Peu avant 22 heures à Mantes-la-Jolie, c’est une trentaine de jeunes qui s’en prend aux policiers au niveau de la rue Henri-Matisse. Visés par des pierres, les agents de la brigade anticriminalité, doivent eux aussi utiliser une grenade pour se dégager.
La situation se tend un peu plus rue du Docteur-Broussay où une véritable embuscade est menée à l’encontre des policiers, attaqués et poursuivis en motocross. Un groupe d’environ 80 émeutiers se rassemble alors avant de mettre des poubelles en travers de la route. Le calme est finalement revenu un peu plus tard dans le quartier. […]
Je lance ici un appel à la FFRP, la Fédération française de randonnée pédestre : combien y a-t-il de septuagénaires encartés chez vous ?
Si j’en juge par le club auquel j’appartiens moi-même, ils sont très nombreux. Je n’évoque même pas les sexagénaires qui, j’en suis sûre, forment le gros des troupes. Je connais même quelques nonagénaires qui arpentent la montagne sans sourciller, font de la marche sportive, nagent en mer toute l’année et ne rechignent pas à chausser leurs skis de fond.
Ces gens-là sont en bien meilleure santé que tous ces adolescents en surpoids vautrés à l’entrée des lycées et collèges, les yeux rivés sur leur smartphone ; des gamins qui, à 15 ans, souffrent pour certains de pathologies de grands vieillards pour s’être, toute leur enfance, empiffrés de chips et de Nutella™. En bien meilleure santé, aussi, que ces trentenaires atteints du coronavirus par excès de Corona™, sportifs de canapé qui passent le dimanche en survêt’, rivés à leur télé.
Qu’importent ces considérations, le Président l’a dit lundi dernier : « Nous demanderons aux personnes les plus vulnérables, aux personnes âgées, en situation de handicap sévère, aux personnes atteintes de maladies chroniques, de rester confinées même après le 11 mai, tout au moins dans un premier temps. »
Avant qu’Emmanuel Macron ne s’exprime devant les Français aux abois, on avançait l’âge canonique de 65 ans. Son épouse Brigitte a fêté ses 67 ans, ce lundi 13 avril. Joli cadeau d’anniversaire ! Elle a dû râler, maman… On a donc laissé entendre que la barre serait à 70. Question : à 70 ans, Mme Macron sera-t-elle devenue, d’un coup, une vieillarde cacochyme ? Assurément non.
La première à s’élever ouvertement contre cette mesure qu’elle qualifie d’injuste et de « complètement arbitraire » est Marie de Hennezel. La psychologue et psychothérapeute, connue pour son engagement dans l’accompagnement des malades en fin de vie (dont Mitterrand), a violemment réagi sur Twitter : « J’ai plus de 70 ans, je n’ai aucune comorbidité, ne suis ni obèse, ni diabétique, en pleine forme, et comme beaucoup de seniors de mon âge, qui prennent soin d’eux et de leur santé, je ne supporterai pas que la barre des âges vulnérables soit fixée à 70 ans et un confinement imposé », écrit-elle. Et de développer son point de vue sur LCI : « Il y a, à 70 ans, des tas de seniors actifs. Certains travaillent et sont en pleine forme […] on ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac et mettre une barrière d’âge. »
Le généticien Axel Kahn lui emboîte le pas et s’insurge lui aussi : « Garder les seniors confinés jusqu’à l’automne, jusqu’à la fin de l’année, par mesure administrative ? Et alors aussi les personnes obèses ? Grosses ? Jusqu’à quel excès de poids ? » Et comment s’y prendre, surtout : une balance à chaque carrefour, un flic derrière chaque porte ? C’est absurde et surtout, rappelle Axel Kahn au Parisien, c’est « anticonstitutionnel » ! On peut, certes, donner des conseils aux gens, les inciter à la prudence, mais « on ne limite pas certaines libertés par mesure administrative en raison de la fragilité ! »
Hélas, on touche là en plein au paradoxe de nos sociétés qui réclament toujours plus de protection de l’État, quitte à rogner au nom du « toujours mieux » sur les libertés fondamentales. C’est aussi le résultat de cette psychose mortifère entretenue à longueur de temps par les médias et qui fait que beaucoup, aujourd’hui, après s’être plaints du confinement, sont morts de trouille à l’idée d’en sortir… quand ils ne dénoncent pas, en plus, leurs voisins s’ils font un pas de travers !
Federgy et l’UDGPO, deux syndicats de pharmaciens, ont lancé le 15 avril un appel à leurs affiliés pour commencer à commercialiser les masques de protection auprès du grand public afin d’endiguer la pandémie. Vingt-quatre heures plus tard, le groupement modère sa position.
La vente de masques de protection respiratoire aux particuliers est interdite en France. Telle est la doctrine adoptée, et concrétisée par un décret publié le 3 mars dernier, par l’exécutif afin de favoriser l’approvisionnement des professionnels de santé durant la pandémie.
Mercredi 15 avril, Federgy – La chambre syndicale des groupements et enseignes de pharmacie et l’Union des groupements de pharmaciens d’officine (UDGPO) ont, dans un communiqué commun, annoncé qu’en l’«absence de réponse de l’État» quant à leurs demandes répétées d’obtenir des «règles claires» concernant la distribution de ces masques, ils appelaient leurs 11.000 officines affiliées (soit la moitié des pharmacies que compte la France) de débuter le jour même la «commercialisation» des masques auprès du public.
Des masques qui «ne pourront être confondus avec la dotation des stocks de l’État ou des ARS», assurent-ils, précisant les destiner par ordre de priorité aux préparateurs en pharmacie «oubliés des dotations d’État», aux professionnel de santé en «complément» de la dotation d’État, aux particuliers disposant d’une ordonnance et, enfin, au public avec une priorisation suivant la nécessité pour eux de «poursuivre une activité professionnelle et/ou présentant des facteurs de risque».
Dès le lendemain, un autre communiqué paraissait. Ce dernier faisait part d’un échange avec le CNOP (l’Ordre national des pharmaciens) et n’appelait plus qu’à «s’approvisionner en masques chirurgicaux ou alternatifs (si une évolution réglementaire nous le permet)» en vue de commencer à les «distribuer la semaine prochaine dans le respect de la législation actuelle».
Rappel à l’ordre ou victoire tactique? Contacté par la rédaction, Alain Grollaud, président de Federgy, n’a pas souhaité faire de commentaire supplémentaire, renvoyant vers des communiqués «clairs» et assurant que la profession était «sur la même longueur d’onde» et attendait le retour du gouvernement.
Inutile de se prendre la tête pendant en ce nouveau weekend de confinement. Je vous propose une nouvelle chanson bien ficelée qui se laisse écouter sans difficultés. Ce n’est pas le morceau du siècle mais on passe un très bon moment en l’écoutant.
Une video postée sur Facebook agite en ce moment la toile.
Il s’agit d’une interview réalisée par Science et Vie TV publiée dans l’émission MagSciences en 2015 et intitulée : « Virus, des chercheurs jouent avec le feu ». Il s’agissait d’une interview de la journaliste Caroline Tourbe dans la « Chronique de la science » dédiée. Cette journaliste pointait du doigt « le virus le plus mortel ayant jamais existé », trafiqué par un labo américain. Elle expliquait qu’afin de protéger les hommes d’un virus extrêmement mortel et particulièrement contagieux, ce labo en avait créé un (sic !) afin d’en examiner les processus pour lui trouver un remède efficace, et elle précise que beaucoup de scientifiques avaient formulé leur désaccord quand à cette méthode d’apprenti sorcier. Je vous invite donc à écouter cette interview.
Tiens tiens, comme c’est étonnant ! Peu à peu nous nous rapprochons de ce que j’avais écrit dans un article précédent, il y a près de deux mois :
J’avais annoncé que le virus n’était pas bénin mais fortement dangereux et mortifère. Cela s’est confirmé. J’avais envisagé que cette saleté proviendrait des Etats Unis, cela se confirmerait également. J’ajoute à cette interview très inquiétante qu’un éminent virologue américain affirme que le coronavirus trouve son origine en Chine mais aux Etats-Unis.
Je rappelle également que je n’ai fait jusque là que répercuter ce que des scientifiques déclarent. Sommes-nous face à une vérité ? La vérité, c’est comme cela, ça met du temps à s’imposer. On pourra rétorquer à juste titre que la grippe espagnole qui ravagea le monde il y a un siècle ne trouva pas son origine dans un labo américain. J’y adhère totalement.
Mais l’un n’empêche pas l’autre. « Le poète a dit la vérité – il doit être exécuter », chantait Guy Béart . Qui est le poète dans cette guerre de l’info concernant ce terrible Coronavirus qui n’a pas fini de faire couler de l’encre ? Nul ne le sait … pour l’instant. Dans notre monde actuel, les documents « sensibles »ne sont ouverts au public qu’après une période de 70 ans qui permet aux salopards d’échapper à la justice des hommes … ou à la légitime vengeance des victimes, particulièrement dans notre petite France macronienne dans laquelle le mensonge est érigé comme moyen de gouvernement, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye ayant révélé sans la moindre vergogne qu’elle mentirait toujours pour couvrir « son » président chéri.
Tout de même, je prends le risque de servir une fois de plus de courroie de transmission pour faire connaitre les avis de scientifiques qui osent ouvrir la bouche pour dénoncer des faits auxquels ils ont participé. L’information ci-dessous nous vient donc tout droit des Etats Unis. Elle nous a été donnée par le Pr Daniel R. Lucey. Je me garderai cependant de prendre personnellement parti, je ne fais que rapporter ce que j’en ai lu.
QUI EST LE PROFESSEUR DANIEL R. LUCEY ? Médecin et chercheur américains spécialiste de la virologie, professeur de l’Université de Georgetawn dans le domaine des maladies infectieuses, chercheur au sein du prestigieux Smithsonian National Museum of Natural History dans lequel il a été organisateur d’une exposition sur 8 pandémies virales, c’est un grand spécialiste en son domaine: les maladies infectieuses et leur propagation. Depuis 2001 il a travaillé sur l’anthrax; le SARS chinois et canadien; le H5N1 de la Thailande, du Vietnam, de l’Indonésie, de l’Egypte; la grippe pandémique américaine et égyptienne; le MERS du Moyen Orient et de Corée; Le terrible Ebola du Sierra Leone et du Liberia; le Zika du Brésil et des Etats Unis ; la fièvre jaune du Brésil et de Pékin; la peste de Madagascar. C’est dire que l’homme est parfaitement qualifié dans ses affirmations. Mais, plus intéressant, le professeur Lucey travaillait sur l’arrivée de la pandémie de Coronavirus qui avait commencé en 2019 !
DES REVELATIONS FRACASSANTES Curieusement le 8 aout 2019 le New york Times annonce que le principal centre de défense bactériologique militaire américain qui travaillait sur des germes mortels est fermé en raison de problèmes de sécurité insuffisante ! Nous y voilà donc, nous sommes au cœur des labos militaires auxquels j’avais fait allusion. New York Times du 25 aout 2019 :
Il appuyait ses dires sur une étude très pointue des différentes souches de Coronavirus qui avait affecté plusieurs Etats du monde, prouvant que toutes avaient un point commun trouvé dans la souche américaine.
Le Pr Andersen est également un éminent spécialiste, du MIT de Harvard, professeur du Department of Immunology and Microbiology at Scripps Research, spécialiste en virologie et immunité. Ses recherches portent sur les relations complexes entre les virus et leurs hôtes (parmi lesquels hélas nous) et en particulier le SARS-CoV-2. Selon la revue Science sus mentionnée, « Andersen a publié sur un site de recherche de virologie son analyse des 27 génomes disponibles du 2019-nCoV le 25 janvier. Celle-ci suggère qu’ils avaient un « ancêtre commun très récent » – ce qui signifie une source commune – datant du 1er octobre 2019 ».
LA CONFIRMATION DES CHERCHEURS ASIATIQUES Le magazine Science cité ci-dessus apporte également l’étude réalisée par des chercheurs chinois sur l’origine du virus. Il s’agit de chercheurs de plusieurs institutions ayant toutes travaillé sur le sujet et dontr l’étude porte sur 41 patients contaminés en 2019.
Le patient contaminé le 1er décembre, le premier contaminé, n’avait eu aucun rapport avec le marché aux poissons. Ainsi que 13 des autres malades. Pour le professeur Lucey, qui pense que es premières contagions auraient commencé en novembre et ailleurs que sur le marché, 13 est un nombre important sur 41 personnes. Dans The Lancet, journal scientifique de premier plan, les chercheurs chinois se félicitent de cette clairvoyance du Pr Lucey.
Les travaux des scientifiques japonais et taiwanais corroborent ce coronavirus trouve presque certainement son origine aux États-Unis ! Ils s’appuient comme le Pr Lucey sur le fait que seul le coronavirus américain possède les 5 pathogènes types, desquels découleraient les autres souches. Voilà qui a de quoi faire s’effondrer nos certitudes actuelles. Or en aout 2019 les UAS avaient été confrontés à une épidémie de pneumonies. EZt comment avait réagi les autorités sanitaires liées aux grands laboratoires ? En incriminant le vapotage des cigarettes électroniques. Un magnifique fake. Le pr Lucey avait en conséquence écrit aux autorités pour leur faire une mise en garde, mais en vain. Comme d’habitude l’argent avant les gens.
Mais, car il y a un « mais » de taille, on s’était empressé de fermer le labo biologique militaire de Fort Detrick (Maryland) et on avait interdit aux chercheurs militaires de poursuivre leurs recherches.
Une hypothèse a été émise par le Pr Lucey sur l’ignorance de l’identité du patient Zéro : des membres de l’équipe américaine des jeux militaires mondiaux parmi lesquels des hommes de Fort Detrick, qui s’étaient déroulés entre les 18 et 27 octobre 2019, auraient pu infecter à Wuhan et ailleurs des dizaines de Chinois lors de leurs visites touristiques. C’est aussi l’une des conséquences de cette hypermondialisation qui tue nos sociétés). Hypothèse reprise par les chercheurs chinois : « « Comme des cas confirmés d’un nouveau virus émergent dans le monde entier à une vitesse préoccupante, tous les regards se sont tournés sur un marché aux poissons de Wuhan en Chine, comme étant l’épicentre de l’éruption. Mais une description des premiers cas cliniques publiée dans The Lancet vendredi, remettent en question cette hypothèse ». ajounant « « On n’a pas découvert de lien épidémiologique entre le premier patient et les cas suivants ». Autrement dit les contaminés l’ont été par des vecteurs autres. Peut-être bien les militaires de Fort Detrick. L’enquête est en cours. mais quoiqu’il en soit, l’opinion du Pr Lucey rapportée par Science Insider est que « La Chine doit avoir compris que l’épidémie ne trouve pas son origine au marché aux poissons de Wuhan Huanan » C’est à prendre ou à laisser. Que chacun se fasse son opinion. Mais tout de même il y a des concordances plutôt dérangeantes, n’est-ce pas ?
Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a affirmé que le coronavirus n’était pas apparu de manière naturelle via une transmission animal-humain. Selon lui, le virus a été créé à partir de l’ADN de VIH dans un laboratoire de Wuhan spécialisé dans ce domaine.
Jeudi 16 avril, dans un entretien pour le site Pourquoi docteur, le virologue Luc Montagnier a expliqué les raisons qui le poussent à croire que le coronavirus a été créé de toutes pièces dans un laboratoire de Wuhan, grâce à de l’ADN de VIH. Il avait reçu le prix Nobel en 2008 pour ses travaux portant, justement, sur le virus responsable du sida.
Le professeur est convaincu que toute la vérité n’a pas été dévoilée à propos du nouveau coronavirus. «Le laboratoire de Wuhan s’est spécialisé sur ce type de virus depuis le début des années 2000. Ils ont une expertise dans ce domaine». C’est ce qui l’a poussé à analyser le génome du virus.
Avec l’aide du mathématicien Jean-Claude Perrez, il a «fouillé la séquence» du coronavirus, qui contenait de l’ADN d’un autre virus, à savoir le VIH. Selon lui, des chercheurs indiens avaient tenté de publier le génome complet du virus, avec les mêmes conclusions, mais avaient dû se rétracter.
Il réitère ses propos sur CNews
Invité ce vendredi 17 avril sur CNews, le virologue a évoqué une «manipulation» à propos du virus. Si la séquence principale contient en effet des «éléments classiques» venant en particulier de la chauve-souris, il contient des éléments du VIH, ce qui n’est selon lui pas «naturel».
«Un travail de professionnels, de biologistes moléculaires, très minutieux, un travail d’horloger», a-t-il précisé.
Il avoue cependant ne pas savoir précisément qui et pourquoi le virus aurait été volontairement modifié. Son hypothèse est que ces scientifiques ont cherché à élaborer un vaccin contre le sida.
Sa version vient ainsi contredire celle plus largement répandue jusqu’à aujourd’hui, selon laquelle la transmission du virus s’est faite sur le marché aux animaux sauvages de Wuhan.
Une étude critiquée par la communauté scientifique
Une étude de chercheurs indiens avait en effet été publiée le 30 janvier dernier sur le site biorxiv.org, dont seul un résumé reste aujourd’hui. Ceux-ci affirmaient que la similitude entre les résidus d’acides aminés du VIH et ceux du nouveau coronavirus était «peu susceptible d’être fortuite».
Une conclusion critiquée par la communauté scientifique, notamment par le biologiste informaticien Trevor Bedford. «Des milliers de mutations sont réparties dans le génome. Si vous concevez quelque chose, vous ne feriez pas ça. Il n’y a aucune preuve de génie génétique, cela ressemble à une évolution normale», a-t-il déclaré auprès de l’Association américaine pour l’avancement des sciences.
Une fake news de la part d’un chercheur polémique?
Le professeur Luc Montagnier n’en est pas à sa première sortie controversée. En 2017, pas moins de 100 académiciens des sciences avaient partagé leur indignation envers ce chercheur pour ses propos anti-vaccin. Ils ont par ailleurs demandé des sanctions de la part de l’Ordre des médecins.
«Nous, académiciens des sciences et/ou académiciens de médecine, ne pouvons accepter d’un de nos confrères qu’il utilise son prix Nobel pour diffuser, hors du champ de ses compétences, des messages dangereux pour la santé, au mépris de l’éthique qui doit présider à la science et à la médecine», avaient-ils écrit.
En 2009, ses théories sur la transmission du VIH étaient déjà largement critiquées par ses pairs. Il affirmait notamment qu’un bon système immunitaire était capable de «se débarrasser du virus en quelques semaines».
La menace planait depuis huit jours. Donald Trump a finalement décidé de suspendre la contribution des États-Unis à l’OMS, accusée de complicité avec Pékin dans la dissimulation de l’épidémie du Covid-19.
Un joli trou dans le budget de l’Organisation, puisque Washington en est le premier contributeur, avec un versement annuel de 500 millions de dollars, soit dix fois plus que Pékin.
Trump a raison d’exiger une enquête pour déterminer le rôle de l’OMS dans la mauvaise gestion et la dissimulation de l’épidémie.
Pour lui, l’OMS est une agence défectueuse, qui a failli dans son rôle de protection des États. Elle se devait de recueillir des informations précises sur la menace et de les partager au plus tôt en toute transparence.
« Si l’OMS avait fait son travail et envoyé des experts médicaux en Chine pour étudier objectivement la situation sur le terrain, l’épidémie aurait pu être contenue à sa source avec très peu de morts », a fait valoir Donald Trump.
Il faut dire que le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreysus, a été membre du parti communiste éthiopien, ce qui n’arrange pas son cas aux yeux du milliardaire américain.
L’Organisation a d’abord souligné l’absence de preuves d’une transmission du Coronavirus entre humains.
Elle a ensuite félicité les autorités chinoises pour leur « transparence », alors que tout ce qui venait de Pékin n’était que mensonges et contradictions.
Et quand Trump a décidé de fermer les États-Unis aux vols venus de Chine, l’OMS, au lieu d’approuver, a dénoncé cette mesure de protection élémentaire.
« Le silence de l’OMS sur la disparition des chercheurs, scientifiques et médecins, ainsi que sur les nouveaux problèmes de partage des informations sur les origines du Covid-19 dans le pays d’origine, est profondément préoccupant », souligne Trump.
Évidemment, côté européen, on insiste sur la brutalité de la mesure, sans preuves, et on la juge inopportune en pleine pandémie mondiale.
Mais Trump a raison, car la désinformation et les non-dits orchestrés par Pékin depuis quatre mois sont avérés. L’OMS a bien relayé la parole de Pékin, se faisant complice du mensonge d’État.
Les détracteurs de Trump ont beau dire que celui-ci tente de se dédouaner des retards pris par son administration au début de la crise sanitaire, en faisant porter le chapeau à l’OMS, il est cependant incontestable que les faits sont accablants pour Pékin et que l’OMS les a cautionnés par son silence.
Pékin a d’abord annoncé que l’origine du virus provenait du marché des animaux vivants de Wuhan.
Ensuite, le gouvernement a laissé entendre que des soldats américains de passage à Wuhan avaient propagé le virus.
« C’est l’une des pires opérations de camouflage de l’histoire de l’humanité, et maintenant le monde est confronté à une pandémie « , a déclaré un élu républicain.
De leur côté, les services de renseignement américains ont conclu dans un rapport secret que la Chine avait caché l’origine et l’étendue d’une catastrophique épidémie mondiale de Coronavirus.
« À l’évidence, cette pandémie n’a commencé nulle part. Le marché des animaux vivants ? Une grotte pleine de chauve-souris ? Des pangolins ? Ou un laboratoire d’armes biologiques ? Aucun médecin, journaliste, analyste ou observateur international étranger n’est présent à Wuhan. Si le virus est sorti d’un marché d’animaux vivants ou d’une grotte, pourquoi la Chine a-t-elle systématiquement supprimé les enquêtes ? En décembre, pourquoi Pékin a-t-il ordonné aux scientifiques chinois de détruire toutes les preuves du virus ? Pourquoi les autorités chinoises ont-elles accusé les soldats américains d’avoir amené le virus à Wuhan? Pourquoi serait-il scandaleux qu’un Président américain appelle un virus qui a émergé en Chine un « virus chinois » ?, interroge le journaliste Giulio Meotti.
Bon nombre de lanceurs d’alerte, médecins, chercheurs ou journalistes, ont été emprisonnés ou ont mystérieusement disparu.
Si le virus n’est pas une arme biologique, il a cependant pu s’échapper d’un laboratoire.
« La « collecte de virus » comporte le risque permanent qu’un « virus s’échappe ». Si la Chine n’est pas en mesure de protéger ses laboratoires, elle doit être tenue pour responsable et obligée de payer les dommages qui ont été dévastateurs au plan mondial », dit Meotti.
« Personne n’a pu enquêter sur place. Comment affirmer que rien ne s’est échappé d’un laboratoire si nul ne peut y aller ? À l’évidence, Pékin a fait de son mieux pour empêcher virologues et épidémiologistes de se rendre à Wuhan. Une mission de l’Organisation mondiale de la santé n’a pu rester à Wuhan qu’une demi-journée, et encore avec une partie de l’équipe seulement. » dit l’expert chinois Gordon Chang.
Il est clair que durant le mois de décembre, le pouvoir chinois a davantage combattu et réprimé ceux qui traquaient la vérité qu’il n’a combattu le virus.
« Réprimande éducative, amendes, interrogatoires musclés avec aveux forcés, détention et disparition », ont été le lot des gêneurs.
Et c’est aussi sur le nombre de morts que la Chine a menti et continue de mentir.
On compte à ce jour 140 000 décès dans le monde et la Chine n’en déclare de 3 346 depuis plusieurs semaines, prétendant qu’elle a vaincu le Covid-19.
Comment un pays qui totalise 20 % de la population mondiale peut-il n’avoir que 3 346 morts, soit 2,3 % du total des décès mondiaux ou 10 fois moins de morts qu’aux États-Unis ?
« Les statistiques officielles chinoises indiquent que le Covid-19 a tué 2 548 personnes à Wuhan. Mais une analyse de Radio Free Asia montre que les sept salons funéraires de Wuhan ont distribué chacun, entre le 23 mars et le 5 avril, dates de la fête traditionnelle du balayage des tombes, près de 500 urnes funéraires par jour pendant 12 jours. Sur cette période, pas moins de 42 000 urnes ont été rendues aux familles, soit dix fois plus que le nombre officiel des décès . »
Ce sont donc des dizaines de milliers de Chinois qui ont péri dans les campagnes, voire des centaines de milliers.
Aujourd’hui, la Chine pavoise, claironnant à travers le monde que son système est le meilleur et qu’elle a vaincu le virus. Mais qu’elle le prouve en acceptant les enquêtes internationales !
Trop de zones d’ombre demeurent. Le PCC ne sait que censurer, nier, dissimuler, mentir et tromper, en diffusant sa propagande éhontée.
Il est consternant de découvrir que les Occidentaux ont confié leur sécurité sanitaire à un pays communiste, après 70 ans de guerre froide avec l’URSS. La fourberie des régimes communistes n’est plus à démontrer et Xi Jinping n’a rien d’un saint.
Tous les masques sont fabriqués en Chine. 80 % de nos médicaments viennent de Chine et notamment les antibiotiques. Nous sommes totalement dépendants de Pékin !
La mondialisation et l’appât du gain que suscite l’immensité du marché chinois sont en train de mettre l’Occident à genoux et d’ouvrir un boulevard à la Chine, qui rêve de dominer le monde. Les Chinois font d’ailleurs main basse sur l’Afrique, un trésor géologique inépuisable.
Qu’il est loin le temps où les puissances occidentales se partageaient 23 concessions en Chine ! Pour sa part, la France possédait celles de Shanghaï, Canton, Hankéou et Tientsin, toutes restituées en 1946.
Le XXIe siècle sera chinois et pour l’élite chinoise, ce sera l’heure de la revanche après des siècles d’humiliation.
Il est donc temps pour les Occidentaux de se réveiller, de relocaliser les industries et d’en finir avec les transferts technologiques.
On connait la loyauté des Chinois en termes de concurrence… Ne soyons pas naïfs, ils ne nous feront jamais de cadeaux.
Entre l’islam intégriste et l’ogre chinois, je pressens des lendemains tragiques pour les Européens…
Le directeur général de la Santé s’est réjoui au soir du mercredi 15 avril d’une baisse des hospitalisations et de l’occupation des lits de réanimation. Le docteur Jérôme Marty, président de l’UFML, un syndicat de médecins, dénonce auprès de Sputnik le manque de visibilité des autorités sur l’évolution de l’épidémie de Covid-19 dans le pays.
«Le soir, le travail de Jérôme Salomon, c’est du grand guignol! C’est de la rigolade! Pendant ¾ d’heure, on n’a le droit qu’à des chiffres, des chiffres, des chiffres… qui ne veulent rien dire!»
Le point presse quotidien du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, le 15 avril, n’a pas été du goût du docteur Jérôme Marty, médecin généraliste et président de l’Union Française pour une Médecine Libre (UFML). Lors de cette intervention télévisée, le haut fonctionnaire s’est notamment «réjoui» qu’une «légère baisse des besoins en réanimation se confirme», soulignant le «solde négatif» des admissions en réanimation par rapport aux sorties «nombreuses».
Si Jérôme Marty admet qu’il s’agit du premier jour où l’on observe un recul des hospitalisations totales dues au Covid-19 dans le pays, il appelle à la plus grande prudence et fustige le fait que l’approche de cette pandémie en France ne se fasse qu’au travers du spectre de la réanimation:
«les gens meurent ailleurs!» assène ce responsable syndical au micro de Sputnik.
Il faut dire que le nombre de décès quotidiens en France a battu ce même 15 avril des records, avec l’annonce de 1.438 morts supplémentaires liés au coronavirus. Une hausse «due à un rattrapage de saisie des données, à des mises à jour et surtout à l’issue de ce long week-end de trois jours», relativisait le haut fonctionnaire, insistant sur le seul décompte des morts à l’hôpital et en Ehpad depuis le 1er mars. Pour le docteur Marty, tout cela donne «l’impression d’une gestion au doigt mouillé.»
«La première chose: on ne nous dit pas si ce sont des sorties de gens guéris ou si ce sont des sorties de gens malheureusement décédés.»
De fait, si Jérôme Salomon induit que cette libération de lits serait un gage de l’amélioration de la situation, notons que pour les malades du Covid-19, le taux de mortalité en réanimation est de 50%, comme le rappelait Jean-Yves Le Goff, chirurgien digestif laparoscopique, dans une interview accordée à Atlantico le 12 avril.
«La deuxième, reprend Jérôme Marty, c’est que l’immense majorité des gens hospitalisés ne le sont pas en réanimation. L’immense majorité des décès à l’hôpital ne sont pas des décès en réanimation, mais en soins continus», dénonce-t-il.
Pour illustrer son argument, le docteur Marty évoque les données de l’AP-HP pour le 1er avril, qui donnaient 174 décès, dont 29 en réanimation. Autre point, si aujourd’hui les Ehpad sont pris en compte, la comptabilisation des décès survenus «en ville» manque toujours à l’appel.«On ne connaît absolument pas les statistiques des décès à domicile», regrette ainsi le docteur Marty.
La mortalité due au Covid-19 en dehors de l’hôpital ou de maisons médicalisées, un point sur lequel l’INSEE tente d’apporter un éclairage en publiant durant l’épidémie le nombre de décès par jour et par département. Les chiffres de l’Institut national de statistiques révèlent qu’«au niveau national, huit départements ont un nombre de décès en mars 2020 supérieur de 25% à 40% par rapport à 2019», bien qu’il soit «cependant pas possible d’imputer systématiquement cet excès de mortalité à l’épidémie du Covid-19». Durant son intervention télévisée du 15 avril, Jérôme Salomon concédera sur ce point qu’il y a eu «un niveau d’excès exceptionnel», de 57%, de la mortalité observée la semaine du 30 mars au 5 avril à «l’échelon national.»
«On a une vision extrêmement parcellaire de cette maladie, tout cela parce que– comme d’habitude –on a l’impression que pour les administratifs et les gens en charge du suivi de cette maladie, la vie en dehors de l’hôpital n’existe pas. Il faut passer les murs de l’hôpital pour être comptabilisé, ce qui nous donne une vision complètement minorée et à côté de la plaque», fustige Jérôme Marty, «puisque jusqu’à preuve du contraire, la très large majorité des patients sont pris en charge par la médecine de ville.»
Le diagnostic est clair pour ce médecin: on a besoin d’études, notamment si l’on veut lever les mesures de confinement. «On n’est pas allé regarder ce qui se passait à l’extérieur des clusters», relève-t-il, soulignant qu’une grande partie des gens aujourd’hui hospitalisés ou qui décèdent à l’hôpital actuellement «sont des gens qui ont été contaminés pendant le confinement.» Le docteur Marty ne voit qu’un nombre limité de possibilités de contracter le virus: au sein de la cellule familiale –où des malades sont renvoyés sans moyens de protection pour eux et leurs proches, faute de masques–, dans les transports en commun, ainsi que certaines entreprises, «qui structurellement ne peuvent pas respecter les gestes barrières».
«Vous avez aujourd’hui quantité d’entreprises qui ont repris, puisque dans la région parisienne, le Grand Est, comme le reste de la France, vous avez un déconfinement officieux», rappelle-t-il.
Autres vecteurs de contagion à ses yeux: les individus qui ne respectent pas «volontairement» les mesures barrières «les fameux joggeurs du canal de l’Ourcq», notamment, ainsi que l’hôpital, «où quantité de soignants son contaminés», soulignant qu’eux aussi ont des familles qui se retrouvent exposées. Le Dr Marty rappelle à cet effet le «taux de reproduction du virus», qui évalue la contagiosité d’un virus, du SARS-Cov-2: dénommé «R0», il se situe à 2,7 personnes contaminées en moyenne par malade. Un chiffre considérable. À titre de comparaison, le R0 de la grippe saisonnière se situe à environ 1,3. Tant que ce taux sera supérieur à 1, l’épidémie aura de beaux jours devant elle.
«On est dans un magasin de porcelaine la lumière éteinte»
Pire encore que ces absences d’études menées sur le terrain afin d’identifier les comportements vecteurs de contamination, alors qu’elles pourraient pourtant être réalisées simplement en posant quelques questions aux malades, le médecin regrette l’absence d’étude portant sur le personnel médical lui-même. Des soignants en partie contaminés, selon lui, en tout début d’épidémie, lorsque l’intégralité des patients «les plus comme les moins symptomatiques» étaient alors dirigés vers les hôpitaux qui n’étaient «pas prêts à les accueillir». Un chiffre qu’il est aujourd’hui impossible de connaître en France.
«On a lancé une pétition [pour connaître le nombre de soignants contaminés, ndlr]. Quand on demande de nous donner le chiffre des soignants malades, on ne nous le donne pas en expliquant qu’on ne veut pas avoir une comptabilité morbide. Cela n’a rien à voir, on en a besoin sur le plan épidémiologique, c’est quand même bien le minimum!»
Le docteur Marty brandit notamment le cas des Ehpad, où lorsque le personnel est finalement testé, de nombreux cas sont révélés: «on n’allume pas la lumière! Nous, on voudrait moins de chiffres et plus de lumière!»
Toujours au rang du manque de visibilité et du déconfinement, la question de la réouverture des classes le 11 mai. «Vous avez entendu parler d’étude sur les enfants, vous? Moi non.» Le médecin rappelle que lors de la fermeture des écoles, il était notamment avancé que les enfants ne pouvaient respecter les mesures barrières «Entre-temps, les enfants n’ont pas changé», fait-il remarquer. Dans de telles conditions, un déconfinement progressif à partir le 11 mai lui paraît hypothétique.
«On est dans un magasin de porcelaine la lumière éteinte et on va s’étonner qu’il y ait de la casse! Il y a un moment, il faut allumer la lumière…»
«Le déconfinement partiel, cela ne marche dans aucun pays», s’inquiète Jérôme Marty, pour qui il faut un minimum de moyen pour assurer la protection sanitaire des individus. Or, «on n’a ni masques, ni tests, ni gel hydroalcoolique», lâche le président de l’UFML, alors même que ces problématiques sont connues depuis des semaines. Une gestion qui reflète selon lui l’«échec complet d’une administration ultra-centralisée». Administration à l’encontre de laquelle le médecin ne mâche pas ses mots:
«C’est comme une bulle Internet, elle a éclaté, il n’y a rien, en fait. C’est vide. C’est assez frappant et inquiétant, car en réalité, le roi est nu. Heureusement qu’on a un pays dynamique, avec des entreprises, des collectivités locales, des conseils régionaux, des mairies, qui ont pris le relais d’un État défaillant.»