Video : On Expulse de force un squatteur dans un appartement

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Commentaire R : Vidéo très instructive et impressionnante. Comment une personne avec l’aide d’amis récupère son appartement squatté. Cette méthode pour récupérer son bien est illégal et pourtant en regardant ces images on ne peut que comprendre l’acte du propriétaire.

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Les dés sont jetés – Tous président ! J moins 100

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Le premier tour de la présidentielle approche à grands pas sans qu’aucun candidat ne se détache véritablement, sinon un sortant qui a mis la France sous anesthésie générale. Patience et longueur de temps. Une présidentielle ne démarre vraiment dans l’opinion qu’en février. Si les dés sont jetés, les jeux sont loin d’être faits…

L’année s’achève, une nouvelle fois, bouleversée par la Covid-19, venue mettre à mal la précampagne électorale du scrutin phare de notre pays.  Dans une relative indifférence, près d’un Français sur deux ne s’intéressant pas encore à la présidentielle, les protagonistes se sont déjà mis en place ; profitons-en donc pour faire un petit tour d’horizon des prétendants à la magistrature suprême.

À gauche, le chaos règne. De fait, la gauche non macronienne apparaît plus que jamais divisée et semble réduite à se partager des miettes. Hidalgo, Montebourg, et désormais Taubira, sont les derniers avatars d’une gauche sociale-démocrate vermoulue qui s’avère aujourd’hui inaudible au-delà du boulevard périphérique parisien et des médias publics ou subventionnés. Même réunis, ces candidats risquent une humiliation encore plus grande que celle subie par Benoît Hamon en 2017. Mme Hidalgo, la plus lucide, l’a bien compris et tente maintenant par tous moyens de se retirer de la course, tout en feignant de ne pas le faire…

Mélenchon rame, Jadot patine

Yannick Jadot, dans une moindre mesure, est lui aussi confronté à de grandes difficultés. Vainqueur à la Pyrrhus d’une primaire étriquée, sa candidature se trouve gauchisée par la frange la plus radicale de son mouvement, sectaire, et peu attractive pour le grand public. Chez EELV, on parle beaucoup sapins, vélos et foie gras, ce qui ne risque pas de rameuter des bataillons d’électeurs pour une présidentielle. EELV est et reste avant tout un parti local, adepte des marottes de ses électeurs, souvent urbains et plutôt aisés ; il est inintelligible pour le Français moyen.

Jean-Luc Mélenchon est moins en verve cette année. Il plafonne depuis longtemps dans les sondages et a mal géré son après-2017. En effet, depuis son impressionnante performance aux dernières présidentielles, la France insoumise a marqué le pas dans tous les scrutins intermédiaires. Elle n’a brillé dans le débat public que par les excès de son gourou, qui a multiplié les « maladresses », entre son mémorable coup de gueule face lors de la perquisition houleuse au siège de LFI (« je suis la République »), sa participation à une manifestation coorganisée par les Frères musulmans et ses sympathies envers les mouvements indigénistes et autres groupuscules qui aspirent à la destruction de notre pays. Le gourou grisonnant apparaît aujourd’hui dépassé, courant après les gauchistes pour montrer qu’il est dans le « coup » comme en témoigne sa proposition d’inscrire dans la Constitution la liberté de choisir son genre. Son idole, Mitterrand, savait faire des gauchistes ses pantins. La vieillesse est un naufrage.

Macron et la deuxième gauche

La guerre d’ego à gauche rend plus qu’improbable la tenue d’une primaire commune envisagée par certains.  Partant, ce sont les personnes et pas les projets, nul ne travaillant sérieusement depuis bien longtemps, qui créent ces oppositions. La question centrale, éludée par ces différents prétendants, demeure la même : pourquoi les Français, notamment ceux ayant une sensibilité de gauche, voteraient-ils pour l’un de ces candidats plutôt que pour Emmanuel Macron ? Nous l’avons déjà écrit, mais répétons-le : au-delà des discours, ces gens-là proposent les mêmes mesures et appliqueraient, comme par le passé, les mêmes politiques, celles de la deuxième gauche, rocardienne et deloriste. Pourquoi donc ne pas conserver M. Macron, dont on sait déjà ce qu’il vaut, pour le meilleur et pour le pire ? Le vote utile à gauche, et les Français l’ont bien compris, face à une droite assez forte, c’est le vote Macron.

Aucun candidat de la gauche non macronienne n’a réussi à persuader les Français qu’il ferait mieux que Macron, et aucun ne sera donc au second tour. L’enjeu pour cette gauche sera donc la gestion de l’après 2022, avec la possible disparition du PS, qui pourrait connaître le sort du parti radical au début de la Ve République, et, la succession Mélenchon pour la France insoumise, succession qui paraît compliquée, tant le gourou s’est échiné à excommunier tous ceux qui étaient susceptibles de s’opposer à lui.

Le trublion Zemmour

À droite, la confusion prévaut également. Éric Zemmour s’est invité dans la course et perturbe le schéma attendu depuis plusieurs années : la (nouvelle) victoire de Macron face à Le Pen au second tour. Sa présence abaisse mécaniquement le seuil d’accès au second tour de la présidentielle et rebat les cartes, lui offrant l’opportunité d’un face-à-face avec le chef de l’État, ou l’offrant au candidat LR…

Éric Zemmour parvient aujourd’hui à capter une partie des suffrages de la droite LR « filloniste » des personnes âgées, et, à la marge, des classes populaires. Il a le mérite de mettre sur la table deux grandes questions proscrites ou oubliées par la totalité des acteurs politiques : le Grand Remplacement du peuple français par un peuple étranger, et la nécessaire assimilation des immigrés d’ores et déjà présents sur le sol national. La mise en exergue de ces problématiques fondamentales, dédaignées par la droite et niées par la gauche, lui assure un socle non négligeable et explique sa percée dans les sondages.  

Dramatisant l’enjeu de cette élection et n’ayant de cesse d’évoquer la mort prochaine de notre pays, il appelle à un retour de la dimension tragique du politique et invoque les mânes des aïeux, inscrivant son discours dans une veine historique et la nostalgie d’un âge d’or révolu. Car c’est bien cela qu’est le zemmourisme, pour l’heure, une nostalgie. Peut-il être plus, un projet politique positif et concret ? C’est le défi de Zemmour à Zemmour. En outre, une telle ligne, un brin anxiogène et radicale, à la hauteur des maux dont souffre notre pays, pourrait-elle réunir une majorité de Français ? L’antienne de Zemmour est qu’il fait l’union de différents électorats, de ceux qu’ils appellent les classes populaires et la bourgeoisie patriote, et, ainsi, mieux que la candidate du RN, face à Macron. Pourtant, pour le moment, il fait moins bien que Marine Le Pen dans toutes les études d’opinion. Un important travail reste à faire.

Marine Le Pen face aux retraités

Marine Le Pen, quant à elle, poursuit sa route. Fragilisée par ses récentes déconvenues électorales, elle sera favorisée par ce scrutin, dernier auquel les Français participent massivement. Échaudée par la déculottée de 2017, elle tente depuis lors de lisser son discours, multipliant les renoncements, tant sur l’euro que sur l’Union européenne. Dotée d’une base populaire solide, elle conserve ses chances d’accéder au second tour, mais au-delà… Marcel Gauchet, dans son dernier ouvrage, Macron, Les leçons d’un échec, explique parfaitement le plafond de verre auquel le candidat du RN reste confronté. Apparaissant comme incompétente et insuffisamment entourée, elle ressemble fort à une « aventure », et dans notre pays vieillissant, peu enclin au risque, on goûte assez peu les aventures et on craint pour ses avoirs, même maigres. Les vieux ne font pas la révolution. En 2017, 75 % des plus de 60 ans ont voté pour Macron, contre elle. Sans cet électorat, clé de voûte du scrutin, elle n’a pas la moindre chance.

Entre Zemmour et Le Pen, tout se jouera début 2022. Celui qui apparaîtra comme le mieux à même de battre Macron bénéficiera du vote « utile », qui devrait lui permettre d’accéder au second tour.

Néanmoins, une petite alternative semble poindre à « droite ». Valérie Pécresse, candidate désignée par les adhérents LR profite elle aussi d’une base électorale, plus friable, mais suffisamment importante pour dépasser les 10 %. Celle-ci tente de renouer avec les vieilles recettes du temps de Sarkozy, en affichant une posture étatiste, hostile à l’islam et conservatrice. Sa sincérité semble toutefois discutable, son parcours personnel et la référence constante à Chirac étant de bons indicateurs… Y croira qui voudra bien y croire… Elle pourrait, sur un malentendu, se glisser devant Zemmour et le RN, qui se neutraliseraient.

Un président par défaut ?

