Un jeune homme poignardé, des œuvres d’art volées… Malgré les millions, à Marseille, rien ne change !

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À la différence des citoyens français qui n’ont pas envie de se faire piquer, repiquer et surpiquer, la criminalité urbaine n’intéresse pas le chef de l’État. Il n’a pas envie « d’emmerder » ceux qui s’y livrent. Ceux-là, il pose avec ou les racole sur TikTok.

Vendredi soir, non pas à une heure avancée de la nuit mais à 20 h 30, à Notre-Dame-du-Mont, une station de métro du VIe arrondissement de Marseille, un pauvre jeune homme qui tentait de défendre sa compagne est mort poignardé. La jeune femme venait de se faire voler son portable par des individus qui n’ont même pas cru devoir quitter les lieux après leur forfait. Et pourquoi l’auraient-ils fait, puisqu’ils savent ne rien risquer ? La jeune femme est revenue une heure plus tard avec son compagnon qui a tenté de parlementer avec eux. Il y a gagné d’être poignardé au thorax. Il est mort dans la nuit. Les agresseurs n’ont, pour l’heure, pas été identifiés et donc pas retrouvés.

Il n’y a pas, à Marseille, vingt lignes de métro comme à Paris mais seulement deux. Des centaines de millions ont pour cela été piochés dans la poche des Français : cette ville n’a pas les transports en commun que réclame sa population. Alors, naïfs que nous sommes, on se dit que deux lignes, ce n’est quand même pas trop difficile à sécuriser. L’enquête sur ce drame a été confiée à la police judiciaire de Marseille, explique France 3. Elle « exploite les témoignages des personnes qui ont assisté à cette agression ainsi que la vidéosurveillance du métro ».

Dans un communiqué de presse, un groupe d’élus municipaux réunis sous la bannière UVPM (Une volonté pour Marseille) interpelle la mairie : « Monsieur le Maire, respectez les engagements de la Ville ! », réclament-ils. Des engagements qui auraient dû sauver la vie de ce jeune homme s’ils avaient été respectés. En effet, « un accord tripartite a été signé fin 2019 entre la ville de Marseille, la Métropole Aix-Marseille-Provence et la RTM » [Régie des transports marseillais, NDLR]. Un accord qui « prévoit la présence de deux équipes de policiers municipaux, tous les soirs, dans le métro, sur les deux lignes, de 19 h jusqu’à la fin du service », mais qui « n’est plus respecté ».

La réalité est qu’« il n’y a plus aucun équipage de policiers municipaux dans le métro le soir depuis de longs mois » et il n’y a pas non plus de surveillants dans les musées de la ville puisque deux vases de grande valeur ont été volés, le 20 décembre, au château Borély. Deux grands vases Médicis en bronze, pesant chacun une centaine de kilos, pourtant « solidement scellés » sur la terrasse nord. On ne part pas avec ça sous le bras. Il faut de l’organisation, du matériel, de la main-d’œuvre… La ville ne tient pas à communiquer sur le sujet, écrit La Marseillaise. On comprend, c’est comme dans le métro : « Aucune ronde de nuit de surveillants, pas ou peu de systèmes de détection… »

La manne, pourtant, est tombée sur la ville. On va nous dire qu’il est trop tôt pour qu’elle infuse, à moins qu’elle ne se soit déjà égarée, évaporée comme les milliards qui sont déversés depuis des décennies sur cette ville gangrenée par la pègre, le clientélisme et le j’m’en-foutisme.

L’an passé, pour cause de tracasseries covidiennes, de crasse, de cherté de la vie et d’insécurité, des milliers de Parisiens ont fui la capitale. On ne dit pas combien de Marseillais ont eux aussi fui la deuxième ville de France mais à voir ceux qui se réfugient là où je vis, à soixante kilomètres de distance, je pense qu’ils sont aussi fort nombreux. Ainsi va la France, où l’on préfère emmerder les honnêtes gens.

Marie Delarue, Boulevard Voltaire

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Visite d’Emmanuel Macron à Nice : un village Potemkine au décor factice, selon Éric Ciotti

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Emmanuel Macron en visite à Nice, ce lundi 10 janvier, pour visiter le futur site de l’hôtel des polices voulu par Christian Estrosi : le bal des ambitions sur fond de campagne électorale déguisée. De son côté, Éric Ciotti, engagé dans la campagne contre Emmanuel Macron, a annoncé boycotter la venue du Président pour dénoncer le caractère « électoraliste » de cette venue et le deux poids deux mesures de sa politique sécuritaire et ses outrances de langage contre les non-vaccinés.

