Éric Zemmour, qui l’empêche d’avoir ses 500 signatures ? (1/2)

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L’élection présidentielle est devenue un jeu en trompe-l’œil où le candidat du Système gagne à tous les coups contre le candidat hors-système. Même avec ses 500 signatures, Éric Zemmour, quand bien même il se hisserait au second tour, ne pourrait gagner l’élection suprême. L’État-Macron et ses appareils d’hégémonie – médiatiques, culturels, universitaires, etc. – lui livreraient une guerre à mort. Ce qu’ils commencent du reste à faire. À l’inverse, un empêchement d’Éric Zemmour mettrait à nu les fragilités d’un Système à bout de souffle qui, faute de pouvoir choisir les électeurs, en est réduit à trier les candidats. Dans l’épreuve, Zemmour gagnerait une stature d’homme du recours et rouvrirait l’horizon des possibles. Première partie d’un scénario de politique qui n’est pas que de fiction.

Le ticket à la grande parade présidentielle coûte cher. Certains s’en plaignent, et pas des moindres. En effet, depuis plusieurs semaines, quelques candidats parmi les plus sérieux – en l’occurrence Éric Zemmour, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen – se plaignent de rencontrer des difficultés dans la récolte des fameux sésames. De peur d’être mis sur le carreau de la bacchanale républicaine qu’est l’élection présidentielle, chacun à tour de rôle relève une « situation de blocage », un « bluff » ou une « galère » du système qui permettraient, selon eux, d’opérer une épuration injuste des candidatures « hors système ».

Si ces jérémiades semblent faire partie de la guignolade victimaire et habituelle des candidats de La France insoumise ou du Rassemblement national, la chose paraît moins feinte dans le cas du candidat de Reconquête qui pourrait, possiblement, ne pas récolter ses 500 signatures. Cependant, au lieu de voir dans cette situation un déni de démocratie, ne pourrions-nous pas apercevoir, dans ce camouflet, la lueur d’une formidable opportunité d’émergence d’une opposition au système en place qui dépasserait, de loin, une candidature qui semble perdue d’avance ? Et est-ce que la mise au ban du candidat Zemmour ne pourrait-elle pas dépasser, et même décupler, les effets d’une candidature de témoignage censée préparer le terrain pour 2027 ou 2032 ? Penchons-nous sur cette possibilité.

État des lieux du paysage politique

Pour bien comprendre l’enjeu de ce moment politique, il nous faut revenir sur quelques chiffres. D’abord, les dernières élections régionales ont marqué une nouvelle étape dans l’absentionnisme, déjà croissant d’année en d’année, avec 66,72 % d’abstention lors du premier tour. Nous avons même une pointe chez les jeunes de 18 à 24 ans à 87 % et à peu près équivalente chez les bas-revenus. Rappelons aussi qu’aux dernières législatives, le taux d’abstention atteignait déjà des records avec 51,3 % au premier tour, puis 57,36 % au second. La fracture entre le pouvoir politique et des citoyens ne se sentant plus représentés ne datent par conséquent pas d’hier. Autre chiffre parlant, les trois principaux candidats opposés au président sortant, ceux qui rencontrent des difficultés pour les parrainages, représentent près de la moitié des intentions de vote au premier tour de l’élection présidentielle actuelle. L’éviction de ces candidats pourrait donc renforcer cet écœurement légitime de l’opinion et porter, une fois de plus, un coup sérieux à cette pantomime qu’est la souveraineté populaire. Si même l’élection présidentielle voyait son taux de participation chuter en flèche, alors il est certain que l’empêchement et le refus de prise en compte de l’expression du peuple, consubstantiel au système actuel, seraient encore plus mis à jour et flagrants. La sous-représentation d’un bloc majoritaire et son effacement au moment de l’élection ne pourraient rester, encore longtemps, sans répercussions tangibles et sérieuses. Cet ersatz de démocratie fut déjà analysé par Christophe Guilluy lorsqu’il affirmait que « dans les stratégies électorales, les partis ne s’adressent plus qu’aux catégories supérieures et aux retraités ».

Le mythe de la représentation

Cette négation de la dimension populaire ne date pas d’aujourd’hui. En réalité, la République française, et cela dès son départ, s’appliqua à nier la moindre réclamation allant à l’encontre des dessins des élites bourgeoises. Elle se constitua comme l’ennemi du populisme dès son premier souffle. L’exclusion du peuple fut entérinée par la Convention de 1792 lorsqu’elle se constitua sur un corps électoral vierge de toute souche « prolétarienne ». Marx l’avait déjà constaté lorsqu’il analysait que la classe révolutionnaire par excellence était la bourgeoisie. De sorte que la Révolution n’aura été l’affaire que d’une minorité dont le Parti socialiste et les Républicains, lorsqu’ils votèrent en 2016 ensemble la modification de la loi durcissant l’accès à l’élection présidentielle, sont les dignes héritiers, tout comme le gouvernement Jacques Chirac, sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing, le fut aussi lorsqu’en 1976, il ouvrit la voie de la publicité des soutiens et de l’augmentation des signatures exigées de 100 à 500. Les lois de la République, depuis 1792 et jusqu’à aujourd’hui, n’ont jamais été que les desiderata d’une minorité agissante. Et le système républicain une machine excellemment pensée et instituée pour qu’elle puisse, selon la phrase de Paul Valéry, « empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde ».

La souveraineté du peuple est donc limitée au jour du vote. Chose dont Rousseau dira, évoquant le peuple anglais : il « pense être libre ; il se trompe fort, il ne l’est que durant l’élection des membres du parlement ; sitôt qu’ils sont élus, il est esclave, il n’est rien ». La République n’a jamais défendu la souveraineté populaire. Bien au contraire, elle en a été plutôt le fossoyeur, lui préférant la souveraineté parlementaire dont Sieyès était le prophète. De ce point de vue, l’obstruction à la candidature d’Éric Zemmour, si elle devait s’avérer effective, ne ferait que raviver dans l’esprit des citoyens le souvenir d’un lien rompu depuis bien longtemps. Tant il est vrai que la scission des élites et du peuple n’a rien d’un phénomène nouveau, l’objectif premier des Républiques consistant à se perpétuer dans le sillage de cette démocratie libérale, trompeuse, oligarchique.

Seule peut-être la Ve du général de Gaulle, et uniquement à ses débuts (et non après ses nombreux travestissements constitutionnels), pourrait être considérée comme une rupture, en déphasage avec l’exclusion historique du peuple. L’élection présidentielle au suffrage universel pouvant alors être perçue comme la rencontre d’un homme et d’une majorité sous une forme plébiscitaire. Déjà à l’époque, les tenants du parlementarisme classique, les ancêtres de nos chers allergiques au peuple, percevaient cette onction du peuple comme la mort des libertés ou la possibilité de l’émergence de nouveaux Césars. Alors que quelques rares voix discordantes, comme celle de Maurice Duverger, y décelaient plutôt un ferment propice à la rénovation de nos institutions.

Comment libérer le « souverain captif »

Or, nous constatons, et cela même sous l’ère du suffrage universel, que des procédures d’exclusion et de neutralisation perdurent, alors que le vote censitaire a disparu. L’augmentation du nombre de signatures et la publicité qui en est donnée l’attestent ; elles ne peuvent être comprises que comme des modifications des règles du jeu aptes à toujours favoriser l’oligarchie et les partis complices du système. Si les régimes précédents, comme le Directoire, se fondaient sur un suffrage censitaire qui perdurera tout au long du XIXe siècle en excluant les « classes dangereuses » ; de nos jours, la combinaison du scrutin majoritaire et de l’abstention reproduit, en réalité, une situation similaire à celle des méthodes antérieures d’exclusion. Seule l’élection présidentielle résiste à cette désaffection croissante et à cette situation. Mais jusqu’à quand ?

