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Sputnik
Alors que le gouvernement s’efforce de préciser les conditions du déconfinement, le professeur André Grimaldi s’inquiète de l’impact qu’il pourrait avoir sur des hôpitaux déjà très fragilisés. Après les errements de l’exécutif, notamment la polémique sur le port du masque, les pouvoirs publics n’ont plus droit à l’erreur, selon lui.
«Les pénuries continuent, le déconfinement ne peut pas se réaliser dans les conditions actuelles. Un déconfinement, ça suppose des tests Covid, un confinement dans des lieux dédiés et une population qui porte le masque. Actuellement, on est dans la pénurie. On est encore dans la gestion de la pénurie.»
Répondant aux questions de Sputnik, le professeur André Grimaldi, diabétologue et professeur émérite à l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, ne fait pas mystère de ses craintes face au déconfinement qu’Emmanuel Macron a annoncé le 13 avril dernier. «Le problème dans la situation actuelle, c’est que pour que le déconfinement se passe bien, il faut qu’il se fasse dans des conditions absolument strictes pour dépister tous les patients et tous les contacts de ces patients, pour pouvoir éventuellement les garder en confinement, non pas chez eux, mais par exemple dans des hôtels», explique le spécialiste.
De fait, c’est le manque de tests, mais aussi de masques, qui a sans doute prévalu dans la décision de l’exécutif d’imposer un confinement aveugle. Son principal avantage a pu être d’étaler les hospitalisations dans le temps, mais son inconvénient est de priver de soins des malades potentiels, invités à rester chez eux et, par conséquent, susceptibles de contaminer leur entourage. Aussi, dans le cas où la sortie du confinement serait mal conduite, les enjeux sont très lourds.
«Le déconfinement est un pari. S’il y a une grande vague, ce sera non seulement une crise sanitaire, mais aussi une crise politique», prévoit André Grimaldi.
De fait, en matière de masques de protection, l’exécutif ne semble toujours pas en mesure d’établir une feuille de route claire. Ce 23 avril, le Premier ministre Édouard Philippe était au CHU de Strasbourg pour une visite surprise aux hôpitaux universitaires afin d’échanger avec des soignants «en première ligne», selon ses termes, sur l’épidémie. Dans la foulée, ce même jour, l’Élysée faisait savoir que, faute de stocks suffisants, il serait simplement recommandé aux citoyens de porter des masques non professionnels.
En clair, des masques de fortune ou artisanaux. L’Académie nationale de médecine a pourtant recommandé le port du masque partout et pas seulement dans les transports en commun. «Le port du masque antiprojections doit être généralisé dans l’espace public», alors qu’attendre la date du 11 mai pour faire porter le masque, «c’est accorder trois semaines de répit au SARS-CoV-2 pour qu’il continue de se transmettre», a déploré l’Académie.
Aggravation de la crise sanitaire, sociale et politique?
Pour André Grimaldi, qui qualifie sans ambages au micro de Sputnik de «mensonges» les prises de position successives du gouvernement sur la question de l’utilité du port du masque, c’est un nouveau flottement des pouvoirs publics.
«Là, l’hôpital n’est pas en état de recevoir une deuxième vague de la même ampleur que la première, ce sera une crise gigantesque», prévient le professeur.
Même constat pour Céline Laville, présidente de la Coordination nationale des infirmières (CNI). «La tension en réanimation est certes un peu moindre, mais pour autant, les équipes sont épuisées. Quand le confinement a été décrété, les hôpitaux se sont organisés pour tout déprogrammer: consultations, chirurgie non urgente», précise-t-elle, à Sputnik. Elle ajoute que ces opérations, non urgentes il y a cinq semaines, le devenaient maintenant: «On commence à voir arriver en oncologie, en cardiologie, des patients avec des pronostics moins favorables.»
«On est dans des structures qui étaient avant la crise déjà difficulté et ça ne va pas s’améliorer», pointe de son côté Pierre-Olivier Delpech, chirurgien urologue au CHU de Poitiers, dans la région Nouvelle-Aquitaine, pourtant beaucoup moins touchée que l’Île-de-France ou le Grand-Est.
«Au départ, il nous manquait déjà 17 anesthésistes et 40 infirmières, rappelle-t-il, et on doit se rationner sur les anesthésiants comme le curare en raison de la pénurie au niveau national.» «Depuis le début de l’épidémie, avec les collègues de mon service, on doit s’adapter au maximum entre le bénéfice et le risque qu’on fait courir au patient», déplore-t-il au micro de Sputnik.
Une gestion sur le fil du rasoir, faute de moyens et de stocks, que le professeur Grimaldi confirme. «Cette crise va durer. Et par sa durée, elle va se transformer –et se transforme déjà– en crise sociale. Les inégalités explosent», constate-t-il, évoquant la promiscuité, la taille des logements et les conditions de vie des «plus pauvres». «Ça a déjà commencé», conclut-il.
La chanson du jour, Toi et moi – Guillaume Grand
En période de confinement cette chanson prend une autre dimension… Encore une chanson à écouter en boucle !
