Déconfinement : le gouvernement est-il en train de céder devant l’islam ?

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Boulevard Voltaire

Ce jeudi après-midi, en écoutant Christophe Castaner, ministre en charge des Cultes, lors de la présentation du plan de déconfinement, c’est la question qu’on peut se poser.

Explications. Lundi après-midi, Édouard Philippe, devant les sénateurs, déclare que « le gouvernement » était « prêt à étudier la possibilité que les offices religieux puissent reprendre à partir du 29 mai ». Une petite concession, alors qu’initialement, le rétablissement du culte public ne devait pas intervenir avant début juin, ce qui avait amené la Conférence des évêques à faire part de sa déception. Petite mais pas anodine que cette concession, si elle était accordée, car elle permettrait aux catholiques d’assister à la fête de la Pentecôte, tombant le dimanche 31 mai. Après l’interdiction de fêter publiquement les Rameaux, Pâques et l’Ascension, cela serait effectivement une grande consolation.

Et mercredi, voici que le nouveau recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, se fend d’un long communiqué d’une rare violence, dans lequel il menace carrément d’attaquer en justice le gouvernement si la reprise des cultes se faisait le 29 mai comme l’a évoqué le Premier ministre au Sénat. « Si nous tenons à exprimer aujourd’hui notre stupéfaction et notre déception, c’est en raison de revirements inexpliqués opérés par l’exécutif, qui annonce l’éventualité de célébration d’offices religieux au sein des lieux de culte avant la date prévue, soit dès le 29 mai, pour permettre l’organisation de cérémonies religieuses liées aux fêtes juives et chrétienne de la Pentecôte. » Ce qui est formellement faux, car le Premier ministre, au Sénat, est resté très général et s’est bien gardé d’évoquer tel ou tel culte : « Beaucoup de cultes ont fait des propositions, pour concilier déroulement de leurs réunions avec les exigences de distanciation physique », s’est-il contenté de déclarer.

Pourquoi cette attaque en règle de la Grande Mosquée ? Parce, dit le recteur, « la fête de l’aïd qui clôture le mois sacré du ramadan est aussi importante que la pentecôte juive ou chrétienne ». Et que la fin du ramadan tombe le 24 mai. Nous y voilà. « Par conséquent, si cette “dérogation” venait à être accordée aux autres communautés religieuses à compter du 29 mai 2020, ce qui de facto exclurait le culte musulman, la GMP demandera instamment aux pouvoirs publics de fixer le 24 mai comme date de célébration des cérémonies religieuses pour tous les lieux de culte sans exclusion. » Sinon ? « À défaut, la Grande Mosquée de Paris se verra malheureusement dans l’obligation d’user de tous les moyens légaux pour défendre les intérêts moraux des musulmans de France. »

Plusieurs remarques. D’abord, on notera qu’on est loin du ton généralement onctueux et pondéré des représentants de cultes. On est là, clairement, dans des propos qui visent à installer un rapport de force. Chacun en tirera les conclusions qu’il veut. Ensuite, on notera une certaine mauvaise foi, si l’on peut dire, dans la présentation des faits. En effet, la date d’autorisation de célébrer publiquement les cultes n’a pas été arrêtée par le gouvernement. Donc, envisager cette autorisation au 29 mai n’est en aucune manière une « dérogation », comme le prétend le recteur de la Grande Mosquée. Par ailleurs, cette « dérogation », qui n’en serait pas une, n’exclurait en aucune façon le culte musulman qui, lui aussi, bénéficierait de cette liberté de pratiquer son culte publiquement à partir de cette date.

Alors, qu’a dit Christophe Castaner à ce sujet lors de la conférence de presse gouvernementale, jeudi après-midi ?

« Concernant les cultes, nous sommes pleinement conscients des efforts consentis par les croyants. Nous avons reçu plusieurs propositions pour concilier pratique religieuse et distanciation physique. Comme je l’ai indiqué le 22 avril au pasteur Clavairoly, représentant de la Conférence des responsables de cultes en France, et comme annoncé par le Premier ministre au Sénat, nous allons travailler avec l’ensemble des responsables cultuels aux conditions d’une reprise des cérémonies religieuses d’ici la fin du mois. »

Toute la question, maintenant, est de savoir quand commence la fin du mois de mai ? Le 29 ou le 24 ?

La chanson du jour, The working hours – Tears for fears

Encore un morceau qui va vous emmener loin, très loin du quotidien….tout droit venu du fond des années 80. Encore une fois on aime à 200 %. Respect Tears for Fears d’avoir créé cette magnifique chanson.

I-Média n°297, toujours aussi excellent !

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02:20 L’image de la semaine

Cette semaine, nous avons assisté au retour d’un mort puisque Kim Jong Un est réapparu après que l’ensemble de la presse mondiale a évoqué sa mort !

04:02 Zemmour agressé : indignation médiatique… sélective !

Le journaliste et écrivain a été violemment pris à partie par un homme dans la rue. La scène a fait le tour des réseaux sociaux. Eric Zemmour a-t-il été soutenu médiatiquement ? La réponse dans ce I-Média.

18:52 Revue de presse

Le gouvernement qui annule dans la confusion son projet controversé de réunir des articles de décodage sur la crise du Coronavirus…
Pascal Praud qui donne la parole à la mère de Marin, dont l’agresseur pourrait sortir de prison avant même la moitié de sa peine…
Nous reviendrons comme d’habitude sur l’actualité médiatique de la semaine !

32:41 Covid-19. Les médias, agents de sidération de l’opinion publique

Après plusieurs mois de crise sanitaire, il est temps d’analyser le rôle des médias dans le formatage de l’opinion publique. Entre minimisation et dramatisation, les médias ont-ils influencé les Français dans leur vision de la crise du Covid-19 ?

«Après avoir vu la maîtrise coréenne contre l’épidémie j’ai assisté au désastre français»

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Ingénieur et immunologiste à l’Institut national de sciences et de technologie d’Ulsan (Corée du Sud), le Pr François Amblard a analysé la stratégie sud-coréenne anti-Covid-19. Selon lui, à la différence de la France, l’épidémie y a été prise en charge par des scientifiques et des médecins indépendants du pouvoir politique.

Le Pr François Amblard, ingénieur et immunologiste à l’Institut national sud-coréen de sciences et de technologie d’Ulsan, a rédigé un rapport complet sur la maîtrise de l’épidémie de coronavirus en Corée du Sud à la demande de l’Académie des sciences. Les principaux points de celui-ci ont été révélés au site Le Quotidien du Médecin qui a également publié le texte intégral du rapport.

Selon M.Amblard, en Corée du Sud l’arsenal de moyens de lutte contre l’épidémie a été mis en place avec une étonnante efficacité et «en un mois l’affaire était pliée».

«Après avoir vu la maîtrise coréenne, j’ai assisté au désastre français où l’on a entendu quotidiennement des choses ineptes: “les masques ne servent à rien”, “les tests ne servent à rien”. On a vite compris que le discours scientifique s’était adapté et transformé en mensonge destiné à cacher les pénuries», a-t-il confié.

Il a signalé que la vraie clé de la réussite sud-coréenne résidait dans la gestion des opérations par des scientifiques, sans interférence politique, bien qu’il ait eu une séparation claire des responsabilités et des compétences. En effet, certains ordres, comme la fermeture des frontières et la mobilisation de l’armée, relèvent de la responsabilité du Président.

Adhésion massive à une politique claire

Le Pr Amblard a ajouté que les Coréens avaient adhéré massivement à la politique de dépistage parce que celle-ci est très claire, présentée par des professionnels et non par des politiques, et d’une façon adulte.

«À l’inverse, la communication française est présentée par des politiques qui prennent la population de très haut, sans direction fixe, et livrent une série de mensonges dont personne n’est dupe. Le problème de l’unanimité en France est celui de la confiance», a-t-il poursuivi.

En ce qui concerne la question de savoir si les méthodes coréennes pourraient être applicables en France, il a indiqué que les enfants ne devaient pas encore retourner à l’école, surtout les plus petits.

Ne pas déconfiner avant de pouvoir soigner les maladies habituelles

Il estime de plus qu’il ne doit pas y avoir de déconfinement avant d’avoir remis un nombre suffisant d’hôpitaux en mode «Covid-free», afin de reprendre les soins des maladies habituelles.

«Si l’on suit les méthodes coréennes, tous les gens testés positifs doivent être isolés. Ce qui est impossible à ce jour en France. Il faut donc d’abord faire baisser le nombre de cas positifs, et la seule méthode pour cela est le port obligatoire du masque dans tous les espaces publics et au travail. Ensuite pourront être mis en place l’isolement des personnes positives, un dépistage plus systématique et le tracking», a résumé le Pr Amblard.

Et d’ajouter: «Il ne sert à rien de faire une enquête systématique à ce jour, car on a probablement détecté que 10% des personnes positives. Inutile de chercher les chemins du virus avec une lampe de poche qui ignore neuf patients sur 10».

Policiers agressés : lâcheté du gouvernement et de la hiérarchie

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Riposte Laïque

Les banlieues sont au-dessus des lois.

Depuis huit semaines, les Français ont été littéralement persécutés pour non-respect du confinement, comme les pires délinquants. Un déploiement policier aussi impressionnant  qu’au plus fort de la crise des Gilets jaunes a donné lieu à plus d’un million d’amendes de 135 euros, voire 1 500 euros en cas de récidive.

Et à la quatrième infraction, le « délinquant  multirécidiviste », pris en flagrant délit  de footing à plus d’un kilomètre de chez lui est passible d’une amende de 3 750 euros et d’une peine de prison de 6 mois.

Pendant ce temps, chaque année, 100 000 peines de prison ne sont pas exécutées faute de place et Nicole Belloubet a libéré plus de 12 000 détenus, y compris des terroristes potentiels fichés  « S ».

Pour traquer ces dangereux malfrats qui ne respectent pas le confinement, l’État a mobilisé les grands moyens. Hélicoptères pour débusquer les randonneurs dans les forêts, drones pour surveiller les plages désertes et aligner tout contrevenant assez inconscient pour se  promener dans ces zones où le risque de contamination est absolument nul !

Ces infractions ont fait la Une des journaux télévisés pendant des semaines. Mais pour les cités rebelles, c’est toujours l’omerta.

Lors d’un passage en Seine-Saint-Denis, Emmanuel Macron s’est même fendu d’un message mielleux à l’attention de son électorat des banlieues, pour féliciter les habitants qui « respectent  le confinement de manière remarquable ».

Rappelons à notre Pinocchio de l’Élysée que les hôpitaux de Seine-Saint-Denis ont été les premiers saturés en Île-de-France et que les exercices de communication n’interdisent pas un minimum d’honnêteté intellectuelle…

Depuis des années, le silence des médias et le déni des autorités tentent de masquer la sinistre réalité : le pouvoir a perdu le contrôle de la situation et se trouve contraint de capituler et de fermer les yeux sur toutes les infractions à la loi commises dans les banlieues, par peur d’un embrasement de type 2005.

Tout discours apaisant et rassurant de Castaner n’est que mensonge. La situation est catastrophique. Les policiers ont ordre de raser les murs et les préfets font profil bas, pour la simple raison que les ordres viennent du plus haut sommet de la hiérarchie. Il n’y a plus d’État de droit et des pans entiers du territoire sont passés sous la coupe des barbus et des caïds.

L’État en est même réduit à acheter la paix dans les banlieues, qui passe par le bon vouloir des imams. Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, l’avait  déjà reconnu après les émeutes de 2005.

Le 18 mars, Laurent Nunez déclarait : « Ce n’est pas  une priorité que de faire respecter dans certains quartiers les fermetures de commerces et de faire cesser les rassemblements. »

Difficile de faire pire dans le renoncement permanent et l’aplaventrisme.

Pour Castaner, les émeutes de Villeneuve-la-Garenne « ne sont pas d’un niveau de gravité exceptionnel. »

Un commissaire en Seine-Saint-Denis reconnaît :

« La différence, c’est que chez nous, les jeunes qui jouent au foot, fument dehors, organisent des rodéos ou font vivoter leurs trafics se contrefoutent de la loi et de ceux qui sont chargés de la faire respecter ! »

Partout en France, les policiers se plaignent des ordres de soumission diffusés par leur hiérarchie. Ne pas intervenir pendant le ramadan est la règle.

Dans les Yvelines, la salle de commandement de la police transmet ses ordres de soumission aux commissariats par téléphone et non plus par radio, pour éviter toute fuite dans les médias.

« Finalement, la hiérarchie baisse son froc sans assumer », assène un policer amer.

Le bilan de cette lâcheté ? Les violences sont continues. (Figaro)

Entre le 17 mars et le 5 mai, 379  faits de violences urbaines visant des policiers, dont 78 guets-apens, ont été recensés par la DGPN. 164 villes de France ont été touchées par les violences.

43 policiers ont été blessés et 121 suspects interpellés.

En haut lieu, on minimise. Ce ne sont que des « faits de basse intensité avec assez peu de dégâts matériels. »

Évidemment, rien à voir pour l’instant avec les 300 bâtiments détruits et les 10 000 véhicules incendiés en 2005 ! Question de temps, sans aucun doute…

Quant à la justice, elle reste égale à elle-même. Un commissaire raconte :

« C’est franchement ahurissant. On a eu des gars verbalisés quinze fois qui écopent d’un rappel à la loi, quand ils ne bénéficient pas d’une « infraction insuffisamment caractérisée ».

Il va de soi qu’un Gaulois serait en prison depuis longtemps ! On se demande parfois si nos juges ne sont pas menacés, pour faire preuve de tant de clémence…

Mais la vraie question concerne l’avenir :

Avec 15 millions de citoyens d’origine extra-européenne présents sur notre sol, l’État a déjà perdu le contrôle de la situation. Avec 500 000 nouvelles arrivées par an, légales et clandestines, qu’en sera-t-il de notre France millénaire quand  cette « richesse nationale » aura doublé en nombre, c’est-à-dire dans une vingtaine d’années ?

Une église parisienne s’engage auprès des plus démunis – vidéo

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Sputnik

Avec l’épidémie de Covid-19, de plus en plus de Français se retrouvent dans une situation financière compliquée. Si bien que les acteurs de la solidarité en France redoublent d’efforts pour leur venir en aide. À Paris, une paroisse réalise depuis le début du confinement des opérations de distribution alimentaire. Reportage.

En ces temps d’incertitude économique, bon nombre de Français ont vu leur situation financière se dégrader avec les mesures de confinement. Pour les plus fragiles, cela se traduit par des difficultés pour s’alimenter. Depuis le début de la crise de Covid-19, des associations, des bénévoles ou des religieux tous bords s’engagent pour venir en aide aux plus démunis. C’est le cas du diocèse de Paris, en partenariat avec les acteurs de la solidarité à Paris, qui s’est associé à l’opération de distribution alimentaire qu’organisent la Préfecture et la Ville de Paris. Ainsi, 25 églises et paroisses sont devenues des centres de distribution alimentaire.

Interrogé par Sputnik, Christophe, qui gère la distribution alimentaire pour la paroisse de Notre-Dame-des Champs (Paris XIVe), explique:

«Au départ, nous étions un petit centre de distribution avec 15 repas par jour. Les gens se sont sûrement passé le mot mais aujourd’hui, nous en sommes presque à 100 repas distribués.»

Une aide bienvenue

Une retraitée âgée de 65 ans, rencontrée par le correspondant de Sputnik, raconte venir tous les jours depuis le début du confinement. En effet «avec [sa] petite retraite et les associations où l’on peut habituellement manger qui sont fermées, heureusement que les bénévoles sont là», apprécie la retraitée. Des volontaires à l’image de Marco qui organise en temps normal des maraudes dédiées aux sans domicile fixe. Avec cette crise sanitaire, il n’a pas hésité à prêter main-forte à la paroisse car «les SDF sont laissés pour compte. Ils ont été abandonnés». Le bénévole regrette que le coronavirus casse «le lien social pourtant si important» pour les marginalisés.

Christophe constate qu’au-delà des personnes qui vivent dans la rue, il y a désormais celles «qui ont été précipitées dans le besoin».

«Ce sont des gens qui avaient des boulots précaires ou faisaient de l’intérim. Du jour au lendemain, ils n’ont plus de travail […]. Ils viennent chercher des repas mais aussi un peu de réconfort car on essaie de créer du lien.»

C’est le cas de Pascal, chef dans la restauration sous le statut d’auto-entrepreneur, actuellement sans revenu après la fermeture de l’établissement où il travaille. Malgré cette mauvaise passe, il loue «la solidarité qui existe entre les personnes qui sont dans la difficulté». Pascal appelle de ses vœux un changement dans la société.

«On a vu qu’il y avait énormément de misère en France et que les ‘miséreux’ étaient tributaires de l’État qui ne fait rien du tout. Il n’y a que les particuliers qui peuvent faire évoluer les choses.

«Désastre» du confinement de Macron: bientôt l’heure des comptes

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Rouge ou vert, le verdict de la carte du déconfinement est tombé. Après deux mois de crise sanitaire, quel bilan tirer de la stratégie de l’Élysée? Avec 25.500 morts officiellement recensés, dont une partie pourrait être imputable aux manquements des pouvoirs publics, et une récession inédite, le confinement aura-t-il fait plus de mal que de bien?

À quatre jours de l’échéance du 11 mai, Édouard Philippe a dévoilé les derniers détails de son plan tant attendu. «Au vu des résultats sanitaires enregistrés ces derniers jours, la levée progressive du déconfinement peut être engagée», s’est félicité le Premier ministre, annonçant une «nouvelle étape dans la lutte contre la pandémie» et une «bonne nouvelle pour les Français». À savoir, à terme, un déconfinement «sur l’ensemble du territoire métropolitain».

Pour autant, le bilan est lourd. La France se retrouve exsangue économiquement, la population émerge d’une quasi-assignation à domicile, souvent difficile, parfois traumatisante. 

Dans l’Hexagone, le Covid-19 a fait jusque-là un peu plus de 25.500 morts, selon les chiffres officiels au 6 mai, soit un taux de mortalité rapporté à la population française de 0,0003%, seul chiffre incontestable, faute de tests en nombre suffisant. Le jeu en valait-il la chandelle? Non, selon Jean-Dominique Michel, expert en santé publique et auteur d’un brûlot publié le 29 avril dernier, COVID-19: anatomie d’une crise sanitaire. «Oui je parle de désastre», a-t-il déploré à l’antenne de CNews. Faisant notamment allusion à l’exemple de la Suède, où la pandémie a été contenue sans interruption de la vie sociale et économique, le spécialiste suisse a détaillé: «Par exemple, le confinement, ça n’a jamais été une recommandation de l’OMS. Les pays qui ont eu les meilleurs résultats face au Covid ne l’ont pas pratiqué

«La bonne pratique, elle est à l’inverse de ce qui a été fait [par le gouvernement français, ndlr]. C’est d’abord dépister le plus rapidement possible le plus de gens possible, mettre en quarantaine les gens contaminés pour éviter qu’ils n’en contaminent d’autres, protéger les personnes à risque avec un confinement limité dans le temps, et enfin mettre des mesures de protection comme des masques, de la distanciation sociale. Ce sont les bonnes pratiques.»

De fait, dans le bilan français, les personnes âgées comptent pour la moitié des décès, soit près de 12.800 personnes, dans des circonstances que seul le temps pourra éclaircir. Aussi, la question demeure, après deux mois de gestion controversée de la crise sanitaire: l’exécutif a-t-il imposé un confinement en particulier en raison du manque de masques de protection?

Deux mois pour répondre à l’urgence sanitaire

Les seniors auraient-ils été mieux protégés par un confinement ciblé que le bilan du Covid-19 en France aurait sans doute été beaucoup moins lourd. Parlant de bilan dans les hôpitaux comme dans les Ehpad et maisons de retraite privées, difficile aussi de savoir ce qui, du coronavirus ou des autres facteurs de morbidité, a réellement causé la mort de nombre de patients durant l’épidémie.

La comparaison avec la mortalité de la grippe saisonnière a, elle aussi, beaucoup occupé les médias, notamment autour du 20 avril dernier, quand le directeur de la Santé, Jérôme Salomon, a affirmé que le Covid-19 avait tué «de loin davantage que toutes les épidémies de grippe, même les plus meurtrières, et davantage que la canicule de l’été 2003», qui avait fait 19.000 morts. En avril dernier, l’INSEE, organisme chargé d’établir les statistiques, tentait de donner des points de comparaison. Et de rappeler dans un billet de blog intitulé «Faire parler les chiffres de décès publiés par l’Insee… avec discernement»:

«Il faut d’abord avoir en tête quelques ordres de grandeur: en France, le nombre de décès annuel est de 600.000, soit 1.650 en moyenne par jour; on meurt plus souvent en hiver qu’à la belle saison et le nombre de décès journaliers est en général compris entre 1.500 en été et 1.800 en hiver, mais il peut dépasser 2.000 lors des pics de grippe saisonnière (comme en janvier 2017, avec 2.200 décès par jour en moyenne).»

Le suivi annuel de la mortalité permet d’affirmer que la grippe tue en moyenne chaque année en France, explique l’INSEE, 10.000 personnes, souvent âgées. 8.000 environ en 2019, 13.000 en 2018, 14.500 en 2017.

Un confinement… et un demi-million de chômeurs en plus

Un bilan, en tout état de cause, bien inférieur à celui annoncé pour le SARS-CoV-2, qui ne prend même pas en compte les morts à domicile, jusque-là passées sous les radars. Pourtant, le doute persiste, à tort ou à raison, sur l’ampleur de la mortalité avec ses effets délétères sur l’opinion. Sur fond de défiance des Français, il faudra, là aussi, probablement plusieurs mois pour les éclaircir. Si cela est toutefois matériellement possible. Faute de tests et de campagne de dépistage systématique lors de la phase aiguë de l’épidémie dans l’Hexagone, seuls sont disponibles à l’analyse les cas dépistés dans le système hospitalier…

Reste un pays dont il faut faire repartir l’économie et tenter de réparer la casse sociale. Malgré un recours massif au chômage partiel, qui concerne désormais 12,1 millions de salariés et près d’un million d’entreprises, l’économie française s’est retrouvée au premier trimestre en situation de destruction nette d’emplois pour la première fois depuis 2015. Selon une première estimation publiée par l’INSEE, un total de 453.800 destructions nettes d’emplois salariés dans le secteur privé a été recensé sur la période janvier-mars, contre 88.800 créations nettes sur les trois derniers mois de 2019.

L’empressement du gouvernement durant la semaine écoulée à relancer l’activité économique l’indique: le plus grand danger, y compris dans sa dimension sanitaire, c’est sans doute l’effondrement économique.

Muzz et écolos contre la France, avec l’accord de Macron

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Riposte Laïque

Le virus de Wuhan, s’il a mis la France à l’arrêt, n’a pas annihilé les propagandes islamistes et écologistes souvent soutenues par la Macronie.

L’avenir s’annonce furieusement hostile aux Français de souche.

Le gouvernement est au travail.

Il favorise ouvertement les quartiers criminogènes, terreau fertile de l’islamisation de notre pays, où les enterrements sont autorisés avec des centaines de personnes pour envoyer une petite frappe baiser les 72 vierges.

Nunez et un obscur fonctionnaire de police (directeur de je ne sais quelle sécurité du Calvados) appellent à cajoler les islamo-racailles.

L’Office français de l’immigration et intégration (Ofii) reprend l’enregistrement des migrants pour leur offrir des papiers et un logement.

La mosquée de Paris par la voix du recteur Hafiz demande sa réouverture et menace de porter plainte pour discrimination du culte des Bédouins. Prétexte : les chrétiens pourraient fêter la Pentecôte le 31 mai (le déconfinement des lieux de culte ayant eu lieu le 29), pas les muzz, le 24 mai. Le gouvernera cèdera-t-il ? On craint que oui.

Les juges libèrent les islamo-racailles avec les compliments de Belloubet. Les djihadistes retrouvent la possibilité d’agir. « Vive le Corona », crient-ils.

Marin – jeune homme massacré un soir à Lyon pour avoir osé défendre un couple pris à parti par des chances-pour-la-France – voit son agresseur dehors à la moitié de sa peine (déjà qu’elle n’était pas lourde, mais la libération anticipée de la raclure de chiotte lui assurera une meilleure réinsertion, estime son avocate).

Les meurtriers présumés de Kewi Yikilmas (15 ans) assassiné le 4 octobre dernier aux Lilas (Seine-Saint-Denis) pavoisent, casquette à l’envers, visage souriant, le majeur levé. Ils sont à l’air libre. Pour eux aussi, une meilleure réinsertion ?

Partout les muzz s’amusent. À Toulouse, un clando soudanais attaque au couteau des SDF, quatre blessés graves. Dans les quartiers criminogènes, ils font la fête à la police tous les soirs.

Les beuglements des muezzins traversent l’air des grandes villes de France.

Et Macron profite de ce merveilleux moment pandémique pour signer le décret grâce auquel les enfants apprendront l’arabe dès le CE1. Elle est pas belle la vie au temps du Coronavirus ?

Le gouvernement a aussi des priorités écologiques.

Le Maire, notre sinistre de l’Économie, milite à coups de milliards pour qu’Air France « devienne la compagnie la plus respectueuse de l’environnement de la planète ». Chantage à la clé : sept milliards contre l’arrêt des liaisons aériennes vers Paris quand il y a possibilité de prendre le train. Demain demandera-t-il l’arrêt des TGV quand la ligne est doublée par des diligences ? Greta, sors de ce corps !

À Paris, Hidalgo continue avec la même folle intensité sa croisade contre les voitures. Elle joue sur du velours. Les Parisiens très majoritairement n’ont pas d’automobiles et quand ils en possèdent une, ils l’utilisent assez peu. Il s’agit donc de punir la plèbe qui est obligée de venir bosser dans la plus belle ville immonde.

C’est transports en commun bondés ou vélo. Le gouvernement offre 50 € pour faire réparer votre vieux biclou.

Quant à la pollution, il semble qu’elle n’ait pas vraiment diminué dans la capitale malgré la baisse du trafic. Les fameuses particules qui pourrissent l’air des Parisiens viendraient plutôt des centrales à charbon allemandes que des pots d’échappement.

Ah ! l’Allemagne, le modèle de nos Verts et de la Macronie ! L’Allemagne qui produit dix fois plus de CO2 par kWh que l’Hexagone, l’Allemagne qui a fermé ses centrales nucléaires et qui devant l’échec de l’éolien et du solaire a relancé ses centrales à charbon. Pour ne pas la laisser seule, Élisabeth Borne, ministre des Transports, a annoncé, profitant de l’effroi pandémique, la fermeture de 14 de nos réacteurs nucléaires. L’énergie la plus sûre et la moins polluante jetée à la casse. Et tout notre savoir-faire avec.

On a été incapable de suivre l’exemple de Berlin dans la lutte contre le virus chinois mais on va lui emboîter le pas dans la fumisterie des énergies propres et renouvelables. Évidemment, nous enrichirons un peu plus les Chinois quasi uniques producteurs de panneaux photovoltaïques et d’éoliennes.

L’écologie, ses éoliennes, ses panneaux solaires, ses usines de biomasses, ses bicyclettes, sa haine du nucléaire… toutes ses conneries que Michael Moore dénonce comme la plus formidable escroquerie scientifique et intellectuelle du XXIe siècle dans son film Planet of the Humains ».

La pandémie a mis en avant le plastique. Les écolos s’inquiètent. Gants, masques, équipements de protection à usage unique et jetables. Il y a de quoi faire « criser » les tueurs de cotons-tiges et d’assiettes en plastique. Les tortues n’ont pas fini de confondre gants et méduses. Que préconisent les écolos ? Ne rien mettre ? Pas de protection ? Comme cela à la prochaine et plus mortelle pandémie, l’homme disparaîtra. Ce pollueur invétéré n’assassinera plus les gentilles tortues et les mignons dauphins.

Enfin un vrai tri sélectif.

Pour Michel Houellebecq, le monde d’après « sera le même, en un peu pire »

Soyons généreux : en bien pire.

En refusant d’écouter Raoult, Macron a bousillé la France !

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Riposte Laïque

Élites dirigeantes de ce pays, autorisez la chloroquine et rendez-nous notre liberté !

Masques et chloroquine pour tous sont les atouts d’un déconfinement sans risque.

Ne comptons pas sur l’étude Discovery qui s’annonce comme un désastre, par manque de coopération entre pays européens. Quant aux autres études, elle arriveront trop tard.

Si vous aviez prescrit la chloroquine aux patients fébriles à la place du Doliprane, nous n’aurions jamais totalisé plus de 40 000 morts en hôpital, en Ehpad et à domicile.

Rendez d’abord la liberté de prescrire à nos médecins. Rendez-leur la liberté d’expression et le droit de défendre un traitement qui a fait ses preuves et qui guérit dans le monde entier.

Assez de décisions aussi incohérentes que totalitaires. Assez de mensonges criminels.

Assez de cette dictature élyséenne qui interdit aux médecins de respecter le serment d’Hippocrate et de soigner leurs patients.

Assez de ces menaces du Conseil de l’Ordre, qui font planer le risque de radiation pour les médecins qui osent braver l’interdit, en sauvant des vies avec un médicament efficace et connu !

Assez de ces délires d’experts, qui interdisent la chloroquine qui sauve des vies, mais autorisent le Rivotril qui euthanasie les patients.

Assez de ce confinement sans fin qui détruit  la santé, le moral et l’économie du pays.

Libérez nos plages, ouvrez nos églises, rendez-nous nos montagnes !

Rendez-nous nos plages, nos montagnes et nos forêts, injustement confisquées.

Rendez-nous nos églises et notre liberté de culte.

Rendez-nous nos familles interdites de visites.

Rendez-nous notre travail avant le naufrage définitif de notre économie.

Rendez-nous nos écoles, au lieu d’entretenir une rupture scolaire catastrophique pour notre jeunesse.

Rendez-nous nos musées, nos parcs, nos théâtres, nos cinémas,  nos concerts, nos expositions, nos rencontres sportives, nos commerces, nos cafés, nos restaurants, nos fêtes et nos loisirs.

Rendez-nous nos vacances d’été et le droit de circuler dans notre pays, au lieu de nous parquer comme des pestiférés.

Ce sont les personnes âgées ou malades qu’il faut protéger et confiner, pas les forces vives du pays qui font tourner l’économie.

Tout n’a été que mensonges et décisions contre-productives, à 180° du bon sens élémentaire.

C’est la désinvolture initiale, puis la panique gouvernementale qui ont engendré l’hécatombe et détruit l’économie.

Selon les avis de nombreux médecins, on compte au bas mot 40 000 décès. La majorité concerne des personnes âgées souffrant déjà d’une, deux, voire trois pathologies antérieures.

Selon le lien ci-dessous, qui répartit le nombre de décès par tranche d’âge, sur 40 000 décès, nous avons :

35 600 morts de plus de 65 ans, retraités inactifs pour la plupart.(89 %)

4 600 morts de moins de 65 ans(11 %)

https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/Sachant que le traitement à la chloroquine aurait pu sauver tous les patients les moins âgés, fallait-il confiner 67 millions d’habitants et détruire l’économie ?

Le PIB va chuter de 2 500 à 2 200 milliards. La dette va exploser à 2 800 milliards. Donc 2 800/2 200 = 127 % d’endettement (100 % avant la crise)

En termes de chute du PIB, la France détient le bonnet d’âne de l’UEpour le 1er trimestre et le second sera pire. À ce jour, ce sont 12 millions de chômeurs qui émargent au guichet social. Un fardeau écrasant qui ne saurait durer.

Nous avons le gouvernement le plus incompétent d’Europe.

Le tabac tue 75 000 personnes par an, l’alcool en tue 40 000. Va-t-on paralyser le pays pour autant ?

Nos dirigeants ont bloqué le pays, détruit des millions d’emplois et condamné des dizaines de milliers de PME parce que le Covid-19  a tué moins de 5 000 personnes en âge de travailler.

Une boîte de chloroquine à 5 euros en aurait sauvé la majorité !!

La seule question qui vaille est la suivante :

Puisque nos élites et « experts de renommée mondiale » ont aggravé la mortalité par leurs décisions criminelles, que vont-ils décider si le Covid-19  ne disparaît pas comme la grippe saisonnière et si un hypothétique vaccin n’arrive pas avant deux ans ?

Vont-ils reconfiner  67 millions de personnes et interdire obstinément la chloroquine jusqu’à la destruction totale du pays ?

Macron a ruiné durablement la France, alors que nous avons la chance d’avoir un génie de la médecine, de renommée mondiale, qui nous proposait un traitement efficace à 5 euros, utilisé sur tous les continents !

Un leader intelligent n’aurait jamais interdit le seul traitement efficace connu à ce jour. Nous n’aurions pas eu 40 000 morts, nos enfants n’auraient pas connu une rupture scolaire gravissime et notre économie n’aurait pas subi un choc pire que la crise de 1929.

Toute cette tragédie est la faute de Macron et des incapables qu’il a mis aux postes clés. Tout le tiers-monde fait mieux que nous.

Il faudra sans doute une génération pour redresser le pays, si toutefois Macron ne le coule pas avant.