Les divisions s’affichent désormais clairement entre Christian Estrosi, le maire de Nice passé dans le camp d’Emmanuel Macron, et Éric Ciotti, le candidat victorieux du premier tour à la primaire LR, sur fond de politique sécuritaire. Ce lundi matin, Emmanuel Macron était en visite à Nice, en centre-ville, pour poser la première pierre du futur « hôtel des polices », un complexe devant rassembler les effectifs des polices municipale et nationale, et héberger un « Centre d’hypervision urbain et de commandement » (CHUC), le premier en France : les 50.000 m2 du site seront réaffectés aux forces de sécurité, thème de prédilection du maire de Nice. 800 agents de la police municipale et 1.200 de la police nationale devront y cohabiter. D’un coût de 20 millions d’euros, l’installation sera destinée à contrôler les 3.900 caméras installées par la mairie en ville et dans les transports, les bornes d’appel d’urgence, les dispositifs d’alerte en tous genres déployés par la ville.

Nous apprenons également qu’un plateau sera dédié au pilotage des « drones », joujoux qu’affectionne particulièrement Christian Estrosi. Un projet qui s’appuie sur un article de la loi « Responsabilité pénale et sécurité intérieure », définitivement adoptée par le Parlement le 16 décembre 2021, et qui permet l’emploi des drones par la police, mesure qui a cependant fait l’objet d’une saisine auprès du Conseil constitutionnel par des députés, le 20 décembre dernier.

Quoi qu’il en soit, le futur chantier de l’hôtel des polices devrait coûter la modique somme de 220 millions d’euros, principalement financés par l’État, à hauteur de 172 millions d’euros selon le cadre du plan de relance de juillet 2020.

De son côté, Éric Ciotti a adressé une lettre au « candidat à l’élection présidentielle Emmanuel Macron » pour dénoncer la posture du Président candidat dans les colonnes du Parisien et ses propos « instaurant […] une forme de déchéance de citoyenneté pour les non-vaccinés, alors même que vous vous opposez à celle des terroristes islamistes depuis 2016. Tout un symbole du en même temps sécuritaire. »

Par ailleurs, sur le sujet de l’hôtel des polices, il dénonce un alibi électoraliste et regrette que le département des Alpes-Maritimes, cofinanceur du projet, n’ait pas été nommé dans la communication du carton d’invitation – ce qu’il associe à une intention délibérée du maire de Nice de reléguer les acteurs locaux au second plan, par simple posture partisane. Et de conclure : « Cette visite ressemble à celle d’un village Potemkine au décor factice. »

Effectivement, à ce stade, rien n’est encore fait et le futur hôtel des polices ressemble toujours actuellement à ce qu’il est depuis des années : un hôpital désaffecté. En outre, comme le dit l’adage, en période électorale, « les promesses n’engagent que ceux qui les croient ». Espérons que les électeurs sauront faire la différence entre les effets d’annonce et la réalité du bilan.

Sabine Faivre, Boulevard Voltaire

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De Papy Voise au passant traîné par des « jeunes » : la sauvagerie en pleine expansion

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Les images dénichées par la journaliste de Livre noir Maud Koffler ont fait le tour du web dimanche. Des hommes hilares se filment eux-mêmes dans une voiture, attrapent un piéton par l’épaule et le font courir de plus en plus vite malgré ses plaintes jusqu’à sa chute sur le macadam. La même équipe poste une autre vidéo du même petit jeu : « Wallah, tu vas courir », lance un des passagers de la voiture à la seconde victime. Un jeu si drôle qu’ils ont cru bon d’en poster les images sur Twitter. « Un homme a été interpellé et placé en garde à vue ce lundi », indique le parquet de Bobigny à LCI. Tandis que Macron traque et tente avec application de pourrir la vie des Français non-vaccinés, les banlieues s’amusent. En balayant les réseaux sociaux et la presse quotidienne régionale, on s’aperçoit que l’exercice se répand. Ce qui n’arrête bien sûr pas les meurtres et tabassages devenus le quotidien des Français. A Marseille, dans la nuit de vendredi à samedi, un homme de 25 ans est mort poignardé, non pas dans un règlement de compte mais pour avoir résisté à deux voleurs de téléphone, selon La Provence. A Toulouse, La Dépêche rapporte que le pasteur Fernand Frantz, grand résistant, centenaire, s’est fait molester au cours d’un cambriolage au point d’en perdre la vue. La cruauté est à la mode. Les agressions d’élus, de gendarmes, de pompiers, de professeurs, se comptent en centaines.

