Articles avril 2020 – Articles mars 2020 – Articles février 2020
Boulevard Voltaire
Notre pays naufrage. La crise sanitaire actuelle pourrait bien le couler par le fond, tant la gestion de cette épreuve par le pouvoir actuel est catastrophique.
Il est inacceptable qu’à peu de temps de la date à laquelle les Français sont censés recouvrer une partie de leur liberté, et plusieurs mois après le début de la crise, les autorités sanitaires demeurent incapables de leur assurer les équipements de protection indispensables, dont les masques et les tests nécessaires.
Il est inacceptable qu’il soit interdit aux pharmacies de proposer des masques sanitaires au public ; et que l’on interdise, par décret, aux médecins libéraux d’exercer leur art par les prescriptions qu’ils jugent les plus appropriées aux cas de Covid-19 qu’ils sont amenés à traiter.
Il est inacceptable que les responsables des urgences recevant les appels de patients qui décrivent les premiers symptômes d’une maladie mortelle aient eu pour consigne de leur répondre de « rester chez eux et d’attendre l’apparition de symptômes de détresse respiratoire », ce qui revient à une non-assistance à personne en danger institutionnelle.
Il est inacceptable que, dans un pays développé, le confinement de la population, d’une durée record, ait été décidé au seul motif de devoir s’adapter aux insuffisances d’équipement des hôpitaux publics, alors que cet arrêt brutal met en péril toute l’économie du pays et son avenir même.
Il est inacceptable, dans un pays de vieille civilisation, qu’il soit interdit, par décret et par action policière, aux proches des mourants d’accompagner ceux-ci dans leurs derniers moments.
Il est inacceptable que l’on distribue des amendes sans retenue plutôt que des masques aux citoyens ; alors que le pouvoir est incapable de maintenir même un semblant d’ordre dans les « territoires perdus de la République ».
Il est inacceptable que cette crise soit l’occasion d’attenter à nos libertés individuelles comme jamais on ne l’avait osé jusque-là.
Enfin, il est inacceptable que, pour couvrir les carences du pouvoir, on alourdisse sans limite la dette de notre pays et l’on compromette son avenir par l’arrêt imposé de notre économie, avec la paupérisation et le déclassement qui s’ensuivront pour tous.
En cette occasion dramatique, nos dirigeants, et au premier rang Emmanuel Macron, président de la République, se sont révélés incompétents dans l’exercice du pouvoir, incapables de se faire obéir d’une administration inopérante, et impuissants en tout. Pire : ils n’ont reculé devant rien pour cacher leur défaillance, et c’est le mensonge d’État pur et simple, répété à l’envi — qu’on songe à la question des masques ! —, qui n’a cessé de sévir.
Que faire ?
Il faut demander, sans hésiter, la démission collective de l’ensemble des responsables qui sont comptables du désastre en cours, à commencer par le premier d’entre eux : M. Macron. Lui et son gouvernement doivent passer la main.
Catastrophe méritée en vue pour une France décadente depuis 45 ans !
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Boulevard Voltaire
Les Bourses, comme en 1929, vont continuer à s’écrouler lentement, après de faux rebonds, tandis qu’un krach ou de fortes baisses de prix dans l’immobilier sont à prévoir en France et aux États-Unis.
Les coûts du confinement pour la France dépassent, désormais, les avantages sanitaires ; il devient urgent de déconfiner tandis que la lenteur de la reprise du travail inquiète, quitte à réduire l’indemnisation trop généreuse du chômage partiel. C’est la seule façon de diminuer les faillites d’entreprises, les parts de marché perdus à l’export, soit des chômeurs en plus à venir ! Les Français, irréalistes et utopiques, s’imaginent que c’est l’État abstrait avec Macron qui va financer tout ça, alors que ce sont eux seuls, avec leurs impôts, qui devront rembourser les dettes de l’État.
