Insécurité et rodéos sauvages : le maire de Lyon et le préfet du Rhône devant le tribunal après des plaintes de deux collectifs d’habitants

Articles : Oct. 2021Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021

Deux collectifs citoyens, « Presqu’île en colère » et « Lyon en colère », ont assigné en justice le maire de Lyon ainsi que le préfet du Rhône pour manquement à leur mission de protection de la sécurité et de la tranquillité publiques. Une audience aura lieu le 10 novembre devant le tribunal administratif.

(…) Ces derniers ont en effet déposé deux plaintes distinctes en juin dernier, afin de dénoncer les responsabilités respectives du maire de Lyon et du préfet du Rhône, coupables selon eux d’une « carence » dans leur « mission de protection de la sécurité et tranquillité publiques », dans certains quartiers de Lyon, ainsi qu’à Villeurbanne. Les deux collectifs dénoncent notamment les rodéos urbains incessants.

« Nous soutenons que ces autorités de police sont fautives car elles ont manqué à leurs obligations en tardant à prendre des mesures et/ou en ne prenant pas toutes les mesures utiles de nature à prévenir sérieusement les nuisances des rodéos urbains sur la Presqu’île et les troubles à l’insécurité et la tranquillité dans plusieurs autres quartiers de Lyon et Villeurbanne », affirme Me Edouard Raffin, avocat au barreau de Lyon, dans un communiqué.

(…) Actu 17

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Paris : le chef Franco-tunisien d’un groupe djihadiste armé s’entrainant au tir et à l’égorgement condamné à 7 ans ferme

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Il a participé à un cours de technique d’égorgement. Il a tenté deux fois de partir vers une zone où le groupe Etat islamique règne en maître. Il possède des armes à feu et visite régulièrement un stand de tir. Voici quelques éléments dont s’est rendu coupable un Franco-Tunisien radicalisé et expulsé de Suisse en 2017, qui est jugé depuis lundi à Paris, nous apprend la RTS.

La Défense a plaidé l’acquittement en vain.[…]

20min.ch

La mosquée du Petit-Saconnex semble aussi avoir été un lieu de ralliement. Les membres de ce cercle djihadiste ne se rencontraient jamais tous en même temps. La justice les soupçonne d’avoir beaucoup échangé sur une messagerie cryptée et d’y avoir parlé d’islam, de djihad armé et d’itinéraires pour se rendre en Syrie. Et parmi leurs autres activités, la justice évoque des entraînements physiques en montagne et aussi des séances au stand de tir.

Au final, l’enquête menée par la Suisse et la France aura duré entre quatre et cinq ans. En juin dernier, deux membres suisses de ce groupe ont été condamnés à des peines comprises entre un an et deux ans et demi de prison, dont du sursis.

La sanction, prononcée jeudi par le Tribunal correctionnel de Paris, a été beaucoup plus sévère (sept ans de prison) à l’encontre du Franco-Tunisien qui a été expulsé de Suisse en 2017 et qui a été considéré par les juges comme un des piliers de ce réseau djihadiste. Un autre membre, un Italo-Tunisien vivant en France voisine, s’est quant à lui vu infliger une peine de 6 ans[…]

RTS

Macron, 1er président à commémorer en personne l’anniversaire de la manifestation du 17 octobre 1961 (MàJ : « Des crimes inexcusables pour la République »)

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Le chef de l’Etat “a reconnu les faits : les crimes commis cette nuit-là sous l’autorité de Maurice Papon sont inexcusables pour la République”, a indiqué l’Elysée dans un communiqué AFP.

La France regarde toute son Histoire avec lucidité et reconnaît les responsabilités clairement établies”, a ajouté la présidence française à l’issue d’une cérémonie officielle pour les 60 ans du massacre des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris.