L’exclusion du candidat Zemmour pourrait bien être le point de bascule. Celui qui ferait de l’élection présidentielle, à partir de cet empêchement, une élection comme les autres, dès lors discréditée aux yeux des Français. Une élection réduite, au même titre que les scrutins intermédiaires, au rassemblement en petit comité des inclus, des habitants des métropoles mondialisées, des bourgeoisies de droite et de gauche, des retraités et des fonctionnaires reproduisant une élection censitaire de fait. Le rappel des chiffres de la dernière élection présidentielle, celle de 2017, sont éloquents. Macron fit 15 % au premier tour des inscrits, ce qui ne l’empêcha pas d’avoir la majorité absolue lors de l’élection législative qui suivit. Pendant ce temps, Le Pen, Mélenchon et Dupont-Aignan récoltaient 45 % des votants quand, aux législatives, l’addition des trois ne représentait que 4 % de la représentation nationale.

L’élection présidentielle, par son haut taux de participation, demeure le dernier rituel de légitimation républicaine. Mais force est de constater que même ce dernier artifice, déjà si précaire comme les chiffres l’attestent, peine à dissimuler une démocratie-témoin qui tient dans les mains d’un petit nombre. Cette dernière et si fragile cérémonie de légitimation subira peut-être bientôt le même destin que les autres élections marquées par le désintérêt, l’indifférence et la dévalorisation – et l’éviction de Zemmour en serait alors l’accélérateur final. Si cette pente devait être suivie, la dernière « charpente républicaine », celle qui tient encore l’édifice républicain de cette « démocratie Potemkine » selon la formule de Patrick Buisson, pourrait ainsi se fracturer définitivement et dévoiler, à la vue de tout monde, l’incroyable supercherie qu’elle cache toujours plus périlleusement. L’ultime parade de l’apparence légale, derrière laquelle la classe dirigeante se cache pour asseoir son pouvoir, disparaîtrait pareil à un voile qui se lève. Le peuple serait directement confronté à la situation d’une captation minutieusement cachée : celle à laquelle une minorité se livre dans le seul but de privatiser les instruments de l’État au détriment du bien commun.

L’échec d’Éric Zemmour à recueillir ses 500 signatures pourrait fournir cette dynamite capable de faire exploser ce dernier rempart qui fait obstacle à une confrontation ouverte entre le peuple et les élites républicaines. Une telle explosion, un tel dynamitage signifierait la libération du « souverain captif », à savoir la majorité du peuple français. L’illusion du vote, celui mis en place par la classe dirigeante pour se protéger de la tyrannie de la majorité de Tocqueville, volerait en éclat et supprimerait cette technique du miracle républicain dont Coleridge a pu dire qu’elle est « une suspension de l’incrédulité ». Nerf contre nerf, l’ère d’un basculement politique pourrait être, plausiblement, pris en compte comme une hypothèse sérieuse.

La perte de légitimité

La classe dirigeante a très bien compris cette situation. Les évocations du vote obligatoire, de la prise en compte du vote blanc ou du rassemblement des scrutins nous démontrent que la minorité au pouvoir a bien saisi ce « coup de semonce ». Au-delà de ces différentes pistes, la voie qui semble avoir été prise est celle de la gestion de la peur. Si le peuple ne se sent pas représenté, il faut, afin de maintenir un sentiment de légitimité, au moins qu’il sente que le gouvernement actuel est le seul capable de le protéger. Qu’il tâche d’incarner le parti de l’Ordre.

Lors de la crise des Gilets jaunes, l’analogie entre Thiers et Macron fut particulièrement éclairante. À l’occasion d’une rencontre diplomatique organisée à Versailles, ce dernier n’hésita pas à prétendre que « Versailles, c’est là où la République s’était retranchée quand elle était menacée ». La République en revient donc à sa meilleure technique de gestion des crises qui repose sur la manipulation brutale du sentiment de la peur et l’envoi de la canonnière. Confronté à un bloc majoritaire reconnaissant de moins en moins la légitimité du pouvoir et face à des soulèvements sans précédent dans l’histoire récente, le pouvoir décida de miser sur la spéculation autour des peurs. Peur du retour de la peste brune, peur du populisme, peur du nationalisme, peur du souverainisme, peur de la crise économique, peur du racisme, peur de la pandémie, peur du réchauffement climatique, peur de l’islamisme, peur du repli sur soi… Or, jouer sur la peur pourrait bien s’avérer être une aventure risquée, qui pourrait, qui sait, se retourner contre le pouvoir lui-même. Avant, on proclamait qu’il ne fallait pas « désespérer Billancourt » ; la République actuelle, pour se maintenir, pourrait faire sien le slogan suivant : « Il faut terroriser la Métropole et écraser la Périphérie ».

