°° WEBTUBE : Une interview qui nous éclaire beaucoup sur le changement de paradigme de l’union européenne depuis les années 2000. Merci monsieur Furfari pour la mise en lumière de l’idéologie actuelle. on comprend mieux ce qui se passe et se qui se joue pour ces prochaines élections européennes.
°° WEBTUBE : À Nanterre, une femme noire a décidé de se faire respecter par la Société Générale, une banque connue pour sa négrophobie. Tout va bien à Nanterre, pas contente de sa banque elle y met le feu, encore une déséquilibrée sûrement. On aime bien Nanterre, c’est une ville toujours plein de surprises…. Quelle est belle notre France d’aujourd’hui !
Il faut croire que les descendants des pharaons ne peuvent pas accepter d’être traités comme des moins que rien par ces esclavagistes. C’est une belle page de l’histoire locale qui a été écrite.
°° WEBTUBE : Dans cet océan de fake news, où la guerre informationnelle s’intensifie de jour en jour, il va être de plus en plus difficile de démêler le vrai du faux. Mais ce qui est certain, c’est que dans le doute, Macron a préféré annuler sa visite en Ukraine prévue les 13 et 14 février 2024. C’est donc Zelensky qui vient en France.
Cette visite à Kiev et Odessa avait pour but de signer un accord de sécurité bilatéral entre la France et l’Ukraine, ainsi que de finaliser une nouvelle livraison de missiles SCALP et de bombes aux forces ukrainiennes. Nous n’avons que trois jours de munitions mais Macron vide nos stocks sans la moindre réaction de l’opposition, totalement inexistante.
On notera que notre Président, écarté de la scène diplomatique en Afrique et à Gaza, suite à son amateurisme sidérant et à son double jeu permanent, tente de redorer son blason en se posant en leader de la défense européenne et du combat contre la Russie.
Celui qui appelait régulièrement Poutine au début des hostilités pour parler de paix est devenu le pire des russophobes de l’UE.
“Nous ne pouvons pas laisser la Russie gagner et nous ne devons pas le faire, car alors la sécurité même de l’Europe et de tout le voisinage russe serait remise en cause”.
Le chef de l’État a rappelé “la détermination de la France à apporter tout le soutien nécessaire, dans la durée et avec l’ensemble de ses partenaires, pour faire échec à la guerre d’agression de la Russie”
Dans un article paru sur son blog Telegram, Boris Karpov décrit le scénario envisagé pour éliminer Macron, en se référant à une information diffusée sur France 24
“France24” note que la liquidation de Macron a été préparée par le chef de la Direction principale du renseignement du ministère de la Défense de l’Ukraine, Kirill Budanov, sur ordre du président Vladimir Zelensky. Le plan d’assassinat a été déjoué par l’ancien commandant en chef des forces armées ukrainiennes Valery Zaluzhny, qui a transmis des informations aux Français par ses canaux. A Paris, les services de renseignement ont eu accès à la correspondance des organisateurs et des auteurs de cet attentat terroriste.”
L’objectif était de faire porter le chapeau au FSB russe, afin de créer un choc psychologique en Occident dans le but de relancer l’aide de l’Otan à l’Ukraine. Curieux calcul.
À chacun de se forger sa propre opinion sur cette étonnante tentative d’assassinat par Kiev d’un leader européen devenu l’ennemi le plus acharné de Moscou.
Car la chaîne France 24 a aussitôt démenti avoir communiqué sur cette menace d’assassinat. Un montage audiovisuel faussement attribué à la chaîne.
Et on apprend aujourd’hui que c’est Zelensky qui vient à Paris pour signer ces fameux accords de sécurité.
La cible d’un attentat qui accueille le commanditaire de l’opération, ce n’est pas banal.
Par conséquent, toutes les nouvelles qui circulent sont à prendre avec la plus grande réserve.
La guerre informationnelle s’intensifie dans les deux camps et si le SBU ukrainien a tout intérêt à attirer de nouveau les projecteurs sur l’Ukraine, le FSB russe peut très bien avoir voulu envoyer un signal aux leaders occidentaux qui défilent à Kiev depuis deux ans, leur signifiant que tout voyage en Ukraine peut être fatal.
Encore une fois, ce qui est certain, c’est que dans le doute Macron a annulé sa visite.
Et c’est à nos services de renseignements qu’il appartient de démêler le vrai du faux.
Pour ce qui est de l’accord de sécurité bilatéral décidé seul par Macron, sans l’aval du Parlement, c’est un engagement dangereux pour la sécurité du peuple français. La passivité et le silence de l’opposition sont sidérants et prouvent son incapacité à gouverner demain. De Mélenchon à Marine, ils sont tous devenus macronistes.
°° WEBTUBE : Ces “journalistes” sont insupportables !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ces gens doivent sortir de chez eux et faire le constat eux-même. Il est fort.Tres fort.Il se fait inviter sur tout les plateaux télé.Et ils essayent de lui faire faire des erreurs mais ils n’y arrivent pas.Et ça les énervent. 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 Bravo Jordan Bardella
°° WEBTUBE : Face à la lâcheté des profs qui capitulent devant les pressions islamo-communautaires, le cinéma d’état français a décidé de prendre des risques. Reprenant la fameuse expression qui règne dans les rectorats à propos du silence recommandé face aux revendications islamiques récurrentes des élèves de la diversité, le film « Pas de vagues » met les pieds dans le plat. C’est l’histoire d’un prof qui fait une remarque à Chloé, la seule Blanche de la classe, et qui se fait menacer par Julien, son frangin ch’ti.
Tout le monde a croisé ces visages menaçants à la sortie des écoles de la République.
Ce film qui dénonce le « Pas de vague » réussit l’exploit de ne pas en faire, de vagues.
Le réalisateur ne veut quand même pas finir décapité.
N’hésitez pas à commenter sous le clip YouTube, le producteur sera très curieux de vos réactions.
°° WEBTUBE : Ce qui devait arriver arriva : Mayotte est devenue la Lampedusa de l’océan Indien. Ce n’est une surprise pour personne puisque, rappelons-le, l’île africaine n’avait pas d’état-civil lors de son annexion à la France en 2011, ce qui ne pouvait qu’inciter d’autres Africains à y pénétrer pour atteindre l’El Dorado français. Aujourd’hui, il y a plus d’étrangers à Mayotte que de Mahorais. Pour mettre fin à ce chaos migratoire, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé la fin du « droit du sol » dans ce qui est devenu le 101e département de l’hexagone.
Une situation qu’avaient prévue tous les observateurs du phénomène migratoire. Mais qui n’avait pas empêché le gouvernement de l’époque – sous la présidence de Nicolas Sarkosy – de procéder à une annexion du protectorat par une simple loi organique : le 31 mars 2011, Mayotte devenait un département de la République française, le cinquième Département d’Outre Mer. Un statut non reconnu par les Comores et l’Union Africaine, et qui va à l’encontre de plusieurs résolutions de l’ONU. Cette disposition faisait suite à un référendum de 2009 sur la départementalisation approuvée à une large majorité par la population locale (95 % des votants en faveur, 39 % d’abstention). Les citoyens français, eux, n’avaient pas été consultés et devaient apprendre le rattachement d’un territoire africain et musulman dans la presse. Le droit de choisir ceux avec qui ils désirent partager leur destin ne leur avait pas été concédé. Peut-être parce que la réponse à un éventuel plébiscite aurait été “Non, Mayotte n’est pas française” ?
L’île était alors peuplée de 150.000 à 200.000 habitants (qui peut le dire ?) d’origine africaine, de confession musulmane, dont moins de la moitié était francophone, et où la polygamie, la répudiation des femmes, les mariages adolescents et la justice islamique rappelaient davantage la Sh’aria que notre droit romain. Sans parler d’une économie dévastée, d’un taux de chômage abyssal et d’une architecture de favellas.
Une terre où l’état-civil était inconnu, où les noms patronymiques transmissibles n’existaient pas (pas de noms de famille !), où les naissances n’étaient enregistrées nulle part. Il était donc évident qu’en établissant une porte d’entrée pour la métropole jusque dans l’océan Indien on allait créer un appel d’air irrésistible pour les populations limitrophes. Mais qu’est-ce que le droit des peuples, face à 63 000 kilomètres carrés de zone économique exclusive ?
Quelques années plus tard, en 2014, Mamoudzou, la capitale de l’île, devenait la plus grande maternité de France. 70 % des naissances étaient le fait de Comoriennes, qui, droit du sol oblige, devenaient de parfaits petits bébés français ! Et regroupement familial oblige, maman et papa aussi ! Une situation aussi lunaire que prévisible, et qui perdure : aujourd’hui, 90% des naissances sont de parents étrangers.
L’île est actuellement dans une situation sociale et sécuritaire explosive, les autochtones ne cessent de solliciter l’intervention des autorités de la métropole pour d’endiguer le phénomène. Lancée au printemps 2023, l’opération Wuambushu visant à réduire la délinquance et à expulser les immigrés comoriens jugés responsables de la flambée de l’insécurité, n’avait pas porté ses fruits. Au comble de l’exaspération, des collectifs citoyens mahorais ont installé depuis plusieurs semaines, des barrages routiers paralysant la circulation et bloquant la vie économique déjà faible de l’archipel, déclenchant la visite de Gérald Darmanin. Dès sa descente de l’avion, il a déclaré :
“Nous allons prendre une décision radicale, qui est l’inscription de la fin du droit du sol à Mayotte dans une révision constitutionnelle que choisira le président de la République. Il ne sera plus possible de devenir français si on n’est pas soi-même enfant de parent français.”
