Chiffres effrayants : Macron a fait de la France le pays le plus dangereux d’Europe

Spread the love

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Déferlement de violence et de  haine : un dernier bilan dramatique.

Macron fait de la France le pays le plus dangereux d’Europe, c’est incontestable.

Alors que le naufrage économique et identitaire est total, Macron, plus arrogant et prétentieux que jamais, ferait mieux de sauver la France au lieu d’aller humilier les dirigeants libanais devant les caméras du monde entier.

Jamais la France n’aura connu Président plus irresponsable et immature. Macron coule littéralement le pays, sachant très bien que l’immigration de masse interdit tout redressement économique.

Aucune politique ne peut réussir avec un tel ensauvagement de la société. Cette destruction de la nation est programmée.

Le dernier bilan sécurité livré par la police et la gendarmerie pulvérise tous les records précédents, tant notre pays sombre dans la violence et le non-droit.

Darmanin découvre l’eau chaude en déclarant que “la France est malade de son insécurité”.

Non, Monsieur le ministre, la France est tout simplement en train de crever de l’immigration et de la barbarie importée !

Depuis des années, le pouvoir ne sait que déplorer la violence, usant des mêmes mots insipides et faisant les mêmes promesses sans lendemain.

Chaque acte de sauvagerie est “sévèrement condamné”, avec les mêmes mots qui reviennent en boucle : “inacceptable”, “intolérable”, “inexcusable”, “impardonnable”,”insupportable”.

On nous promet des sanctions exemplaires, mais la plupart des coupables sont aussitôt libérés faute de place dans les prisons, mais surtout parce que les juges répugnent à appliquer le Code pénal.

Malgré l’explosion des violences et de la criminalité, le pouvoir rejette toute politique de répression, pourtant la seule que comprenne la racaille sans foi ni loi.

Avec 2,2 millions de détenus, les États-Unis ont proportionnellement dix fois plus de criminels incarcérés que la France.

Ce qui n’empêche pas Dupond-Moretti de se réjouir de voir nos prisons se vider, en libérant 13 000 prisonniers, dont de nombreux fichés “S” radicalisés.

La seule politique répressive qui soit menée sans faiblir, c’est celle à l’encontre des policiers, systématiquement présumés coupables à chaque incident.

Neuf fois sur dix, les racailles multirécidivistes, quant à elles, ont droit à un simple rappel à la loi.

Les chiffres des 12 derniers mois ( source Figaro )

959 homicides

265 416 faits de coups et blessures volontaires

7 196 vols avec arme

68 657 vols violents sans arme

539 372 dégradations et destructions volontaires.

Policiers et commissariats attaqués, prisons arrosées à la kalachnikov, véhicules de police incendiés, il y a bien longtemps que policiers et juges ne font plus peur.

Dans le passé, la racaille changeait de trottoir face à une “hirondelle” à vélo. De nos jours, elle recherche l’affrontement.

Insultés, molestés, menacés, agressés, les policiers ne représentent plus l’autorité de l’État, mais symbolisent la soumission de l’État. Partout, l’ordre est à la résignation. Pas de stigmatisation, pas de provocation, pas de zèle superflu, par peur d’une émeute.

Bilan des 12 derniers mois :

24 000 refus d’obtempérer, conduisant parfois à la mort violente et barbare d’un membre des forces de l’ordre

28 558 outrages à dépositaires de “l’autorité publique”

36 043 violences contre policiers et gendarmes, soit 100 par jour !

En 2019, 11 217 policiers et gendarmes ont été blessés en mission, soit 30 par jour, avec un bond de 12 % depuis 2017.

La haine et la culture anti-flics s’enracinent chez les jeunes des cités. “ACAB”, tous les flics sont des salauds, reste le cri de ralliement des racailles.

C’est tout le pays qui s’effondre, livré à la loi du plus fort, en détruisant le quotidien des Français.

Il n’y a plus de sanctuaire où les bobos puissent se réfugier pendant que le petit peuple crève de peur dans l’indifférence générale. C’est fini, les beaux quartiers seront gangrenés sous peu.

Le mal est si profond et la lâcheté des gouvernants est telle que beaucoup se résignent, en disant qu’il faut apprendre à vivre avec la violence, comme en Amérique du Sud.

L’opposition, RN compris, est aux abonnés absents.

Aucun parti ne propose de solution crédible.

Qui osera toucher au portefeuille des familles, dès la première incartade à l’école ?

Qui osera supprimer à vie le social aux récidivistes ?

Qui décidera de construire 50 000 places de prison ?

Qui rendra aux policiers leur autorité sans faille ?

Qui osera imposer des peines plancher sévères, dès la première récidive ?

Qui osera durcir la législation concernant les mineurs, qui chassent en meute et deviennent de plus en plus dangereux ?

Qui osera supprimer la double nationalité et le droit du sol ?

Qui osera restaurer le droit à la légitime défense ? Quand la victime se défend, la justice donne systématiquement raison à l’agresseur.

Qui osera rétablir le droit de propriété, systématiquement violé pour protéger les squatteurs ?

C’est la brasse coulée, la démission, le renoncement permanent.

On apprend aux pompiers à se protéger des “incivilités”, mais on ne sanctionne jamais les agresseurs.

Les enseignants, les personnels soignants, les commerçants, sont livrés à eux-mêmes.

On crée des numéros verts, des cellules de soutien psychologique. Les malfrats rigolent !

Ces derniers sont toujours plus protégés, excusés, défendus, victimisés, pendant que les forces de l’ordre sont diabolisées et que le racisme anti-flics se banalise.

Pourtant, avec un leader à poigne, il faudrait six mois et pas un de plus, pour renverser la donne et faire en sorte que la peur change de camp.

Rendons l’autorité à nos policiers et imposons aux juges une application sévère du Code pénal et tout  ira mieux.

Mais pour cela, il faut d’abord que le peuple porte au pouvoir un homme fort et courageux, bien décidé à restaurer l’autorité de l’État sans états d’âme.

Le général Antoine Martinez me paraît être cet homme-là. Son programme, du moins en ce qui concerne l’immigration et la sécurité, est un véritable arsenal salvateur, capable de mettre au pas  les hors-la-loi et de rendre l’État  plus fort et davantage craint, puisque la racaille  ne respecte que la force.

Tout n’est qu’une question de volonté et de courage politique.

Nul doute que ce candidat serait à même de mener l’indispensable politique à poigne qui sauvera le pays. L’heure n’est plus aux jérémiades de Bisounours mais au réveil national, avant le naufrage irréversible de la nation.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *