. Catherine massacrée : on a attendu quinze ans pour condamner Mamadou

Articles     : Oct. 2023Sept 2023Aout 2023Juillet 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

Mamadou n’est pas un as de la cavale, encore moins un génie du crime. Il a laissé des preuves accablantes et s’est contenté de nier son forfait. On l’a donc laissé en liberté, tandis que l’enquête partait dans tous les sens. Et que les associations et les médias gauchistes exerçaient une pression soutenue pour qu’il échappe à la justice.

Il a d’ailleurs bien failli s’en tirer. Puisque la première cour d’assises de l’Ain l’avait acquitté au bénéfice du doute. Mais le 19 octobre 2023, la cour d’appel de Lyon l’a condamné à seize ans de réclusion. Dont il ne fera que la moitié, si Macron ne le gracie pas avant… En toute hypothèse, on peut en parler puisque la condamnation est définitive.

Un crime sauvage pour une somme relativement modeste

Le 19 décembre 2008, Catherine Burgod, la postière de Montréal-la-Cluse (Ain), est retrouvée sur son lieu de travail, baignant dans une mare de sang. Cette femme de 41 ans, mère de deux enfants et enceinte de cinq mois d’un troisième, a reçu vingt-huit coups de couteau, perforant le cou et les poumons. « Une véritable boucherie avec un acharnement peu commun » dira le légiste… Tout ça pour un vol de 2 500 euros, dont la plupart des billets n’étaient même pas utilisables car tachés de sang.

A priori c’était un braquage facile à la portée d’un amateur. Dans un village de 3 500 habitants, la petite agence postale et SNCF avec une porte unique n’avait ni vidéosurveillance ni système d’alarme. L’employée y travaillait seule. Catherine Burgod avait dit à ses supérieurs qu’elle donnerait la caisse sans hésiter si des voleurs la menaçaient.

Dans cette enquête des lenteurs et des erreurs consternantes

Les cafouillages des gendarmes dans les enquêtes criminelles sont habituels. Cette affaire s’ajoute aux autres. Pas de témoin, pas d’arme retrouvée, peu d’indices, mais des traces d’ADN masculin sont relevées à deux endroits significatifs de la scène de crime, mélangées au sang de la victime. Dans le tiroir-caisse et sur un sac de sport, apporté et oublié par le criminel qui comptait y embarquer son butin. Et y a laissé aussi ses empreintes digitales.

Cet élément aurait pu établir la préméditation. Puisque les traces se trouvent sur la partie qui sert à ouvrir et fermer le sac. Le coupable n’avait pas besoin d’un sac de sport pour ranger un ticket de bus, motif officiel de sa présence, mais pour y mettre les billets qu’il comptait prendre. Je risque une hypothèse : cette circonstance aggravante, apparue tardivement dans la procédure, n’a pas été prise en considération, afin de ne pas relancer les polémiques nourries par des médias hystériques, engagés en faveur de l’accusé.

Dans un premier temps, on cherche un tueur en série car une employée d’agence immobilière a été assassinée le même jour à peu près à la même heure. Mais à moins de disposer d’un téléporteur, ou du don d’ubiquité, le coupable ne pouvait être en même temps à deux endroits distants de 60 kilomètres. D’ailleurs on l’a arrêté. Aucune connexion entre les deux crimes.

On suspecte alors un acteur déchu, Gérald Thomassin, toxico notoire, qui réside non loin de la poste. Aucune preuve, l’ADN n’est pas le sien, ni les empreintes, mais l’histrion à la dérive est un peu chtarbé, il tient des propos incohérents, ça suffit pour la maréchaussée. Il sera finalement blanchi après trois ans de cabane et disparaît (assassiné ? suicidé ?) à l’été 2019.

« Les experts » c’est à la télé. Pas dans la gendarmerie. Il faudra attendre dix ans, jusqu’en 2018, pour que l’ADN relevé sur la scène de crime « matche » au fichier national des empreintes génétiques. C’est celui de Mamadou Diallo, 19 ans au moment des faits, 34 aujourd’hui, un ambulancier déjà impliqué dans un vol de carte bancaire.

Bien évidemment, dix ans après, on ne retrouvera pas les vêtements qu’il portait le jour du crime. Pas plus qu’on ne pourra vérifier son emploi du temps.

J’y étais, mais c’est pas moi

En garde à vue, le suspect reconnaît qu’il connaissait les lieux pour s’y être rendu auparavant. Il y est retourné le jour du crime et avoue avoir volé une liasse de billets. Mais il nie le meurtre. Défense puérile classique… Selon sa version, Catherine Burgod était déjà morte lorsqu’il a poussé la porte de l’agence. Il n’a pas donné l’alerte de peur d’être accusé et s’est emparé de l’argent avant de s’enfuir.

Mamadou prétend avoir vu deux personnes dans le bureau de poste entre 8 h 36 – texto envoyé par la postière à une amie – et 9 h 01 – arrivée d’un client. Sans donner une raison valable à sa présence dans les parages, un peu longue pour l’achat d’un billet de bus. Au cours de ces vingt-cinq minutes, l’assassin aurait tué l’employée sans emporter l’argent, bien visible dans le coffre ouvert. Mamadou n’aurait eu qu’à se servir.