AFP

Emmanuel Macron présidera ce samedi à Colombes (Hauts-de-Seine) la cérémonie commémorant le 60e anniversaire de la répression sanglante d’une manifestation d’Algériens, le 17 octobre 1961, en présence de familles des victimes.[…]

Présent ce samedi à la cérémonie du 60e anniversaire au Pont de Bezons à Colombes (Hauts-de-Seine), par lequel passèrent des hommes, femmes et enfants habitants du grand bidonville voisin de Nanterre pour aller à la manif, Emmanuel Macron sera le premier président à commémorer en personne cette date funeste, en présence notamment de familles de victimes. 

Le chef de l’État, qui ne prononcera pas de discours mais publiera un texte à l’issue de la cérémonie, « ira plus loin », promet un conseiller de l’Élysée sans en dire plus… Le même assure cependant qu’il n’y aura ni excuses ni demande de pardon, contrairement au récent geste à l’endroit des harkis. Explication ? « La manière dont les harkis ont été traités résulte d’un choix politique mis en œuvre par les organes de l’État, il y a donc eu demande de pardon — acceptée de bon cœur — pour ce que la République leur a infligé. Le 17 octobre 1961, il s’agissait de faits de violences dans le contexte du couvre-feu imposé aux Français musulmans d’Algérie : le préfet de police Papon avait certes la main mais pas l’ordre de tirer sur les manifestants », justifie l’Élysée. Le texte écrit par Macron pourrait d’ailleurs mentionner le rôle de la préfecture de police de Paris.[…]

Le Parisien

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Sur TikTok, un certain “youyou13autocar” invite les musulmans à se réunir pour décapiter Marine Le Pen et Eric Zemmour (Màj : autres vidéos)

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16/10/2021

Autres vidéos de youyou13autocar :

Vandalisme et agressions à Toulouse : « Des jeunes, peut-être mineurs, qui semblent être des migrants incontrôlables »

Articles : Oct. 2021Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021

Les habitants de Saouzelong et du Busca, à Toulouse, sont inquiets face à la recrudescence du vandalisme et de la délinquance : les victimes se retrouvent parfois face aux cambrioleurs, chez eux, en pleine nuit. Un squat rue du Midi est pointé du doigt. 

Les habitants sont excédés, certains ont peur“, lance un commerçant de la rue du Midi. Depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines, des voitures sont vandalisées, des vitrines cassées, des jardins visités, des volets et fenêtres brisées dans des appartements au rez-de-chaussée et des habitants se retrouvent face à leur(s) agresseur(s), en pleine nuit, dans le paisible quartier de Saouzelong, et même dans le très résidentiel Busca.[…]

Un habitant de l’avenue d’Italie a trouvé un intrus accroupi au fond de sa chambre, qui avait volé sa tablette“, assure un autre. Des habitants montrent du doigt des squatteurs installés depuis plusieurs mois dans plusieurs logements de la résidence du Grand Parc, au 15 de la rue du Midi : “Des jeunes, peut-être mineurs, qui semblent être des migrants, incontrôlables“, lance un riverain. “Nous avons fréquemment la police municipale et la police nationale qui interviennent, cette situation devient compliquée au quotidien”, lance une habitante.

Plusieurs plaintes pour vols et dégradations diverses ont été enregistrées par la Police Nationale, qui se dit “sensibilisée par les plaintes, les policiers de la rive droite multiplient les passages dans le secteur et ont entrepris un  travail de fond pour retrouver les auteurs des faits délictueux“. La maire de quartier, Fella Allal, a aussi été alertée. 

La Dépêche

Kongsberg (Norvège) : 4 femmes et 1 homme tués dans une attaque à l’arc et au couteau, le suspect est un Danois converti à l’islam

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15/10/2021

Les doutes qui entourent la santé mentale, et donc la responsabilité pénale, d’Espen Andersen Brathen, qui a reconnu être l’auteur de l’attaque, se renforcent.

La thèse de la maladie est renforcée à ce stade de l’enquête sur l’attaque à l’arc en Norvège, qui a fait cinq morts et trois blessés jeudi, a estimé vendredi 15 octobre la police norvégienne, sur fond de questions grandissantes sur la santé mentale de son auteur.

« Nous laissons la porte ouverte à d’autres hypothèses », a ajouté l’inspecteur Per Thomas Omholt lors d’une conférence de presse. Parmi les théories de départ, la police avait envisagé « la colère, la revanche, une pulsion, le djihad, la maladie et la provocation », a-t-il expliqué.[…]

Soupçonné de radicalisation islamiste, l’homme de 37 ans a été placé vendredi en détention provisoire pour quatre semaines, les deux premières en isolement total. Plutôt qu’en prison, il sera maintenu dans une institution médicalisée […]

Il fait l’objet d’une évaluation psychiatrique par des experts pour déterminer s’il peut être tenu pour pénalement responsable de son geste. Les conclusions de cette expertise ne devraient pas être rendues avant plusieurs mois.

Si les attaques portent, disent-elles, la marque d’un « acte terroriste », les autorités semblent donc désormais pencher pour l’hypothèse de la folie.

« Il n’y a aucun doute que l’acte lui-même a des apparences qui font penser que ça peut être un acte terroriste, mais il importe maintenant que l’enquête avance et que l’on clarifie les motivations du suspect », avait déclaré le chef des services de renseignement norvégiens (Politiets Sikkerhetstjeneste, PST), Hans Sverre Sjovol, jeudi. « C’est une personne qui a fait des allers-retours dans le système de santé pendant un certain temps », avait-il souligné. […]

Le Monde


14/10/2021

Petits et grands se sont rassemblés tout au long de l’après-midi et de la soirée sur la place Kongsberg. Des fleurs y ont été déposées et des bougies ont été allumées pour ceux qui ont perdu la vie et ont été blessés dans la ville mercredi soir.

Le Premier ministre Jonas Gahr Støre et la ministre de la Justice Emilie Enger Mehl se rendront à Kongsberg vendredi pour montrer leur soutien. Støre lui-même écrit sur sa page Facebook.

NRK


Jeudi, TV 2 s’est entretenu avec Oussama Tlili, le directeur de la mosquée de Kongsberg. Il dit que Bråthen a visité la mosquée plusieurs fois il y a cinq ou six ans.

-Son discours était incohérent. Il a dit qu’on lui avait dit de transmettre un message au monde entier. J’ai dit que Kongsberg n’était pas l’endroit pour le faire

– Vous pensiez qu’il était radicalisé ?

– Non pas du tout. Je pensais plutôt qu’il avait reçu une sorte de révélation. Je n’ai pas perçu que cela avait quelque chose à voir avec l’Islam.

TV2


Selon Hans Sverre Sjøvold, chef du PST (Agence de sécurité de la police), il ne fait aucun doute que l’attaque de mercredi semble être un acte de terrorisme.

Communiqué / SVT


Espen Andersen Bråthen (37 ans) est entré mercredi dans des maisons à Kongsberg et a tué des gens, a annoncé la police.

« Il y a eu des morts à l’extérieur et des morts à l’intérieur de bâtiments résidentiels », a déclaré la procureure de la police Ann Irén Svane Mathiassen à NRK jeudi après-midi.

« Nous avons des informations selon lesquelles l’agresseur est entré dans des maisons où il a également commis un meurtre », explique mathiassen. Elle ajoute qu’il semble que les victimes étaient aléatoires.

NRK


Les meurtres ont eu lieu à différents endroits du centre ville de Kongsberg, mercredi soir. Espen Andersen Bråthen tirait sur les gens avec un arc et des flèches, et a aussi utilisé un couteau. Quatre femmes et un homme ont été tués. Deux personnes ont été blessées.

La police a déclaré jeudi qu’elle avait reçu plusieurs avertissements indiquant que l’homme s’était radicalisé. Un ami proche, raconte que le suspect Espen Andersen Bråthen a lutté pendant des années contre des problèmes psychologiques, sans avoir reçu d’aide.

Voici vidéo qu’Espen Andersen Bråthen a publiée en 2017 :

Bonjour. Je suis un messager. Je viens avec un avertissement. Est-ce vraiment ce que vous voulez ? Et à tous ceux qui veulent se rattraper… Alors, il est venu le temps. Témoignez que je suis musulman.

Nettavisen


L’homme accusé de meurtre doit être évalué par des experts en psychiatrie légale. Ils vont évaluer s’il est criminellement sain d’esprit.

Au cours de l’été 2020, un des voisins du suspect observé la police au domicile de l’homme de 37 ans à deux reprises :

Le 11 juin 2020 : C’est à 18 heures que plusieurs voitures de police se sont arrêtées à sa porte. J’ai vu plusieurs policiers avec des boucliers et des casques autour de sa maison. Ils l’ont appelé pour qu’il sorte, et après un moment, il est sorti. Je pense qu’il a été emmené par la police à ce moment-là“, raconte l’ancien voisin à propos des rapports à un membre de la famille

Un document judiciaire de Kongsberg et Eiker tingrett montre que l’homme de 37 ans avait enfreint une ordonnance restrictive deux semaines auparavant.

Le 8 août 2020 : “Il était environ 17 heures, car je suis rentré du travail. Puis j’ai vu une voiture de police devant sa maison, et je l’ai vu parler à deux officiers de police. Ils se sont assis et ont discuté pendant un long moment avec lui”, raconte l’ancien voisin

Lors d’une conférence de presse tenue jeudi matin, la police a confirmé avoir reçu un rapport d’inquiétude en 2020.

Le 29 mai de l’année dernière, l’accusé est entré dans la maison des membres de la famille et a fait le tour de la maison même s’ils lui ont demandé de partir. En outre, il a menacé de tuer l’un d’entre eux, selon une décision de ce qui s’appelait alors le tribunal de district de Kongsberg et Eiker.

Le tribunal lui a donc accordé une ordonnance restrictive de six mois contre les deux membres de la famille, qui a été signifiée le même jour. La décision du tribunal indique que l’homme a laissé un revolver Colt 45, sur le canapé, que la famille aurait perçu comme menaçant. Malgré l’ordonnance restrictive, l’homme aurait rendu visite aux membres de la famille l’été dernier.

En 2012, l’homme a été condamné à 60 jours de probation pour vol aggravé et achat et utilisation d’une petite quantité de haschisch.

L’homme de 37 ans est un citoyen danois, mais il est né et a vécu toute sa vie en Norvège. Selon les informations de VG, il n’a pas travaillé depuis le début des années 2000.

TV2 / VG

L’auteur du crime est un converti à l’islam, la police a déjà été en contact avec l’homme, notamment en raison de préoccupations liées à la radicalisation, déclare le chef de la police, Ole Bredrup Sæverud.

La police n’a pas voulu dire si cela avait un lien avec le motif.

« Quatre femmes et un homme sont morts. Personne n’a encore été formellement identifié, ils sont âgés de 50 à 70 ans. Les plus proches parents ont été informés, a-t-il déclaré.

Le procureur de la police Ann Irén Svane Mathiassen confirme à TV 2 que le suspect est connu de la police en rapport avec plusieurs affaires différentes. Le suspect, qui est un citoyen danois de 37 ans, vit à Kongsberg depuis plusieurs années.

L’accusé pour les meurtres de Kongsberg a utilisé d’autres armes en plus d’un arc et d’une flèche, a confirmé la police à NTB. On ne sait pas encore quelles armes sont impliquées.

TV2 / VG


Un homme de 37 ans a été arrêté et inculpé après que cinq personnes ont été tuées et deux blessées – l’un d’eux est un officier de police qui n’était pas en service au moment du crime – dans une attaque à l’arc et aux flèches dans la ville norvégienne de Kongsberg mercredi.

Kongsberg est situé dans le sud-est de la Norvège à environ 80 kilomètres au sud-ouest de la capitale Oslo.

Le suspect est un citoyen danois qui vit dans la ville, a annoncé la police dans un communiqué jeudi matin. Le suspect, qui n’a pas été nommé par la police, a été arrêté mercredi après-midi et transporté dans la ville voisine de Drammen.

Øyvind Aas déclare qu’à 18h13 mercredi, la police a reçu un appel de plusieurs personnes de Kongsberg qui avaient observé un homme avec un arc et des flèches, qui avait apparemment tiré sur des gens.

L’homme qui a commis cet acte a été appréhendé par la police. Il n’y a pas de recherche active de personnes supplémentaires. D’après les informations dont nous disposons actuellement, il y a une personne qui a accompli ces actes seule.”, déclare Øyvind Aas.

Avant l’arrestation, il y a d’abord eu un conflit avec la police, avant que l’homme ne prenne la fuite. Lorsque la police a retrouvé l’homme, elle a tiré des coups de semonce avant de l’appréhender. À la suite de cette arrestation, des enquêtes policières approfondies ont été menées dans le centre de Kongsberg (Norvège). La police s’est également rendue à une adresse à Kongsberg et a mené des investigations dans le cadre de cette affaire.

Selon la police, l’attaque a eu lieu à 18 h 47, soit un peu plus d’une demi-heure après le déclenchement de l’alarme. La police est toujours massivement présente et a bouclé une grande partie de Kongsberg, car l’auteur de l’attaque s’est déplacé sur une vaste zone et il y a plusieurs scènes de crime, où les techniciens sont maintenant occupés à trouver des indices, explique M. Aas.

Le chef Aas a ajouté : “Il est naturel de se demander s’il s’agit d’un acte de terrorisme. Il n’a pas été interrogé, et il est trop tôt pour tirer une quelconque conclusion.

L’homme de 37 ans est un citoyen danois, mais vit à Kongsberg. Il a été emmené au centre de détention de Drammen mercredi soir“, a annoncé la police.

« Il coopère avec la police et s’explique en détail sur l’incident », a déclaré l’avocat de la défense de l’homme, Fredrik Neumann, à NRK. Il ajoute que son client est affecté par la situation.

Plusieurs sources indépendantes informent TV 2 que l’homme suspect est converti à l’Islam. Il a été plusieurs fois en contact avec les services de santé norvégiens. L’une des tâches les plus importantes de la police sera donc de clarifier le motif des attaques à Kongsberg, ainsi que l’état de santé éventuel de l’homme.

CNN / TV2 / Le Parisien

Attentat terroriste islamiste dans l’église de Belfairs (Royaume-Uni) : un homme d’origine somalienne poignarde à mort le député conservateur Sir David Amess

Articles : Oct. 2021Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021

16/10/2021

L’enquête est menée par le Counter Terrorism Command du Met, qui travaille en étroite collaboration avec ses collègues de l’Eastern Region Specialist Operations Unit (ERSOU) et de la police de l’Essex.

Le coordinateur national principal de la police antiterroriste, le commissaire adjoint Dean Haydon, a officiellement déclaré que l’incident relevait du terrorisme. L’enquête préliminaire a révélé une motivation potentielle liée à l’extrémisme islamiste.

La police d’Essex a répondu à un incident survenu à une adresse d’Eastwood Road North, Essex, peu après 12h05 le vendredi 15 octobre.

Sur place, les agents ont trouvé un homme présentant de multiples blessures à l’arme blanche. Il a reçu un traitement médical d’urgence par les services d’urgence, mais est malheureusement décédé sur place.

Bien que l’identification officielle n’ait pas encore eu lieu, l’homme a été identifié comme étant Sir David Amess, membre du Parlement pour Southend West. Des agents spécialisés apportent leur soutien à sa famille.

Un Britannique de 25 ans a été arrêté sur les lieux, soupçonné de meurtre. Il est actuellement en détention dans un poste de police de l’Essex.

Dans le cadre de l’enquête, des agents effectuent actuellement des recherches à deux adresses dans la région de Londres et celles-ci se poursuivent.

On pense qu’il a agi seul, et nous ne recherchons personne d’autre en rapport avec l’incident pour le moment. Cependant, les enquêtes sur les circonstances se poursuivent.

Police UK

Des sources gouvernementales ont déclaré à la BBC que l’homme est un ressortissant britannique qui, d’après les premières enquêtes, semble être d’origine somalienne.

La police affirme que les premières enquêtes ont révélé une motivation potentielle liée à l’extrémisme islamiste.

BBC

15/10/2021

Des agents antiterroristes dirigent l’enquête sur la mort de Sir David Amess, a déclaré Ben Julian Harrington, chef de la police de l’Essex. Il a déclaré qu’il n’était pas encore certain que le meurtre soit un acte de terrorisme.

Toutefois, The Independent croit savoir que le suspect est d’origine somalienne et que le meurtre est traité à ce stade comme une probable attaque terroriste islamiste.

Un homme de 25 ans a été arrêté “immédiatement” après l’arrivée de la police à l’église où Sir David a été poignardé, a ajouté M. Harrington. Lors de la même conférence de presse, le commissaire de police de la région a qualifié le meurtre de Sir David d’acte “méprisable”.

Des agents antiterroristes dirigent l’enquête sur la mort de Sir David Amess, a déclaré Ben Julian Harrington, chef de la police de l’Essex. Il a déclaré qu’il n’était pas encore certain que le meurtre soit un acte de terrorisme. Les détectives gardent l’esprit ouvert, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.

The Independant

Le suspect arrêté par la police est un Somalien de 25 ans (The Telegraph)

Un député conservateur britannique, Sir David Amess, est mort après avoir été poignardé à plusieurs reprises vendredi lors d’une permanence parlementaire qu’il tenait dans l’église méthodiste Belfairs, dans sa circonscription de Leigh-on-Sea, à l’est de Londres, selon la police et les médias locaux. Agé de 69 ans, il représentait la circonscription de Southend West dans l’Essex depuis 1983.

La police locale, qui n’a pas nommé la victime, a indiqué dans un communiqué que l’homme qui avait été retrouvé blessé était mort sur place, en dépit des efforts des services de secours. « Un homme de 25 ans a été rapidement arrêté après l’arrivée de la police sur place, soupçonné de meurtre », a-t-elle ajouté, indiquant qu’un couteau a été retrouvé.

Le Monde


Le député conservateur britannique David Amess, 69 ans, mortellement poignardé vendredi, était un catholique fervent, Brexiter convaincu et grand défenseur de la cause animale, décrit comme un homme au “grand coeur”.

Membre du Parti conservateur du Premier ministre Boris Johnson, David Amess, député depuis 1983, était un fervent défenseur du Brexit. Mais son sujet de prédilection au Parlement était le bien-être animal. Il était l’un des rares députés conservateurs favorables à l’interdiction de la chasse au renard.

(…) Né dans la banlieue est de Londres en 1952 dans un milieu modeste, David Amess a étudié l’économie et la politique et travaillé comme enseignant puis consultant en recrutement avant d’entrer en politique. (…)

BFMTV

Le député conservateur de Southend West organisait ce midi une rencontre publique à l’église méthodiste de Belfairs. Un homme serait entré en courant et l’aurait poignardé à plusieurs reprises.

L’homme de 69 ans serait soigné sur place.

Cela survient cinq ans après que le député Jo Cox, 41 ans, a été abattu et poignardé à mort en plein jour.

The Sun