En Californie, une enseignante a provoqué la polémique après la parution d’une vidéo où on la voit effectuer un spectacle de « chant et danse » habillée en Amérindienne. Sa hiérarchie a rapidement publié un communiqué pour qualifier ce comportement d’inacceptable et a été mise à pied.
Devant un parterre de 1000 personnes notre champion a mené hier une charge contre la doctrine atlantiste, qui nous paralyse et nous asservit aux États-Unis.
Un discours de bon sens, très nationaliste, que n’aurait pas renié le général de Gaulle.
Si les Anglais, « nos ennemis depuis mille ans » en ont pris pour leur grade, ce sont les États-Unis qui ont surtout subi les attaques de notre candidat patriote. Zemmour est un gaulliste et il le prouve.
Tous nos gouvernants, de droite comme de gauche, se sont couchés devant les États-Unis.
« Pour nos élites, c’est presque un soulagement : elles se réjouissent que la France se contente d’être sagement une puissance moyenne, à l’ombre des grands… elles se trompent lourdement : dans les relations internationales, il n’y a pas de place paisible pour les seconds rôles. »
« Le Débarquement fut à la fois une entreprise de libération et, en même temps, une occupation et une colonisation par les Américains ; de Gaulle a dû batailler ferme pour se libérer de la tutelle des États-Unis. »
Reconnaissons que jamais la France n’a été aussi respectée que sous de Gaulle.
Et Zemmour d’enfoncer le clou avec cet allié si peu fiable :
« Qui met nos dirigeants sur écoute, laisse la Turquie nous menacer, nous empêche d’établir une relation saine avec la Russie et nous fait perdre les milliards d’euros du contrat des sous-marins australiens ».
On ne saurait mieux dire sur cette domination arrogante que les États-Unis exercent sur une Europe faible et incapable d’assumer sa protection et sa propre politique étrangère. Sans armée puissante, l’UE reste un nain politique.
Zemmour aurait pu ajouter la scandaleuse amende de 9 milliards de dollars, infligée par la justice américaine à la BNP, pour avoir enfreint le scandaleux « International Emergency Economic Powers Act ». Un privilège exorbitant du roi dollar imposé de force à toute la planète.
« BNP Paribas est poursuivie pour avoir facilité des milliards de dollars de transactions avec le Soudan, mais aussi l’Iran et Cuba, enfreignant ainsi l’« International Emergency Economic Powers Act », cette loi fédérale américaine de 1977 qui autorise le président des États-Unis à restreindre les relations commerciales avec certains pays. »
Avec les États-Unis, seule la loi du plus fort prévaut.
Zemmour cible ensuite Macron, « dernier homme sur terre à ne pas avoir compris que l’Allemagne ne voulait pas de son mariage forcé. Berlin collabore avec la diplomatie française uniquement pour récupérer le savoir-faire de notre industrie d’armement. Pour le reste, elle compte sur l’Otan pour assurer sa sécurité, et elle se moque bien de la défense européenne de notre Président. »
Zemmour a raison. Les pays capables de construire un avion de combat se comptent sur les doigts d’une seule main et l’Allemagne n’en fait pas partie. Elle a perdu son savoir-faire depuis 1945.
Ce que veut Berlin, c’est opérer un transfert technologique à son profit, en récupérant tous les brevets de Dassault. C’est cela la coopération franco-allemande qui se met en place pour le futur avion de combat qui remplacera le Rafale. Un marché de dupes. Mais le naïf Macron n’a jamais rien refusé à Angela Merkel.
Pour Zemmour « la puissance française n’a jamais été aussi nécessaire, car une nouvelle partie commence sur le grand échiquier géopolitique du monde et que la France ne peut pas se contenter d’être un simple pion. » Du de Gaulle pur jus !!
Concrètement, Zemmour sortira du commandement intégré de l’Otan que Sarkozy n’aurait jamais dû rejoindre. Il portera le budget Défense à 60 milliards par an, contre 40 actuellement.