Une foule de témoins de moralité en faveur de l’accusé

Lors des six jours d’audience, la famille et les amis du brancardier l’ont décrit comme un jeune homme gentil, sympathique, jovial, prévenant et surtout très honnête. Et puis, il joue au foot. En France, ça excuse tout.

Mais l’enquête de personnalité a décrit « un homme aux deux visages » habile à dissimuler et à mentir. Sans que personne n’explique comment ce garçon si aimable et si sensible, a conservé son sang froid lorsqu’il prétend avoir découvert ce crime abominable, et a eu le réflexe d’emporter l’argent, en oubliant un sac avec ses empreintes, tout en pataugeant dans une mare de sang avec des éclaboussures partout.

« C’était particulièrement horrible, insoutenable, même pour un enquêteur chevronné » a déclaré un ancien gendarme en charge de l’affaire. Pour les psys, « toute personne équilibrée, en ayant cette vision horrible, ne reste pas. Elle est choquée, quitte immédiatement les lieux et donne l’alerte ». 

Un réquisitoire implacable pour une peine relativement légère

L’avocat général Éric Mazaud a reproché à Mamadou Diallo d’avoir à quatre reprises changé sa version des faits. S’adaptant constamment aux nouveaux éléments l’incriminant, trouvant avec une belle imagination, des explications toutes plus étonnantes les unes que les autres. Le petit coffre devenant un simple monnayeur, et la somme de 2 500 euros étant notablement réduite.

Mais l’enquête a fini par établir qu’en 2008 Diallo est fauché. Il effectuait un stage non rémunéré et avait besoin d’argent pour les fêtes. Il est entré dans l’agence postale avec son sac et certainement avec un couteau dont il s’est débarrassé ensuite. Peut-être que Catherine Burgod ne l’a pas pris au sérieux, ou lui a mal parlé, lui a résisté, a crié ? Peut-être aussi qu’elle l’a reconnu ? Et Mamadou Diallo, débordé par la situation, a cherché à faire taire sa victime.

Le parquet avait requis trente ans, Diallo en a pris la moitié. Naturellement, pour son avocate, il ne peut s’agir que d’une erreur judiciaire. L’oscar des effets de manche revient à Me Sylvie Noachovitch, pour qui « l’immaturité, la personnalité et la honte de son client rendaient impossible le crime. Ses incohérences relevant d’un choc traumatique. » (sic)

Les journaux de gauche qui ont pignon sur rue mesurent leurs propos. On ne badine pas avec l’autorité de la chose jugée. Cependant, ici et là, sur la toile, des militants indigénistes affirment crânement que Mamadou aurait été victime de préjugés racistes. Comme si les analyses d’ADN et les empreintes digitales pouvaient être racistes. Mais la désinformation bat son plein, et il en restera toujours quelque chose dans les biais cognitifs des petites têtes.

Il est intéressant de noter qu’avant les deux procès, la quasi-totalité des médias de gauche avaient entretenu le doute, en gommant soigneusement dans leurs papiers les principaux éléments à charge. Histoire d’influencer les jurés.

Une échauffourée à l’annonce du verdict

Mamadou comparaissait libre. Lorsqu’on a compris qu’il était bon pour la case prison, des pleurs et des hurlements se sont fait entendre dans la salle où des proches de l’accusé étaient présents. La mère de Mamadou criait des mots incompréhensibles, tandis qu’un ami de l’accusé interpellait de manière virulente l’avocat général.

L’énergumène fut ceinturé par ses proches qui parvinrent à le calmer sans que les gendarmes interviennent. Pardi, ils sont traumatisés. Chaque fois qu’ils réagissent contre un Black, les pandores en prennent plein le képi.

Christian Navis, Boulevard Voltaire

. 7 juin 1975, le jour où la France a été vendue aux Arabes

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Depuis quelques années, une vidéo exposait des faits historiques un peu oubliés mais incontestables. Sans injures ni dénigrement ni racisme. Les preuves abondaient. Les procéduriers s’y seraient cassé les dents.

Il y a environ un an, une opération coordonnée a effacé en quelques instants presque toutes les copies. Sur les plate-formes, comme sur les sites, les RS et les blogs qui les mentionnaient, elles ont tout simplement disparu. Toutefois, deux exemplaires de la vidéo a été préservé sur gloria.tv

Lien vers la vidéo ci-dessous:

https://www.gloria.tv/post/ATFHGXYECLz93BjCGC8fFEDto#5

Si quelqu’un est équipé pour l’enregistrer, ce serait bien de dupliquer ce document et de le faire circuler avant que les hackers d’Allah l’éliminent définitivement.

