Gilbert Collard : « Que Gérald Darmanin le veuille ou non, cette affaire pose toute la question du fonctionnement judiciaire du droit des étrangers ! »

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Emmanuel Abayisenga, auteur présumé du meurtre du père Olivier Maire et incendiaire de la cathédrale de Nantes en 2020, avait fait l’objet de trois décisions de quitter le territoire en 2016, 2017 et 2019. Expulsion inapplicable tant que l’individu faisait l’objet d’un contrôle judiciaire, selon Gérald Darmanin, qui accuse Marine Le Pen « d’indignité » et dénonce les « polémiques inutiles ».

Réaction de Gilbert Collard au micro de Boulevard Voltaire.

J’ai appris cette nouvelle avec consternation, comme une espèce d’effraction violente, brutale dans la vie d’un mois d’août. Malheureusement on a été habitué à ce genre de triste nouvelle. Sur le moment, on pense à la victime par solidarité humaine et ensuite on se demande pourquoi.

J’ai entendu des intervenants “instrumentaliser l’instrumentalisation”, si je puis dire, pour reprocher à ceux qui se posaient la question du pourquoi de mal se comporter. Après le moment de stupéfaction, vient la question du pourquoi. Avec le simple fait de demander pourquoi, Christophe Castaner par exemple parle d’instrumentalisation. Si, en présence de drames, on ne se pose pas la question du pourquoi, c’est qu’on n’est pas authentique ni sincère. Quand on est responsable politique, on n’a pas à fuir le questionnement. Comment cela a-t-il pu arriver ? Ce prêtre était d’abord et avant tout fils de l’Évangile, de l’amour, de l’accueil. L’église catholique que l’on critique tant donne une extraordinaire leçon d’authentique charité. On ne peut qu’être admiratif. Mais ce n’est pas parce que des prêtres font la charité qu’ils doivent en mourir.

On voit que ce personnage déséquilibré a fait l’objet de deux décisions de quitter le territoire, en 2016 et en 2017. Elles ont été contestées pour gagner du temps, puis elles ont été cassées. En 2019, il y a eu une troisième décision. Jusqu’au moment de l’incendie de la cathédrale de Nantes. Puis il faut le juger, donc on ne peut pas l’expulser. Que Monsieur Darmanin le veuille ou non, cela pose toute la question judiciaire du droit des étrangers et du droit relatif à l’expulsion. Il y a une carence de l’État dans le fonctionnement de la justice, on a le devoir de s’y intéresser.

Le gouvernement reproche les critiques d’un tel ou d’un tel, mais cela est normal. On n’a même plus le droit de se poser de questions ?

Vous faites allusion à la réponse de Gérald Darmanin au tweet de Marine Le Pen ?

Au lieu de dire des mots tels que démagogie, exploitation, il devrait avoir l’honnêteté de se poser la question : pourquoi cela est-il arrivé ? Et l’honnêteté de dire : il faut que l’on travaille là-dessus, ce n’est pas possible qu’un individu ayant plusieurs obligations de reconduite fasse échec à ces décisions. La procédure fonctionne mal.

Que pensez-vous de la déclaration de Gérald Darmanin sur le fait que l’individu n’était pas expulsable ?

C’est presque de la rhétorique de propagande. Il est vrai que dans le cadre du contrôle judiciaire on ne peut l’expulser, mais peut-être aurait-on pu accélérer la procédure. Je vous rappelle : qui gifle un président est jugé en 48 heures. Quand la justice concerne des personnes de l’opposition, elle va très vite.

Cette affaire pose également la question du droit de du recours et du droit des étrangers. Je ne suis pas contre les recours, bien au contraire mais ils doivent être encadrés dans le temps. De même qu’une détention trop longue provoque une remise en liberté automatique, les jugements relatifs à des questions d’expulsions doivent être faits rapidement.

Dire qu’il faut expulser les clandestins pyromanes, n’est-ce pas en contradiction avec notre tradition humaniste ?

Le premier humanisme, c’est de ne tuer personne, à commencer par ce prêtre plein de charité. Le deuxième humanisme judiciaire est que les recours soient étudiés convenablement et prioritairement. Sinon c’est sans fin, un individu est expulsé, il outrage un policier, il ne partira pas ! Il y a des spécialistes du droit des étrangers qui en usent et en abusent. En présence d’un individu dangereux, signalé psychiatriquement, on aurait peut-être eu le temps de le juger depuis l’incendie de la cathédrale en 2020 en mettant les moyens. Mais le budget de la justice n’est pas suffisant.

Gérald Darmanin vous reproche de vouloir l’expulsion d’un cas psychiatrique.

