Manuel Valls, cinquante nuances de trahison

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« Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà », disait le grand Pascal. Il ne connaissait pas Manuel Valls. Lui n’a jamais rencontré la vérité, rien que l’ambition et la trahison, des deux côtés des Pyrénées. Pour exister de nouveau, il n’en finit pas de faire des appels du pied à Valérie Pécresse et à Emmanuel Macron. Pour cela, rien de tel qu’un livre : il vient d’en sortir un, d’une platitude prudhommesque, Zemmour, l’antirépublicain. Comme disait Edgar Faure, ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent. La preuve par Valls. Voici la chronique de François Bousquet sur les ondes de Radio Courtoisie.

J’ai lu pour vous Zemmour, l’antirépublicain de Manuel Valls, Monsieur coup de menton dans le vide, notre sous-Clemenceau de sous-préfecture. Eh bien, c’est une vraie purge. Je vais en recommander la lecture à la Société française de gastroentérologie. Pardonnez cette familiarité de carabin, mais je vous jure : Manuel Valls devrait déposer un brevet à la Faculté de médecine. 100 pages qui vous laissent lessiver comme si vous aviez avalé un laxatif. La thèse de Valls, c’est que « le zemmourisme est un antihumanisme ». Ah misère ! Depuis Érasme et la Renaissance, l’humanisme a beaucoup perdu en vigueur. Lui aussi est arrivé complètement lessivé au XXIe siècle. Il faut dire qu’il a tellement servi que ce n’est plus qu’un résidu d’idées séniles. Savez-vous ce que répondait Jacques Vergès quand on lui demandait pourquoi il fumait le cigare ? Parce que ça éloigne les humanistes et les moustiques, répondait-il, espiègle. Le type qui agite le chiffon de l’humanisme à tout bout de champ, c’est en général un carriériste sans imagination. L’humanisme, c’est une façon de dire qu’on n’a aucune conviction. La preuve par Valls.

Lauréat du prix Ganelon et de la bourse Judas

C’est l’éternel Iznogoud, toujours au supplice de ne pas être calife à la place du calife. Un traître de comédie. Malheureusement pour lui il ne fait même pas rire. Il a tout essayé, sauf le remords et la honte. Même quand il choisit l’exil espagnol, c’est pour servir sa folie des grandeurs et des places. Comme il ne fait jamais les choses à moitié, quand il trahit, il trahit son parti, son pays et sa femme, avec une sorte de fidélité dans l’infidélité et de constance dans l’inconstance qui force l’admiration. Il a déclaré sa flamme à tout le monde, sans jamais se brûler. Il aime tellement la République qu’il est prêt à épouser n’importe laquelle. Républicains de tous les pays, ralliez-vous à mon panache louvoyant. Pas de chance pour lui, l’Espagne est une monarchie. Pas grave. Monarchistes de tous les pays…

Les promesses des hommes politiques n’engageant que ceux qui les reçoivent, Valls a juré fidélité éternelle à la ville d’Évry, aux éléphants du PS, à François Hollande, à Benoît Hamon, à la France de Jules Ferry et du gendarme Flageolet, à Barcelone, au FC Barcelone, à ses trois femmes, aux habitants de Gaza, à ceux de Jérusalem, etc., etc. Voir Le vrai visage de Manuel Valls, l’enquête d’Emmanuel Ratier. Un vrai feuilleton. Cinquante nuances de trahison. On doit être à la saison 7 ou 8. S’il y avait un prix Ganelon ou une bourse Judas, il la décrocherait chaque année.

Un CV de traître long comme un Paris-Barcelone

Dans les sociétés d’honneur, la trahison était le pire des crimes. Caïn, Judas, Ganelon, Iago. Dans L’Enfer de Dante, les traîtres croupissent dans le neuvième et dernier cercle, le plus terrible. Si on croyait encore à l’enfer aujourd’hui, le neuvième cercle serait rempli à craquer. « Quelle misère, s’étranglait Jean Raspail dans Le Camp des saints ! D’ailleurs, les traîtres sont devenus intouchables. Ils sont tellement nombreux à se bousculer dans la trahison que personne n’éprouve plus la moindre sensation que ces gens-là sont en train de nous trahir en bloc ». La trahison serait-elle la reine des fins de règnes, elle qui est devenue un placement, sinon un gisement ? Le filon des félons. Si oui alors, Manuel Valls en est le principal concessionnaire français.

Il parle de lui à la troisième personne comme s’il entrait vivant au Panthéon. Aux grands hommes, la patrie reconnaissante. Mais laquelle, Manuel ? La française ou l’espagnole ?

Aujourd’hui, il est au chômage. À Pôle Emploi Barcelone, on lui a bien conseillé, après son échec aux municipales, de postuler à quelque élection sud-américaine. Il doit bien avoir un lointain ancêtre catalan qui a émigré là-bas. Et s’il n’en a pas, on peut compter sur lui pour s’en trouver un ou mettre la main sur une riche héritière multimillionnaire, une sorte de Castafiore hispanique. Pas de chance pour nous, l’Amérique latine n’a pas voulu de lui. Alors, il a regagné Paris.

Ni les LR ni La République en marche ne lui ont rien demandé, mais il vient d’envoyer des lettres de candidatures spontanées à Valérie Pécresse et à Emmanuel Macron. Hyper-motivé, qu’il est. Il met en avant ses qualités, d’abord l’expérience. Et c’est vrai qu’en matière de trahisons, il a un CV long comme un Paris-Barcelone.

« La République, elle, elle ne ment pas »

Chez Valls, le ton est dur, le fond est mou. Il gonfle la voix, il bombe le torse, il serre les maxillaires en claquant des dents et des talonnettes. C’est le prince des claquettes, le roi des castagnettes. Franchement, la République n’est pas en forme si son Julio Iglesias s’appelle Valls. La République, la République, annone-t-il comme un vieux gramophone. Mais il ne suffit pas de faire rimer république avec coups de trique pour incarner l’autorité. La République, c’est le nom qu’il a donné à son ambition. Elle n’a pourtant jamais électrisé les foules. C’est le marchepied des ambitieux, le gri-gri des francs-maçons et la marotte des instituteurs à collier de barbe. Un souvenir sorti tout droit du XIXe siècle. Entre nous, ce n’est pas la France qui est moisie, c’est la République. Manuels Valls est le stade de décomposition le plus avancé. Il va de plateau télé en salle de rédaction répéter en boucle que « la République, elle, elle ne ment pas », comme la terre selon Pétain. Il ne nous reste plus qu’à fredonner en son honneur « Manu, nous voilà ! », sur l’air de « Maréchal, nous voilà ». Car Manu c’est la République et la République c’est Manu.

François Bousquet, Revue Elements

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Québec : les non-vaccinés interdits des grandes surfaces et sous tutelle dans les pharmacies

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Depuis lundi 24 janvier 2021, les non-vaccinés au Québec deviennent des sous-hommes qu’il faut encadrer, surveiller, contrôler, diriger. Le passe vaccinal devient obligatoire dans les grandes surfaces supérieures à 1500 mètres carrés (Michel-Édouard Leclerc aurait adoré), les non-vaccinés n’ont accès qu’aux pharmacies et stations-service.

Pour ce qui est d’acheter dans les pharmacies, ça devient un peu plus compliqué puisque le non-vacciné sera sous tutelle, il devra se faire accompagner par un employé qui vérifiera qu’il n’achète que des produits essentiels. L’arrêté du ministre de la Santéprescrit qu’« Une personne qui n’est pas adéquatement protégée contre la COVID-19 qui accède à une pharmacie située dans un commerce de vente en gros ou de vente au détail dont la surface de vente est de 1500 mètres carrés ou plus pour y recevoir un service pharmaceutique soit accompagnée en tout temps lors de ses déplacements par un employé de ce commerce, de cette pharmacie ou de tout autre personne mandatée par eux à cet effet et qu’elle ne puisse y acheter d’autres produits que ceux liés au service pharmaceutique qu’elle reçoit; » Voici l’arrêté numéro 2022-007 du ministre de la Santé et des Services sociaux Christian Dubé, en date du 23 janvier 2022 : Loi sur la santé publique.

Le flicage entre citoyens nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire, mais il semble que les États du monde n’aient pas appris grand-chose de l’histoire — ou ne l’aient que trop bien appris… Heureusement, nos cousins du Canada ne perdent pas complètement le nord. En effet, le mouvement des routiers contre le pass vaccinal, baptisé Freedom Convoy 2022 (le convoi pour la liberté 2022), prend de l’ampleur chaque jour. On en profite donc pour leur dire qu’on les soutient. Ne vous laissez pas impressionner, ne lâchez rien ! Depuis la France, on est avec vous, les gars..

Média en 4-4-2

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La primaire populaire : volonté de rassemblement des gauches ou machine à les diviser ?

