Ils tombent d’un avion en plein vol en voulant fuir l’Afghanistan – vidéos choc

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Alors que l’Afghanistan se trouve ce lundi aux mains des talibans*, quelques personnes ont essayé de quitter la ville en s’accrochant à un avion de transport militaire américain. Une tentative de désespoir qui leur a coûté la vie comme le montrent plusieurs vidéos.

La panique qui s’est emparée d’une partie de la population après l’entrée des talibans* dans la capitale semble avoir poussé certains à commettre des actes désespérés. L’agence locale Asvaka News a publié des images montrant la chute mortelle de trois hommes depuis un avion de transport militaire américain.

Sur deux vidéos prises depuis des angles différents d’un C-17 en vol quelques instants après son décollage depuis l’aéroport de la capitale afghane, on voit des corps se détacher de l’avion. Comme l’explique le média, il s’agissait de trois hommes qui se seraient accrochés à l’avion.

En effet, une troisième vidéo publiée par le média montre plusieurs personnes se cramponner à différentes parties du fuselage de l’aéronef qui était déjà en train de rouler sur le tarmac.

​Enfin, sur une quatrième vidéo, trois personnes secouent un corps apparemment sans vie tombé dans la banlieue de la ville. L’agence précise, se référant à des témoins, que la chute des corps «a fait un bruit fort et terrifiant». Pour l’instant, l’information n’a pas été confirmée par les instances officielles.

Chaos à l’aéroport

Depuis ce lundi 16 août, plusieurs vidéos relayées sur les réseaux sociaux présentent des milliers d’Afghans en train d’envahir le tarmac de l’aéroport de Kaboul malgré le périmètre de sécurité établi par l’armée américaine dans la soirée de dimanche.

Ce matin, face la foule qui a envahi les lieux, les forces américaines ont tiré en l’air. Par la suite, trois témoins ont assuré à Reuters qu’il y a eu au moins cinq morts à l’aéroport.

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/international/202108161046008899-ils-tombent-dun-avion-en-plein-vol-en-voulant-fuir-lafghanistan–videos-choc/

Les supermarchés Carrefour mettent en place le passeport sanitaire

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Comme prévu, le passeport sanitaire réservé aux fameuses « galeries marchandes de 20,000 mètres carrés » s’applique dans les faits aux supermarchés.

Le point positif, c’est que les petits commerces pourront bénéficier de la clientèle non-vaccinée.

D.P.

Le journaliste de CNews Marc Menant était présent à la manifestation du 14 août 2021

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Présent à la manifestation du 14 août 2021 contre le pass sanitaire, le journaliste de CNews Marc Menant répondait aux questions de Gérard Infos :« Viscéralement je suis un homme convaincu par le principe de la liberté, qui ne se négocie pas, qui permet à l’homme d’atteindre son envergure, de ne pas être dans la servilité, qui se donne un devoir de réflexion par rapport à tous les écueils de l’existence, qui ne prend jamais position sans avoir pris les éléments et les avoir synthétisés. Donc la liberté n’est pas négociable, il n’y a pas de petites libertés, il y a la liberté en tant que telle. Après, j’ai un devoir familial. Mon père a été déporté dans les camps de concentration, se battant pour la liberté, il a été résistant. Cétait un homme qui risquait sa position sociale simplement parce qu’il voulait être dans la dignité de Diderot, de Voltaire… »

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Philippe de Villiers : « La presse française, les élites et nos autorités ont toutes partie liée pour détruire notre pays ! »

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Philippe de Villiers a réagi à l’assassinat du prêtre Olivier Maire, qu’il connaissait personnellement en osant une comparaison entre la liberté menacée de ceux qui refusent le passe sanitaire et celle dont jouissent les incendiaires de cathédrale. Des propos qui font polémique.

Il s’en explique au micro de Boulevard Voltaire.

Vous connaissiez personnellement le père Olivier Marie ?

Oui, je le connaissais personnellement. Je l’ai rencontré et je l’ai entendu prêcher. Je connaissais également beaucoup de ses proches qui m’ont confirmé ce que l’on pouvait concevoir par la seule intuition : c’était un prêtre dans l’humilité oblative.

Marianne ou Libération vous ont reproché de faire un rapprochement malheureux entre le passe sanitaire et ce dramatique assassinat. Que leur répondez-vous ?

Le lien entre les deux, c’est la question de la liberté. D’un côté, dans la même journée, le pouvoir en place impose une entrave à la liberté d’aller et venir avec le passe sanitaire, comme si les Français étaient suspects d’être des malades ambulants, comme si la France était devenue un asile. Et pendant ce temps-là, on découvre qu’on a laissé en liberté un dangereux individu qui avait déjà incendié la cathédrale de Nantes. À la suite de son forfait, il n’a pas été enfermé, ou si peu… Il a été remis en liberté et était sous contrôle judiciaire.