Enfin, le président Macron, à la stature renforcée par une crise sanitaire qu’il exploite à fond, malgré une politique erratique et assez médiocre, jouit de la prime légitimiste du sortant. La mise sous cloche du pays pendant de long mois, ainsi que l’efficace matraquage des Gilets jaunes ont su lui conférer, particulièrement auprès des électeurs âgés, l’image d’un homme d’ordre. Il bénéficie par ailleurs de l’absence d’alternative réputée crédible, tant à gauche, qu’à droite. En définitive, Emmanuel Macron risque fort d’être réélu par défaut et de demeurer impopulaire pendant un deuxième quinquennat, entravé par des mouvements contestataires.

D’aucuns s’étonneront de cette prédiction, notamment au regard de récentes études qui montrent l’inquiétude du Grand Remplacement chez deux Français sur trois. Cela étant, il ne faut pas négliger l’inertie et le désintérêt croissant des Français pour ces consultations électorales qui ne changent rien à leur quotidien. En 2017 déjà, un Français sur trois n’avait pas voulu choisir entre Macron et Le Pen (entre l’abstention, le vote blanc et les nuls). On en vient à penser à cette fable de la grenouille plongée dans l’eau chauffant progressivement… Les Français se réveilleront-ils un jour pour s’extirper de cette nasse ? Lentement mais sûrement, l’eau bout… Le pire n’est jamais certain.

Merci à la Revue Eléments, Pierre Moriamé

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La Pologne défend son indépendance face à l’Union européenne, coûte que coûte

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La Commission européenne a lancé, le 22 décembre dernier, une action en justice contre la Pologne concernant des décisions récentes de l’un des plus grands tribunaux du pays qui ont soulevé des questions troublantes sur l’ordre juridique du « bloc » des 27 nations (comme disent les Anglais, désormais en dehors de l’Union européenne, mais plus que jamais amis des Polonais).

En octobre 2021, la Cour constitutionnelle polonaise a statué que les lois polonaises ont la suprématie sur celles de l’Union européenne dans les zones où elles sont en conflit. J’ai souvenir qu’on nous parlait de subsidiarité. Seulement voilà, lorsque les pays adhèrent à l’Union européenne, comme la Pologne l’a fait en 2004, ils doivent désormais mettre leurs lois en conformité avec les règlements du régime de Bruxelles – la Cour de justice européenne étant l’arbitre suprême de ces règles.

En lançant son action en justice, la Commission européenne a déclaré qu’elle considérait que deux décisions rendues par le tribunal constitutionnel polonais « contestaient expressément la primauté du droit de l’Union européenne ». La Commission a également émis des doutes sur la légitimité de la cour polonaise.

En annonçant cette décision, le commissaire à l’économie, Paolo Gentiloni, a déclaré que ces décisions « sont en violation des principes généraux d’autonomie, de primauté, d’efficacité et d’application uniforme du droit de l’Union et de l’effet obligatoire des décisions de la Cour de justice de l’Union européenne ». M. Gentiloni a par ailleurs déclaré à l’agence américaine AP que la Commission, qui propose des lois de l’Union européenne et supervise la façon dont elles sont appliquées, considère que la cour polonaise « ne répond plus aux exigences d’un tribunal indépendant et impartial établi par la loi comme l’exige le traité (UE) ».

L’action en justice n’est que la dernière d’une série de confrontations entre le régime de Bruxelles et le gouvernement polonais de droite sur l’état du système judiciaire du pays, les normes de l’État de droit et les libertés des médias.

Toujours durant cette année 2021, la Commission avait demandé des amendes pour forcer Varsovie à améliorer le fonctionnement de la Cour suprême et à suspendre les nouvelles lois qui menacent l’indépendance judiciaire. La CJCE a ainsi ordonné à la Pologne de verser 1,2 million de dollars par jour pour prévenir un « préjudice grave et irréparable » à l’ordre juridique et aux valeurs de l’Union européenne. Ben voyons !

Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a rejeté les objections de la Commission, et notamment le fait que Bruxelles remettrait en cause l’indépendance de la Cour constitutionnelle. Il a déclaré à l’agence de presse polonaise PAP que la Cour « remplit non seulement tous les critères d’indépendance, mais [que] c’est un Tribunal constitutionnel qui veille à ce que la Constitution demeure la plus haute loi de la République de Pologne ».

De son côté, le porte-parole du gouvernement, Piotr Müller, a déclaré que la Commission avait outrepassé son autorité. « Les organes de l’Union européenne ne peuvent pas fonctionner en dehors de leurs compétences littéralement exprimées. »

Sebastian Kaleta, vice-ministre de la Justice, est allé plus loin en qualifiant l’attitude de Bruxelles d’« attaque contre la Constitution polonaise et la souveraineté du pays ».

La première étape de l’action en justice consiste, pour la Commission, à envoyer une « lettre de mise en demeure » demandant une réaction et des informations à la Pologne. Varsovie est tenue de répondre en détail dans un délai de deux mois. Les pays qui ne se conforment pas aux décisions des tribunaux de l’Union européenne peuvent faire face à de lourdes amendes et, éventuellement, à une perte de droit de vote. Dans un délai de deux mois, c’est-à-dire pour les toutes premières semaines de 2022…

Thierry Martin Boulevard Voltaire

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À Montbéliard, dans le Doubs, les prénoms les plus donnés en 2021 sont : Hamza (1er), Mohamed (2e), Amir (3e) et Naël (4e) pour les garçons ; Selma (1er) et Aïssa (2e) pour les filles

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Commentaire R : Il y en a encore qui vont nous parler de Grand Remplacement….mais non ce n’est qu’une impression, Ben Voyons !

En 2021, Montbéliard a accueilli 281 nouveaux petits habitants. Les déclarations de naissances y sont plus nombreuses qu’en 2020 (245) avec un choix de prénoms similaires. Hamza, Mohamed, Naël, Côme, Emma, Gabin arrivent en tête.

Bonne nouvelle. À Montbéliard, la natalité est en hausse. Au cours de l’année 2021, 281 naissances ont été déclarées à la mairie de la Cité des Princes, une augmentation par rapport à 2020 (245) après un bon cru 2019 (320).

D’heureux événements qui font oublier la crise sanitaire et la flambée de l’épidémie. Concernant les prénoms, un constat peut être fait : les parents ont plébiscité les mêmes que ceux attribués l’année dernière.

Hamza, Mohamed, Amir et Naël

Toujours sur la première marche du podium, le masculin Hamza (6) qui, dans la religion musulmane, est l’oncle du prophète et qui signifie « fort et puissant ». En deuxième position arrive Mohamed (5) puis viennent Amir et Naël (3). Ce dernier a une double origine, arabe et bretonne. Il peut être un diminutif de Gwenaël (l’ange blanc) ou de Natanaël.

Selma, Aïssa et Amélia

Pour les filles, Selma (double origine, arabe et germanique), qui symbolise la paix et la protection divine, est en tête de classement avec Aïssa et Amélia.

L’Est Républicain

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La chanson du jour, Silence… – Vargo

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Passé 1’30 le morceau commence réellement. Une ambiance douce pleine de volupté, voilà ce qu’il nous faut pour cette deuxième journée de l’année 2022. Avec cette chanson Silence vous allez passer un merveilleux moment je vous le promets.

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Bruxelles/Nouvel an : une “bande de jeunes” vandalise toutes les vitres d’un tram dans une vidéo circulant sur les réseaux sociaux

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[…]

Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montre un tram se faire vandaliser par une bande de jeunes lors de la nuit du réveillon de Nouvel An. Des images d’une rare violence.[…]

Les forces de l’ordre sont intervenues à 116 reprises dans la zone Bruxelles-Ouest et à 110 reprises dans la zone Bruxelles-Ixelles, où elles ont procédé respectivement à 30 et 44 arrestations administratives. Quatre arrestations judiciaires ont également eu lieu dans la zone Midi. […]

Le Soir

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Les Emirats Arabes Unis interdisent indéfiniment aux non-vaccinés de quitter le pays

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Commentaire R : Cet article va peut-être trop loin, il n’empêche que tout en gardant ses distances il est intéressant de regarder les faits sous des jours différents. Les analyses présentées ici amènent à réfléchir. Le parallèle fait avec l’ex RDA et l’URSS est intéressant. Bonne lecture.

Lu dans L’Orient-le Jour :

Les Émirats arabes unis interdisent aux citoyens non vaccinés de voyager à l’étranger à partir du 10 janvier, rapporte samedi l’agence de presse d’État WAM, citant le ministère des Affaires étrangères et l’Autorité nationale de gestion des crises et des catastrophes. L’interdiction ne concernera pas les personnes bénéficiant d’exemptions médicales ou humanitaires, ajoute-t-on de même source. Les citoyens vaccinés pourront voyager à condition d’avoir reçu une dose de rappel.

Ce principe sera prochainement en vigueur en Europe, au niveau de chaque état-membre de l’UE.

Ce sera un décalque de l’ex RDA.

Le mur de la RDA ne s’étendait pas qu’à Berlin, divisée en deux, il séparait aussi l’Allemagne de l’Ouest et l’Allemagne de l’Est. Sa fonction était d’empêcher les Allemands de fuir le paradis socialiste sous contrôle de l’URSS.

