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Incroyable ! Le préfet de Guadeloupe avant la conférence de presse dicte le ton à la directive de l’ARS, ne se sachant pas enregistré : « On adopte un ton grave et catastrophique ! »
— Florian Philippot (@f_philippot) August 3, 2021
La politique de la PEUR ! Indigne ! ⤵️ pic.twitter.com/ZglEsNzApG
Marseille : les soignants refusent la vaccination obligatoire et déposent un préavis de grève
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Dans l’attente de la décision du Conseil constitutionnel sur la loi sanitaire, les soignants continuent de crier leur colère contre la vaccination obligatoire. Alors qu’il y a encore quelques mois on les envoyait au charbon sans protections, en supprimant des lits pendant la pandémie, aujourd’hui ils se confrontent encore au « deux poids, deux mesures ». Nos soignants doivent se soumettre aux lois liberticides sous peine de se faire remercier par leurs patrons et de se retrouver sans salaire.
Covid-19: la colère de soignants marseillais contre la vaccination obligatoire pic.twitter.com/mumt2aH4f7
— BFMTV (@BFMTV) August 2, 2021
Media 4-4-2
Quand les associations communautaristes feignent de ne pas avoir vu, sur Instagram, l’appel au viol des femmes blanches par un Noir
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Sur les réseaux sociaux, le compte @blackingbbc a osé, mi-juillet, lancer l’horrible phrase arguant « C’est pas un viol si elle est blanche » avec, en image d’illustration, un homme noir effectuant une pression violente sur une femme blanche…
Ce message initialement publié sur Instagram a été relayé, via capture d’écran sur Twitter et Facebook et, fatalement, l’affaire a eu une résonance compréhensible au regard de la haine qu’il véhicule.
Or, donc, l’agression sexuelle d’une femme blanche par un homme noir n’est pas considérée dans certains petits esprits comme un viol ?
Or, donc, le fantasme du besoin de réparation des Noirs induit le droit à l’agression, à l’humiliation, que dis-je, au crime ?
Or, donc, l’appel à la violence, au crime et au racisme peut être relayé sans que cela ne dérange les objecteurs de conscience professionnels, les féministes et autres associations communautaristes ?
Un compte Instagram qui appelle au viol des femmes blanches par les hommes noirs.
— Collectif Némésis (@NemesisNemesi18) July 31, 2021
"ce n'est pas un viol si elle est blanche"#racisme #viol
➡️ Allez le signaler sur Instagram, ça prend 30 secondes.
Il est passé en privé suite aux nombre de signalements mais ne le loupez pas. pic.twitter.com/HnwZF1XSdp
On aurait voulu avoir les réactions de Marlène Schiappa, d’Élisabeth Moreno, de Caroline De Haas et de toute la smala fémino-gauchiste, mais on se contentera de la courageuse dénonciation faite par l’association Némésis, vous savez, ce collectif accusé d’accointances avec l’extrême droite car osant parler des agressions effectuées par les minorités…
Violer une femme, quelle que soit sa couleur, son origine ou autres, est un crime, en faire l’apologie l’est tout autant.
Le plus surprenant, dans cette affaire, est la passivité des réseaux sociaux, eux si prompts à sanctionner et suspendre des comptes de patriotes.
Verlaine Djeni, Boulevard Voltaire
Syrie : des musulmanes, combattantes de Daech, demandent à être déchues de la nationalité française
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«Nous ne voulons plus être français» : Les combattantes de Daech en Syrie renoncent à leur nationalité
Une lettre signée par «les émigrées françaises en Syrie», adressée au ministère de l’Intérieur, au ministère des Affaires étrangères et «à la France» a été diffusée sur Internet. Dans cette lettre, attribuée par Tore Hamming, docteur spécialisé dans l’étude du jihadisme, aux femmes ayant rejoint l’organisation terroriste Daech, les combattantes déclarent renoncer à leur nationalité française. «Nous ne voulons plus être françaises, alors prenez le bon choix, celui de nous déchoir», écrivent-t-elles.
Le long de la lettre, les femmes expliquent les raisons qui les ont fait rejoindre le groupe terroriste en Syrie, notamment leur «persécution» à cause de leur religion en France. «Comme des prisonnières, confinées dans les quartiers, on se cachait des regards et des agressions verbales. On se faisait rejeter ou juger à cause de nos vêtements ou de nos opinions ou de notre adhérence à la religion de l’islam». Dès lors les femmes déclarent avoir quitté la France sans intention d’y retourner. «Nous n’adhérons pas à vos lois ou à votre conception de la vie», indique la lettre.
[…]
L’article dans son intégralité sur Yabiladi
Des images d’un drone de Frontex montrent des gardes-frontières biélorusses faisant entrer des migrants clandestinement dans l’UE
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Frontex, l'Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, a été créée en 2004 pour aider les États membres de l'UE et les pays associés à l'espace Schengen à protéger les frontières extérieures de l'espace de libre circulation de l'UE.
Depuis juin, le régime du bélarussien Alexandre Loukachenko a fait venir par avion près de 4.000 migrants d’Irak, qui ont ensuite traversé clandestinement la frontière avec la Lituanie et sont entrés dans l’UE.
L’ancien ministre lituanien des Affaires étrangères Linas Linkevicius a qualifié lundi dans le BILD d’”acte d’agression hybride” et a appelé le gouvernement allemand à fournir “une assistance à la fois logistique et diplomatique“.
En conséquence, BILD a demandé au quartier général du gouvernement à Berlin comment il évaluait la situation à la frontière entre le Belarus et la Lituanie. Le ministère des Affaires étrangères a alors réagi de manière inhabituellement vive et a condamné à la fois les actions de M. Lukashenko et celles de la compagnie aérienne irakienne concernée.
En réponse à une enquête du BILD, le ministère des affaires étrangères a déclaré : “Le régime biélorusse abuse des personnes dans le besoin à des fins politiques. L’Allemagne et l’UE condamnent expressément ce comportement des dirigeants de Minsk. Le trafic actif et ciblé de personnes à travers la frontière vers la Lituanie est dirigé contre l’ensemble de l’UE.“
Actuellement, le gouvernement allemand envoie “du personnel allemand en Lituanie dans le cadre de la protection des frontières extérieures de l’UE” afin de soutenir le pays “sur le plan politique et pratique”.
En ce qui concerne “Iraqi Airways“, à qui la Lituanie a demandé à plusieurs reprises au cours des deux derniers mois, en vain, de cesser ses vols de contrebande vers le Belarus, le ministère des affaires étrangères à Berlin a déclaré que le gouvernement allemand était “en contact avec la partie irakienne dans le but de mettre fin à l’abus des liaisons aériennes existantes entre Bagdad et Minsk (Capitale de la Biélorussie)”.
#Breaking
— Julian Röpcke (@JulianRoepcke) August 2, 2021
The first-ever flight from Sulaymaniyah (Iraq) – a Boeing 737-800 with presumably 180 irregular migrants onboard – is approaching Minsk – of course taking a detour via Russian air space.
It is part of Lukashenko's and Putin's war against the European Union.#PutinAtWar pic.twitter.com/vJLrkZVPAC
Toutefois, ces efforts semblent avoir peu d’effet jusqu’à présent. Hier encore, lundi, “Iraqi Airways” s’est envolé pour la Biélorussie. Pas depuis Bagdad, comme auparavant, mais pour la première fois depuis Sulaymaniyah, dans la région autonome kurde. La compagnie aérienne a évité les espaces aériens européen et ukrainien et a survolé la Russie afin de faire passer des réfugiés présumés au Belarus sans être dérangée.
Mardi encore, un Boeing 747-400 de plus de 400 places s’est rendu de Bagdad à Minsk en survolant l’espace aérien russe. La Russie de Poutine est considérée comme le plus proche et le seul allié du régime de Loukachenko et est donc probablement au courant de ses attaques “hybrides” et inhumaines contre l’UE.
Un drone de Frontex filme des passeurs d’État au travail
Les activités de contrebande de M. Lukashenko est démontrée par des images de drone publiées mardi par l’agence européenne des frontières Frontex.
Elles montrent des gardes-frontières biélorusses escortant des groupes de réfugiés dans leurs jeeps opérationnelles depuis les routes goudronnées le long de la frontière vers des sentiers qui mènent directement au pays voisin de l’UE, la Lituanie. Quelques mètres avant la frontière verte, les prétendus gardes-frontières se retirent et laissent le groupe d’environ 25 personnes, dont plusieurs enfants, parcourir seuls les derniers mètres vers l’UE.
En outre, les gardes-frontières lituaniens ont publié des images montrant des gardes-frontières biélorusses en train de démanteler les clôtures de barbelés entre les deux pays. Les Lituaniens soupçonnent que cette mesure vise également à faciliter le franchissement illégal de la frontière par les réfugiés d’Irak et de pays majoritairement africains.
En Lien :
Pression migratoire : l’UE toujours fragilisée par ses désaccords, la Lituanie soumise au chantage par la Biélorussie – https://t.co/QVfCG3lWi8 pic.twitter.com/V9j5ui0zGX
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) August 3, 2021
Lituanie : les habitants dans la rue pour protester contre les arrivées massives de migrants – https://t.co/Z5xfx7wD2G pic.twitter.com/AEXq2fIISI
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) July 30, 2021
Afflux de migrants du Bélarus vers la Lituanie : « Ils ne nous laissent pas vivre en paix. Ils ont décidé d'envahir notre petit village. Il y a plus de migrants ici que de locaux », dénoncent les habitants https://t.co/zQw1RqpbA5 pic.twitter.com/addPFs1e7M
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) July 30, 2021
La Lituanie adopte un projet de loi autorisant la détention de migrants – https://t.co/dewJUFAr4p pic.twitter.com/PUwXQYXQgH
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) July 14, 2021
La Lituanie va construire un mur le long de sa frontière avec la Biélorussie, pour se protéger des migrants (MàJ) – https://t.co/BlwRJMxy1A pic.twitter.com/BW3efkeFib
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) July 9, 2021
Paris : vue aérienne de la manifestation du 31 juillet 2021 contre le Pass sanitaire
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Paris – Vue aérienne de la #manif31juillet
— Florent Chenu (@florent_chenu) August 1, 2021
On peut se rendre compte que la vérité ne vient pas des médias mainstream fake news qui annoncent une fois de plus 14250 personnes à Paris…
Ils mentent et ça se voit… pic.twitter.com/Zw0Zk9osmE
Merci à Media 4-4-2
Nantes. Les fusillades reprennent de plus belle, un blessé grave au CHU
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La nuit du 1er au 2 août a été marquée par trois règlements de comptes entre gangs de la drogue nantais, au cours desquels un blessé – grave, à la poitrine – a été transporté au CHU où il est toujours hospitalisé. Il s’agit des 28e, 29e et 30e fusillades de l’année.
Le premier épisode, sans surprise, a frappé les abords du Building aux Dervallières, cet immeuble de grande hauteur gangrené par le trafic de stupéfiants – et auprès duquel les balles ont déjà sifflé une dizaine de fois depuis le début de l’année. Il y a aussi eu un mort en janvier dernier, un adolescent de quinze ans – les commanditaires présumés de la fusillade, qui proviennent du quartier, viennent d’être mis sous les verrous, ce qui a provoqué une série d’incendie de véhicules aux abords de l’immeuble.
Le dernier épisode, le 4 juillet – 27e fusillade de l’année – s’était déjà déroulé aux Dervallières, au 38 rue Watteau. Cette fois, c’est à 23 heures au niveau du 8, rue Watteau, le 1er août, que les balles ont sifflé. Un étui a été retrouvé face à l’immeuble, une autre balle a perforé le chambranle d’une porte et un volet dans l’immeuble voisin. Deux autres étuis ont été retrouvé sur le bitume de la rue, un peu plus haut. Aucun blessé n’a été signalé.
Vers une heure du matin le 2 août, des détonations éclatent en série rue de la Mayenne à Bellevue. Un homme blessé a été signalé en train d’être mis dans une voiture – un blessé grave à la poitrine a été transporté au CHU par deux personnes qui ont confié qu’il avait été blessé par des coups de feu à Bellevue, avant de s’éclipser. Sur place, une voiture a été retrouvée criblée de huit impacts, et des tirs auraient visé des groupes de jeunes gens.
Par ailleurs un échange de tirs a aussi été signalé vers 2h15 quai Emile Cormerais à Saint-Herblain – sur place, aucune trace de sang n’a été trouvée. Il s’agit de la 30e fusillade de l’année. Et le mois d’août commence à peine.
[cc] Breizh-info.com
Passe sanitaire contesté dans son propre camp : la crédibilité d’Emmanuel Macron mise à mal
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Frédéric Sirgant, Boulevard Voltaire
Apostrophé par un passant, Mélenchon le traite de « connard » et ordonne de lui « péter la gueule »
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Samedi 10 juillet, place de l’Hôtel de ville de Paris, Jean-Luc Mélenchon a été apostrophé par un passant qui voulait prendre une photo avec lui. Face à l’insistance de ce dernier, le député LFI a demandé à son collaborateur de “lui péter la gueule”. Valeurs actuelles a pu se procurer les images de cette scène, qui a été filmée par le passant.
La scène se déroule samedi 10 juillet sur le parvis de l’Hôtel de Ville, dans le 1er arrondissement de Paris, aux abords du centre de vaccination éphémère, installé pour l’été. Un homme qui, d’après nos informations, rencontrait Jean-Luc-Mélenchon pour la première fois, a demandé au député de la France insoumise s’il pouvait prendre une photo avec lui, peu après être sorti comme lui du métro. Très vite la situation s’est tendue face au refus brutal de Jean-Luc Mélenchon, puis à l’insistance du passant, interloqué. Une première séquence montre le leader de la France insoumise, vêtu d’une veste et chemise noires, exprimer son refus, avant qu’un autre homme, qui l’accompagne et qui serait l’un de ses collaborateurs parlementaires, justifie ce refus par la crainte d’un « attroupement ».
Pas de quoi pour autant freiner l’ardeur du cameraman qui déclare qu’avec la police « il n’y a pas de problèmes pour faire des photos ». Un propos qu’il réitère à plusieurs reprises et qui, selon nos informations, fait allusion aux positions politiques du député, fervent défenseur du droit de filmer et de diffuser les visages des policiers sur les réseaux sociaux, même avec des intentions malveillantes. L’homme, qui filme la scène, surpris par la virulence de Jean-Luc Mélenchon, assure avoir voulu le mettre face à ses contradictions. Mais sans penser que la situation dégénérerait à ce point, comme le montrent les séquences qu’il a filmées et dans lesquelles son visage a été flouté et sa voix modifiée par nos soins afin de préserver son anonymat.
Face à l’insistance de l’inconnu, le député insoumis finit par répondre de plus en plus sèchement, jusqu’à le traiter de « connard » avant de lui demander de « dégager ». « Ce n’est pas la peine de m’insulter ! », s’indigne l’auteur de la vidéo, qui se voit répondre sur un ton colérique et menaçant : « Ce n’est pas la peine de m’emmerder, t’as compris », puis encore « tu m’emmerdes ».
Une seconde séquence, que nous avons pu nous procurer, montre la suite de l’échange. Celui-ci se déroule devant le centre de vaccination où Jean-Luc Mélenchon (qui s’est dit vacciné le 26 juillet dernier) a très probablement reçu une dose du vaccin Pfizer-Biontech, le seul injecté par ce centre. Cette deuxième séquence débute par un échange plus apaisé entre le collaborateur de Jean-Luc Mélenchon et l’auteur de la vidéo. Le premier, qui tente de faire barrage, déclare au second sur un ton pédagogue : « Si quelqu’un vient te demander une photo dans la rue, tu n’es pas obligé de dire oui. » Ce qui ne convainc pas le cameraman qui persiste à vouloir comprendre la raison de ce refus, d’autant que « c’est juste une photo, il n’y a rien de méchant ! ».
Le passant n’a pas eu sa photo
Un nouvel accès de colère s’empare de Jean-Luc Mélenchon. Alors qu’il s’apprête à rentrer dans le centre de vaccination et qu’il répète « dégage ! » à deux reprises, le député LFI revient finalement vers l’auteur de la vidéo et lui déclare « qu’il ne lui doit rien » et « qu’il ne le connait pas » avant d’ordonner à son collaborateur qui tente de maîtriser la situation : « Pète-lui la gueule ! » « Me péter la gueule ? Me péter la gueule ? » s’indigne le passant, avant que la vidéo ne prenne brutalement fin.
VA