On a l’impression, dans notre pauvre pays, que les innocents sont tracés et contrôlés pendant qu’on laisse aller ceux qui sont en train de nous détruire. En effet, l’idéologie qui surplombe l’état régalien qui ne l’est plus est celle du laxisme et du migrationnisme. Cela est intouchable.

Je me moque de ce que peuvent dire les journaux, ce que je sais, c’est que le bon sens populaire impose cette comparaison macabre.

Si vous refusez d’être vacciné, vous risquez d’aller en prison. En effet, si on est le patron d’une entreprise, à la troisième reprise, on est menacé de prison.

Marianne vous accuse sur ce point précis en disant que l’on ne peut pas aller en prison…

C’est le texte même ! Un entrepreneur qui ne contrôle pas le passe sanitaire dans son entreprise et ne licencie pas ses employés sans passe sanitaire terminera en prison.

Vous refusez d’être vacciné, vous risquez les pires ennuis, au prix de votre liberté. En revanche, si vous incendiez une cathédrale de 600 ans, vous êtes en liberté et vous n’êtes pas renvoyé dans votre pays, alors que vous êtes illégal, clandestin, rwandais.

Ce que j’ai voulu dire, c’est qu’il y a deux poids deux mesures. Si les journaux s’insurgent contre un tel propos de bon sens, cela signifie que la presse française, les élites et nos autorités ont toutes partie liée pour détruire notre pays.

Boulevard Voltaire

Nike™ : publicité ou endoctrinement « progressiste » ?

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« La folie est quelque chose de rare chez l’individu ; elle est la règle pour les groupes, les partis, les peuples, les époques. » La citation, de Friedrich Nietzsche, tragiquement d’actualité de nos jours, demeure d’une cruelle lucidité. Il suffit, pour en faire le constat, d’allumer la télé, d’apprécier son message dystopique face au réel, écouter la propagande médiatique, en particulier publicitaire, qui endoctrine sournoisement – de moins en moins, d’ailleurs, la retenue et la pudeur étant devenues des caractéristiques obsolètes dans ce milieu – les cervelles par le biais des pulsions consuméristes. Après le fameux « tout est politique », nous voici à l’ère du « tout est progressiste » ; que dis-je ? Il ne s’agit plus d’une banale ère, mais carrément une dynastie. Et pas n’importe laquelle : « la plus grande dynastie de tous les temps ». Rien que ça!

À l’occasion de la 7e médaille d’or consécutive remportée par l’équipe de basket féminine des États-Unis aux Jeux olympiques de Tokyo, Nike™ enfonce le clou, remue le couteau dans la plaie. Après son ode au burkini, la multinationale du vêtement a publié une nouvelle publicité où l’on suit une collégienne qui s’apprête à faire une présentation sur les dynasties. L’étudiante, « racisée », évidemment, gay, forcément, cheveux teintés en rose, naturellement, y va sans ambages : « Je refuse de parler de l’histoire de l’Antiquité ou des tragédies grecques, ça, c’est juste le patriarcat. » Saloperie de patriarcat !

La Grèce antique, les empereurs romains : annulés. « À la place, j’ai décidé de parler de la seule dynastie qui m’inspire. Une dynastie exclusivement féminine, de femmes de couleur, de femmes homosexuelles, de femmes qui luttent pour la justice sociale, une dynastie qui fait passer les équipes masculines de basketball, de football américain et de baseball pour des amateurs » ; « Une dynastie qui fait d’Alexandre le Grand l’Alexandre un “banal”, poursuit-elle, la dynastie qui règne depuis les 25 dernières années, invaincue depuis 1996, l’équipe féminine USA de basketball […] et surtout la dynastie de femmes qui ont rendu possible que des femmes comme moi puissent faire partie de la dynastie qu’elles souhaitent, la plus grande des dynasties. » On remarquera que dans la tirade, la mention de la femme hétérosexuelle est occultée ; il est vrai que cette dernière a tendance à trop fricoter avec le sexe ennemi.

On se rappelle cette frénésie qui s’est emparée, à l’égard de l’équipe féminine américaine championne du monde de football, de sa caricaturale capitaine, Megan Rapinoe, également lesbienne et activiste, équipe dont un exploit, moins médiatisé celui-ci, fut celui d’avoir été laminée par une équipe de foot masculine des moins de 15 ans. Toujours le même scénario, l’exploit sportif se mue en propagande sociétale déconstructrice, et ce, à l’instar du discours intellectuel, artistique ou politique contemporain, où c’est la race, le genre, l’« orientation sexuelle », l’activisme idéologique qui auraient permis une telle réussite. Le talent, aujourd’hui, c’est se définir « racisé », « gay », « woke », et surtout dénigrer l’homme blanc et son héritage. Le progressisme inclusif et diversifié est devenu, somme toute, la nouvelle caste aryenne.

Une équipe de basket qui remplace les plus grands personnages historiques, c’est évidemment le patriarcat blanc en point de mire. Pour la chute d’Adam, c’était Ève ; pour l’Occident et l’homme blanc, ce sera probablement le progressisme. Partout, le Blanc est le vilain, le Noir le héros, le gay la voix de la raison, la femme porte la culotte, le père est un imbécile fini et la mère est la personne qui subvient aux besoins du ménage, alors que les enfants sont hypersexualisés. Ne les appelez surtout plus médias mais ingénierie sociale.

Pierre Mylestin, Boulevard Voltaire

Macron va nous imposer toujours plus de réfugiés muzz afghans

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Les Talibans sont donc à Kaboul. C’était bien la peine d’envoyer à la mort 55 de nos meilleurs soldats pour un tel résultat. Macron va prendre la parole, ce soir, à 20 heures, pour commenter la situation !

Quant à Hidalgo, elle a trouvé la solution : l’inauguration d’une place du commandant Massoud !

En attendant, cela va faire des dizaines de milliers de réfugiés musulmans en France, avec leur lot de ce qu’ils appellent “incivilités”.

Résumé : les islamistes ont reconquis l’Afghanistan, et l’Occident va accueillir des centaines de milliers de musulmans déguisés en réfugiés politiques afghans !

Mais Macron ne transigera pas : ils devront être vaccinés !

Pierre Cassen, Riposte Laïque

Après l’assassinat d’un prêtre en Vendée, Darmanin ne veut pas de polémiques. Quelle indignité !

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Revenons, voulez-vous, sur un détail du psychodrame politique surjoué, ce 9 août, après l’assassinat d’un prêtre montfortain de Saint-Laurent-sur-Sèvre par un individu échappé du Rwanda et entré en France en toute illégalité, sans avoir pu en être renvoyé, depuis 2012, au gré des procédures.

Marine Le Pen – dont la prudence et la discrétion affichées depuis quelques semaines face à la grogne populaire des « anti-vax » pouvait laisser perplexes certains de ses électeurs quant à la valeur de ses choix stratégiques pour affronter le pouvoir en place – a su profiter de la faille sécuritaire de l’État macronesque – toujours béante et tragiquement confirmée ce lundi – pour revenir d’un tweet à ses « fondamentaux », dans le hublot médiatique. Tout cela, après un énième « Je me rends sur place » du ministre Darmanin, pathétique et toujours dérisoire d’impuissance.

Tacle incendiaire de la postulante à l’Élysée : « En France, on peut donc être clandestin, incendier la cathédrale de #Nantes, ne jamais être expulsé et récidiver en assassinant un prêtre. Ce qui se passe dans notre pays est d’une gravité sans précédent : c’est la faillite complète de l’Etat et de @GDarmanin. MLP #Vendée. »

Voile rouge et réponse précipitée du locataire énervé de Beauvau chargé de protéger nos corps et nos églises : « Quelle indignité ! Plutôt que de dire sa compassion aux catholiques qui ont accueilli ce meurtrier, madame Le Pen polémique sans connaître les faits : cet étranger n’était pas expulsable malgré son arrêté d’expulsion tant que son contrôle judiciaire n’était pas levé. »

« Quelle indignité ! […] Vous n’avez pas honte ? » On croirait entendre rejouer, à cinq ans d’intervalle, la comédie de Sarkozy, drapé dans sa vertu républicaine, pour faire taire un Pujadas qui avait osé l’entreprendre sur l’argent sale de Libye. Facilités oratoires d’évitement – et de copie – de ceux qui laissent couver l’incendie par faiblesse morale et qui ne l’éteindront jamais – quoi qu’ils veuillent en faire accroire – par défaut de sens national…

Alors, justement : à qui, pour l’heure, la palme d’or d’indignité ? À celle qui – quoi qu’on puisse penser de ses angles d’attaque – dénonce ici la vérité de l’incendie, dans son rôle logique d’opposition musclée à la République des capons, ou à celui qui voudrait nous dissimuler, par l’apostrophe agressive, sa propre stérilité dans l’action et, au-delà de son échec personnel, l’impuissance d’une coterie de gouvernement chargée pourtant de nous défendre ? Terrible aveu, qui ne voudrait pas l’être, que cette pitoyable esquive sans cesse répétée, assassinats après massacres, comme une litanie excusable : « Le moment ne doit pas être à la polémique mais aux condoléances. » Indignité du faux-semblant !