Le droit de commander et le devoir d’obéir

Pour bien comprendre l’articulation, si difficile à saisir par bien des aspects, de la légitimité, entre le peuple et le gouvernement, il faut en appeler à un penseur italien, à cheval sur le XIXe et le XXe siècles, qu’est Guglielmo Ferrero. Pour lui, la légitimité du pouvoir politique ne tient que sur la peur réciproque, laquelle maintient une relation entre les gouvernants et les gouvernés. À évocation de cette idée du désir d’ordre dans une société, le penseur italien pouvait dire que « le pouvoir est à l’origine une défense contre les deux plus grandes frayeurs de l’humanité : l’anarchie et la guerre ». Mettant au centre de sa réflexion la notion de peur, il continuait en affirmant que « si les sujets ont toujours peur du Pouvoir auquel ils sont soumis, le Pouvoir a toujours peur des sujets auxquels il commande. […] Tous les Pouvoirs ont su et savent que la révolte est latente même dans l’obéissance la plus soumise, et qu’elle peut éclater un jour ou l’autre, sous l’action de circonstances imprévues. » De cette manière, il faut impérativement qu’il y ait un principe de légitimité reconnue entre les gouvernants et les gouvernés de sorte que « dans l’ordre politique, Caïn représente les hommes destinés à commander, Abel, ceux destinés à obéir ». Guglielmo Ferrero voyait quatre principes de légitimité pouvant opérer ce lien : principes héréditaire et aristo-oligarchique, puis le principe démocratique et le principe électif. Il aura cette belle formule sur la légitimité en disait qu’elle est ce qui « adoucit le pouvoir », ce qui établit le droit de commander et le devoir d’obéir.

Ces quatre principes de légitimité peuvent se combiner et nous donnent, dans le cas de la Ve République après son pourrissement commencé sous VGE et accentué sous Mitterrand, une République démocratique à élections oligarchiques. Non pas aristocratique dans le sens des « meilleurs » mais bien oligarchique, et c’est là que réside une part du problème, puisque l’élection ne se fait que sur un principe électif limité, ou oligarchique, dans la réalité des faits. Effectivement, l’élection ne se fait qu’au sein de la classe dirigeante elle-même, car comment ne pas voir dans les primaires une analogie avec les candidatures officielles du Second Empire sous Napoléon III. L’élection présidentielle et l’élection législative n’ont-elles pas été basées, pendant plus de 30 ans, sur l’opposition entre deux forces politiques hégémoniques qui choisissaient elles-mêmes les candidats éligibles au sein d’un même vivier excluant la quasi-totalité des autres acteurs de la politique. Cette procédure de re-légitimation ne prend pas appui sur le peuple. « République du centre », « UMPS », « cercle de la raison », « cordon sanitaire » ou encore « alternance unique » sont les différentes appellations d’un même phénomène dont Macron sera l’incarnation parfaite avec le rassemblement, dans le cas de son électorat, de la bourgeoise de droite et de gauche. Macron personnifia la nécessité de dévoiler une partie de cette supercherie qui tenait de moins en moins. Il cassa la surface et la forme en prétextant être l’homme en dehors de cette entente cordiale qui simulait une opposition ; le tout pour mieux continuer, sur le fond, une politique qui réunit encore les deux bords. Le ralliement, lors du deuxième tour face à Marine Le Pen, des deux anciens partis derrière Macron comme un seul homme, en scella l’évidence.

Deuxième partie demain : « Pourquoi il ne faut pas qu’Éric Zemmour ait ses 500 signatures (2/2) »

Rodolphe Cart dans le revue Elements

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Stella Kamnga : « J’aimerais beaucoup rencontrer la France que j’ai lue dans les livres »

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Comment ‘R : Et oui, la France n’est plus la France. C’est bien ce qu’on vous répète depuis des lustres…. La France reste ouverte à tout le monde mais il faut conserver ce qui fait la spécificité de ce pays. Les personnes qui rejoignent notre pays doivent avoir une envie de France et envie de perpétuer sa culture et son rayonnement. Nier tout ce qu’elle représente et ce qui a été son histoire est suicidaire, on se tire une balle dans le pied. A bon entendeur salut !

La chroniqueuse Stella Kamnga réagit au documentaire « Noirs en France » publié sur le service public. « Un assemblage de préjugés racistes, de faux témoignages et de mensonges. » Elle invite Yannick Noah à « prêcher par l’exemple ». Elle évoque aussi la sortie de son livre La France n’est plus la France.

Marc Eynaud, Boulevard Voltaire

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Retour sur la manifestation contre la tyrannie sanitaire à Bruxelles

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Grosse manifestation contre la tyrannie sanitaire à Bruxelles le week-end du 22 janvier.

Comment ‘R : A force de tirer sur l’élastique, à un moment donné il vous revient en pleine figure ! En Belgique ce week-end, un avant goût de ce qui nous attend en France dans les mois à venir. Préparez-vous pour ne pas subir l’orage.

D.P.

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Puisqu’on vous dit que les poupées sans visage, ce n’est pas grave !

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Dans l’émission “Zone interdite” diffusée sur M6 dimanche soir, l’épisode qui a fait le plus grand bruit est sans doute celui des poupées dépourvues de visage vendues par une boutique de Roubaix. “Parce que c’est Allah qui crée et qu’il est donc interdit de représenter des humains“, explique la vendeuse. 

Un étonnement qui peut… étonner. Il suffit de taper « poupée sans visage », sur Internet pour constater qu’un certain nombre de sites – en français et domiciliés en France – en commercialisent tout un éventail, depuis plusieurs années, sans que cela semble émouvoir grand monde : Muslimshop, marque déposée par la société Neodya, sise à Brech dans le Morbihan, propose notamment un modèle nommé « Zainab ». Easydin, dont le siège social est à Courcouronnes (Essonne), les présente dans son rayon enfants, à côté d’abayas dont les tailles disponibles vont de de 2 à 12 ans. « On s’est tous posé cette question fatidique : avec ou sans visage, permis ou pas permis ?  Soyez sereins car aujourd’hui la question ne se pose plus. Avec la vulgarisation d’internet, les poupées sans visage sont à la portée de toutes et de tous. On les trouve aussi bien dans les boutiques musulmanes en ville qu’en ligne. » peut-on lire sur le site islam-oumma.fr. « Les poupées sans visage connaissent un réel succès auprès de notre communauté. Il existe des modèles importés d’Arabie, ou des pays du Golfe, tout prêts, tout faits. Mais on assiste également à une demande de poupées artisanales.  En effet, de plus en plus de sœurs proposent leur services sur le net. Selon vos critères, elles confectionnent des poupées sans visage en totale adéquation avec nos principes religieux. »

Si la séquence a provoqué des remous sur les réseaux sociaux, à gauche en revanche, calme plat. Côté écolo, c’est le minimum syndical de la réprobation :  “J’espère qu’elles auront des crayons et des feutres pour dessiner des visages dessus et pour s’émanciper de cela”, a commenté, avec son ton candide et un tantinet exalté de couventine du XIXe, l’écologiste Sandrine Rousseau dans le Grand oral des GGMO. Sortir les crayons est un vieux réflexe de gauche pour se prémunir contre le risque islamiste, une sorte de grigri magique initié pour conjurer les peurs au moment de Charlie, avec l’efficacité que l’on sait. Dans la même veine, celles qui portent un hijab pourront aussi se dessiner quelques mèches, par ci par-là, en guise d’émancipation, ce sera toujours ça. Avec les feutres, on fait des miracles. 