De manière révélatrice, le mur de Berlin s’appelait « Mur de protection antifasciste », en allemand « antifaschistischer Schutzwall ».

Le système communiste est-allemand n’avait pas du tout honte de ce mur, bien au contraire. C’était le produit d’une inversion accusatoire orwellienne où le mur était célébré comme un moyen de « défense » contre l’agression des fascistes de l’Ouest – qui n’existaient pas.

Ce mur servait à protéger l’oligarchie rouge en empêchant le peuple de fuir l’esclavage. Les médias créaient une réalité parallèle où le mur était présenté comme l’œuvre bienveillante de la caste communiste au pouvoir pour protéger le peuple d’une menace fasciste extérieure imaginaire.

Près de 30 ans plus tard, la RDA a commencé à s’effondrer quand la Hongrie et la Tchécoslovaquie ont ouvert leurs frontières avec l’Allemagne de l’Ouest et l’Autriche, générant une énorme vague d’émigration d’Allemagne de l’Est.

Nous avons désormais notre propre Rideau de Fer. Quand vous voyez les murs s’élever pour empêcher un peuple de s’enfuir, c’est rarement parce que le gouvernement qui le fait construire a des intentions positives à l’égard du peuple qu’il enferme.

Les Emirats Arabes Unis sont un protectorat occidental. Sa clique dirigeante a certainement reçu pour consigne de lancer l’expérimentation compte tenu de sa petite taille. Quand l’opération sera terminée et analysée par les experts occidentaux, elle sera généralisée en Europe.

Ce sera la fin de la liberté de circulation pour les peuples blancs. En revanche, le tiers-monde sera plus que jamais invité à venir s’établir partout dans notre paradis néo-communiste. Les migrants font des auxiliaires parfaits pour l’oligarchie. En échange d’avantages sociaux et de cash, ils seront employés pour terroriser les Blancs de diverses façons.

Vladimir Bukovsky nous avait prévenus.

Merci à D.P.

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Stanislas Berton : « Une société qui perd tous ses repères devient facilement manipulable » [Interview]

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Stanislas Berton vient de publier un deuxième volume de la série « L’Homme et la Cité » qui rassemble les versions révisées et augmentées des essais publiés sur ce site entre 2020 et 2021, accompagnées d’un texte inédit.

A travers les différents textes qui composent ce recueil, Stanislas Berton révèle tout d’abord la guerre cognitive menée aux peuples occidentaux, ses méthodes, ses acteurs, mais aussi les moyens d’y résister. Il explique ensuite pourquoi cette guerre est avant tout spirituelle et présente des concepts tels que la pathocratie, le léninisme biologique ou encore le matriarcat sacrificiel, indispensables pour sortir de la crise que nous traversons.

Pour évoquer cet ouvrage, nous l’avons interrogé ci-dessous.

Breizh-info.com : Pourquoi avoir fait le choix de l’auto édition, comme pour la première partie de l’ouvrage. Quelles ont été ses ventes ?

Stanislas Berton : Devenir mon propre éditeur s’est imposé dès le début comme une évidence. En tant qu’ancien chef d’entreprise et éditeur dans le numérique, je  possédais déjà toutes les compétences, en interne comme en externe pour assurer avec succès l’édition et la commercialisation de mes propres ouvrages. Ensuite, travaillant depuis les années 2000 sur les nouveaux modèles économiques- j’ai consacré mon mémoire de Master aux nouvelles chaînes de valeur- je n’ai cessé de pratiquer ce que je prêche, c’est-à-dire la désintermédiation. Avec le recul, je suis très satisfait de ce choix qui m’a permis de publier quatre livres en trois ans, dont deux cette année, d’atteindre mes objectifs de vente et de développer un solide réseau de relations directes avec des librairies aussi bien qu’avec des médias et influenceurs patriotes. 

Qu’est-ce que la guerre cognitive que vous évoquez dans votre ouvrage ?

Stanislas Berton :Après une première moitié de XXe siècle marquée par les guerres de 2ème et 3ème génération (mouvements de troupes, artilleries, bombardements), nous sommes aujourd’hui entrés dans l’ère des guerres dites de 4ème et 5ème générations. Celles-ci ont pour caractéristiques de ne plus faire la distinction entre civils et militaires, de se déployer sur plusieurs fronts et d’avoir pour objectif de gagner la guerre sans même livrer de bataille à travers le contrôle des institutions (droit, normes, règlements), des corps (alimentation, médicaments, démographie) et des esprits (médias, culture, éducation). 