Douce France. On se souvient de l’affaire Papy Voise, lorsque en 2002, juste avant la présidentielle, la France s’était étonnée des images de ce vieux monsieur couvert de bleus, dont la maison avait été brûlée. Son sort avait alors suscité un élan de générosité tant l’affaire avait heurté les Français. Quelques semaines plus tard, un certain Jean-Marie Le Pen accédait au deuxième tour de la présidentielle. Les Français avaient alors vu de leurs yeux le déploiement des grandes consciences de gauche : les médias, TF1France 2 et d’autres, en relayant le sort de celui que la France appelait Papy Voise, avaient fait le lit du Front national. Crime inexpiable. Pour nos grandes consciences, ce fait divers était isolé, on avait braqué l’attention sur un épiphénomène, on avait manipulé les Français, on avait fait croire au peuple qu’il y avait en France des bandes cruelles, des sauvages insuffisamment intégrés. Tout cela était faux bien sûr. On psychologisait dans les grands médias, on luttait contre l’amalgame, la stigmatisation et la manipulation. Vingt ans ont passé et combien de drames ? Le sort de Papy Voise annonçait bien pire. Depuis, il y a eu le terrorisme islamiste et la poussée incontrôlable de l’insécurité. Les agriculteurs eux-mêmes, dans les campagnes, font face aux prédateurs et pilleurs de toutes espèces. Et nos « chances pour la France » attrapent les piétons pour les traîner sur la chaussée en hurlant d’un rire frénétique. Le cher pays tourne au cauchemar et il faut être particulièrement égoïste et replié sur soi-même pour ne pas voir les faits, ne pas lire les statistiques et ne pas entendre les plaintes de ceux qui n’ont pu fuir ces zones ensauvagées.

Comment en est-on arrivés là ? Qui a laissé faire ? Le bandeau que la gauche avait serré sur les yeux des Français se déchire. Macron a beau jeter de l’huile sur le feu de la situation sanitaire, l’insécurité et sa cause première, l’immigration, qu’il a tout simplement abandonnées, s’imposent dans les discours de campagne parce qu’ils dominent les préoccupations des Français. Et s’ils dominent les préoccupations des Français, c’est bien parce que nos compatriotes ont été trahis par ceux auxquels ils avaient confié leur destin. Ces drames du quotidien, si nombreux, si méprisés des intellectuels, racontent un pays abimé qui peut encore se ressaisir.

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

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En Suède, le nombre de fusillades meurtrières atteint un niveau record en 2021 : 85 % des auteurs sont nés à l’étranger ou issus de l’immigration

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10/01/22

Les autorités tirent de ces statistiques plusieurs défis à relever. Elles soulignent la nécessité de mieux intervenir dans les « zones vulnérables », alors que 85 % des auteurs sont nés à l’étranger ou issus de l’immigration. L’administration a cartographié une soixantaine de quartiers pauvres où « les délinquants ont une influence sur la communauté locale ». D’autre part, la lutte contre la récidive produit peu d’effets : 76 % des individus impliqués dans des fusillades avaient déjà été condamnés pour des crimes.

(…) La Croix


01/01/22

Suède – Le nombre de fusillades meurtrières reste à un niveau record

La fusillade meutrière de Linköping était la 47e de l’année. – Ni la police ni les autres autorités n’ont réussi à l’enrayer ce phénomène, explique le criminologue Manne Gerell. La violence mortelle par arme à feu est restée à un niveau élevé depuis les années 1990.

Depuis 2017, plus de 40 personnes sont abattues chaque année, selon les statistiques de la police. Cette violence est liée aux conflits au sein des réseaux criminels, entre différents gangs criminels concurrents.

SVT.se

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Bock-Côté : “L’insécurité est désormais la norme. On accepte l’idée que cela va rester. Partout où les sociétés sont culturellement et ethniquement fragmentées, l’insécurité règne. Pensez à la Suède !”

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Éric Zemmour : Les vœux à la presse, du Grand Zemmour… On entre enfin dans le vif du sujet.

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Attention la vidéo commence à 16 minutes.

