Zemmour : “Il faut que les Français soient prêts à la bataille et refusent de se laisser soumettre plus longtemps à la propagande ambiante”

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

À la veille du lancement de la campagne présidentielle, Éric Zemmour analyse la situation de la France et se confie sur les rumeurs d’une possible candidature. Entretien.

(…) Quant à l’assassinat du prêtre vendéen par ce criminel rwandais qui avait déjà incendié la cathédrale de Nantes, il nous montre à quel point notre humanisme et notre juridisme sont devenus les marques d’une faiblesse qui nous tue.

Nous ne sommes plus en sécurité nulle part, les Français le ressentent et l’expriment. Un autre exemple terrible qui m’a beaucoup marqué : les médias et nos dirigeants sont restés pour la plupart silencieux à propos du meurtre ignoble du jeune Théo, assassiné par un Sénégalais multirécidiviste. On voit bien que cela ne les arrange pas, le deux poids deux mesures quand on compare au déplacement à l’hôpital de François Hollande pour dénoncer la prétendue violence policière envers cette fois un autre Théo. (…)

Votre vie est particulièrement contrainte par vos combats médiatiques : protection policière, paparazzis… Quel est le prix à payer pour être Éric Zemmour aujourd’hui ?

Il est évident que le prix est de plus en plus cher à payer, mais je ne veux pas m’étendre dessus pour éviter que certains m’accusent de jouer les victimes ou de vouloir faire pleurer dans les chaumières. Ce n’est pas ma volonté du tout. J’observe simplement qu’il existe un point commun, un seul, entre Mila, Gilles Kepel et moi : nous vivons sous protection à cause de ce que nous avons dit sur l’islam. Je le répète sans cesse à mes enfants et à la jeune génération : nous n’aurions pas cru un seul instant une telle prédiction si elle avait été faite dans les années 1970. Ce que nous vivons est complètement fou et il faut remettre en perspective ce qui nous arrive. Le reste est dérisoire.

(…) Je pense que l’on peut agir. Je sais ce qu’il faut faire, j’ai en tête les étapes nécessaires, mais il faut aussi que les Français soient prêts à la bataille et refusent de se laisser soumettre plus longtemps à la propagande ambiante. Il faut le savoir – je crois que j’ai un peu d’avance –, le pouvoir, puis le vouloir.

(…) Valeurs

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque :

Dans une interview “coup de poing” accordée à Valeurs Actuelles, Eric Zemmour se montre prêt à basculer dans l’action politique.

Va-t-il sauter dans l’arène après des mois de suspense ? Pour moi, la réponse est oui. Un recul serait incompréhensible et ferait des millions de déçus parmi les patriotes, désireux d’en finir avec 40 années de démission et de renoncement permanent face aux périls qui rongent notre pays.

Répondant aux questions de Charlotte d’Ornellas et de Geoffroy Lejeune, Zemmour juge la décapitation de Samuel Paty comme étant l’un des faits les plus marquants de ces douze derniers mois.

D’abord parce qu’un enseignant est l’incarnation de la République, ensuite parce que le terroriste est un Tchétchène élevé en France, qui a appliqué seul la charia, sans aide extérieure.

Cet acte de barbarie et tous ceux qui l’ont précédé, ainsi que l’assassinat du père Olivier Maire par un clandestin rwandais, témoignent d’une faiblesse qui nous tue. Notre humanisme et notre juridisme nous désarment.

D’un côté, c’est le silence radio pour le meurtre ignoble du jeune Théo, assassiné par un Sénégalais multirécidiviste, de l’autre, c’est un François Hollande qui se précipite au chevet d’un autre Théo, pour dénoncer les violences policières à l’égard des immigrés. “Deux poids deux mesures” insupportables.

“Nous ne sommes plus en sécurité nulle part”.

Sur le Covid, Zemmour salue la performance des scientifiques qui ont élaboré un vaccin en un temps record. Mais il a vécu comme une humiliation le fait que la patrie de Pasteur, soit le seul membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU à ne pas avoir produit son vaccin. Il a évidemment raison et nous avons déjà déploré ce déclassement pitoyable chez RL.

“La pénurie de masques, de tests, de lits, démontre la tiers-mondisation de la France.”

Zemmour approuve le désengagement de la France au Sahel, mettant fin à des années d’enlisement. Il faut monter des opérations-éclair, de type Kolwezi en 1978. Car l’enlisement en Afrique est vite assimilé à du néo-colonialisme. Cela dit, la région est déstabilisée pour longtemps.

En matière de libertés, nous avons imité la Chine totalitaire, en confinant toute la population. Une solution impensable dans une démocratie. Dorénavant, c’est la Chine qui donne le “la”. Mais être pisté en permanence par son téléphone ou un QR code est un recul de nos libertés.

“Si les personnes à risque sont vaccinées, je ne comprends toujours pas pourquoi il faudrait vacciner les jeunes Français.”

Ce qui est choquant, c’est que le Conseil d’Etat, comme le Conseil constitutionnel ont avalisé toutes les restrictions de liberté voulues par le gouvernement. Mais, en revanche, ils ont retoqué la décision du gouvernement de suspendre le regroupement familial durant la crise sanitaire !

Donc, “les libertés individuelles des migrants sont mieux protégées par le juge que celles des Français”.

La liberté sera le sujet du siècle. Liberté de penser, d’écrire, de nous exprimer, de débattre, tout cela est menacé. Quand les réseaux sociaux censurent les comptes de ceux dont les opinions dérangent, c’est grave.

Si les Français sont si dociles face aux contraintes imposées, c’est parce que la machine de propagande est terrifiante. Staline n’était qu’un amateur en comparaison, car il avait besoin de la violence pour s’imposer.

Sur sa propre sécurité, Zemmour ne s’étend pas. Il souligne que Mila, Gilles Kepel et lui, vivent sous protection policière à cause de leurs propos sur l’islam. Qui, en 1970, aurait imaginé que nous en serions là aujourd’hui ?

