Monde d’après : le revers du boom des achats de camping-cars

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

La période 2020 aura été bénéfique aux constructeurs de véhicules de loisirs. Beaucoup de Français, après avoir été privés de liberté, ont découvert que les camping-cars et vans pouvaient être une source de liberté pour lutter contre le confinement territorial. Effectivement, pouvoir circuler, visiter, découvrir la France tout en restant en « sécurité sanitaire » peut faire rêver. Les locations et achats ont donc flambé.

En revanche, selon moi, ce boom est en partie un effet de mode qui a entraîné des achats « compulsifs ». Et achat compulsif peut rimer rapidement avec déconvenues. Ce n’est, certes, pas une critique car on peut comprendre que la période difficile que nous venons de vivre ait eu une influence énorme sur ce boom. Autre cause possible, les voyages à l’étranger étant devenus difficiles ou risqués, beaucoup de voyageurs habitués à partir se sont retrouvés coincés en France.

Contrairement à ce que faisait miroiter la publicité télévisée, la liberté n’est pas aussi totale qu’on pourrait le croire dès que l’on commence à circuler. En dehors des tarifs excessifs de ces véhicules, l’entretien régulier a un coût non négligeable et pas forcément pris en compte par les néo-camping-caristes. À cela, il faut ajouter que ces gros véhicules sont plus gourmands en gazole que la voiture, que les péages sont plus chers, que les contrôles techniques ne sont pas cadeau, que l’assurance sera en plus… Pour finir sur le chapitre coûts, pour ceux qui n’ont pas la place de garer chez eux leur nouveau véhicule, il faut trouver un gardiennage qui, selon les régions, peut encore alourdir de façon significative la facture du coût annuel de possession. Si je prends mon exemple, dans le Sud-Est, les gardiennages sont rares et chers. Plus de 700 € à l’année simplement pour un parking adapté.

La pseudo-liberté est très encadrée et le sera de plus en plus dans les années à venir. En réalité, on ne peut pas faire ce que l’on veut et s’arrêter où l’on veut. De nombreuses communes interdisent de plus en plus l’accès aux camping-cars et créent aussi des zones « nature » pour justifier l’interdiction des arrêts dits « sauvages ».

Le camping-car apporte de réels moments de détente et de plaisir, c’est indéniable, mais il y a aussi des contraintes comme les vidanges régulières, les pleins d’eau, la recharge en énergie, trouver des emplacements adaptés en journée et surtout la nuit. En outre, la plupart des camping-cars se conduisent avec le permis VL mais ce ne sont pas des voitures. Le gabarit en déconcerte plus d’un… Sur le terrain, on rencontre beaucoup de gens qui galèrent à cause de contraintes qu’ils n’avaient pas imaginées.

Beaucoup découvrent également que pour voyager en camping-car, sauf pour les rares adeptes des vieilles cartes routières, l’Internet est devenu indispensable. Trouver une aire adaptée aux camping-cars, une station-essence, un distributeur GPL, les visites et activités possibles et bien d’autres choses nécessite d’avoir un bon smartphone et, surtout, une bonne connexion 4G au minimum. Et une bonne connexion, en France, ce n’est pas gagné.

Pour moi, un fort pourcentage de ces néo-camping-caristes arrêtera dans l’année suivant leur achat. D’autres résisteront un peu plus longtemps et un faible pourcentage deviendra réellement camping-cariste dans la durée. Ceux-là remplaceront les anciens qui arrêtent le camping-car pour diverses raisons. Donc, même si le nombre d’immatriculations augmente dans le futur, il se stabilisera à un moment donné.

Je pense que dans les trois ans qui viennent, il y aura un nouveau boom, mais ce sera celui du marché de l’occasion.

Sans vouloir décourager qui que ce soit (ce n’est pas mon propos), s’il y a un achat qui doit être réfléchi et non pas compulsif, c’est bien l’acquisition d’un camping-car. Je recommande donc très souvent de bien se renseigner auprès de camping-caristes aguerris et pas forcément auprès des concessionnaires, de louer, pourquoi pas, pour tester en vraie grandeur le terrain.

Boulevard Voltaire

Val-de-Marne : deux policiers ouvrent le feu sur un véhicule après un refus d’obtempérer

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Deux policiers ont ouvert le feu sur un véhicule en délit de fuite à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), à proximité d’un bus bondé de la RATP, relate Le Figaro, d’après des informations de la préfecture de police de Paris, le mardi 17 août.

Des agents à moto ont dû tirer sur un véhicule refusant d’obtempérer et prenant la fuite vers Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Le véhicule a fait demi-tour et a percuté le deux-roues de l’un des policiers qui a chuté au sol. Deux policiers ont été légèrement blessés et hospitalisés.

Le véhicule mis en cause a été retrouvé abandonné selon une source policière. Un homme blessé s’est ensuite présenté à l’hôpital, mais « sans certitude qu’il s’agit de l’occupant du véhicule ». La scène, filmée par des occupants du bus, a été diffusée sur les réseaux sociaux.

Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, l’annonce: «La France accueillera, comme chaque année, plusieurs milliers d’Afghans»

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«La France accueillera, comme chaque année, des milliers d’Afghans», assure Gabriel Attal

Le porte-parole du gouvernement a assuré mercredi que « la France prendra sa part » dans l’accueille des réfugiés et regretté « l’instrumentalisation politique » des propos d’Emmanuel Macron.[…]

« La France prendra sa part, elle accueillera comme elle le fait déjà. Chaque année, vous avez plusieurs milliers d’Afghans qui reçoivent l’asile dans notre pays parce qu’ils fuient les persécutions et la guerre », a appuyé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal lors d’un déplacement à Brignoles (Var). « La France accueillera, comme chaque année, plusieurs milliers d’Afghans ».

[…]

L’article dans son intégralité sur Le Parisien

Déjà près de 1000 migrants afghans évacués en France depuis l’avancement des troupes Talibanes et sa prise de Kaboul

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18 Août 2021 : Les opérations d’évacuation qui ont été lancées à Kaboul se poursuivent. Une nouvelle rotation aérienne entre Kaboul et Abou Dabi a été organisée dans la nuit du 17 au 18 août avec 216 personnes à son bord. Elle permet à près de 25 de nos compatriotes d’être rapatriés, ainsi que 184 Afghans de la société civile en besoin de protection. La France a également apporté son soutien à des Etats partenaires, en embarquant 4 Néerlandais, 1 Irlandais, 2 Kenyans.

Grâce au pont aérien mis en place par nos armées entre Kaboul et Abou Dabi, un nouveau vol A400M a permis d’évacuer 13 Français et 124 Afghans. Je remercie encore nos amis émiriens dont le soutien est essentiel. Les Armées restent mobilisées pour aider ceux qui en ont besoin.

17 Août 2021 : Conformément aux annonces du Président de la République, les opérations d’évacuation depuis Kaboul ont débuté dans la nuit du 16 au 17 août 2021. Un premier vol transportant 41 personnes, Français et ressortissants d’autres pays, arrive à l’aéroport de Roissy Charles-De-Gaulle en fin d’après-midi, ce jour.

16 Juillet 2021 : Depuis le début du retrait des troupes américaines en mai, la France a accueilli dans l’urgence 625 Afghans employés dans les structures françaises présentes en Afghanistan et leur famille, selon le gouvernement. Pour ce faire, un vol spécial avait été affrété par les autorités françaises le 16 juillet, avec à son bord des Afghans et leurs familles. Mais des Français n’avaient pas souhaité quitter le sol afghan.

Libération / Le Parisien / Gouvernement

« Mort à la France ! » : Quand des milliers d’Afghans défilaient dans les rues de Kaboul et d’Herat en brûlant le drapeau français et une effigie de Macron (Octobre 2020)

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Kaboul (Capitale) :

Ils veulent notre aide mais ils n’ont pas envie de vivre comme nous. Pourquoi accueillir une population qui ne nous aime pas ?

Herat :

Le plus grand rassemblement s’est tenu à Herat, dans l’Ouest, où des milliers de personnes ont crié : « Mort à la France ! Mort à Macron ! » (Le Monde)

Par la « pédagogie » ils veulent nous faire aimer ce qui nous déplaît mais ce sera le contraire

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« Un enfer pour 70 € » : un Malien condamné pour avoir séquestré un nonagénaire à Dreux

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Un Malien a été jugé par le tribunal judiciaire de Chartres, vendredi 13 août, pour vol avec violence et séquestration, relate L’Écho républicain.

« Donne-moi l’argent ou je te tue »

Alou Drago, un Malien de 47 ans, est soupçonné de s’être introduit dans l’appartement de la victime de 90 ans, le 24 novembre 2019. Il aurait « attrapé le nonagénaire par la tête » avant de le menacer : « Donne-moi l’argent ou je te tue. » Il aurait, ensuite, « bâillonné la victime et lui aurait ligoté les mains avec du scotch, puis lui aurait dérobé 70 € ».

L’ADN de l’agresseur a été découvert par les enquêteurs. Celui-ci a été interpellé et placé en détention provisoire, le 13 juillet. Présenté en comparution immédiate devant le tribunal judiciaire de Chartres, il s’explique : « Si j’avais eu du travail, je ne serais pas tombé dans la délinquance. »

« Vous avez fait vivre un enfer à un homme de 90 ans pour 70 € »

La procureure lui répond : « Beaucoup d’immigrés choisissent une autre voie et ne se retrouvent pas dans le box des prévenus. Vous avez fait vivre un enfer à un homme de 90 ans pour 70 €. »

Le tribunal a condamné Alou Drago à dix-huit mois de prison, avec mandat de dépôt. L’individu est retourné en prison. Le tribunal de Chartres a également prononcé une interdiction définitive du territoire français. À sa sortie de prison, Alou Drago devra quitter le territoire. Par ailleurs, il a également interdiction de porter une arme.

Boulevard Voltaire

« La peur au service de la manipulation » : pas qu’un slogan

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

« La peur au service de la manipulation »… C’est sans doute le slogan le plus pertinent des manifestations du samedi 14 août. Il n’est pas toujours facile de se forger une opinion sur la pandémie qui dure depuis bientôt deux ans. En revanche, ce qui demeure en cause est l’instauration du passeport sanitaire. C’est lui qui a permis l’augmentation du nombre des vaccinés dans notre pays, en étant une obligation vaccinale à peine masquée, c’est-à-dire une manipulation qui détermine les gens à des actes qu’on prétend, la main sur le cœur, ne pas leur imposer, mais qu’ils subissent en fait sous la contrainte. En cela réside le fond du problème. Une démocratie libérale repose avant tout sur la confiance des gouvernés à l’égard de leurs gouvernants. Or, le succès apparent de la mesure renforce évidemment la défiance envers un pouvoir perçu comme manipulateur par un nombre grandissant de Français. Selon l’IFOP, 53 % des sondés y voient une atteinte aux libertés. Certes, personne ne vous oblige à vous faire vacciner, mais vous vous y obligerez vous-même, car comme l’a dit une grenouille de cabinet macronienne, l’absence de « passe sanitaire » va vouer le non-vacciné à « une vie de merde ». Cette formule laisse suppurer l’incroyable arrogance de la caste au pouvoir dont le Président est l’archétype.

Mais tous ces avantages cumulés ne constituent pas la confiance, celle qui fait qu’un peuple en situation de détresse se rassemble autour de son chef. Depuis le calamiteux épisode « Buzyn », les méandres de la politique gouvernementale l’ont rendue impossible. Ses contradictions ont amplifié les doutes à chaque étape. La France est arrivée en retard, sur les masques, sur les tests, sur les capacités hospitalières, sur le vaccin. Le discours du pouvoir n’a jamais anticipé l’événement mais s’est borné à s’y adapter non sans user du mensonge, par exemple sur l’existence d’un stock de masques et sur l’utilité de ces derniers. Le seul fil conducteur s’est résumé dans l’instrumentalisation systématique de la peur comme outil de pouvoir liberticide. La peur de la mort est l’instrument le plus puissant des dictatures : il y a celles, classiques, qui la brandissent comme une menace envers les opposants, et il y a aujourd’hui la dictature douce qui, pour votre bien, vous demande de vous emprisonner vous-même si vous ne voulez pas mourir. Le confinement, l’atteinte à la liberté d’aller et de venir, à la liberté du commerce et du travail, ont habitué les Français à cette obéissance incompatible avec le statut de citoyen, pratiquée en Chine communiste, mais non en Suède. En amont, il y avait l’imprévision gouvernementale et, en aval, un renforcement du pouvoir qui habituait ses « sujets » à dépendre de lui par la soumission à des règles étroites assorties de sanctions et par des soutiens financiers qui ont fait grossir la dette de manière démesurée. De variant en variant, la panique est entretenue, et rebondit, prolongeant l’état d’urgence et submergeant les élections sous le flot des abstentions, c’est-à-dire des citoyens qui s’habituent à ne plus l’être. 43 % des Français estiment que la France est soumise à une dictature. On imagine combien le locataire de l’Élysée espère que cette atmosphère se perpétuera le plus près possible de l’élection présidentielle.

L’obligation vaccinale contenue dans le « passe sanitaire » rebute de nombreux Français vaccinés mais qui auraient préféré être convaincus par le discours et par l’exemple des détenteurs du pouvoir en qui ils auraient placé leur confiance. Celle-ci aurait été renforcée par la volonté de rassembler et de laisser place à la liberté médicale. L’interdiction, la contrainte, la séparation westernienne entre les bons, ceux du Conseil scientifique, et les mauvais ont rendu le consensus impossible face à une maladie qui, finalement, est peu mortelle. Certains ont imaginé utiliser des images d’hospitalisés en urgence aux Antilles pour accentuer la peur en métropole !

Cette méthode de gouvernement est-elle un accident qu’expliquerait l’inexpérience des hommes actuellement au pouvoir surpris pas leurs déconvenues lors des crises précédentes comme celle des « gilets jaunes » et qui verraient, cette fois, dans la crise sanitaire une chance, une « divine surprise », puisqu’un pouvoir qui paraît faire face à une catastrophe a de bonnes chances d’être reconduit ? On peut craindre, au contraire, qu’il y ait un lien plus fort entre la caste qui nous dirige et cette stratégie. C’est Jacques Attali qui évoquait les peurs structurantes qui permettraient l’évolution souhaitable du monde, c’est-à-dire, pour lui, vers un gouvernement mondial, vers une technocratie planétaire. Nous n’y sommes pas, comme l’Afghanistan nous le rappelle en ce moment même, mais certains en rêvent… et ils sont au pouvoir !

Christian Vanneste, Boulevard Voltaire

2 540 terroristes libérés entre 2018 et 2022 : merci Macron !

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Guerre contre le terrorisme ? 2 540 terroristes libérés entre 2018 et 2022 ! Des chiffres que la presse mielleuse se garde bien de claironner.

Et Macron a encore maquillé la sinistre réalité géopolitique.

Son analyse de la situation en Afghanistan, alors que le pays s’effondre et se retrouve une fois de plus livré à barbarie talibane, est des plus ahurissantes. Comme si ces 20 années de guerre se soldaient par un bilan positif !

“Un combat juste, mené avec honneur, qui portera un jour ses fruits”.

90 soldats tués, des centaines de blessés pour revenir à la case départ au bout de 20 ans, peut-on justifier ce désastre militaire et politique ?

Non, Monsieur Macron, ce combat sans fin n’avait rien de juste.

La seule raison qui puisse justifier une guerre lointaine est d’avoir une bonne chance de l’emporter. Or, celle-ci était ingagnable, comme toutes les guerres contre-insurrectionnelles. Sauf à coloniser définitivement l’Afghanistan.

Ensuite, la France n’a pas vocation à libérer la femme afghane ou à sauver les peuples du joug islamiste. Il appartient aux peuples de prendre eux-mêmes leur destin en mains.

Faut-il bombarder la Chine pour libérer les Ouïghours du joug communiste ? Faut-il bombarder la Turquie pour protéger les Kurdes ? Sommes-nous les sauveurs de tous les opprimés ?

La politique de la canonnière du XIXe siècle est terminée et nous ne sommes pas les supplétifs des États-Unis dans leurs aventures néocoloniales.

Les seules missions qui se justifiaient sont :

Le bombardement des camps talibans en 2001, afin de les chasser d’Afghanistan. Ce fut un succès.

Et le remarquable raid héliporté au Pakistan pour éliminer Ben Laden. 

Une fois l’attentat du 11 septembre 2001 vengé, il fallait partir, la mission légitime étant accomplie.

Mais l’occupation du pays avec une force multinationale, contre un ennemi enfant du pays, puisque les talibans sont des Pachtouns, ne pouvait que mener à l’enlisement et aboutir à un désastre.

Cela a été maintes fois écrit dès le déclenchement des opérations terrestres. Il n’était point besoin d’être un fin stratège pour l’annoncer. Les généraux les plus lucides le savaient.

Ensuite, on voit mal quels fruits il faut attendre dans le futur de cette débâcle monumentale, qui consacre la victoire totale des islamistes sur la plus forte armée du monde et sur l’ensemble de l’Occident en général.

Dans l’immédiat, les fruits récoltés sont la charia pour le peuple afghan et une nouvelle invasion migratoire pour l’Europe.

Ce sont des dizaines de milliers d’Afghans qui tentent leur chance à la frontière turque, après avoir traversé l’Iran.

Macron ajoute, au nom de nos valeurs et de nos principes :

“Partout, la mise en place de processus politiques crédibles est la priorité”.

Il faut quand-même oser !

En Libye, la France a détruit le pays et liquidé Kadhafi, seul rempart contre l’islamisme.

En Syrie, elle a armé les islamistes pour renverser Assad.

En Irak, l’élimination de Saddam Hussein par les Américains a conduit à la création d’un grand califat et au retour de la barbarie coranique.

Au Sahel, faute d’une aide massive de l’Europe, la France est contrainte d’abandonner la partie aux jihadistes.

Au Liban, pour avoir sous-estimé l’influence du Hezbollah et de l’Iran, l’ingérence française se traduit par un fiasco. 

Partout, ce sont les ennemis de la démocratie et de l’Occident qui ont raflé la mise.

Ce qui n’empêche pas Macron d’affirmer :

“Le terrorisme islamiste sous toutes ses formes reste notre ennemi principal. L’Afghanistan ne doit pas redevenir un sanctuaire du terrorisme”

Un discours mensonger. Jamais la justice n’a été aussi laxiste envers les terroristes.

La vérité est que la France n’a cessé de libérer les islamistes et les jihadistes qui ont combattu nos soldats en Syrie et en Irak.

Ce sont 2 540 détenus terroristes qui seront libérés entre 2018 et 2022 !

Pour eux, pas de déchéance de nationalité pour avoir trahi leur pays. Pas de pertes de droits sociaux. C’est un coup de poignard dans le dos de tous les soldats morts au cours des opérations contre le terrorisme, dont 90 en Afghanistan et 55 au Sahel.

https://www.estrepublicain.fr/faits-divers-justice/2020/11/13/islamisme-plus-de-2-000-detenus-radicalises-sortiront-de-prison-d-ici-2023

Et heureusement que le ridicule ne tue pas. Car Macron ajoute :

“La lutte contre les flux irréguliers se fera de manière robuste, coordonnée et unie”.

C’est assez sidérant d’entendre le pire immigrationniste qu’on ait jamais eu à la tête de l’État parler ainsi.

La seule politique “robuste” menée par Macron est celle contre Génération Identitaire, qui tentait de freiner les entrées d’illégaux à la frontière italienne.

Une ignominie. Macron a toujours mieux traité les clandestins que nos jeunes et courageux patriotes.

Quand on sait que le nombre d’obligations de quitter le territoire français a doublé entre 2017 et 2019, passant de 85 268 à 152 181, mais que seulement 20 % sont réellement exécutées, on comprend que Macron ne croit pas un seul mot de son discours.

La France est le pays qui accueille le plus de migrants et qui expulse le moins.

Des dizaines de milliers d’Afghans se pressent aux portes de la Turquie, après avoir traversé l’Iran.

La Turquie héberge 4,5 millions de réfugiés, dont 3,5 millions de Syriens.

Attendons-nous à un nouveau tsunami migratoire afghan, régulier et clandestin. Le choc risque d’être violent, comme en 2015.

Car si la Syrie compte 17 millions d’habitants, l’Afghanistan en compte le double.

A part nos “harkis” afghans, qui ont travaillé avec nos soldats, nous n’avons pas à accueillir tous les peuples  en guerre. C’est suicidaire.

Déjà ruinée, sans emplois ni logements pour nos jeunes, la France du banquier Macron roule vers le chaos et la faillite.

Le 15 août 2021, date du retour triomphal des talibans à Kaboul, restera une date sinistre dans l’Histoire de l’Occident.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Gare maritime du Frioul (Marseille) : deux blessés et neuf Nigérians en garde à vue après une rixe

Articles : Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021

Neuf Nigérians sont en garde à vue après une rixe survenue samedi soir entre eux et deux agents de sécurité, à la gare maritime du Frioul. Les deux agents sont blessés, dont un gravement qui a dû être hospitalisé.

Les contours du différend restent à préciser.

La Provence