Déconfinement : ça sent la panique
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Boulevard Voltaire
À entendre les déclarations fumeuses, filandreuses, alambiquées des membres du gouvernement, à voir la mine défaite d’Édouard Philippe, la fébrilité de tous, on ne sent pas, du côté du gouvernement, une assurance à toute épreuve quant à ce déconfinement annoncé pour le 11 mai. Macron a prévenu qu’il sera progressif : personne ne sait donc à quel rythme il s’effectuera, sur combien de semaines il s’étalera.
Macron et Philippe eux-mêmes ne semblent pas plus éclairés que nous sur la question. Mme Ndiaye nous explique qu’il faudra du temps pour préparer le plan de déconfinement : pense-t-elle nous le dévoiler après la date officielle du 11 mai annoncée par le Président en personne ? Rien ne nous étonnerait plus venant de ce gouvernement, tant l’amateurisme et l’improvisation règnent à tous les étages.
En fait, le gouvernement semble s’être piégé tout seul dans sa stratégie à courte vue de confinement absolu. En décidant la mise en sommeil totale et brutale de l’activité, il a tout misé sur la santé publique au prix de la survie de l’économie, sans vraiment mesurer la catastrophe que cette option allait entraîner. Il a fallu attendre trois semaines pour que le pouvoir prenne enfin conscience du désastre qui se profile à l’horizon, en termes de faillites, de chômage et, derrière, de dommages pour la santé, car la misère et le désespoir sont des facteurs de mortalité à grande échelle, entre dépressions, suicides, délinquance, violences, soins négligés faute de moyens.
Alors, le gouvernement a annoncé la fin de la séquestration générale pour le 11 mai : pour le coup, il a choisi l’économie, la vie quotidienne, l’ordre public à l’heure où la fièvre commence à monter dans certains quartiers (une fièvre non virale, cette fois…). Sauf qu’en déconfinant dans trois semaines, probablement prématurément si l’on se place en cohérence avec la stratégie adoptée, le gouvernement ne sait pas s’il ne va pas réduire à néant les effets positifs des deux mois de sacrifices qu’il nous a fait endurer…
Le pouvoir navigue à vue, ne sait plus trop ce qu’il doit faire : entre deux maux, le virus et le krach, lequel choisir… Il est piégé par sa propre décision brutale, pulsionnelle, de confinement universel du jour au lendemain, elle-même prise pour compenser ses négligences préalables. Si l’on n’avait pas pris le sujet à la légère en janvier, nous aurions peut-être disposé des armes pour mener cette guerre comme il le fallait et nous aurions évité la mise au pilon de notre économie. Nous aurions pu adopter un plan de confinement partiel, limité, qui aurait maintenu un minimum vital pour les activités et aurait assuré la survie des entreprises et des commerces. Aujourd’hui, il devient urgent de déconfiner, pour raison économique, comme hier, il était devenu urgent de confiner pour raison sanitaire : Macron et Philippe n’organisent rien, ils réagissent à contretemps aux urgences, pourtant prévisibles, qui se présentent.
En élisant des amateurs en 2017, parce que les candidats concurrents étaient empêtrés dans des affaires bien vénielles au vu des enjeux actuels, la France ne se doutait pas de la tempête qu’elle allait affronter et à quel équipage elle décidait de confier la barre avec, pour mission, d’assurer sa survie. Elle risque fort de regretter ses choix.
L’intifada en plein confinement, une deuxième façon de tuer la France
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Riposte Laïque
GUERRE + GUERRE = GUERRE
INTIFADA-COCAÏNE !
Première école brûlée, à Gennevilliers. 3e nuit d’émeute. Et comme nous sommes dirigés par des tocards qui n’ont aucun plan, aucune stratégie, depuis 40 ans, pour mettre fin au foutoir, et ceux-là pas plus que les autres, cela va continuer, en plein ramadan, pendant le confinement. Une deuxième façon de tuer la France. Le confinement nous a coûté 120 milliards de pertes en quelques semaines, juste le prix de l’immigration tous les ans. Double peine pour les Français : http://www.fdesouche.com/1365787-nouvelle-nuit-demeutes-en-france-videos
https://francais.rt.com/economie/74338-mesures-confinement-ont-entraine-120-milliards
Alors là c’est le pompon, les journaleux aux ordres ont osé. Merveilleux, le blessé multirécidiviste, la pauvre petite crapule touchée dans sa chair appelle au calme, quelle grandeur d’âme ! Et quelle aubaine, il est photogénique comme Tariq Ramadan, et on voit qu’il souffre, le prototype du martyr ! Punaise, c’est beau, de l’émotionnel, du lacrymal, allez coco, envoie, c’est du nanan : http://www.leparisien.fr/faits-divers/villeneuve-la-garenne-l-appel-au-calme-du-motard-blesse-a-la-jambe-22-04-2020-8303706.php
L’intifada prend de l’ampleur partout :
Magnifique info-titre du Monde, du grand art journaputassier :
Roubaix, certains policiers tirent mal : « Le véhicule en question a été découvert un peu plus tard, déjà vide et sans impact de balle. » https://fr.sputniknews.com/france/202004221043621488-il-percute-a-plusieurs-reprises-une-voiture-de-police-a-roubaix-un-agent-degaine-/
Ordre d’en « haut » : surtout couchez-vous devant la racaille, mais verbalisez bien les braves gens qui vont faire une course sans attestation !