Quant aux attaques en justice qui le visent, elles sont autant le fait du camp pro-musulmans que du système, qui ne voit pas la menace qui plane sur nos principes républicains.

“Je ne pense pas au prix que je dois payer pour défendre ce qui me parait juste”.

“Je pense vraiment ce que je dis, je ne suis pas là pour jouer.”

Accusé de misogynie, Zemmour dénonce la puissance de feu de l’artillerie médiatique, qui le présente en raciste misogyne, qui déteste les Arabes, les homos, les musulmans ou les femmes.

Mais les minorités militantes qui imposent leur loi à la majorité, ça suffit !

Ceux qui me détestent sont les lobbies que j’ai attaqués, en dénonçant leurs idéologies totalitaires. Mais j’attaque les minorités organisées, pas les individus.

L’hypocrisie est souvent de mise. Les féministes ne défendent plus les femmes et la féminité, mais militent pour l’indifférenciation et promeuvent une société d’individus ni hommes ni femmes. Les féministes islamo-gauchistes n’ont jamais défendu Mila menacée de mort.

“Pour moi, il existe deux sexes et je ne crois pas à la théorie du genre. Et tant pis si je me fais insulter.” Il n’y a aucun blocage ou sectarisme de ma part vis-à-vis des femmes.

Qui défend les femmes victimes de l’insécurité dans les transports ou dans la rue ? Certainement pas les partisans de l’omerta, qui abandonnent les femmes à leurs agresseurs au nom du politiquement correct.

Sur son éventuelle candidature, Zemmour se dit bluffé par l’enthousiasme de ceux qui l’aiment et le jugent comme étant le meilleur candidat.

L’engagement intellectuel et journalistique est terriblement limité. Pour agir, il faut accéder au pouvoir.

“Je maintiens que nous vivons une période dramatique, que nous sommes en danger de mort, que la France que nous aimons peut mourir.”

“Mais je pense que l’on peut agir. Je sais ce qu’il faut faire, j’ai en tête les étapes nécessaires, mais il faut aussi que les Français soient prêts à la bataille et refusent de se laisser soumettre plus longtemps à la propagande ambiante.”

Il n’y a pas de situation désespérée qui interdise toute action. L’histoire de France n’est qu’une suite de gloires et de chutes tragiques.

Sur la France périphérique, qu’il défend, Zemmour souligne les deux maux qui l’accablent : la désindustrialisation qui l’a paupérisée et l’immigration qui l’a chassée des métropoles créatrices de richesses. Les Gilets jaunes sont les révoltés de cette France abandonnée, qui subit un déclassement sans précédent. Les Gilets jaunes ont perdu car ils n’ont eu aucun soutien politique. Mais leur message doit être écouté.

Sur les grands thèmes qui feront l’élection de 2022, Zemmour cite l’identité, l’instruction et l’industrie.

L’identité, c’est aussi l’islam, l’immigration et l’insécurité.

L’instruction est prioritaire puisque l’école s’est effondrée.

L’industrie est dans une situation catastrophique comme l’a prouvé la pandémie. La réindustrialisation est impérative.

Conclusion

Nous sommes des millions à espérer la candidature de Zemmour et surtout sa victoire sur les professionnels de la politique, qui ont saccagé la France depuis 40 ans et dilapidé l’héritage des Trente Glorieuses légué par de Gaulle.

Seul un patriote sincère peut sauver la France du naufrage identitaire et de la ruine économique que nous promet le mondialisme débridé.

À la grande différence des autres candidats, Eric Zemmour ne ment pas, dit ce qu’il pense et aura le courage de renverser la table.

Intelligent, brillant et cultivé, il en connait davantage sur les problèmes du pays et leurs solutions que tous les autres candidats réunis, qui, pour la grande majorité d’entre eux, n’ambitionnent que le pouvoir.

Et sur la géopolitique, il est imbattable. 

L’homme providentiel qu’on attend, c’est lui, Eric Zemmour. Un grand patriote qui n’a rien à voir avec les professionnels de la politique qui n’ont fait que mentir au peuple et le trahir. De droite comme de gauche, ils sont tous discrédités.

En 2022, élisons un homme neuf, et chassons les candidats du système qui ont échoué depuis 40 ans, qui nous ont ruinés et qui entendent nous déposséder de notre pays. Ils s’aplatiront tous devant Bruxelles et l’ONU.

La France n’a pas dit son dernier mot” : Eric Zemmour publiera son nouveau livre le 15 septembre. On piaffe d’impatience !

Un titre très prometteur qui va ravir les millions de patriotes qui refusent le naufrage de notre France millénaire.

A Metz, le Pass apéro détrône le Pass sanitaire

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Pourquoi se faire chier à se coltiner un Pass sanitaire pour passer le portique de sécurité et payer un Ricard dixfois trop cher au milieu de deux clients ? A Metz, la solution du Pass apéro fait des émules et détrône le Pass sanitaire. L’avantage du Pass apéro est qu’il ne discrimine personne, les vaccinés et non-vaccinés sont les bienvenus. Vivre hors de la société pour retrouver de l’humanité…

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« Vivre ensemble ». Il témoigne de son agression par un migrant à Pontivy…

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Breizh-Info a recueilli le témoignage d’une personne agressée gratuitement dans le centre de Pontivy ce dimanche 08 août en plein après-midi. Ce récit édifiant amène plusieurs interrogations : que fait la police ? Que font les passants ? Et, surtout, que font ces centaines de migrants zonant en plein centre de Pontivy ?

« Ce dimanche, je me promène à Pontivy avec ma femme et mon chien. Nous nous arrêtons devant une enseigne de restauration rapide pour consulter le menu. À l’extérieur, une famille, attablée en terrasse, est en train de commenter ce qui se passe dans l’établissement. Sans porter attention plus que cela à leur conversation, j’entre pour commander, ma femme restant dehors avec le chien.

J’arrive au comptoir et je salue les deux employés. Un homme m’interpelle aussitôt. Cet homme est un noir aux cheveux couverts de dreadlocks. Il m’indique qu’il a la priorité. Je lui réponds qu’il n’y a pas de problème car je disais juste bonjour aux serveuses comme tout un chacun. Cet homme continue de m’importuner avec un discours incohérent, provocateur. Je lui demande fermement d’arrêter, de commander et de permettre aux autres clients de passer commande à leur tour. De son côté, il me demande de sortir « pour se battre ». Je lui réponds que je veux juste manger un sandwich et que je ne cherche pas les ennuis mais que s’il me cherche il va me trouver.

Il fini par sortir. Après avoir eu ma commande, je sors à nouveau. Personne ne m’attend, l’incident est clos. Du moins c’est ce que pense…

Avec ma femme et mon chien, nous remontons la rue et nous nous asseyons sur un banc. Une plaque en face indique « rue du Général de Gaulle ».
Tout à coup, un éclat de voix attire notre attention : à quelques mètres de là, une employée de la Mie Câline expulse le même individu ! Elle est seule à s’en dépêtrer et aucun des hommes présents dans la file n’intervient. Le manège dure de longues minutes. Il est expulsé, il revient, il s’assoie en terrasse à la table de clients médusés. Des gens ne finissent pas leur consommation et s’enfuient. Il fini par se mettre au milieu de la rue, assez passante au demeurant, en faisant des grands gestes, en interpellant les gens et en alpaguant les voitures. Bon…

Notre sandwich terminé, nous partons faire le tour du centre de Pontivy. En redescendant une rue, nous repassons devant la Mie Câline et nous finissons par retomber sur cet individu assis sur un banc en train d’emmerder des SDF locaux !

En passant, celui-ci m’interpelle de nouveau ! Il croit qu’il m’a vu… dans une voiture quelques minutes avant ! Je lui dis qu’il fait erreur et je lui demande de me laisser tranquille. Je pars mais il me hèle à nouveau en me disant qu’il allait me mettre une correction puis commence à nous suivre. Cette fois-ci c’en est trop, je reviens vers lui pour lui demander de se calmer. Il me pousse, je lui décoche un coup au foie puis un direct bras avant en pleine face. Les lunettes volent, il perd une dent. Mais il s’enhardi. Il revient vers moi en mettant à son doigt une sorte de bague avec une pointe style « point américain ». Étant un adepte des sports de combat je ne vois pas d’autres solutions que de faire face. Middle kick, low-kick, j’essaye d’en venir à bout mais l’animal est coriace. Il continue à vociférer, se met en garde mais ne donne aucun coup et recule. Un moment il met sa main gauche dans sa poche et me montre des clefs, deux téléphones et un cutter, le tout dans un salmigondis de paroles incohérentes. Décousus. L’homme est visiblement drogué. Je lui recolle un middle pour faire tomber le cutter, pendant ce temps-là ma femme appelle la police. Celle-ci indique que toutes les patrouilles sont actuellement prises, que l’individu est connu et que nous ferions mieux de déguerpir !

De mon côté, j’ai beau cogner dessus, le mec encaisse. On voit bien qu’il est touché mais il encaisse…sans répliquer à part faire tourner son morceau de poing américain. Par contre, il n’arrête pas de me demander de le suivre « au terrain de boules » où il a « tous ses potes » et où il va « me fumer ». Si je le suis, je suis mort.

Je ne comprends pas trop pourquoi mais il veut s’en prendre à mon chien, un petit corniaud parfaitement inoffensif et qui montre le plus parfait dédain face à l’agression que subit son maître !

La scène dure de nombreuses minutes. Il veut absolument me faire descendre au terrain de boules et moi je lui dis que je pars dans l’autre sens, mais à chaque fois que je m’éloigne il me suis comme une sangsue. Un dialogue fini par s’engager et je lui demande pourquoi il a cette attitude de voyou, pourquoi il passe son dimanche à emmerder le monde de cette façon. Il le sait et assume. Apparemment ça l’amuse et cela constitue son passe-temps dominical !

Entre deux coups, un couple de blancs passe et  commence à m’alpaguer en me disant qu’il faut le laisser car « il est comme ça », « il est connu » et il faut ne pas en tenir compte !

Je lui dis à un moment que la Bretagne n’avait pas besoin de voyous dans son genre. Et là commence les allusions au racisme, à « sa couleur de peau », etc.. pur discours de victimisation de quelqu’un qui emmerde le populo depuis le début de l’après-midi. Et encore, je viens d’arriver à Pontivy ! C’est peut-être le même cirque tous les jours!

Depuis le début de l’altercation il n’arrête pas de tripoter ses poches. Je vois qu’il a deux portables, un moment, il entreprend de me filmer pour diffuser les images sur son compte instagram ou whats ap, je ne me souviens plus ! Et là il se met en scène où il est le gentil noir agressé par le méchant blanc ! Il filme mon visage, etc… si j’esquisse un mouvement de défense, la vidéo sera clairement en ma défaveur ! Je prends le parti de remonter la rue et, bien entendu, il m’emboîte le pas. Je l’entend gromeler que la vidéo ne passe pas ou je ne sais quoi. Mais son initiative me donne l’idée de faire de même, je demande le portable à ma femme et commence à le filmer. Il se prête de bonne grâce à l’exercice ! Je lui pose des questions, d’où il est, depuis combien de temps il se trouve à Pontivy. La vidéo s’arrête au bout de deux minutes mais la conversation continue. Dans un discours assez décousu, clairement sous l’emprise de la drogue, je réussis à comprendre qu’il est à Pontivy depuis 3 ans, qu’il est pris en charge dans un foyer et que ce qu’il veut c’est travailler dans une de ces boutiques de vente de « chanvre thérapeutique » qu’on voir fleurir un peu partout mais que le gérant de l’enseigne ne veut pas de lui ! On peut le comprendre ! Son français est clairement un français natif et je remarque une pointe d’accent caribéen. Martiniquais ? Guadeloupéen ? Lui me dit être jamaïcain ou haïtien. Du moins d’après ce que j’arrive à comprendre de ses élucubrations.

Au détour de la conversation je lui dis « tu comprends que depuis tout à l’heure tu fais chier la terre entière. Est-ce que tu peux comprendre que ça emmerde les gens ? » et lui, de me répondre, face caméra : « ouaih ! ». Je lui rétorque donc « pourquoi fais-tu cela ? ». Réponse : « à savoir ce qu’ils veulent. A quelle main qu’ils veulent. Par exemple, j’aime pas faire l’ignorant » (!!!??) Si quelqu’un y comprend quelque chose…

Arrivé à un moment, voyant la situation bloquée, je dis à ma femme que nous allons partir. Des gens continuent de passer, des hommes, des couples, personne ne fait rien, malgré les longues minutes que ma femme passe au téléphone avec la police (et sur cette petite place, les gens entendent la conversation) et les coups échangés, même si je n’ai reçu au final aucune frappe de sa part malgré ses menaces. Il fait des moulinets, chausse et rechausse frénétiquement son poing américain mais ne réplique pas. Dans son discours de drogué je comprends plusieurs fois qu’il est mention d’un « juge ». A-t-il un sursis qu’il ne veut pas faire tomber ?

Je prends, avec ma compagne, congé d’une si intéressante rencontre mais bien entendu cette sangsue nous emboîte le pas en hurlant dans les rues de Pontivy. Arrivé sur une grande place, il réussit un entraîner un autre homme avec lui, un asiatique. Et nous l’entendons téléphoner. Est-il en train d’appeler des complices ? Au coin d’un immeuble, nous prenons l’initiative de rentrer dans un hall, afin de les laisser passer. Hélas, notre chien se détache et commence à aboyer. Les deux comparses nous repèrent et rentrent dans le hall d’immeuble. Je me mets devant ma femme pensant que ce petit espace va être le lieu d’une solide explication. Que nenni ! Il sortent tous les deux, nous laissent passer et continuent à nous suivre. Je comprends qu’il veulent voir où nous habitons. Pour revenir après, en compagnie d’emmerdeurs dans son genre ? Le noir passe des appels. Si nous restons dans le coin, on nous retrouve découpés en morceaux en plein après-midi, c’est écrit ! Je finis par retrouver la voiture. Le noir est à quelques mètres, nous rentrons à l’intérieur, démarrons et il nous poursuit en courant. Heureusement, un bon coup d’accélérateurs et nous arrivons à le semer.

Sur la route, pendant que ma femme conduit, j’appelle la gendarmerie pour leur demander des explications sur leur non-intervention. Je tombe sur une gendarme qui m’explique qu’elle vient de prendre son service et ne connais rien à la situation. Elle me dit qu’elle cherche quelqu’un pour aller voir sur place, mais les faits sont terminés depuis longtemps, je lui réponds ! Si nous n’avions pu démarrer cette voiture, je me retrouvais face à deux lascars avec une femme à protéger (et un chien mollasson !), le tout dans l’indifférence générale des passants… et des forces de l’ordre !

Pontivy devient Pontivy-sur-Zambèze, une ville où, le dimanche après-midi, on ne croise plus que des migrants et où les agressions vont crescendo. C’est une tragédie de grande ampleur qui s’annonce ! Ce qui me révolte le plus dans l’histoire c’est l’attitude des bretons présents. Personne ne réagit ! Cette pauvre femme de la Mie Câline était seule face à cet individu et moi-même je me suis retrouvé seul face à quelqu’un de manifestement drogué, avec une sorte de poing américain et de cutter et qui ne sentait plus les coups du fait des produits absorbés. Il est temps de réagir ! Il est grand temps de réagir ! »
 Breizh-info.com

La chanson du jour, Last Nite – Terje Rypdal

Tiré du film “Heat” avec Al Pacino et Robert De Niro, ce morceau est une petite merveille de calme et sobriété. Au sein de ce film violent, ce morceau apparait lors d’une scène romantique où l’on découvre une vue magnifique de Los Angeles la nuit. Une parenthèse apaisante de sensualité au sein du film remarquable.

Rapport du GIEC sur le climat : tremblez !

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Depuis quelques jours, la presse subventionnée et les journaux télévisés sont en ébullition avec l’annonce du dernier rapport du GIEC sur le climat, et son « avertissement le plus sévère jamais lancé ».

Depuis le début de l’été –par malchance un été très maussade et froid sur une grande partie de la France-, tout ce beau monde préparait la sortie de ce rapport pour les décideurs, en faisant feu de tout bois, pour générer la peur et rendre les esprits réceptifs : dôme de chaleur de quelques jours sur le Canada, inondations en Belgique, fonte très brève de la couverture de glace du Groenland…

Cette préparation était nécessaire, car comme l’a souligné Bjørn Lomborg, ancien directeur de l’Environmental Assessment Institute de Copenhague dans un de ses tweet, cela fait cinquante ans que les directeurs successifs du Programme Environnement des Nations unies (dont dépend le GIEC) nous préviennent du « désastre » si l’on ne fait rien. Ainsi, en 1972, selon Maurice Strong, il nous restait dix ans pour arrêter la catastrophe. En 1982, le nouveau directeur nous prédisait « une catastrophe environnementale aussi irréversible qu’un holocauste nucléaire » vers les années 2000. En 1989, nous devions stopper le changement climatique pour 1999 avant qu’il n’échappe à notre contrôle. En 2007, Rajendra Pachauri disait : « S’il n’y a aucune action avant 2012, il sera trop tard »… et ainsi de suite.

Comme je le signalais dans mon article de juin dernier, ce rapport pour les décideurs est bien loin du rapport scientifique de 4.000 pages et il est le résultat de négociations secrètes entre des représentants des États, quelques scientifiques et des représentants d’ONG environnementales.

Sa rédaction est donc l’objet d’un consensus, ce qui n’a rien à voir avec une publication scientifique.

Les raisons de ce compromis alarmiste sont claires. Les pays occidentaux sont engagés dans des politiques de plus en plus coercitives envers leurs citoyens, et il faut justifier le changement de société qui est en préparation. C’est le cas en particulier en Europe où, en juillet dernier, la Commission européenne a dévoilé ses mesures liberticides pour réduire les émissions de CO2 (gaz carbonique) de 55 % d’ici 2030. En France, un « plan Climat » contraignant a également été adopté en juillet.

Tout cela est-il justifié ? On peut largement en douter si l’on regarde l’évolution des températures globales de la basse atmosphère : en juin, l’anomalie de température était de -0,01 °C. Concernant le Groenland, s’il a subi une perte de glace sensible courant juillet, la masse de glace est repassée au-dessus de la moyenne de la période 1981-2010 et le cumul de glace de l’année est, aussi, largement supérieur à cette moyenne. L’étendue de la glace Arctique est, certes, assez faible, cet été, mais celle de l’Antarctique est largement au-dessus de la moyenne 1981-2010. Les médias se font très discrets sur ces records.

Ils ont également été très discrets sur la vague de froid qui s’est abattue sur le Brésil, détruisant la récolte de nombreuses régions caféières. En Afrique du Sud19 records de températures basses ont été battus en 24 heures, le 23 juillet, et des vents arctiques ont soufflé sur l’Australie, mais tout cela est très loin des préoccupations de nos décideurs.

Marc Le Menn, Boulevard Voltaire

Contre le passe de la honte : boycott et terrasses sauvages !

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

La restauration collective est aux mains de grands groupes et n’impose pas de passe dit sanitaire.

Les restaurants de l’Assemblée et du Sénat ne sont assujettis à aucune obligation.

Les restaurants routiers sont librement accessibles aux conducteurs de camions.

Il nous faut donc déduire que le variant Delta ne se balade pas dans les restaurants d’entreprise, pas davantage dans les cantines de luxe que nous offrons aux parlementaires et qu’il abhorre les routiers.

Pourquoi pas les conducteurs de bus?

Cette extension du passe sanitaire n’est pas que scélérate, elle est aussi délirante et les décrets conséquents, le sont, paraît-il, aussi.

Pendant que nombre d’avocats s’activent à harceler le gouvernement par des plaintes et recours divers, à notre tour, d’agir activement.

Outre les manifs, sans états d’âme, il nous faut boycotter tous ces lieux interdits aux non-vaccinés, par principe et par solidarité.

Il paraît que les cinémas ont vu baisser leur clientèle de 70%. Les parcs d’attraction, bars, salles de sport, centres commerciaux et restos se vident… et en septembre, ce sera pire.

Comme le montre la vidéo suivante, en fin de matinée, le jour de la mise en place de cette arme de ségrégation, le 9 août 2021, les terrasses des Champs-Elysées étaient désertes et les bancs très occupés…

Il convient donc de taper au tiroir-caisse, à celui des plus gros, des plus puissants, souvent étrangers, ils feront vite savoir leur mécontentement à Bruno Lemaire.

Il faut commencer par les grandes chaînes, à l’instar de McDonald’s, Starbucks, Courtepaille, Buffalo Grill, Casino restauration, Tablapizza,  etc. Vingt-cinq de ces grands groupes sévissent en France, rarement pour le meilleur,  et ils diffèrent selon les villes et régions.

Voici un lien pour mieux les repérer, c’est un classement de 2015, mais la nomenclature demeure la même: https://www.neorestauration.com/article/classement-exclusif-des-25-operateurs-en-restauration-commerciale-en-france,36513

Sous le mot-dièse Terrasses sauvages, des Français rebelles ont appelé à organiser des pique-niques, dans des lieux publics, en signe de protestation.

A Toulouse, certains se sont retrouvés place du Capitole, partageant en musique boissons et nourriture.

A Nantes, Montpellier, Paris, ils étaient quelques uns à installer des terrasses sauvages, comme bientôt partout dans le pays.

Maïtre Fabrice Di Vizio a salué ces joyeuses initiatives, précisant : «On rappelle que l’occupation temporaire et paisible du domaine public est légale ! Seul un comportement de nature à troubler l’ordre public est prohibé comme empêcher l’accès à une boutique ! Principe du pique-nique ! Donc à vos idées».

Parcs, jardins, marches du Sacré Coeur ou d’ailleurs… tant qu’il fait beau, envahissez le domaine public, pour vous retrouver entre bannis et solidaires et prouver au despote, suppôt de McKinsey, que son passe, vous n’en avez rien à faire!

Mitrophane Crapoussin, Riposte Laïque

Gilbert Collard : « Que Gérald Darmanin le veuille ou non, cette affaire pose toute la question du fonctionnement judiciaire du droit des étrangers ! »

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Emmanuel Abayisenga, auteur présumé du meurtre du père Olivier Maire et incendiaire de la cathédrale de Nantes en 2020, avait fait l’objet de trois décisions de quitter le territoire en 2016, 2017 et 2019. Expulsion inapplicable tant que l’individu faisait l’objet d’un contrôle judiciaire, selon Gérald Darmanin, qui accuse Marine Le Pen « d’indignité » et dénonce les « polémiques inutiles ».

Réaction de Gilbert Collard au micro de Boulevard Voltaire.

J’ai appris cette nouvelle avec consternation, comme une espèce d’effraction violente, brutale dans la vie d’un mois d’août. Malheureusement on a été habitué à ce genre de triste nouvelle. Sur le moment, on pense à la victime par solidarité humaine et ensuite on se demande pourquoi.

J’ai entendu des intervenants “instrumentaliser l’instrumentalisation”, si je puis dire, pour reprocher à ceux qui se posaient la question du pourquoi de mal se comporter. Après le moment de stupéfaction, vient la question du pourquoi. Avec le simple fait de demander pourquoi, Christophe Castaner par exemple parle d’instrumentalisation. Si, en présence de drames, on ne se pose pas la question du pourquoi, c’est qu’on n’est pas authentique ni sincère. Quand on est responsable politique, on n’a pas à fuir le questionnement. Comment cela a-t-il pu arriver ? Ce prêtre était d’abord et avant tout fils de l’Évangile, de l’amour, de l’accueil. L’église catholique que l’on critique tant donne une extraordinaire leçon d’authentique charité. On ne peut qu’être admiratif. Mais ce n’est pas parce que des prêtres font la charité qu’ils doivent en mourir.

On voit que ce personnage déséquilibré a fait l’objet de deux décisions de quitter le territoire, en 2016 et en 2017. Elles ont été contestées pour gagner du temps, puis elles ont été cassées. En 2019, il y a eu une troisième décision. Jusqu’au moment de l’incendie de la cathédrale de Nantes. Puis il faut le juger, donc on ne peut pas l’expulser. Que Monsieur Darmanin le veuille ou non, cela pose toute la question judiciaire du droit des étrangers et du droit relatif à l’expulsion. Il y a une carence de l’État dans le fonctionnement de la justice, on a le devoir de s’y intéresser.

Le gouvernement reproche les critiques d’un tel ou d’un tel, mais cela est normal. On n’a même plus le droit de se poser de questions ?

Vous faites allusion à la réponse de Gérald Darmanin au tweet de Marine Le Pen ?

Au lieu de dire des mots tels que démagogie, exploitation, il devrait avoir l’honnêteté de se poser la question : pourquoi cela est-il arrivé ? Et l’honnêteté de dire : il faut que l’on travaille là-dessus, ce n’est pas possible qu’un individu ayant plusieurs obligations de reconduite fasse échec à ces décisions. La procédure fonctionne mal.

Que pensez-vous de la déclaration de Gérald Darmanin sur le fait que l’individu n’était pas expulsable ?

C’est presque de la rhétorique de propagande. Il est vrai que dans le cadre du contrôle judiciaire on ne peut l’expulser, mais peut-être aurait-on pu accélérer la procédure. Je vous rappelle : qui gifle un président est jugé en 48 heures. Quand la justice concerne des personnes de l’opposition, elle va très vite.

Cette affaire pose également la question du droit de du recours et du droit des étrangers. Je ne suis pas contre les recours, bien au contraire mais ils doivent être encadrés dans le temps. De même qu’une détention trop longue provoque une remise en liberté automatique, les jugements relatifs à des questions d’expulsions doivent être faits rapidement.

Dire qu’il faut expulser les clandestins pyromanes, n’est-ce pas en contradiction avec notre tradition humaniste ?

Le premier humanisme, c’est de ne tuer personne, à commencer par ce prêtre plein de charité. Le deuxième humanisme judiciaire est que les recours soient étudiés convenablement et prioritairement. Sinon c’est sans fin, un individu est expulsé, il outrage un policier, il ne partira pas ! Il y a des spécialistes du droit des étrangers qui en usent et en abusent. En présence d’un individu dangereux, signalé psychiatriquement, on aurait peut-être eu le temps de le juger depuis l’incendie de la cathédrale en 2020 en mettant les moyens. Mais le budget de la justice n’est pas suffisant.

Gérald Darmanin vous reproche de vouloir l’expulsion d’un cas psychiatrique.

Ils essayent de masquer la faillite des procédures en matière d’expulsion. Il y a eu trois décisions : deux invalidées par la juridiction et une qui était en voie de contestation. Dans l’attente, l’individu a mis le feu à la cathédrale puis il a assassiné un prêtre qui lui avait tendu la main. Si le mécanisme d’expulsion avait été accéléré, par des dispositifs d’enfermement dans le temps, il aurait été expulsé. Emmanuel Macron avait pour objectif un taux d’exécution de 100 % des expulsions pour les étrangers en situation irrégulière. Or en 2020, le taux d’expulsion est de 13,4 %.

Monsieur Darmanin se sert du fait qu’en raison de la procédure en cours, l’expulsion n’était pas possible mais il n’explique pas pourquoi il aura fallu tant de temps pour arriver à une expulsion définitive qui n’est pas encore là. Ça mériterait une réflexion. Si nous avions mené une réflexion et modifié les textes, peut-être que ce prêtre ne serait pas mort.

D’autres personnes politiques ont réagi sur cet assassinat, et Monsieur Darmanin n’a pas eu les mêmes mots que pour Marine Le Pen.

Gérald Darmanin fait de la politique, il est en campagne présidentielle. Il ne fait aucune récupération bien sûr ! Monsieur Darmanin ménage un peu tout le monde, c’est triste au moment où il y a ce drame chrétien.

Ce n’est pas parce qu’on est chrétien qu’on doit tendre l’autre joue, du reste dans la traduction de l’araméen, cela signifie plutôt ne pas se comporter en ennemi. Je suis catholique pratiquant et je l’assume, je n’ai pas peur de le dire.

Comment concilier-vous la doctrine du pape François de l’accueil avec une réalité sécuritaire grave ?

La charité chrétienne est individuelle, le bon samaritain n’appelle pas les associations subventionnées, il le fait tout seul !

La charité collective est la négation de la charité. C’est comme s’il y avait un impôt sur la charité. Je ne conçois pas la charité comme un phénomène collectif, et s’il y a des impératifs de sécurité, il faut en tenir compte. Si on veut aider un migrant en difficulté, et dont les papiers sont en règle, on le fait soi-même. On n’appelle pas l’État pour qu’il donne de l’argent.

Pour vous ce prêtre est-il un martyr ?

En prescience du danger

car l’individu était connu pour avoir incendié la cathédrale, il est malgré tout allé jusqu’au bout de son devoir de charité. Il y a quelque chose de la mise en danger de soi-même pour l’amour d’autrui.

Boulevard Voltaire

Les gardes-frontières polonais ont arrêté 349 migrants clandestins qui ont franchi la frontière biélorusse depuis vendredi

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Des agents de la patrouille frontalière polonaise détiennent des personnes qui tentent de franchir la frontière entre la Biélorussie et la Pologne, dans cette photo distribuée le 9 août 2021 | Photo : Commandement principal de la patrouille frontalière polonaise/Handout via REUTERS

VARSOVIE, 9 août (Reuters) – Un nombre record de migrants ont franchi la frontière polonaise avec le Bélarus depuis vendredi, a déclaré lundi le Corps des gardes-frontières, alors que la Biélorussie est accusé d’utiliser les passages illégaux pour faire pression sur les Etats de l’Union européenne.

Ces dernières semaines, la Pologne et la Lituanie ont connu une forte augmentation de l’immigration clandestine, à tel point que ces pays ont lancé un appel à l’aide à l’Union européenne. Le Parlement de Vilnius a prévu de tenir une session extraordinaire mardi pour discuter de cette question.

Les autorités de ces pays ont accusé le président Alexandre Loukachenko d’utiliser les migrants pour faire pression sur l’Union européenne afin qu’elle revienne sur les sanctions prises à l’encontre du pays ou pour se venger de la Pologne, qui a donné refuge à Krystsina Tsimanouskaya, une athlète biélorusse qui a refusé de rentrer chez elle après les Jeux olympiques de Tokyo.

Dans un communiqué publié lundi, les gardes-frontières polonais ont déclaré avoir arrêté 349 migrants illégaux ayant franchi la frontière biélorusse depuis vendredi. Elle a précisé que les migrants étaient probablement originaires d’Irak et d’Afghanistan.

La porte-parole des gardes-frontières, Anna Michalska, a déclaré que le nombre de migrants détenus depuis vendredi était un record. Le groupe le plus important, composé de 85 personnes, a été arrêté par des agents du poste de Kuznica samedi, selon le communiqué.

Cette année, la branche de Podlasie des gardes-frontières, qui travaille à la frontière avec le Bélarus, a détenu 871 immigrants illégaux. En 2020, les gardes-frontières ont détenu seulement 122 immigrés illégaux traversant la frontière biélorusse.

Vendredi, la Pologne et la Lituanie ont demandé aux institutions européennes de les aider à faire face aux migrations. Les ministres de l’intérieur de l’Union européenne discuteront de cette question lors d’une réunion extraordinaire le 18 août.

M. Loukachenko a déclaré que la Biélorussie riposterait lorsqu’elle serait “frappée” et que les pays occidentaux ne devraient pas utiliser de sanctions contre elle.

“(Les sanctions) peuvent avoir l’effet inverse, comme le montre la réalité des événements d’aujourd’hui aux frontières biélorusse-polonaise, biélorusse-ukrainienne, biélorusse-lituanienne et biélorusse-latvienne”, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse lundi.

Lundi a marqué le premier anniversaire d’une élection qui, selon les opposants, a été truquée pour permettre à Loukachenko de l’emporter. Des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue, dans le cadre de la plus grande contestation de son règne depuis qu’il est devenu président en 1994.

Il affirme avoir gagné l’élection de manière équitable et a répondu par une répression des opposants, dont beaucoup ont été arrêtés ou se sont exilés à l’étranger.

Reuters

«Les Français sont des veaux»: indignation face aux bracelets bleus en gare de Lyon

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

«Du bétail», «la même procédure que les étiquettes épinglées aux oreilles des veaux»: les bracelets bleus utilisés pour distinguer les usagers en possession d’un pass sanitaire des autres a suscité l’indignation.

Les passagers d’un quart des trains longue distance doivent faire lundi l’objet d’un contrôle de leur pass sanitaire, a affirmé le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari, rappelant qu’il était conçu pour «inciter les Français à se faire vacciner».

«Aujourd’hui, c’est environ un quart des trains qui vont être contrôlés à l’échelle du pays», a déclaré le ministre à la presse lors d’une visite en gare de Lyon à Paris.

Le pass sanitaire -preuve d’une vaccination complète, d’un test négatif de moins de 72 heures ou du rétablissement du malade depuis moins de six mois- est désormais exigé pour monter à bord des trains Intercités et des TGV, mais pas pour les TER et trains de banlieue parisienne.

Les contrôles «seront massifs, ils ne seront pas systématiques parce nous avons 400.000 voyageurs par jour dans les trains, pour ne parler que des trains, et c’est donc tout à fait impossible de contrôler tout le monde en tous points», a-t-il affirmé, promettant une semaine de rôdage.

«Les choses se déroulent bien», a-t-il estimé, citant le cas d’un train de plusieurs centaines de passagers pour lequel trois personnes se sont vu refuser l’embarquement.

«Deux ont été dirigées vers une pharmacie amie qui a pu réaliser les tests et les personnes ont pu échanger leur billet et reprendre un train plus tard, et la troisième personne a choisi de se faire rembourser le billet», a-t-il relaté.

Les contrôles pourront être mis en place «à l’abord des quais», être effectués à bord des trains ou à l’arrivée. Les contrevenants encourent une amende forfaitaire de 135 euros.

Les bracelets qui font débat

Pour fluidifier les contrôles, en gare de Lyon, des personnes vêtues d’un gilet bleu vérifiaient lundi matin le pass sanitaire avant de mettre un bracelet en papier bleu au poignet des passagers contrôlés.

Ce «dispositif de pré-enregistrement» doit s’accompagner d’ici septembre d’un autre «sous format digital» similaire à celui des aéroports, selon le ministre.

L’initiative n’a pourtant pas plu à tout le monde. Sur Twitter, Florian Philippot et François Asselineau se sont érigés contre ces accessoires qui marquent, selon eux, les citoyens comme «du bétail».

