I-MEDIA 293 – Terroriste soudanais : les médias osent tout !

02:14 L’image de la semaine

En visite à Pantin, Emmanuel Macron s’est quasiment offert… un bain de foule ! Une scène incroyable en plein confinement.

06:22 Terroriste soudanais : les médias osent tout !

À Romans-sur-Isère, samedi 4 avril, un migrant soudanais a tué deux personnes et en a blessé cinq autres aux cris d’ « Allah akbar ». Les médias ont tout fait pour minimiser cette attaque islamiste et donner des excuses au meurtrier.

18:10 Revue de presse

Un appel à la prière qui n’a pas eu lieu tout en ayant quand même eu lieu…
Une hypothèse complotiste en France considérée comme crédible au Royaume-Uni…
Cette semaine encore, les médias dominants ont fait très fort !

27:15 Covid-19 : bas les masques !

Cette semaine, les médias se sont retrouvés confrontés à une nouvelle preuve de l’amateurisme gouvernemental… la position sur l’efficacité des masques ! L’occasion de mettre les hommes politiques et les décodeurs médiatiques face à leurs contradictions !

Coronavirus : historique d’un carnage nommé Macron

Riposte Laïque

Rupture imminente de médicaments essentiels à la réanimation.

Le pays qui s’est longtemps targué d’avoir le meilleur système de santé au monde devrait prendre des leçons auprès de certains pays émergents.

C’est d’autant plus impardonnable qu’avec un budget équivalent, l’Allemagne fait  une démonstration de son incontestable savoir-faire en comparaison du fiasco français.

Le résultat est incontestable : 26 morts par million d’habitants en Allemagne, contre 166 en France !!

L’épidémie empire dans des proportions dramatiques, alors que le gouvernement nous annonce une accalmie dans le Grand Est et en Île-de-France. Ce qui est faux car le nombre de cas graves ne cesse d’augmenter et sature les unités de soins intensifs et de réanimation.

Dans les Ehpad, la situation est tellement catastrophique que personne ne connaît le nombre exact de victimes. On nous cache la terrible vérité. C’est une hécatombe qui ne fait que commencer.

Il y a plus de 10 000 établissements pour personnes âgées en France, dont 7 500 Ehpad. On nous annonce 3 000 morts dans les Ehpad, alors que si chaque établissement recensait « seulement » deux décès, cela donnerait  déjà 15 000 morts ! De qui se moque-t-on ?

Dans l’établissement « La Riviera » de Mougins, on annonce 34 décès, 33 pensionnaires contaminés et 19 cas douteux sur un total de 109 résidents. C’est l’Apocalypse. Une plainte contre X est en cours.

Le 7 avril, il y avait 7 148 cas  graves en réanimation, « un record absolu en France« . « Le besoin de trouver de nouvelles places augmente moins rapidement que les jours précédents mais le solde de patients supplémentaires à prendre en charge chaque jour reste positif, c’est l’indicateur que l’épidémie continue sa progression » (Jérôme Salomon).

Après la scandaleuse pénurie de masques, de tests, de respirateurs, ce sont maintenant les médicaments essentiels en réanimation et en soins palliatifs qui font défaut !

Sur les 39 établissements de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, certains avaient moins de 24 h de stock le lundi 6 avril. (source Figaro)

La pénurie est telle que les hôpitaux ont  recours à des produits réservés aux animaux, ce qui en dit long sur la gravité de la situation et sur l’incompétence de ce pouvoir, qui n’a rien vu venir, niant la gravité de la pandémie pendant plus de deux mois.

Rappelons que Macron et  Madame se rendaient au théâtre le 7 mars et incitaient les Français à sortir. Mais une semaine plus tard, le même décrétait le confinement généralisé. C’est dire l’intelligence et le bon sens de l’artiste !

Une infirmière vient de déclarer à la télévision que les pharmacies des Ehpad avaient été vidées de certains médicaments pour les donner aux hôpitaux. Mais il leur reste le Rivotril pour euthanasier les cas désespérés…

Les trois médicaments indispensables en réanimation sont le midazolam, un sédatif pour plonger le patient dans un coma artificiel, la morphine pour soulager la douleur et le curare qui provoque une paralysie musculaire afin de faciliter l’intubation et la ventilation mécanique.

Les besoins de certains médicaments « ont explosé de 2 000 % avec plus de 7 500 patients en réanimation. » Du jamais vu. Et les pays cigales les plus imprévoyants, comme la France, sont confrontés à la demande mondiale. Difficile d’importer, comme pour les masques…

Et cette pénurie ne touche pas que les hôpitaux. Elle touche également la médecine de ville, laissant les généralistes démunis quand leurs patients à domicile sont sous soins palliatifs.

La crise du Covid-19 ne fait que dévoiler au grand jour la folie de la mondialisation débridée, avec son cortège de délocalisations et de fermetures de nos usines.

Nous avons sous-traité la fabrication de médicaments et de matériels divers, mettant en danger la santé publique.

Des dizaines de milliers de citoyens vont être sacrifiés sur l’autel du mondialisme et des restrictions budgétaires.

En 2018, l’ANSM recensait déjà 871 signalements de ruptures de stock de médicaments d’intérêt thérapeutique majeur, contre 44 seulement en 2008.

Bon nombre de matières premières proviennent d’Asie.

« Il est indispensable que nous retrouvions notre indépendance sanitaire, il faut relocaliser la production au plus vite », déclare le Pr Rémi Salomon, représentant du personnel de santé à l’AP-HP.

Depuis plus de trois mois, nous avons assisté à la plus ahurissante gestion de crise de tous les temps. Difficile de faire pire, difficile de ne pas faire le procès en incompétence absolue et en malhonnêteté criminelle de ce gouvernement.

Historique d’un carnage nommé Macron.

– négation de la menace jusqu’au 12 mars, alors que l’OMS avait déclaré l’urgence sanitaire mondiale depuis le 30 janvier !

– cacophonie généralisée et mensonges permanents sur les stocks de masques et de matériels de soins. « La France est prête » fut le mensonge rabâché quotidiennement par les élites ;

– refus de fermer les frontières à temps, mesure totalement inutile selon Macron, alors qu’aujourd’hui  plus de 3 milliards d’habitants sont confinés ;

– messages multiples sur l’inutilité du masque pour tous et du dépistage de masse. Mais aujourd’hui, virage à 180° car ce sont les deux seuls moyens de sortir du confinement en toute sécurité !

– abandon des Ehpad, alors que ce devrait être la priorité du gouvernement compte tenu de la fragilité des pensionnaires ;

– cabale scandaleuse contre le traitement à la chloroquine, voulant faire passer le Pr Raoult, une sommité médicale mondiale, pour le Docteur Maboul. Mais à Marseille, on meurt moins qu’ailleurs, c’est prouvé !

– comportement irresponsable du Président qui nous fait tout un discours sur les gestes barrière fin mars, mais qui prend un bain de foule cette semaine dans le 9-3, zone la plus contaminée de l’Île-de-France !

– chaque apparition de Macron ne fut qu’un exercice de communication pour soigner son image. Mais l’épidémie continue de s’aggraver.

En réalité, tout n’a été qu’imprévoyance coupable, comportements irresponsables, manquements criminels, mensonges éhontés, décisions dangereuses.

Le résultat est là. La France qui était soi-disant  prête et attendait le Coronavirus de pied ferme fait partie, avec l’Italie et  l’Espagne, du sinistre trio déplorant le plus de morts au monde par million d’habitants ! Bravo Monsieur Macron !

Et ce n’est que le début du massacre, puisque la pénurie reste totale.

La France après la guerre : peuple remplacé, crise économique, État policier…

Riposte Laïque

Ceux d’entre nous qui survivront à l’épidémie se réveilleront assurément dans une France post-apocalyptique hideuse et dangereuse. État futur des lieux.