En résumé, la guerre cognitive est une guerre totale reposant sur l’infiltration plutôt que sur l’invasion et qui vise à détruire l’esprit de l’adversaire, manipuler sa perception de lui-même et du monde qui l’entoure pour le soumettre à la volonté de l’assaillant. Les manifestations concrètes de cette guerre cognitive peuvent être, au choix, l’effondrement généralisé des capacités intellectuelles en Occident, le consentement au génocide par substitution via le Grand Remplacement et enfin, l’injection massive d’une thérapie génique expérimentale à des adultes en parfaite santé ainsi qu’à de jeunes enfants.  

Quels sont aujourd’hui les moyens à disposition des Européens pour y résister ?

Stanislas Berton : Les moyens de résistance sont nombreux. 

Tout d’abord, s’extraire du piège cognitif tendu par les médias et les autorités en prenant conscience que nous sommes en état de guerre, voire de siège. La résistance commence par cesser de consommer les médias mensongers et comprendre qu’ils sont, comme l’a souvent répété Donald Trump, les ennemis du peuple. Ensuite, il s’agit de s’informer et de se former pour comprendre comment fonctionne le système, quels sont ses acteurs, ses méthodes et ses réseaux, en gardant toujours à l’esprit que l’opposition contrôlée constitue un moyen redoutable de tromper le peuple, de canaliser sa colère et d’empêcher toute véritable prise de pouvoir par une authentique résistance. 

Ceci étant dit, les meilleures armes pour résister à cette guerre cognitive s’appellent la foi en Dieu et la famille chrétienne enracinée. Comme je l’explique longuement dans le livre, le véritable combat n’est pas politique mais bien religieux et spirituel. N’oublions jamais que nous ne luttons pas contre la chair et le sang mais contre les principautés (Ephésiens 6 :12). 

Sur la question électorale, vous reprenez la citation « Si les élections changeaient vraiment les choses, cela ferait longtemps qu’elles seraient interdites ». Cela signifie-t-il qu’il ne faille plus croire à la voie électorale ? Quelles autres voies alors ?

Stanislas Berton : Cette citation, qui vient ouvrir mon essai sur la fraude électorale, part d’un constat né d’un long travail d’enquête : depuis des décennies, le processus électoral est truqué en France, comme aux Etats-Unis et ailleurs dans le monde. Comme l’ont compris les patriotes américains, ce sujet, qui n’intéresse aujourd’hui pratiquement personne en France, doit être mis au cœur du débat public. Exigeons un grand audit indépendant du système électoral français, des machines de vote électroniques présentes dans plus de quatre-vingt communes et surtout des logiciels de gestion des données électorales utilisés par le Ministère de l’Intérieur. 

En ce qui concerne les alternatives, si la reprise en main du pouvoir central par des forces authentiquement nationales et patriotes reste à espérer, la maîtrise du terrain au niveau local et la constitution de réseaux de patriotes capables de se mobiliser et de s’organiser en vue de la défense d’un intérêt ou d’un bien commun apparaît comme la meilleure stratégie pour résister au totalitarisme qui vient. Face à un pouvoir corrompu, démissionnaire et dont la légitimité se trouve de plus en plus contestée, une nouvelle élite patriote doit se préparer à assumer la charge du pouvoir et à organiser, au niveau local comme national, la reconstruction du pays. 

Personne n’avait vu venir totalement les évènements qui se déroulent sous nos yeux et que nous subissons depuis deux ans maintenant. Votre réflexion sur l’âme humaine a-t-elle évolué à la vue du comportement majoritaire des masses ces derniers temps ?

Stanislas Berton : N’ayant depuis longtemps plus aucune illusion sur la nature humaine, je n’ai pas été surpris par le comportement des masses ou des soi-disant élites durant cette crise venue marquer l’aboutissement d’un processus engagé de longue date. En revanche, celle-ci m’a permis, à travers mes recherches sur ses origines et ses acteurs, de prendre conscience de l’ampleur de la corruption politique et morale qui gangrène aujourd’hui nos sociétés ainsi que de l’existence réelle du mal à l’état pur. Ma détermination à comprendre le fonctionnement et les objectifs de ce projet diabolique d’asservissement de l’humanité m’a conduit à ouvrir les yeux sur certaines réalités et à remettre en cause, sur de nombreux points, ma vision du monde et des forces qui le structurent. Ces révélations m’ont permis de réaliser que le vrai combat est de nature spirituelle et qu’il est illusoire de chercher à résoudre les problèmes politiques avant d’avoir résolus ceux des échelons supérieurs, à savoir le philosophique et le religieux.