Deux porte-avions seront mis en chantier, comme au temps du Clemenceau et du Foch. Un seul porte-avions opérationnel à mi-temps, cela n’a aucun sens.
« Soyons honnêtes : si la France est encore écoutée en Europe et dans le monde, elle le doit à son armée et à sa force de frappe nucléaire. Il n’y a pas de politique étrangère forte sans des armées fortes. »
À propos d’une marine puissante, Zemmour ajoute :
« C’est l’assurance de pouvoir frapper n’importe qui, n’importe où, n’importe quand. Peu de pays ont cette capacité. Elle est à portée de main pour la France, arrêtons de tergiverser, saisissons-la ! »
« La France doit redevenir une puissance d’équilibre. Cela veut dire que la politique étrangère de la France ne doit se décider ni à Bruxelles, ni à Berlin, ni à Washington, ni à Moscou, mais à Paris, et conformément à nos intérêts. »
Un discours patriote digne des plus belles heures du gaullisme, quand notre armée et ses forces nucléaires étaient une priorité de l’exécutif dans un monde menaçant.
Jamais un misérable fossoyeur de la France comme Macron ne comprendra un tel discours. Macron, c’est d’abord cette photo ignoble :
Macron ne sait que détruire le pays et semer les germes du face-à-face que nous prédisait Gérard Collomb en quittant la place Beauvau. Il est fier de se dire patriote européen, comme si nos voisins allaient se soucier de nos propres intérêts ! Quelle tragique illusion !!
Il est grand temps de voter pour un vrai patriote, un vrai gaulliste soucieux des intérêts et de l’avenir de la France.
En 2022, ce sera la victoire de Zemmour ou bien le terminus pour la France. Il n’y a pas d’autre issue pour le peuple français. Que chacun en soit persuadé.
Alors qu’il intervenait pour mettre un terme à un rodéo urbain dans sa commune, Le Faulq, située au nord-est de Lisieux (Calvados), le maire, Bruno Lethuillier, a été agressé, ce samedi 23 octobre 2021 dans l’après-midi.
Il était un peu plus de 15 h, ce samedi 23 octobre 2021, quand Bruno Lethuillier, le maire de Le Faulq (Calvados), commune augerone située au nord-est de Lisieux, a été alerté qu’un groupe de personnes s’adonnait à ce que la préfecture présente comme un rodéo urbain. « C’était dangereux. Je suis allé les voir pour leur demander d’arrêter », explique-t-il.
Alors qu’il regagnait son domicile situé à proximité, il croise d’autres jeunes. « Je suis descendu de ma voiture. Je voulais aller parler à l’un d’entre eux. Mais j’ai reçu un coup. Avec une batte, il me semble. »
« Il y avait entre 30 et 40 personnes », assure le premier magistrat de la commune d’environ 340 habitants. Il a porté plainte.
Michel Onfray : « Nous subissons des vagues migratoires terribles. Dans 2, 3 ou 4 générations, il y aura un peuple grand-remplacé (…) Edouard Glissant, théoricien de la “créolisation”, que Jean-Luc Mélenchon n’a probablement pas lu, écrit que cela se réalise toujours dans la violence »
Michel Onfray à propos de la présidentielle 2022 : «Si Éric Zemmour avance sur ce terrain social, je n'exclurai pas de voter pour lui» #PlaceAuxIdeespic.twitter.com/7MmyCkHiMz
Michel Onfray à propos d'Emmanuel Macron : «Je pense qu'on a oublié le peuple. Et quiconque oublie le peuple ne mérite pas ma sympathie» #PlaceAuxIdéespic.twitter.com/tlYCPdGFiD
Eugénie Bastié : «Deux peurs structurent le débat public, c'est le grand réchauffement et de l'autre le grand remplacement» #PlaceAuxIdéespic.twitter.com/PJJIKTElEj
In Stuttgart wurde der Islamkritiker Abbas Mohammedpoor von Islamisten attackiert. Sie wollten dem von Islamisten ermordeten Lehrer Samuel Pety gedenken,
Laut Mina Ahadi wurden auch zwei Frauen verletzt, die im Krankenhaus behandelt werden mussten. pic.twitter.com/QmBb8CAfAF
Un rassemblement a eu lieu le samedi 16 octobre 2021 à Stuttgart, en Allemagne, à l’appel de manifestants politiques hostiles à l’islamisme pour commémorer le premier anniversaire de l’assassinat de Samuel Paty, un professeur tué par un terroriste islamique dans la banlieue de Paris en France.
Aidez-nous à mener à bien le dossier de plainte contre quelques islamistes qui ont attaqué nos manifestations à Stuttgart. […]
Quand les policiers sont arrivés sur les lieux, ils se sont comportés de manière très insultante, ne nous ont pas permis de continuer notre protestation jusqu’à la fin de l’action, et en arrêtant un de mes amis nommé “Pejman Ramezani”, ils m’ont traité comme si nous étions coupables .
[…]
Nous avons défendu la liberté d’expression et nous le referons. Je ne reculerai jamais face aux terroristes islamistes. Je continuerai à me battre avec l’aide de mes amis. Pour ma part, je tiens à remercier Mina Ahadi, la directrice de la Fondation allemande X-Muslim, qui m’a appelé peu de temps après la diffusion de la vidéo de l’attaque contre nous.
Frappés par l’exode rural, des villages ont décidé d’accueillir des exilés. Leur intégration ne s’est pas faite sans débats et sans difficultés, mais ces initiatives, à rebours des crispations identitaires, ont permis de redynamiser la vie locale. «Libération» s’est rendu dans quatre d’entre eux.
Ce sont des villages ruraux auxquels il était prédit un inexorable déclin. Ces cinquante dernières années, les jeunes sont partis étudier à la ville et n’en sont pas revenus. Restent leurs parents ou grands-parents, têtes grisonnantes et hanches qui se font la malle, et que ce vide attriste. Ils récitent avec nostalgie le nom des commerçants qui ont mis la clef sous la porte : M. Bouillet, le boulanger, Mme Petit, la coiffeuse, M. et Mme Loton, les charcutiers. Ils s’inquiètent : quand les anciens mourront, qui pour prendre leur place ?
Cette question, les maires de Luzy (2 000 habitants, Nièvre), Ferrette (800 habitants, Haut-Rhin), Notre-Dame-de-l’Osier (500 habitants, Isère) et Pessat-Villeneuve (650 habitants, Puy-de-Dôme) ont été forcés de se la poser. Au gré des départs et des décès, du foncier s’est libéré et il a fallu agir vite, au risque de voir les bâtiments se décrépir. A Pessat-Villeneuve, l’imposant château du XVIIe siècle et les locaux d’un centre de vacances Air France tout près de l’église ont été mis en vente en 2015. L’édile propose au conseil municipal de les racheter. «Dans le même temps, j’ai vu sur les réseaux sociaux la photo du petit Aylan, l’enfant syrien mort sur une plage. C’était violent, ça m’a frappé comme un coup de poing au foie, ce fut un véritable déclencheur», se souvient Gérard Dubois (DVG). […]
Il y a une semaine, une médecin du cabinet médical de Beaubreuil, à Limoges, a été agressée par un homme armé. Ce vendredi 22 octobre, les praticiens de son cabinet ont décidé de laisser les portes closes pour protester contre les tensions montantes dans le quartier.
C’est l’agression de trop. Vendredi dernier, alors qu’elle sort de son cabinet vers 20h30, Christine Bessaudou, médecin, est agressée par un individu armé, qui lui vole sa voiture. Une semaine plus tard, dans le quartier de Beaubreuil à Limoges, où les faits se sont déroulés, le docteur Bessaudou ne recevra aucun patient et aucun de ses sept collègues praticiens du cabinet n’exercera ce vendredi 22 octobre.
Les patients trouveront porte close et une affichette explicative. Mais ce n’est pas contre eux que l’action est dirigée. « Il y a des gens formidables dans ce quartier, des gens très sympathiques, assure Christina Alvès, infirmière libérale qui y exerce depuis 16 ans. Mais ce quartier s’est dégradé, et lorsqu’on commence tôt ou qu’on finit tard, on ne se sent plus en sécurité. »
Le trafic de drogue monte en puissance
La montée en puissance du trafic de drogue est la cause de ces tensions désormais permanentes. (…)
Les jeunes occupent les parkings, les halls de certains immeubles et font que les praticiens appréhendent de traverser le quartier, ou même d’intervenir à domicile. « D’ailleurs, dans certains immeubles, on n’y va plus après 18 heures, reprend l’infirmière, qui a elle-même subi une agression il y a une dizaine d’années. Les pompiers hésitent à venir, SOS médecins ne passe plus dans ces immeubles-là. »
« L’immigration massive a transformé la Virginie au point de la rendre méconnaissable »
La question de la sécession des États-Unis divise les Blancs qui y habitent. Beaucoup ne veulent pas abandonner ce qu’ils considèrent encore comme leur pays. D’autres pensent que ce n’est pas pratique. La sécession suppose également que nos problèmes aient déjà été résolus. Elle nécessiterait une identité blanche, et si nous l’avions, nous ne serions pas dans ce pétrin.
Cela ne veut pas dire que la séparation ne peut pas se faire à plus petite échelle. Les comtés de l’ouest et du sud de la Virginie pourraient rejoindre la Virginie-Occidentale. Le comté de Frederick pourrait facilement changer de camp. Si le candidat républicain Glenn Youngkin perd la course au poste de gouverneur de Virginie face au démocrate Terry McAuliffe, les Virginiens situés en dehors de la banlieue de Washington pourraient enfin comprendre qu’ils n’ont pas leur place dans l’Old Dominion. L’immigration massive a transformé la Virginie au point de la rendre méconnaissable. La nostalgie et les vœux pieux n’y changeront rien.
À Atlanta, le riche quartier de Buckhead veut son indépendance vis-à-vis de la ville. Un article de CNN datant du mois dernier affirme que les résidents sont « ostensiblement » (les guillemets de CNN) motivés par la criminalité, et un professeur de Georgetown avertit que les « riches » feraient sécession des « pauvres ». Selon CNN, la perte de Buckhead par Atlanta coûterait des recettes fiscales à la ville et pourrait provoquer des « divisions raciales entre la communauté majoritairement blanche et le reste d’Atlanta, une ville connue comme la ‘Mecque noire’ du Sud ».
La Mecque du Sud ? CNN a raison. Les musulmans du monde entier font face à la Mecque lorsqu’ils prient ; c’est un élément central de leur mode de vie. De même, Atlanta et les Noirs en général sont au cœur de la vision officielle du monde de l’Amérique. Notre histoire, nos héros, notre culture et nos symboles sont constamment testés en fonction de ce qu’ils signifient pour les Noirs. Si les Noirs désapprouvent, tout peut être mis au rebut, annulé ou démoli. Il s’agit d’une vision religieuse, que les faits et les preuves ne viennent pas souvent à bout.
Malheureusement pour la Géorgie, une nouvelle grande messe est sur le point d’être inaugurée avec le procès pour meurtre d’Ahmaud Arbery. Pourquoi s’embêter avec un procès quand on sait qu’un verdict de non-culpabilité signifierait le chaos et la destruction des biens ? L’engagement de l’Amérique pour l’égalitarisme racial est bien plus profond que son engagement pour la justice et même que son christianisme nominal. Cela semble être vrai même au sein des églises, catholiques ou protestantes.
Ce que les gens disent et même ce qu’ils croient sont souvent différents de ce qu’ils font. Les « préférences révélées » montrent souvent que les égalitaristes, même s’ils croient vraiment ce qu’ils disent, n’agissent pas en conséquence. La rédemption prend de nombreuses formes. Robin DiAngelo, à supposer qu’elle ne soit pas cynique, estime sans doute avoir droit à sa grande richesse parce qu’elle « fait le travail » de démantèlement du racisme chez tous les Blancs, y compris chez elle.
Certaines personnes peuvent avoir à la fois de l’intérêt personnel et du respect de soi. Ceux qui mènent la sécession de Buckhead ne sont pas des défenseurs de la race blanche, mais ils en ont assez de la criminalité et de la mauvaise gouvernance qui accompagnent souvent le fait d’être gouverné par des Noirs. Ils ne le disent pas forcément de cette façon, bien sûr. Ils ne le pensent peut-être même pas et le nieraient même s’ils le faisaient. Ils peuvent même douter de leur propre cause lorsque les autres les accusent de penser à la race. Tout cela ne change rien.
Voici ce qu’indique Bloomberg Businessweek :
Une scission pourrait être dévastatrice pour Atlanta sur le plan financier. Buckhead n’est pas petite – elle s’étend sur 24 miles carrés – et la nouvelle ville proposée emmènerait avec elle près de 90 000 résidents, soit environ un cinquième de la population actuelle d’Atlanta. Selon le Buckhead Community Improvement District, Atlanta perdrait environ 38 % de ses recettes fiscales en cas de départ de Buckhead. La chambre de commerce d’Atlanta et deux groupes locaux de citoyens et d’entreprises, la Buckhead Coalition et la Buckhead Business Association, ont déclaré s’opposer à la désannexion.
La sécession de Buckhead porterait atteinte au pouvoir de la classe politique noire d’Atlanta. Les résidents noirs ont participé à un projet de 50 ans visant à accroître le pouvoir dans la ville, en commençant par l’élection du premier maire noir, Maynard Jackson, en 1973. Aujourd’hui, un groupe d’élus majoritairement noirs est à la tête de la plus grande ville du Sud, qui possède l’une des plus fortes concentrations de sièges sociaux d’entreprises Fortune 500 du pays.
Michel Owens, politologue à l’université Emory, estime que « ce qui se passe est en grande partie dû à l’incapacité » des Blancs de Buckhead « d’avoir une plus grande influence sur les choix politiques de la ville d’Atlanta ». Peut-être que ça a commencé comme ça, mais les sécessionnistes ne veulent pas contrôler Atlanta ; ils ne veulent tout simplement pas qu’Atlanta les contrôle.
Le travail du Dr Owens et son fil Twitter suggèrent qu’il peut avoir des opinions différentes de celles des résidents de Buckhead sur l’application de la loi. Je soupçonne que ses vues sur l’économie sont également différentes
Pourquoi les habitants de Buckhead, quelle que soit leur race, doivent-ils subventionner Atlanta ? Pourquoi est-ce mal pour une communauté majoritairement blanche de contrôler son propre gouvernement ? Une Atlanta noire, débarrassée des Blancs qui veulent la loi et l’ordre, serait libre d’expérimenter toutes les politiques progressistes qu’elle souhaite, y compris l’abolition de la police.
Le débat sur la sécession de Buckhead démolit l’orthodoxie raciale américaine. Qui a besoin de qui ? Si la « blancheur » était toxique, les Noirs seraient heureux de s’en débarrasser. Au lieu de cela, nous exploiter, nous et nos ressources, est devenu un droit civique. Ils ont besoin de nous, nous n’avons pas besoin d’eux.
Si la sécession est une sorte de « divorce », alors Buckhead veut quitter une relation abusive. Il est faux de dire que les Blancs doivent se soumettre à des crimes violents parce que la classe politique noire a un droit imaginaire sur leur argent.
Pourtant, Buckhead et Atlanta ne sont pas seulement des substituts des « blancs » et des « noirs ». Il y a des Noirs qui soutiennent vraisemblablement la sécession et de nombreux Blancs qui s’y opposent. Il y a des Noirs qui n’aiment pas la façon dont Atlanta est gouvernée, et des Blancs qui sont heureux dans la Mecque des Noirs. Malgré tout, CNN a raison de penser que la race compte. Ce qu’ils n’ont peut-être pas envisagé, c’est que la sécession est le compromis modéré qui pourrait désamorcer les tensions.
« La sécession locale engendrerait des élites locales qui pourraient mener une sécession plus large »
La sécession locale obligerait les villes à se gouverner de manière compétente. Les Noirs sont vraiment les personnes les plus touchées par une classe politique progressiste incompétente et complaisante envers la criminalité. Les Noirs votent pour eux, mais cela pourrait changer s’il n’y avait pas de Blancs pour subventionner leur folie. Lorsque les policiers sont des musulmans noirs, on ne parle pas bêtement de la police comme étant le problème.
La sécession locale engendrerait des élites locales qui pourraient mener une sécession plus large. Les frontières des États pourraient changer, mais l’Union perdurerait. Les Blancs pourraient construire des communautés avec un véritable gouvernement autonome dans le cadre du système fédéraliste mis en place par les Fondateurs. Il ne s’agirait pas de séparation ethnique, mais d’un moyen pacifique et pratique pour les Américains de toutes races de coexister au niveau national, même si cela implique une certaine séparation locale.
Si nous étions gouvernés par des hommes pragmatiques, ils le reconnaîtraient. Nous ne le sommes pas. Je pense que le mouvement de Buckhead va échouer à cause du chantage moral. Les Blancs ne peuvent pas dire non quand les autres demandent des subventions. Si les mouvements de sécession locaux échouent, nous devons avoir des mouvements ouvertement identitaires. Nous avons besoin d’une avant-garde idéologiquement confiante qui remette directement en question l’égalitarisme racial.
Si le système actuel dit qu’une ville à majorité noire doit être soutenue par les Blancs pour des raisons morales, il faut rejeter le code moral. Sinon, même la plus petite amélioration pratique est impossible. Dans le système actuel, chaque question est une question raciale. Si nos gouvernants ne changent pas cela, les blancs peuvent s’organiser et s’organiseront sur des bases raciales, comme tous les autres groupes. C’est un choix moral. J’espère que l’effort de sécession de Buckhead réussira car c’est une avant-garde sur un chemin plus difficile. C’est peut-être la dernière chance qu’il nous reste.
La théorie critique de la race est la justification idéologique pour dépouiller les Blancs de leur richesse et de leur pouvoir. Elle infecte toutes les questions, du crime à l’éducation. Nous refusons d’être sacrifiés. Si la sécession de Buckhead échoue, ce sera une preuve supplémentaire que nous sommes dirigés par des fanatiques qui pensent avoir droit à ce qui nous appartient. Nous devons rejeter leur foi irrationnelle et mépriser leur chantage moral. Nous ne prions pas la Mecque noire. Breizh-info.com
La fête nationale hongroise d’aujourd’hui occupe une place importante dans nos vies car elle est porteuse de tant de messages, de significations et de leçons qui définissent notre identité et notre image du monde et de la nation hongroise dans celui-ci. Dans l’urgence du XXIe siècle, nous pouvons toutefois avoir tendance à négliger son importance, bien qu’il soit utile de s’arrêter pour réfléchir à ce que l’histoire elle-même nous rappelle à tous en ces jours de fête. Outre la détente propre à ce jour, il est important d’intérioriser le message de cette fête qui, avec toutes ses réalisations, ses pertes, ses triomphes et ses tragédies, proclame que nous sommes ici tels que Dieu nous a créés et que cela ne changera jamais. Beaucoup ont essayé d’argumenter autrement, mais nos célèbres héros ne se sont pas laissés faire. Nous non plus !
🎥 Le 23 octobre 1956, le peuple hongrois se révoltait contre la tyrannie communiste. La répression soviétique fit des milliers de morts, parmi lesquels Jean-Pierre Pedrazzini, reporter à Paris Match. J'ai tenu aujourd'hui à leur rendre hommage. pic.twitter.com/l17xrcNkLZ
Le 23 octobre est une date qui nous donne des indices d’un passé pas si lointain pour mieux comprendre notre monde et orienter nos vies dans la bonne direction. En quoi les héros de 1956 sont-ils un modèle pour nous, et que pouvons-nous apprendre d’eux depuis lors ? Rien de moins que la connaissance et le sacrifice pour se battre jusqu’au bout pour la liberté ; qu’un peuple peut se dresser contre l’oppression étrangère et un pouvoir communiste servant aveuglément les puissances étrangères, le dos droit et fier comme David contre Goliath. Et tous ceux qui participaient à la révolution savaient que leur vie était littéralement en jeu.
En 1956, nos parents et grands-parents avaient le feu qui brûlait dans les défenseurs du château de John Hunyadi, dans les Kurucs de Ferenc Rákóczi ou dans les foules enthousiastes de 1848 qui ne supportaient plus l’oppression. Les situations spéciales font ressortir des personnes spéciales et des talents spéciaux. C’est une victoire du cœur quand on prend les armes contre une supériorité écrasante. Les Hongrois qui étaient prêts à se battre jusqu’au bout pour leur pays, leur nation et leur famille ont montré leur détermination et leur force en 1956.
À bien des égards, nous pouvons dire que la Hongrie est en bonne position malgré la pandémie de 2021. Nous vivons ici au milieu de l’Europe, en liberté. Notre pays, saigné à blanc après Trianon, s’est retrouvé, et nous avons retrouvé nos frères et sœurs ethniques de l’autre côté de la frontière. Nous avons prouvé notre appartenance physique et morale par la naturalisation et la citoyenneté, et nous avons peut-être les meilleures relations avec les peuples et pays voisins de ces cent dernières années. Ce que la Hongrie dit et fait aujourd’hui a du poids. Nous faisons partie des alliances militaires et politiques les plus solides. Nous sommes enfin sur une voie qui nous permettra de surmonter le retard accumulé pendant quarante ans de communisme et les crises de colère des gouvernements socialistes après le changement de régime. https://twitter.com/Stephane_Ravier/status/1451878202004082693?s=20
En même temps, nous ne devons pas rester les bras croisés, car nous devons continuer à nous battre pour préserver notre souveraineté. La plus grande bataille se déroule dans l’arène intellectuelle et idéologique, contre un adversaire avec lequel nous partageons un destin commun. L’appartenance à l’Europe n’a jamais été remise en question, mais les bureaucrates de Bruxelles ont oublié que l’Union européenne est un cadre institutionnel, un instrument qui existe pour les États membres, avec des pouvoirs accordés par les États membres, et qu’elle ne peut pas régner sur les États membres en les faisant chanter et en les montant les uns contre les autres. Bruxelles fait maintenant pression sur nous et impose une idéologie inacceptable aux Hongrois afin de détruire notre identité existante par tous les moyens. C’est inacceptable pour toute personne responsable. Les pères fondateurs de l’Union avaient l’intention de construire une relation fondée sur la coopération de nations fortes et souveraines s’entraidant, préservant leurs valeurs respectives et favorisant le développement des États membres, alors qu’elle est aujourd’hui devenue un système de menaces et de capitulation auto-imposée par des moyens économiques. La pression migratoire à nos frontières ne facilite pas la résolution des conflits, l’UE étant incapable depuis des années de prendre des mesures significatives pour endiguer le flux de nouvelles vagues d’immigrants. Notre position est claire : une Hongrie forte ne peut être construite que par des citoyens qui s’appuient sur des racines chrétiennes millénaires et des liens familiaux solides en cas de besoin.
