Du lourd, dur très très lourd. Janis Joplin c’est vraiment la reine du rock, de la soul et de la pop. Franchement ce morceau c’est une machine de guerre. La voix extraordinaire de Janis et cette guitare qui pose le morceau enfin une basse bien présente et une batterie qui structure l’ensemble. Chapeau bas !
Ces résultats sont basés sur les données agrégées de toutes les enquêtes téléphoniques de Gallup aux États-Unis en 2021, qui comprenaient des entretiens avec plus de 12 000 adultes américains échantillonnés de manière aléatoire.
Gallup demande à tous les Américains qu’il interroge s’ils s’identifient politiquement comme un républicain, un démocrate ou un indépendant. On demande ensuite aux indépendants s’ils penchent davantage vers le parti républicain ou le parti démocrate. Le pourcentage combiné des personnes qui s’identifient à un parti et de celles qui penchent vers ce dernier donne une mesure de la force relative des deux partis sur le plan politique.
Les neuf points d’avance des démocrates au premier trimestre et l’avantage de cinq points des républicains au quatrième trimestre sont parmi les plus importants que Gallup ait mesurés pour chaque parti au cours d’un trimestre depuis qu’il a commencé à mesurer régulièrement l’identification et le penchant pour un parti en 1991.
L’avance des démocrates au premier trimestre était la plus importante pour le parti depuis le quatrième trimestre 2012, lorsque les démocrates avaient également un avantage de neuf points. […]
The GOP has held as much as a five-point advantage in a total of only four quarters since 1991. The Republicans last held a five-point advantage in party identification and leaning in early 1995 […]
▶️@Malbrunot, co-auteur du livre "Le déclassement français"
🗣"#Macron s'est retrouvé face à Nabih Berri en lui disant, il faut faire si et ça… Nabih Berri lui a répondu Incha'Allah, sous-entendu, on va le faire attendre"
Pourquoi la France est-elle si déclassée au Moyen-Orient et au Maghreb, régions où, écoutée et respectée pour sa voix originale, elle jouissait historiquement d’une réelle influence, avec le point d’orgue de 2003 où elle s’était opposée à la folle aventure américaine en Irak ? Depuis, on a assisté au recul complet de son influence, malgré les tentatives de Macron pour redonner visibilité et pragmatisme aux initiatives françaises. Seul pays où la France pourrait encore espérer compter, le Liban illustre bien ce déclassement : le livre racontera l’histoire secrète de ” l’initiative ” française au Liban à l’été 2020, dressant en filigrane un portrait psychologique d’un Président autoritaire qui veut tout faire tout seul. L’ouvrage explique également le piège algérien, avec la mission Stora sur la mémoire et l’obsession de Macron de vouloir entrer dans l’histoire comme le Président qui aura su réconcilier les deux peuples. Partout, la diplomatie française semble incohérente et émotionnelle : illisible en Libye – où Paris a soutenu les deux camps -, faite de coups tordus avec l’Iran depuis trente ans, influencée par l’argent des monarchies du Golfe – Qatar sous Sarkozy, Arabie sous Hollande, émirats sous Macron -, obsessionnelle vis-à-vis de la Turquie d’Erdogan, sans parler de l’abandon de la question palestinienne et de l’impossibilité de critiquer Israël. Enfin, le livre expliquera pourquoi le rapport de la France à l’islam, comme dans l’affaire des caricatures et la loi sur les séparatismes, pèse lourdement dans cette image brouillée.
« L’important, c’est la sauvegarde du peuple français. Je veux défendre mon peuple : c’est ma plus grande contribution à l’humanité. En défendant le peuple français, je défends la diversité humaine dont on parle tant. » Éric Zemmour#Zemmour2022pic.twitter.com/gUciYRKPNv
« Je serai franc et loyal : pour sauver le peuple français du Grand remplacement, je ne respecterai pas Schengen. La France est un pays européen et restera dans l’Europe. Mais nous défendrons d’abord nos intérêts. » Éric Zemmour#Zemmour2022pic.twitter.com/GQ32d4cYkx
Depuis septembre, des bandes dépouillent régulièrement les visiteurs du musée des Confluences à tel point que des employés ont décidé de tirer la sonnette d’alarme. La situation est prise au sérieux, mais la jeunesse des auteurs, originaires des pays de l’Est, complique le travail de la police.
Direction du musée, préfecture, police, élus, ou encore Kéolis, qui exploite le réseau TCL : tous les acteurs concernés sont au courant des vols à répétition qui se déroulent devant le Musée des Confluences (Lyon 2e). Mais stopper l’activité de ces bandes organisées, avec des mineurs âgés d’à peine 12 ans, n’est pas une mince affaire. Ce phénomène quotidien inquiète des employés du musée qui ont souhaité alerter la population.
« Nous nous sentons impuissants »
Depuis des mois, ils assistent chaque jour à des vols de cartes bancaires, portefeuilles, téléphones par des bandes au niveau de l’arrêt de tramway Musée des Confluences. Selon eux, « ces groupes agissent en toute impunité et ne craignent aucune forme d’autorité ». Ils appellent les usagers à la plus grande vigilance. « Nous sommes témoins tous les jours de ce spectacle révoltant et nous nous sentons impuissants. Nous ne pouvons même pas agir par peur des représailles. Plusieurs personnes se sont fait agresser après avoir tenté… (…)
Le Pen peut dire merci à Zemmour. En la débordant sur son extrême droite, l’ex-plume du «Figaro» a non seulement «recentré» la candidate du Rassemblement national , mais il l’a aussi rendue plus populaire. Elle gagne 8 points et 17 places dans notre tableau de bord des personnalités politiques. Avec 40% de «bonnes opinions», Marine Le Pen n’a jamais été aussi bien placée. L’écart est d’ailleurs de 13 points avec son rival Eric Zemmour (27%, +1). Avec 57% de mauvaises opinions contre 66% pour Zemmour, elle a réussi à lui passer le mistigri du repoussoir. Épargnée par les marcheurs et la gauche, elle progresse chez les jeunes (+14), les personnes âgées (+12), à gauche (+10) et chez les sympathisants LR (+11).
C’est l’autre enseignement de ce baromètre dominé par Philippe (61%, +1): Macron recule de 4 points, Castex de 6, tout comme leurs principaux ministres, Blanquer (– 6), Le Maire (– 6), Bachelot (– 5), Le Drian (– 3)… […]
À droite, Pécresse connaît un coup de mou (– 5), Bertrand (– 4) et Ciotti (– 3) également. La cheffe de file de la droite se consolera avec le soutien record de 92 % des électeurs LR… À gauche, Mélenchon poursuit son opération redresse- ment: +3 points (39%). […]
Hier soir, Valérie Pécresse a donné le ton de sa future présidence.
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Pour resituer les faits, le journaliste Jean-Claude Bourdin est le énième homme médiatique accusé d’agression sexuelle par une femme blanche. Valérie Pécresse, qui devait passer sur BFMTV, en a profité pour se poser en gardienne de vertu, prétendant respecter le concept de présomption d’innocence tout en faisant bien comprendre que ce concept n’avait plus cours et que Bourdin était coupable.
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[Affaire Bourdin] Je suis une femme franche qui dit les choses en face et sans détour. Si je suis ici ce soir, c’est par respect pour vous, les Français, réunis pour me poser les questions que vous avez préparées depuis une semaine. #LaFranceDansLesYeux#Pécresse2022pic.twitter.com/pELohpInIp
Bourdin est certainement un des journalistes les plus détestables de France, jouant le démagogue faussement populacier tout en étant soucieux d’être dans les petits papiers de l’établissement. Il a fait tardivement carrière en jouant les procureurs arrogants de l’ordre médiatique.
Bourdin vient de prendre son numéro habituel en pleine tête. Cette époque étant à l’éco-responsabilité, sa liquidation doit servir plusieurs buts, recyclage oblige. Il doit débarrasser le plancher au profit d’une fournaliste tabagique à la voix éraillée, encore plus docile vis-à-vis du pouvoir occulte.
Pécresse se positionne sur ce créneau féministe avec détermination.
Depuis une semaine qu’il a souhaité au plus grand nombre de Français d’avoir dans leur verre « un bon vin » et dans leur assiette « une bonne viande et un bon fromage », le candidat communiste Fabien Roussel est, pour ses camarades de gauche, passé du côté obscur de la force.
Depuis, les injures pleuvent, certains même n’hésitant pas à l’accuser d’être « un candidat d’extrême droite à gauche ». Alors il répond et assume : « Certains à gauche sont coupés du peuple. Défendre le bifteck des Français, pour moi, c’est un vrai projet politique. Derrière, il y a un projet de société. On doit tous avoir, avec un travail et un salaire décent, accès à des aliments de qualité. On ne peut pas défendre l’agriculture française sans permettre aux Français d’y avoir accès. Sinon, il n’y aura que les privilégiés qui pourront acheter une bonne côte à l’os, et le reste qui devront aller au discount acheter du poulet surgelé du Brésil ou du mouton néo-zélandais qu’on importe massivement depuis l’épisode du Rainbow Warrior de 1985 » (RMC, le 17/1/2022). Et de confirmer, ce mardi, sur Twitter : « La polémique dont j’ai fait l’objet montre qu’une partie de la gauche et des écologistes est coupée des Français. 5 millions vont à l’aide alimentaire, 3 sont en précarité énergétique, mais il faudrait interdire la viande et les centrales nucléaires. Ils sont coupés du peuple ! »
Tout est dit, via cette polémique, sur ce qu’est la gauche aujourd’hui : un conglomérat de bobos urbains déconnectés des réalités du terrain. Des gens qui ont abandonné le social au profit du sociétal et pensent que les questions de genre et de couleur animent les repas familiaux. Comme le soulignait Emmanuelle Ducros, sur Europe 1, ce mardi matin, les préoccupations de cette gauche là sont « celles des classes aisées urbaines : circuit court, bio, qualité etc., mais on ne se préoccupe absolument pas de savoir comment les classes populaires terminent le mois ». Une gauche qui « veut bien défendre les agriculteurs à condition qu’ils soient des paysans et qu’ils soient bios, qui veut bien défendre les salariés mais pas s’ils travaillent chez Fessenheim… »
Pour résumer, Fabien Roussel sent le pâté de cochon. Tout comme le Front national et le Rassemblement national après lui, il est tombé dans le piège du « racisme supposé de l’entrecôte », comme l’a écrit fort justement la même Emmanuelle Ducros. Aux yeux de la gauche qui roule à vélo et brunche vegan le dimanche matin, il incarne la franchouillardise béret/baguette. En parlant rouge et fromage, il remet le doigt sur le social que la gauche a délaissé, raison pour laquelle ses troupes populaires ont migré chez Marine Le Pen.
Une partie de la gauche d’aujourd’hui, quoi qu’elle en dise, est macroniste de fait. C’est Jérôme Sainte-Marie qui le souligne : « La gauche a un problème, c’est parce qu’elle est divisée, mais aussi en partie parce qu’elle est au pouvoir : 47 % des anciens électeurs de François Hollande ont voté Macron au premier tour et pour la plupart sont restés dans le camp macronien. On le voit bien dans les équipes gouvernementales.(gauche strauss-kahnienne, rocardienne, etc.) » (Europe 1, 18/1/2022).
La gauche, les gauches ont raté le dernier grand mouvement social, celui des gilets jaunes. Les tentatives de récupération à la Mélenchon ont, là aussi, échoué. Les seuls mouvements où la gauche est présente sont ceux de la fonction publique, et particulièrement du monde enseignant. Alors, en défendant « le bifteck des Français », Fabien Roussel essaie de renouer avec les fondamentaux d’une gauche qui s’est perdue dans les méandres de la boboïtude germano-pratine. Encore un petit effort et il rejoindra la droite patriote !
Lors de son discours d’intronisation à la présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE), Emmanuel Macron répondra à la question : « Qu’est-ce qu’être européen ? », selon Le Parisien de ce 18 janvier. De Strasbourg, le président de la République, en pleine campagne électorale même s’il n’est toujours pas candidat, parlera une vingtaine de minutes. Il devrait balayer la souveraineté européenne, la réforme de la zone euro, les transitions écologique ou numérique. Les sondages d’opinion ne sont pas très vaillants, depuis quelques jours, à l’image du sondage Cluster17-Marianne où il apparait à 22,5 %, en recul de 0,5 point sur la vague précédente. Macron compte sur son podium européen pour redonner du souffle à une campagne qui commence à en manquer.
Quelle naïveté ! Il faut réécouter de Gaulle, le 14 décembre 1965, justement entre les deux tours de l’élection présidentielle : « Il faut prendre les choses comme elles sont et on ne fait pas de politique autrement que sur des réalités, martelait le chef de l’État. Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l’Europe, l’Europe, l’Europe, mais ça n’aboutit à rien et cela ne signifie rien. » Des mots qu’on croirait destinés au Président Macron. Penser que l’Europe peut dynamiser quoi que ce soit, a fortiori une campagne présidentielle, c’est s’enfoncer le doigt dans l’œil jusqu’à l’oreille. Cet irénisme témoigne d’une méconnaissance profonde des relations entre la France et l’Europe, d’un aveuglement absolu sur le corps électoral hexagonal comme sur le bilan européen et, surtout, d’une surdité pathologique aux cris du pays. Macron voit l’Europe comme un tremplin vers l’Élysée ? Elle sera son tombeau.
Pour une très grande partie des Français, l’Europe reste en effet celle du traité européen de 2005. La ratification de cette Constitution était considérée comme une formalité par tout ce que la France et l’Europe compte de fonctionnaires et de politiciens bien nourris, acquis aux thèses du mondialisme le plus pur qui exige auparavant la constitution de grands ensembles continentaux. Rien ne s’est passé comme prévu, on s’en souvient. Pour une fois consultés, les Français ont repoussé le traité avec 54,7 % des voix, en dépit d’une campagne pro-oui acharnée. « Non merci, sans façon », ont-ils répondu dans la langue de la démocratie. Sarkozy a eu beau faire passer l’affaire en douce quelques années plus tard, les Français n’ont pas changé d’avis, bien au contraire. À bas bruit, l’Europe reste un objet structurant de la vie politique française. À droite, un Français sur trois déclare son intention de voter pour des candidats à la présidentielle en délicatesse avec Bruxelles, ceux qui se prononcent pour Marine Le Pen, Éric Zemmour ou Nicolas Dupont-Aignan. L’Europe n’est pas plus appréciée dans les rangs de la gauche radicale, et depuis longtemps. Restent dans le giron bruxellois certains partisans de Valérie Pécresse, les Verts, les maigres troupes d’Anne Hidalgo et… les soutiens d’Emmanuel Macron. Une cohorte mal assortie, brinquebalante pour un projet qui ennuie dramatiquement les Français. Si les grands médias évitent à tout prix le sujet européen (jamais d’émission en prime time, jamais de unes de presse sur les personnalités de l’Europe), ce n’est pas par opposition larvée, c’est parce que ces médias savent que l’Europe engendre des audiences et des ventes désastreuses.
Depuis le temps, les Français ont compris. Ils savent que l’Europe, créée pour soutenir le charbon et l’acier, a vidé ces deux activités du continent depuis longtemps. Que l’Europe agricole est responsable pour une très grande part de l’élimination de notre agriculture et du terrible suicide de nos agriculteurs. On pourrait ainsi allonger sans fin la liste des méfaits européens. Les myriades de fonctionnaires et de lobbyistes qui grenouillent dans les instances de l’Europe sont pour les Français soit suspects soit coupables du triste sort de notre économie. Quant à la politique, qui parmi nos compatriotes a clairement accepté la mainmise et l’invasion d’un droit européen supérieur au droit français ?
Incapable de répondre aux vrais besoins du pays – l’épisode des masques a été parlant pour les Français -, l’Europe pose depuis l’origine un grave problème démocratique et un défi de souveraineté plus grave encore. Dans sa conférence de presse, ce 18 janvier, Marine Le Pen met les pieds dans le plat : « Au fil des années, l’Union européenne cherche à évoluer vers un État unitaire centralisé à l’échelle européenne […]. L’Europe n’est plus une histoire plurimillénaire mais une construction idéologique qui cherche laborieusement à s’inventer une histoire et les attributs factices d’un État. » On ne saurait mieux dire ni plus clairement. Cette Europe qui étouffe la France sera merveilleusement incarnée par Emmanuel Macron. De quoi braquer un peu plus un peuple qu’il brutalise sans vergogne depuis près de cinq ans. Compter sur l’Europe est rarement un bon calcul, quel que soit l’enjeu. Cette fois, le pari européen de Macron a toutes les chances de s’avérer désastreux pour lui et donc, espérons-le, heureux pour la France, celle que nous aimons. Laissons le donc sauter sur sa chaise comme un cabri en disant « l’Europe, l’Europe, l’Europe ! »