Des militants d’extrême-gauche se réclamant de la laïcité ont scié une croix présente sur le pic Saint-Loup dans l’Hérault. Un acte évidemment répugnant.
04:48 Loi Avia : face à la censure, la révolte ?
C’est hier qu’avait lieu le vote de la liberticide loi Avia. Le silence médiatique aura été quasiment total… Médiapart s’est néanmoins illustré en révélant que Laeticia Avia, le rapporteur du texte de cette loi « contre la haine », était accusée de racisme, d’homophobie et de harcèlement par plusieurs de ses anciens collaborateurs. Plus largement, nous reviendrons dans cette émission sur la question de la censure.
23:00 Revue de presse
Michel Cymès de retour en grande pompe sur France 2… Les médias qui font semblant de ne pas comprendre la gravité du « ObamaGate »… Nous reviendrons comme d’habitude sur l’actualité médiatique de la semaine.
29:05 Macron est-il en bonne santé ?
La santé des présidents est une question absolument taboue dans la Ve République. Nous reviendrons sur cette soumission médiatique et sur les doutes qui entourent l’état de santé d’Emmanuel Macron.
35:25 Coup de chapeau
CNews lance une nouvelle émission hebdomadaire qui portera un regard chrétien sur l’actualité. Une initiative qui a irrité de nombreux journalistes de gauche.
Ce mercredi 20 mai, je serai jugé en appel pour l’occupation pacifique du toit du chantier de la grande mosquée UOIF (Frères Musulmans) de #Poitiers, 8 ans après. Je suis fier d’affronter à nouveau les islamistes qui menacent notre pays.
Ce mercredi 20 mai, je serai jugé en appel pour l’occupation pacifique du toit du chantier de la grande mosquée UOIF (Frères Musulmans) de #Poitiers, 8 ans après. Je suis fier d’affronter à nouveau les islamistes qui menacent notre pays. pic.twitter.com/zkyrhoqdWb
L’ambiance est tendue ce soir de dimanche 17 mai à Argenteuil suite à la mort d’un jeune de 18 ans qui s’y est tué dans un accident de moto dans la nuit du 16 au 17 mai alors qu’une voiture de police se trouvait à proximité. Selon la famille du défunt, la police aurait pu provoquer l’accident.
Une cinquantaine de personnes munies de bâtons se sont rassemblés dimanche 17 mai au soir à Argenteuil où un jeune homme s’était tué dans un accident de moto dans la nuit du 16 au 17 mai alors qu’une voiture de la BAC circulait dans le même quartier.
Un jeune de 18 ans, Sabri, a trouvé la mort au guidon de sa moto à Argenteuil, percutant un poteau dimanche 17 mai, vers 2h00 du matin. Une équipe de la brigade anti-criminalité (BAC) d’Ermont circulait dans ce même quartier au moment de l’accident. Selon l’agence France-Presse (AFP) qui se réfère à une source policière, le véhicule de la BAC a «croisé» le jeune homme sur sa moto-cross.
C’est lundi, on a passé enfin notre premier super week-end dé-confiné ! Pour tout dire on n’a pas tout à fait terminé de faire la fête….et si on prolongeait “l’After” avec Monophobia et son clip totalement déjanté ?
Le polémiste a été une nouvelle fois épinglé en pleine rue, cette fois par une femme, manifestement musulmane, qui ne semblait pas l’apprécier. Les faits interviennent deux semaines après une agression verbale, plus violente, qui avait conduit le parquet de Paris à ouvrir une enquête.
Il ne fait pas bon marcher dans la rue pour Éric Zemmour, dont les propos à l’encontre de la communauté arabo-musulmane font régulièrement polémique. Il a de nouveau été interpellé en plein Paris, cette fois par une femme.
«Vive l’islam! Vive Allah! Vive Mohammed!», s’est-elle écriée à la vue du polémiste, avec un ton qui ne laissait rien présager d’autre que de l’aversion et du mépris. M. Zemmour l’a simplement saluée d’un «bonjour» avant de poursuivre son chemin. La séquence a été largement partagée sur les réseaux sociaux et a déjà fait réagir quelques personnalités.
«Bientôt, pour se promener tranquillement dans la rue, il faudra un certificat de bonnes intentions islamiques!», s’est indigné le député européen Gilbert Collard. Éric Naulleau, partenaire de longue date de Zemmour à la télévision, a affirmé avoir été témoin de musulmans qui «adressent des paroles d’apaisement ou même de soutien» envers lui et les invite à se manifester davantage en vidéo.
Contrairement à l’hystérique qui vocifère dans cette séquence, les Musulmans qui adressent des paroles d’apaisement ou même de soutien à Zemmour (j’en ai été témoin) ne se croient pas tenus de filmer et diffuser la scène. Peut-être devraient-ils le faire. https://t.co/F2lG2EQRXG
En raison de ses propos sur l’immigration, Éric Zemmour est presque un habitué de ce genre d’interpellation. La dernière en date avait fait couler beaucoup d’encre, le 30 avril, lorsqu’il avait été copieusement insulté par un jeune homme dans la rue. L’extrait avait suscité de nombreuses réactions et débats dans le monde politique et médiatique.
Le polémiste avait d’ailleurs reçu un coup de fil d’Emmanuel Macron, et le parquet de Paris avait ouvert une enquête pour «violences» et «menaces» en se basant sur la vidéo diffusée sur le Net. «Je ne suis pas victime ni martyr, je défends simplement des idées», avait-il déclaré sur CNews quelques jours après les faits, ajoutant que «des millions de gens vivent la même chose que moi et vivent même pire».
Au mois de décembre, on sort de sa boîte le confit de canard. Au mois de mai, on déverrouille le couvercle du confit de Français. Enfin, on l’entrouvre. Pas plus de 100 km, essentiellement pour aller au boulot. Mais n’est-ce pas là la vraie liberté, mes chéris ? Arbeit macht frei, comme disaient d’autres grands confineurs historiques de Français.
Youpi ! Le formidable progrès, et c’est à peu près le seul, est que nous n’aurons plus à produire, dans notre département ou dans un rayon de 100 km « à vol d’oiseau », notre auto-autorisation de sortie, document de confinement confinant surtout à l’absurde, fruit des amours monstrueuses du « trouple » Courteline, Ionesco et Devos.
Le précieux document reste cependant valable « au-delà », Édouard Philippe ayant précisé qu’il fallait absolument éviter les « brassages de population ». Une déclaration aux relents réactionnaires et même ségrégationnistes tout à fait contraire au vivre ensemble, poncif un peu moins à la mode, il est vrai, ces temps derniers, le mourir seul ayant pris le dessus. Rassurez-vous cependant, le politiquement correct est sauf, puisqu’il ne s’agit là que d’exclusion franco-française : interdiction est faite aux bouseux du Cantal de se mélanger aux ploucs du Berry. Chacun chez soi et les vaches – c’est-à-dire nous, ruminants nos inquiétudes – seront bien gardées.
Pour y contrevenir il faudra un « motif professionnel ou familial impérieux ». Aucune liste exhaustive, mais un contre-exemple, en revanche, a été cité jeudi par un Édouard Philippe ironique, comme si cela tombait sous le sens, ma brave dame. Rejoindre sa résidence secondaire n’est pas une bonne raison.
La propriété, c’est mal, vouloir s’y rendre – par exemple pour l’entretenir -, c’est encore pire. Ce gouvernement n’aime pas le patrimoine, et comme Stéphane Bern l’a fait remarquer, évoquant « un malentendu », celui-ci est d’ailleurs l’angle mort du plan de sauvetage de la culture récemment déroulé par Franck Riester. Celui-ci est plutôt axé, voyez-vous, sur le « fratrimoine » : les frérots, les potes, les copains de gauche du « spectacle vivant ».
Sans compter qu’en ces temps d’impopularité, réveiller l’image d’Épinal du bourgeois parisien rejoignant sa luxueuse villa à l’île de Ré en faisant peu de cas des gueux, là-bas, qu’il risque de contaminer permet d’encaisser les bénéfices faciles d’une lutte des classes mal éteinte. Tant pis pour la mauvaise foi, car évidemment, la résidence secondaire, c’est aussi et surtout le Français modeste, locataire de son logement principal tout aussi modeste que lui mais qu’il est pourtant bien incapable d’acquérir, eu égard à la pression immobilière des grandes métropoles où, bassin d’emploi oblige, il a bien dû faire sa vie. Celui-ci a donc gardé ou acheté une petite bicoque en province, ses racines et son refuge, dont il aime et doit, à chaque printemps, entretenir le toit et le jardin. Sauf cette année. Pour les retraités, c’est double peine : non seulement on les enjoint à rester terrés chez eux (certes, ils sont autorisés à sortir, mais c’est à leurs risques et périls et on leur promet gentiment mille morts s’ils s’y aventuraient) mais, en sus, ils n’ont pas le droit de se retirer, au calme, dans une région moins anxiogène où ils pourront enfin respirer, près de leurs géraniums et rosiers en fleur.
Dire que le 10 mars dernier, lorsque le jeune Sebastian Kurz a décidé de contrôler drastiquement les entrées sur le territoire autrichien, Emmanuel Macron a parlé de « mauvaise décision », le virus, selon lui (petit rire), ne connaissant pas les frontières. Mais le virus connaît les octrois ?
Heureusement, le jeune chancelier fédéral a la charité, aujourd’hui, de ne pas le narguer : dans un pays certes plus petit que le nôtre mais à densité comparable (et ayant eu, lui aussi, ses foyers infectieux, en particulier dans le Tyrol), il y a proportionnellement six fois moins de morts, le processus de déconfinement a démarré le 14 avril (pour un confinement entamé peu ou prou en même temps que nous), les bars et restaurants, derniers commerçants fermés, rouvriront le 15 mai. Les écoliers auront tous repris le 18, et le bac aura bel et bien lieu.
Lorsque l’heure sera venue, calmement mais avec détermination, de déballer tous les dossiers pour faire la vérité, penser, après la mascarade et le sketch des tests, à ne pas oublier la scandaleuse pantomime des frontières.
En visite à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, Macron a eut droit à l’accueil qu’il mérite. Toujours correct, certes, mais particulièrement tendu. Un infirmier lui a fait comprendre que les médailles, ça ne payait ni les factures, ni les efforts et les risques déployés durant deux mois, sans aucun soutien du gouvernement, sans même le matériel minimum pour se protéger… Macron énervé, lui a envoyé avec mépris que s’il ne voulait pas de la médaille, il pouvait s’abstenir de venir la chercher… Puis une infirmière lui a dit qu’il avait déçu, géré de très loin la crise, et surtout n’avait tenu aucun de engagements. « On ne croit plus en vous », lui a-t-elle envoyé. Et là, Macron a eu une réponse qui en dit long sur son égotisme. « Moi qui croyais avoir commencé à faire changer l’hôpital, c’est très cruel pour moi… »
Vous avez bien lu : dans cette affaire, la vie est cruelle avec… Macron ! Pas avec le personnel hospitalier surmené, pas avec ceux d’entre eux qui ont contracté la maladie en accomplissant leur devoir, pas avec les dizaines de médecins décédés durant ces deux mois pour sauver des vies. Non, la vie est cruelle avec le pauvre Macron, parce qu’il s’est fait houspiller pour avoir négligé l’hôpital, avoir menti, joué avec la santé des gens. Pour une fois qu’il récolte une infime partie de ce qu’il a semé, en recevant un accueil plus que frais des agents hospitaliers, Macron tombe des nues. C’est trop cruel, vous ne trouvez pas, Monsieur Emmanuel Calimero ? Vous n’avez pas envie de verser une larme sur les malheurs de notre pauvre Président, qui se fait rabrouer partout où il passe ? Macron dévoile à la Pitié toute l’étendue de son inconséquence : occupé à gérer sa com’, et à négliger le réel, il joue à la victime quand on lui donne à contempler les méfaits de son action. À croire qu’il n’a pas encore compris qu’être Président, ce n’est pas un jeu, c’est agir sur la vie des gens…
Dès le début de la pandémie, le professeur Raoult, éminent expert mondial en épidémiologie des virus, avait déclaré qu’il fallait identifier les malades, les isoler et les traiter, mais surtout ne pas confiner la totalité de la population, mêlant infectés et sains.
Le gouvernement n’a pas suivi ces recommandations et s’est lancé dans une palinodie incohérente passant d’une assurance désinvolte à un catastrophisme inouï.
La population, gagnée par la peur, semble avoir été, et est toujours, tétanisée par un danger manifestement surestimé, quand la médiane des décès se situe à 84 ans, c’est-à-dire supérieure à l’espérance de vie moyenne.
Dans la période actuelle, l’apparition du Covid-19 a été une aubaine pour un gouvernement confronté au mouvement persistant des gilets jaunes puis des mouvements sociaux à la suite de la réforme des retraites.
Cette panique provoquée n’est pas innocente et cette véritable fabrication de la peur à laquelle on assiste a pour avantage d’empêcher tout mouvement revendicatif et de manifester son mécontentement dans la rue. Tel est l’effet de toutes les contraintes infligées à la population sous la surveillance d’une police omniprésente. Nous sommes assignés à résidence dans la limite de 100 km, le sport en salle nous est interdit, etc. Et, dommage collatéral, 40 % des Français ont pris du poids ! Vivement que les parcs soient rouverts sur tout le territoire !
A contrario, le Vietnam, dont personne ne parle en France, n’a pas confiné sa population et enregistre le plus faible taux de décès du monde. Officiellement zéro décès pour un pays de 100 millions d’habitants, plus densément peuplé que l’Hexagone, rapportent Les Échos. Que se passe-t-il donc là-bas ?
Les gens vivent dans une grande promiscuité dans de nombreux quartier de l’ex-Saïgon. Je fais mes courses tous les jours dans un marché vietnamien (quartier touristique, donc très exposé à la propagation du virus) qui grouille de monde où peut-être seulement 30 % des chalands portent un masque.
Ce dernier est habituel car il est porté toute l’année comme protection anti-pollution par une partie de la population.
Il faut ajouter que les Vietnamiens ne se serrent pas la main et ne s’embrassent pas.
Enfin, dans les bureaux où le port du masque est assez fréquent, on se lave souvent les mains au gel hydroalcoolique.
Dès le départ de la pandémie, les autorités ont commencé à fermer progressivement les bars de nuit puis les salles de sport et, enfin, les établissements d’enseignement. Quand vous débarquiez à l’aéroport, prise de température au front et remise d’un questionnaire mentionnant un numéro d’urgence en cas de symptômes du Covid-19. Les magasins sont restés ouverts et, dans les centres commerciaux, on vous prenait la température frontale, rien de plus. L’activité économique n’a pas été affectée. C’était la situation il y a deux mois. Renseignements pris hier, rien n’a changé, aucun confinement et les établissements d’enseignement vont rouvrir. Le port du masque est seulement conseillé.
En complément de l’interview du Dr Gérard Delépine ce jour sur RT France à 11 H, à propos de la surmortalité du confinement français
Nous vous proposons un bilan temporaire des drames sanitaires de l’épidémie et surtout de sa gestion mortifère (mise à jour le 15 mai 2020).
Le bilan chiffré du confinement aveugle démontre l’ampleur de la catastrophe, dont on ne voit manifestement que le début.
Un premier bilan chiffré par comparaison aux autres pays berceaux de l’Union européenne (Allemagne, France, Italie, Espagne, Belgique et Pays-Bas dont les stratégies sanitaires ont été précisées suffisamment clairement ) peut être établi pour préciser son impact sur la mortalité liée au SARS-Cov-2 et la mortalité globale.
Les différentes stratégies observées
Trois types de politiques sanitaires ont été utilisées dans le monde :
– Les Pays-Bas et la Suède ont privilégié la transparence, la liberté et les droits de leurs citoyens. Ils ont édicté un minimum de mesures autoritaires (fermeture des lieux très fréquentés, musées, salles de sport, bars, sexe-clubs, maisons closes et coffee shops) et fait confiance à la responsabilité individuelle et à l’esprit civique avec une quarantaine volontaire, en cas d’infection clinique.
– L’Allemagne a opté pour la transparence et l’utilisation des mesures traditionnelles d’endiguement ayant fait leurs preuves contre les épidémies sévères antérieures : fermeture des frontières, des écoles et des lieux de réunions publiques, séparation des infectés et des personnes saines avec tests cliniques et diagnostiques et recherche opiniâtre des contacts.
L’Italie, la France, l’Espagne et la Belgique ont adopté les méthodes de la dictature chinoise : confinement policier astreignant à domicile ensemble les non infectés et les malades, d’où l’ampleur des dégâts prévisibles.
Mortalité Covid19
Le taux d’infection observé est trop dépendant du nombre d’observations cliniques et de tests diagnostiques réalisés. Ils diffèrent considérablement d’un pays à l’autre, ne peut constituer un indice fiable de l’efficacité des mesures sanitaires.
La mortalité publiée dans le « Covid19 situation report quotidien de l’OMS » représente le moins mauvais des critères objectifs. Les résultats de mortalité du 15 mai 2020 publiés dans le « Covid-19 situation report 116 » constituent le critère de jugement.
Mortalité des pays sans mesures contraignantes
Les pays qui ont seulement fait appel à la responsabilité individuelle souffrent d’une mortalité Covid-19, par million d’habitants, dans la moyenne européenne : 349 en Suède (3 529 morts), 326 aux Pays-Bas (5 590 morts).
Mortalité des pays en confinement aveugle et policier, dont la France
Ces pays souffrent des mortalitésles plus élevées du monde de 50 % à 100 % plus élevés que les précédents : par million d’habitants : 768 en Belgique (8 903 décès), 584 en Espagne (27 321 morts), 518 en Italie (31 168 victimes), 439 en France (27 378 décès).
Mortalité des pays en endiguement traditionnel
Les gouvernements qui ont opté pour l’approche médicale traditionnelle historique d’endiguement, mettant en quarantaine les seuls infectés ont le mieux protégé leurs populations avec les mortalités les plus basses : par million d’habitants : 93 en Allemagne (7 369 morts) et 69 en Autriche et moins de 6 dans les pays asiatiques précocement atteints (Corée, Japon, Taïwan).
Le confinement policier adopté en France, Italie, Espagne et Belgique selon les conseils des mages mathématiciens au service de l’OMS tels Ferguson, constitue la stratégie sanitaire qui protège le moins bien la population.
Si nous avions adopté la politique sanitaire de l’Allemagne, nous aurions probablement déploré 20 000 morts de Covid-19 en moins, correction faite néanmoins des aînés refusés en réanimation et euthanasiés par Rivotril dans leurs Ehpad en cas de troubles respiratoires, suspects ou confirmés Covid-19, du refus de traiter les patients atteints en début de traitement par l’association chloroquine-azithromycine ou même association d’antibiotiques, et l’injonction par le ministère soutenu par le Conseil de l’Ordre de ne donner que du Doliprane en début de signes cliniques.
L’ensemble de ces choix absurdes et scandaleux a alourdi la mortalité dont le compte n’est pas terminé à ce jour. Le ministère continue à refuser de suivre le professeur Raoult pour le traitement précoce dès les premiers signes cliniques sur l’argument fallacieux qu’il se serait trompé en début d’épidémie et d’autoriser la prescription libre de chloroquine. Mais si les patients avaient tous bénéficié des meilleurs soins connus, le nombre de morts serait encore plus réduit pour cette épidémie, qui malgré les mauvais traitements ou leur absence, ne dépasse pas en nombre celle de la grippe saisonnière. Les insultes ministérielles au Pr Raoult sont particulièrement mal venues.
Dégâts sanitaires collatéraux du confinement à la française
Le confinement policier a entraîné de nombreuses victimes collatérales et des multiples dégâts sur la santé des Français, sur la société, sur la vie démocratique et des dommages considérables sur l’économie. « Sauvez des vies » nous répétait-on à loisir comme le journaliste Pascal Praud sur CNews, parmi d’autres. Sauvez des vies, alors que les hôpitaux étaient vides en dehors de services de médecine élargis et de réanimation doublés ! Infirmières au chômage, anesthésistes et chirurgiens et directions fermant les blocs, faute de patients Covid jamais adressés sur ordre des ARS, les autres étant interdits de soins non urgents, dont toutes les interventions pour ablation d’une tumeur non urgente pulmonaire, colique ou d’une appendicite perforée.
Chaque jour apporte son lot de témoignages, comme si le confinement n’avait pas simplement bloqué les déplacements, mais aussi la parole. Les psychiatres vont-ils nous aider à comprendre cette sidération psychique ?
Des cancéreux en attente d’opération qui se voient depuis le 11 mai (pourquoi pas avant ?) proposer une radiothérapie, qui pourra avoir lieu début août… Débordés, les services de cancérologie comme les coiffeurs… Mais là il s’agit de vies, comme l’exprime la patiente sur Twitter… Serai-je encore en vie…
Du point de vue médical, le « plan blanc » a entraîné l’arrêt des traitements des maladies chroniques (hypertension, diabète, cancers), source de pertes de chances de survie. Le bilan chiffré sera lourd, si on l’obtient. Il a également bloqué le diagnostic et le traitement de nouvelles pathologies infectieuses, cancéreuses etc. qui se sont révélées pendant le confinement total et sont restées évolutives en l’absence de diagnostic et donc de traitement.
Le Bloc, union syndicale AAL- SYNGOF-UCD appelle solennellement le Premier ministre et le ministre des Solidarités et de la Santé à stopper le plan blanc élargi. Ils alertent en un communiqué adressé aux plus hautes autorités de l’État le 7 mai :
« Nous constatons chaque jour et de plus en plus l’aggravation des morbidités et de la mortalité des malades non-Covid. Les patients présentent des états aggravés avec des retards diagnostiques et thérapeutiques lourds de conséquences. Toutes les spécialités médicales sont concernées ».
Édicté pour lutter contre le risque Covid-19, le plan blanc a maintenant des effets délétères pour la santé publique, alors même que l’épidémie est presque éteinte sur une grande partie du territoire.
Son rapport bénéfice/risque est devenu catastrophique».
Au-delà des retentissements gravissimes sur toutes les maladies organiques, les troubles psychologiques liés à l’enfermement, bien décrits dans la littérature médicale, se sont traduits par des crises d’angoisse parfois spectaculaires, une augmentation de plus de 30 % des violences familiales faites aux femmes et aux enfants, des violences faites aux parents par des enfants ou adolescents, et de nombreux suicides [1].
La rupture des relations sociales des enfants et des adolescents nuit à leur épanouissement et a augmenté chez certains les dépendances de toutes sortes et particulièrement aux écrans, rendant tragique la volonté de nombreux enseignants et de familles de vouloir bloquer le retour à l’école sous prétexte d’un danger fabriqué par le lobby pharmaceutique et affidés politiques.
Les enfants ne transmettent pas le virus et les mesures ubuesques imposées sont inutiles et d’autre part l’épidémie se termine, les nouveaux patients exceptionnels (à ne pas confondre avec des « contaminations » révélées par des tests de résultats tardifs ou de porteurs testés par angoisse. Tests à éviter, n’étant d’aucune utilité, les signes cliniques seraient suffisants en cas de forme visible et sont très souvent faux et eux-mêmes contaminés. Peuvent-ils vous infecter ? Nous ne le savons pas, mais courir le risque pour un test inutile ne paraît pas une bonne idée.
La longue durée du confinement a aggravé les addictions, de nombreux adolescents se recroquevillent sur eux-mêmes et leurs relations virtuelles, refusent de plus en plus de sortir et de se confronter à la vie réelle, même depuis l’autorisation limitée. Un pot avec leurs copains dans leur café habituel serait une bonne porte de « sortie », mais le gouvernement maintient la pression et la ruine des petits commerces et restaurants.
Ce syndrome du refus de sortir du « confort » de la maison a atteint de plus en plus d’adultes au fur et à mesure du prolongement de l’enfermement et fait craindre une explosion des troubles psychologiques et psychiatriques à court, moyen et long termes, même chez les personnes ayant « apparemment » bien supporté le confinement d’autant plus qu’elles ne souhaitent pas en sortir. Un problème dans quelques années pourra faire ressortir la frustration liée à la privation de liberté. Il faudra y penser et consulter.
Les psychiatres ne seront pas au chômage de sitôt et les psychologues et pédopsychiatres non plus. Les professeurs du secondaire prévoient des phobies scolaires, des décrochages majeurs d’enfants jusque-là adaptés. Les conséquences de cette prison inutile [2] n’ont pas fini d’être quantifiées dans les couloirs des facultés de sociologie. Mais qui se remettra en cause sur les bancs de l’Assemblée nationale et du Sénat, mais aussi des syndicats et partis politiques. Ils ont tous parlé de l’ « après-Covid », mais jamais du « pendant Covid »!
Qu’attendaient-ils ? Pourquoi ont-ils tous abandonné les Français à leur panique, qu’ils eussent pu démonter en regardant ses fondements fabriqués et la situation de nos voisins ayant échappé à la folie collective et l’hystérie médiatique.
Et on commence enfin à en parler sur les médias, comme si personne ne hurlait dans le désert depuis cet enfermement inadmissible et dangereux. Le plus grand virologue français l’avait dit dès le début, ce confinement était stupide et inutile. Aucun politique ne peut dire qu’il ne savait pas, ni le gouvernement, ni les représentants d’une soi-disant opposition qui se sont tus cruellement pour les Français et de tous bords politiques. Ils ont fait semblant, tous, de croire aux mensonges du conseil scientifique pourtant lié aux lobbies pharmaceutiques. Comment leur pardonner ? Par qui les remplacer ?
L’économie française a souffert gravement du confinement, le pire reste à venir et sera d’autant plus lourd que le déconfinement tarde à être complet
D’après l’Insee, les 2 mois de confinement ont déjà amputé le PIB de 2020 de près de 10 % du fait de l’arrêt de secteurs économiques majeurs (construction, commerce, transports, hébergement et restauration, industries automobile et pétrolière) et le gel des commerces non vitaux et des professions libérales dont beaucoup ne se relèveront pas.
D’après la Banque de France, le Produit intérieur brut a reculé de 32 % sur la quinzaine de mars confiné, entraînant une chute de 6 % au premier trimestre, pire contre-performance trimestrielle en France depuis 1945. D’après les dernières données de l’Institut national des statistiques, la France est entrée en récession.
Pour l’année 2020, les prévisions économiques sont terribles pour la France avec un recul de notre PIB supérieur à 10 % (jamais atteint depuis la création de l’Insee) et un taux de chômage supérieur à 10 %.
L’épidémie régresse en Europe et rapidement dans tous les pays étudiés. Reprenons le plus vite possible notre vie normale
Les relevés publiés par l’OMS montrent que les moyennes des nouvelles contaminations quotidiennes ont fortement chuté entre le 6 avril et le 6 mai. Cette chute continue atteint 73 % aux Pays-Bas (pays non confiné), 72 % en Allemagne (pays adepte de l’endiguement).
Sur la même période, les pays confinés voient aussi l’épidémie reculer, mais de manière parfois moins importante : 50 % en Belgique, 58 % en Italie, 79 % en France, 73 % en Espagne ainsi que le précise le tableau suivant utilisant les données OMS des Covid-19 situation report N°77 à N°107 :
Moyenne des nouvelles contaminations quotidiennes
Semaines du
Allemagne
France
Italie
Espagne
Belgique
Nederland
6-13/4
3 913
3 328
3 944
5 160
1 402
1 120
14-20/4
2 665
2 665
3 230
4 275
1 264
972
21-27/4
1 870
1 468
2 634
3 656
1 036
672
22-29/4
1 771
1 319
2 410
3 460
810
450
29/4 au 6/5
1 110
727
1 671
1 214
708
310
SORTONS DE L’HYSTÉRIE, L’ÉPIDÉMIE DISPARAÎT
IMPOSONS L’ARRÊT DES MESURES SANITAIRES AUX ENTREPRISES, AUX ÉCOLES, AUX VILLES ET AUX VILLAGES
ET AVEC ELLES, LA FIN DE LA PEUR.
Docteur Nicole Delépine
[1] Rappelez-vous le drame de cette femme bloquée sur une île qu’elle visitait. Verbalisée parce qu’elle se promenait seule sur la jetée proche de la maison où elle était confinée, elle s’est suicidée quelques jours plus tard en se jetant dans la mer de l’endroit où elle avait été verbalisée.
[2] Les moins de 19 ans ne transmettent pas le virus ni aux autres enfants ni aux adultes. Sur plus de 3,5 millions d’infectés, aucun cas de contamination par un enfant n’a été démontré.
Cette chanson est un peu un OVNI. Pas de grandes envolées lyriques ni dans la voix ni dans la musique….mais une sorte de ballade très agréable un peu dans la même tonalité que les chansons de Suzanne Véga. Le clip video animé est très bien fait. A déguster comme une friandise.
BONUS,
Une autre chanson de ce groupe mérite le détour, je vous la propose en bonus aujourd’hui…deux pour le prix d’une….ne dites rien c’est mon dernier mot.