Ils essayent de masquer la faillite des procédures en matière d’expulsion. Il y a eu trois décisions : deux invalidées par la juridiction et une qui était en voie de contestation. Dans l’attente, l’individu a mis le feu à la cathédrale puis il a assassiné un prêtre qui lui avait tendu la main. Si le mécanisme d’expulsion avait été accéléré, par des dispositifs d’enfermement dans le temps, il aurait été expulsé. Emmanuel Macron avait pour objectif un taux d’exécution de 100 % des expulsions pour les étrangers en situation irrégulière. Or en 2020, le taux d’expulsion est de 13,4 %.

Monsieur Darmanin se sert du fait qu’en raison de la procédure en cours, l’expulsion n’était pas possible mais il n’explique pas pourquoi il aura fallu tant de temps pour arriver à une expulsion définitive qui n’est pas encore là. Ça mériterait une réflexion. Si nous avions mené une réflexion et modifié les textes, peut-être que ce prêtre ne serait pas mort.

D’autres personnes politiques ont réagi sur cet assassinat, et Monsieur Darmanin n’a pas eu les mêmes mots que pour Marine Le Pen.

Gérald Darmanin fait de la politique, il est en campagne présidentielle. Il ne fait aucune récupération bien sûr ! Monsieur Darmanin ménage un peu tout le monde, c’est triste au moment où il y a ce drame chrétien.

Ce n’est pas parce qu’on est chrétien qu’on doit tendre l’autre joue, du reste dans la traduction de l’araméen, cela signifie plutôt ne pas se comporter en ennemi. Je suis catholique pratiquant et je l’assume, je n’ai pas peur de le dire.

Comment concilier-vous la doctrine du pape François de l’accueil avec une réalité sécuritaire grave ?

La charité chrétienne est individuelle, le bon samaritain n’appelle pas les associations subventionnées, il le fait tout seul !

La charité collective est la négation de la charité. C’est comme s’il y avait un impôt sur la charité. Je ne conçois pas la charité comme un phénomène collectif, et s’il y a des impératifs de sécurité, il faut en tenir compte. Si on veut aider un migrant en difficulté, et dont les papiers sont en règle, on le fait soi-même. On n’appelle pas l’État pour qu’il donne de l’argent.

Pour vous ce prêtre est-il un martyr ?

En prescience du danger

car l’individu était connu pour avoir incendié la cathédrale, il est malgré tout allé jusqu’au bout de son devoir de charité. Il y a quelque chose de la mise en danger de soi-même pour l’amour d’autrui.

Boulevard Voltaire

Les gardes-frontières polonais ont arrêté 349 migrants clandestins qui ont franchi la frontière biélorusse depuis vendredi

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Des agents de la patrouille frontalière polonaise détiennent des personnes qui tentent de franchir la frontière entre la Biélorussie et la Pologne, dans cette photo distribuée le 9 août 2021 | Photo : Commandement principal de la patrouille frontalière polonaise/Handout via REUTERS

VARSOVIE, 9 août (Reuters) – Un nombre record de migrants ont franchi la frontière polonaise avec le Bélarus depuis vendredi, a déclaré lundi le Corps des gardes-frontières, alors que la Biélorussie est accusé d’utiliser les passages illégaux pour faire pression sur les Etats de l’Union européenne.

Ces dernières semaines, la Pologne et la Lituanie ont connu une forte augmentation de l’immigration clandestine, à tel point que ces pays ont lancé un appel à l’aide à l’Union européenne. Le Parlement de Vilnius a prévu de tenir une session extraordinaire mardi pour discuter de cette question.

Les autorités de ces pays ont accusé le président Alexandre Loukachenko d’utiliser les migrants pour faire pression sur l’Union européenne afin qu’elle revienne sur les sanctions prises à l’encontre du pays ou pour se venger de la Pologne, qui a donné refuge à Krystsina Tsimanouskaya, une athlète biélorusse qui a refusé de rentrer chez elle après les Jeux olympiques de Tokyo.

Dans un communiqué publié lundi, les gardes-frontières polonais ont déclaré avoir arrêté 349 migrants illégaux ayant franchi la frontière biélorusse depuis vendredi. Elle a précisé que les migrants étaient probablement originaires d’Irak et d’Afghanistan.

La porte-parole des gardes-frontières, Anna Michalska, a déclaré que le nombre de migrants détenus depuis vendredi était un record. Le groupe le plus important, composé de 85 personnes, a été arrêté par des agents du poste de Kuznica samedi, selon le communiqué.

Cette année, la branche de Podlasie des gardes-frontières, qui travaille à la frontière avec le Bélarus, a détenu 871 immigrants illégaux. En 2020, les gardes-frontières ont détenu seulement 122 immigrés illégaux traversant la frontière biélorusse.

Vendredi, la Pologne et la Lituanie ont demandé aux institutions européennes de les aider à faire face aux migrations. Les ministres de l’intérieur de l’Union européenne discuteront de cette question lors d’une réunion extraordinaire le 18 août.

M. Loukachenko a déclaré que la Biélorussie riposterait lorsqu’elle serait “frappée” et que les pays occidentaux ne devraient pas utiliser de sanctions contre elle.

“(Les sanctions) peuvent avoir l’effet inverse, comme le montre la réalité des événements d’aujourd’hui aux frontières biélorusse-polonaise, biélorusse-ukrainienne, biélorusse-lituanienne et biélorusse-latvienne”, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse lundi.

Lundi a marqué le premier anniversaire d’une élection qui, selon les opposants, a été truquée pour permettre à Loukachenko de l’emporter. Des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue, dans le cadre de la plus grande contestation de son règne depuis qu’il est devenu président en 1994.

Il affirme avoir gagné l’élection de manière équitable et a répondu par une répression des opposants, dont beaucoup ont été arrêtés ou se sont exilés à l’étranger.

Reuters

«Les Français sont des veaux»: indignation face aux bracelets bleus en gare de Lyon

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«Du bétail», «la même procédure que les étiquettes épinglées aux oreilles des veaux»: les bracelets bleus utilisés pour distinguer les usagers en possession d’un pass sanitaire des autres a suscité l’indignation.

Les passagers d’un quart des trains longue distance doivent faire lundi l’objet d’un contrôle de leur pass sanitaire, a affirmé le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari, rappelant qu’il était conçu pour «inciter les Français à se faire vacciner».

«Aujourd’hui, c’est environ un quart des trains qui vont être contrôlés à l’échelle du pays», a déclaré le ministre à la presse lors d’une visite en gare de Lyon à Paris.

Le pass sanitaire -preuve d’une vaccination complète, d’un test négatif de moins de 72 heures ou du rétablissement du malade depuis moins de six mois- est désormais exigé pour monter à bord des trains Intercités et des TGV, mais pas pour les TER et trains de banlieue parisienne.

Les contrôles «seront massifs, ils ne seront pas systématiques parce nous avons 400.000 voyageurs par jour dans les trains, pour ne parler que des trains, et c’est donc tout à fait impossible de contrôler tout le monde en tous points», a-t-il affirmé, promettant une semaine de rôdage.

«Les choses se déroulent bien», a-t-il estimé, citant le cas d’un train de plusieurs centaines de passagers pour lequel trois personnes se sont vu refuser l’embarquement.

«Deux ont été dirigées vers une pharmacie amie qui a pu réaliser les tests et les personnes ont pu échanger leur billet et reprendre un train plus tard, et la troisième personne a choisi de se faire rembourser le billet», a-t-il relaté.

Les contrôles pourront être mis en place «à l’abord des quais», être effectués à bord des trains ou à l’arrivée. Les contrevenants encourent une amende forfaitaire de 135 euros.

Les bracelets qui font débat

Pour fluidifier les contrôles, en gare de Lyon, des personnes vêtues d’un gilet bleu vérifiaient lundi matin le pass sanitaire avant de mettre un bracelet en papier bleu au poignet des passagers contrôlés.

Ce «dispositif de pré-enregistrement» doit s’accompagner d’ici septembre d’un autre «sous format digital» similaire à celui des aéroports, selon le ministre.

L’initiative n’a pourtant pas plu à tout le monde. Sur Twitter, Florian Philippot et François Asselineau se sont érigés contre ces accessoires qui marquent, selon eux, les citoyens comme «du bétail».

«L’objectif du pass sanitaire dans les transports, c’est l’incitation à la vaccination et la préservation de la liberté», a auparavant affirmé M.Djebbari sur France Inter.

Pour autant, certains ne sont pas d’accord avec le ministre.

«Cette nouvelle procédure doit susciter l’adhésion, on l’a vu pour le port du masque, on avait fait de la même façon une semaine de rodage et honnêtement ça s’était très bien passé, on avait 95% des usagers du train qui avaient bien porté le masque tout de suite», a-t-il expliqué.

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/france/202108091045981575-les-francais-sont-des-veaux-indignation-face-aux-bracelets-bleus-a-la-gare-de-lyon/

Encore un prêtre assassiné ! Mais Macron préfère traquer les anti-passe !

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Encore un malheureux prêtre assassiné ! La France de Macron, c’est un coupe-gorge ! Marine a raison :

« En France, on peut donc être clandestin, incendier la cathédrale de Nantes, ne jamais être expulsé, et récidiver en assassinant un prêtre. Ce qui se passe dans notre pays est d’une gravité sans précédent : c’est la faillite complète de l’Etat et de Gérald Darmanin »

Et Zemmour d’enfoncer le clou !@ZemmourEric“Ce criminel #rwandais qui avait déjà incendié la cathédrale de #Nantes nous montre à quel point notre humanisme et notre juridisme sont devenus les marques d’une faiblesse qui nous tue. #pretre”.