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Pendant plusieurs jours, les médias mainstream, en particulier ceux du «  service public », ont répété la possibilité de s’inscrire avant le 24 janvier afin de participer au vote organisé par un mouvement intitulé « La primaire populaire »  pour désigner un candidat commun de gauche à l’élection présidentielle d’avril 2022. Cela aurait fait exploser le nombre d’inscrits qui seraient de 467 000 selon les organisateurs. Mais qui sont-ils et quelle est l’histoire de ce mouvement qui prétend se substituer au jeu traditionnel des partis institutionnels de gauche ?

Samuel Grzybowski, directeur et porte parole, un militant catholique de longue date

Fils de  de Laurent Grzybowski, journaliste à La Vie, hebdomadaire catholique, Samuel Grzybowski, après avoir fréquenté l’école primaire privée Saint-Charles à Paris XV°, puis le collège Notre-Dame de Sion, a passé une licence d’histoire et une licence de sciences politiques à Panthéon-Sorbonne en juillet 2013. En août, il suit un cours en entrepreneuriat social et médiation interculturelle dans un cycle financé par la fondation Edmond de Rothschild.

Très engagé très jeune dans divers mouvements catholiques, dès novembre 2008, il crée un groupe interreligieux de jeunes, en rentrant du Train de la Mémoire à Auschwitz.

En 2009, refusant l’importation du conflit israélo-palestinien en France, il fonde l’association Coexister.  Sa deuxième opération Ensemble à Sang% réunit plus de 1 000 participants. La Croix le considère comme un des« dix jeunes qui font bouger l’Eglise de France ».

En 2011, le père Patrick Desbois l’inscrit dans la délégation de l’Église catholique lors de la rencontre avec l’International Jewish Committee for Interreligious Consultation au sein de l’International Liaison Committee. Le 25 octobre, il siège à la Conférence générale de l’Unesco parmi les représentants de l’ONG « Religions for Peace ».

Il a créé l’association YOUCOUN en octobre 2011, dont le but est « la célébration, la compréhension et la promotion du concile Vatican 2 »  auprès des jeunes. Elle sera officialisée le 11 octobre 2012 lors d’une réunion de la Conférence des évêques de France.

En octobre 2015, il ouvre un cabinet de conseil « Convivencia Conseil ». Son objet est de : « Former, conseiller, accompagner les entreprises dans la gestion du fait religieux et de la laïcité ».

Depuis 2019, il donne des cours à Sciences Po Paris sur l’économie sociale et solidaire.

Mathilde Imer, porte parole, une figure de la mouvance écologiste

Mathilde Imer a étudié la biologie  et les relations internationales. S’intéressant beaucoup aux questions environnementales et sociales, elle a participé au programme Engage University, dont l’objet est d’appréhender les transformations sociétales. De mêm, elle milite dans des associations écologistes

En 2015, lors de la COP21, elle travaille avec Laurence Tubiana qui estime qu’elle « incarne le refus du renoncement et la volonté de tenir ensemble 3 exigences : l’écologie, justice sociale, et la revitalisation de la démocratie».

En 2018, Mathilde Imer est une animatrice du collectif des « Gilets citoyens », composés de gilets jaunes, de militants écologistes et des acteurs de l’innovation démocratique. Cette mobilisation pour concilier écologie et justice sociale débouchera sur la Convention Citoyenne pour le Climat voulue par Emmanuel Macron.

En 2020,  Mathilde Imer devient membre du comité de gouvernance de la Convention Citoyenne pour le Climat. Elle joue un rôle important dans son organisation, dont elle a négocié avec l’Élysée les modalités et les garanties.

De 2019 à 2021, elle occupe le poste de coprésidente de Démocratie Ouverte, dans l’objectif de « régénérer les institutions ».

La généalogie de cette « primaire populaire »

C’est un collectif  » Rencontre des justices « , regroupant  des militants écologistes, féministes et antiracistes, qu’on pourrait rapprocher de la mouvance de gauche radicale dite « Woke », qui lance le projet en espérant être soutenu par tous les partis de gauche du Parti socialiste au Nouveau parti anticapitaliste et susciter une candidature commune à gauche.

Deux étapes sont prévues pour organiser cette primaire :

  • un parrainage en ligne de participants potentiels, commencé en juillet 2021, normalement  achevé en octobre 2021,
  • un vote du 27 au 30 janvier 2022.

Auparavant est prévue l’écriture d’un programme  auquel candidats et électeurs devront adhérer.

Pour la mise en oeuvre, une association « 2022 ou jamais », est créée en février 2021. Mathilde Imer en est la vice-présidente et  Samuel Grzybowski en est le directeur politique. Ils sont tous les deux porte-parole. La sociologue Dominique Méda est membre du bureau. Des groupes locaux seront mis en place avec les élections législatives en vue.

Pierre Larrouturou de Nouvelle Donne, Gérard Filoche de la Gauche démocratique et sociale et Sandrine Rousseau d’EELV adhérent à ce projet dès l’origine.

Le programme, premier objet de dissension

Les organisateurs affirment avoir repris les revendications des mouvements sociaux  compatibles avec les programmes des partis concernés.

Selon Le Canard Enchaîné, certains le contestent : « LFI assure n’avoir rien validé du tout, la Gauche Républicaine et socialiste non plus et le bureau national du PS n’a pas voté sur ce fameux socle commun » de même que : « la sortie du nucléaire en 2050 n’a jamais été votée par le PCF » alors que ce programme propose : « la planification de la sortie du nucléaire d’ici à 2050 ».

Ce programme ayant été retiré du site en novembre, combien des 467 000 électeurs l’auront lu avant de voter ?

Or celui-ci contient des propositions qui divisent profondément les partis et les militants de gauche et, donc, ne remplit en rien l’objectif de rassemblement claironné par les animateurs de l’association.

A titre d’exemple, en plus de la sortie du nucléaire, on peut citer le retrait des brigades d’intervention des quartiers populaires, la réquisition des logements vacants, l’interdiction de l’élevage intensif, l’augmentation des cotisations retraite, un référendum sur l’écriture inclusive,  l’interdiction de la corrida et de la pêche au chalut, des journées « environnement et citoyenneté » obligatoires pour tous les plus de 18 ans.

Le vote des parrainages

Le 1er juillet 2021 est annoncé le processus de parrainages citoyens avec deux possibilités pour les votants :

  • « proposer d’eux-mêmes des noms » ensuite retenus à partir de 500 soutiens
  • « approuver les candidats qui y sont déjà présents »

Le 9 juillet 2021, Samuel Grzybowski déclare que les 8 noms retenus sont « ceux qui ont participé à construire le socle », dont Yannick Jadot, Eric Piolle, Arnaud Montebourg, Anne Hidalgo, Fabien Roussel, Jean-Luc Mélenchon. Au final douze noms sont retenus par les organisateurs. S’y ajoutent donc : Pierre Larrouturou, Sandrine Rousseau, François Ruffin, Gérard Filoche, Christiane Taubira et Gaël Giraud.

132 000 inscrits auraient participé à ce premier vote pour les parrainages, qui peuvent aller  sur d’autres personnalités que celles retenues ci-dessus. Les résultats donneront le classement suivant :

  • Christiane Taubira 34 600 parrainages
  • François Ruffin 26 000 parrainages
  • Pierre Larrouturou 14 500 parrainages
  • Gaël Giraud 13 500 parrainages
  • Clémentine Autain 10 500 parrainages
  • Jean-Luc Mélenchon 9 500 parrainages
  • Anne Hidalgo 6 500 parrainages
  • Yannick Jadot 6 300 parrainages
  • Charlotte Marchandise 1 700 parrainages
  • Anna Aqued Porterie 800 parrainages.

Une déclaration de Samuel Grzybowski crée des remous

Le Canard Enchaîné a rendu publique le contenu d’une intervention vidéo de Samuel Grzybowski dans laquelle il déclarait : « Notre but est d’empêcher qu’Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel, Arnaud Montebourg, Yannick Jadot puissent avoir les 500 parrainages. ».Il ajoutait vouloir  » faire chuter leurs côtes de popularité  » en menant des opérations de critiques massives sur les réseaux sociaux et, ainsi, les empêcher d’obtenir leur financement bancaire.

L’association est alors dénoncée de n’être qu’un « instrument au service de Christiane Taubira ». Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon demandent que leur nom soit retiré du scrutin.

Les organisateurs de la primaire refusent : « aucun des noms des candidats ne sera retiré »

Le vote final

Pour y participer, l’électeur doit remplir cinq conditions:

  • affirmer se reconnaître dans le socle commun;
  • être de nationalité française;
  • avoir plus de 16 ans;
  • posséder les attributs numériques habituels (téléphone portable, numéro de téléphonie mobile et adresse email);
  • détenir une carte bancaire française, afin de s’inscrire en ligne pour pouvoir voter.

Le 15 janvier les organisateurs présentent 7 candidats retenus: Anna Agueb-Porterie, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Pierre Larrouturou, Charlotte Marchandise, Jean-Luc Mélenchon et Christiane Taubira. Cependant, trois refusent  d’y figurer : Anne Hidalgo, Yannick Jadot, et Jean-Luc Mélenchon.

En effet, PS, EELV, LFI et PCF ont déjà désigné leur candidat et n’ont pas donné leur accord pour y participer. Aucun n’a donné son aval.

Les votants, qui seraient 467 000, auront quand même le choix entre les sept noms ci-dessus retenus par les organisateurs. Ce vote en un seul tour aura lieu du 27 et le 30 janvier 2022.

Que se passera t-il si le candidat choisi par les électeurs étaient l’un de ceux qui ont refusé d’y participer ?

A la lumière de cet historique, ne peut-on se demander quel est le véritable objectif de cette initiative : une candidature unique de la gauche ou le lancement d’un nouveau parti, porte parole des minorités, proche des mouvements « woke », avec Christiane Taubira comme figure de proue, qui finirait de tuer les partis traditionnels de gauche : PS, PCF, EELV, LFI ?

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Discours de Macron au Parlement européen et immigration : vers un conflit avec la Hongrie et la Pologne ?

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Lors de son discours prononcé devant le Parlement européen le 19 janvier dernier, Emmanuel Macron a fait part de ses objectifs dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne. S’il affirme vouloir une Europe plus souveraine et construire un nouvel ordre de sécurité et de stabilité, ses intentions relatives à l’immigration sont-elles en concordance avec ces objectifs ?

Une Europe souveraine contrôlant l’immigration

Macron dit vouloir : « protéger nos frontières extérieures, y compris en élaborant une force intergouvernementale d’intervention rapide ». Pour cela,  il convient de « bâtir des partenariats avec les pays d’origine et de transit pour lutter contre les réseaux de passeurs et rendre efficace notre politique de retour ».

Pour le député LR de l’Yonne, Guillaume Larrivé, encore faudrait-il revoir les règles européennes. Il cite par exemple « la directive retour, qui empêche aujourd’hui de pénaliser le séjour clandestin ». La conséquence est que  seul le « maintien irrégulier » (pour un étranger faisant l’objet d’une décision d’éloignement toujours exécutoire) constitue un délit.  Ceci complique la tâche de la police car, ainsi, de nombreux clandestins y échappent.

Une modification de la directive retour permettrait une éventuelle garde à vue de ces illégaux. Mais cela ne semble pas être à l’ordre du jour.

Aussi, quand Emmanuel Macron affirme vouloir « construire au fond une politique plus efficace, mais respectueuse de nos principes pour lutter contre l’immigration irrégulière » , comment compte t-il modifier cette directive  tout en « respectant des principes » qui bloquent toute action sérieuse depuis des années ?

Une répartition « équitable » des immigrés dans tous les pays de l’UE

Emmanuel Macron indique également qu’il veut  « acter d’un accueil partagé solidaire entre les États membres, comme nous l’avons fait entre 2018 et 2021 ».

Cette proposition est la reprise à l’échelle européenne de la politique menée depuis 5 ans en France en installant des immigrés dans de nombreuses communes rurales qui ne le souhaitaient pas.

N’est-ce pas aussi un aveu d’échec  par avance d’une politique de contrôle de l’immigration s’il faut prévoir de  répartir des immigrés dans tous les États membres, dont ceux qui refusent toute immigration ?

N’indique t-il pas également sa volonté d’imposer au détriment de leur souveraineté nationale à tous les autres pays de l’Union européenne, notamment ceux d’ Europe centrale et orientale, sa propre vision politique de l’immigration, comme d’ailleurs en imposant la reconnaissance du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux ?

Ce faisant, ne choisit-il pas de diviser les pays de l’UE au lieu de les unir dans des projets communs ?

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Capitulation des autorités à Brest : face aux violences urbaines, les bus et tram ne circulent plus après 20h

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Comment ‘R : Comme d’habitude les politiques et responsables ne prennent pas de mesures fermes au quotidien pour permettre à certains quartiers de vivre normalement. Plutôt que sécuriser totalement et définitivement ces quartiers on prend des mesurettes temporaires qui ne durent que le temps qu’on n’en parle plus… En définitive c’est toujours les mêmes qui trinquent, les petites gens qui n’ont pas les moyens de quitter ces quartiers et qui ne peuvent se payer une voiture. Pour la prochaine élection pensez à faire le bon choix quand vous voterez. Il faut que ça change, les délinquants doivent finir en prison et pour les clandestins récidivistes ils doivent être expulsés.

Quatre jours après Pontanezen, c’est au tour des quartiers de Keranroux et Bellevue d’être le théâtre de violences urbaines. Mardi soir, un tramway et un bus ont été visés par des tirs de mortier d’artifice.

En réaction et sur demande des syndicats, la direction de Bibus a fait le choix d’interrompre la circulation des bus à partir de 20h chaque soir, dans toute la métropole, et ce au moins jusqu’à nouvel ordre.

Les autorités – qui ne font rien pour assurer, y compris pourquoi pas avec des policiers en armes, la sécurité des travailleurs – capitulent donc officiellement face aux dealers et à la racaille. Cela devient une tradition : la République française, forte avec les faibles, faible avec les forts.

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Islam en Allemagne : Inquiétude face à une menace grandissante

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Le 7 janvier dernier, le tribunal de Düsseldorf a condamné un islamiste de 27 ans à quatre ans et neuf mois de prison, les juges ayant déclaré l’homme coupable de financement du terrorisme et de complicité dans des crimes gravissimes, dans la mesure où il avait accepté de commettre des attentats terroristes. Le terrorisme islamiste restant dans la ligne de mire des autorités et dans l’esprit de beaucoup, les préjugés et l’islamophobie augmentent par voie de conséquence. Aujourd’hui, entre 5,3 et 5,6 millions de personnes de confession musulmane vivent en Allemagne, qui compte un peu plus de 83 millions d’habitants, soit 6 % de la population.

Selon une enquête statistique commune menée en 2021 par la fondation Alice-Schwarzer (dont l’objectif est de « promouvoir l’autodétermination et l’égalité des droits pour les femmes »), la fondation Giordano-Bruno (fondée en 2004 et qui combat « l’idéal de la culture allemande chrétienne » et le multiculturalisme indifférencié) et le Centre de recherche en sciences sociales de Berlin (WZB), qui étudie les faits de société et les sciences politiques et économiques, 45 % des personnes interrogées ont déclaré que l’islam « n’appartenait pas du tout » à l’Allemagne. Les Allemands semblent cependant avoir une vision ambivalente de l’islam, même si une majorité d’entre eux s’inquiètent de la menace croissante que représentent les groupes islamistes.

Toujours en 2021, un autre centre de sondage, l’institut d’études d’opinion Allensbach, très renommé en ce qui concerne la recherche par sondages en Allemagne, confirme cette ambivalence après avoir interrogé un bon millier de citoyens allemands âgés de plus de 16 ans sur leur « attitude à l’égard de l’islam et de l’islamisme ». Il révélait que 45 % des personnes interrogées déclaraient avoir des musulmans dans leur cercle d’amis et de connaissances. La différence était nette entre l’Allemagne de l’Ouest et l’Allemagne de l’Est : alors qu’en Allemagne de l’Ouest, une personne interrogée sur deux connaissait un musulman ou une musulmane, en Allemagne de l’Est, en revanche, cette proportion n’était que de 22 %, où d’ailleurs les partis extrêmes gagnent du terrain.

Toujours dans cette même enquête, les deux tiers (65 %) des personnes interrogées affirmaient également que « les musulmans devraient avoir le même droit à la liberté de religion » que les chrétiens. Dans le même temps, seuls 5 % déclaraient que l’islam ne représentait aucune menace pour la société allemande ; 63 % ne considéraient pas l’islam comme une menace immédiate, sauf lorsqu’il s’agit d’islamisme. Ainsi, 71 % des personnes interrogées déclaraient qu’une « interprétation radicale du Coran » incite à la violence et que « dans certaines mosquées, on prêche la haine et l’intolérance ».

L’enquête montrait également que le voile islamique intégral suscite encore un grand malaise : 90 % des personnes interrogées étaient opposées au port de la burqa, que ce soit de manière générale ou dans des sphères précises : une interdiction générale, donc, du voile intégral en public et dans les services publics, la burqa et le niqab formant une barrière entre l’intéressée et son environnement et constituant un obstacle à l’intégration culturelle et à la vie en société.

Dans le cas du foulard, 61 % des personnes interrogées exigeaient son interdiction pour les enseignantes dans les écoles publiques et 53 % étaient opposées à ce que les filles de moins de 14 ans le portent.

