Lyon : « Nique lui sa mère à ce fils de p*** de blanc », il défend sa copine et finit roué de coups par une meute

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05/10/2021

La victime s’exprime sur CNews :

Débat sur le racisme anti-blanc sur CNews :

(…) Sans vouloir les accabler, la jeune femme a du mal à comprendre l’attitude des policiers intervenus ce soir-là. «(…) Ils semblaient désespérés et nous ont dit que ce genre de choses arrive tout le temps».

Ayant bien en tête le signalement de l’agresseur de départ – un jeune homme de type maghrébin aux cheveux bouclés de 23-24 ans et d’environ 1,85 m -, le deuxième garçon propose aux policiers de monter en voiture avec eux pour l’identifier. «Ils nous ont dit : “On ne prend personne en voiture”. Et ils n’ont pas pris nos plaintes en direct en nous disant de porter plainte plus tard», regrette Emma.

(…) À travers son témoignage, Emma veut alerter l’opinion publique. «Je me fais très souvent importuner à Lyon. Le soir, je prends parfois un Uber pour faire un kilomètre. Là, c’est parti d’un harcèlement de rue et ça a terminé en insultes racistes», fustige-t-elle.

Le Figaro

Jacques Attali : « Il faut contrôler et casser les réseaux sociaux, il faut démanteler Facebook qui est extrêmement dangereux ! »

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Une vidéo passée totalement inaperçue. Voici l’extrait de l’émission sur Radio J du 22 novembre 2020, présentée par Frédéric Haziza (spécialiste de la main aux cul, dont la journaliste Astrid de Villaines a fait les frais). L’invité n’est autre que Jacques Attali, l’homme qui reste à son poste, contrairement à tous les présidents qu’il voit défiler depuis Mitterrand, et se vante même d’avoir fabriqué Macron :

« Emmanuel Macron ? C’est moi qui l’ai repéré. C’est même moi qui l’ai inventé. Totalement. A partir du moment où je l’ai mis rapporteur, où il y avait Tout-Paris et le monde entier et où je ne l’ai pas éteint, il s’est fait connaître. C’est la réalité objective. » Tiré du livre d’Anne Fulda, « Emmanuel Macron. Un jeune homme si parfait  », Plon, Paris, 2017. Bref, dans cet extrait, Jacques Attali utilise l’antisémitisme pour espérer démanteler internet : « Il faut évidemment contrôler tout ça, il faut casser les réseaux sociaux, il faut démanteler Facebook, Google mais surtout Facebook qui est un acteur extrêmement dangereux par sa nature. » Des propos qui ne plairont pas à Mark Zuckerberg au lendemain d’une panne sans précédent. Nous rappelons à nos lecteurs qu’Emmanuel Macron a installé une commission sur le complotisme et l’antisémitisme. Ça travail en coulisse !

« L’Internet représente une menace pour ceux qui savent et qui décident. Parce qu’il donne accès au savoir autrement que par le cursus hiérarchique. » Jacques Attali, interview Journal Libération par Laurent MAURIAC et Nicole PENICAUT — 5 mai 2000

Média en 4-4-2

Eric Stemmelen, ancien directeur de programmation de France 2, explique l’incroyable censure journalistique

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Eric Stemmelen, ancien directeur de l’antenne et des programmes de France 2 et ancien directeur de l’institut de sondages Sofres, explique au micro de POUR.PRESS comment s’organise la censure chez les journalistes du système. C’est une machine bien rodée où le travail de censure se fait tout seul, sans avoir besoin d’intervention, nous sommes dans de l’auto-censure.

En ce qui concerne les journalistes de la caste, Eric Stemmelen explique : « Quand le présentateur de la matinale d’Europe 1 est payé 38 000 euros par mois. Ça vaut quand même le coup de raconter n’importe quoi à ce tarif  ». Quant aux petits journalistes« on s’autocensure par peur d’être viré tout simplement […] il y en a qui n’ont pas l’intention de se retrouver au chômage. Donc le système est bloqué ! Il n’y a pas besoin d’envoyer la censure, c’est une autocensure ».

L’ancien directeur de programmation de France 2 va plus loin dans l’analyse pour épingler le rôle central de l’AFP dans ce grand théâtre journalistique : « La deuxième chose c’est que le système est plus efficace dans la mesure où il y a le “copier-coller”, c’est-à-dire la reproduction sur des sources apparemment diverses du même discours. Quand l’opinion est confrontée au fait que l’article du Figaro est finalement le même que celui Libération, qui est finalement le même que celui de l’Obs, qui est le même que celui du Monde… alors qu’il s’agit de sources bien différentes,  avec, dit-on, un pluralisme, une diversité. Mais tous disent la même chose ! Et donc, le public se dit : “C’est la vérité !”, puisque des organes aussi différents l’un que l’autre disent la même chose. Sauf qu’ils n’ont rien de différent, ils appartiennent tous à des milliardaires qui, eux, sont copains entre eux et n’ont pas besoin de se consulter pour dire la même chose. »

Média en 4-4-2

L’économie britannique a redémarré plus vite que prévu

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Le Premier ministre britannique Boris Johnson a exclu, dimanche, de revenir au modèle économique « cassé » qui prévalait au Royaume-Uni avant sa sortie de l’Union européenne. Au premier jour de la grande conférence de son Parti conservateur qui se déroule à Manchester, en Angleterre – désormais le lieu de la grand-messe annuelle des Tories- , Boris Johnson a dit qu’il voulait donner un nouvel élan au pays, actuellement confronté à la hausse des prix du gaz. Peut-être aurait-il dû dire que cette hausse était due aussi au fait d’avoir trop misé sur l’éolien plutôt que sur le gaz de schiste de la région de Blackpool, aujourd’hui abandonné ?

Boris Johnson s’est voulu rassurant, arguant que ces « tensions et difficultés » pour l’économie britannique sont liées à la reprise, sur les chapeaux de roue, de l’économie mondiale après la pandémie et à une demande exceptionnelle causée par des achats de panique dans les stations d’essence. Depuis lundi, environ 200 militaires ont été déployés pour approvisionner les stations. Plus que jamais les britanniques vont porter les « popies » en soutient de la Royale Army. Ce coquelicot symbole de la liberté chèrement acquise qui n’est pas un vain mot outre-Manche. D’après la Petrol Retailers Association, les pénuries restent « vraiment très problématiques » à Londres et dans le sud-est de l’Angleterre.

La rupture des chaînes d’approvisionnement, faute de chauffeurs routiers, beaucoup n’ayant pas pu passer le permis pendant la crise sanitaire, reste un problème. Le Royaume-Uni manque aussi de bouchers, faisant craindre des pénuries de produits traditionnels pour Noël. En conséquence, le gouvernement a amendé sa politique d’immigration, durcie après le Brexit, pour accorder jusqu’à 10.500 visas de travail provisoires. Mais Boris Johnson a exclu de « retourner au vieux modèle fatigué et déficient, et recourir au levier de l’immigration incontrôlée », a-t-il insisté. « Donc, oui, il y aura une période d’ajustement. »

Le grand discours de Boris Johnson devant ses troupes est prévu mercredi 6 octobre. Lundi, le chancelier de l’Échiquier (ministre des Finances britannique), Rishi Sunak, a défendu les mesures de soutien à l’emploi face au congrès du Parti conservateur, insistant aussi sur la nécessité de rétablir les finances publiques après la pandémie. Devenu, en un an et demi, une figure de premier plan du Parti conservateur, beaucoup lui prêtent désormais un destin de Premier ministre. Rishi Sunak fait néanmoins face aux critiques d’opposants mais aussi de membres de son propre parti, notamment les libertariens conservateurs, pour les hausses d’impôts, des cotisations sociales et de l’impôt sur les sociétés.

« »Notre dette est de près de 100 % de notre PIB, donc nous avons besoin de rétablir nos finances publiques », a-t-il déclaré. Il a néanmoins défendu l’augmentation des cotisations sociales, « décision difficile particulièrement pour un chancelier conservateur », mais nécessaire pour la pérennité du système de santé britannique (le NHS).

Après avoir annoncé une nouvelle enveloppe de 500 millions de livres (584 millions d’euros) qui vise à accompagner « des centaines de milliers » d’employés ne disposant plus du chômage partiel, ainsi qu’un fonds de 500 millions de livres pour les familles vulnérables, Rishi Sunak a par ailleurs rappelé que le taux de chômage britannique, à 4,6 % en juillet, « est plus bas qu’en Amérique, au Canada, en France, en Espagne, en Italie » et que le pays a un nombre record de postes vacants.

L’économie britannique a redémarré plus vite que prévu au deuxième trimestre, avec une croissance de 5,5 % avec un PIB, même ramené par tête d’habitant plus élevé que celui de la France. Elle a, cependant, perdu de l’élan en juillet avec une hausse du PIB de seulement 0,1 %, notamment à cause de pénuries de travailleurs dans certains secteurs, comme le transport routier.  Mais les difficultés de recrutement dans certains secteurs (transport, boucherie, restauration…) sont structurelles, comme en France, à cause des conditions de travail peu attractives, ce qui pousse beaucoup d’entreprises britanniques à augmenter actuellement les salaires. On débine l’Angleterre dans tous les journaux alors qu’ils sont finalement meilleurs que nous. Est-ce le fighting spirit ? Le taux de suicide pour 100 00 habitants y est à 8 quand nous sommes autour de 13. Leur dette est de 103 % de PIB, quand la nôtre est autour de 115%. 2021, 2022 et 2023 sont annoncées comme des années très prospères en Grande Bretagne par rapport à la France et la zone Euro (sources : FMI et OCDE)

Thierry Martin, Boulevard Voltaire