Macron, qui nous serine son discours criminel sur le sentiment d’insécurité, est à 100% responsable de cette énième tragédie liée à l’immigration de masse.

Comme si l’insécurité pouvait n’être qu’un sentiment ! L’insécurité, c’est une réalité, un fléau qui a décuplé depuis 1960 parce que l’Etat capitule face à la racaille.

Macron, qui a toujours nié l’explosion de la criminalité et réfuté tout  lien immigration-insécurité, est le principal responsable de l’effondrement du pays en matière de sécurité, première des libertés d’un citoyen.

Nous détenons le bonnet d’âne de l’UE pratiquement dans tous les secteurs de la criminalité.

Que faisait en France ce clandestin rwandais, qui aurait dû être expulsé bien avant d’incendier la cathédrale de Nantes et de récidiver en assassinant aujourd’hui un prêtre ?

Combien de clandestins, criminels potentiels, circulent en liberté parce que Macron refuse de les expulser ? Ce tueur aurait dû être renvoyé vers le Rwanda, au lieu de quoi, il a été bichonné par l’Eglise.

On voit le résultat de cette compassion à tout va. Une mort qui pouvait être évitée.

La France explose les compteurs en accueillant  toute la misère du monde, mais n’expulse plus du tout.

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/un-pretre-assassine-en-vendee-gerald-darmanin-se-rend-sur-place-20210809

C’est la folle politique migratoire de Macron, associée au laxisme judicaire criminel de Dupond-Moretti, qui est la cause majeure du désastre sécuritaire.

L’insécurité n’est-elle qu’un « sentiment », comme le pense Emmanuel Macron ?

https://la-chronique-agora.com/insecurite-sentiment-emmanuel-macron/embed/#?secret=tegyGBiU74

Cette carte ne laisse planer aucun doute quant au lien immigration-insécurité. France, Belgique, Suède et Royaume-Uni détiennent le pompon avec l’invasion migratoire. On mesure à sa juste valeur l’immense chance pour la France que représente l’immigration.

Lisez aussi la remarquable étude rappelée dans le lien ci-dessous:

Lien immigration-criminalité : 10 preuves accablantes qui accusent le pouvoir

Selon l’Institut pour la Justice, outre le coût humain, le coût des conséquences  de la criminalité et de la délinquance se situe entre 5 et 10% du PIB. Soit une perte de 125 à 250 milliards ! Et que fait Macron ? Il reste les bras ballants.

Il nous avait promis 15 000 places de prison, nous en aurons 2000 ! Il a fait le choix délibéré de vider les prisons plutôt que d’en construire.

Seule sa propre sécurité lui importe, car dès 2017 il a renforcé sa protection personnelle, la portant de 77 à 127 policiers et gendarmes.

Selon le Dr Maurice Berger :

« Toutes les deux minutes, une plainte est déposée en France pour des violences gratuites, c’est-à-dire des agressions physiques sans raison apparente pouvant aller jusqu’au meurtre, pour un simple regard, un simple refus de cigarette. » 

Chaque année, 250 000 personnes sont tabassées, lynchées, parfois battues à mort, just for fun, puisque les racailles sont assurées de l’impunité.

Parfois, les exécutions sont planifiées. On cherche une victime isolée, on chasse en meute pour tabasser par plaisir. La haine anti-Blancs est le moteur de l’expédition punitive.

C’est aussi cela la richesse de l’immigration que nous vendent Macron et sa clique mondialiste !

Les derniers chiffres fiables sont ceux de 2019, donc sans influence du Covid-19.

970 homicides, soit + 9% par rapport à 2018

260 500 coups et blessures volontaires, soit + 8%

22 900 viols déclarés, soit + 19% !

En 2018, 21% des Français se disaient en insécurité dans leur quartier, 16% dans leur domicile, 17% renonçant même à sortir de chez eux !

C’est cela la France de Macron, qui nie la réalité mais se déplace avec des légions de centurions pour le protéger.

La seule décision de Macron en matière de lutte contre la criminalité a été de casser tous les thermomètres pour cacher l’ampleur du désastre.

Dorénavant, le ministère de l’Intérieur peut maquiller les chiffres de la délinquance à qui mieux mieux. Il n’a plus aucune concurrence pour contester ses chiffres.

L’Institut national des hautes études de sécurité et de justice ( INHESJ ) a été dissous en 2020. Et comme il abritait l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, organisme indépendant ( ONDRP ), l’Etat peut donc faire sa tambouille statistique en toute opacité.

Un domaine ou notre Machiavel de l’Elysée excelle, comme chacun sait.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque