A Metz, le Pass apéro détrône le Pass sanitaire

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Pourquoi se faire chier à se coltiner un Pass sanitaire pour passer le portique de sécurité et payer un Ricard dixfois trop cher au milieu de deux clients ? A Metz, la solution du Pass apéro fait des émules et détrône le Pass sanitaire. L’avantage du Pass apéro est qu’il ne discrimine personne, les vaccinés et non-vaccinés sont les bienvenus. Vivre hors de la société pour retrouver de l’humanité…

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« Vivre ensemble ». Il témoigne de son agression par un migrant à Pontivy…

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Breizh-Info a recueilli le témoignage d’une personne agressée gratuitement dans le centre de Pontivy ce dimanche 08 août en plein après-midi. Ce récit édifiant amène plusieurs interrogations : que fait la police ? Que font les passants ? Et, surtout, que font ces centaines de migrants zonant en plein centre de Pontivy ?

« Ce dimanche, je me promène à Pontivy avec ma femme et mon chien. Nous nous arrêtons devant une enseigne de restauration rapide pour consulter le menu. À l’extérieur, une famille, attablée en terrasse, est en train de commenter ce qui se passe dans l’établissement. Sans porter attention plus que cela à leur conversation, j’entre pour commander, ma femme restant dehors avec le chien.

J’arrive au comptoir et je salue les deux employés. Un homme m’interpelle aussitôt. Cet homme est un noir aux cheveux couverts de dreadlocks. Il m’indique qu’il a la priorité. Je lui réponds qu’il n’y a pas de problème car je disais juste bonjour aux serveuses comme tout un chacun. Cet homme continue de m’importuner avec un discours incohérent, provocateur. Je lui demande fermement d’arrêter, de commander et de permettre aux autres clients de passer commande à leur tour. De son côté, il me demande de sortir « pour se battre ». Je lui réponds que je veux juste manger un sandwich et que je ne cherche pas les ennuis mais que s’il me cherche il va me trouver.

Il fini par sortir. Après avoir eu ma commande, je sors à nouveau. Personne ne m’attend, l’incident est clos. Du moins c’est ce que pense…

Avec ma femme et mon chien, nous remontons la rue et nous nous asseyons sur un banc. Une plaque en face indique « rue du Général de Gaulle ».
Tout à coup, un éclat de voix attire notre attention : à quelques mètres de là, une employée de la Mie Câline expulse le même individu ! Elle est seule à s’en dépêtrer et aucun des hommes présents dans la file n’intervient. Le manège dure de longues minutes. Il est expulsé, il revient, il s’assoie en terrasse à la table de clients médusés. Des gens ne finissent pas leur consommation et s’enfuient. Il fini par se mettre au milieu de la rue, assez passante au demeurant, en faisant des grands gestes, en interpellant les gens et en alpaguant les voitures. Bon…

Notre sandwich terminé, nous partons faire le tour du centre de Pontivy. En redescendant une rue, nous repassons devant la Mie Câline et nous finissons par retomber sur cet individu assis sur un banc en train d’emmerder des SDF locaux !

En passant, celui-ci m’interpelle de nouveau ! Il croit qu’il m’a vu… dans une voiture quelques minutes avant ! Je lui dis qu’il fait erreur et je lui demande de me laisser tranquille. Je pars mais il me hèle à nouveau en me disant qu’il allait me mettre une correction puis commence à nous suivre. Cette fois-ci c’en est trop, je reviens vers lui pour lui demander de se calmer. Il me pousse, je lui décoche un coup au foie puis un direct bras avant en pleine face. Les lunettes volent, il perd une dent. Mais il s’enhardi. Il revient vers moi en mettant à son doigt une sorte de bague avec une pointe style « point américain ». Étant un adepte des sports de combat je ne vois pas d’autres solutions que de faire face. Middle kick, low-kick, j’essaye d’en venir à bout mais l’animal est coriace. Il continue à vociférer, se met en garde mais ne donne aucun coup et recule. Un moment il met sa main gauche dans sa poche et me montre des clefs, deux téléphones et un cutter, le tout dans un salmigondis de paroles incohérentes. Décousus. L’homme est visiblement drogué. Je lui recolle un middle pour faire tomber le cutter, pendant ce temps-là ma femme appelle la police. Celle-ci indique que toutes les patrouilles sont actuellement prises, que l’individu est connu et que nous ferions mieux de déguerpir !

De mon côté, j’ai beau cogner dessus, le mec encaisse. On voit bien qu’il est touché mais il encaisse…sans répliquer à part faire tourner son morceau de poing américain. Par contre, il n’arrête pas de me demander de le suivre « au terrain de boules » où il a « tous ses potes » et où il va « me fumer ». Si je le suis, je suis mort.

Je ne comprends pas trop pourquoi mais il veut s’en prendre à mon chien, un petit corniaud parfaitement inoffensif et qui montre le plus parfait dédain face à l’agression que subit son maître !

La scène dure de nombreuses minutes. Il veut absolument me faire descendre au terrain de boules et moi je lui dis que je pars dans l’autre sens, mais à chaque fois que je m’éloigne il me suis comme une sangsue. Un dialogue fini par s’engager et je lui demande pourquoi il a cette attitude de voyou, pourquoi il passe son dimanche à emmerder le monde de cette façon. Il le sait et assume. Apparemment ça l’amuse et cela constitue son passe-temps dominical !

Entre deux coups, un couple de blancs passe et  commence à m’alpaguer en me disant qu’il faut le laisser car « il est comme ça », « il est connu » et il faut ne pas en tenir compte !

Je lui dis à un moment que la Bretagne n’avait pas besoin de voyous dans son genre. Et là commence les allusions au racisme, à « sa couleur de peau », etc.. pur discours de victimisation de quelqu’un qui emmerde le populo depuis le début de l’après-midi. Et encore, je viens d’arriver à Pontivy ! C’est peut-être le même cirque tous les jours!

Depuis le début de l’altercation il n’arrête pas de tripoter ses poches. Je vois qu’il a deux portables, un moment, il entreprend de me filmer pour diffuser les images sur son compte instagram ou whats ap, je ne me souviens plus ! Et là il se met en scène où il est le gentil noir agressé par le méchant blanc ! Il filme mon visage, etc… si j’esquisse un mouvement de défense, la vidéo sera clairement en ma défaveur ! Je prends le parti de remonter la rue et, bien entendu, il m’emboîte le pas. Je l’entend gromeler que la vidéo ne passe pas ou je ne sais quoi. Mais son initiative me donne l’idée de faire de même, je demande le portable à ma femme et commence à le filmer. Il se prête de bonne grâce à l’exercice ! Je lui pose des questions, d’où il est, depuis combien de temps il se trouve à Pontivy. La vidéo s’arrête au bout de deux minutes mais la conversation continue. Dans un discours assez décousu, clairement sous l’emprise de la drogue, je réussis à comprendre qu’il est à Pontivy depuis 3 ans, qu’il est pris en charge dans un foyer et que ce qu’il veut c’est travailler dans une de ces boutiques de vente de « chanvre thérapeutique » qu’on voir fleurir un peu partout mais que le gérant de l’enseigne ne veut pas de lui ! On peut le comprendre ! Son français est clairement un français natif et je remarque une pointe d’accent caribéen. Martiniquais ? Guadeloupéen ? Lui me dit être jamaïcain ou haïtien. Du moins d’après ce que j’arrive à comprendre de ses élucubrations.

Au détour de la conversation je lui dis « tu comprends que depuis tout à l’heure tu fais chier la terre entière. Est-ce que tu peux comprendre que ça emmerde les gens ? » et lui, de me répondre, face caméra : « ouaih ! ». Je lui rétorque donc « pourquoi fais-tu cela ? ». Réponse : « à savoir ce qu’ils veulent. A quelle main qu’ils veulent. Par exemple, j’aime pas faire l’ignorant » (!!!??) Si quelqu’un y comprend quelque chose…

Arrivé à un moment, voyant la situation bloquée, je dis à ma femme que nous allons partir. Des gens continuent de passer, des hommes, des couples, personne ne fait rien, malgré les longues minutes que ma femme passe au téléphone avec la police (et sur cette petite place, les gens entendent la conversation) et les coups échangés, même si je n’ai reçu au final aucune frappe de sa part malgré ses menaces. Il fait des moulinets, chausse et rechausse frénétiquement son poing américain mais ne réplique pas. Dans son discours de drogué je comprends plusieurs fois qu’il est mention d’un « juge ». A-t-il un sursis qu’il ne veut pas faire tomber ?

Je prends, avec ma compagne, congé d’une si intéressante rencontre mais bien entendu cette sangsue nous emboîte le pas en hurlant dans les rues de Pontivy. Arrivé sur une grande place, il réussit un entraîner un autre homme avec lui, un asiatique. Et nous l’entendons téléphoner. Est-il en train d’appeler des complices ? Au coin d’un immeuble, nous prenons l’initiative de rentrer dans un hall, afin de les laisser passer. Hélas, notre chien se détache et commence à aboyer. Les deux comparses nous repèrent et rentrent dans le hall d’immeuble. Je me mets devant ma femme pensant que ce petit espace va être le lieu d’une solide explication. Que nenni ! Il sortent tous les deux, nous laissent passer et continuent à nous suivre. Je comprends qu’il veulent voir où nous habitons. Pour revenir après, en compagnie d’emmerdeurs dans son genre ? Le noir passe des appels. Si nous restons dans le coin, on nous retrouve découpés en morceaux en plein après-midi, c’est écrit ! Je finis par retrouver la voiture. Le noir est à quelques mètres, nous rentrons à l’intérieur, démarrons et il nous poursuit en courant. Heureusement, un bon coup d’accélérateurs et nous arrivons à le semer.

Sur la route, pendant que ma femme conduit, j’appelle la gendarmerie pour leur demander des explications sur leur non-intervention. Je tombe sur une gendarme qui m’explique qu’elle vient de prendre son service et ne connais rien à la situation. Elle me dit qu’elle cherche quelqu’un pour aller voir sur place, mais les faits sont terminés depuis longtemps, je lui réponds ! Si nous n’avions pu démarrer cette voiture, je me retrouvais face à deux lascars avec une femme à protéger (et un chien mollasson !), le tout dans l’indifférence générale des passants… et des forces de l’ordre !

Pontivy devient Pontivy-sur-Zambèze, une ville où, le dimanche après-midi, on ne croise plus que des migrants et où les agressions vont crescendo. C’est une tragédie de grande ampleur qui s’annonce ! Ce qui me révolte le plus dans l’histoire c’est l’attitude des bretons présents. Personne ne réagit ! Cette pauvre femme de la Mie Câline était seule face à cet individu et moi-même je me suis retrouvé seul face à quelqu’un de manifestement drogué, avec une sorte de poing américain et de cutter et qui ne sentait plus les coups du fait des produits absorbés. Il est temps de réagir ! Il est grand temps de réagir ! »
 Breizh-info.com

La chanson du jour, Last Nite – Terje Rypdal

Tiré du film “Heat” avec Al Pacino et Robert De Niro, ce morceau est une petite merveille de calme et sobriété. Au sein de ce film violent, ce morceau apparait lors d’une scène romantique où l’on découvre une vue magnifique de Los Angeles la nuit. Une parenthèse apaisante de sensualité au sein du film remarquable.

Rapport du GIEC sur le climat : tremblez !

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Depuis quelques jours, la presse subventionnée et les journaux télévisés sont en ébullition avec l’annonce du dernier rapport du GIEC sur le climat, et son « avertissement le plus sévère jamais lancé ».

Depuis le début de l’été –par malchance un été très maussade et froid sur une grande partie de la France-, tout ce beau monde préparait la sortie de ce rapport pour les décideurs, en faisant feu de tout bois, pour générer la peur et rendre les esprits réceptifs : dôme de chaleur de quelques jours sur le Canada, inondations en Belgique, fonte très brève de la couverture de glace du Groenland…

Cette préparation était nécessaire, car comme l’a souligné Bjørn Lomborg, ancien directeur de l’Environmental Assessment Institute de Copenhague dans un de ses tweet, cela fait cinquante ans que les directeurs successifs du Programme Environnement des Nations unies (dont dépend le GIEC) nous préviennent du « désastre » si l’on ne fait rien. Ainsi, en 1972, selon Maurice Strong, il nous restait dix ans pour arrêter la catastrophe. En 1982, le nouveau directeur nous prédisait « une catastrophe environnementale aussi irréversible qu’un holocauste nucléaire » vers les années 2000. En 1989, nous devions stopper le changement climatique pour 1999 avant qu’il n’échappe à notre contrôle. En 2007, Rajendra Pachauri disait : « S’il n’y a aucune action avant 2012, il sera trop tard »… et ainsi de suite.

Comme je le signalais dans mon article de juin dernier, ce rapport pour les décideurs est bien loin du rapport scientifique de 4.000 pages et il est le résultat de négociations secrètes entre des représentants des États, quelques scientifiques et des représentants d’ONG environnementales.

Sa rédaction est donc l’objet d’un consensus, ce qui n’a rien à voir avec une publication scientifique.

Les raisons de ce compromis alarmiste sont claires. Les pays occidentaux sont engagés dans des politiques de plus en plus coercitives envers leurs citoyens, et il faut justifier le changement de société qui est en préparation. C’est le cas en particulier en Europe où, en juillet dernier, la Commission européenne a dévoilé ses mesures liberticides pour réduire les émissions de CO2 (gaz carbonique) de 55 % d’ici 2030. En France, un « plan Climat » contraignant a également été adopté en juillet.

Tout cela est-il justifié ? On peut largement en douter si l’on regarde l’évolution des températures globales de la basse atmosphère : en juin, l’anomalie de température était de -0,01 °C. Concernant le Groenland, s’il a subi une perte de glace sensible courant juillet, la masse de glace est repassée au-dessus de la moyenne de la période 1981-2010 et le cumul de glace de l’année est, aussi, largement supérieur à cette moyenne. L’étendue de la glace Arctique est, certes, assez faible, cet été, mais celle de l’Antarctique est largement au-dessus de la moyenne 1981-2010. Les médias se font très discrets sur ces records.

Ils ont également été très discrets sur la vague de froid qui s’est abattue sur le Brésil, détruisant la récolte de nombreuses régions caféières. En Afrique du Sud19 records de températures basses ont été battus en 24 heures, le 23 juillet, et des vents arctiques ont soufflé sur l’Australie, mais tout cela est très loin des préoccupations de nos décideurs.

Marc Le Menn, Boulevard Voltaire

Contre le passe de la honte : boycott et terrasses sauvages !

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La restauration collective est aux mains de grands groupes et n’impose pas de passe dit sanitaire.

Les restaurants de l’Assemblée et du Sénat ne sont assujettis à aucune obligation.

Les restaurants routiers sont librement accessibles aux conducteurs de camions.

Il nous faut donc déduire que le variant Delta ne se balade pas dans les restaurants d’entreprise, pas davantage dans les cantines de luxe que nous offrons aux parlementaires et qu’il abhorre les routiers.

Pourquoi pas les conducteurs de bus?

Cette extension du passe sanitaire n’est pas que scélérate, elle est aussi délirante et les décrets conséquents, le sont, paraît-il, aussi.

Pendant que nombre d’avocats s’activent à harceler le gouvernement par des plaintes et recours divers, à notre tour, d’agir activement.

Outre les manifs, sans états d’âme, il nous faut boycotter tous ces lieux interdits aux non-vaccinés, par principe et par solidarité.

Il paraît que les cinémas ont vu baisser leur clientèle de 70%. Les parcs d’attraction, bars, salles de sport, centres commerciaux et restos se vident… et en septembre, ce sera pire.

Comme le montre la vidéo suivante, en fin de matinée, le jour de la mise en place de cette arme de ségrégation, le 9 août 2021, les terrasses des Champs-Elysées étaient désertes et les bancs très occupés…

Il convient donc de taper au tiroir-caisse, à celui des plus gros, des plus puissants, souvent étrangers, ils feront vite savoir leur mécontentement à Bruno Lemaire.

Il faut commencer par les grandes chaînes, à l’instar de McDonald’s, Starbucks, Courtepaille, Buffalo Grill, Casino restauration, Tablapizza,  etc. Vingt-cinq de ces grands groupes sévissent en France, rarement pour le meilleur,  et ils diffèrent selon les villes et régions.

Voici un lien pour mieux les repérer, c’est un classement de 2015, mais la nomenclature demeure la même: https://www.neorestauration.com/article/classement-exclusif-des-25-operateurs-en-restauration-commerciale-en-france,36513

Sous le mot-dièse Terrasses sauvages, des Français rebelles ont appelé à organiser des pique-niques, dans des lieux publics, en signe de protestation.

A Toulouse, certains se sont retrouvés place du Capitole, partageant en musique boissons et nourriture.

A Nantes, Montpellier, Paris, ils étaient quelques uns à installer des terrasses sauvages, comme bientôt partout dans le pays.

Maïtre Fabrice Di Vizio a salué ces joyeuses initiatives, précisant : «On rappelle que l’occupation temporaire et paisible du domaine public est légale ! Seul un comportement de nature à troubler l’ordre public est prohibé comme empêcher l’accès à une boutique ! Principe du pique-nique ! Donc à vos idées».

Parcs, jardins, marches du Sacré Coeur ou d’ailleurs… tant qu’il fait beau, envahissez le domaine public, pour vous retrouver entre bannis et solidaires et prouver au despote, suppôt de McKinsey, que son passe, vous n’en avez rien à faire!

Mitrophane Crapoussin, Riposte Laïque