Passe vaccinal, les maires s’agacent : « On a décidé de ne plus se taire, ça suffit ! »

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La réalité de terrain est toujours très loin de ce que nous livrent les médias mainstream. C’est souvent en écoutant les petites radios ou les chaînes régionales que surgit le pays réel. Invités dans le studio de Thonon Alpes Radio (voir la vidéo ci-dessous qui a dépassé les 100 000 vues) face à Damien Demenus, le maire de Marcellaz, Luc Patois et Sabrina Ancel, maire de Saint-de-Tholome nous ont livré un récit fort intéressant.

Tous ces élus un peu isolés chacun dans son coin ont décidé de s’unir contre le passe vaccinal, soutenus par les trois sénateurs de Haute-Savoie, Loïc Hervé, Sylviane Noël et Cyril Pellevat. Le groupe s’est constitué totalement par hasard puisque le maire Luc Patois s’est retrouvé à une réunion de la communauté de communes du pays de Cruseilles, réunion où le passe sanitaire était obligatoire. Sauf que, sur les neuf élus, seuls trois avaient le fameux sésame, les six autres élus n’étaient pas vaccinés et ne pouvaient montrer patte blanche. Le groupe majoritaire de six s’est donc fédéré. Une tribune dans Le Figaro « Nous, élus locaux, demandons l’abandon du passe sanitaire » a été signée par plus de 280 élus de Haute-Savoie.

Pour Luc Patois, le constat est clair concernant le passe vaccinal : « Il ne se justifie plus et tous les pays voisins le montrent, puisque, les uns après les autres, ils annulent toutes les mesures. Donc aujourd’hui quand est-ce qu’il va être annulé ? Je pense qu’il faut poser la question soit à Emmanuel Macron, soit à Jean Castex, parce que c’est vraiment une décision politique. En tout cas nous, on fait tout ce qui est en notre pouvoir pour alerter des méfaits de ce passe vaccinal qui divise vraiment la population et on va continuer. » Le maire de Marcellaz comprend très bien la situation et la mainmise du pouvoir profond, que ce soit dans les médias qu’au niveau politique « On s’aperçoit qu’on est dans un système très cadré de la pensée unique où tous les journaux nous disent tous les matins la même chose et les politiques nationaux que l’on peut entendre, c’est pareil, il n’y a pas beaucoup de voix dissonantes. »

Sabrina Ancel, maire de Saint-Jean-de-Tholome, a le sentiment qu’elle ne peut pas s’exprimer par rapport aux mesures sanitaires, tout comme la population ne peut pas s’exprimer. « Ça fait un an et demi qu’on est élus. On nous demande de mettre en place des protocoles, de mettre en œuvre des mesures. On voit l’incohérence de tous ces protocoles et on peut rien dire. Donc là maintenant on a décidé de ne plus se taire parce, ça suffit. On voit les enfants qui souffrent dans les écoles, on voit les gens qui se divisent, on voit les associations qui galèrent, on voit tout et ça fait un paquet de temps qu’on ne dit rien et le plus important c’est vraiment d’arriver à s’exprimer. »

Loin de vouloir s’arrêter en route, les élus comptent bien ramener à leur cause les brebis isolées à travers la France : « On va essayer de se rapprocher de tous ces maires qui peuvent peut-être se sentir isolés, essayer de fédérer, d’avoir des actions en commun, notamment par rapport à l’école, au port du masque pour les enfants, c’est vraiment une catastrophe. » « Il faut essayer de faire en sorte que nos libertés puissent être maintenues, puissent être conservées. C’est vraiment ce qu’on essaye de faire par notre mouvement. Alerter, quand les libertés fondamentales sont mises en cause et c’est le cas aujourd’hui. »

Aux médias qui voudraient inviter nos élus, afin d’avoir un point de vue de la réalité du terrain, Luc Patois et Sabrina Ancel seront ravis de venir donner un avis éclairé.

Marcel D. pour  Média en 4-4-2

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I-Média n° 380 – LA CHARIA À ROUBAIX !?

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SOMMAIRE :

Image de la semaine

Joe Biden s’enfonce dans la sénilité et l’outrage, en insultant un journaliste. Les médias relativisent !

La Charia à Roubaix ?