La genèse de la conquête islamique de la France

Imaginée au lendemain de la raclée subie lors de la guerre des 6 jours, la première conférence islamique s’est tenue à Rabat, deux ans plus tard en 1969. L’objectif des sunnites est alors de resserrer les rangs des États autour de « l’oumma » (communauté des croyants) afin de retrouver la puissance de leur khalifat mythique. Mais le panislamisme est entravé par les nationalismes arabes et des dictateurs jaloux de leur pouvoir.

Les tentatives de fédération par la « Ligue Arabe » avaient échoué à cause de la présence à sa tête de Amine Al Husseini. Une personnalité trop clivante. Grand mufti de Jérusalem, mais aussi général des waffen SS musulmans, il avait écrit des manifestes faisant l’apologie du nazisme et déclaré à la radio que « les musulmans devraient suivre l’exemple des Allemands qui ont trouvé une solution définitive au problème juif ».

Les Anglais et les Serbes voulaient qu’il soit jugé à Nuremberg pour ses crimes dans les Balkans. La France l’exfiltra en mai 1946 et lui offrit un sauf-conduit en échange de la promesse, non tenue, d’user de son influence pour apaiser les tensions avec les mahométans des colonies.

En 1973 après une nouvelle et humiliante défaite infligée aux Égyptiens et aux Syriens par Israël, les pays arabes décidèrent de multiplier le prix du pétrole par 4. Par solidarité, et surtout parce qu’ils avaient beaucoup à y gagner, les autres pays de l’OPEP s’alignèrent.

Cette flambée des cours s’accompagna d’une volonté de nuire, par tous les moyens possibles, aux pays jugés amicaux envers Israël. Ainsi la Hollande et les USA furent privés d’approvisionnements réguliers. La France, à son habitude, choisit de se soumettre. Encouragés, les Arabes décidèrent alors de pousser plus loin leurs avantages.

La création de l’Eurabia

En juin 1975 se créa dans le plus grand silence médiatique une véritable Eurabia définie par les infamants accords de Strasbourg.

Des pays européens, tétanisés par la crise pétrolière, signèrent leur suicide collectif en acceptant l’emprise des pétromonarchies sur leur économie, l’invasion ethnique et la préférence étrangère.

Les diktats des mahométans

Parmi les exigences de nos « partenaires » figuraient tous les élément déstabilisateurs, constitutifs de la guerre de civilisation. À savoir :

1/ Recrutement massif de travailleurs de culture arabo-musulmane, et mise en œuvre d’une politique attractive les incitant à faire souche en France.

Le regroupement familial imposé par Giscard-Chirac en 1976, par décret, sans consulter les élus du peuple ni les électeurs par référendum, passa quasiment inaperçu à l’époque, dans un assourdissant silence médiatique. Complices à gauche. Inconséquents à droite.

2/ Égalité immédiate des droits (mais pas des devoirs !) politiques et sociaux entre étrangers et Français.

Modifications du code civil pour que les enfants de familles polygames bénéficient des mêmes droits que les autres. Et pour tous les descendants d’immigrés, application du droit du sol sans restriction. Des mesures complétées par des naturalisations massives de clandestins.

Cela permettait de berner les statistiques supposées rassurer la population en prétendant que le nombre d’étrangers restait stable. Tandis que les États d’origine refusaient catégoriquement de reprendre leurs binationaux s’ils se rendaient indésirables en France.

3/ Renonciation à la politique d’intégration des étrangers, en favorisant et en valorisant le « droit aux différences »

Cantines scolaires et restaurants d’entreprises halal, lycées musulmans subventionnés, piscines séparées, voiles et tenues islamiques banalisées, zones de non-droit dirigées par des imams où la police et les services publics ne sont pas les bienvenus, constructions de mosquées assorties de «madrasas» (écoles coraniques) devenues par la magie de la sémantique des « centres cultuRels » la lettre R en trop. Financés illégalement à la fois par des états islamiques et des collectivités territoriales françaises qui croyaient acheter ainsi des électeurs.

À cela s’ajoute la préférence mahométane à l’embauche dans les services publics au nom de la « diversité » et, dans le secteur privé, des aides financières pour recruter des allogènes, avec interdiction de les licencier, sous peine de contrôle fiscal… Le projet, provisoirement suspendu, de développer l’enseignement de l’arabe et du coran dans l’enseignement laïc devait être la suite logique de cette reddition sans conditions de la France.

4/ Dévalorisation des Français et de leur histoire, et mépris des cultures précédant l’islam

Lorsque Macronescu et Moussa, à plusieurs reprises, honorent la mémoire des fellaghas et conchient le contingent français, les Pieds Noirs et les Harkis, ils assument l’aspect officiel du reniement national.

Comme ceux qui saccagent les statues de nos héros d’antan ou qui modifient le contenu des livres d’histoire pour les rendre conformes au narratif islamique. Ou changent les noms des rues, des écoles, des hôpitaux et des stades, en martelant avec une insistance fanatique que des chameliers et des chevriers nous auraient apporté la civilisation !

Archimède, Euclide, Ératosthène, Hipparque, Vitruve, Pline, et avant eux Imhotep, le papyrus Ebers et les civilisations de l’Indus, les cultures sanskrites, bouddhistes et chinoises, liste non exhaustive, inconnus au bataillon ! Et bien sûr, Galilée, Newton, Leibniz, Linné, Pasteur, et jusqu’à Einstein n’ont fait que copier la science islamique. Malgré le calife Omar, un pince sans rire, qui fit brûler la grande bibliothèque d’Alexandrie en l’an 642. « Si ces livres sont conformes au coran, ils ne servent à rien. S’ils sont contraires, ils sont impies et nuisibles. Dans les ceux cas, brûlez-les tous ! »

5/ Préparation des esprits à l’application de la charia dans une société islamisée

On habitue les Français aux vêtures et coutumes islamiques, aux piscines séparées, aux cantines halal, aux cadis juges ou arbitres qui règlent les conflits familiaux et patrimoniaux selon la charia, dans les territoires perdus de la République… Avant la répartition autoritaire des mahométans dans les zones rurales, les bourgades, les petites villes, sans demander l’avis des habitants souvent expropriés. Tout cela est décidé afin de rendre irréversible le changement de population.

Le retour en arrière était déjà paralysé par les blocages du conseil anti-constitutionnel et du conseil d’État islamique, de tout texte ou mesure permettant de limiter les mouvements migratoires et de renvoyer les racailles dans leurs vrais pays.

On sait d’avance que les gesticulations des politicards pour amortir l’émotion populaire après les crimes du Hamas se dilueront comme d’habitude dans un juridisme verbeux. L’actualité montre à nouveau pour qui roulent ces instances iniques, qui n’ont aucune légitimité démocratique.

Une aubaine pour les politicards qui y trouveront matière à se défausser de leur inertie sinon de leur complaisance. Comme avec les diktats de l’Eurocrature, et les abandons de puissance publique à des groupuscules ethniques habilités à décider des poursuites pénales pour délits d’opinion contre les réfractaires à l’islamisation du pays.

Un lavage de cerveaux bien orchestré

Les mutilations et énucléations de manifestants, la perte des libertés, les ausweis, les muselières, les confinements, les couvre-feux, les faux vaccins forcés, les femmes réduites à être des proies relèvent d’un objectif précis : habituer les Français apeurés et sidérés à obéir sans réfléchir, sans protester ni se rebiffer. En faire des zombies.

On conditionne ainsi la population pour la préparer à la phase ultime : la soumission par la dhimmitude, ou la shahada pour intégrer l’oumma, avec laquelle les nababs du Nouvel Ordre Mondial s’entendent plutôt bien, après un partage des territoires, attribuant l’Europe à l’islam.

La survie de la civilisation ne peut plus s’accommoder des imposteurs et des corrompus qui décident à la place du peuple. Seul un vigoureux coup de balai pourrait nous sauver. Mais qui va le donner ?

Christian Navis, Riposte Laïque

. 48 h de garde à vue : j’ai blessé un homme qui voulait tuer ma voisine de 83 ans

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++ WEBTUBE : Un bon résumé de la situation actuelle de notre pays. Ceux qui le défendent sont ceux que l’on met en prison.

Plus jeune, la campagne représentait pour moi un autre monde, où le temps semblait couler lentement, presque imperceptiblement. Illusion merveilleuse. Comme je vivais à Paris, le contraste était d’autant plus flagrant. Contraste renforcé par une sorte de barrière culturelle filtrant rigoureusement ce qui venait des villes, qu’Émile Verhaeren qualifiait à juste titre de « tentaculaires ».

Puis les choses ont changé, d’abord insensiblement, pour se manifester ensuite dans toute leur dramatique évidence : la campagne était elle aussi attaquée par ce progressisme dévoreur de traditions ancestrales afin de n’avoir à sa disposition que des zombies travailleurs nomades et consommateurs compulsifs. Il est ainsi devenu de plus en plus difficile de dénicher une terre encore vierge des saccages contemporains qu’on nous impose à grands renforts de propagande et de lois coercitives. Je croyais avoir trouvé avec ma compagne une terre préservée, j’ai dû déchanter de la plus brutale des manières. Voici comment :

Samedi midi dernier je venais de terminer de manger lorsque, dans un coin de France que je ne nommerai pas pour des raisons que vous comprendrez tous aisément, j’ai soudain entendu une femme hurler et un homme la menacer de mort. Sincèrement effrayé et de ce fait emportant avec moi un stylo dissimulant une petite lame, je suis sorti. Là, un spectacle affligeant m’attendait : un type, dont je ne peux ni révéler le nom ni l’apparence, d’un peu plus d’une trentaine d’années, sous emprise à la fois de l’alcool et de stupéfiants – ce que j’apprendrais plus tard – venait de tenter d’agresser notre voisine âgée de 83 ans et tremblant de peur, tandis que sa belle-fille et son fils, arrivés précipitamment sur les lieux, tentaient d’empêcher l’enragé d’aller au bout de son geste. Il tournait autour d’eux en essayant d’entrer dans la maison et promettant de les tuer tous, se vantant même plus tard d’avoir des « flingues » chez lui.

J’ai d’abord foncé sur ma voisine livide pour lui prendre le pouls, qui battait comme un tambour. J’ai ensuite tenté une approche auprès de l’enragé en question, tout en le faisant s’écarter du domicile de ma malheureuse voisine. Hélas, comme c’était prévisible étant donné l’état de mon interlocuteur, très vite cela a dégénéré, alors qu’on venait d’appeler la gendarmerie.

Il a ainsi voulu en découdre avec moi et s’est à un moment, après moult injures, collé à mon front. La peur, tant pour moi que mon entourage, ainsi que ma compagne – cachée à ce moment chez nous et elle aussi effrayée –, m’a alors fait commettre un geste que je regrette mais qui n’en était pas moins motivé par la rage désinhibée de mon agresseur. Un agresseur qui a par ailleurs insulté sa femme quand celle-ci a tenté de le calmer : « Toi, ferme ta gueule ! » lui a-t-il lancé, la faisant brusquement reculer. Je lui ai donc, sans réfléchir à mon geste je le jure, planté le bout de la lame de mon stylo deux fois dans le bas du corps, que je croyais être sa jambe mais qui était en fait son ventre.

Ceci ne l’a cependant pas arrêté et, sortant un poing américain de je ne sais où, il a continué à menacer ma propre compagne en ces termes et partie entretemps soutenir notre voisine avec sa famille : « Je vais la baiser, la violer et ensuite la tuer ! » Mimant le tout avec des gestes d’une burlesque obscénité, tant il semblait possédé. Opérant un retrait chez moi, je lui ai signifié, paniqué, que s’il entrait ce serait à ses risques et périls, appelant à mon tour au secours la gendarmerie au téléphone, tout à la fois en colère et désormais tétanisé. L’individu a fini par s’en aller, poussé gentiment par un jeune garçon, dont je ne sais pas à ce jour s’il est son fils ou non. Plus loin dans le hameau il s’est effondré et une image m’est apparue, qui restera à jamais gravée dans ma mémoire : un petit garçon se tenait auprès de lui.

Ensuite, la gendarmerie est arrivée, précédée des pompiers. Je me suis présenté et n’ai opposé aucune résistance, puis je suis parti pour 48 heures de garde à vue, avec jusqu’à ce moment un casier judiciaire vierge. Je tiens à préciser ici que les gendarmes ont été avec moi d’une exemplaire humanité, sans rentrer là non plus dans les détails. Toutefois, ils m’ont été d’un grand soutien.

En apprenant par l’un des gendarmes que le forcené que j’avais blessé l’était plus sérieusement que prévu, je me suis effondré. Moi qui m’étais toujours promis de quitter cette terre sans avoir tué un être humain… Il a finalement été opéré et il est sorti d’affaire, car pour grave qu’était sa blessure ses jours n’étaient pas en danger, m’a-t-on dit plus tard.

Lundi, j’ai été, comme la procédure le stipule, présenté à une assistante sociale – elle aussi très humaine –, une procureure, puis une juge des libertés. Je suis finalement placé sous contrôle judiciaire, avec toutefois interdiction de pénétrer dans le département où les faits se sont déroulés et obligation de pointer une fois par semaine dans le commissariat dont je dépends en Région parisienne. Je ne reviendrai dans le département en question que pour mon procès au début de l’année 2024.

Je précise que pendant exactement 54 heures, et malgré les très nombreuses sollicitations des gendarmes, j’ai refusé de manger et boire le moindre liquide, ayant atteint un stade critique pour ma santé. Car, avec mon nom et mon pedigree dans la réinformation, je n’ose imaginer ce qu’il serait advenu de moi dans une prison française ! Et si, par un malheur tout à fait possible dans notre pays, où les patriotes sont des bêtes traquées, je devais être condamné à de la prison ferme, eh bien je cesserais à nouveau de m’alimenter et de boire, à la grâce de Dieu…

Maintenant, la question suivante se pose : qu’aurais-je dû faire ? Me laisser massacrer pas un homme tellement sous emprise – 4,5 grammes d’alcool dans le sang ! – qu’il n’aurait ressenti aucun de mes coups de poing par exemple et m’en aurait asséné peut-être des mortels, comme cela se voit fréquemment de nos jours ? D’autant que je n’avais aucun moyen de me mettre en retrait puisqu’il me suivait. Pire, laisser ma voisine se faire lyncher, voire tuer, ou encore son fils ou sa belle-fille, un couple d’éleveurs qui se lèvent avant le soleil et se couchent après lui, qui travaillent tous les jours de l’année et tentent de s’en sortir sans pourrir la vie de leur entourage, contrairement à leur agresseur très défavorablement connu, suivant l’expression consacrée ?

Qu’adviendra-t-il de notre maison ? Va-t-elle flamber en mesure de représailles ? Aurai-je le droit d’y retourner ? Il se trouve que, sur place, les gens veulent mon retour mais pas celui d’un tyran dangereux pour leur sécurité ! Même le maire de la commune dont dépend le hameau m’a joint par téléphone pour tâcher de me soutenir.

Car ma victime – puisqu’il faut bien la désigner ainsi – n’en était pas à son coup d’essai. Elle faisait même régner une atmosphère tyrannique auprès du voisinage. Un autre éleveur, venu ultérieurement soutenir ma compagne pendant que je me trouvais en garde à vue, lui a confié qu’il avait été menacé d’être précipité dans une rivière. D’autres témoignages édifiants m’ont été apportés, sachant que l’homme en question n’habite le village que depuis environ deux ans.

Moi, ma vie va peut-être prendre une tournure plus dramatique à cause de cet homme, tout simplement parce que j’ai refusé d’être lâche. Je racontais en début d’article que j’aimais cette campagne mettant un pied sur l’horloge pour la forcer à aller moins vite. C’en est fini de cette campagne, la France est devenue le royaume de l’infamie. Une infamie favorisée contre nous, les citoyens sans histoire et surtout aimant charnellement la France. J’attends, donc. Et même si les magistrats ont été très corrects avec moi, je ne me fais pas trop d’illusions quant au futur qui adviendra après mon procès. Cependant, je suis chrétien et il me reste l’Espérance…

Charles Demassieux, Riposte Laïque

. Flers (61) : un réfugié soudanais tente de violer une handicapée. “Il faut retenir le parcours de cet homme qui n’a pas forcément reçu les codes européens” relativise l’avocat général

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++ WEBTUBE : Il n’a pas reçu les codes européens, le savoir vivre à l’européenne d’après son avocat général. C’est inquiétant quand on sait que des dizaines de milliers de personnes rentrent dans notre pays illégalement, eux nous plus ne connaissent pas nos codes. Faut-il s’attendre à encore plus de viols, de vols, de barbarie et d’islamisme ? Préparez-vous à encore plus de problèmes dans les années à venir ! C’est un avocat général qui vous le dit.

L’affaire de tentative de viol dans un immeuble de la rue des Pierres-Précieuses à Flers continue d’être jugée, aux Assises de l’Orne à Alençon, ce lundi 16 octobre 2023. 

Pour rappel, les faits remonteraient au mois de janvier 2021, lorsque l’accusé aurait tenté de violer la victime, diminuée physiquement, en « plaçant ses mains sur [sa] bouche ».

Les policiers auraient été prévenus après un appel de la voisine, qui avait entendu des cris. Ils seraient arrivés en flagrance.

Les deux avocats se sont exprimés ce matin du lundi 16 octobre.

(…)

L’avocat général a toutefois mis en valeur le statut de réfugié de l’assuré et a invité les jurés à prendre en compte plusieurs circonstances.

Il faut retenir le parcours de cet homme, qui n’a pas forcément reçu les codes européens, qui ne semble pas maîtriser la langue et venant d’un pays en guerre à l’époque, le Soudan.

Actu.Fr

. Pierre Conesa : « Une partie des musulmans ne veut pas s’intégrer ! Je trouve donc légitime de leur demander de regagner leur pays d’origine ! »

++ WEBTUBE : Pierre Conesa dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas.

. Philippe de Villiers : “La puissance publique avoue être l’impuissance publique (…) On aura donc des subventions pour des gilets pare-balles ?”

++ WEBTUBE : Excellente analyse de Philipe de Villers…. Comme d’habitude.

Macron est passé de « l’État vous protège » à « soyez vigilants », réaction de Philippe de Villiers

. Se préparer au pire : quand un ancien gendarme du GIGN explique comment faire face à la violence…

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Avec Aton, ancien gendarme du GIGN et auteur de “Se préparer au pire” publié chez Albin Michel.

. Attentat d’Arras : quand des associations alimentent les défaillances de l’État.

++ WEBTUBE : Trop content que des associations fassent le travail de l’Etat défaillant, celui-ci ferme bien souvent les yeux sur les arrières pensées sous-jacentes à l’humanitaire. Peuple Français, reprend en main ton pays !

++ WEBTUBE : Too happy for associations to do the work of the failing State, the latter often turns a blind eye to the ulterior motives underlying humanitarian action. French people, take back control of your country!

L’article dans BV

À chaque attentat, meurtre ou triste fait divers, la même rengaine revient sur les plateaux de télévision et dans les journaux. « L’assaillant n’aurait pas dû se trouver en France »« Il aurait dû être expulsé depuis bien longtemps »« La meurtrière était visée par une OQTF »… Malheureusement, l’attentat d’Arras n’échappe pas à ces commentaires. Le terroriste, Mohammed Mogouchkov, d’origine tchétchène, aurait dû être expulsé avec sa famille en 2014. C’était sans compter sur la mobilisation d’associations d’extrême gauche qui, à l’époque, avaient obtenu l’annulation de l’ordre d’expulsion pris à l’encontre des Mogouchkov.