Et de promettre un durcissement du regroupement familial pour mettre fin aux titres de séjour territorialisés.
On notera donc qu’il est donc possible de remettre en question les dispositifs qui sanctifient l’invasion de notre territoire. Y’a plus qu’à.
°° WEBTUBE : C’est le fruit de quatre ans de négociations. Mais c’est aussi une information qui n’aura pas fait les gros titres, et pourtant, elle est décisive pour le Parlement européen et l’avenir de sa population. Ce mercredi 14 février, la commission des libertés civiles adoptait le Pacte sur la migration et l’asile, une étape supplémentaire avant son adoption définitive. « Une victoire pour les migrants »
Un texte destiné à réformer la politique migratoire européenne en organisant un système de solidarité entre les vingt-sept. Par système de solidarité, il faut entendre choisir entre accepter des migrants (30.000 répartis chaque année) ou verser de lourdes sommes dans un fonds commun. Un accord politique qu’étaient parvenus à signer, le 20 décembre dernier, le Parlement européen et le Conseil de l’Europe. À cette occasion, Ylva Johansson, la commissaire européenne, avait applaudi : « L’adoption du Pacte n’est pas seulement une victoire pour l’Union européenne, c’est aussi une victoire pour les migrants. »
🛑 Communiqué : le Pacte des migrations a été adopté ce matin en commission au Parlement européen.
Concrètement et sur le papier, ce pacte comprend un contrôle préalable des migrants à l’entrée dans l’Union européenne, de nouvelles procédures de traitement des demandes d’asile ou encore de conditions minimales d’accueil des demandeurs d’asile. Dans les faits, « les textes le composant, votés aujourd’hui en commission au Parlement européen, suivent cette logique : légaliser l’immigration illégale et répartir les migrants dans l’Union européenne, sous peine d’une amende de 20 000 euros par migrant refusé », fustige Jean-Paul Garraud, l’eurodéputé (ID), dans un communiqué. L’élu déplore également qu’aucune de leurs propositions n’ait été retenue : « ni le traitement des demandes d’asile dans les pays de départ, voire de transit, permettant de limiter les départs plutôt que tenter vainement de maîtriser les arrivées, ni le conditionnement des aides financières de l’UE à la reprise par les pays d’origine de leurs ressortissants résidant illégalement dans l’Union européenne ». Et d’insister sur cette idéologie dénoncée par BV à longueur de colonnes : « Pour la gauche et les mondialistes, l’immigration n’est pas une fatalité, c’est leur projet ! »
L’opposition inaudible de l’Europe centrale
Le 8 février, les représentants des États membres de l’UE ont approuvé les trois actes législatifs qui avaient déjà fait l’objet d’un accord entre le Conseil et le Parlement en 2022 : des règles uniformes pour les demandes d’asile, de meilleures conditions d’accueil et un nouveau cadre de l’UE pour la réinstallation. Contre ce pacte de répartition des migrants, ne cherchez pas la France qui se targue, au cours de sa présidence européenne, d’avoir « œuvré à cet accord important », mais les pays d’Europe centrale : Slovaquie, Hongrie et Pologne, qui ont récemment réaffirmé leur opposition. « Nous, Slovaques, Hongrois et Polonais, avons voté contre les lois qui parlent de soi-disant solidarité. Malheureusement, notre décision a été rejetée par plusieurs États membres », déclarait le ministre de l’Intérieur slovaque , Matúš Šutaj Eštok.
Aujourd'hui, les Etats membres ont approuvé à une très large majorité les 10 textes législatifs formant le Pacte asile et migration, étape décisive vers son adoption. Les Présidences 🇫🇷🇨🇿🇸🇪🇪🇸🇧🇪 ont oeuvré à cet accord important, qui une fois adopté sera rapidement mis en oeuvre. pic.twitter.com/RaS3nWKeDc
Nadine Morano, dont nous avions recueilli le témoignage alarmant suite à sa mission à Lampedusa, annonce avoir « voté CONTRE tous les textes qui ne permettront pas d’endiguer les flux migratoires conformément à la volonté des peuples européens ! Et donc CONTRE celui sur la répartition inacceptable des migrants dans les États membres ! »
Selon Frontex, qui dénombre, en 2023, un pic de demandes d’asile avec 380.000 passages irréguliers à la frontière extérieure de l’UE, « l’augmentation significative des passages irréguliers à la frontière en 2023 » est « la plus élevée depuis 2016 ». Dans ce contexte de crise migratoire et de montée des droites patriotes dans les pays européens, ces mesures définitives concernant le Pacte sur la migration et l’asile devraient être adoptées d’ici avril 2024, avant les élections européennes de juin 2024…
Ce principe sera certainement étendu à d’autres comptes dans le futur dans le futur.