Le spectre du chômage est d’autant plus inquiétant qu’il guette aussi en Chine où 200 millions de personnes seraient sans emploi, la plupart dans les services, trop de PME tombant en faillite, avec l’épée de Damoclès du retour du virus, comme c’est le cas à la frontière russe, près de Vladivostok. Plus de 10,2 millions de salariés se retrouvent au chômage partiel en France, soit un salarié sur deux du secteur privé, plus 3 millions en arrêt de travail pour garde d’enfants. Le déficit de la Sécurité sociale devrait exploser à 41 milliards d’euros en 2020, soit plus que le budget de la Défense !
Les hommes politiques du passé sont toujours là pour nous proposer de nouvelles folies à endormir les foules. Mélenchon, référence utopique internationale, n’a rien trouvé de mieux qu’une « monétisation de la dette française » par la BCE avec un système de « dette perpétuelle ». Une dette ne peut être perpétuelle, tout comme les taux d’intérêt ne peuvent pas rester ridiculement bas pour l’éternité ! Placer des dettes irrécouvrables à l’actif de la BCE conduira inéluctablement à la faillite de la BCE et de la France, voilà la réalité.
L’Italie, c’est la France en pire, avec 12 % de faillites des PME prévues en 2020 et une dette publique systémique, à deux crans au-dessus de la catégorie pourrie (« junk »), de 156 % voire 160 % du PIB, en hausse de 20 %, soit 2.600 milliards d’euros, soit 41.000 euros pour chaque Italien. La BCE s’est engagée à acheter jusqu’à 200 milliards d’euros de dettes italiennes irrécouvrables, sur les 450 à 500 milliards à lever en 2020, avec un déficit public de 10,4 % du PIB et un taux de chômage de 11,6 %. Le taux moyen actuel d’intérêt est de 2,6 % et l’Italie rêve d’emprunter à 0 % en mutualisant les dettes. Faiblesses structurelles, productivité zéro, sous-investissement depuis vingt ans, banques en quasi-faillite, population vieillissante, telle est la réalité italienne.
La seule façon de nous sauver, ce serait 1.000 milliards d’euros d’emprunts supplémentaires auprès du MES (Mécanisme européen de stabilité), de la BEI (Banque européenne d’investissement), de la Commission, selon Bruno Le Maire, 1.600 milliards selon Thierry Breton, alors que 540 milliards seulement (ce qui est déjà énorme) ont été offerts pour l’instant. L’idée est de se retourner vers la BCE (Banque centrale européenne) pour trouver le solde impossible à emprunter dans le cadre de l’Union européenne, face à l’opposition justifiée de l’Allemagne et des Pays-Bas. Le « QE » pourrait être augmenté de 500 milliards d’euros, soit une augmentation de 1.500 milliards d’euros pour l’année 2020. Les rachats d’obligations par la BCE auprès des banques et des compagnies d’assurance correspondent, en fait, à des financements directs de l’Italie, à la violation de ses statuts. S’ils sont logiques avec eux-mêmes, les Allemands et les Hollandais devraient dire encore non, dans les mois prochains, pour éviter la faillite de la BCE. Mais alors, ce seront les économies de la France et de l’Italie qui s’effondreront et ce sera l’explosion de la zone euro !
Il est probable que cette explosion aura lieu fin 2020 ou en 2021, avec retour à une simple monnaie commune, et non plus unique. Il y aura, alors, retour au franc et dévaluation des monnaies nationales pour rétablir la compétitivité des exportations, inflation pour alléger la dette et spolier les épargnants d’autant. La dévaluation moyenne des pays de l’Europe du Sud par rapport à l’Allemagne devrait se situer entre 25 et 43 %, selon Jacques Sapir. Les Français et leurs élites irresponsables, en décadence depuis 45 ans, n’auront qu’à s’en prendre à eux-mêmes, pas à l’Allemagne.
Édouard Philippe sur la voie de la démission ? Et l’autre ?
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Les rumeurs fleurissent. Le Figaro, d’abord, vendredi, puis le JDD, ce dimanche, et même Gala, le journal le mieux informé sur les dessous de ce quinquennat (Mimi Marchand oblige ?). La relation entre les deux têtes de l’exécutif serait au plus mal, la crise aurait révélé des « tensions », des « failles » même, entre Édouard Philippe et Emmanuel Macron. « C’est plus tendu qu’on ne le pense entre les deux hommes », selon un proche cité par ces journaux.
Les annonces précipitées d’Emmanuel Macron sur la date du déconfinement, la rentrée à l’école « facultative », sa visioconférence avec les maires auraient exaspéré le Premier ministre, chargé d’organiser la chose avec des injonctions contradictoires. Toujours selon Gala, « d’autres tensions sont apparues entre Édouard Philippe et Jean-Michel Blanquer, qui a lui aussi fait des annonces inopinées autour de la réouverture des écoles. “C’est comme avant un accouchement, plus on a de contractions, plus on se dit que que ça fait mal, ça fait désordre et on transpire”, analysait un ministre.” Sale boulot, mais ça fait partie du contrat.
Comme la fonction « fusible ». Quand la tension monte, au Président les grandes envolées lyriques, fussent-elles diamétralement opposées à celles de la veille (le « se réinventer, moi le premier »…), et au chef du gouvernement l’addition de leurs frasques communes.
Alors, un départ en pleine crise ? Une démission fracassante en pleine incertitude sur le déconfinement alors qu’il doit présenter son plan, mardi, à l’Assemblée nationale ? Édouard Philippe ne prendrait-il pas le risque d’alourdir son passif en endossant l’habit du déserteur en pleine tempête ? Pour capitaliser sur une telle démission, surtout après celle d’Agnès Buzyn, il faudrait vraiment qu’il prenne date, en chargeant le Président. Ce serait alors une crise politique majeure qui mettrait en lumière la déliquescence du macronisme.
Les deux hommes ne seraient-ils pas, dès lors, emportés ensemble ? Ils ne peuvent donc pas se le permettre. À moins que le Président ne pousse dans ce sens pour échafauder son « après », son « union nationale » ? Il paraît que Bruno Le Maire et Xavier Bertrand seraient sur les rangs pour Matignon.
Ah, dernière nouvelle : une note de Bercy, révélée par le JDD, prévient qu’il n’y a pas assez de masques pour un déconfinement le 11 mai : « La production nationale hebdomadaire et les importations sont encore insuffisantes à ce stade pour couvrir la totalité du besoin. » Et ce fichu Conseil scientifique qui vient de recommander le masque obligatoire pour la réouverture des collèges et des lycées.
Le masque, c’est décidément le sparadrap de nos Dupond et Dupont de l’exécutif…
Pas d’Union sacrée ! Macron mérite d’être destitué, jugé et exécuté !
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Riposte Laïque
C’est la dernière ! Pendant que la France entame son deuxième mois de confinement, achevant ce qu’Éric Zemmour appelait « le suicide français », il paraîtrait que notre président de la République, convaincu qu’il a un destin national et surtout mondial, consulterait à tout-va pour former, quand cette « crise » serait terminée, un gouvernement d’Union nationale ! Et des noms commencent à circuler, tous les vieux chevaux de retour, tous les collabos européistes et mondialistes qui ont mis la France dans cette situation catastrophique. On évoque Le Foll, complice du naufrage de Hollande. Kosziuscko-Morizet, la bobo de droite qui avait, paraît-il, abandonné la politique, mais comme elle ne sait rien faire d’autre, comme Najat Vallaud-Belkacem, elle paraît prête à revenir à la mangeoire. On parle de Baroin, autre retraité de la politique, planqué dans une banque, mais toujours président de l’Association des maires, et présenté comme l’alternative de la Droite LR pour 2022. Il ne manquerait plus que Hollande et Sarkozy, et ce serait complet ! Plus un Jadot, qui a les dents qui rayent le plancher, et pourquoi pas l’Insoumis de service, en rupture avec Méluche, style Clémentine Autain, pour remplacer Schiappa ! Sans oublier le muzz de service, par exemple Karim Zeribi, à la place de Sibeth, usée jusqu’à la corde, comme porte-parole du gouvernement ! Un nouveau bras d’honneur fait à la France. Et bien sûr, les journalistes relaient cette fable, laissant entendre que, quelle que soit l’ampleur du désastre, on peut sacrifier une Buzyn, un Véran, un Salomon, voire un Édouard Philippe, mais que Macron serait incontournable jusqu’à 2022.
Mais de qui se moque-t-on ? C’est lui, dans le système de la Ve République, qui est le chef de l’État, avec des pouvoirs qu’aucun autre dirigeant au monde, dans des sociétés démocratiques, ne possède. C’est donc à lui de rendre des comptes à la Nation, et au peuple de France, et pas des sous-fifres. Le voilà élu depuis trois ans, et le moins qu’on puisse dire est que toutes ses décisions, toutes, ont été prises contre l’intérêt de la France, et contre sa souveraineté.
Il passe son temps, depuis l’étranger, à calomnier son pays, et à insulter les Français. En pleine crise des Gilets jaunes, qu’il a occasionnée, pour faire plaisir aux écolos et à leur transition énergétique, il exerce une répression sans pareille contre les manifestants, mais ordonne qu’on ne touche ni aux racailles, ni aux gauchistes. Et il signe le Pacte de Marrakech, qui légitime l’invasion migratoire de la France.
Il ridiculise la France par une fête grotesque de la Musique à l’Élysée, et par, quelque temps après, des photos accablantes avec des jeunes garçons de la diversité, dans les îles.
Il y a un an, Notre-Dame brûle, dans un contexte étrange, où deux églises sont vandalisées tous les jours. Mais immédiatement, une heure après l’incendie, la propagande médiatique explique que cela ne peut être qu’un accident.
Il continue à pressurer les Français, quand il accueille 450 000 nouveaux venus, majoritairement africains et musulmans, pour accélérer le changement de peuple, de civilisation et de mode de vie, et submerger la population française d’origine. Pour cela, il impose une réforme des retraites, alors que des économies sur le coût exorbitant de l’immigration régleraient le problème. Mais comme les syndicats collabos, immigrationnistes, ne posent pas le problème, Macron laisse le mouvement s’épuiser, et était sur le point de gagner.
Et vient ce Coronavirus, appelé Covid-19. Première attitude criminelle, le chef de l’État refuse de fermer nos frontières, et fait donner la cavalerie contre ceux qui, comme Marine Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan, exigent cette élémentaire prise de précaution. Puis on découvre que, malgré les impôts ahurissants que nous payons, malgré la propagande quotidienne qui nous fait croire qu’on est champions du monde en terme de santé, nous n’avons rien pour faire face à l’épidémie : ni tests, ni masques, ni lits d’hôpitaux ! Et quand un génie, le professeur Raoult, a les solutions pour guérir 99 % de la population en une semaine, avec un traitement à 5 euros, on lui brise les reins, on le salit, on le calomnie, bien sûr avec la complicité du chef de l’État.
Et on finit, après quelques tergiversations, par confiner un pays entier, avec une légèreté incroyable, et des méthodes dignes des pires dictatures. On casse l’économie du pays, on met délibérément au chômage des millions de salariés du privé, on précipite vers la faillite des milliers de petits entrepreneurs, on laisse nos anciens mourir dans des conditions sordides, tout simplement parce que des incapables, à tous les niveaux de l’appareil d’État, Président, ministres, conseillers, experts, hauts fonctionnaires, par ailleurs fort bien payés, s’avèrent incapables de prendre les décisions, et, pour masquer leur incompétence, décident de réprimer le peuple de France, de l’humilier, de l’infantiliser, et surtout de le matraquer d’une manière qu’aucun autre pouvoir au monde n’a osé.
Dix millions de contrôles en un mois ! 950 000 amendes, souvent mesquines, scandaleuses, pour mater des Français qui osent aller faire leurs courses, parler à leur voisin, aller chercher des recharges d’imprimante, ou oublier de signer leur bon de sortie. Une horrible dictature sanitaire, avec l’alibi de sauver des vies, de la part de ceux qui nous imposent la présence de djihadistes sur le territoire français, et qui libèrent dix mille prisonniers !
Le pays est ruiné, l’État obèse, tentaculaire et parasitaire a montré sa capacité de nuisance, ce régime, derrière son Président, a montré une volonté que les faits rendent incontestable, de tout faire pour empêcher de mettre en place les bonnes solutions, et torpiller les initiatives des médecins ou des élus, qui, lassés de l’inefficacité de nos dirigeants, trouvaient des solutions, et Macron voudrait demeurer en place !
Lui qui n’a rien trouvé de mieux que de donner des leçons à ceux qui osaient fermer leur frontière, avec des résultats nettement meilleurs que ceux des criminels italiens, espagnols, belges et français qui ont confiné à tour de bras ? Lui qui, alors que notre pays est en lambeaux, ne trouve rien de mieux à proposer que d’annuler les dettes africaines, se foutant de celles de nos agriculteurs, de nos entrepreneurs, et des millions de Français vivant sous le seuil de la pauvreté ? Lui qui, alors qu’il est incapable d’équiper sa population, ose demander, dans les instances mondialistes, qu’on protège les 7 milliards d’habitants de la planète, qu’on remette en selle une Union européenne discréditée et parasitaire, et qu’on s’aligne derrière l’OMS manipulée par les Chinois ? Lui qui ose donner des ordres pour que les policiers se couchent, en période de ramadan (et même en dehors) devant les racailles islamisées, quand les Gaulois sont maltraités par ce régime et sa milice ? Lui qui se comporte comme l’agent de George Soros et de Bill Gates, qui se rêve comme le président des citoyens du monde, et qui montre, quotidiennement, son mépris profond pour une France dont il n’a rien à foutre, et pour des Français qu’il n’aime pas, malgré ses belles envolées médiatiques qui sonnent faux !
Et nous, les Français, nous devrions oublier tout cela ? Ce serait trop facile ! François Asselineau, que nous n’apprécions pas toujours, a fait un excellent travail sur la possible destitution d’un chef de l’État, que permet la Constitution française. L’Histoire de France fourmille d’épisodes où le roi, ou le chef de l’État, a dû rendre des comptes devant la justice du peuple, pour des actes jugés comme de haute trahison. Peu importe que les verdicts aient paru légitimes ou scandaleux, cela a existé. Comme dans le monde, certains chefs d’Etat ont fini tragiquement, tels Mussolini ou Ceaucescu.
Dans un tel contexte, non seulement Macron mérite donc d’être destitué, mais également jugé, voire exécuté. Car il faudra nous expliquer si Louis XVI, condamné à mort et exécuté, et Pétain, condamné à mort, mais gracié et emprisonné à vie, ont trahi davantage la France que le mondialiste Macron. Et cela, seul un procès, avec un jury populaire, retransmis sur les antennes de télévision, de Macron et des complices (et ils sont nombreux) pourra le dire.
Dans une fiction qui fait rêver, intitulée « L’espérance, notre rêve pour la France », le major Alain Bonte, dans un chapitre entier, nous relatait le procès de deux personnages, qui ressemblaient beaucoup à Nicolas Sarkozy et à François Hollande, ainsi que leurs comparses, dont deux faisaient penser à Christiane Taubira et Najat Belkacem. Le procès se déroulait durant un mois, et les audiences étaient publiques, tous les jours, de 17 heures à minuit, pour que le peuple sache de quels crimes ces dirigeants avaient été coupables. Le verdict, délivré par un jury populaire, sous la direction d’un tribunal où le président menait magistralement les débats, était sans appel (au sens propre) : les accusés avaient été condamnés à la peine de mort, et exécutés.
Un châtiment que mérite le président de la République, et tous les membres de ce gouvernement de criminels et d’assassins. Et bien d’autres, mais chaque chose en son temps…
La chanson du jour, Bonfires – Blue fondation.
Beau et sombre comme une addiction… une voix venue d’ailleurs et la trompette qui vient de temps à autre geindre comme un agonie à venir….c’est tout bon. On valide !