Bonne vidéo.

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Guillaume Peltier rejoint Éric Zemmour : qui sera le suivant?

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Guillaume Peltier a annoncé, dimanche 9 janvier, son ralliement à Éric Zemmour sur CNews et Europe 1. Il espère de nombreux ralliements dans les prochaines semaines, évoquant François-Xavier Bellamy, Nadine Morano, Éric Ciotti et même Laurent Wauquiez, ancien président des Républicains. Il lance également un appel « à tous ceux qui aiment la droite, la vraie droite, à rejoindre Éric Zemmour ».

« Je n’ai absolument pas de doute que nombreux seront ceux qui vont nous rejoindre dans les prochaines semaines », promet Guillaume Peltier. Les noms évoqués sont ceux de personnages définis comme « conservateurs » et appartenant à la droite des LR, celle-là même que Guillaume Peltier explique avoir créée et défendue pendant des années avec Laurent Wauquiez. L’annonce de ce nouveau ralliement est-il un événement isolé ou le début d’une longue liste de nouveaux soutiens importants ?

François-Xavier Bellamy, le grand muet des Républicains

François-Xavier Bellamy avait soutenu Valérie Pécresse lors des dernières élections régionales en région Île-de-France. Et il a été intégré dans l’organigramme officiel de la candidate, il y a quelques jours, en tant que conseiller spécial chargé de coordonner les relations avec le Parlement européen.

Cependant, le grand perdant des élections européennes de 2019 est revenu en force sur ses thèmes de prédilection, avec une tribune publiée dans le FigaroVox appelant à « une remise en cause profonde et inédite de notre modèle de société ». Il critique ouvertement la gestion de la crise sanitaire du gouvernement, s’oppose clairement au passe sanitaire et refuse absolument le monde qui se dessine. Saluée par Marine Le Pen, cette tribune a fait grand bruit dans le camp national, divisé sur la question sanitaire. Alors que Valérie Pécresse fustige les non-vaccinés et soutient l’idée d’un passe vaccinal, cette tribune dévoile deux visions profondément opposées sur un sujet majeur au sein d’un même parti. On connaît également les positions claires de François-Xavier Bellamy sur les questions bioéthiques et sociales : opposition au mariage homosexuel, à la PMA et à la GPA. Il semble donc que ses idées rejoignent plus le programme d’Éric Zemmour que celui de la candidate élue au congrès des Républicains. Dans cette campagne présidentielle, il pourrait devenir, à l’instar de Guillaume Peltier, un potentiel soutien d’Éric Zemmour.

Éric Ciotti, le fidèle obéissant

Éric Ciotti, quant à lui, fort d’une campagne axée sur l’identité et les valeurs conservatrices durant le congrès des Républicains, semble encore être vu par certains militants comme un futur soutien du candidat de Reconquête. Les dernières déclarations d’Éric Ciotti et son soutien indéfectible à son parti et à sa candidate témoignent pourtant d’une position immuable. Il a d’ailleurs réagi aux déclarations de Guillaume Peltier par un tweet : « Je suis déçu par l’attitude de Guillaume Peltier. Il commet une lourde faute. Seule Valérie Pécresse peut battre Emmanuel Macron et rassembler tous les électeurs de droite. » Son vote en faveur de l’instauration du passe vaccinal trahit, d’ailleurs, sa soumission totale à la campagne des Républicains qui propose pourtant un programme présidentiel bien éloigné de ses propositions tenues durant le congrès, plus proches des idées du candidat Éric Zemmour.

Éric Ciotti semble donc choisir la fidélité à un parti plutôt qu’à des convictions, une fidélité à des intérêts personnels plutôt qu’au combat pour la France, qu’il promettait pourtant il y a quelques mois.

Nadine Morano ou le choix de la solidarité féminine

Sur Twitter, le 7 décembre 2021, Nadine Morano écrivait : « La droite est de retour ! @lesRepublicains réunis et unis pour changer le destin de la France avec Valérie Pécresse. » Nommée conseillère de campagne sur les questions internationales, la députée européenne compte bien occuper une place importante dans la bataille. Et pourtant, en 2019, Nadine Morano ne filait pas le grand amour avec Valérie Pécresse : « Elle ne veut pas le débat, elle veut une cour », dénonçait Nadine Morano dans un tweet. Si les deux femmes admettent aujourd’hui ne pas être les meilleures amies du monde, force est de constater que la désignation de Valérie Pécresse à la tête du parti pour les élections présidentielles a bien amélioré les relations entre elles. Nadine Morano parle désormais de sa candidate comme une femme forte, de convictions, capable de battre Emmanuel Macron. Force est de constater que la cour de Valérie Pécresse accueille aujourd’hui ses anciens détracteurs. À l’instar d’Éric Ciotti, Nadine Morano, qui parlait de « zones de non-droit » en France et tenait un discours semblable à celui d’Éric Zemmour, semble aujourd’hui également privilégier son parti à ses convictions.

Valérie Boyer, garante du vote bourgeois catholique

Valérie Boyer, engagée depuis longtemps en faveur de la défense des chrétiens d’Orient et sur les questions bioéthiques, semble également avoir le profil idéal pour rejoindre Éric Zemmour. Interrogée sur LCI, le 4 décembre 2021, à propos de la victoire de Valérie Pécresse, elle déclare : « Elle [Valérie Pécresse, NDLR]) a tous les atouts pour réussir, c’est une femme compétente qui porte un projet d’espérance. » Elle soutient donc officiellement, aussi, la candidate des Républicains, assurant la note identitaire conservatrice du parti : « Oui, nous sommes en guerre contre le totalitarisme islamiste », écrit-elle sur Twitter, le 7 janvier 2022, pour commenter le triste anniversaire des attentats contre les journalistes de Charlie Hebdo. Si ses phrases chocs témoignent d’un certain courage politique, les formules ressemblent plus fortement à celles utilisées par Éric Zemmour qu’à celles de Valérie Pécresse qui signait, en 2010, un « appel pour une république multiculturelle et postraciale » aux côtés de Rokhaya Diallo et Christiane Taubira.

Valérie Boyer, qui a commenté la polémique survenue suite aux propos séparatistes du chanteur Maître Gims, n’a cependant pas rappelé ni mis en cause le soutien du chanteur envers la candidate des Républicains lors des élections régionales de juin 2020

Laurent Wauquiez, le soutien discret des Républicains

Guillaume Peltier était numéro deux des Républicains sous la présidence du parti de Laurent Wauquiez. Son ralliement à Éric Zemmour interroge donc sur un possible soutien de l’ancien président du parti envers le candidat de Reconquête.

Dans un entretien au Journal du dimanche, le 12 décembre 2021, Laurent Wauquiez déclare : « Je m’engage dans cette campagne aux côtés de Valérie Pécresse avec une seule obsession : stopper le déclin français et retrouver l’espoir. ». Si le soutien à la candidate choisie par les adhérents des Républicains semble total, l’utilisation du terme « déclin français » n’est pas sans rappeler le titre du livre d’Éric Zemmour publié en 2018. Interrogé sur la candidature de ce dernier, Laurent Wauquiez répond : « Éric Zemmour ne peut pas gagner. Voter pour lui n’aura qu’une conséquence : permettre à Macron de poursuivre la politique qu’il mène et que, pourtant, une majorité de Français rejette. » Depuis, Laurent Wauquiez se fait discret sur la campagne, pensant peut-être que son heure viendra en 2027…

Les futurs soutiens d’Éric Zemmour dans le camp républicain ne seront donc pas d’envergure nationale. Ils seront peut-être locaux : des figures telles que Gilles Platret, devenu porte-parole des Républicains à la suite de la victoire de Laurent Wauquiez a la tête du parti en 2017, ou encore Yannick Moreau, membre des Républicains jusqu’en 2017, qu’Éric Zemmour est allé rencontrer aux Sables-d’Olonne, samedi 8 décembre. De quoi alimenter en événements la campagne du candidat.

Marie-Liesse Chevalier, pour Boulevard Voltaire

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Manifestation parisienne anti-passe réussie : du jamais vu !

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Entendons-nous bien, la manifestation organisée par Florian Philippot dans la capitale hier (samedi 8 janvier 2022) était plus qu’une réussite : un véritable camouflet pour le pouvoir emmerdeur. Et ce, sous une pluie continue et glaciale. Elle rappelait même les premiers actes des Gilets jaunes ; à tel point que, lorsque la tête du cortège avait dépassé le Bon Marché, la queue en était encore à piétiner au Louvre. Je peux donc affirmer sans trop m’avancer qu’il y avait nettement plus de 100 000 manifestants comme mensongèrement annoncé par le ministère de l’Intérieur. Les emmerdés ont donc répondu présent !