Cas d’école des failles françaises

Le parcours de la famille Mogouchkov, tristement banal, illustre les failles de notre politique migratoire et de notre impuissance. Arrivée en France au printemps 2008 – les parents auraient été contraints de quitter la Russie à cause de leur adhésion au salafisme -, la famille dépose rapidement une demande d’asile. Bien que déboutés, en première instance et en appel, les Mogouchkov s’installent dans l’Hexagone et scolarisent leurs enfants. Visés par une première OQTF, ils épuisent tous les recours judiciaires et administratifs possibles sans jamais obtenir gain de cause. En 2013, soit cinq ans après leur arrivée, ils sont à nouveau sous le coup d’une OQTF et assignés à résidence en Bretagne. La préfecture de Rennes prépare leur expulsion et finit par obtenir les nécessaires laissez-passer consulaires. Au mois de février 2014, tout est enfin prêt pour renvoyer la famille en Russie. Mais alors que les Mogouchkov s’apprêtent à embarquer dans l’avion qui les ramènerait dans leur pays d’origine, une myriade d’associations d’extrême gauche fait pression sur le cabinet de Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur. Menaçant d’une « nouvelle affaire Leonarda », ils tentent d’empêcher l’expulsion. En quelques heures, ces collectifs influents obtiennent gain de cause. La famille Mogouchkov est libérée. Elle finit par s’installer dans la région d’Arras où, quelques années plus tard, l’un des fils assassinera Dominique Bernard, un professeur de lettres.

Le MRAP

Parmi les soutiens associatifs et politiques des Mogouchkov en 2014, on trouve notamment le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP). Fondée en 1949, cette association entend lutter contre le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie, l’islamophobie et toutes les formes de discriminations. Proche de l’extrême gauche – le collectif manifeste notamment contre « l’arrivée de Marine Le Pen à l’Élysée » en 2022 -, le MRAP est devenu, au fils des années, l’avocat des migrants. Forte d’une vingtaine d’antennes locales, l’association créée par d’anciens résistants et déportés a ainsi joué un rôle clef dans la défense des Mogouchkov en 2014. Comme le rapporte la presse régionale, l’antenne de l’Ille-et-Vilaine du MRAP s’est mobilisée pour empêcher leur expulsion. Avec d’autres associations, le MRAP invoque la circulaire Valls et finit par obtenir gain de cause. C’est cet engagement en faveur de Mogouchkov qui est aujourd’hui reproché au MRAP. « J’accuse la Cimade et le MRAP d’être moralement responsables de la mort d’un professeur », écrit l’avocat Gilles-William Goldnadel, sur X« Félicitations au MRAP et à la préfecture qui ont empêché l’expulsion d’un tueur »ironise, pour sa part, Laurent Obertone. Aujourd’hui, le MRAP se défend d’avoir aidé un terroriste à rester en France. Dans deux communiqué publiés ces derniers jours, l’association s’explique. « Il est idiot de répandre l’idée que le MRAP a soutenu un terroriste », commence le collectif, qui argue que le jeune Mohammed n’était pas encore radicalisé. Avant d’ajouter : « Le MRAP s’honore d’avoir défendu le droit de la famille M., comme il s’attache à le faire lorsqu’il accompagne des personnes étrangères pour la reconnaissance de leurs droits. Il entend poursuivre son action en ce sens. »

Si le MRAP se retrouve aujourd’hui sous le feu des critiques, c’est que l’association est généreusement subventionnée par les pouvoirs publics. En 2021, le MRAP a ainsi reçu plus de 127.000 euros de l’État. Une somme conséquente à laquelle il convient d’ajouter les subventions accordées par les collectivités locales. Ainsi, en 2014, lorsque l’antenne d’Ille-et-Vilaine se mobilisait pour la famille Mogouchkov, le département leur versait 600 euros. Et malgré ce soutien financier public, le MRAP n’hésite pas à mordre la main de celui qui le nourrit. L’association avait ainsi participé, en 2013, au mouvement de soutien en faveur de la jeune Leonarda qui défiait le président de la République. Plus récemment, le MRAP apportait son soutien à la famille de Nahel. En dépit de ses engagements politiques, le mouvement est agréé « Jeunesse et Éducation populaire » par le ministère chargé de la Jeunesse. Par ailleurs, le MRAP est membre de la Commission nationale consultative des droits de l’homme et doté d’un statut consultatif auprès de l’ONU. Contactée, l’association n’a pas donné suite à nos sollicitations.

Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire

. Éoliennes : Stéphane Bern s’insurge

++ WEBTUBE : Pour qui sillonne la France, l’horreur apparait immédiatement. Que ce soit à côté de beaux monuments, au milieu de nos champs et de nos campagnes ou sur notre littoral Atlantique, ces mats ornés d’énormes pales nous agressent et font saigner notre cœur de Français…. Surtout quand on connait la faible productivité de ces machines intermittentes et surtout l’impact écologique qu’il a fallu fournir pour les produire et demain pour les détruire… Quelle tristesse et quelle colère !

++ WEBTUBE : For anyone traveling across France, the horror appears immediately. Whether next to beautiful monuments, in the middle of our fields and countryside or on our Atlantic coast, these masts adorned with enormous blades attack us and make our French hearts bleed…. Especially when we know the weakness productivity of these intermittent machines and above all the ecological impact that had to be made to produce them and tomorrow to destroy them… What sadness and what anger !

L’article dans BV :

C’est la dernière polémique en date qui secoue « le jardin de la France », ce Val de Loire aux châteaux de contes de fées. C’est à Amboise, où François Ier et Léonard de Vinci, s’ils étaient encore là et si le projet va à son terme, auraient en ligne de mire… des éoliennes.

Ardent amoureux du patrimoine auquel le gouvernement a confié la mission d’en prendre la défense, Stéphane Bern s’est insurgé : « On me demande, avec une mission présidentielle depuis six ans, de sauver le patrimoine en péril, alors ce n’est pas pour le voir être massacré visuellement par un parc éolien », a-t-il dit, à France Bleu Touraine.

Car, précision utile à l’attention des forcenés de l’énergie verte, le Val de Loire, depuis Sully-sur-Loire (45) jusqu’à Chalonnes-sur-Loire (49), est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis le 30 novembre 2000, cela, en tant que « paysage culturel exceptionnel le long d’un fleuve », très exactement dans la classification « monument de nature et de culture ». Et par sa position sur l’éperon rocheux qui domine le fleuve, ce joyau de la Renaissance occupe une place prépondérante dans ce paysage exceptionnel.

Très énervé, Stéphane Bern en appelle à la responsabilité du préfet : « Il serait temps que le préfet d’Indre-et-Loire se souvienne que dans ce cône de visibilité, le château d’Amboise et le château de Chaumont-sur-Loire sont des joyaux du Val de Loire, inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO », écrit-il sur X, dénonçant également un « déni de démocratie ».

À, quoi la société Innergex, exploitant du futur parc éolien, répond que les visiteurs ne seront en rien gênés car les éoliennes « représentent un point de 1 centimètre à l’horizon, elles sont donc à toutes fins pratiques quasiment invisibles ». Reste que le « quasiment » est encore de trop, car le directeur du château rappelle que le projet serait bien situé « dans le périmètre d’exclusion défini par la charte de l’UNESCO », lequel s’étend sur 300 km pour une superficie de 860 km².

Innergex est une société d’origine québécoise aux nobles objectifs. Elle s’est donné la « mission de créer un monde meilleur grâce à l’énergie renouvelable »« Dans le monde auquel nous croyons, de l’énergie renouvelable abondante favorise des communautés plus saines et encourage le partage de la prospérité », lit-on sur son site.

En terre ou en mer, les éoliennes créent la polémique, même si l’on claironne qu’elles nous changeront la vie et feront notre fortune. Ains, le futur parc de 62 éoliennes qui surgira à 11 km au large de l’île d’Yeu et à 16 km au large de l’île de Noirmoutier, en Vendée. On annonce, aujourd’hui, le démarrage du site de pré-assemblage à Saint-Nazaire, où les divers éléments arrivant du Havre et de Brest (en provenance de Chine ?) seront assemblés entre mars 2024 et décembre 2025.

« Le parc éolien des îles d’Yeu et de Noirmoutier représente un investissement d’environ 2,5 milliards d’euros et le chantier de construction mobilisera 1.600 emplois directs en France »annonce le constructeur Siemens Gamesa Renewable Energy (SGRE).

Du côté des opposants, on pointe cette fois l’obsolescence du projet, lancé en 2014. « Les modèles prévus sont des éoliennes d’ancienne génération de 8 MW. Dans la norme actuelle, les machines sont bien plus puissantes, telles que l’Haliade X de General Electric (12 ou 13 MW) », disait au Figaro, en mai dernier, le président de l’association NENY (Non aux Éoliennes entre Noirmoutier et Yeu). « On aurait préféré revoir la copie avec les éoliennes dernière génération », confiait-il, ajoutant que ce parc éolien « est également obsolète du fait de sa trop grande proximité avec les îles vendéennes ».

Marie Delarue, Boulevard Voltaire

. La chanson du jour, En l’an 2001- Pierre Bachelet 

Articles     : Oct. 2023Sept 2023Aout 2023Juillet 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Addictif cette chanson. On l’écoute une première fois et ça y est vous êtes contaminé. Pierre Bachelet est parti trop tôt (2005) mais il nous a laissé de belles chansons comme “En l’an 2001” ou “marionnettiste”. Cette vidéo a été tournée en 2003. A milieu de toute cette violence actuelle, on se met à rêver en regardant la fraîcheur de ces enfants qui chantent avec Pierre Bachelet.

++ WEBTUBE : This song is addictive. We listen to it for the first time and that’s it, you are contaminated. Pierre Bachelet left too early (2005) but he left us beautiful songs like “En l’an 2001” or “marionnettiste”. This video was filmed in 2003. In the midst of all this current violence, we begin to dream while watching the freshness of these children who sing with Pierre Bachelet.

En bonus : Marionnettiste

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