Rompu à l’économie réelle en qualité de banquier d’affaires des entrepreneurs patrimoniaux, Raphaël Rossello nous alerte sur l’obligation de réconcilier nos attentes et la réalité économique. Il est l’auteur de L’Opportunité du Covid 19 (2020) et Demain, la fin de l’insouciance ? (2022), parus chez Mareuil Editions. #or#banque#crise#economy Le site de Raphaël Rossello : https://raphaelrossello.com Son livre “Demain, la fin de l’insouciance ?” : https://www.amazon.fr/Demain-fin-lins… Sommaire ⬇️ 📍”00:00” – Introduction 📍”00:24” – Les faillites bancaires aux US 📍”10:30” – Banques, mathématiques et inflation 📍”14:55” – Décorrélation du virtuel avec l’économie réelle 📍”19:05” – Bitcoin, cryptomonnaies et start-up 📍”23:19” – Elon Musk et Tesla 📍”27:10” – Le marché de l’or 📍”36:04” – L’once d’or à 10 000 $ ? 📍”37:53” – Vers un retour aux étalons 📍”44:45” – La France en récession 🖐 Pour plus de vidéos et ne rien rater de nos éclairages sur les métaux précieux, abonnez-vous à notre chaîne et activez la cloche : / @aucoffre ➽ Qui sommes-nous ? AuCOFFRE c’est la plateforme d’achat et de vente en ligne d’or physique, d’argent métal, de platine et de palladium, avec conservation des pièces en or et argent et des lingots de platine et lingots de palladium dans des coffres sécurisés, hors du système bancaire.
Depuis le début du conflit entre la Russie et l’Ukraine, l’Europe subit petit à petit un rationnement énergétique l’obligeant à s’inscrire dans une transition forcée. Entre dépendance énergétique, flambée des prix du gaz et de la facture d’électricité, ou encore fragilisation des centrales nucléaires… Face à cette période de crise énergétique, quelles stratégies se profilent pour l’avenir ? Nicolas Meilhan, conseiller scientifique et membre des Econoclastes, nous donne des éléments de réponses. Sommaire ⬇️ 📍”00:00” – Introduction : présentation de l’invité 📍”00:37” – Un triple choc énergétique 📍”02:28” – L’effondrement qui vient 📍”09:33” – Gaz et pétrole 📍”12:48” – L’absence de vision politique et stratégique 📍”18:15” – Les pénuries et coupures à venir 📍”22:47” – Réindustrialisation et transition énergétique 📍”26:50” – Allemagne, dernier espoir de l’Europe ? 📍”34:27” – Suivre l’exemple Cubain Retrouvez les autres interviews autour des Guerres de demain : https://www.aucoffre.com/les-guerres-…#crise#énergie#effondrement#nucléaire
Ex-champion de France des poids moyens, Julien Marie-Sainte est décédé vendredi à Marseille, à l’âge de 42 ans, des suites d’un arrêt cardiaque.
Tout le monde meurt d’un « arrêt cardiaque ». C’est une façon de dissimuler la cause réelle de la mort.
« C’est arrivé il y a une dizaine de jours, précise Nasser Lalaoui, son ancien entraîneur du CSL Aulnay-sous-Bois. Il a été placé sous respirateur artificiel. La machine a été débranchée vendredi. C’est un véritable drame. Après un décès, on a tendance à dire du bien. Mais Julien, c’était vraiment quelqu’un de très bien élevé, gentil. Et quel boxeur. Il avait un style offensif, avec une garde hermétique. Quand il montait sur un ring, il cherchait le K.-O. »
Né à Cherbourg, où il découvrait tardivement la boxe, demi-finaliste des Championnats de France amateurs à -75 kg en février 2005, Marie-Sainte passait professionnel un an plus tard. Il battait François Bastient aux points pour le titre national vacant en 2010 à Levallois (Hauts-de-Seine), titre qu’il conservait quatre fois, en particulier aux points face à Affif Belghecham à l’issue de dix rounds d’une rare intensité (2011, Aulnay-sous-Bois).
Opéré d’une rupture du biceps gauche, il ne connaîtra plus la même réussite. En Championnat d’Europe, il était arrêté au troisième round contre l’Ukrainien Maksym Bursak (2013 Aulnay). Deux ans plus tard, il raccrochait les gants avec 37 victoires (dont 26 avant la limite), 1 nul et 7 défaites, la plupart en fin de carrière. Il devenait éducateur spécialisé et s’installait à Marignane, près de Marseille.
À son épouse, à ses trois enfants, à sa famille, L’Equipe présente ses condoléances les plus émues.
Pensez à faire votre rappel vaccinal à la rentrée pour mourir à Noël.
#COVID_19 Les vaccins Pfizer et Moderna devraient être efficaces contre le variant Eris. La nouvelle campagne de vaccination démarrera en France à la mi-octobre. Seul le vaccin de Pfizer y sera disponible. https://t.co/I89lhsW8sq
La responsabilité de ceux qui savent est toujours plus lourde. Or, Nicolas Sarkozy sait. C’est manifeste, dans l’entretien qu’il donne, ce dimanche 27 août, au Parisien, en marge du lancement de son livre Le Temps des combats. À droite, on ne peut plus entendre Sarkozy : le prix de la déception, du sentiment de trahison. Et pourtant, le constat livré dans Le Parisien par l’ancien Président rejoint (enfin !) celui d’Éric Zemmour, de Jean-Marie Le Pen jadis ou de Marine Le Pen aujourd’hui. « Dans 30 ans, il y aura 2,5 milliards d’habitants en Afrique et 450 millions en Europe. Le modèle occidental est en train de disparaitre. La civilisation judéo-chrétienne est menacée de disparition. Donc, oui, ça peut mal se terminer. »L’analyse de son ancien conseiller Patrick Buisson n’aura pas été vaine. Même lucidité lorsque l’ancien Président parle des quartiers dans lesquels, autrefois, on ne pouvait sortir car ils étaient éloignés des centres-villes et dans lesquels, aujourd’hui, « on ne peut même plus entrer ».
« La crise migratoire n’a pas commencé »
La vérité frappe lorsqu’il fait ce constat : « Il y a dans notre pays le déni d’une immigration non maîtrisée, une intégration ratée, un communautarisme institutionalisé qui génère aussi une délinquance […] » Sarkozy sait, voit, il a compris l’enjeu. Grand Remplacement ? « La crise migratoire n’a pas commencé et nous sommes face à un défi majeur certain », lance-t-il. Il plaide pour une aide massive à l’Afrique alliée à une fermeté redoublée : « Toute personne qui essaiera d’entrer en Europe sans avoir déposé un dossier dans son pays verra son admission refusée », propose-t-il. C’est la politique préconisée par le gouvernement britannique, entre autres. Une mesure de bon sens.
L’analyse est bonne. Or, « quand on ne pose pas le bon diagnostic, on ne peut pas trouver la solution », souligne encore l’ancien Président lui-même, dans cet entretien. Mais voilà, quand l’analyse est bonne, il faut l’accompagner d’une volonté farouche pour ne pas retomber dans les errances politiciennes funestes, celles qui ont causé la ruine de la France sous le mandat Sarkozy : explosion de la dette et de l’immigration, et victoire de la gauche dans la foulée.
Mais où est-il, ce courage, quand l’ancien Président appelle à une large alliance de la droite, d’Éric Ciotti à Zemmour, mais… sans Marine Le Pen. « J’ai toujours combattu la famille Le Pen », dit-il, tout en renvoyant aux pelotes ceux qui la mettent hors de « l’arc républicain ». « Est-ce que, pour moi, ce serait une bonne chose qu’elle soit Présidente ? Non. Elle n’en a ni l’expérience ni l’entourage », martèle Sarkozy. Affirmation très contestable. Il veut donc, lui aussi, les voix du RN sans la candidate, comme tous les leaders politiques hexagonaux. Et appelle au rassemblement de la droite sans sa principale composante qui pèse aujourd’hui plus de 20 % dans les enquêtes d’intention de vote. Autant envoyer la droite à l’échec.
Une analyse lucide, donc, mais un rejet de Le Pen et des affections… curieuses. Envers Wauquiez, un peu, envers Macron (« On a de bons rapports, on se parle »), envers Gérald Darmanin surtout ! « J’ai beaucoup d’amitié pour Gérald Darmanin qui a toujours été avec moi un ami réel […] Je me retrouve en lui », va jusqu’à dire Nicolas Sarkozy, qui semble avoir choisi son dauphin. Darmanin, l’homme de l’invasion migratoire record en France, celui qui voyait des Anglais dévaliser les touristes au Stade de France, le champion médiatique de la lutte contre le Rassemblement national, l’homme qui a trahi la droite pour suivre par ambition l’ancien ministre de l’Économie de François Hollande… un certain Emmanuel Macron !
Mi-Dr Jekyll et mi-Mister Hyde, le Sarkozy analyste lucide et soucieux de la France donne sa bénédiction à un homme qui assistait encore, voilà quelques semaines et sans rien dire, au Conseil des ministres aux côtés de Pap Ndiaye, qui ne s’est jamais élevé contre la répartition des migrants dans les campagnes et patine comme personne avant lui sur l’exécution des OQTF.
Et puis il y a le choix du temps. Sarkozy adoube Darmanin au moment même où le ministre de l’Intérieur tente une échappée présidentielle dans sa ville de Tourcoing. Une échappée très convenue, entourée de membres du gouvernement et sous la haute surveillance d’Élisabeth Borne, sans doute envoyée par Macron pour empêcher ce ministre trop pressé de quitter le peloton gouvernemental. La Macronie dans la tourmente n’a pas besoin de ce coup de canif supplémentaire… Ainsi Sarkozy fait-il sans effort apparent le grand écart : chez lui, la dénonciation des dangers mortels qui assaillent la France accompagne la bénédiction à ceux qui en accélèrent l’échéance. L’homme est ainsi fait.
Intérêt instantané
« Tout le temps où il avait été au pouvoir, résume son ancien conseiller Patrick Buisson dans la préface de son livre La Cause du peuple, Nicolas Sarkozy n’avait jamais eu pour conviction que son intérêt instantané et, son intérêt changeant, il n’avait cessé de changer d’idées en y mettant toute l’énergie de ses insincérités successives. » Chez Sarkozy, le calcul politique, l’intérêt à court terme, qu’il soit judiciaire ou électoral, et les amitiés mal choisies ont depuis longtemps dévoré ce qui restait d’amour de la France. La différence entre un politicien manœuvrier et un homme d’État.
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Cette fin d’été politique est assez surréaliste. Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal font parler d’eux. On se croirait revenu vingt ans en arrière : on prépare l’élection de 2027 avec les candidats de… 2007. François Hollande pointe le bout de son nez, et même Lionel Jospin ! Pour recadrer Sarko sur l’Ukraine, bien sûr. Tout ce cirque a son Monsieur Loyal : Jean-Luc Mélenchon. Un théâtre d’ombres destiné à faire passer Darmanin pour une lumière ? Peut-être.
Surréaliste, aussi, car les journaux télévisés sont focalisés sur les universités d’été d’une gauche en miettes qui voit en Médine son nouveau messie alors que l’immigration, la principale raison de leur échec à tous depuis plus de vingt ans, poursuit son déferlement incontrôlé.
Ainsi, ce 26 août, Euronews nous apprend que plus de 3.000 migrants provenant de Tunisie ont débarqué en 24 heures à Lampedusa ! L’île qui ne peut accueillir plus de 400 réfugiés en compte plus de 4.000 en tout. Le préfet d’Agrigente, Filippo Romano, a sonné le tocsin : « Lampedusa ne peut plus accueillir de réfugiés. » Avant ces arrivées massives, le décompte des autorités italiennes cité par Le Figaro donnait 101.386 nouveaux migrants débarqués en Italie depuis le début de l’année, contre 48.940 pour la même période de 2022 ! Un flux continu, incontrôlé et exponentiel. Le gouvernement italien a donc mobilisé navires et avions militaires pour répartir le trop-plein de Lampedusa dans les autres régions italiennes. Le Camp des saints. Mais seulement les premiers chapitres, pour l’instant.
Les autres régions d’Italie ? Et Menton, bien sûr. Benoît Huber, directeur de cabinet du préfet des Alpes-Maritimes, a, dans Le Figaro, cette phrase digne du roman de Jean Raspail : « Forcément, ça se répercute à la frontière. » Forcément, ça se répercutera partout en France. Forcément, ça se répercutera dans les urnes de 2024 et de 2027. Un reportage du Figaro indique que la police interpelle, ces jours-ci, plus de 300 migrants par jour à Menton ! Avec une forte proportion de mineurs non accompagnés, bien entendu.
Mais tout cela ne fera pas les gros titres. Pas question de gâcher l’ambiance de la gauche, de Darmanin, de Macron. Darmanin, l’homme des fiascos en série, et notamment celui de l’Ocean Viking, accueilli à Toulon et dont les migrants mineurs avaient rapidement échappé aux autorités françaises, il y a un an, nous ridiculisant un peu plus. Macron, le Président qui veut subitement « réduire significativement » l’immigration, mais que personne ne croit, puisque près de 92 % des Français ne l’en jugent pas capable, selon un sondage du Figaro.
La France et les Français sont, face à l’immigration, les victimes d’un double syndrome : celui de Stockholm (et nos preneurs d’otages sont légion : médias, culture, gauche, juges, communautarismes, etc.) et celui de Lampedusa : « Il faut que tout change pour que rien ne change. » Le réveil risque d’être douloureux.
On nous vend l’arrivée future du F-16 en Ukraine comme l’arme fatale qui va retourner la situation sur le théâtre ukrainien. Un peu de sérieux !
Zelensky a qualifié « d’historique » la décision américaine de livrer des F-16 et se dit « convaincu que la Russie allait perdre la guerre ».
Du bluff, évidemment, pour soutenir le moral d’une armée ukrainienne exsangue et au bout du rouleau, qui perd 1 500 soldats par jour, en venant se fracasser sur les défenses russes, véritable mur infranchissable depuis presque trois mois d’une contre-offensive catastrophique pour Kiev, qui a perdu la quasi totalité de sa troisième armée et tout le matériel fourni par l’Otan.
Si ce projet aboutit, cela se terminera comme la contre-offensive actuelle, c’est-à-dire en fiasco total. Cette escalade n’a d’autre but que de prolonger la guerre jusqu’aux élections américaines, en entretenant d’ici là le mythe d’une victoire ukrainienne. On peut rêver. Une décision avant tout politique, pour entretenir la flamme pro-ukrainienne en Europe. 11 pays vont participer à cette formation de pilotes ukrainiens sur F-16. Mais rien ne changera le cours de l’histoire.
Car l’Otan ne fait plus la guerre à des Afghans en babouches, mais aux Russes, équipés des meilleurs avions de combat au monde, dont les MIG et Sukhoï de dernière génération.
D’une part, la formation des pilotes ukrainiens est une tâche de longue haleine, d’autre part toute la partie logistique et technique va placer l’Otan dans la position de cobelligérant à part entière. Inutile de dire que les Russes ne vont pas rester les bras croisés face à cette menace. Non seulement les pilotes russes vont s’occuper du cas des F-16, mais les missiles s’abattront sur tous les terrains d’où les appareils ukrainiens opéreront. En Ukraine, évidemment, mais aussi en Pologne et en Roumanie, si l’Otan fait le choix suicidaire de la cobelligérance assumée.
“En juin, Vladimir Poutine a fait savoir que les forces russes étudieraient des options pour détruire ces avions s’ils étaient basés en dehors de l’Ukraine.”
“L’apparition en Ukraine d’avions F-16 capables de transporter des armes nucléaires sera considérée par la Russie comme une menace dans le domaine nucléaire, a fait savoir en juillet Sergueï Lavrov, chef de la diplomatie russe.”
Une fois de plus, l’Otan jongle avec des flacons de nitroglycérine.
Voici un excellent article qui détaille la complexité de l’entreprise, que beaucoup de va-t-en-guerre otaniens sous-estiment.
On parle pour l’instant d’une soixantaine de F-16 danois et hollandais. La Norvège devrait suivre, avec une cinquantaine d’avions. De quoi aligner entre trois et six escadrons. Et on apprend que la France participerait à la formation initiale des pilotes. À préciser. La phase finale sur F-16 se faisant hors de France.
Car le choix a été fait par l’état-major ukrainien de garder ses pilotes expérimentés pour assurer les missions de guerre et d’envoyer de jeunes pilotes sans expérience en formation sur F-16. Ce n’est peut-être pas la meilleure option pour affronter les pilotes russes bien entraînés, mais on comprend que Kiev n’a plus la ressource suffisante pour envoyer des pilotes aguerris en formation à l’étranger pour de longs mois.
Un petit groupe de pilotes et de mécaniciens est déjà en Angleterre pour perfectionner son anglais, avant d’attaquer la partie théorique, les procédures, les séances de simulateur et les vols. Aucun calendrier précis n’est encore défini pour ces différentes étapes.
Former des pilotes de F-16 est une chose, mais former des pilotes aptes au combat en est une autre. Un escadron de chasse aligne des pilotes opérationnels (PO), des sous-chefs de patrouille (SCP) et des chefs de patrouille (CP). On ne mène pas plusieurs avions au combat sans une longue expérience. Un CP, c’est cinq ans d’expérience et 1000 heures de vol au minimum, comme rappelé dans le lien. Même en temps de guerre, il y a des temps de formation incompressibles sur les avions de combat modernes.
Bref, l’Otan s’attaque carrément à la formation d’une aviation de combat ukrainienne sur F-16, de A jusqu’à Z. Cela ne se fera pas en six mois. À moins d’envoyer des pilotes mercenaires recrutés à prix d’or, qui vont se faire massacrer en Ukraine.
Mais au delà de la formation des pilotes, c’est l’environnement technique qui est aussi un véritable défi. Car un avion, après chaque mission, réclame un entretien ou des réparations qui nécessitent une logistique d’importance. Sans une maintenance de qualité, pas de missions. Et ces bases aériennes bien équipées seront évidemment les cibles prioritaires des Russes. Sans piste opérationnelle, pas de décollage, pas de mission. La formation des techniciens sur avion moderne va aussi prendre du temps, sauf à embaucher des “contractors” à prix d’or, eux aussi.
Car on a vu combien les missiles russes pouvaient faire de dégâts dans les rangs des conseillers Otan ou des mercenaires. Rappelons que 5 000 mercenaires ont déjà été éliminés en Ukraine. Un job bien payé mais qui n’a rien d’une situation d’avenir.
Et tout cela va coûter cher, très cher, pour un bien maigre résultat. Car ce ne sont pas 60 ou 120 F-16 qui changeront le cours de la guerre, face aux centaines d’avions de combat que peut aligner Moscou.
Combien de jeunes pilotes des deux camps vont périr, pour le bon plaisir de Biden et des crapules qui le soutiennent ? J’espère que la guerre s’achèvera avant que ce projet n’aboutisse.
Biden, Zelensky, Macron, Scholz et tous les fous furieux ivres de russophobie, ne sont que des misérables bouchers sacrifiant sans état d’âme le peuple ukrainien. L’histoire les jugera. Ils se comportent comme des Romains baissant le pouce pour voir mourir les gladiateurs dans l’arène. Et toute cette boucherie sous couvert de défense de la démocratie ! En réalité, on cherche vainement une once d’humanité dans le camp du Bien, pour lequel le sang ukrainien a moins de valeur qu’une seule goutte de pétrole.