Toutefois, ce monde était dû pour une grande part à la montée des Gilets jaunes de province, qui avaient renoncé depuis longtemps à venir à Paris, par crainte des violences à la fois de l’ultra-gauche et d’une certaine police aux ordres de la Macronie et de son cerbère, le préfet Lallement. Pour s’en convaincre il suffisait d’écouter les manifestants habituels de Philippot qui avouaient n’avoir jamais vu autant d’uniformes pour les encadrer, de contrôles et de fouilles au corps, sans parler du ballet incessant des Brav – Brigades de répression de l’action violente –, lesquelles sont à la police ce que des mercenaires sont à une armée régulière.

Deux jeunes femmes journalistes de CNews, qui ont l’habitude de couvrir les manifestations de Philippot, l’ont reconnu elles-mêmes : c’était du jamais vu. Et, tandis que la répression des rassemblements de Gilets jaunes battait son plein ailleurs dans Paris, beaucoup des manifestants de ces rassemblements en question ont préféré se rabattre sur l’option Philippot qu’ils savaient nettement plus tranquille. Voici pourquoi il y a eu tant de monde ce samedi.

Maintenant, et quel que soit le courage de Philippot – là où d’autres montrent, depuis des mois de décisions liberticides, une exemplaire couardise face à ce déni de liberté qu’est le passe vaccinal, ouvrant la porte à d’autres développements que la Santé, vous verrez ! –, son service d’ordre est un ramassis de racailles de cités qui, à l’occasion, expriment leur vraie nature, y compris sur des femmes comme deux d’entre elles me l’ont dit après avoir été bousculées sans ménagement. En plus de bousculer les manifestants, ces racailles invectivent aussi volontiers quand on n’obéit pas à leurs ordres. J’en ai, comme d’autres, fait les frais alors que je me contentais de photographier le cortège dans un coin et sans déranger. Je n’ai même pas pu aller saluer le général Martinez, que j’ai pourtant interviewé quelquefois sur Radio Courtoisie, notamment avec Henri (Dubost).

À un moment, je me suis même frotté à l’un d’eux en lui virant sa main, parce que je n’aime pas trop qu’on me tripote pour me pousser. Mais après quelques échanges de gracieusetés, ça s’est fini chacun de son côté. D’autres manifestants étaient en revanche un peu plus nerveux et au bord d’aller en découdre. Quant aux journalistes – beaucoup d’indépendants –, ils admettaient que c’était très difficile de travailler dans ces conditions. Vous m’excuserez, mais je préfère de loin Génération Identitaire ; ça avait un peu plus de classe, Monsieur Philippot, même si j’aime beaucoup vos badges !

Sinon, une mention spéciale pour les CRS qui ont arrêté une femme plutôt BCBG – on ignore pourquoi ? – en la faisant fouiller par des hommes, ce qui contrevient à la loi il me semble : « La palpation doit être faite par une personne de même sexe que la personne fouillée. »
(https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32041)

Évidemment, quand je me suis pointé avec les copains pour voir ça de plus près, on a eu le droit à une rangée de boucliers afin de nous empêcher d’approcher. Quant au cortège, qui apercevait la scène, il a continué sa route sans broncher. La révolte ce n’est pas déambuler gentiment avec des pancartes dans les rues, mes braves amis, c’est aussi agir. Parce que nous étions assez nombreux pour aller polluer l’ambiance sur les Champs-Élysées ce jour-là. Exactement l’endroit que le pouvoir avait verrouillé, stations de métro y compris. Alors je ne voudrais pas pourrir l’ambiance, mais il va falloir faire mieux que longer les vitrines des magasins pour mettre la tyrannie sanitaire hors la loi.

Par contre, j’étais content de retrouver le courageux syndicat France Police – Policiers en colère qui, malgré sa hiérarchie aux ordres de Macron, n’hésite jamais à défendre ses convictions.

Par ailleurs, les rendez-vous hebdomadaires de Philippot ont de plus en plus l’allure de meetings et ça ne me va pas. Dans cette affaire, je soutiens la liberté, pas un candidat. Mais chacun fait comme il l’entend, sachant que : « Il n’y a point de bonheur sans courage, ni de vertu sans combat » (Jean-Jacques Rousseau). C’es pourquoi je ne me suis pas donné la peine d’aller écouter religieusement les intervenants sur l’estrade. Et je le dis ici : Philippot n’a aucune envergure présidentielle. Il serait donc temps pour lui de se rallier à qui vous savez au lieu de persévérer dans l’erreur…

Charles Demassieux, dans Riposte Laïque

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Face à l’insécurité, de plus en plus de Français s’arment : “La confiance que j’ai dans l’État pour me protéger, ma famille et moi, s’est très nettement effritée. Les délinquants sont libérés trop rapidement”

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ENQUÊTE – Pour renforcer la traçabilité des arsenaux, un nouvel outil numérique est présenté ce lundi à Beauvau. Il doit aussi faciliter les démarches des usagers.

Lors du partage de la succession, il y a six ans, aucun de ses frères et sœurs n’en avait voulu. Mais où est donc passé le fusil à crosse d’argent du chasseur émérite qu’était son père? Depuis cet été, la multiplication des agressions, des cambriolages, l’«ensauvagement» de la société l’ont convaincu: Maxime veut s’armer.

Pour avoir le droit de posséder une arme à feu dans sa maison isolée de l’Aveyron, cet enseignant va même passer son permis de chasse. Comme tous les détenteurs d’armes – près de 5 millions en France -, il va devoir s’enregistrer sur un portail en ligne sécuriséPrésenté lundi au ministère de l’Intérieur, le système d’information sur les armes (SIA), un nouvel outil numérique censé faciliter les démarches des usagers et renforcer la traçabilité des arsenaux, sera opérationnel à partir de février. Les autorités promettent une démarche «simple», pendant six mois, pour les détenteurs d’armes «de famille» souvent oubliées au grenier – et pas encore enregistrées.

Professeur bientôt retraité, Maxime n’est «pas du tout un excité». Mais «la confiance que j’ai dans l’État pour me protéger, ma famille et moi, s’est très nettement effritée, assure-t-il. Le système pénal ne fonctionne plus, les délinquants sont libérés trop rapidement. Il faut maintenant que la loi soit du côté des agressés: je ne dis pas qu’il faut se faire justice soi- même, mais qu’il ne faut pas pénaliser une personne qui s’est défendue de façon proportionnelle à l’agression.» À son épouse, il apprendra également le maniement du fusil de chasse. Se voit-il pour autant tirer sur un éventuel cambrioleur? «Je vais d’abord prendre toutes les mesures pour que cela ne se produise pas, réplique-t-il. Faire installer une porte blindée et fermer les volets tous les soirs. Mais je m’imagine tout à fait sortir le fusil par la fenêtre et tirer en l’air pour effrayer l’agresseur. Ce qui n’est pas possible, c’est de rester sans rien faire.»

(…)

Tireur sportif, Teddy s’entraîne une fois par semaine, «à comparer avec les trois séances annuelles d’un policier moyen». Lui ne dégainerait «qu’en situation de risque, pour arrêter un crime»: «Une de mes collègues s’est fait tabasser presque à mort pour avoir demandé à un jeune de porter un masque, fait remarquer cet infirmier parisien. Lors des multiples agressions que nous avons connues, si une personne s’est interposée, elle s’est fait soit défoncer, soit tuer. Si cette personne avait été armée, ça se serait passé autrement!» Et ce trentenaire, qui milite à l’Arpac depuis deux ans, d’insister: «Ça va être le Far West, nous prédit-on? Mais comment appelez-vous un pays où on peut se faire poignarder pour une place de parking, un “mauvais regard” ou une jupe un peu courte?»

(…) Le Figaro

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Nos chances pour la France : Le rappeur Koba LaD racketté à Marseille, un deuxième agresseur victime de représailles violentes

Articles  :  Jan. 2022 –   Dec. 2021 –   Nov. 2021 –   Oct. Facebook : https://www.facebook.com/ORTF-News-107572991571884

Un groupe d’individus dont les motivations sont floues au début de la vidéo de la scène diffusée sur Snapchat prennent à partie Koba LaD semble tenter de le racketter. Sur les images plusieurs personnes tiennent le rappeur en train de se débattre mais la séquence ne révèle pas comment l’incident s’est terminé. L’interprète du tube « Daddy Chocolat » a rassuré les fans après la mise en ligne de la vidéo en assurant qu’il va bien, « tout va bien » commente-t-il dans une story avec une photo de lui pour donner des nouvelles rassurantes de cette mauvaise mésaventure.

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