«C’est n’importe quoi!»: l’exécutif nie les dates du déconfinement annoncées en direct par Hanouna

Sputnik

Le 6 avril, les téléspectateurs ont pu voir sur la chaîne C8 Cyril Hanouna lire en direct «un texto» annonçant le calendrier du déconfinement, région par région. Il a toutefois précisé qu’il ne savait pas si c’était «une bonne info». Contactés par Le Parisien, les services d’Édouard Philippe ont démenti ces affirmations.

Alors que les autorités françaises ne révèlent pas les dates de la fin du confinement en France, c’est Cyril Hanouna qui l’a fait le 6 avril sur la chaîne C8. L’humoriste a pourtant mis en garde concernant la crédibilité de cette information.

«Je ne sais pas si c’est une bonne info, mais c’est une info qui tourne, donc je vous la donne», a dit l’animateur.

Il a par la suite commencé à annoncer les dates du déconfinement pour les différentes régions françaises. Ainsi, d’après M.Hanouna, à partir du 4 mai, ce seraient les régions les moins touchées par l’épidémie qui sortiraient du confinement. L’Île-de-France serait, quant à elle, déconfinée la dernière, le 18 mai, avec la Corse et le Grand Est.

Une carte qui circule sur la Toile

Le Parisien a tenté d’établir d’où pourraient provenir ces «informations». Selon le journal, elles reprennent exactement les données d’une carte qui avait circulé le 6 avril sur les réseaux et qui présente le même calendrier.

​Interrogé par Le Parisien, un proche de M.Hanouna a tenu à souligner que «si vous regardez la séquence en intégralité, Cyril Hanouna prend des précautions avant et après avoir donné les dates».

«Il utilise le conditionnel et précise bien que la véracité de cette carte, qu’il ne montre pas à l’antenne, n’est pas confirmée. Ce débat est une séquence amusante, dans une émission de divertissement, rien de plus.»

L’animateur lui-même a par la suite écrit sur Twitter qu’il avait dit «100 fois à l’antenne qu’elle [la carte, ndlr] était fausse».

L’exécutif dément tout

Le Parisien a contacté les services d’Édouard Philippe qui ont nié ces affirmations.

«Ni la carte, ni les dates n’existent», a appris le journal auprès du cabinet du Premier ministre.

«C’est irresponsable», a indiqué au Parisien un haut conseiller gouvernemental. Pour un ministre également joint, «c’est n’importe quoi! C’est comme la carte du déconfinement qui circule sur les réseaux sociaux.»

Les informations de cette dernière ont d’ailleurs été démenties sur Twitter par la préfecture de la région Hauts-de-France et du Nord tout comme par l’association VISOV.

​Selon Le Parisien, la séquence n’était plus disponible sur C8 vers 20 heures.

Alain Houpert : « J’ai quelques collègues qui sont atteints. Ils ont eu de la chance d’avoir de la chloroquine » “Ils ont été sur pied très rapidement”

Boulevard Voltaire

Alain Houpert, sénateur LR de la Côte-d’Or, par ailleurs docteur en médecine, tire la sonnette d’alarme sur la situation dans les EHPAD, durement touchés par le coronavirus. Il donne son avis sur la gestion de la crise par le gouvernement.

Vous avez partagé sur les réseaux sociaux, un SMS reçu d’un EPHAD où vous déclarez qu’ils étaient en manque de tous et vous demandez de faire quelque chose.
Cela révèle l’état d’impréparation de nos EPHAD vis-à-vis de cette épidémie…

Les conditions de soins dans nos EPHAD sont un problème dont on ne parle pas. Les patients sont âgés, sensibles et contaminables. Les soignants font donc ce qu’ils peuvent. Les taux de mortalité sont de 15 à 20 %. J’ai mis ce message pour alerter les gens. Une chaîne de solidarité s’est mise en place et je reçois beaucoup de message de gens de la région qui veulent donner du matériel.

Face à cette pénurie, le système D se met en place pour pallier les incuries de l’État. Les hôpitaux ont fait des appels aux dons afin de prendre en charge efficacement les malades atteints du Covid-19.

Face aux impérities de notre système sanitaire, le plus dramatique dans la pénurie des masques est la réquisition. La réquisition a complètement paralysé la logistique. Les autres pays n’ont pas fait de réquisition. Par conséquent, les logistiques, les productions et la distribution se sont bien passées. En France, nous avons une maladie Jacobine qui s’appelle la réquisition.

On a laissé à l’État le soin de faire ce qu’on pouvait « faire nous-mêmes »…

Laissons aux médecins la possibilité de donner leurs avis. Le décret a été remodifié à la dernière minute. La fameuse chloroquine suscite beaucoup de commentaires. Est-elle efficace ou non ? J’ai quelques collègues atteints du Covid-19, ils ont eu la chance d’avoir de la chloroquine et ont été sur pieds très rapidement. Si on doit mettre des gens dans des études, il suffit de demander à ces derniers qui ont pris de la chloroquine et on verra qu’il y a de grands résultats.

On est face à un gouvernement qui prône l’union sacrée et demande à ce que les critiques se taisent, le temps que la crise passe. D’autres disent qu’au contraire il faut continuer l’action du gouvernement. Qu’en pensez-vous ? L’union sacrée demandée par le Premier ministre est-elle applicable ?

L’union sacrée n’est pas faite pour se taire, mais pour agir. Les gens sont en confinement, les rues sont vides et les gens sont civilisés, sauf dans quelques endroits particuliers. L’union sacrée est là, mais n’est pas derrière quelqu’un. Pour gérer cette crise sanitaire, le gouvernement nomme un général de gendarmerie. Cela me gène. Pour la restauration de Notre-Dame, on a également nommé un Général, alors qu’il fallait un architecte. Ce Général revendiquait la nomination de Benalla comme Lieutenant colonel de réserve. Il y a quand même quelques questions…
Je ne suis pas dans la critique, mais trouvons les bonnes méthodes acceptables par tous qui ne soient pas critiquables. S’il y a des questions à poser et si on doit mettre le doigt dans la plaie après, on le fera. Mais actuellement, on doit sauver les Françaises et les Français et le pire des virus qu’est l’angoisse.

Selon vous, ce virus est-il le plus redoutable ?

Des gens qui ont dû mal à respirer et sont proches de la détresse respiratoire parce qu’ils ont peur. On acutise beaucoup de choses. Ce n’est pas une grippette, mais une grande grippe, une maladie véreuse et très contagieuse. Malheureusement, elle touche essentiellement des personnes affaiblies avec des maladies chroniques, mais elle peut aussi parfois toucher des jeunes. Il faut faire attention. Didier Raoult dirige un grand organisme de virologie à Marseille. C’est un grand médecin. Écoutons le et regardons l’histoire. Il y a plusieurs décennies, Pasteur a été décrié par tous ses collègues scientifiques. Il a eu du courage, vacciné un gamin et sauvé des millions de gens de la rage.

Sur l’attaque de Romans-sur-Isère : « France Info a réagi comme une maman qui envoie une lettre d’excuse pour son fils qui a manqué l’école »

Rutube.fr : La chanson du jour, Asaf Avidan – Little Parcels Of An Endless Time

A écouter et ré-écouter !

Magnifique .. Que dire de plus ? Ecouter ce son me donne les frissons, bravo Asaf

Intense ! intense ! Comme d’habitude, frisson assuré.

Alors ça c’est le top du top ! une tuerie cette chanson thanks !

Le refus obstiné de la chloroquine devient un crime d’État

Riposte Laïque

La potion magique existe bel et bien. À quand la fin du massacre ?

À quand la fin de cette diabolique politique du n’importe quoi ?

Trois grands noms de la santé apportent aujourd’hui leur soutien à Didier Raoult et à la chloroquine, dans une tribune du Figaro.