Roubaix était autrefois connue pour ses jolies avenues, sa culture populaire et la mythique course cycliste Paris-Roubaix. La ville semble avoir revêtu un tout autre visage : celui de l’islamisme radical et du grand remplacement. Jean-Yves Le Gallou analyse les images du dernier reportage de Zone Interdite.

Revue de Presse

Bolloré sur les bancs de l’accusé

Vincent Bolloré, gérant du groupe Bolloré, est un homme discret. Sans cesse calomnié par les médias de grand chemin, il sort enfin du silence alors qu’il est questionné par une commission sénatoriale. Ce fut une occasion pour ce grand industriel de défendre son groupe et sa carrière, dans une salle qui ne lui était pas acquise.

Comment ‘R : Toujours aussi bien faite, cette émission hebdomadaire reste un incontournable de la semaine. A regarder sans attendre !

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Novax Djokovic accueilli triomphalement en Serbie…

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Novax Djokovic est accueilli en héros par son peuple.

Pendant ce temps-là, en France, les gens ont peur des non-vaccinés.

Merci à D.P.

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Candidature de Macron : la France multiculturelle en marche

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C’est une pièce en trois actes. Le thème ? Comment faire réélire Emmanuel Macron. Une partie a déjà été rédigée, mais le plus important reste à écrire.

Le premier acte s’est déroulé à Vichy, le 8 décembre dernier. Un Emmanuel Macron solennel, accompagné de Serge et Beate Klarsfeld, se recueille devant la stèle érigée en mémoire des déportés juifs. Personne ne l’évoque directement à ce moment-là, mais c’est bien Éric Zemmour et ses propos sur Pétain qui sont dans toutes les têtes, et surtout dans celles des « stratèges de la majorité ».
Le journaliste Olivier Faye rapporte, le lendemain, leurs confidences dans le journal Le Monde : Zemmour offre à Emmanuel Macron « l’occasion d’opposer deux récits antagonistes » et « de réactiver le clivage entre progressistes et nationalistes qui a fait le succès du chef de l’État ».

Cependant, derrière cette stratégie, les macronistes visent beaucoup plus large que le seul centre gauche progressiste. Comme en 2017, Macron soigne son marketing politique à destination des « minorités » en cherchant à donner l’image du champion de la lutte contre une « droite identitaire xénophobe » et du garant d’un progressisme multiculturel et sociétal. La stratégie est donc ambitieuse : mobiliser le centre gauche et les minorités sans pour autant perdre le centre droit. Bloc élitaire plus électorat communautaire. Le fameux « en-même temps » macronien.

Le deuxième acte : la stratégie étant définie, il ne manque plus que le dispositif pour la déployer.
Ce sera bientôt chose faite, comme le dévoile La Lettre A, qui annonce le lancement imminent d’un mouvement appelé « Pluriel ». Porté « par plusieurs ministres et députés », il devrait « permettre de mordre sur l’électorat de centre gauche, mais aussi et surtout de toucher les “diasporas africaines” ». Le terme de « diasporas » permettant, fort opportunément, de ne pas employer celui de « communautés » afin d’échapper aux accusations de « communautarisme ».

Il faut revenir à des déclarations plus anciennes d’Emmanuel Macron pour comprendre qu’au-delà du calcul électoral, il y a un vrai projet idéologique.

Le 22 décembre 2020, L’Express publiait un entretien fleuve avec le chef de l’État qui indiquait à cette occasion : « Je crois à une politique de la reconnaissance. Dans notre Code civil figure encore cette notion très problématique d’assimilation. Elle ne correspond plus à ce que nous voulons faire. […] Chacun doit pouvoir vivre entre plusieurs horizons culturels. Je suis frappé de voir que notre République a laissé son socle se faire attaquer sans jamais reconnaître la richesse de nos diasporas pour nous-mêmes. » Tout est dit et les références sont soigneusement choisies qui renvoient au modèle multiculturel canadien et à ses politiques d’« accommodements raisonnables » au nom de la lutte contre les discriminations.

Le troisième acte est, à ce stade, pure spéculation, mais avouons qu’il cadrerait parfaitement avec le déroulement du récit.

C’est le quotidien régional La Provence qui nous met sur la piste lorsque, dans son édition du 22 janvier dernier, il pose la question suivante : « Présidentielle 2022 : et si Macron se déclarait candidat à Marseille ? »

Marseille, la ville symbole d’une France multiculturelle. « Une ville monde »« palimpseste de migrations et d’une France accueillante », s’émerveillait Macron lors d’un déplacement, en septembre dernier. Le thème du discours était « MARSEILLE EN GRAND ». Tout y passait : « l’urgence sécuritaire », le social, l’école, le sanitaire, l’entrepreneuriat, les nouvelles technologies et la culture. Un vrai discours programmatique. « Ici, déclarait Macron, il y a une chance formidable, il y a des enfants, des familles qui viennent de partout dans la Méditerranée, des rives européenne, libanaise, marocaine, algérienne, tunisienne, égyptienne. Et ils ont leurs imaginaires, ils ont leurs histoires. » Vous le voyez venir ?

La « France en Grand », multiple, ouverte, à l’image de la « ville monde ». Et Macron, en candidat de l’avenir et de la diversité heureuse face aux candidats de la peur, du repli et du passé. Pour ceux qui en doutaient encore, c’est bien la survie de la France qui va se jouer en 2022.

Frédéric Lassez, Boulevard Voltaire

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Comment torpiller EDF en 6 mois

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Notre super technocrate et ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, et sa collègue Barbara Pompili, faire-valoir de l’écologie à la sauce Macron, l’ont promis. L’augmentation du coût de l’électricité sera plafonnée à 4 % pour les usagers français en 2022. Et Bruno Le Maire d’affirmer que sans sa détermination à « protéger » le pouvoir d’achat des Français, la hausse aurait été de +44,5 % en ce début d’année. Merci et bravo Bruno, nous l’avons échappé belle !

Quel bonimenteur, ce Bruno ! Ça va, en réalité, coûter au contribuable au moins 16 milliards d’euros, sans compter le chèque « énergie » de 100 € déjà versé (3,8 milliards d’euros). Ça peut tout, « l’argent magique ». Remercions, ici, la direction de l’entreprise EDF d’accepter de se faire empapaouter par deux ministres et un Président qui ne seront peut-être plus en poste dans trois mois.

Un peu d’Histoire. 90 % de l’électricité française provient des centrales nucléaires et hydroélectriques, toutes deux sources d’indépendance énergétique décarbonée. Pourtant, depuis au moins une dizaine d’années, nos politiques n’ont fait que tergiverser, godiller et « technocratiser » le marché de l’électricité. Immobilisme de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, achat politique des voix des écologistes par François Hollande, inconséquences des décisions de Macron avec la fermeture de Fessenheim n’en sont que quelques exemples.

Personne ne s’en souvient, mais fin 2010, l’État français, pour se conformer à la doxa bruxelloise de la concurrence avec un grand C, vote la loi dite NOME (nouvelle organisation du marché de l’électricité) qui a pour objet de créer ex nihilo un marché concurrentiel de l’électricité, jusqu’à alors monopole d’EDF. Objectif claironné : faire baisser les prix, donc les factures, des foyers. Mais EDF produit l’électricité la moins chère d’Europe grâce aux centrales nucléaires et à l’hydroélectricité et répond déjà à tous les besoins des Français, au point même d’exporter une partie de sa production d’électricité. Rapidement, il y a comme un bug : le monopole EDF produit moins cher que les concurrents qui, en réalité d’ailleurs, ne produisent aucun kilowatt heure d’électricité mais se contentent de la distribuer. Pour les grands prêtres de la concurrence à tout crin, c’est une hérésie. Ainsi, EDF s’est vue contrainte de vendre à ses concurrents des kilowatts-heures… au prix de production EDF, donc décidé par l’État – plus précisément par une autorité, la CRE (Commission de régulation de l’énergie). Le prix est de 42 € le mégawatt-heure, inchangé depuis 2012.

Pour nous résumer, EDF vend de l’électricité à prix coûtant à des concurrents qui la revendent à des clients EDF au nom de la « saine concurrence ». En réalité, ce marché ne sert à rien sauf à se conformer à la doxa bruxelloise de la sacro-sainte concurrence.

C’est donc, bien entendu, un manque à gagner de chiffre d’affaires pour EDF qui a pourtant beaucoup à faire pour préparer l’avenir. Investir dans les énergies renouvelables. Investir dans la maintenance et la prolongation du parc nucléaire existant. Financer sa dette. Augmenter son capital pour faire face à sa dépréciation boursière (-35 % en un mois) et au boulet de 16 milliards d’euros légué par Bruno Le Maire et Barbara Pompili.

Comme EDF ne vend qu’une partie de son électricité à prix coûtant à ses concurrents, ces derniers se fournissent, pour le solde, sur le marché erratique de l’énergie, indexé sur les prix du pétrole et du gaz.

Pour rappel, les prix du pétrole et du gaz se sont respectivement envolés +60 % et de +73 % sur les douze derniers mois.

Et tout cela se répercute inévitablement sur vos factures. À trois mois de l’élection présidentielle, hors de question d’annoncer aux Français une hausse du prix de l’électricité de l’ordre de 44,5 %.

Enfin, cet hiver, il faut rouvrir des centrales à charbon, grand consommateur de CO2 (gaz carbonique), CO2 qu’il va, en plus, falloir compenser sur le marché des droits à polluer.

Aucune éclaircie ne semble vouloir se présenter. Alors, rendez-vous après le 24 avril, sans Bruno ni Barbara.

Bertrand Renault, Boulevard Voltaire

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Pour faire écho au film 1/5 de Karl Zéro, voici le documentaire “Viols d’enfants La fin du silence” par Elise Lucet

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Reportage: Suite aux troubles comportementaux et aux aveux progressifs de ses deux enfants Marie et Pierre, une mère décide de porter plainte contre son mari pour inceste et appartenance à une secte pédophile.
Le reportage propose une chronologie de l’enquête judiciaire avec les témoignages de Marie et de sa mère, mais aussi des représentants de la justice impliqués dans l’instruction.
Après trois ans d’enquête et de doutes sur la véracité des aveux de Marie la plainte aboutit sur un non lieu.
Commentaire sur des images factuelles, alternant avec les interview de Marie et sa mère, de Pierre SABOURIN, psychiatre, psychanalyste et thérapeute familial, de l’avocate de la mère des enfants Catherine LARDON GALEOTE, de Nicole TRICART, chef de la brigade de protection des mineurs de Paris, de Christiane BERKANI, premier juge d’instruction au Tribunal de Grande Instance de Paris, et de Georges GLATZ, fondateur du comité international pour la dignité de l’enfant.

Débat: Elise LUCET reçoit des invités pour débattre autour du reportage “Parole d’enfants” sur les aveux des enfants victimes de viol, les efforts faite par la justice pour recueillir les aveux des enfants dans les meilleurs conditions, et sur l’existence de réseaux pédophiles en France.
Les invités sont Jean Yves le GUENNEC, commissaire principal, chef de la sûreté départementale des hauts de Seine, Frédérique BREDIN, députée de Seine Maritime , Martine BOUILLON, substitut du procureur au tribunal de Bobigny, Martine NISSE, thérapeute familiale et Georges GLATZ, comité international pour la dignité de l’enfant.

Ci-dessous le documentaire de Karl Zéro 1/5

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Le livre “La disparition de Paris” démonte l’imposture de la maire Hidalgo

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Dans ce livre Didier Rykner, fondateur de La Tribune de l’Art, alerte sur l’état dramatique du patrimoine urbain et le massacre de la capitale.

Si ces dernières semaines, la campagne d’Anadingo s’enlisait pitoyablement, la sortie de La disparition de Paris tombe à point nommé pour adorner l’image de la candidate, réjouir ses adversaires et tant d’amoureux de Paris, outrés et désespérés.

L’auteur détaille la gestion catastrophique du patrimoine et les graves dégradations de l’espace public, que dénoncent des Parisiens excédés par l’état de la ville, avec  #SaccageParis, ce mot-dièse lancé sur Twitter en mars 2020. Deux millions de publications avec photos à l’appui… contre lesquelles Anadingo s’insurge, n’ayant pour seule défense que de les qualifier d’extrême droite…

Tout Paris est négligé, sale, abimé, atrocement enlaidi, les églises, les fontaines, les places… même les touristes s’en offusquent et s’affolent. Les premiers chapitres de l’ouvrage énumèrent les innombrables maux dont souffre Paris, sans oublier la disparition du mobilier historique tels les bancs Davioud à double assise, les réverbères en fonte, les jolis kiosques à journaux, etc., remplacés par de de véritables horreurs, à l’instar des Naturinoirs ou Uritrottoires…

Autre problème majeur: l’omniprésence de publicités qui défigure la ville, par des panneaux jouxtant des façades classées ou gâchant les perspectives. L’interdiction de la publicité étant soumise à l’appréciation de la mairie, c’est bien un choix délibéré d’Anne Hidalgo.

En matière écologique aussi, Didier Rykner accuse Anne Hidalgo « d’imposture ». Celle, qui se présente à la présidentielle affichant une sensibilité verte, prétend « rendre Paris plus vert et protéger les arbres », alors que la ville est victime d’une surdensification anéantissant d’innombrables îlots de verdure, « pendant que les coupes d’arbres se multiplient sans qu’on ne comprenne vraiment la raison »​.​​

Le Champ-de-Mars « mérite à lui seul un chapitre de ce livre tant il est emblématique de la disparition de Paris ».​​​ La mairie est « incapable d’entretenir les espaces verts existant – une grande partie des pelouses du Champs-de-Mars sont déjà dans un état désastreux ». Qu’importe! Anadingo annonce sans vergogne « une progression de 40 % des jardins et espaces végétalisés ». Un chiffre officiel qui ne correspond pas à la réalité du projet selon les associations de riverains et celles de défense du patrimoine. Quant au projet d’aménagement du « futur rayonnant Champs-de-Mars », « la ville de Paris, qui a depuis longtemps laissé les lieux à l’abandon, compare des vues existantes en montrant une situation effectivement désastreuse, au jardin féerique que nous promet le nouvel aménagement »…

Le dernier chapitre liste les mesures de « bon sens, qui devraient s’appliquer à toute gestion municipale qui se respecte ». Bon sens et gestion sont deux termes totalement inconnus de la présomptueuse Anadingo.  Il faudrait déjà se débarrasser de cette naufrageuse, laquelle réélue, avec 17% des voix,  a encore le temps de multiplier les catastrophes d’ici 2026.

Cet excellent ouvrage n’a qu’un défaut: son titre. Il aurai dû s’appeler: Le saccage délibéré de Paris.

Mitrophane Crapoussin, Riposte Laïque

La Disparition de Paris, de Didier Rykner, Les Belles Lettres, 240 p., 19 €.

Déclarations d’Anadingo en 2021.

30 minutes de bobards et propagande (2020)

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Ophélie Meunier menacée et placée sous protection après l’enquête de Zone interdite sur l’islam radical

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[…]

Depuis la diffusion du reportage, le juriste Amine Elbahi, qui apparaît dans plusieurs séquences aurait reçu des menaces de mort«Mon numéro de téléphone a circulé sur les réseaux sociaux, plusieurs appels au meurtre ont été diffusés. On me menace de décapitation, d’égorgement, de s’en prendre à moi parce que j’ai tenu un discours de vérité à visage découvert et en particulier sur l’inaction du maire de ma commune», a raconté l’énarque sur BFMTV. Mais il semblerait que ce ne soit pas le seul. En effet, à en croire Nicolas de Tavernost, Ophélie Meunier, la présentatrice de «Zone interdite», a été la cible de messages menaçants nécessitant son placement sous protection.

Vendredi 28 janvier, le président du directoire du groupe M6 était entendu par la commission d’enquête du Sénat sur la concentration des médias. Interrogé sur son ingérence de la ligne éditoriale de ses chaînes, il s’est défendu en évoquant ledit numéro du magazine d’information. «Pour faire mon métier, je suis obligé de juger d’un certain nombre de critères. Je vais vous donner un exemple extrêmement précis: nous avons fait une émission “Zone interdite” qui a eu pas mal de répercussions. Nous avons discuté de cette émission. Si vous appelez cela de l’ingérence M. Assouline [le rapporteur de la commission d’enquête, NDR], j’ai été ingérant sur cette émission. J’ai demandé si nous avions les garanties, si c’était une émission “extrémiste”, j’ai demandé si la présentatrice qui est menacée, était protégée, j’ai demandé si les témoins qui parlaient étaient bien floutés etc…», a-t-il déclaré avant d’ajouter: «J’ai fait le métier que j’estime devoir faire sur une émission dont in fine la décision m’est revenue. Je revendique d’avoir autorisé cette émission. Mais parce qu’on me l’a demandé. On aurait pu prendre la décision contraire. J’estime que c’est mon devoir de responsabilité: si vous appelez cela de l’ingérence, moi j’appelle cela l’exercice de mon métier».

Le Figaro

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Nicolas Bay (RN) refuse d’assurer qu’il sera aux côtés de Marine Le Pen jusqu’au premier tour de la présidentielle

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www.bfmtv.com

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