La liberté est un trésor pour lequel il faut se battre encore et encore, et non quelque chose que l’on acquiert une fois et que l’on possède toujours – c’est ce que nous enseigne notre histoire. Tout comme les héros de 1956 se sont battus pour la Hongrie et la nationalité hongroise dans des batailles sanglantes il y a des décennies, ou comme nos ancêtres se sont battus pendant des siècles avant eux, nous devons défendre nos intérêts et notre liberté. Aujourd’hui, ce n’est plus une armée étrangère qui nous opprime, mais Bruxelles, qui s’est retranchée dans l’illusion des États-Unis d’Europe et tente, avec une arrogance presque impériale, de nous assujettir tous, d’affaiblir notre identité chrétienne et nationale, de la transformer en un melting-pot, d’éliminer l’unicité du continent, des pays et, en fin de compte, des personnes, et de transformer nos vies, qui sont déjà parfois complètement absurdes, en attentes surréalistes.
Nous devons montrer au monde que nous sommes chez nous ici, dans ce pays, et que nous ne laisserons pas notre passé, notre présent et notre avenir nous échapper ! Nous devons montrer que les Hongrois d’aujourd’hui sont les dignes successeurs des héros qui se sont levés à l’automne 1956 et ont défendu notre patrie à mains nues. Soyons présents à la marche pour la paix aujourd’hui pour montrer au monde et à la gauche qui se bat pour le pouvoir : Nous ne sommes pas oubliés ! Nous sommes nombreux, et avec le pouvoir de l’amour, nous protégerons tout ce que nous avons réalisé ensemble jusqu’en 2021 !
Source : Magyar Nemzet (Traduction breizh-info.com) Breizh-info.com
Un loser obsédé par la gagne (Jean Dujardin) cherche fortune dans la communauté Emmaüs gérée par sa sœur (Yolande Moreau)… Une fable comme toujours sociale, rigolarde, absurde et poétique du tandem Kervern et Delépine. Près de Pau, Monique dirige une communauté Emmaüs où débarque son frère Jacques, qu’elle n’a pas vu depuis des années. Ce loser quadragénaire, qui n’a jamais travaillé de sa vie, n’a qu’une idée en tête : devenir riche. Pour être hébergé, il promet de participer avec les autres “compagnons” aux activités de récup finançant les besoins de la communauté. En lieu de quoi, il crée son autoentreprise, baptisée I Feel Good, qui se propose de “rendre beaux les petites gens” en les expédiant dans une clinique bulgare ultra low cost de chirurgie esthétique. Un groupe de pionniers, dont Monique, se laisse convaincre de faire le voyage… Folie corrosive Confrontant une fois encore, pour leur huitième long métrage, deux visions opposées du monde, entre le rêve ultralibéral de Jacques et celui de l’abbé Pierre, Benoît Delépine et Gustave Kervern ont trouvé dans une véritable communauté Emmaüs l’écrin parfait de leurs facéties ciblées. Face à la faconde délirante de Jean Dujardin, qui arpente les lieux dans ses oripeaux successifs de winner de recyclage (un peignoir blanc, une fourrure mitée, un costume-cravate passé de mode…), Yolande Moreau, bonne âme à la santé mentale fragile sous ses dreadlocks blond platine, peut-elle faire le poids ? Avec ses protégés mis au rebut par le système, incarnés en partie par d’authentiques compagnons d’Emmaüs, elle se laisse envoûter, plus par amour pour son fêlé de frère que par adhésion à son absurde projet. Dès lors, tout est possible, et les duettistes de Louise-Michel achèvent de faire dérailler l’entreprise vers la folie douce, mais corrosive, qu’ils entretiennent film après film dans les ruines du grand soir. Entre poésie et humour noir, une fable à la morale feel good aussi simple qu’universelle : revenons à l’humain, si bizarre soit-il. Film de Gustave Kervern et Benoît Delépine (France, 2017, 1h44mn) Disponible jusqu’au 05/11/2021