Côté France insoumise, on lève les yeux au ciel. « Comme si la république était menacée par des poupées » ironise le porte-parole jeunesse David Guiraud sur CNEWS. En soi, ce n’est pas faux : Quelle loi interdit une poupée sans bouche ni yeux ? On peut d’ailleurs dérouler tout un inventaire à la Prévert de peccadilles inoffensives : le voile islamique est peu ou prou, on nous l’a dit et répété, comme un serre-tête catholique. Le pantalon qui ne couvre pas la cheville des salafiste  n’est pas non plus un crime. Le panty des petites filles modèles et de Madame Bovary ressemblait un peu à ça, non ? Un homme qui ne sert pas la main aux femmes a peut-être les paumes moites et la phobie des contacts. Rien ne signifie rien. À ce train-là, le drapeau de Daech pourrait flotter en haut de Notre-Dame sans que certains y voient autre chose qu’un chiffon blanc tâché de graisse noire, sans doute oublié là par quelque couvreur distrait.

S’ils étaient peu nombreux, ces signaux ne seraient qu’incongrus. C’est tous rassemblés, qu’ils constituent un marqueur symbolique de l’avancée massive d’un islam conquérant dans notre pays. Et comment parviendrait-on à en réduire le nombre et l’expression alors que les chiffres de l’immigration, on vient de l’apprendre, sont désastreux ?  Les poupées sans visage, il y en a somme toute beaucoup dans le monde politique : des marionnettes dans les mains des islamistes, trop souvent aveugles et muettes. 

Gabrielle Cluzel; Boulevard Voltaire

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Macron, en plein délire, proposait de liquider notre force nucléaire !

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Emmanuel Macron est un type éminemment dangereux, impulsif, machiavélique, prêt à sacrifier la France sur l’autel d’une Europe fédérale, au nom de la mondialisation heureuse.

Il est capable de tout, et notamment du pire. On le dit intelligent, alors qu’il ne comprend strictement rien aux problèmes de ce monde, emporté par ses délires mondialistes et sa haine des nations, la France de nos ancêtres en particulier.

Il nous mène au tombeau, n’ayant que mépris pour le patriotisme, pour notre France millénaire et pour l’âme du peuple gaulois.

En 2010, cet ignare prétendait que le nucléaire ne servait à rien, oubliant que c’est l’équilibre de la terreur qui a permis au monde de vivre en paix depuis 1945. 

« Ce n’est pas très compliqué de trouver 4 milliards d’économie. La dissuasion nucléaire ça ne sert à rien, les Allemands n’en ont pas. »

Énormité sidérante, à laquelle Attali avait répondu :

« Tu dis n’importe quoi. La force de dissuasion nous permet d’avoir un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU ( avec le droit de véto )… La question essentielle est celle de notre souveraineté. »

Cet épisode en dit long sur la médiocrité de notre Président, pour lequel une économie de 4 milliards, soit 0,2 % de notre PIB 2010, pesait davantage à ses yeux que notre souveraineté et notre sécurité nationales.

Rappelons que l’immigration nous coûte 30 fois plus cher que l’arme atomique et désintègre la nation.

Tout d’abord, si l’Allemagne ne possède pas l’arme nucléaire, c’est avant tout parce que cela lui fut interdit et ensuite parce qu’elle s’en remet à la protection des États-Unis et de l’Otan.

Moyennant quoi cette grande puissance économique ne pèse rien sur l’échiquier international.

Macron devrait savoir qu’avec le deuxième domaine maritime du monde, ainsi que le deuxième réseau d’ambassades derrière celui des États-Unis, la France rayonne sur toute la planète et pas seulement sur l’Europe comme l’Allemagne.

À ce titre, notre siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU nous accorde un poids inestimable dans la gestion des conflits internationaux, ce que nous envient précisément les Allemands. 

Macron n’a pas compris que le monde, depuis des millénaires, ne se bâtit que sur des rapports de force.

Non seulement Macron est à l’origine du déclassement économique de la France, passée du 5e au 7e rang depuis 2017, mais il voudrait diluer notre force nucléaire dans l’Europe, voire partager notre siège au Conseil de sécurité. De Gaulle doit se retourner dans sa tombe !

Il est réellement obsédé par l’Europe.

Ayant abandonné ses délires de désarmement nucléaire à sens unique, Macron affirme dorénavant que l’arme atomique est « la clé de voûte de notre sécurité et la garantie de nos intérêts vitaux ». Salutaire retournement de veste !

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/dissuasion-nucleaire-les-quatre-convictions-d-emmanuel-macron-839281.html

« Aujourd’hui comme hier, elle garantit notre indépendance, notre liberté d’appréciation, de décision et d’action. Elle interdit à l’adversaire de miser sur le succès de l’escalade, de l’intimidation ou du chantage ».

Bref, la bombe qui ne servait à rien il y a 10 ans a toutes les vertus aujourd’hui !

Mais tout en ajoutant qu’il aspire à « un débat des Européens sur le rôle de la dissuasion nucléaire française dans la sécurité collective de l’Europe ».

En fait, pour Macron, les intérêts vitaux de l’Europe ou les nôtres, c’est du pareil au même.

Il oublie qu’au Sahel, nos partenaires ont refusé de payer le prix du sang, abandonnant nos soldats dans la guerre contre le terrorisme. Par conséquent, pourquoi la dissuasion française aurait-elle vocation à protéger les intérêts européens ?

C’est ahurissant. Ce sont les Européens, pour beaucoup anti-nucléaires, qui vont débattre du bien-fondé de notre arme atomique et de son utilisation ! Macron est fou à lier.

Pour cet illuminé, européen avant d’être français, il s’agit de « notre sécurité collective » et pas de notre sécurité nationale. C’est tout l’inverse de la vision gaullienne de la force de frappe.

“Soyons clairs : les intérêts vitaux de la France ont désormais une dimension européenne”

Avec Macron, il n’y a plus rien de français, puisque tout prend une dimension européenne, même si nos partenaires jouent systématiquement le chacun pour soi, faisant de la France l’éternel dindon de la farce.

La nation, le patriotisme, notre souveraineté, et maintenant notre dissuasion nucléaire, tout cela n’a plus aucune signification nationale, mais doit se mesurer à l’échelle européenne.

Il est clair qu’il n’aspire qu’à brader le peu de souveraineté qui nous reste et que son aveuglement va nous détruire. Macron devient de plus en plus dangereux pour la France. Le réélire serait suicidaire.

Car s’il est réélu, la France perdra son siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU et son droit de véto, qu’il faudra partager avec d’autres pays. Macron veut réellement nous détruire.

Jacques Guillemain, Riposte laïque

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Natation: à 16 ans, Michel Arkhangelsky, bat des records… mais ne peut pas défendre les couleurs de la France car sa demande de naturalisation s’enlise

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Arrivé dans l’hexagone à l’âge de 4 ans, le jeune nageur Michel Arkhangelsky est devenu le meilleur dossiste en France. Un pays qu’il ne peut représenter, faute de nationalité.

L’un des plus grands espoirs du pays ne peut pas représenter la France. A seulement 16 ans, Michel Arkhangelsky, un jeune nageur d’origine russe licencié à l’Olympic Nice natation est l’un des meilleurs dossistes du pays. Pourtant, il ne peut pas représenter la France. “Je suis arrivé en France à 4 ans. Depuis l’âge de 5 ans, je m’entraîne à Nice. J’ai appris le français, mes amis sont Français. La France n’est pas juste une langue, c’est une culture et des valeurs auxquelles je m’identifie et que j’aimerais représenter sur la scène internationale”, a confié le nageur, lundi sur le plateau de BFM Nice Côte d’Azur.

(…)

Alors que la procédure de naturalisation a été montée il y a 18 mois, l’adolescent est toujours sans nouvelle et continue de s’entraîner, sous l’oeil avisé de son coach, Fabrice Pellerin. “Au regard des belles performances qu’il produit depuis quelques saisons, on a fait appel aux institutions sportives en mettant en avant le fait que si Michel était naturalisé, il pourrait représenter le drapeau français et ce serait une plus-value pour notre sport. On est en attente. Le chemin est sinueux administrativement.”

rmcsport.bfmtv.com

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La vidéo d’un handicapé mental frappé dans le RER A choque les internautes

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FDSouche

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Poupées sans visage, écoles séparées, clientélisme, subventions à des associations islamistes, RATP : Les pires extraits du “Zone Interdite” sur l’Islam radical à Roubaix, Bobigny et Marseille

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Extraits :

21/01/2022

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