N’en déplaise à Olivier Véran, qui patauge misérablement et ne supporte pas la contradiction !!

https://www.voici.fr/news-people/actu-people/chloroquine-olivier-veran-recadre-philippe-douste-blazy-et-fait-le-point-sur-ses-echanges-avec-didier-raoult-677863?amp&__twitter_impression=true

Stop à l’assassinat programmé de nos aînés !

La colère monte chez les professionnels de santé et les appels à généraliser le traitement de notre star planétaire se multiplient :

En Italie, en Espagne, où la chloroquine est autorisée et où on constate une diminution du nombre de morts quotidiens. Si le confinement freine l’épidémie, personne ne peut affirmer que la chloroquine n’y est pour rien.

Car c’est bien à Marseille que le Coronavirus tue le moins.

Alors que les intégristes des procédures et règlements en tous genres, qui encadrent les essais cliniques, démolissent les travaux du Pr Raoult , accusant ce dernier de manquer d’éthique et de mettre en danger la vie des patients, on apprend que trois grands noms de la médecine se disent convaincus par les résultats de la chloroquine obtenus à l’IHU de Marseille.

Fabien Calvo, ancien directeur scientifique de l’Institut national du cancer, Jean-Luc  Harousseau, ancien président de la Haute Autorité de santé, Dominique Maraninchi, ancien directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, disent oui à la généralisation de la chloroquine selon le protocole du professeur Raoult.

Pour eux, aucun doute. Le traitement du Pr Raoult fait baisser la charge virale dans 90 % des cas en moins de huit jours, évitant ainsi l’aggravation et le transfert en réanimation des patients.

En revanche, sans traitement, le virus persiste chez plus de 50 % des patients après huit jours.

Par conséquent, « le traitement à la chloroquine permettrait de réduire la période de contagiosité de façon significative, facilitant ainsi l’éradication de l’épidémie. »

Pour la majorité des Français, la cabale menée contre l’éminent infectiologue marseillais est aussi injuste qu’incompréhensible.

Voir Karine Lacombe s’acharner violemment contre un remède qui sauve des vies dépasse l’entendement. De la mauvaise foi à l’état pur, car plus le temps passe et plus le Covid-19 tue !

Beaucoup y voient une manœuvre dictée par les liens que ce médecin entretient avec de nombreux laboratoires, lesquels n’ont aucun intérêt  à voir le Covid-19  vaincu par une simple boîte de chloroquine à 5 euros, aux effets secondaires modestes et connus depuis 70 ans !

https://www.liberation.fr/checknews/2020/03/26/cette-professeur-critique-des-methodes-de-didier-raoult-est-elle-en-conflit-d-interet-avec-les-labor_1782911

Mais le pire est de prétendre que l’étude « Discovery » menée en Europe va lever le voile sur l’efficacité de la chloroquine, alors que cette étude biaisée ne respecte aucunement le protocole du Pr Raoult.

Tout est orchestré pour démontrer l’inefficacité de la chloroquine et pour torpiller les travaux d’une sommité médicale de renommée internationale.

En effet, sous couvert d’une éthique plus que douteuse, l’étude « Discovery » va tester  la chloroquine seule, sans antibiotique associé, et sur des patients  ayant des symptômes depuis huit jours, alors que le Pr Raoult préconise un traitement immédiat pour faire baisser la charge virale en seulement sept jours.

Fausser sciemment les résultats est tout simplement criminel.

Le dernier bilan de l’IHU de Marseille est le suivant : 2 179 patients traités et 9 morts, ce qui donne un taux de mortalité de 0,4 %. C’est remarquable.

Où est l’éthique quand on laisse mourir les patients alors qu’un remède existe en médecine d’urgence, en attendant mieux ? Un remède disponible immédiatement et pas cher.

Certes, les chiffres obtenus par le professeur Raoult résultent d’une étude empirique, mais ils montrent une incontestable efficacité de la chloroquine, associée à un antibiotique, et administrée dès les premiers symptômes.

Précautions essentielles avant traitement : un électrocardiogramme et un dosage du potassium préalables.

Ce n’est pas un hasard si des milliers de médecins à travers le monde plébiscitent l’usage de la chloroquine. En Espagne, 72 % des médecins la prescrivent.

http://www.fdesouche.com/1358699-covid19-une-enquete-menee-aupres-de-6200-medecins-a-travers-le-monde-plebiscite-lusage-de-l-hydroxychloroquine

En France, nos « experts » ont fait le choix de  laisser les patients contaminés rentrer chez eux, aggravant ainsi l’épidémie et engorgeant les hôpitaux, au point de ne plus pouvoir traiter les vieux, qu’on euthanasie faute de moyens.

Elle est belle l’éthique officielle, qui voudrait faire passer Didier Raoult pour le « Docteur Maboul » !!

Nos trois sommités de la médecine préconisent donc l’élargissement des tests aux patients suspects et la généralisation de la chloroquine chez  les médecins généralistes.

« Les patients, légitimement, ne tolèrent pas que le diagnostic sur leur état de santé soit simplement présumé et qu’il leur soit  seulement recommandé de rester chez eux avec la crainte de complications, alors même qu’une option thérapeutique simple, sous surveillance médicale, peu onéreuse et possiblement efficace pourrait leur être proposée ».

« Une proposition de soins élargie doit  être avancée alors que les services de réanimation sont surchargés  et que des tensions sont présentes sur les approvisionnements en médicaments et appareils qui leur sont indispensables. »

De son côté, l’ex-ministre de la Santé Douste Blazy, visiblement plus lucide et  pragmatique que nos obsédés de la randomisation que sont Karine Lacombe et  Olivier Véran, en appelle au gouvernement pour agir en urgence.

La seule solution pour limiter les dégâts, c’est la chloroquine, ajoute Nicolas Dupont-Aignan.

Un message de bon sens qui n’atteint pas Karine Lacombe, laquelle reste de marbre devant la peur des Français et l’urgence de la situation.

Car c’est l’hécatombe dans nos hôpitaux et nos Ehpad.

Le monde entier plébiscite le remède d’un génial médecin français, sauf la France ! C’est tout simplement sidérant.

Didier Raoult: «Il faut que l’exécutif se garde de faire de la médecine à notre place»

Sputnik

Didier Raoult a exposé au Figaro sa vision sur la politique en matière de traitement du coronavirus, a affirmé l’efficacité de la chloroquine et a dénoncé l’interférence de l’État dans la relation entre le médecin et le malade.

Dans un entretien accordé au Figaro, Didier Raoult, directeur de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille, a parlé de la méthode qu’il enseigne depuis 42 ans: «il faut identifier et isoler les patients porteurs, et les soigner au mieux de ce que la science permet».

«Nous n’avons pas pu, ou voulu, tester le maximum de malades pour les isoler et les traiter. Le bilan est là: nous faisons partie des quatre pays dans lesquels il y a le plus de morts par million d’habitants, avec l’Italie, l’Espagne et les Pays-Bas. Ça pose quelques questions, tout de même.»

Des études superflues

S’agissant du traitement par la chloroquine et des études lancées pour évaluer ce médicament, il a jugé que celles «sur les grandes cohortes rassurent les bureaucrates de la santé, qui en sont venus à considérer qu’on ne pouvait rien décider sans elles» et que «si le médicament tuait le microbe, c’est que ça marchait».

Selon lui, «90% des traitements qu’on a inventés en maladies infectieuses n’ont jamais donné lieu à de telles études». «Quand l’évaluation s’est éloignée du terrain pour devenir une activité à part, soutenue par des capitaux importants, on a mis en place des normes de vérification de plus en plus lourdes.»

M. Raoult a estimé que «la première chose qu’il fallait faire, c’était doter les hôpitaux d’infectiopôles, et notamment d’unités de fabrication de tests afin de repérer le plus vite possible, et le plus tôt possible, les premiers malades».

1.003 patients soignés et un seul mort

«Pourquoi m’empêcherait-on de donner des médicaments qui sont les seuls qui nous semblent produire un résultat ici et maintenant? On pourra ensuite conduire une étude rétrospective», s’est-il interrogé.

Et de préciser au Figaro: «Nous avons 1.003 patients soignés à l’IHU Méditerranée, et un seul est mort». Son établissement a publié il y a quelques jours une seconde étude «sur 80 patients, dont la charge virale a été à chaque fois diminuée par l’administration de chloroquine».

Un confinement inefficace?

À la question de savoir si le confinement était une mesure efficace pour endiguer la pandémie, le professeur a répondu que «cela n’a jamais bien marché», que ce soit en 1884, pour arrêter le choléra, ou plus tard pour la fièvre jaune.

«Les politiques prennent des décisions, et l’Histoire les jugera. En revanche, je n’ai rien contre la quarantaine biologique. Bien sûr qu’il faut séparer les gens qui sont infectés de ceux qui ne le sont pas. Mais confiner des gens infectés, qui ne le savent pas, avec d’autres qui ne le sont pas, c’est une curieuse méthode. Si vous mettez ensemble les gens d’une même famille et qu’un seul est infecté, vous êtes sûr que quelques semaines plus tard, tous le seront.»

Au sujet de l’utilisation de tels ou tels médicaments pour traiter les malades, Didier Raoult a indiqué que «de temps en temps, les responsables politiques s’autorisent à intervenir dans notre domaine». «Je ne suis pas d’accord quand on interdit aux médecins d’utiliser des médicaments qui sont en circulation depuis des décennies. Je ne suis pas d’accord avec l’interférence de l’État dans la relation entre le médecin et le malade.»

«Il faut donc que l’exécutif se garde de faire de la médecine à notre place», a-t-il assené.

200.000 signatures en faveur de la chloroquine

En attendant, une pétition lancée par l’ex-ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy a dépassé les 200.000 signatures dimanche soir, relate l’AFP.

Baptisée “#NePerdonsPlusDeTemps” et lancée vendredi sur la plateforme Change.org, elle vise à élargir les traitements à l’hydroxychloroquine des patients atteints du Covid-19, en autorisant leur prescription sans attendre qu’ils soient passés à un stade aggravé de la maladie.

Par ailleurs, trois éminents médecins ont recommandé, dans une tribune publiée dimanche soir sur le site du Figaro, d’appliquer le traitement élaboré par Didier Raoult, lequel prône l’usage de l’hydroxychloroquine dès l’apparition des premiers symptômes du coronavirus.

Coronavirus : ce sont les gilets jaunes « qui tiennent aujourd’hui le pays à bout de bras », souligne Rachida Dati

Alors que la France subit l’épidémie de coronavirus, les Français sont tous confinés pour tenter de freiner la propagation du virus. Tous ? En réalité, nombreux sont ceux à se déplacer encore pour aller travailler, comme les caissières, les livreurs, les agents de sécurité, les éboueurs ou encore les soignants et membre des forces de l’ordre. La crise du Covid-19 « rend encore plus aiguës » les inégalités, estime Rachida Dati le 5 avril dans les colonnes du Journal du Dimanche.

« On ne pourra pas revenir à la situation d’avant« , estime la candidate Les Républicains à la mairie de Paris, qui appelle à « réfléchir à un autre mode de gouvernance » une fois la crise du coronavirus passée « ainsi qu’une plus grande attention aux conditions de travail et à la protection des salariés« . […]

S’érige-t-elle en porte-voix des « gilets jaunes »? « Je défends les classes populaires qui travaillent« , rétorque l’ancienne garde des Sceaux. « Ceux qui étaient sur les ronds-points n’étaient pas des assistés, mais beaucoup de travailleurs pauvres. Cette crise du coronavirus va amplifier tous les problèmes pour lesquels nous avons eu des signaux d’alerte en amont« .[…]

actu.orange

La reine, elle, ne parle pas pour ne rien dire…

Boulevard Voltaire

La reine d’Angleterre s’est donc adressée aux Britanniques ainsi qu’aux nations du Commonwealth, ce dimanche soir, en ces temps terribles d’épidémie. Si on enlève ses vœux de Noël, c’est la quatrième fois qu’elle prend ainsi la parole depuis qu’elle est montée sur le trône : en 1991, lors de la première guerre du Golfe, en 1997, à la mort de Diana, et en 2002, à la mort de la reine mère.

D’abord, une remarque : l’ensemble des médias français, au cours de ce dimanche, ont relayé largement l’information. La reine va parler. Pourquoi la reine s’exprime-t-elle ? Que va dire la reine ? Pourquoi cette adresse de la reine est historique ? Allez, n’hésitons pas à le dire : on en a autant parlé, sinon plus, que lorsqu’on nous annonce une allocution du président de la République française. Nostalgie de la monarchie, a-t-on coutume d’entendre ici et là. Même Emmanuel Macron, durant sa campagne électorale, avait confié qu’il manquait un roi en France. À l’évidence, trois ans après, on en est au même point. Pour ne pas dire qu’on a régressé.

Nostalgie de la monarchie, disions-nous. Plus, peut-être, encore. Pour paraphraser Alphonse Allais, plus on ira, moins il y aura de gens qui auront connu Vincent Auriol. Vincent Auriol qui était président de la République française lorsque Élisabeth monta sur le trône en 1952 et qui, en 1948, avait remis le cordon de grand-croix de la Légion d’honneur à celle qui n’était encore que princesse héritière. Et après Auriol, nous avons eu René Coty, idole d’OSS 117, puis le général de Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron. Et Élisabeth II est toujours là. Fidèle au poste. Le monde va et vient. On a raccourci les jupes puis on les a rallongées, puis de nouveau raccourcies. Les hommes se sont laissé pousser les cheveux puis les ont raccourcis. Aujourd’hui, le problème est réglé : avec le stress, à trente ans, ils sont à moitié chauves. Voyez le prince William. Mais le portrait de la reine trône toujours dans le bureau de M. Comme Moneypenny, la reine a pris un très léger coup de vieux. Moins qu’Édouard Philippe, essoré après trois ans à Matignon. Et James Bond est toujours à son service (de la reine, pas de Philippe), impeccable dans son smoking.

C’est ça, en fait, le message de la reine. La reine nous dit que tout n’est pas que fluide, dans ce monde. Que la tradition, ce n’est pas seulement un truc pour faire plaisir aux touristes qui photographient la relève de la garde devant Buckingham. Que c’est quelque chose qui va chercher loin et profond dans le temps. Qu’il y a un fil conducteur entre Guillaume le Conquérant et cette reine : ininterrompu. Un peu tordu, ce fil, comme le vieil arbre généalogique avec ses nœuds : Normandie, Plantagenêt, Tudor, Stuart, Hanovre, Windsor and so on… Compliqué et tordu, tout ça. Mais l’arbre tient bon et le fil ne casse pas. Comme le peuple anglais, comme la nation britannique. C’est l’essentiel.

Avant même d’avoir ouvert la bouche, la reine rassure. Elle parle peu, rarement, pas longtemps. Elle. Elle ne risque donc pas de saouler son peuple. Elle ne s’écoute pas parler : elle n’a rien à prouver. Pas d’effets de manche, de voix ou de sac à main qu’elle a dû poser au pied de son fauteuil. La reine parle, elle ne fait pas le trottoir. Finalement, peu importe ce qu’elle dit. Rule Britannia!

Ah oui, j’allais oublier : God Save the Queen!

Au Vietnam, 95 millions d’habitants, aucun mort du Coronavirus

Riposte Laïque

L’effondrement économique qui frappe la France est la conséquence directe du confinement généralisé que certains pays prévoyants ont su éviter.

Les décisions criminelles prises par nos dirigeants, qui ont délocalisé et sous-traité la production de matériels stratégiques vitaux, ont laissé le pays démuni quand le Covid-19 s’est abattu sur toute la planète.

Une imprévoyance qui va se payer en dizaines de milliers de morts, en millions de chômeurs et en centaines de milliards de pertes financières.

Tout a été géré dans la panique pour cause de pénurie généralisée. Ajoutons à cela l’inertie coupable du gouvernement, qui a perdu deux mois avant de redescendre de son nuage et de commander les matériels manquants dans l’urgence.

Au lieu de dépister massivement les personnes contaminées et de les traiter en milieu hospitalier, ou bien de les confiner dans des hôtels réquisitionnés, le gouvernement a fait le choix démentiel inverse, en renvoyant les personnes contagieuses dans leur famille, facilitant ainsi la dissémination du virus.

Et faute de masques pour tous, le Covid-19 a fait des ravages en quelques jours. Nos hôpitaux sont saturés, les personnels exténués et faute de lits de réanimation suffisants, le gouvernement en est réduit à ne plus soigner les vieux, autorisant l’euthanasie par décret temporaire ! Un permis de tuer jusqu’au 15 avril.

https://ripostelaique.com/la-france-de-macron-nous-interdit-la-chloroquine-et-euthanasie-nos-vieux.html

Le Vietnam, pays si attachant, est l’exemple parfait de ce qu’il faut faire. Avec une population de 95 millions d’habitants, On n’y  déplore à ce jour aucun mort du Coronavirus.

Ce pays « en voie de développement » peut donner des leçons à son ex-colonisateur qui se prend pour le centre du monde et prétend donner des leçons de démocratie à la terre entière.

Masque obligatoire pour tous, tests de dépistage généralisés, confinement des malades dans les hôtels ou les centres militaires.

Bilan :  240 cas confirmés et  zéro mort, alors que la France compte 7 600 morts.

https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200402.OBS26948/un-francais-residant-au-vietnam-la-france-ce-pays-en-voie-d-enveloppement.html

La 5e puissance économique du monde, qui fabrique des Airbus, des fusées Ariane, des Rafale, des TGV, des paquebots géants, des EPR et des sous-marins nucléaires, le pays qui se targue d’avoir l’un des meilleurs systèmes de santé au monde, est en train de détruire son économie parce qu’il n’y a ni masques de protection, ni kits de dépistage pour enrayer la pandémie.

C’est tout simplement  sidérant !

Chaque jour de confinement coûte plus de 2 milliards au pays. Un mois de confinement, c’est 70 milliards de chute du PIB, soit 3 points. Le plan d’urgence de 45 milliards débloqués par Bercy paraît bien modeste pour enrayer le désastre.

Nous ne sommes plus en récession mais en dépression !

Les  secteurs qui maintiennent leur activité à 100 % sont la santé, la banque, les assurances et l’agroalimentaire.

Les plus touchés sont la restauration, l’automobile, le transport aérien, le bâtiment, le tourisme.

Il faudra sans doute une décennie au minimum pour redresser la situation.

Bien entendu, le discours officiel est que seule l’Europe peut nous sauver, en mutualisant les dettes futures avec des « Corona bonds », des obligations bénéficiant de la garantie de la zone euro afin de profiter de taux bas.

Les cigales du Sud, entraînées par la France, voudraient emprunter à des taux faibles grâce à la garantie des fourmis. Mais l’Allemagne et les pays du Nord disent « nein » et on les comprend.

L’après-pandémie pour notre pays sera donc catastrophique, sans doute bien pire qu’ailleurs.

Pays déjà ruiné par l’immigration bien avant la pandémie, avec  des millions d’immigrés qui refusent de s’intégrer et qui savent que l’État se couche systématiquement face à leurs exigences, la France va connaître des années tragiques.

Car il n’ y aura plus d’argent pour acheter la paix civile dans les banlieues, comme c’est le cas depuis 2005. Depuis ces émeutes, l’État poltron n’a fait que pactiser avec les islamistes. Mais cette lâcheté criminelle va se payer au centuple et mener à la désintégration accélérée de la nation.

Car il en est de l’immigration et de l’islamisation du pays comme du Covid-19. Le pouvoir ne voit  rien venir et  sera totalement démuni face à l’explosion à venir.