À la question de savoir quels partis allemands étaient les plus impliqués dans la lutte contre l’islam radical, 43 % des personnes interrogées jugeaient que l’AfD était le parti le plus qualifié. Ce parti exige, en effet, une interdiction générale du voile intégral en public et dans les services publics. Suivaient, ensuite, les partis de l’Union (CDU/CSU), avec 21 %, les socialistes du SPD (9 %), le FDP (libéraux), avec 7 %, les Verts (5 %) et la gauche du parti Die Linke à 4 %.

Nicolas Faure, Boulevard Voltaire

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Scandale des maisons de retraite ORPEA : obsession de la rentabilité et inhumanité

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C’est le nouveau scandale qui agite, depuis mardi, le Landerneau politique : la sortie de Les Fossoyeurs, un livre du journaliste Victor Castanet, fait l’effet d’une bombe dans la campagne. C’est « le scandale ORPEA », le leader mondial du secteur de la dépendance.

Le journaliste y dépeint un monde où l’obsession de la rentabilité serait devenue synonyme de maltraitance : des chambres à plusieurs milliers d’euros, une publicité digne des grands palaces mais, au quotidien, le rationnement des couches et de la nourriture et le délaissement des pensionnaires dans la souffrance et la solitude.

Le cours d’ORPEA a dégringolé en Bourse, chutant de 30 % en deux jours. La classe politique, qui semble découvrir la Lune, se dit effarée. Le ministre Véran s’agite, repasse la patate chaude à sa ministre déléguée chargée de l’Autonomie, Brigitte Bourguignon. « Je vais convoquer la direction d’Orpéa pour des explications et, avec Olivier Véran, on se réserve la possibilité d’une enquête indépendante sur ces faits graves s’ils sont avérés », a dit la dame. Dont acte.

Une fois de plus, on se pose la question : où vivent donc ces gens-là pour ignorer ce que tout le monde sait ? N’ont-ils jamais eu à se soucier d’un proche âgé ? Ne connaissent-ils personne de concerné, dans notre France qui compte 20,7 % de seniors (+ de 65 ans) et déjà 26.000 centenaires (l’INSEE estime qu’ils pourraient être plus de 75.000 en 2040) ?

Curieusement, personne encore, parmi les candidats à la présidentielle, n’a voulu aborder cette question, sans doute parce qu’elle est synonyme de dépenses colossales. Sans doute, aussi, parce qu’on ne l’aborde que sous cet angle financier, se gardant bien de réfléchir au premier des scandales qui est la déshumanisation de nos sociétés.

Pour y réfléchir, justement, Dimitri Pavlenko a fait du grand âge le thème de son débat, ce 26 janvier, sur Europe 1. Parmi les invités, Guillaume Bigot a pointé les ravages causés par la pandémie, mettant en lumière ce paradoxe qui a consisté à transformer les EHPAD en prisons au prétexte de protéger les résidents d’un virus : « Les EHPAD étaient le lieu où les gens risquaient d’être contaminés et celui où ils ont été enfermés au nom de leur vulnérabilité, le lieu où les gens n’ont pas pu dire adieu avant de partir et où les gens n’ont pas pu faire leur deuil » dit-il. « On est toujours dans une approche de solidarité froide. On va parler de milliards d’euros quand la réalité ce sont les couches, la solitude, les gens qui pleurent parce qu’on les empêche de voir leurs enfants. »

Il faut réfléchir ensemble à la manière dont nous voulons vieillir. Or, dit encore Guillaume Bigot, la vieillesse telle qu’on nous l’offre aujourd’hui, « c’est le cadeau empoisonné de la science et de la médecine ». Qu’importe comment l’on vit, il faut juste ne pas mourir. On ranime, on « récupère » des gens qui ne peuvent plus échapper à la dépendance. Les chiffres sont là : « La moitié des dépenses de santé, c’est la dernière année de vie. Quand on rentre dans un EHPAD, on a trois ans et quatre mois d’espérance de vie. »

La pandémie a mis ce problème des EHPAD en lumière, « cela rejoint le problème de l’hôpital et l’aspect incompréhensible de l’absence de vision du gouvernement, et de l’Occident, sur le vieillissement des populations ». On rappellera ici le drame épouvantable qui s’est déroulé au Québec, en avril 2020, où 31 résidents d’une maison de retraite sont morts en l’espace de deux semaines alors que le personnel soignant s’était enfui par peur du coronavirus. Le loyer dans cet EHPAD était de 3.000 à 10.000 dollars par mois.

Non seulement cette pandémie a révélé l’inhumanité et l’absence de réflexion sur ce qui est un problème majeur de nos sociétés, mais elle a, par la gestion calamiteuse qui en est faite, dressé les générations les unes contre les autres : on prive les jeunes de liberté pour protéger des vieux que finalement on maltraite !

Marie Delarue, Boulevard Voltaire

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La principale association pied-noire réagit à la reconnaissance du massacre de la rue d’Isly : “Nous, les “agents du crime” d’après Macron en 2017 serions subitement devenus honorables 3 mois avant les élections ?”

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Conférence de presse du cercle algérianiste

Le 26 mars 1962, une semaine après les accords d’Evian, des soldats français avaient ouvert le feu sur des dizaines de manifestants qui tentaient de franchir un barrage militaire dans la capitale algérienne. Le bilan précis reste inconnu à ce jour.

Emmanuel Macron a poursuivi sa série de prises de parole et de commémorations liées à la guerre d’Algérie, mercredi 26 janvier, en recevant des associations de rapatriés français. Face à elles, le président de la République a reconnu le “massacre” de “dizaines” de manifestants français, opposés à l’indépendance de l’Algérie, par des militaires français, le 26 mars 1962 à Alger. Cet épisode, connu sous le nom de “fusillade de la rue d’Isly” et qui n’avait jamais été reconnu par la France, est “impardonnable pour la République”, a déclaré le chef de l’Etat.

Une semaine après la signature des accords d’Evian et le cessez-le-feu en Algérie, des manifestants civils partisans de l’Algérie française qui tentaient de forcer le passage vers le quartier de Bab El-Oued, dans le centre d’Alger, avaient été la cible de tirs à un barrage tenu par l’armée française. Selon différentes sources, les soldats firent au moins une cinquantaine de morts, tous civils.

“Ce jour-là, les soldats français déployés à contre-emploi, mal commandés, ont tiré sur des Français (…) Ce jour-là, ce fut un massacre”, a insisté Emmanuel Macron lors de son discours mercredi.

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Un Brestois, habitant le quartier de Pontanézen, raconte son quotidien : “Ici, je me sens comme un prisonnier (…) Mon crime, c’est de ne pas être assez riche pour quitter cet endroit”

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« Venez voir comment ça se passe à Ponta ! » Excédé, l’habitant d’une tour de Pontanézen, à Brest, raconte son quotidien et la réalité du point de deal. Vue plongeante sur un quartier populaire sous pressions.

(…) « Je ne veux pas qu’on me repère avec un journaliste ». Il est 13 h. Calme plat. « C’est l’heure où le point de deal se met en route. On va aller chez moi, il faudra être prudent, prévient notre ouvreur. Je marcherai trente mètres devant, vous me suivrez. Gardez votre casque de vélo à la main, cela vous donnera une allure de sportif ou livreur ».

(…) L’habitant ouvre sa porte et la referme à double tour. « Regardez cette vue splendide sur le quartier ! », ironise-t-il, la fenêtre grande ouverte. « D’ici, je ne manque rien du spectacle. Les mouvements de véhicules, les embrouilles, les rodéos, les clients qui passent à pied, en voiture, en trottinette électrique. Le principal point de deal se concentre non loin des rails du tram. La ligne a été interrompue depuis le guet-apens de samedi soir. Moins bien pour les affaires… »

« Regardez le terrain de basket », embraye la vigie de « Ponta ». « La municipalité a cru bien faire mais c’est devenu le principal point de recrutement des plus jeunes ». Derrière la voiture, dans le coin, des yeux ont repéré notre ballet de gens trop curieux. « Il ne faut pas traîner, ils ne savent pas qui vous êtes » enjoint le guide d’un coup plus fébrile.

Le quartier est à ce point sous pression ? « Moi, cela fait dix ans que je la ressens ici. Le matin de mon arrivée, j’avais trouvé le quartier plutôt pas mal. C’est toujours calme entre 8 h 30 et 10 h. Quelques heures plus tard, je vivais mon premier feu de voiture », se souvient notre trentenaire. Pas tendre quant à l’action de la municipalité. Plus clément vis-à-vis du préfet Philippe Mahé qui a annoncé des moyens de police supplémentaires.

(…) Pourquoi rester dans ce quartier ? « J’économise pour partir. Tout est compliqué quand t’habites “Ponta”. Pour tes démarches, tu as beau dire « Quartier de l’Europe » mais cela ne fait pas illusion très longtemps. Ici, je me sens comme un prisonnier qui n’a commis aucun délit. Mon crime, c’est de ne pas être assez riche pour quitter cet endroit ».

(…) Le Télégramme

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