On ne connaît pas, aujourd’hui même, le nombre exact des clandestins vivant en France (ce qui semble une aberration – ou une volonté délibérée ? – à l’heure du flicage sanitaire de la population). Plusieurs centaines de milliers, sans doute. Selon un rapport parlementaire du 5 juin 2019 faisant l’état des lieux des expulsions au sein de l’Union européenne, la France arrivait alors à un taux de renvoi de 23 % des migrants illégaux, la moyenne, dans l’Union, étant de 44 %. Les taux sont de 71 % en Suède, 89 % en Allemagne et au Royaume-Uni.

Chiffres sans appel d’impuissance tricolore, effarants. Illustration des freins législatifs ou judiciaires qui paralysent notre État. « Le ministre de l’Intérieur ne dénonce pas l’absurde de contradiction qui est au cœur de notre État de droit et qu’il faudrait modifier », déplore Philippe Bilger. Qui aura le courage de réformer les lois pénales et migratoires qui nous conduisent au chaos ? Pas ceux qui nous gouvernent, puisqu’on les voit à l’œuvre. Quelle indignité !

Pierre Arette, Boulevard Voltaire

Et si les Américains quittaient aussi la Syrie ?

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L’armée américaine plie bagages à grande vitesse en Afghanistan laissant ainsi le champ libre aux talibans qu’elle a combattus pendant vingt ans. Elle a fait la guerre comme d’habitude, à coups de tapis de bombes tuant plus de civils que d’ennemis, la rendant ainsi, comme on peut l’imaginer, extrêmement populaire.

Son intervention s’était évidemment accompagnée de considérations moralisatrices sur les bienfaits de la démocratie universelle dont elle promettait de faire bénéficier l’Afghanistan qui, bien sûr, n’attendait que cela. La « destinée manifeste » chère aux pères fondateurs américains est toujours bien présente dans l’esprit des dirigeants de ce pays, qu’ils soient démocrates ou républicains.

Vingt ans et quelques milliers de morts plus tard, retour à la case départ et remise des clés presque officielle aux islamistes sans contrepartie aucune. Cela nous promet quelques joyeux massacres et une nouvelle vague migratoire que les gouvernements européens vont gérer avec la compétence qu’on leur connaît.

Après une expérience aussi consternante, faisant suite à celle de l’Irak (la pire de toutes), on pourrait espérer que l’Amérique cesse de vouloir régenter le monde. C’est trop demander et ce fiasco historique ne doit pas faire illusion. L’Amérique ne renoncera jamais à une intervention extérieure lorsque ses intérêts seront en jeu et expliquera que c’est pour le bien du pays envahi et de la Terre entière. D’autres interventions auront donc inévitablement lieu, soit pour contrer son nouvel ennemi chinois, soit pour contrôler un pays ou une région considéré comme stratégique.

Il en est ainsi de l’occupation américaine en Syrie. Lors de la lutte contre Daech, quelques milliers de militaires avaient été déployés afin d’encadrer leurs alliés kurdes, en pointe dans la lutte contre les islamistes. Daech vaincu, les militaires américains sont restés, occupant avec les Kurdes l’est et le nord-est de la Syrie. Hasard incroyable, cette région est celle où se situe la majeure partie des gisements de gaz et de pétrole du pays. Ils sont ainsi confisqués au profit des Kurdes dont l’occupation brutale se passe mal, particulièrement dans l’est d’où les Kurdes étaient jusqu’à présent totalement absents. Mais chaque fois que l’armée syrienne a voulu s’approcher en franchissant l’Euphrate (nouvelle frontière américaine !), un tapis de bombes lui a fait comprendre que cette partie de la Syrie appartenait maintenant à quelqu’un d’autre.

Cerise sur le gâteau, les Américains ont construit une base, appelée Al-Tanf, au sud de la Syrie, en plein désert, le long de la frontière jordanienne. Cette base est officiellement destinée à surveiller les mouvements entre Iraniens et leurs alliés libanais du Hezbollah. Elle abrite, accessoirement, d’anciens combattants islamistes anti-Bachar reconvertis en supplétifs de l’armée américaine. L’aviation russe avait tué plusieurs dizaines d’entre eux, il y a quelques semaines, alors qu’ils partaient combattre l’armée syrienne.

Tout ceci, bien sûr, en toute illégalité, mais quand on s’est attribué comme mission permanente de sauver le monde, on ne s’embarrasse pas de détails inutiles.

Et pourtant, ce serait tellement mieux de laisser la Syrie se reconstruire sans sanctions, occupations, bombardements et autres…

Antoine de Lacoste, Boulevard Voltaire