On comprend mieux cela, du coup : http://www.fdesouche.com/1365763-roubaix-59-un-match-de-foot-clandestin-reunit-une-quarantaine-de-personnes-dans-un-stade-la-police-obligee-dattendre-des-renforts-pour-intervenir
Jordan Bardella tente de convaincre un journaleux. Pas simple :
Pour ceux qui ne l’auraient pas encore vue, c’est long, 2 mn 20 quand on se fait casser la gueule par une meute d’ordures : https://www.breizh-info.com/2020/04/21/142001/le-syndicat-synergie-officiers-diffuse-la-video-ultra-violente-dun-vol-dun-scooter-a-rennes/
Comme si ça allait les arrêter, grotesque ! http://www.leparisien.fr/faits-divers/paris-et-petite-couronne-l-achat-et-la-detention-de-feux-d-artifice-et-engins-pyrotechniques-interdits-21-04-2020-8303520.php
C’est pas malin, à Aurillac : http://www.leparisien.fr/faits-divers/aurillac-sortis-avec-un-fusil-et-sans-attestation-des-dealers-finissent-au-commissariat-21-04-2020-8303349.php
Paris d’Hidalgo : juste pour le plaisir de retrouver p’tit Brossat, trop content de nous gratifier d’un de ses portraits narcissiques : http://www.leparisien.fr/paris-75/logement-et-coronavirus-a-paris-l-objectif-de-la-ville-est-que-la-crise-sanitaire-ne-se-transforme-pas-en-crise-sociale-21-04-2020-8303472.php
Paris de Brossat, un égout à ciel ouvert : https://www.bfmtv.com/societe/la-rue-leur-appartient-dans-le-quartier-de-stalingrad-le-confinement-ne-freine-pas-les-trafics-de-drogue-1898692.html
Ben oui, en ce moment, c’est plus difficile quand on envoie les allocs au bled en début de mois ; pas grave, les kouffars paieront: http://www.leparisien.fr/essonne-91/etampes-une-adjointe-au-maire-reclame-le-gel-des-loyers-pour-les-familles-les-plus-modestes-22-04-2020-8303703.php
Trois heures à faire la queue en bagnole pour avoir un fleuron de la trash-food ! Allo les pandores, pas de drones, pas d’hélico, pas de prunes ? https://fr.news.yahoo.com/coronavirus-queue-devant-un-mcdo-a-peine-rouvert-indigne-twitter-152229523.html?fbclid=IwAR0ofSQ6t2_Ny2O3SM9NExrwyO5GX61u1IZM2wesm7MkUr_8O4NJ4tuAUKM
Et évidemment, dans ce contexte, Belattar, le frère de Macron, sort un clip anti-police, sans la moindre réaction des autorités. Policiers, mes concitoyens, mes amis, vous allez supporter cela encore longtemps ? Cette République de gouapes, de truands, de faussaires, de menteurs, de bonneteurs, j’en passe et des pires encore, comme assassins de leur propre peuple ? Vraiment, vous allez supporter cela encore longtemps ? http://www.fdesouche.com/1365833-yassine-belattar-2
Il n’y a qu’en France que des clandestins se permettent cela, sans se faire virer dans la journée même. La France d’Emmanuel Macron. Cloaque ! https://www.lavoixdunord.fr/744037/article/2020-04-21/coulogne-des-affrontements-entre-migrants-et-chauffeurs-routiers-samedi-un
Dégâts collatéraux : putsch chez Asselineau. Du sordide : https://www.lefigaro.fr/politique/l-upr-veut-debarquer-son-chef-francois-asselineau-20200421
CORANOCORONACONARDOCOCO
Dupont-Aignan dénonce le scandale d’État que nous soupçonnions déjà :
Toubon dans ses œuvres : on remarquera que les clandos incarcérés ont été testés, EUX, ont reçu masques, gants et gel, EUX : http://www.leparisien.fr/paris-75/coronavirus-une-vingtaine-d-etrangers-toujours-retenus-au-centre-de-paris-vincennes-21-04-2020-8303490.php
Zemmour énonce des évidences et des solutions de bon sens.
La France est riche, et cela ne coûtera rien, c’est l’État qui paye : https://www.lefigaro.fr/flash-eco/l-etat-versera-leurs-subventions-aux-associations-20200421http://
Le professeur a tout compris sur les médias dominants.
Du côté du virus, l’enquête progresse : https://www.tdg.ch/suisse/covid19-quune-pneumonie-virale/story/25930175
La prochaine rentrée des classes, le gag permanent. : https://www.lci.fr/population/retour-a-l-ecole-dates-classes-cm2-ce1-ce2-cp-les-details-du-calendrier-tres-progressif-de-jean-michel-blanquer-2151603.html?
Politique criminelle de Conté en Italie, celui qui avait traité Salvini de raciste parce qu’il voulait fermer les frontières et arrêter les vols venus des pays asiatiques : http://www.fdesouche.com/1365701-italie-les-autorites-souhaitent-regulariser-des-centaines-de-milliers-de-migrants-pour-remplacer-les-travailleurs-etrangers-saisonniers-originaires-deurope-de-lest
Céline Dion. La bonne dame des œuvres. Prête pour l’appel du muezzin : https://twitter.com/hashtag/gratitude?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Eembeddedtimeline%7Ctwterm%5Eprofile%3AF_Desouche&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.fdesouche.com%2F1365833-yassine-belattar-2
« Elle est très bien, cette grande autruche » (Allah)
« P4 » de Wuhan : la France a livré une bombe bactériologique à la Chine…
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Riposte Laïque
Dans la tragédie que vit le monde entier avec le Covid-19, qui a fait à ce jour 180 000 morts et qui détruit peu à peu toute l’économie des grands pays industrialisés, la France a une immense responsabilité.
Car c’est elle, et elle seule, qui a livré aux Chinois, clés en mains, un laboratoire de très haute sécurité biologique, destiné à l’étude de virus pathogènes, c’est-à-dire pour lesquels il n’existe ni traitement, ni vaccin !
Autant dire que les chercheurs de ce laboratoire « P4 », le plus haut degré de sécurisation possible, doivent s’équiper comme des cosmonautes avant de manipuler des virus aussi dangereux que des flacons de nitroglycérine.
Nicolas Dupont-Aignan résume l’essentiel de cette affaire dans la vidéo ci-dessous, et souligne l’extrême discrétion de la France sur le sujet. Il aura fallu que les Anglo-Saxons, une fois de plus, décident de prendre l’affaire en mains pour dénoncer le manque de transparence et de coopération des autorités chinoises dans la recherche de l’origine du virus, élément indispensable pour prévenir des catastrophes sanitaires futures.
Quand Donald Trump parle d’un « virus chinois » et accuse Pékin d’avoir menti, il a raison. Les États-Unis réclament une enquête, la Grande-Bretagne déclare que la Chine doit s’expliquer et Emmanuel Macron prend le train en marche en ajoutant du bout des lèvres que « de toute évidence, des choses se sont passées là-bas dont nous n’avons pas connaissance ».
On se souvient que le 16 avril, Luc Montagnier, notre célèbre Nobel de médecine, déclarait sur un plateau TV qu’on trouvait des séquences du VIH dans le génome complet du Coronavirus, signe qu’il y avait eu une manipulation du virus en laboratoire. Une étude indienne, disparue depuis, évoquait « une similarité étrange qui a peu de chances d’être fortuite ».
Déclarations qui ont aussitôt suscité un tollé sans la sphère scientifique et les médias. Propos jugés scandaleux, mensongers, infondés et même invraisemblables.
Il est quand même permis de s’interroger sur un tel déluge de critiques contre un prix Nobel de médecine, alors qu’on ne connaît strictement rien de l’origine du virus !
Les Chinois ont refusé toute enquête de l’OMS ou d’experts occidentaux sur place. Pourquoi ? Que cachent-ils ?
Par conséquent, deux thèses s’affrontent. Celle d’une manipulation volontaire du virus par des apprentis sorciers, ou celle d’une contamination accidentelle par manquement aux règles drastiques de sécurité. Les scientifiques penchent pour la seconde hypothèse, mais seule une enquête internationale pourra répondre aux multiples interrogations.
Réfutant toute théorie du complot, Luc Montagnier estime que les complotistes sont dans le camp adverse, chez ceux qui cachent la vérité.
Historique de ce laboratoire « P4 » livré par la France. (source Figaro du 21/4/2020)
C’est en 2004 que Jacques Chirac et son homologue chinois de l’époque, Hu Jintao, décident de s’associer pour lutter contre les maladies infectieuses émergentes. Le Premier ministre est Jean-Pierre Raffarin, le chef de notre diplomatie est Michel Barnier.
Il est donc décidé d’effectuer un transfert technologique à très haut risque, en livrant aux Chinois un laboratoire « P4 », le nec plus ultra de la recherche médicale sur les virus.
Il est prévu un pilotage commun entre les deux pays et 50 chercheurs français iront travailler à Wuhan pendant cinq ans, pour apporter leur expérience à leur homologues chinois. Sur le papier, c’est parfait. C’est l’industriel pharmaceutique Alain Mérieux qui préside le comité de pilotage.
Mais en France, beaucoup renâclent. Le SGDSN et les milieux de la recherche scientifique n’approuvent pas ce projet trop risqué. Certains craignent un détournement du laboratoire vers la recherche d’armes biologiques.
Ces opposants soulignent à juste titre qu’il n’existe pas de contrôle international possible, comme cela se fait pour les sites nucléaires ou chimiques.
Mais les politiques ont le dernier mot et le chantier démarre pour se terminer en 2015. La mise en exploitation commence en janvier 2018.
L’avenir va malheureusement donner raison aux scientifiques réticents. Champions de l’opacité et virtuoses de l’hypocrisie, les Chinois vont très vite s’opposer au projet de coopération bilatérale voulu par les Français.
S’étant approprié notre technologie, ils vont mettre la France à l’écart.
Les entreprises chinoises ont assuré l’essentiel de la construction, pour un projet très complexe, réclamant « des techniques et des connaissances particulières. »
Déçu par le manque de coopération des Chinois, Alain Mérieux quitte la présidence de la commission bilatérale en 2015. Et les 50 chercheurs français n’iront jamais à Wuhan…
Or, un « P4 », c’est une « bombe atomique bactériologique », dit un acteur de l’époque. Procédures de sécurité, scaphandres et sas de décontamination, doivent être respectées à la lettre.
Travaillant seuls, sans le contrôle vigilant des chercheurs français, les Chinois vont négliger les mesures de sécurité, comme l’a souligné récemment le Washington Post. En effet, en 2018, des membres de l’ambassade américaine à Pékin avaient visité le « P4 » de Wuhan et alerté l’Administration américaine sur l’insuffisance des mesures de sécurité.
En février 2020, des médias chinois ont rapporté des défaillances, précisant que les chercheurs jetaient des matériaux dans les égouts, après expérimentation, sans aucune décontamination préalable.
Des chercheurs, arrondissant leurs fins de mois, vendaient des animaux de laboratoire sur les marchés de Wuhan !!
Il faudra bien un jour que le voile se lève sur l’origine de cette tragédie.
Avec cette pandémie dévastatrice, qui va ramener la France au niveau de 1945 si elle s’éternise, se pose la question de la mondialisation débridée, sans règles ni éthique, où seul le profit mène le monde.
Quand la France a décidé de brader son savoir-faire scientifique aux Chinois, malgré les risques et les réticences des chercheurs, elle était engagée sur de nombreux autres projets économiques avec Pékin, notamment un gros contrat Airbus et un centre de retraitement de déchets radioactifs.
On voit où a mené l’appât du gain que suscite l’immensité du marché chinois. Non seulement tous les transferts de technologie se sont retournés contre les Occidentaux, victimes de la concurrence déloyale de la Chine, mais le monde connaît aujourd’hui le plus grand désastre sanitaire depuis la grippe espagnole de 1918 et le plus terrible effondrement économique depuis 1945. Beau bilan !
Il est grand temps d’en finir avec cette mondialisation suicidaire et de revenir à des frontières salvatrices et protectrices, que nous n’aurions jamais dû ouvrir au nom des délires mondialistes totalement déconnectés des réalités.
Mondialisme et multiculturalisme ne sont que des foutaises aussi dangereuses que le Covid-19. Macron est donc une menace pour la France.
Il est urgent de revenir à l’Europe des nations et de liquider cette pitoyable Union européenne qui n’est d’aucun secours. Ce que fait la BCE pour « sauver » l’Union, la Banque de France peut très bien faire de même.
Bientôt des «émeutes de la faim» en Seine-Saint-Denis?
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Le préfet de Seine-Saint-Denis redoute une pénurie alimentaire qui pourrait provoquer des émeutes, indique le Canard Enchaîné. Une disette qui risque de toucher entre 15.000 et 20.000 personnes dans le département, s’inquiète le haut fonctionnaire.
Le préfet de Seine-Saint-Denis se fait du mauvais sang. Dans un mail du 18 avril adressé à son confrère d’Île-de-France, intercepté par le Canard enchaîné, Georges-François Leclerc redoute des «émeutes de la faim», conséquences d’une potentielle pénurie alimentaire dans le département.
«Devant les soupes populaires, les files d’attente ne diminuent pas, et ce ne sont pas des habitués, ce sont des salariés», confirme un élu local au Canard.
Selon Georges-François Leclerc, entre 15.000 et 20.000 personnes qui sont dans «des bidonvilles, des centres d’hébergement d’urgence et des foyers de travailleurs migrants» vont être touchées par cette pénurie. Les enfants et les collégiens sont aussi menacés: les écoles ayant fermé, les enfants n’ont plus accès à la cantine, qui est indispensable à certaines familles pour s’assurer d’au moins un repas complet. Une situation que connaissent depuis un certain temps les acteurs de terrain, comme en atteste le témoignage de ce policier à l’un de nos confrères:
En effet, le confinement a réduit de façon importante les revenus de certains habitants de Seine-Saint-Denis, notamment ceux qui travaillaient en intérim, ainsi que ceux qui participent à «l’économie souterraine, de rapine» ou à l’uber-économie. Tous se voient dorénavant en grande difficulté, et «ce qui était jouable sur un mois de confinement ne le sera pas sur deux», s’inquiète le préfet dans son mail.
Si l’État alloue des bons alimentaires, à hauteur de 7 euros par jour et par personne, à ceux qui vivent dans les conditions les plus précaires (hébergées dans les hôtels, bidonvilles), ces bons seront également donnés aux habitants de foyers et résidences sociales, mais un problème persiste:
«À chaque vague, nous ne pouvons distribuer les tickets, pour quinze jours, qu’à 9.500 personnes, quand il faudrait en nourrir de 15.000 à 20.000», déplore le préfet dans son mail du 18 avril.
De fait, il insiste sur la nécessité «de doubler» la dotation de l’État pour le département. Des inégalités se creusent avec le confinement et les alertes se multiplient. Mais ces dernières semblent avoir été prises en compte, puisque la Caisse nationale d’allocations familiales (CAF) va verser près d’un milliard d’euros pour aider les familles les plus modestes. Cependant, cette aide sera versée une seule fois, à hauteur de 150€ par foyer et 100€ par enfant à charge. Les récipiendaires devront toutefois s’armer de patience jusqu’au 15 mai prochain. Une opération qui vise 4,1 millions de foyers.
La chanson du jour, Clouds – Flèche Love.
Une voix unique, une musique magique…quelle atmosphère ! On aime on aime ….
COMPIL AVRIL 2020En 50 ans, la France transformée en République soviéto-islamo-bananière
Articles avril 2020 – Articles mars 2020 – Articles février 2020
Riposte Laïque
L’épidémie de Covid-19 a l’avantage de révéler crûment la réalité du monde. Plus besoin de faire des prévisions, prédictions, sondages, simulations, modélisations, tirages de cartes, estimations, il suffit d’ouvrir les yeux et de constater les dégâts.
À commencer par notre merveilleux pays des droits de l’Homme. Inutile de revenir sur la faillite totale d’un système bureaucratique, obèse, impotent, dictatorial, accumulant à l’infini des structures parasitaires enchevêtrées et finalement inefficaces, nous le subissons tous au quotidien. L’État est impuissant, donc il nous enferme tous et nous libérera quand les poules auront des dents. On peut se consoler en se disant que d’autres pays n’ont pas fait mieux que nous (l’Italie et l’Espagne), mais se comparer à plus mauvais que soi est indigne et guère rassurant. Car si on se compare aux pays qui ont fait mieux (par exemple, l’Allemagne ou le Portugal), on a honte de la France. Il suffit d’ailleurs de comparer l’organisation et les résultats obtenus par les systèmes médicaux français et allemand dans cette épidémie pour tout comprendre.
Au niveau de l’UE, dès le début ce fut le chacun pour soi. La solidarité européenne tant vantée depuis tant d’années a instantanément volé en éclats, mais il fallait être un vrai Bisounours pour imaginer le contraire. Dans les situations critiques, on retrouve les réflexes élémentaires de survie : sauver sa peau d’abord. Darwin a expliqué tout ça il y a longtemps. Ça s’est un peu amélioré depuis, mais à peine, il ne faudrait tout de même pas que les riches fourmis industrieuses du Nord payent pour les indigentes cigales dépensières du Sud. Si quelques chefs d’État (dont le nôtre) persistent à révérer la vache sacrée européenne, la plupart ont fermé leurs frontières et s’activent à protéger leurs populations sans compter sur l’UE mais en utilisant leurs moyens propres ou ceux de leurs voisins lorsqu’ils peuvent s’en emparer ou ceux fournis avec arrière-pensées par des États lointains jusqu’alors ignorés.
Et l’Europe dans le monde va sortir de la crise sanitaire comme un nain, épuisée, lessivée, soumise, méprisée. La révélation de sa dépendance aux autres pour une bonne partie des produits dont elle a besoin, y compris les produits de première nécessité, est effrayante. Ce continent qui fut le centre du monde ne représente plus grand-chose aujourd’hui et plus rien demain. Les combats du futur se feront sans l’Europe. Elle n’est plus qu’un enjeu économique mineur entre les géants d’Amérique et d’Asie, ainsi qu’une terre de conquête pour l’islam (qui en rêve depuis toujours) poussé entre autres par la Turquie, et une terre de cocagne pour l’Afrique qui y déverse son trop-plein démographique. Un butin ou une proie, rien d’autre. Et l’Europe n’est même pas capable de se défendre contre ceux qui veulent la submerger, la piller et la renvoyer à l’Âge de pierre. Ou plutôt, elle refuse de se défendre : elle se soumet lâchement au chantage de la Turquie comme elle se soumet lâchement aux ONG trafiquantes d’êtres humains alors qu’elle aurait encore largement les moyens d’empêcher cela. Mais ses « valeurs » sont plus importantes que sa survie et l’UE les défendra jusqu’au dernier Européen s’il le faut. On appelle ça un suicide.
Peut-on espérer que la France du monde d’après sera un peu moins affreuse que celle du monde d’avant ? Chez nous, il est question désormais de patriotisme économique, c’est nouveau, ça vient de sortir, mais quand celui qui le clame a toujours fait le contraire, on peut douter de la sincérité de sa soudaine conversion. Peut-être essaie-t-il seulement de sauver sa peau lui aussi. Darwin toujours. Mais si on le fait réellement, croit-on qu’on va relocaliser la production simplement en demandant aux entreprises de faire preuve de patriotisme économique ? Si les entreprises se retrouvent écrasées sous les charges et les taxes en produisant en France, elles ne le feront évidemment pas. Alors, on va devoir les subventionner massivement puisque ça ne coûte rien, c’est l’État qui paie. Autrement dit, c’est nous les contribuables qui avons payé, payons et continuerons à payer, comme toujours, mais en un temps de crise économique massive avec une dette qui va grimper à des hauteurs stratosphériques, ce n’est peut-être pas une bonne idée.
Comme chacun d’entre nous doit le savoir, pour augmenter la dépense utile, il faut commencer par réduire l’inutile et là, il y a du travail tant l’État jette notre argent par les fenêtres. Pour réussir à nettoyer les écuries d’Augias, Hercule dut détourner deux fleuves tellement elles étaient sales (elles n’avaient pas été nettoyées depuis 30 ans). La situation de la France après 60 ans de Ve République est similaire. Une énorme couche de crasse de décisions politiques, de choix, de lois, de textes, de règlements, d’arrêtés, de décrets, assaisonnée d’une bonne dose d’opportunisme, de clientélisme, d’arrivisme, de copinage et même de corruption, et avec l’approbation au moins tacite d’électeurs moutons de Panurge, s’est accumulée qui fait de notre pays aujourd’hui une sorte de république soviéto-islamo-bananière gouvernée par le couple infernal Ubu et Kafka. Et un tyranneau est même en train de naître sournoisement de leurs amours. « Arrêtez d’emmerder les Français ! », disait déjà le Premier ministre Pompidou en 1966. La Ve République a été faite par et pour de Gaulle et elle a abouti à la caricature Macron. Difficile de faire plus radicalement différent. Macron est le stade terminal Alzheimer d’une République qui fut brillante : Marianne était une jeune fille accorte, elle est à présent une vieille femme desséchée, laide, radotante et malfaisante, une horrible fée Carabosse. « La vieillesse est un naufrage », comme disait de Gaulle qui n’imaginait pas que ça s’appliquerait un jour à sa République. Et c’est le Covid-19 qui a montré à tout le monde la dégénérescence et la totale incompétence de l’État. À nettoyer vigoureusement et en profondeur.
Une autre grande source de dépenses extravagantes est celle de l’immigration qui ruine la France inexorablement. Mais pas touche ! c’est une autre vache sacrée bien qu’on ne comprenne pas vraiment pourquoi. Elle nous coûte plus de 100 milliards d’€ par an, elle a créé une population qui a la CNI et la carte Vitale pour toucher les allocs et les subventions mais qui hait profondément la France, ne respecte que ses lois tribales, agresse la police, les pompiers et les secours, refuse le confinement, déclenche des émeutes à la moindre occasion, propage un obscurantisme agressif et régressif, vit grassement d’assistanat et de trafics illicites, brandit des drapeaux venus d’ailleurs et exige de se faire enterrer au bled. Pis encore, cette population qui ne cesse de se multiplier prépare la sécession des territoires qu’elle contrôle. Le tout dans la plus totale impunité. Pourquoi accepte-t-on ce qui ne nous apporte que ruine et destruction ? C’est que l’État français est lui aussi, comme l’UE, d’une lâcheté abyssale, une lâcheté qui a commencé dans les années 80 avec un Président qui avait dénoncé 20 ans plus tôt, lorsqu’il était dans l’opposition, « Le coup d’État permanent » de De Gaulle, mais se trouva lui-même si bien au pouvoir qu’il rempila pour un deuxième mandat (il fallait bien nourrir sa deuxième famille cachée). On lui doit la brillante invention de SOS Racisme qui imposa définitivement l’immigration « chance pour la France » et l’antiracisme (c’est-à-dire le racisme anti-Blancs), et la promotion parallèle du FN pour servir de repoussoir commode. Aujourd’hui, 40 ans plus tard, on est toujours englués dans ce piège à cons. À nettoyer également vigoureusement.
Il y a bien d’autres choses à faire mais il faut d’abord que les Français sortent de leur infantilisme permanent, certes bien entretenu par les médias. On ne peut pas gueuler constamment contre l’État, l’accuser de tous les maux et courir se réfugier dans ses bras au moindre bobo. On ne peut pas voter pour un candidat dont les promesses inquiètent puis se plaindre qu’il les applique une fois élu. On ne peut pas voter depuis des décennies pour les mêmes sempiternels apparatchiks interchangeables (et une nouvelle plaie d’Égypte est annoncée avec le retour de Valls, Barnier, NKM et Le Foll, au secours !). C’est bien nous qui avons constamment élu démocratiquement tous les branquignols censés nous représenter (avec à l’occasion quelques entourloupes), nous sommes donc grandement responsables des conséquences de nos actes.
Il faut profiter de la situation actuelle extraordinaire pour nous réveiller, cesser d’être des enfants trouillards qui ouvrent le parapluie du risque zéro et agir en adultes responsables : le destin de la France doit être décidé par nous et non par d’obscures entités étrangères qui tirent les ficelles de nos « représentants » selon leurs intérêts. Et tant pis s’il faut casser des œufs pour faire l’omelette que nous voulons.
Alors, y a-t-il dans la salle un Hercule fermement décidé à nettoyer vigoureusement et en profondeur ces écuries d’Augias qu’est devenue notre pauvre France, avec l’aide de tous les Français patriotes ?
Ramadan 2020 : guérilla urbaine en plein confinement !
Articles avril 2020 – Articles mars 2020 – Articles février 2020
Riposte Laïque
Le ramadan est une escroquerie, vous le savez tous. Loin d’être une pratique ascétique, il génère un doublement de la consommation de nourriture ainsi que des déséquilibres physiologiques et psychologiques majeurs, c’est un puissant moyen de contrôle social, comme le halal. Je rappelle d’ailleurs, inlassablement, que le halal n’est pas uniquement l’abattage des animaux de boucherie, mais tout simplement l’application des critères de la charia, la loi islamique. Ce système juridique est TOTALEMENT INCOMPATIBLE avec notre droit positif, il définit « l’islamic way of life » qui règle de façon tatillonne tous les actes de la vie, même les plus triviaux (comme se torcher avec la main gauche, ou droite, je ne me souviens plus…). En tout cas, une haute élévation mystique !
Cette année, les choses se présentent mal ! En plein confinement, comment festoyer la nuit avec les amis et faire du « ramdam » ? Les 700 000 musulmans de Seine-Saint-Denis sont inquiets et chouinent auprès des autorités, toujours la victimisation (article Valeurs Actuelles du 17 avril) ! Ce chiffre d’ailleurs est à rapprocher de la population globale du département (1,6 millions) et donne un pourcentage de 43 %, et confirme l’halalisation du 9-3. Si on rajoute les autres départements fortement islamisés de France, le chiffre de 6 millions donné régulièrement est largement sous-estimé.
L’islam conquérant (pléonasme) a profité de la polarisation sur le Coronavirus pour inoculer un peu plus le Corano-virus, avec l’aide bienveillante de porteurs (mal)sains du « Conardovirus ».
Une stratégie parfaitement huilée s’est développée tout d’abord par les appels à la prière qui se sont multipliés ; puis la dénonciation d’une messe de Pâques « clandestine » d’ « extrémistes » dans le Point, organe type du camp du Bien, sous la plume d’Aziz Zemmouri, disciple de Tarik Ramadan. Cette fake news, largement relayée par la grosse presse et les réseaux sociaux, avait pour but de relativiser les futurs débordements du ramadan. D’ailleurs, le préfet de Marseille n’a-t-il pas pris les devants en permettant les réunions pour ruptures du jeûne, alors que des amendes pour des apéros entre voisins ont été appliquées sans pitié ? On est dans la continuation de la doctrine Nunez qui prévoyait la souplesse pour l’application du confinement dans les « quartiers ».
Et enfin, dernière phase de la préparation, l’épidémie bien réelle d’actes de guérilla urbaine, émeutes et violences provenant des quartiers islamisés dans les communes suivantes (liste non exhaustive) :
Asnières, Aulnay-sous-Bois, Belfort, Chanteloup-les-Vignes, Clichy-la-Garenne, Clichy sous-Bois, Échirolles, Faches-Thumesnil, Hem, Laon, La Verrière, Les Mureaux, Lille, Lys- lez-Lannoy, Mantes-la-Jolie, Nanterre, Neuilly-sur-Marne, Toulouse, Rillieux-la-Pape, Roubaix, Rueil-Malmaison, St-Denis, Sartrouville, Strasbourg, Villeneuve-la-Garenne, Wattignies…
Cette énumération pour démontrer qu’il y a certainement un plan concerté pour l’entrée en ramadan. Sans doute dans un double but : continuer à tester les réactions immunitaires de notre société décadente (Sida mental) mais aussi dissuader toute intervention des forces de l’ordre visant à faire respecter le confinement pendant le ramadan.
Le silence assourdissant des médias au sujet de ces actes de guérilla urbaine, ainsi que les appels à la prière, est bien dans la ligne constante de la caste politico-médiatique qui manipule le peuple de France en le maintenant cloîtré chez lui. Dormez, braves gens ! Nous savons, nous, qu’un jour ou l’autre l’embrasement généralisé des quartiers surviendra. Nous savons qu’une fois de plus nous ne serons pas prêts ! Comme le disait Éric Zemmour récemment, la France perd toujours au début des guerres, mais a toujours su redresser la situation ensuite.
Préparons-nous en tous cas, le ramadan 2020 sera chaud !
Didier Raoult : « Les médias qualifient de fakes news ce qui ne sont pas les news qu’ils propagent »
Analyse avec lucidité les nouveaux mécanismes de diffusion de l’info et l’amertume que cela fait naitre dans les médias.
“Les médias qualifient de #FakesNews ce qui ne sont pas les news qu’ils propagent”