– D’abord, ils constateront que leur pays ne se ressemble plus du tout, l’épidémie nous ayant indiscutablement démontré que le remplacement de population, ce remplacement que la nomenklatura nie de toutes ses forces, est bel et bien en cours sur notre sol, il est notre réalité actuelle et future et il nous ronge comme un cancer au point que la France d’aujourd’hui n’est plus la France.

Au temps du confinement, on a vu avec stupéfaction qu’une importante partie de la population n’y était pas soumise, tout simplement parce qu’elle le refusait. Et le gouvernement, dans son habituelle lâcheté, a accepté cette rébellion en regardant ailleurs alors même qu’il n’hésitait pas à utiliser la force sur le reste de la population pour faire respecter le confinement (8 millions de contrôles, 500 000 PV). C’est la preuve irréfutable qu’il existe désormais deux populations « face à face » comme l’a dit Collomb, dont l’une est française de mœurs et l’autre de papiers, l’une respecte la loi et l’autre se torche avec, l’une veut vivre en paix et l’autre fout la merde. Mais par ses menaces constantes d’émeutes, de violences, d’agressions, de destructions, de pillages, cette dernière impose son ordre tribal et barbare pour bénéficier d’une totale impunité, allant jusqu’à obtenir l’autorisation tacite de propager librement l’épidémie. C’est criminel !

Et quand il arrive que des chances-pour-la-France attrapent le méchant virus et se retrouvent à l’hôpital, les vieux Blancs malades doivent vider les lieux et aller crever dans un coin pour laisser la place aux jeunes diversitaires braillards et débordants de testostérone. On nous dit que c’est comme de la médecine de guerre, qu’on est obligé de trier les malades suivant leur âge et que les vieux doivent laisser la place aux jeunes parce que les statistiques de mortalité sont contre eux ; en réalité, c’est parce que nos gouvernants ont fait de leur mieux depuis des décennies pour que « le meilleur système de santé du monde » manque de tout, argent, moyens, personnel, et ne puisse plus faire face. Mais une racaille de banlieue avec 50 mentions à son casier judiciaire, parasite analphabète qui baise la France mais touche ses allocs, est-elle plus utile au pays qu’un vieux qui a fondé une famille, élevé ses enfants, payé ses impôts, respecté les lois, aimé la France et peut-être même obtenu quelque belle réalisation intellectuelle, scientifique ou artistique ? Dans une société de comptables, seule compte la quantité et en aucun cas la qualité, sauf naturellement pour les apparatchiks qui sont, eux, certainement pris en charge avec tout le respect, l’efficacité médicale et la chloroquine qui leur sont dus.

Si notre remplacement se fait violemment à l’hôpital et en Ehpad, il se fait silencieusement partout ailleurs : dans les listes d’état-civil de nos belles villes de banlieue, on croise majoritairement des mariages de Nacim et Houriya, des naissances de Fatoumata et Mohamed et, hélas ! des décès de Ginette et Marcel. Les maires, de leur côté, « personnalités politiques préférées des Français », se couchent trop souvent devant les revendications musulmanes agressives pour acheter la paix sociale et assurer leur réélection. Côté prisons, la Belloubête a décidé de les vider en libérant avant la fin de leur peine 7 000 détenus, majoritairement musulmans, dont certains radicalisés et multirécidivistes. Et naturellement l’invasion de l’Europe par les gentils « Refugees Welcome » venus d’Afrique ou de Turquie se poursuit. Sommes-nous donc dirigés par des assassins qui ont programmé (ou laissé faire) la solution finale appliquée aux Européens blancs ? Ainsi ira notre pays après la guerre : le 9-3 partout, la France nulle part. Et pour nous, ce sera « la valise ou le cercueil » une nouvelle fois.

– Ensuite, ils devront affronter une crise économique colossale que l’on nous annonce de même ampleur, voire plus grande encore, que celle de 1929 ; alors que le chômage atteignait 25 % aux USA en 1933, il pourrait y dépasser 30 % cette année ! Et si notre État obèse et incompétent gère cette crise économique comme il a géré la crise sanitaire, c’est-à-dire dans l’improvisation et l’affolement les plus complets, on peut être certain que ce qui arrive aux USA arrivera aussi à la France (et plus généralement à l’Europe) avec une hécatombe de PME, artisans, commerçants, professions libérales ainsi que d’entreprises de transport et de tourisme (Air France appelle à l’aide tout comme les « travailleuses du sexe »). Après avoir relu « La peste » de Camus et « Huis clos » de Sartre pendant le confinement, on pourra relire « Les raisins de la colère » de Steinbeck, tout en méditant sur les sombres photos de Dorothea Lange et en faisant la manche. C’est arrivé aux Russes dans les années 1990 et aux Grecs à partir de 2008, alors pourquoi pas aussi à nous qui sommes si forts pour faire la leçon aux autres ! Quant à la solidarité de la « Communauté internationale », elle se manifestera comme elle le fait toujours dans ces situations par des nuées de charognards qui s’abattront sur les malheureux pour les dépouiller jusqu’à l’os de leurs derniers biens.

– Enfin, ils vivront probablement dans un État policier autoritaire qui ne dira pas son nom. Notre Président ayant obtenu les pleins pouvoirs pour gérer la crise sanitaire, croyez-vous qu’il va les abandonner spontanément, une fois celle-ci terminée ? Donner un tel pouvoir sans contrôle à un pervers narcissique, n’est-ce pas exaucer son désir le plus cher ? Laisser les commandes à celui qui est un manipulateur dans l’âme, c’est la meilleure nouvelle pour lui mais la plus mauvaise pour nous.

Naturellement, tout cela se fera pour notre bien et notre santé. En quelques jours, nous avons déjà accepté une réduction vertigineuse de nos libertés individuelles comme jamais dans notre histoire en période de paix ; la seule équivalence historique est l’occupation allemande des années 1940, ces fameuses « heures les plus sombres de notre histoire » qu’on accuse sempiternellement le FN/RN de vouloir ressusciter, mais elle résultait d’une défaite militaire et pas d’un choix démocratique (on peut soutenir que la France de 2020 est dirigée par des branquignols semblables à ceux de la débâcle de 1940, mais c’est un autre sujet). Aujourd’hui nous acceptons démocratiquement un enfermement sans jugement pendant plusieurs semaines dans notre domicile, un ausweis obligatoire pour simplement sortir de chez nous et faire pisser le chien, un PV pour l’avoir oublié ou pour avoir dépassé l’heure ou la distance réglementaires, de vastes portions du pays devenues zones interdites (plages, montagnes, forêts, sentiers de promenades, lieux publics), le couvre-feu ou des heures d’interdiction dans plusieurs villes, un contrôle tatillon sinon arbitraire par des armées de flics, de gendarmes et de préfets qui sont loin d’être tous des lumières, le traçage par les téléphones portables, les caméras et les drones pour nous surveiller et punir 24/24h, et pour bientôt sans doute sous nos latitudes les puces RFID et la reconnaissance faciale généralisées, etc.

Outre les libertés individuelles ainsi mises à mal, les lois sociales et particulièrement celles portant sur l’organisation du travail (durée, rémunération, congés, chômage, etc.), sont également cul par-dessus tête. On comprend bien que dans l’urgence du moment, nécessité fait loi, et ceux dont l’activité est indispensable voire vitale sont bien obligés de se démultiplier sans compter ; mais ce n’est que provisoire et on fera les comptes plus tard. Peut-être. Ou peut-être pas car un retour sournois à quelque chose qui ressemblerait aux terribles conditions de la vie au XIXe siècle ne devrait pas déplaire à tout le monde. Pour les détails, voir « Germinal » de Zola.

Car nos chefs bien-aimés ont forcément constaté que les pays asiatiques qui se sortent le moins mal de cette crise sont plutôt du genre autoritaire et aux antipodes de nos fameuses « valeurs », ces valeurs qu’avec notre arrogance coutumière nous brandissons à tout bout de champ. Et cela a dû leur donner des idées pour la suite de l’histoire. Notre société post-moderne/libérale/progressiste/droit-de-l’hommiste/égalitariste/ouverte/accueillante / inclusive/multi-culturelle/connectée/écologique/responsable/citoyenne/solidaire/ transhumaniste voulait nous conduire au « Meilleur des mondes » d’Huxley mais elle a explosé en vol à la suite d’une collision malencontreuse avec une minuscule chinoiserie ; rien de grave cependant, rassurons-nous, elle saura se rattraper habilement en nous conduisant de gré et surtout de force dans une direction plus sinistre encore, celle de la société totalitaire très stalinienne de « 1984 » d’Orwell. « La liberté c’est l’esclavage » proclame Big Brother en nous regardant fixement. C’est de notre domestication qu’il est question. Et c’est pour notre bien et notre santé. Naturellement.

– Une dernière possibilité serait que le virus revienne nous attaquer par vagues successives dans les prochains mois ou les prochaines années et ce serait tellement dévastateur qu’on n’aura plus besoin de se préoccuper du réchauffement climatique ; pour le coup, c’est Greta qui ferait la gueule, enfin, plus que d’habitude !

Belloubet libère 8.000 détenus, dont 130 radicalisés islamistes: +20% de criminalité à prévoir?

Sputnik

Nicole Belloubet a fait libérer 8.000 détenus pour endiguer la propagation du Covid-19 dans les prisons. Mais est-ce une décision sanitaire prudente ou un nouvel exemple de laxisme judiciaire, créateur d’insécurité? Le porte-parole de l’IPJ, Me Guillaume Jeanson, penche pour la deuxième hypothèse, chiffres à l’appui. Entretien.

Mercredi 8 avril, Nicole Belloubet, Garde des Sceaux, déroulait ses statistiques devant la mission d’information de l’Assemblée nationale sur le Covid-19. Les prisons françaises ont vu sortir, en moins d’un mois, près de 8.000 détenus, a-t-elle dit. Pour la ministre, pas de doute: la surpopulation carcérale fait courir un danger supplémentaire aux détenus face au virus, il fallait donc la réduire. Mathématiquement, le taux de surpopulation s’établit donc désormais à 107%, avec 64.439 détenus au 1er avril, alors qu’il était à 119%, avec plus de 72.400 détenus au 1er mars.

Or, parmi ces 8.000 détenus, 130 inquiètent tout particulièrement. Le journaliste du Point Aziz Zemouri a révélé hier que 130 détenus radicalisés auraient, selon les renseignements, bénéficié d’une libération anticipée. Se voulant évidemment rassurant, le ministère de l’Intérieur a nié que ce contingent compterait de véritables djihadistes, qui resteraient «hors champ des mesures de libération

Des détenus radicalisés… inoffensifs pendant l’épidémie?

«Il ne faut pas confondre terroristes et détenus radicalisés», avance-t-on du côté de l’exécutif: les détenus libérés avant la fin de leur peine ne seraient «en général» que des personnes ayant agi «en périphérie de ces dossiers» et qui n’auraient donc pas «directement de sang sur les mains.» Mais en auraient-ils indirectement? Ainsi Zemouri a-t-il relevé que deux personnes ayant fourni l’arme de l’attentat commis au marché de Strasbourg par Cherif Chekatt en décembre 2018, sans connaître la finalité de son action, ont recouvré la liberté le 19 mars dernier.

Le monde carcéral n’a toujours pas trouvé de vaccin au virus djihadiste et le Covid-19 n’arrange pas les choses. Jusqu’à prendre des décisions en dépit du bon sens? Nous en avons discuté avec l’avocat Guillaume Jeanson, porte-parole de l’Institut Pour la Justice (IPJ): «je ne comprends pas la logique de la Garde des Sceaux», nous a-t-il confié. La contradiction gouvernementale a en effet de quoi surprendre: selon lui, les détenus de droit commun radicalisés étaient dénombrés avec inquiétude il y a quelques semaines encore, comme autant de bombes à retardement, et voilà qu’ils seraient désormais inoffensifs dans le nouveau contexte pandémique. Un non-sens selon lui: «ces détenus font pourtant bien partie de ceux étroitement surveillés par le renseignement pénitentiaire

La lutte contre le djihadisme n’est pas une priorité

C’est l’attaque du 3 avril, passée quasiment inaperçue du fait du coronavirus, qui fait craindre le pire à Guillaume Jeanson: ce jour-là, au centre pénitentiaire de Laon, un détenu a cherché à planter une paire de ciseaux dans la nuque d’un surveillant, au cri de «Allah Ouakbar, sales mécréants, c’est pour Allah, bande d’enculés» (sic). L’individu en question avait déjà fait l’objet d’un suivi pour radicalisation islamiste en 2019, à la demande des services de renseignements. Il était de surcroît connu pour fréquenter un détenu «TIS», incarcéré pour des faits en lien avec le «terrorisme islamiste», et il avait radicalisé à son tour l’un de ses codétenus.

Or, cet individu pour le moins dangereux était éligible à une libération conditionnelle, selon les syndicats de la pénitentiaire, libération à laquelle l’administration semblait favorable. Écarter la dangerosité en raison de l’absence de passage à l’acte au moment de la décision de libération et laisser sortir l’individu en question aurait ainsi été contraire à toute précaution:

«Cet individu n’avait pas été condamné pour fait de terrorisme. Il était “juste radicalisé”. Combien sont-ils dans ce cas-là? Ce seul cas devrait inviter le ministère à davantage de prudence dans ses argumentaires…» a déclaré Guillaume Jeanson au micro de Sputnik.

Et l’avocat de dénoncer le deux poids, deux mesures d’un gouvernement aveuglé par l’idéologie: «le gouvernement refuse de relâcher des détenus incarcérés pour violences conjugales», remarque-t-il avant de préciser: «car il en a fait une grande cause nationale»… contrairement à la lutte contre le terrorisme islamiste. Si maintenir les compagnons violents hors de portée des familles est en effet particulièrement souhaitable en période de confinement, selon Jeanson, «on peine en revanche à saisir en quoi les détenus radicalisés devraient bénéficier de telles faveurs, alors que plane encore une forte menace d’attentats islamistes.» Le dernier attentat de Romans-en-Isère (que Sputnik France avait révélé en premier dans la presse nationale) nous le rappelle. Abdallah A.O., un réfugié soudanais, a poignardé sept passants, tuant deux d’entre eux. Coïncidence? Quelques jours auparavant, l’État islamique* diffusait un message sur ses canaux de propagande, appelant à frapper l’Occident –et particulièrement la France– affaibli par le Covid-19.

Bien sûr, le dernier mois a été d’une grande violence dans les prisons. Au Mans, à Lille, à Béziers ou encore à Fleury-Mérogis, des mutineries ont éclaté dès la première semaine de confinement. Équipées comme des opérateurs du GIGN, les équipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS) ont dû intervenir à maintes reprises pour mater les rebelles. Une explosion de violence due à la fermeture des visites aux parloirs, «et ce, malgré des gestes de l’administration pénitentiaire, offrant davantage de cantine et de téléphone, ou encore la gratuité de la télévision», souligne Guillaume Jeanson.

De plus, la décision de diminuer la surpopulation carcérale en libérant des détenus n’était pas la seule réponse possible au Covid-19. Pour Jeanson, la première solution est identique à celle qui doit être pratiquée à l’échelle nationale: «a minima, une généralisation des dépistages et une identification des détenus les plus à risque, ainsi que des équipements adaptés pour le personnel pénitentiaire». Ensuite, plutôt que de libérer les détenus, des réaffectations auraient été préférables. La densité carcérale diffère en effet d’une prison à une autre:

«La moyenne de la densité carcérale est de 138% en maison d’arrêt, nous explique Guillaume Jeanson, mais elle tombe à 90% et 74% pour les centres de détention et les maisons centrales.»

La libération anticipée et à grande échelle de détenus, solution de facilité? Sans aucun doute, pour Guillaume Jeanson, qui en dénonce les conséquences dramatiques à venir, se référant au crimologue Xavier Bébin, auteur de l’essai Quand la justice créée l’insécurité (Fayard, 2013):

«En 1981, la libération anticipée à la faveur d’un décret de grâce et d’amnistie de plus de 5.000 détenus s’est traduite l’année suivante par un bond de 20% du taux de criminalité, qui est passé de 53,5 à 63 pour mille.»

Un phénomène qui a aussi été observé en 1995 aux États-Unis par l’économiste Steven Levitt: «lorsque des États ont été forcés par leur Cour suprême de libérer en masse des détenus, quinze infractions graves supplémentaires annuelles ont été commises pour chaque détenu remis en liberté par cette procédure.» Ainsi l’IPJ a-t-il publié une pétition: «la hausse prévisible de la délinquance affectera directement notre sécurité», alerte Guillaume Jeanson.

*Organisation terroriste interdite en Russie.

Rutube.fr, la chanson du jour. Papercut Better Skies

Better skies c’est à dire de meilleurs cieux en français….c’est tout ce qu’on peut espérer en ces temps de crise…et ce n’est qu’un début ! La musique est sublime….une fois que l’on a écouté ce morceau on a envie de le ré-écouter…Et bien qu’est-ce qui vous en empêche ?

Cette vidéo-choc du Pr Raoult est accablante pour Macron et ses conseillers

Riposte Laïque

Dans une dernière vidéo,  le professeur Raoult  persiste et signe, dénonçant le fossé entre la pratique médicale et la recherche déconnectée du réel. Beaucoup de « sachants » nous parlent de médecine sans la pratiquer.

À l’IHU de Marseille, la situation s’améliore. Le nombre de cas détectés positifs a été divisé par trois, passant de 350 par jour à une centaine. Patience, une étude sur 1 000 patients se termine, sans ennuis de cardiologie et montrant une efficacité de la chloroquine plus grande que pour d’autres molécules.

Un nombre incalculable de données sont rassemblées, dont certaines que personne d’autre au monde ne possède, avant de publier les résultats. Mais TOUT VA BIEN !

Sur les Ehpad, Didier Raoult se montre très inquiet et dénonce le confinement aveugle, où patients positifs et négatifs vivent ensemble. Seul un confinement strict des porteurs du virus peut empêcher un désastre.

En tant que médecin infectiologue depuis 42 ans, avec une pratique continue, notre star planétaire rappelle que le B.A – BA du métier se résume en trois mots :

DIAGNOSTIQUER – ISOLER – TRAITER

D’où la nécessité de mettre en place des tests massifs.

En Italie et en Espagne, pays qui ont fini par adopter cette stratégie, les courbes s’infléchissent et l’horizon semble se dégager.

En Chine, la situation est maîtrisée. Fin de partie pour le Coronvirus.

Le gros problème est qu’on teste des molécules nouvelles, dont  la toxicité est totalement inconnue, alors qu’on a une molécule ancienne, connue depuis 70 ans et dont la toxicité est faible.

2 milliards d’êtres humains ont déjà usé de la chloroquine, en vente libre jusqu’en janvier 2020, et qui devient une molécule dangereuse du jour au lendemain. Un vrai délire.

37 % des médecins dans le monde prescrivent de la chloroquine, nous dit le Pr Raoult. Il espère bien que son étude deviendra une référence dans le traitement du Coronavirus.

Son objectif : soigner et ne pas subir la loi de ceux qui parlent de médecine mais qui ne pratiquent plus.

À ce titre, il souhaite que le Conseil de l’Ordre libère les médecins,  afin qu’ils puissent prescrire des molécules anciennes en toute connaissance de cause.

On l’aura compris, la très prometteuse étude en cours va être une véritable grenade dégoupillée jetée dans les couloirs des instances parisiennes, où des théoriciens de la santé, imbus de leur personne, empêchent les médecins de France de guérir les malades du Coronavirus.

Mais que de temps perdu et que de morts inutiles, avant que cette chloroquine soit enfin reconnue comme le seul traitement efficace à ce jour, en attendant un vaccin dans 18 mois !

Honte à ceux qui ont méprisé, sali, insulté et même menacé de mort notre brillant infectiologue marseillais. Il est français et c’est la France qui lui savonne la planche ! Pitoyable !

Rutube.fr, la chanson du jour

Leave and Never Look Back. En français cela signifie Partir et ne pas se retourner….Peut-être un signe pour le dé-confinement qui interviendra en mai ? Ce qui est sûr… il y aura un avant et un après.

Allez bonne écoute !

Les géants de l’auto à Merkel : sans l’Italie et l’Espagne, nous ne pouvons plus produire…

Boulevard Voltaire

Fidèle à sa stratégie intransigeante de défense des intérêts des épargnants allemands, Merkel refuse catégoriquement le principe des corona bonds, ces dettes à échelon communautaire pour aider les pays les plus touchés à repartir au plus vite. Ces corona bonds sont réclamés par l’Italie, l’Espagne, la France et d’autres pays. Dans ce cas d’espèce, cette mutualisation de la dette se justifie par le fait que les difficultés sont dues à un cas de force majeure, non à un dérapage dans la gestion, et au fait que les économies de la zone euro sont aujourd’hui très liées et ne peuvent se passer les unes des autres.

Si l’Italie, ou l’Espagne venaient à s’écrouler, le reste de l’Europe suivrait quelques jours après. L’Allemagne, arrimée à la dette italienne via les contrats TARGET2, souscrits à hauteur de 400 milliards d’euros, qui l’obligeraient à pallier un défaut de paiement de l’État italien, serait d’ailleurs la première impliquée dans une éventuelle faillite de la péninsule. Pourtant, Mme Merkel reste droite dans ses bottes : pas question de financer la reprise des autres. Une posture qu’elle avait déjà adoptée quand la Grèce sombrait et qu’elle avait dû largement adoucir par la suite, tant les marchés spéculaient contre l’euro et la dette grecque. Le retard à l’allumage de Mme Merkel, en 2011, avait ainsi coûté des milliards, le temps que les marchés spéculent et ne fassent ainsi leur beurre sur le dos des Grecs et des Européens.

Voila qu’aujourd’hui Mme Merkel, loin de retenir les leçons du passé, récidive : dans son logiciel politique, la pression de son opinion publique pèse certainement plus que le réalisme économique. Un réalisme économique que les géants de l’automobile Allemande, BMW, Daimler-Benz et VAG, viennent de lui rappeler dans un communiqué commun. « Sans la fournitures de pièces venant d’Italie et d’Espagne, jamais nous ne pourrons relancer la production », ont-ils écrit à Mme Merkel. L’Allemagne importe, en effet, 52 milliards d’euros de pièces en provenance d’Italie, plusieurs milliards d’Espagne : la dépendance allemande est donc totale, dans un secteur qui est à la fois la locomotive et l’emblème du pays.

Si Mme Merkel s’entête pour complaire à son électorat, c’est la reprise de la zone euro qui sera compromise. Pour Mme Merkel, l’euro est une pompe aspirante qui ramène l’essentiel de la richesse des partenaires européens vers l’Allemagne. Elle oublie qu’ensuite, la fragilité de l’Espagne, l’Italie ou la France peut lui revenir en pleine figure, comme un boomerang. Et qu’elle sera obligée d’ouvrir en grand le tiroir-caisse pour éviter d’entraîner son pays dans la chute.

Il serait grand temps, dès le calme revenu, de revoir toute l’architecture de la zone euro pour repartir sur des bases plus conformes à l’équité et à la stabilité économique de chacun.