Votre livre questionne d’ailleurs finalement le sens de la vie, et ce qui fait de nous des hommes, des êtres sociaux. Quels sont les enseignements que vous tirez des bouleversements actuels ?

Stanislas Berton : Le premier enseignement que je tire de cette crise est le fait qu’une une société qui perd tous ses repères devient facilement manipulable. Chesterton affirmait que si l’Homme ne croyait plus en Dieu, il finirait par croire en n’importe quoi et cela inclut, de toute évidence, tout ce qui arrive à se faire passer pour de la science ! Aucune société humaine ne peut se passer de la religion et alors que l’homme moderne pensait s’en être définitivement débarrassé, celle-ci refait aujourd’hui irruption sous d’autres formes- covidisme, progressisme, écologisme- bien plus totalitaires et intolérante que celles incarnées par les religions historiques. 

Le second enseignement concerne le pouvoir des médias qui sont aujourd’hui devenus quelque chose entre le Ministère de la Vérité de 1984 et une nouvelle Eglise. Sur ce point, permettez-moi de citer un passage de « La France Retrouvée » : « Aujourd’hui, quiconque contrôle les médias et le récit médiatique possède le pouvoir de contrôler les esprits mais également de définir ce qu’une société tient pour réel, de déterminer les opinions considérées comme acceptables et pour finir, de contrôler la hiérarchie du pouvoir et des représentations. » 

Troisième enseignement : la preuve de l’échec total du projet d’enseignement de masse. 

Non seulement  une population soi-disant « éduquée » à grands frais n’a fait qu’écouter et reprendre sans aucun discernement les mensonges des médias, du gouvernement et des « experts » des plateaux télé mais la quasi-totalité de « l’élite intellectuelle » -médecins, enseignants, élus, penseurs- a fait la démonstration de sa corruption, de son conformisme et de son incompétence alors qu’un minimum de logique, de recherche et de bon sens suffisait pour détecter les incohérences, les mensonges et la manipulation des faits et des données.  

En fin de compte, cette pandémie aura eu le mérite de révéler toute la supercherie de l’époque moderne et l’infamie de l’idéologie qui la sous-tend: horreur d’un monde sans Dieu, inversion de toutes les valeurs, impasse de l’égalitarisme, goût pour la servitude volontaire  totalitarisme technologique, absence de contre-pouvoirs…

Au VIème siècle av. J.-C. Héraclite avait déjà tout dit : 

« Sur cent hommes, dix ne devraient même pas être là, quatre-vingt sont des cibles, neuf sont des guerriers et vont se battre, un seul est le chef et c’est lui qui ramènera tout le monde à la maison.»

Au sortir de cette crise, à chacun de se demander : quel type d’homme ai-je été ?  

Le mot de la fin ?

Stanislas Berton : Nous sommes en train de vivre des moments historiques : la crise finale et le démantèlement d’un système d’exploitation de l’Homme et de la nature par une cabale de psychopathes déterminés à mettre l’humanité en esclavage et à prendre la place de Dieu. Si cela n’est pas encore clair, j’invite vos lecteurs à lire mon nouveau livre pour mieux le comprendre. Ce basculement va offrir des opportunités telles qu’il ne s’en présente que tous les mille ans et nous devons tout mettre en œuvre pour que la France soit au rendez-vous de l’Histoire, retrouve son rang et redevienne, par la grâce de Dieu, la grande nation chrétienne qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être. 

Essais- L’Homme et la Cité- Volume II (à commander ici)

Site web : http://stanislasberton.com/
 Breizh-info.com

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Chambon-Feugerolles (42) : Mathieu, un infirmier libéral de 33 ans, sauvagement agressé par 2 jeunes qui voulaient voler sa voiture. “On a déjà du mal à trouver des médecins. Si, en plus, on se fait attaquer…”

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Commentaire R: On se demande a quoi peuvent ressembler ces “jeunes”. Le saura-t-on un jour ? A suivre… En général quand on ne donne aucune info sur ce sujet on se doute du profil.

Au Chambon-Feugerolles, dans la Loire, un infirmier libéral de 33 ans se fait agresser sauvagement sur un parking au petit matin du 31 décembre, en pleine tournée de soins auprès des malades. Il témoigne “pour cela n’arrive pas à quelqu’un d’autre.”

Si c’était si simple… Oui, je m’arrêterais. Mais bon, on ne peut pas laisser tout comme ça” explique Mathieu F., infirmier libéral installé au Chambon-Feugerolles, dans la Loire, qui, malgré le choc psychologique, pense déjà à reprendre son travail. “Ca m’a demandé beaucoup de sacrifices de m’installer ici. Depuis cinq ans, je travaille énormément. J’ai seulement trois semaines de congés par an, et je fais 60 heures par semaine. Ma vie de famille est bien réduite. Non… je ne peux pas tout laisser comme ça, avec tous les sacrifices que ça m’a demandé, juste parce que deux cons m’ont agressé une fois“, estime ce jeune père de deux enfants.

(…) Deux inconnus, manifestement jeunes, l’agressent et veulent lui prendre la voiture.

(…) Les deux agresseurs le rejoignent et lui assènent de nombreux coups de pieds sur le corps et même la tête. Des menaces très précises sont proférées. Mathieu se dit alors qu’il ne va pas s’en sortir vivant. 

Cette terrible attaque est inédite dans la vie de soignant déjà expérimenté. “C’est la première fois qu’il m’arrive quelque chose comme ça. Il m’arrive de voir des jeunes zoner, parfois. Mais ils n’ont jamais été virulents avec moi. Il reste un petit peu de respect, j’imagine…” commente-t-il. “Il y a quand-même le caducée sur le pare-brise. On va dans ces endroits-là tous les jours. Au bout d’un moment, les gens voient à qui est la voiture, avec le macaron dessus, quand-même. Ils savent qui on est.

On a déjà du mal à trouver des médecins. Personne ne veut venir sur la Chambon. Si, en plus, on se fait attaquer, ce sera fini, quoi. Plus personne ne viendra.”

(…) France 3

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Exporter ses prisonniers étrangers vers le Kosovo : « Avec la Hongrie, le Danemark est le pays avec le positionnement le plus hostile aux migrants au sein de l’Union européenne »

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01/01/2022

Le petit royaume nordique a signé un accord pour transférer au Kosovo des détenus étrangers. Il veut également externaliser les demandes d’asiles.

Au Kosovo, les détenus de la prison de Gjilan pourraient bientôt avoir à faire leurs cartons. Les autorités locales ont accepté, le 20 décembre, de louer au Danemark les 300 cellules de cet établissement pénitentiaire inauguré en 2017 – l’accord doit encore être validé par leurs parlements respectifs. Le bail, d’une durée de cinq ans et renouvelable une fois, pourrait rapporter 210 millions d’euros à Pristina. Les prisonniers que Copenhague compte envoyer là-bas possèdent un profil bien particulier : il s’agit d’étrangers originaires d’un pays non-membre de l’Union européenne, sans enfants au Danemark, dont la peine s’accompagne d’une expulsion. 

Jusqu’où ira le petit royaume nordique – 5,8 millions d’habitants – dans sa politique de gestion des étrangers ? L’accord avec le Kosovo, l’un des pays les plus pauvres d’Europe, suit d’autres décisions controversées visant les populations immigrées installées sur son territoire. “Avec la Hongrie, c’est le pays avec le positionnement le plus hostile aux migrants au sein de l’Union européenne”, estime Catherine Woollard, directrice du Conseil européen sur les réfugiés et exilés (ECRE), un réseau d’ONG. 

(…) L’Express


17/12/2021

Le Danemark loue 300 cellules de prison au Kosovo pour réduire la surpopulation. Un projet destiné aux détenus devant être expulsés à la fin de leur peine permettra d’étendre le parc pénitentiaire danois.

Ce projet, qui vise à réduire la surpopulation carcérale, permettra également d’augmenter le parc pénitentiaire danois de 326 places entre 2022 et 2025, a indiqué le ministère danois de la justice dans un communiqué.

L’année dernière, 350 détenus devaient être expulsés à la fin de leur peine.

La population carcérale danoise a augmenté de 19% depuis 2015, atteignant plus de 4 000 détenus début 2021 et dépassant 100% des capacités, selon les statistiques officielles.

Dans le même temps, le nombre de gardiens a diminué de 18% dans la nation scandinave de 5,8 millions d’habitants, où les détenus condamnés à des peines de moins de cinq ans les purgent généralement dans des prisons ouvertes.

“Il nous manquera jusqu’à 1 000 places dans le parc pénitentiaire d’ici 2025“, a déclaré le ministre de la justice, Nick Hækkerup, dans le communiqué. “Avec cet accord, il est convenu de louer 300 places de prison au Kosovo et d’étendre la capacité carcérale au Danemark de plusieurs centaines de places“, ajoute le communiqué.

Le Kosovo comptait 1.642 prisonniers en 2020, soit 97 % de sa capacité, selon le World Prison Brief de l’Université de Londres. La Norvège et la Belgique ont déjà loué des cellules de prison aux Pays-Bas.

The Guardian

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