Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose (Francis Bacon 1561-1626). Cette devise semble être le parangon de la communication du Hamas en particulier et de la oumma musulmane en général.
La nuit dernière, vers 6 h 20 un tir raté du Djihad islamique est tombé sur l’hôpital Al-Ahli à Gaza et le Hamas, s’étant rendu compte que cette roquette du djihad avait touché l’hôpital, a lancé une campagne diffamatoire à l’encontre d’Israël en lui imputant la responsabilité de cette explosion.
Non seulement ce tir raté du Djihad islamique est en soi une catastrophe délibérément provoquée, puisque les missiles sont lancés d’un cimetière attenant à cet hôpital mais de surcroît, en retombant, ce missile est tombé sur un dépôt de munitions qui se trouvait, et ce n’est pas la première fois, à l’intérieur de l’hôpital. C’est l’explosion des munitions du dépôt de munitions qui a provoqué l’explosion mortelle.
La oumma musulmane n’a pas attendu les résultats d’une quelconque enquête pour condamner Israël et la presse collaborationniste, en dépit des preuves accablantes contre le Djihad islamique, a relayé complaisamment des imputations mensongères du Hamas sans rechercher plus loin l’imputabilité de la situation.
Pourtant les preuves de la responsabilité du Djihad islamique dans cette explosion sont objectivement rapportées, telle que cet échange téléphonique avec les membres du Djihad islamique qui constitue en soi une preuve suffisante.
Extraits :
Transcription de la conversation sur l’échec du lancement effectué par l’organisation terroriste du Djihad islamique sur l’hôpital (interceptée par l’armée israélienne) :
— Mais je vous le dis, c’est la première fois qu’on voit un tel missile et un tel shrapnel, donc je vous dis que ça vient du Jihad islamique !
— Quoi ?
— On dit que c’est celui du Jihad islamique !
— Est-ce que ça vient de nous ?
— Probablement de nous, oui !
— Qui dit ça ?
— Ils disent que c’est un éclat de missile, un éclat d’obus local, pas comme un éclat d’obus israélien.
— Que disent-ils là-bas ?
— Cela vient de nous, ce qui a explosé à l’hôpital !
(…)
— Ils ont couru derrière le cimetière pour tirer la roquette…
— Quoi ?
— Apparemment, ils l’ont lancée depuis le cimetière derrière l’hôpital et il s’est avéré qu’elle est tombée en panne.
— Y a-t-il un cimetière derrière ?
— Oui, nous sommes sur les lieux !
— Où se trouve-t-il exactement lorsque vous entrez sur la place ?
— En entrant sur la place, vous ne continuez pas dans la ville, mais sur le côté droit se trouve l’hôpital.
L’un des terroristes a admis : “Apparemment, ils ont lancé depuis le cimetière derrière l’hôpital, et il s’est avéré qu’il est tombé en panne et est tombé sur eux”…
Des vidéos, également diffusées par Al Jazeera, que l’on ne peut soupçonner d’être porte-parole d’Israël, montrent la chute du missile sur l’hôpital, et ce n’est pas la seule vidéo.
Pourtant, la presse, telle que la BBC ou BCWorld ont automatiquement accusé Israël, faisant une foi aveugle aux accusations du Hamas.
À la suite des enquêtes de Tsahal réfutant les accusations du Hamas, la BBC a réclamé des preuves, alors que tout journaliste digne de ce nom procède lui-même aux investigations sans se fier aux déclarations officielles, mais plus grave encore, ces preuves ne sont pas exigées du Hamas.
Les médias sont devenus conspirationnistes et on ne peut que le déplorer au regard des conséquences qui en résultent. Ainsi, les soulèvements populaires de la rue arabe, en Tunisie, la synagogue de Gabes a été incendiée et il est à craindre que cela ne soit que le début des exactions de ce monde musulman, lequel est complaisamment relayé en Occident, comme ce cocktail Molotov lancé contre une synagogue à Berlin, sans faire, heureusement, de dégâts, mais quel symbole !
Au Moyen Âge on accusait les Juifs d’empoisonner les puits et d’utiliser le sang des chrétiens pour confectionner le pain azyme, prétextes à pogroms. Aujourd’hui on accuse Israël, et par voie de conséquence les Juifs, de fomenter des carnages dont la responsabilité incombe à la oumma musulmane.
En tout, ce sont déjà 450 roquettes tirées depuis la bande de Gaza qui sont retombées sur ce territoire, tuant des civils. Et ensuite, le Hamas accuse Israël (donc les Juifs), et les médias internationaux reprennent ces calomnies antisémites fabriquées par une organisation de nazis musulmans !
L’histoire bégaie, mais Israël existe et il n’en sera plus de même désormais, et la bave du crapaud n’atteindra pas la blanche colombe.
Nous allons transformer Gaza en “îlots de ruines”, a dit Netanyahou. Plus facile à dire qu’à faire.
Israël a mené toutes ses guerres depuis 1948 avec le minimum de pertes, la technologie et la supériorité de Tsahal ayant toujours fait la différence sur le terrain, jusqu’en 2014, lors de l’opération Bordure protectrice.
Mais l’ennemi de 2023 n’est plus celui de 2014. Entraîné et équipé par l’Iran, fanatisé comme jamais, le Hamas est devenu une force de combat redoutable, prête à affronter Tsahal dans une guerre urbaine, avec tous les pièges et les mauvaises surprises qu’on peut attendre. Le pire des scénarios pour les assaillants, avec la menace pouvant venir de tous côtés, depuis les toits des immeubles jusqu’aux tunnels. Il n’y a pas combat plus stressant.
On dit que le rapport des forces en combat urbain doit être de 8 à 10 attaquants pour 1 défenseur. Tsahal, avec 180 000 soldats et 360 000 réservistes rappelés, possède les effectifs nécessaires, pour affronter les 20 000 ou 40 000 combattants du Hamas. Elle a aussi les équipements terrestres et aériens en nombre suffisant.
Mais un pays de 9 millions d’habitants en guerre perpétuelle, peut-il se permettre de perdre des centaines de soldats ? Peut-il se permettre de mener une guerre longue qui mobilise ses forces et pénalise son économie ?
Pour Scott Ritter, une invasion de Gaza serait dévastatrice pour l’armée israélienne.
“Si les Israéliens entrent dans Gaza, que feront-ils ? Je vais être très franc maintenant : ils vont mourir. Ils mourront en nombre que les Israéliens n’ont jamais vu auparavant. Et l’armée israélienne le sait. Pourquoi n’y sont-ils pas encore allés ? Parce qu’ils savent ce qui va se passer. Le Hamas les attend. Le Hamas est prêt à les accueillir. L’Iran a proposé au Hamas : les gars, si vous avez des ennuis, nous viendrons. Et le Hamas a répondu : Chef, je vous comprends. Mais nous sommes prêts. Nous n’avons pas besoin de votre aide. Nous ne voulons pas d’elle. Le Hamas attire les Israéliens dans un piège mortel à Gaza. Et c’est ce qui arrivera à l’armée israélienne lorsqu’elle entrera dans Gaza : elle sera détruite.”
Il n’a pas tort. Si les bombardements aériens à raison de 1 000 bombes par jour, font des dégâts majeurs sur les infrastructures militaires du Hamas, une invasion terrestre serait une entreprise hautement périlleuse, longue et coûteuse en personnels. On n’avance pas en terrain truffé de mines et de pièges comme en rase campagne.
Je ne suis pas un spécialiste du combat urbain, mais il me semble que pas un seul char ou un seul blindé ne devrait résister aux missiles antichars portés par des centaines de fantassins du Hamas, débouchant d’un tunnel ou tirant du haut d’un toit. Idem pour les hélicoptères. Et j’imagine que les Iraniens ont largement équipé le Hamas de ces missiles portables.
Je ne doute pas du savoir-faire de Tsahal. Je ne doute pas que cette armée réputée se soit parfaitement entraînée dans le “mini Gaza”, cette reproduction du milieu urbain, avec 500 bâtiments et des tunnels pour enseigner le combat de rue. Je ne doute pas que les robots et les bombes surpuissantes puissent faire des merveilles dans la destruction des tunnels. Je ne doute pas que les drones seront un atout précieux dans cette guerre. Mais il me semble qu’un siège de Gaza serait une moins mauvaise solution qu’une invasion.
Évacuation des civils sur l’Égypte, bombardements ciblés et siège de Gaza éviteraient un bain de sang.
Nous verrons bien quel choix sera fait par le gouvernement israélien et son état-major.
Il est évident que le risque d’escalade n’est pas nul, avec le Hezbollah libanais ou l’embrasement de la Cisjordanie qui diviseraient les forces de Tsahal. Sans parler d’un engagement de Téhéran dans le conflit.
Tout cela doit être mené dans le souci de sauver les otages autant que faire se peut. Un pari titanesque, à moins de les monnayer contre les 4 500 prisonniers palestiniens détenus par Israël.
Et quand les terroristes seront éliminés, que fera Israël ? Car après la guerre, il faudra bien une stratégie de long terme, même si un conflit qui s’éternise depuis 1948 ne se règlera pas en liquidant le Hamas.
Une réoccupation de Gaza comme avant 2005 ? Ce qui ferait 4 millions de musulmans sur 11 millions d’habitants au sein de ce nouvel Israël ? Mauvais choix.
Ou un retour à la case départ, en attendant la prochaine guerre ? Mauvais choix également.
Il est clair que le Moyen-Orient n’est pas près de s’apaiser, tant que le droit à l’existence d’Israël ne sera pas reconnu de toute la planète, sans aucune exception.
C’est la première délégation étrangère à se rendre en Israël depuis le drame du 7 octobre. Cette mission parlementaire de trois jours, composée de 10 députés (non-inscrits, LR, Renaissance, Horizons) et de l’ancien Premier ministre, Manuel Valls, a démarré lundi. Au programme : visite d’un hôpital, de l’ambassade, de la Knesset, du ministère de la Défense, rencontre avec des familles endeuillées… Une mission bouleversante dont on ne revient évidemment pas indemne, mais avec le devoir de témoigner nous raconte Véronique Besse, députée de la Vendée (NI) qui fait partie du voyage.
Iris Bridier. Quel est le but de cette mission parlementaire en Israël ?
Véronique Besse. Nous sommes dix députés, pratiquement tous membres du groupe d’amitié France-Israël, ainsi que l’ancien Premier ministre Manuel Valls qui nous accompagne. Cette mission a trois objectifs : aller sur place pour constater ce qui s’est passé le 7 octobre, pour ensuite apporter notre soutien et la solidarité de la France au peuple israélien, et enfin, pour témoigner à notre retour en France.
I.B. Qu’avez-vous vu sur place ?
V.B. Nous avons eu une journée très éprouvante sur le terrain qui a commencé par la visite d’un camp militaire qu’on appelle Shura. Ici sont déposés les corps qui n’ont pas encore été identifiés. 317 corps dans des containers attendent qu’on vienne les chercher.
Nous nous sommes ensuite rendus dans le kibboutz de Kfar Aza qui a été décimé. Là, 79 personnes ont été tuées méticuleusement. Les terroristes sont entrés dans les maisons en pleine journée, et ont fauché les gens dans leur vie quotidienne. Ils ont égorgé, violé, brulé leurs victimes. Sur place, il n’y a plus personne, mais l’on perçoit cette vie calme qui y régnait par la présence du linge qui sèche ou des jeux d’enfants qui trainent encore. C’est assez impressionnant, la vie s’est arrêtée. On sent une odeur de mort, et on imagine le massacre qui s’y est déroulé, à 2 kilomètres seulement de la bande de Gaza et à une heure de Tel Aviv. C’est vraiment tout près, et vraiment l’horreur.
Nous nous sommes ensuite rendus à Sdérot qui est la plus proche ville de Gaza, qui comptait 40.000 habitants, et est devenue aujourd’hui une ville fantôme. Ils ont complètement détruit le commissariat, ils ont tué 20 gendarmes, la population a fui par peur.
Visite du kibboutz Kfar Aza décimé. 79 personnes sont mortes, fauchées dans leur vie quotidienne. Les terroristes ont été méticuleux dans l’horreur. pic.twitter.com/zQ6rCh0fkn
V.B. Nous avons dialogué avec des familles d’otages, ce qui a été aussi un moment assez difficile. Il s’agit d’otages franco-israéliens. Ce sont des familles qui sont sans nouvelles de jeunes filles qui dansaient à la rave-party. Parmi les otages : un bébé de six mois, des enfants de 3-4 ans, le petit garçon de 12 ans qui a été médiatisé. Sa maman nous expliquait que son fils a été enlevé sur une moto, que son mari a été blessé, qu’elle avait été enlevée aussi sur une moto avec son bébé et une autre petite fille, que leur moto est tombée et qu’elles ont pu fuir. Pendant cette rencontre, un garçon est sorti pour un appel téléphonique, on lui apprenait que sa sœur venait d’être retrouvée morte. Les otages ont entre 6 mois et 87 ans. C’est digne des films les plus sordides, c’est une barbarie, ce sont des terroristes épouvantables, les histoires qu’on nous relate sont horribles et les témoignages poignants. Nous voulions les assurer du soutien de la France.
I.B. Dans quel état d’esprit se trouvent ces familles que vous avez côtoyées ?
V.B. Elles sont dans l’espérance. Ces personnes veulent d’abord retrouver leurs familles. Elles ne sont pas du tout dans la haine, mais dans l’attente, dans la résilience. Elles attendent énormément de la France.
I.B. Avez-vous rencontré des élus ?
V.B. Nous avons rencontré nos collègues de la Knesset. Les députés israéliens nous ont expliqué, sans rentrer dans le détail pour des raisons de sécurité, comment ils envisagent de rétorquer : cela va être violent. Ils comptent aussi beaucoup sur l’appui de la France. On a à faire à un islamisme radical qui compte vraiment mettre toutes les démocraties en danger. Ils savent que cela va être dur, que cela va être sanglant, mais ils sont déterminés à éradiquer le Hamas.
Visite d’un hôpital à Tel Aviv; un parking souterrain a été transformé pour accueillir les blessés et les protéger d’éventuels bombardements. pic.twitter.com/mTvp6y3lUe
I.B. Quel doit être selon vous le rôle de la France dans ce conflit ?
V.B. La France doit d’abord tout faire pour que les otages soient libérés, sans concessions, sans transactions. Et le rôle de la France est d’être physiquement aux côtés d’Israël. Le président de la République devrait venir le plus tôt possible pour montrer son amitié et son soutien au peuple israélien. Ce qui se passe chez nous, entre Arras, Bruxelles et ce qui va se passer dans les jours à venir car malheureusement cela va continuer, c’est la même chose. Donc la polémique n’a pas lieu d’être. Ceux qui ne veulent pas reconnaitre ce qui s’est passé sont des irresponsables. Le Hamas doit être condamné de toutes nos forces, et la France doit prendre des décisions très fermes. Il faut éradiquer tous les terroristes et que les fichés S repartent dans leur pays d’origine.
I.B. Alors justement, quelles seront les suites à l’Assemblée nationale de cette mission parlementaire ?
V.B. Nous avons vu et entendu des choses bouleversantes. Donc autant dire que nous sommes très déterminés. On ne peut pas rester insensibles. Il y a un avant et un après pour nous. Tant que vous n’êtes pas allés sur place, vous ne pouvez comprendre que partiellement ce qui s’est passé. Nous allons demander un rendez-vous à Yaël Braun-Pivet, la présidente de l’Assemblée, afin de lui faire des propositions. La loi immigration va arriver, il faut qu’elle soit très dure, c’est ce que les Français attendent. Enfin, nous allons mener un certain nombre d’opérations pour sensibiliser au plus au haut sommet de l’Etat. Il faut que cela bouge car le lien avec ce qui se passe en France est évident, et ce terrorisme islamique arrive chez nous à grands pas…
Samedi 14 octobre vers 16 heures, à Argenteuil, l’hôpital Victor Dupouy a passé un petit coup de fil à la police : un individu extérieur à l’établissement s’était introduit dans le service de gériatrie. Il avait fort heureusement été maîtrisé par le service de sécurité alors qu’il sortait de la chambre d’une patiente de 93 ans, en état de démence, et – last but not least – on avait retrouvé du sperme sur les draps de la vieille dame. Une autre patiente du même service, de 95 ans celle-là, avait également signalé un viol par le même homme. Lors de sa garde à vue, Samir B., 44 ans, avait reconnu les faits. Deux jours plus tard, présenté à un(e) juge, il n’avait finalement été mis en examen que pour le second viol. Le premier, malgré la présence d’ADN, n’était pas caractérisé, semble-t-il, et pour cause : non seulement la pauvre vieille dame avait perdu la tête, mais, pour comble de sordide, elle était morte le soir même de ce viol (présumé, bien sûr, n’allons pas plus vite que la musique).
Samir B. était apparemment un incorrigible romantique, puisqu’il était déjà connu de la justice pour des faits d’agression sexuelle. Seulement voilà : malgré les réquisitions du parquet, qui demandait son maintien en détention jusqu’à son procès, Samir le violeur est ressorti libre, sous un hypothétique contrôle judiciaire, dans l’attente de son procès qui aura lieu le 16 novembre. Non, vous ne rêvez pas : il est libre depuis ce lundi. Il est chez lui.
“En même temps”, la police a embarqué cette semaine de sympathiques militants français qui avaient pour seul tort d’avoir affiché une banderole de soutien aux Boers d’Afrique du Sud, le soir du match de rugby contre la France. Les Boers sont victimes de ce qu’on pourrait qualifié de génocide, dans l’indifférence du monde, puisqu’il sont blancs. Des fermiers souvent âgés sont battus à mort par des sauvages et leurs femmes, souvent âgées elles aussi, sont… violées. Tiens donc. Le viol est-il, ici comme là-bas, une arme de terreur ?
Faudra-t-il se saisir de cette affaire, qui devient “systémique”, comme on dit en Macronie ? La femme de 93 ans était née en 1930, si l’on fait le calcul. Adolescente à la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle a survécu à tous les tourments du siècle, tout ça pour qu’au soir de sa vie, la raison l’ayant déjà quittée, elle meure violée dans un hôpital de banlieue par Samir B. qui avait une petite préférence pour les femmes mûres et attachait peu d’importance à la question du consentement. C’est la France pour laquelle les gens ont voté : une France dans laquelle des monstres violent des vieilles dames jusqu’à la mort et retournent chez eux. Que chacun en tire les conclusions qu’il voudra.
Daniel Cohn Bendit, Frédéric Mitterrand, Michel Pollac, Thierry Lévy, avocat, Gabriel Matzneff, Frédéric Beigbeder, Olivier Duhamel, Roman Polanski, Woody Allen, et beaucoup d’autres avouent leurs penchants, revendiquent leurs goûts pour la pédophilie, on devrait dire la pédocriminalité. Toutes leurs déclarations publiques confirment ce propos. Tout le monde savait qu’Olivier Duhamel se livrait à de tels actes. Mais la famille Duhamel est intouchable, la pédocriminalité est un sujet tabou. Cette abomination refait surface périodiquement. Depuis mai 68, des intellectuels militent contre la famille, pour le lobby LGBTIQ, pour la théorie du genre, et souhaitent légaliser la pédocriminalité.
26 janvier 1977 : 69 intellectuels français signent un article publié dans Le Monde et dans Libération, pour défendre trois hommes en détention préventive depuis trois ans car accusés d’attentat à la pudeur contre des mineurs de moins de quinze ans. Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien, et Jean Burckhardt ont eu des rapports sexuels avec des filles et des garçons de 13 et 14 ans. Il s’agit d’une pétition pro-pédophilie. Les faits auraient ou ont eu lieu au Camping Club de France de Meudon. Parmi ces signataires, Jean-Paul Sartre, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Gilles et Fanny Deleuze, Francis Ponge, Philippe Sollers, Jack Lang, Bernard Kouchner, Louis Aragon, André Glucksmann, François Châtelet, Félix Gattari, Patrice Chéreau, Daniel Guérin, Gabriel Matzneff, Guy Hockenghem, romancier, journaliste, et membre fondateur du FHAR, Front homosexuel d’action révolutionnaire. « Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit », écrivent-ils. Les parapheurs demandent l’acquittement des trois hommes car les enfants n’ont subi aucune violence et étaient consentants. 23 mai 1977 : 80 intellectuels français signent un appel à la commission de révision du code pénal demandant la modification des textes régissant les rapports entre adultes et mineurs. Ils demandent que de telles affaires soient jugées par un tribunal correctionnel, et non par une cour d’assises. Et que la loi décriminalise les rapports sexuels entre les adultes et les enfants de moins de quinze ans. Parmi eux, Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Jacques Derrida, Philippe Sollers, Jack Lang.
Juin 1978 : René Schérer, professeur d’université (1922-2023), écrit dans Libération : « L’aventure pédophilique vient révéler quelle insupportable confiscation d’être et de sens, pratiquent à l’égard de l’enfant les rôles contraints et les pouvoirs conjurés ». Les intellectuels posent clairement la question de la sexualité de l’enfant et de l’adolescent.
13 octobre 1982, éclate l’affaire du Coral. Le Coral était un « lieu de vie » éducatif installé dans une ancienne exploitation agricole à Aimargues, dans le Gard, à 15 kilomètres de Nîmes. Le Coral, fondé dans les années 1970, accueille des personnes en difficulté, enfants, adolescents, adultes, personnes autistes ou souffrant d’un retard mental léger, cas sociaux, pré-délinquants. Les enfants sont confiés au Coral par la DDASS ou par des structures s’occupant d ‘enfants.
À l’automne 1982, des enfants venus du Coral sont recueillis par une voisine et parlent de pratiques pédophiles. Une plainte est déposée à la gendarmerie par des parents dont les enfants ont séjourné au Coral. Les gendarmes visitent le centre. Selon Jean-Claude Krief, 21 ans, qui a fait un stage d’éducation sur place, la pédophilie serait largement pratiquée au Coral. Le centre accueillerait également des pervers venus de divers horizons, qui viendraient y abuser les mineurs hébergés. Un trafic de photos pédopornographiques transiterait par le Coral, ou y serait organisé. On parle d’abus sexuels commis sur des mineurs trisomiques. Des personnalités politiques et intellectuelles, souvent orientées à gauche, sont mises en cause, mais innocentées par les enquêtes de police.
En 1998, Roger Holeindre accuse Jack Lang d’être impliqué dans le scandale de prostitution de mineurs au Coral : « Monsieur Jack Lang, qui prétendait être candidat à la présidence de la République – qu’on m’arrête à la sortie si ce que je dis n’est pas vrai – a été compromis dans un lieu de vie tenu par des socialistes qui s’appelait « Le Coral ». Là, des enfants étaient prostitués à des gens comme Jack Lang. Un gosse a été trouvé mort, sodomisé, la tête dans un seau de merde – que l’on m’arrête à la sortie si ça n’est pas vrai ». Monsieur Roger Holeindre n’a jamais été poursuivi pour les accusations qu’il a portées contre Jack Lang, et aucune arrestation ni aucun procès n’a été initié à son encontre.
Le problème de la pédocriminalité se pose de manière récurrente depuis les années 1970. Les soixante-huitards, leurs descendants et héritiers rêvent d’officialiser et d’institutionnaliser cette ignominie. Les organisations internationales, OMS, ONU, les pouvoirs judiciaires, l’intelligentsia politique et médiatique, le lobby LGBTIQ, d’une part, les nouveaux textes de loi, théorie du genre, droits sexuels des enfants, éducation à la sexualité, d’autre part, concourent à orienter l’opinion dans ce sens. La France n’échappe pas à ce phénomène abject de la pédocriminalité, elle en est même une plaque tournante. Tout le monde le sait, en particulier les responsables politiques, les magistrats, les médias. Mais tout le monde se tait. Tout le monde se tait parce que des personnalités de haut rang sont impliquées. Et comme ils vivent dans un monde clos et protégé, ils se soutiennent et se serrent les coudes. La vérité ne doit pas sortir du milieu, du cercle dirigeant, de la sphère politicienne. Mais quand un ecclésiastique est accusé de pédophilie, c’est l’hallali, c’est la curée. Haro sur le baudet. Le bouc émissaire fait retomber les fautes des vrais pédocriminels. Toute la caste qui ignore ses propres turpitudes se jette avec délices sur un membre extérieur, à fortiori sur un catholique honni.
13 août 1996, explose l’affaire Dutroux, en Belgique.
19 Juillet 1998 : retentit l’affaire pédocriminelle du « CD-ROM de Zandwoort ». Ce CD-ROM contient plus de 8000 photos pédopornographiques. À Zandwoort, la société informatique Cube Hardware commercialisait des cassettes pédophiles. Ses responsables étaient en relation avec les organisateurs de croisières de luxe, tarifs tout compris, jusqu’à la fourniture d’enfants, à bord du yacht Apollo. Il arrivait que ce voilier embarque des clients à Bordeaux. Direction les Pays-Bas, via l’Angleterre. Le CD-ROM a été remis aux juges dans plusieurs pays européens. Des mères y ont reconnu leur fils ou leur fille. Mais l’enquête n’a pas progressé malgré des indices troublants. Et la pièce qui accuse avait disparu de la circulation. Elle réapparaît sous l’impulsion de Zoé Sagan.
27 mars 2000 : Martine Bouillon, substitut du procureur de Bobigny déclare avoir connaissance de charnier d’enfants en région parisienne. Le Conseil supérieur de la magistrature sanctionne la magistrate : déplacement d’office. Michel Joubrel, substitut du procureur général près la Cour d’appel de Versailles, contribue à sanctionner Martine Bouillon. Il sera arrêté en 2003 pour téléchargement et détention de plus de 5000 photos et vidéos pédopornographiques lors de perquisitions à son domicile, dans son bureau de la Cour d’appel de Versailles, et dans sa résidence secondaire en Bretagne. Mis à la retraite en 2004, radié en 2005, il sera condamné à Tours en 2006 à … 1000 euros d’amende et huit mois de prison avec sursis. Martine Bouillon sera finalement amnistiée en 2001.
Dans l’émission Sur les docks défiance Culture en 2011, le père Georges Morand explique avoir rencontré « des personnes qui ont été la proie de groupuscules satanistes extrêmement redoutables pratiquant ce que l’on appelle les messes noires liées à des rites de sorcellerie et de magie, avec des meurtres rituels … sous le double couvert, et je pèse mes mots, d’une part de la mafia, tous les réseaux mondiaux de la prostitution de bas étage et de haut étage, du trafic de drogues et d’autre part de personnalités que l’on pourrait dire au-delà de tout soupçon qui tiennent des postes clés dans notre civilisation, que ce soit dans le monde de la politique, toutes tendances politiques confondues … dans le monde de la magistrature, dans le monde scientifique, dans le monde de la finance, dans le monde intellectuel … et je dirais même hélas, trois fois hélas, dans le monde ecclésiastique ».
7 juillet 2019 : Jeffrey Epstein est arrêté pour trafic sexuel de mineurs. Ce milliardaire américain gravitant dans la jet set dirigeait un réseau de prostitution international. Il fournissait des filles à ses amis, pour qu’ils lui soient redevables. Il filmait tous les ébats qui avaient lieu dans ses propriétés.
Depuis l’arrestation de Jeffey Epstein, la pédocriminalité apparaît en première page de l’actualité partout, sauf en France. Pourtant, notre pays surnommé « Pédoland » n’échappe pas à cette peste noire, bien au contraire. Les oligarques connaissent le problème, savent parfaitement que cette horreur abjecte touche essentiellement la marge élitiste de notre pays. Des personnalités qui détiennent le pouvoir politique, le pouvoir médiatique, le pouvoir judiciaire, et l’argent, les richesses. Des personnages ignobles et répugnants qui se déchargent des lois de la République, qui tentent de modifier ces lois à leur avantage, qui se libèrent de toute morale. Des notables odieux qui donnent libre cours à leurs perversions en toute impunité. Les journalistes qui recevaient en majesté le pédocriminel Olivier Duhamel sur leurs plateaux savaient ce que tout le milieu savait. Les proches, les confrères d’Olivier Duhamel savaient ce que tout le milieu savait. Mais tous se taisaient, par réflexe de classe et aussi par autodéfense. Et combien d’Olivier Duhamel gravitent dans les instances du pouvoir, avec tous les égards dus à leur rang ?
La pédocriminalité est un acte intolérable, impardonnable, inacceptable, un acte criminel. On ne touche pas à l’innocence des enfants, à la fragilité des enfants. Des enfants incapables de défense sont livrés à des monstres, partout dans le monde. Cette obscénité afflige principalement les hautes sphères de la société. Ces gens puissants n’hésitent pas à recourir aux moyens les plus sordides pour établir leur vice : silence ou corruption des contestataires, destruction de la vie sociale et familiale, jusqu’au meurtre.
Des réseaux pédocriminels existent dans tous les pays. Criminalité, drogues, crimes rituels, commerce de l’adrénochrome, c’est-à-dire le sang d’enfants torturés et martyrisés, tortures et viols d’enfants. Des images à caractère pédopornographique mettent en scène des mineurs, des bébés victimes de sodomie, des enfants très jeunes contraints d’effectuer des fellations, toutes sortes d’actes sexuels. Des enfants nus dans des postures évocatrices pour des oeuvres « artistiques » destinées à l’usage des pédocriminels. Qui sont les enfants martyrisés ? Que deviennent-ils ? Qui sont les violeurs et les tortionnaires ?
Sur les carnets de Jeffrey Epstein, on trouve les noms de personnalités avec lesquelles il était lié. Tous ces personnages renommés, à la fois célèbres et répulsifs, s’affichent et plastronnent sur toutes les chaînes de radio et de télévision. Cohn Bendit, ami de Macron, explique ce qu’il faut penser ou non sur les sujets d’actualité, et les journalistes se courbent devant lui. Cet être puant d’arrogance et de morgue, agent du mondialisme, reste une « référence ».
Les pervers et les détraqués sexuels, mis sur un piédestal, adorés comme de nouveaux dieux, icônes élitistes, crachent leur mépris de la morale, le dédain de la famille, le dégoût de la normalité, et entraînent une bonne partie du peuple dans leurs dérèglements et leur dépravation.
Le service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI)
Ceci n’est pas un article à proprement parler, mais un rappel de chiffres incontestables quant au lien immigration/insécurité, que la classe politique répugne à reconnaître. Ces tableaux montrent combien l’immigration extra-européenne a détruit le quotidien des Français. Et selon la vieille formule de JMLP, “Nous n’avons encore rien vu”.
À l’heure où le gouvernement prétend combattre l’insécurité sans jamais oser nommer le mal, à savoir cet islamisme qui prospère sur l’immigration musulmane incontrôlée, voici donc les chiffres de la délinquance, celle qui frappe les citoyens au quotidien. Ils sont issus de documents officiels et rappelés par Marc Vanguard, dans le lien ci-dessous.
🚨 EXCLUSIF : le nombre de coups et blessures volontaires enregistrés en France a bondi de +65% depuis 2012, la 2e plus forte augmentation constatée en Europe occidentale 📈
👉 Voici un fil en 10 messages-chocs sur l'explosion de ces violences et le profil de leurs auteurs ⬇️ pic.twitter.com/9bcaZMtxcT
On notera que si la sécurité des citoyens s’effondre en France, faisant que chacun ne se sent plus en sécurité nulle part, à commencer par l’école, certains pays d’Europe se montrent capables de protéger leurs ressortissants. Comme quoi les solutions existent, mais avec un pouvoir qui ne connait que la soumission et la couardise face aux criminels, le sort des Français n’est pas près de s’améliorer.
Macron est l’otage des immigrés. Dissoudre les Frères musulmans c’est prendre le risque d’une guerre civile, selon lui. Sa politique dans le domaine sécuritaire est inexistante.
Aucune mesure de prise après la décapitation de Samuel Paty, aucune mesure de prise après les émeutes qui ont ravagé les villes de France, et aucune mesure envisagée après l’assassinat de Dominique Bernard, à part le projet de loi sur l’immigration de Darmanin, qui ne résout rien.
Et pour ceux qui veulent creuser le sujet, je les invite à relire les chiffres du programme d’Éric Zemmour, le seul qui soit véritablement à la hauteur des enjeux pour sauver la France du naufrage identitaire et du chaos.
La victime est une femme de 68 ans qui a été égorgée. Son corps a été découvert gisant à l’intérieur de son domicile. Elle rentrait visiblement d’une séance de sport. Une autopsie doit être réalisée pour savoir s’il y a eu agression sexuelle, comme un témoin l’a laissé entendre. Le ou les suspects sont en fuite. Aucune interpellation n’était signalée en fin d’après midi.
Ancien haut fonctionnaire et ancien élève de l’ENA, Paul-Marie Coûteaux est essayiste et directeur de la revue “Le nouveau Conservateur”. Les téléspectateurs le connaissent pour être l’animateur de l’émission à succès “Conversations”, diffusée deux dimanches par mois sur TVL. Dans cet entretien accordé à TVL, Paul-Marie Coûteaux s’emploie à dénoncer la Société du mensonge en faisant le catalogue des mensonges historiques, ordinaires, climatiques ou impériaux qui traversent la société française. Mais la surprise de cet échange provient du regard porté par celui qui a fait de la politique avec Jean-Pierre Chevènement, Philippe Seguin, Philippe de Villiers, Marine Le Pen ou Eric Zemmour. Paul-Marie Coûteaux ne retient pas ses coups et affirme que “tous ceux qui, en France, ont prétendu défendre le drapeau national nous ont trahis”. La trahison des chefs par manque de sacrifice et par esprit de frivolité ! Des accusations lourdes que l’animateur de “Conversations” explique et justifie.
Une manifestation en soutien à la police, à laquelle participe Jean Messiha et organisée par un collectif nommé “La France aime sa police” ? Voilà qui est original et rare. Je vais voir ce qu’il en est. Reportage !
Les banques françaises sont-elles menacées et pourquoi se montrent-elles si réticentes aux retraits de leurs clients ? L’étude des comptes de la BNP et de la Société Générale montre qu’elles prêtent les dépôts de leurs clients bien au-delà de leurs fonds propres. En cas de crise, cela peut provoquer un retrait brutal et la faillite comme pour SVB. En plus de ce risque, les comptes font apparaître, dans le hors bilan, des masses de produits dérivés qui représentent des montants 20 à 30 fois le PIB dans des opérations financières opaques et risquées. Néanmoins ce comportement contraire à la prudence bancaire n’a pas conduit à l’apocalypse bancaire, les banques présentent une forte résilience. Quelles en sont les raisons : fausseté des comptes, désinformation, aide des pouvoirs publics ? Autre problème : les obligations souscrites à des taux très bas ne valent plus rien, les épargnants s’en défont. Allons-nous vers un krach obligataire ? Avec la guerre Israël/Hamas, l’incertitude vient de monter fortement, ce qui n’est jamais une bonne nouvelle pour les marchés. En réalité, les marchés obligataires de nos démocraties se sont écroulés dans les trois dernières années, perdant 40% de leur pouvoir d’achat depuis décembre 2020. Pour conclure, retour sur la transaction Nestlé/Pfizer conduite par Emmanuel Macron. On se demande où est passé le montant (30 millions de $ ?) de la transaction. Jean-Pierre Chevallier (https://chevallier.biz/), business économiste et analyste financier indépendant.