«L’objectif du pass sanitaire dans les transports, c’est l’incitation à la vaccination et la préservation de la liberté», a auparavant affirmé M.Djebbari sur France Inter.

Pour autant, certains ne sont pas d’accord avec le ministre.

«Cette nouvelle procédure doit susciter l’adhésion, on l’a vu pour le port du masque, on avait fait de la même façon une semaine de rodage et honnêtement ça s’était très bien passé, on avait 95% des usagers du train qui avaient bien porté le masque tout de suite», a-t-il expliqué.

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/france/202108091045981575-les-francais-sont-des-veaux-indignation-face-aux-bracelets-bleus-a-la-gare-de-lyon/

Encore un prêtre assassiné ! Mais Macron préfère traquer les anti-passe !

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Encore un malheureux prêtre assassiné ! La France de Macron, c’est un coupe-gorge ! Marine a raison :

« En France, on peut donc être clandestin, incendier la cathédrale de Nantes, ne jamais être expulsé, et récidiver en assassinant un prêtre. Ce qui se passe dans notre pays est d’une gravité sans précédent : c’est la faillite complète de l’Etat et de Gérald Darmanin »

Et Zemmour d’enfoncer le clou !@ZemmourEric“Ce criminel #rwandais qui avait déjà incendié la cathédrale de #Nantes nous montre à quel point notre humanisme et notre juridisme sont devenus les marques d’une faiblesse qui nous tue. #pretre”.

Macron, qui nous serine son discours criminel sur le sentiment d’insécurité, est à 100% responsable de cette énième tragédie liée à l’immigration de masse.

Comme si l’insécurité pouvait n’être qu’un sentiment ! L’insécurité, c’est une réalité, un fléau qui a décuplé depuis 1960 parce que l’Etat capitule face à la racaille.

Macron, qui a toujours nié l’explosion de la criminalité et réfuté tout  lien immigration-insécurité, est le principal responsable de l’effondrement du pays en matière de sécurité, première des libertés d’un citoyen.

Nous détenons le bonnet d’âne de l’UE pratiquement dans tous les secteurs de la criminalité.

Que faisait en France ce clandestin rwandais, qui aurait dû être expulsé bien avant d’incendier la cathédrale de Nantes et de récidiver en assassinant aujourd’hui un prêtre ?

Combien de clandestins, criminels potentiels, circulent en liberté parce que Macron refuse de les expulser ? Ce tueur aurait dû être renvoyé vers le Rwanda, au lieu de quoi, il a été bichonné par l’Eglise.

On voit le résultat de cette compassion à tout va. Une mort qui pouvait être évitée.

La France explose les compteurs en accueillant  toute la misère du monde, mais n’expulse plus du tout.

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/un-pretre-assassine-en-vendee-gerald-darmanin-se-rend-sur-place-20210809

C’est la folle politique migratoire de Macron, associée au laxisme judicaire criminel de Dupond-Moretti, qui est la cause majeure du désastre sécuritaire.

L’insécurité n’est-elle qu’un « sentiment », comme le pense Emmanuel Macron ?

https://la-chronique-agora.com/insecurite-sentiment-emmanuel-macron/embed/#?secret=tegyGBiU74

Cette carte ne laisse planer aucun doute quant au lien immigration-insécurité. France, Belgique, Suède et Royaume-Uni détiennent le pompon avec l’invasion migratoire. On mesure à sa juste valeur l’immense chance pour la France que représente l’immigration.

Lisez aussi la remarquable étude rappelée dans le lien ci-dessous:

Lien immigration-criminalité : 10 preuves accablantes qui accusent le pouvoir

Selon l’Institut pour la Justice, outre le coût humain, le coût des conséquences  de la criminalité et de la délinquance se situe entre 5 et 10% du PIB. Soit une perte de 125 à 250 milliards ! Et que fait Macron ? Il reste les bras ballants.

Il nous avait promis 15 000 places de prison, nous en aurons 2000 ! Il a fait le choix délibéré de vider les prisons plutôt que d’en construire.

Seule sa propre sécurité lui importe, car dès 2017 il a renforcé sa protection personnelle, la portant de 77 à 127 policiers et gendarmes.

Selon le Dr Maurice Berger :

« Toutes les deux minutes, une plainte est déposée en France pour des violences gratuites, c’est-à-dire des agressions physiques sans raison apparente pouvant aller jusqu’au meurtre, pour un simple regard, un simple refus de cigarette. » 

Chaque année, 250 000 personnes sont tabassées, lynchées, parfois battues à mort, just for fun, puisque les racailles sont assurées de l’impunité.

Parfois, les exécutions sont planifiées. On cherche une victime isolée, on chasse en meute pour tabasser par plaisir. La haine anti-Blancs est le moteur de l’expédition punitive.

C’est aussi cela la richesse de l’immigration que nous vendent Macron et sa clique mondialiste !

Les derniers chiffres fiables sont ceux de 2019, donc sans influence du Covid-19.

970 homicides, soit + 9% par rapport à 2018

260 500 coups et blessures volontaires, soit + 8%

22 900 viols déclarés, soit + 19% !

En 2018, 21% des Français se disaient en insécurité dans leur quartier, 16% dans leur domicile, 17% renonçant même à sortir de chez eux !

C’est cela la France de Macron, qui nie la réalité mais se déplace avec des légions de centurions pour le protéger.

La seule décision de Macron en matière de lutte contre la criminalité a été de casser tous les thermomètres pour cacher l’ampleur du désastre.

Dorénavant, le ministère de l’Intérieur peut maquiller les chiffres de la délinquance à qui mieux mieux. Il n’a plus aucune concurrence pour contester ses chiffres.

L’Institut national des hautes études de sécurité et de justice ( INHESJ ) a été dissous en 2020. Et comme il abritait l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, organisme indépendant ( ONDRP ), l’Etat peut donc faire sa tambouille statistique en toute opacité.

Un domaine ou notre Machiavel de l’Elysée excelle, comme chacun sait.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque