéologue, politicien, etc. – ne pourra le faire à sa place.
Breizh-info.com : Eu égard du degré d’hystérie, mais aussi de manque d’humour (ou de recul) qui tend à se massifier dans nos sociétés occidentales qui ne supportent plus ni débat, ni critique, n’avez vous pas peur qu’y compris certains de vos lecteurs soient choqués, vexés finalement, par ce que vous écrivez ?
Laurent Obertone : Oui, j’ai toujours cette crainte. L’appréciation du second degré sans les smileys pour le souligner est devenu un bien plus rare que l’or… Mais je reste partisan de cette méthode « coup de pied au cul », dont le but est de faire réagir le lecteur, dans son intérêt. Si un livre sur un tel sujet n’est qu’un moment divertissant, il manquera son but. Le lecteur est souvent prompt à attribuer les critiques qu’il lira à d’autres, son voisin, son conjoint, son patron, le but est aussi qu’il se remette en question, et cesse de regarder ailleurs. Pas facile, à une époque où tout est fait pour éliminer la notion de responsabilité. Donc pour paraphraser Churchill, si telle vérité vous fait trébucher, ne passez pas votre chemin trop vite : prenez le temps d’y réfléchir. Rien de tel pour se grandir.
Breizh-info.com : Si vous deviez vendre votre livre à Sandrine Rousseau ou à d’autres personnalités médiatiques féministes, dans le but qu’elles débattent ensuite avec vous, que leur diriez vous ?
Laurent Obertone : Que la confrontation mènera plus souvent à la réflexion sincère, voire à la remise en question, que l’entre soi perpétuel et satisfait. Mais de telles personnalités doivent leur existence et leurs confortables revenus à leur idéologie, si dévoyée soit-elle. Et pour survivre dans un milieu si concurrentiel, il faut se livrer à une course à la radicalité, à qui ira le plus loin dans le délire. Elles n’ont que faire du réalisme, de la vérité, et n’ont aucune raison objective (payante) de s’aventurer sur le terrain du débat avec quelqu’un comme moi. De leur point de vue, je suis une sorte de démon, et on ne parle pas à Satan, ça ne peut que le servir, défaire son image d’épouvantail utile.
Breizh-info.com : Finalement, lorsque vous titrez « raisonnablement sexiste », et lorsque l’on referme votre livre, ne peut-on pas se dire que vous aurez pu titrer « Les relations hommes-femmes ou l’éloge du bon sens » ?
Laurent Obertone : C’est un excellent résumé, la notion de bon sens est fondamentale. Mais j’aime bien la petite touche de provocation d’un sexisme raisonnable, avec la sérénité d’un lion symbolisant nos différences immuables, qui annonce la couleur et suffira déjà à épouvanter Sandrine et son orchestre. De leur point de vue, le fait d’évoquer des différences entre les hommes et les femmes est déjà un crime sexiste inexpiable, motivé par on ne sait quelle haine inavouable, tout juste refoulée. Il est vrai que la déconstruction méthodique de leur « féminisme » représente de leur point de vue une menace mortelle – la survie d’une pensée libre et assumée. Raison de plus pour appeler les esprits, féminins comme masculins, à s’émanciper de leurs interdits, de leur prêt-à-penser, à revenir au réel et à renvoyer paître tous ceux qui veulent nous faire taire et disparaître.
Longtemps, la voiture fut le symbole de la puissance américaine. Elles étaient belles et grandes, elles symbolisaient la liberté, les grands espaces et elles étaient pilotées par les idoles cinématographiques : James Dean, Steve McQueen, tant d’autres. La voiture était la synthèse des deux piliers de la puissance américaine : la puissance industrielle, dont Ford et General Motors étaient les dignes représentants, et la puissance culturelle, par les films, les symboles, les images, dont le cinéma fut l’un des vecteurs essentiels.
Rêve pour les pauvres, qui espéraient pouvoir se déplacer librement, sans contrainte, entre amis ou en famille, c’est au moment où la voiture est devenue plus sûre, plus fiable et accessible à tous, qu’elle fut frappée d’interdit. Peut-être parce que les ouvriers et la classe moyenne se hissaient avec elle au même niveau que les classes élitaires. La voiture fait toujours rêver, mais il est interdit de rêver à voix haute et l’on imagine mal désormais des road movies comme Sideways(2004) à travers les vignes de Californie ou Il Sorpasso (Le Fanfarron, 1962) où le jeune Jean-Louis Trintignant est trimbalé à travers les routes italiennes. Fini les paysages qui défilent et les discussions à contre-vent. La voiture est toujours un symbole, mais un symbole que l’on veut désormais honteux.
La Chine et le rêve automobile
Rien de tout cela en Chine, qui bâtit patiemment sa puissance industrielle, à défaut d’avoir encore, pour l’instant, une puissance culturelle qui crée en Europe un rêve chinois.
En quelques années, la Chine est devenue l’une des grandes puissances automobiles du monde, investissant massivement dans le véhicule électrique dont elle maitrise l’ensemble du processus.
Plusieurs entreprises chinoises, certaines liées à l’État, d’autres plus indépendantes, sont arrivées sur le marché européen au cours des dix dernières années. Certaines ont racheté des marques européennes en déshérence, comme SAIC (Shanghai automotive industry corporation) qui a repris MG, dont le nom et le logo évoquent l’ancienne voiture anglaise et non une voiture chinoise. SAIC est l’entreprise automobile numéro 1 en Chine avec 7,2 millions de véhicules vendus. En 2022, MG a vendu 12 000 véhicules en France, un chiffre encore très modeste, mais en croissance. Une croissance facilitée par l’entêtement de Paris et de Bruxelles à vouloir imposer le véhicule électrique, c’est-à-dire la voiture chinoise. Seul Carlos Tavarès a régulièrement le courage de dénoncer ce suicide industriel et politique, sans être véritablement entendu.
Huawei à la conquête de l’auto
Huawei fait un retour fracassant sur le marché de la tech et de l’industrie. Après les sanctions imposées par les États-Unis, beaucoup pensaient que l’entreprise chinoise ne pourrait plus être compétitive, voire qu’elle devrait s’orienter vers d’autres secteurs économiques. Or début septembre, sans aucune publicité et à la surprise générale, elle a sorti un nouveau smartphone, le Mate 60 Pro, qui est en mesure de rivaliser avec les meilleurs Apple. Surtout, pour sortir ce modèle, Huawei a réussi à s’approvisionner en micro-conducteurs, chose normalement impossible avec les sanctions américaines. Preuve, une fois de plus, que les sanctions économiques ne fonctionnent pas, et que la Chine dispose de solide ressort.
À peine remis de cette sortie remarquée dans le monde des smartphones, voilà que Huawei récidive, mais cette fois-ci dans le secteur automobile. Associé à Chery Automobile, Huawei annonce la mise sur le marché d’une voiture de luxe, pour le mois de novembre, dont l’entreprise promet qu’elle sera supérieure à la Tesla S. baptisée Luxeed, cette voiture est, selon la présentation de la marque, « un mariage entre la puissance technologique de Huawei et la force de production de Chery ». Luxeed est une marque co-lancée par Chery et Huawei, associant ainsi le savoir-faire automobile au savoir-faire technique. Un peu comme si Apple et Ford s’associaient pour produire un véhicule. Le communiqué de lancement annonce une conduite autonome, un stationnement automatique et des commandes vocales.
C’est en 2021 que Huawei a lancé ses premières applications pour l’automobile. Désormais bien implantée, l’entreprise multiplie les partenariats avec les constructeurs chinois, notamment pour créer des puces et des capteurs qui permettent aux voitures de se connecter à internet et entre elles.
Toutefois, si les voitures électriques chinoises sont en train de percer sur le marché européen, en Chine, Tesla est leader pour les voitures électriques haut de gamme. Une place de numéro 1 qui est désormais convoitée par de jeunes pousses chinoises qui rêvent de détrôner l’entreprise américaine. Et pourquoi pas, un jour, accoster sur le marché américain.
L’ambiguïté allemande
Les constructeurs allemands sont eux aussi très présents en Chine, et depuis longtemps. Leurs modèles trouvent un marché conséquent, attiré par la qualité et le luxe des Mercedes et des BMW. La marque bavaroise s’est associée au début des années 2000 avec l’entreprise chinoise Brilliance Auto pour donner BMW Brilliance. Une entreprise particulièrement bien vue par les autorités locales de Shenyang, où le siège et les usines sont implantés, puisque durant les confinements, alors que beaucoup d’usines avaient été contraintes de stopper leur production, BMW Brilliance fut placée sur la liste blanche des usines autorisées à continuer à produire, ainsi que ses fournisseurs. Les mauvaises langues pourront toujours faire remarquer que les caciques du Parti ne voulaient pas être privés de leur voiture et être livrés à temps. En URSS comme en Chine, les apparatchiks conservent leurs privilèges.
Mais la Lune de miel de la Chine et de l’Allemagne pourrait se briser sur le dossier des subventions de l’UE aux véhicules électriques. La Commission vient en effet de se rendre compte que les subventions octroyées aux particuliers pour acheter des véhicules électriques servaient en priorité l’industrie chinoise puisque c’est eux qui possèdent les voitures au meilleur rapport qualité / prix. Une enquête est en cours, qui pourrait aboutir à une hausse des tarifs douaniers à l’encontre des voitures chinoises. Ce qui pourrait conduire Pékin à sanctionner les voitures allemandes en retour. Il ne serait nullement surprenant que, pour sauver son industrie automobile, l’Allemagne fasse capoter l’enquête. Assez facile quand on contrôle les rouages de l’institution européenne. D’autant que les liens entre Olaf Scholz et Xi Jinping sont très bons, surtout quand il s’agit de faire des affaires. Les autorités chinoises ont-elles aussi dénoncé cette mentalité de protectionnisme, appelant à une libre circulation des biens et à l’abaissement des barrières douanières. Un message qui est bien reçu à Berlin, un peu moins à Paris. Dans cette bataille automobile, la France pourrait être, une nouvelle fois, le dindon de la farce.
++ WEBTUBE :Langue de bois quand tu nous tiens. On fait dire ce qu’on veut aux chiffres. Emmanuel Macron est un artiste en la matière !
Comme d’habitude, on décrypte l’actualité du jour. Aujourd’hui on s’attaque à l’intervention de Emmanuel Macron. Si vous êtes nouveau : ici on vous explique les concepts, on vous apporte des connaissances personnelles, et on vous donne un avis subjectif sur les différents extraits présentés. Bon visionnage ! Source : 20h de TF1
++ WEBTUBE :Désolé pour Bruno Guillon mais il faut savoir qu’ en région parisienne, ce sont 3 « homejacking » par jour. Combien en France ? Les chiffres ne sont pas publiés à ma connaissance. Alors on ne pleurera pas sur le sort de M. Guillon parce que personne ne pleure sur le sort de milliers de français qui subissent les mêmes agressions.
Vous, lecteurs, et moi, votre serviteur, nous faisons bien évidemment partie du bas peuple. Nous ne sommes donc que de simples « déplorables » dont la vie de gueux est sans importance aucune. Ça ne se discute pas, puisque cela va de soi pour nos belles élites.
Ce peuple sale, bête et méchant que nous sommes est tous les jours invectivé, insulté, rabaissé, humilié et moqué par les élites artistiques et journalistiques. Et ce même peuple, oh ça alors quelle surprise ! est toujours sommé d’avoir une larmichette à l’oeil lorsque l’une de ces élites est victime d’une malencontreuse rencontre avec des délinquants, pour ne pas dire des chances pour la France !
Pour l’animateur Bruno Guillon, cela a été une rencontre nocturne. Lui et sa famille ont été violemment agressés en pleine nuit par 4 futurs ingénieurs victimes du racisme systémique de la méchante société blanche. Allah en est témoin.
Très étrangement, Bruno et sa famille n’habitent pas là où j’habite : la banlieue parisienne pauvre. Étonnant ! Il habite une petite ville éloignée du tumulte des chances pour la France. L’islamisation des banlieues et la violence quotidienne, il connaît pas, mon Bruno.
Alors les agresseurs entrent en pétant simplement un carreau à la fenêtre, parce que le soir Bruno ne ferme pas ses volets ! Et oui, on n’habite pas dans le même cadre. Toi, mon Bruno, tu vis entouré de gens gentils, moi je vis entouré de gens qui rêvent de tuer des blancs, d’islamiser et de soumettre la France.
Moi, dans ma banlieue parisienne pauvre, je suis obligé de me barricader tous les soirs en fermant les volets et en rajoutant même des barres de sécurité en acier sur ces derniers. Cambriolages, vols, lynchages, meurtres, viols et agressions obligent. Mais, dans la jolie petite ville paisible de Bruno, pas besoin.
Toi, mon Bruno, tu vis tranquille. Moi j’ai été obligé de faire un trou dans le sol en béton de ma maison pour y insérer une barre en acier de plusieurs centimètres de diamètre pour bloquer la porte d’entrée, pour qu’elle ne soit pas trop facilement défoncée en cas de homejacking. Le soir j’accroche une tasse en fer sur l’extrémité de la poignée. Pourquoi ? À l’extérieur si une personne abaisse la poignée pour entrer en pleine nuit, la tasse en acier tombe et rebondit au sol en faisant un énorme bruit, et je suis aussitôt averti que quelqu’un essaye d’entrer. C’est un système d’alarme inviolable.
Mais assez parlé de ma banlieue pourrie. Et parlons de ce drame qui a ému la France entière jusqu’aux larmes. Et ce n’est pas un hasard, car les médias ont tout fait pour émouvoir la populace. Tout comme pour le homejacking de Bernard Tapie. Lui aussi par des chances pour la France venus d’ailleurs. Tiens, tiens, tiens… est-ce une simple coïncidence ?
Alors, puisque c’est une injonction qui vient du sommet : citoyens, citoyennes, sortez vos kleenex ! Le quart d’heure de compassion, d’émotion et d’empathie est réclamé par nos belles âmes qui une fois de plus nous donnent une leçon de savoir-vivre, et de surtout de savoir penser correctement.
Le seul petit problème… c’est que cela ne marche plus. Car toute une partie du peuple n’éprouve justement plus aucune empathie pour les élites donneuses de leçons. Je dirais même que toute une partie du peuple éprouve même une joie mauvaise lorsque ce genre de drame arrive enfin aux élites.
Alors, mon Bruno, j’ai fait ma petite enquête. Qu’en est-il te concernant ? Tu fais partie des élites. Et malheureusement pour toi, à chaque fois qu’une élite, jusqu’à présent protégée, se fait violemment emplafonner par la dure réalité de la vie, cela fait toujours plaisir. Ça n’a rien de personnel avec toi, mais c’est comme ça, tu ne peux rien y faire. Cela aurait pu être n’importe quelle autre élite, le résultat aurait été le même : joie mauvaise.
Pourquoi ? Parce que depuis plus de 40 ans le petit peuple subit ce que tu viens de subir sans que les élites n’éprouvent aucune pitié pour lui. Depuis 40 ans ce sont des millions de victimes (plusieurs millions de crimes et délits commis chaque année en France, soit plus de 10 000 par jour). Victimes d’abord ignorées et bâillonnées, puis conspuées et insultées si elles osent se plaindre au grand jour d’une immigration massive qui détruit leurs vies et celles de leurs enfants.
Depuis 40 ans tous les jours le sang des Blancs coule. Et en France ce sang forme depuis des décennies des rigoles interminables qui s’écoulent continuellement dans le caniveau de l’indifférence des puissants et de nos gouvernants.
Aussi la colère et la rancoeur des Français abandonnés et méprisés ont atteint des sommets ! Car cette injustice détruit insatiablement les âmes, même les plus nobles. Cet abandon et ce mépris déshumanisent comme pas possible. Aussi, mon petit Bruno, faut pas s’étonner quand ces gens du petit peuple finissent par vous dire : « Nous, on n’est jamais venu à notre secours ! Vous, vous n’avez jamais éprouvé la moindre pitié pour nous, pour nos femmes et filles violées, nos enfants rackettés, nos fils lynchés, nos maris poignardés ! Alors, pourquoi devrions-nous éprouver de la pitié pour vous ? Alors nous nous comportons avec les élites de la même façon qu’elles se sont comportés avec nous : rien à foutre de leur malheur.Et même tant mieux ! À leur tour d’en prendre plein la gueule ! »
Et je pourrais continuer sur ces témoignages, mon petit Bruno. Voilà ce que tu pourrais entendre de la part d’une grande partie du peuple au sujet des élites subissant à leur tour la délinquance :
« Vous êtes agressés ? Tout comme vous, on ne viendra pas à votre secours.
Vos femmes sont violées ? Tout comme vous, on ne répondra pas à vos appels à l’aide.
Vos enfants sont rackettés ? Tout comme vous, on ne les protégera pas.
Vos maris sont poignardés ? Tout comme vous, on les insultera en les traitant de racistes et de fascistes, tout en qualifiant leurs agresseurs de victimes. » Etc., etc.
Alors oui, le divorce entre le peuple et les élites est bel et bien consommé. Comment ce divorce finira-t-il sur le long terme ? Voilà la vraie question. Les divorcés deviendront-ils en fin de compte de bons amis ? Ou se haïront-ils encore plus après la séparation ? Ou alors, pire scénario, cela finira-t-il tragiquement, comme un mari violent qui revient tuer sa femme à coups de couteau, ne supportant pas une trahison ? Le peuple pense depuis longtemps que les élites les ont trahis, alors vous pouvez imaginer…
Et les élites commencent à s’en rendre compte. Même des gens comme Jacques Attali commencent, effrayés, à se rendre compte qu’en croyant ouvrir les portes du paradis il y a plusieurs décennies en ouvrant toutes grandes les frontières, ils ont en fait ouvert les portes de l’enfer. Et que le peuple le sait ; sait qui est responsable; sait qui est coupable de cette ignominie ; et qu’ainsi ce même peuple ne regarde plus les élites, mais les fusille du regard.
Alors désolé, Bruno, mais par chez nous, en banlieue pauvre, banlieue gangrenée par une violence effroyable que rien n’arrête et qui s’aggrave chaque année, ici les Blancs pauvres se moquent avec méchanceté de ton homejacking. Désolé, mais c’est la vérité. J’ai fait mon enquête. Interrogé plein de gens. Même résultat dénué de pitié. Même logique de pensée : « Ces gens n’ont jamais eu de pitié pour nous, alors pourquoi en aurait-on pour eux et leurs enfants ?… »
Stephane Fatrov, Riposte Laïque
P.S. : En région parisienne, ce sont 3 « homejacking » par jour. Combien en France ? Impossible de savoir, Dart malin fait du très bon boulot en cachant très bien les chiffres.
Donc le même jour que Bruno, il y a eu 2 autres victimes, 3 la veille et 3 de lendemain. Et ainsi de suite. Mais les autres victimes, personne n’en parle. Étonnant, non ?
Voilà plus de deux semaines maintenant que plus de 10 000 migrants ont débarqué sur l’ile de Lampedusa en Italie, vous avez pu suivre avec BV sur notre site cette crise migratoire inédite. Mais depuis plusieurs questions demeurent : que deviennent ces migrants une fois qu’ils ont mis le pied sur le sol italien, cherchent-ils à venir en France et si oui pourquoi ? Pour répondre à ces questions, Jordan Florentin s’est rendu sur place pour BV, à la frontière franco-italienne de Menton, cette ville qu’on appelle “la perle du sud” à mi-chemin entre Vintimille, en Italie, et Nice, en France. C’est à Menton que se trouvent deux postes-frontières, l’un sur la route qui longe la Méditerranée, l’autre plus haut près de la montagne, et c’est via ces accès que de nombreux migrants tentent chaque jour de fouler notre sol. Dans ce mini docu, nous vous embarquons avec un élu local de Nice bien au fait de la situation, et au plus près des migrants dont vous entendrez les propos chocs que tiennent plusieurs d’entre eux, bloqués en gare de Vintimille, furieux contre notre pays. Vous découvrirez également le parcours d’un homme venu du Cameroun, les motifs de sa tentative de migration en France, et des propos recueillis en caméra cachée qui témoignent de la situation sur place.
++ WEBTUBE :Ce n’est pas qu’un simple fantasme d’un complotiste fou, vu l’état de l’économie en Europe c’est un scénario qui devient de plus en plus crédible. Charles Gave et sa fille nous expliquent tout cela très bien. Alors faut-il se préparer au grand saut ?
Contenu de la vidéo :
Beaucoup d’idées fausses demeurent à propos d’une sortie organisée ou non de l’Euro. Parmi ces idées fausses, nous notons “on ne peut pas sortir de l’Euro” Or , rien n’est plus faux. Aucune construction humaine n’est éternelle. la seule question est de savoir comment nous voulons que cela s’organise: dans la coordination et le coopération ou dans le désordre pare que forcés par le smachés ou des initiatives unilatérales. 02:38 le retour au franc. 13:20 L’Europe de la subsidiarité 20:00 Démarche de l’Asie vis à vis de l’Euro 30:00 Une immense hausse des taux d’intérêts réels à venir. 32:00 Si on sortait demain? 40:00 Sortie de Institutions Européennes. 41:00 Comment relibeliser notre dette.
Le PIB français va chuter de 4% d’ici la fin de l’année. On nous mentirait ??
ALERTE : France : en septembre, pour le quatrième mois consécutif, l'indice des directeurs d'achat (PMI) est en zone de récession et annonce une variation annuelle du PIB français de – 4 % d'ici la fin 2023. Quel décalage avec le discours officiel !#France#recessionpic.twitter.com/7NSygcLiJr
La Russie est un pays en guerre contre l’OTAN et il est sous sanctions, malgré cela elle performe bien mieux que la France.
Il faut croire qu’Emmanuel Macron et Bruno Le Maire sont bien plus létaux pour l’économie d’un pays qu’une guerre contre des dizaines de nations et un embargo total.