L’accès est bloqué en fonction de la nationalité du téléphone. Pour contourner ce problème, vous pouvez vous acquérir un numéro virtuel dans le pays de votre choix grâce à un prestataire en ligne. Il en existe plusieurs. Vous pouvez essayer Pingme.tel.
Sinon, vous pouvez vous procurer une carte SIM d’un pays hors UE via Ebay pour activer votre compte. Il y a un gros marché de cartes SIM ukrainiennes à bas coût en raison des nombreux Ukrainiens présents en Europe.
°° WEBTUBE : Après une agression particulièrement sauvage et violente (la victime en reste défigurée), un homme de nationalité étrangère a été condamné ce mardi à 6 mois de prison avec sursis.Mais la justice a décidé de ne pas inscrire cette condamnation dans son casier… pour lui permettre de renouveler son titre de séjour. Plutôt étonnant, comme toute cette affaire d’ailleurs.
Voici précisément ce qui s’est passé:
Les faits remontent au 23 mars, dans l’Essonne (91). A cette époque, la victime et son agresseur sont inscrits dans le même club de basket.
Un entrainement a lieu ce jour là, au gymnase de Marolles en Hurepoix. Tout se passe bien, l’équipe s’entraine, sauf que l’agresseur, un certain Nevil B., âgé de 22 ans, de nationalité camerounaise, se montre particulièrement agressif et mauvais joueur.
A la fin de l’entrainement, il provoque à plusieurs reprises la victime, lui propose même de se battre ce que la victime, Mickaël, refuse en expliquant qu’il a plus de 40 ans, qu’il est père de deux enfants et donc qu’il n’a plus l’âge de se battre.
Après l’entrainement, ce dernier se rend dans les vestiaires pour prendre sa douche. Nevil l’y rejoint et l’agresse sauvement, par surprise, en lui portant plusieurs coups : au premier, la tête de Mickaël ricoche contre un casier. Il s’effondre et perd connaissance, mais l’agresseur continue de le frapper au sol.
Un co-équipier arrive rapidement sur place pour porter secours à Mickaël, allongé et en sang. Il hallucine : « Tu as vu ce que tu as fait ? Dit-il à Nevil. On est obligé d’appeler les pompiers et les gendarmes », ce à quoi l’agresseur lui répond, déterminé: « c’est quoi ton problème, tu veux que je m’occupe de toi, toi aussi ? ».
Le co-équipier se réfugie alors dans les toilettes pour appeler les secours. Interrogé plus tard par les gendarmes, il confiera avoir été déjà menacé par l’agresseur la saison précédente, après avoir réussi un dribble : « Ne fais plus jamais ça, tu ne me connais pas, tu ne sais pas qui je suis, je t’ai déjà vu avec tes enfants, la prochaine fois je te dévisse la tête » lui aurait dit Nevil. Ce co-équipier n’avait toutefois pas porté plainte…
Résultat, c’est Mickaël qui s’est fait « dévisser » la tête ce 23 mars. Gravement blessé au visage lors de cette agression dans les vestiaire, il devra subir plusieurs opérations chirurgicales dans les jours qui suivent pour reconstituer son visage, qui ne sera jamais tout à fait le même (la partie droite, qu’il ne ressent pas tout à fait, est restée enfoncée. Une ultime opération pourrait être tentée, mais risquerait de dégrader sa vue).
Les séquelles auraient pu être pires. Le co-équipuier qui a porté secours à Mickaël déclarera aux enquêteurs: « J’étais angoissé sur le moment et je suis content aujourd’hui que ça n’engage qu’une chirurgie faciale, parce que vu son état, j’avais très peur que son cerveaux soit attaqué, puisqu’il n’arrivait pas à répéter son âge deux fois de suite aux pompiers. »
Mickaël a été arrêté pendant 1 mois. Il s’est vu attribuer plus de 20 jours d’ITT, ce qui est beaucoup pour une agression physique. Un an après, il repense encore à cette agression qui a profondément ébranlé sa joie de vivre, son humeur, autrement dit sa personnalité. Il y repense chaque fois qu’il voit son visage dans le miroir, c’est à dire tous les jours.
Vu la simplicité des faits, et leur violence, Mickaël aurait pu espérer que la justice soit à la fois rapide et sévère. Or, celle-ci n’a été ni rapide, ni sévère, bien au contraire: il faudra d’abord attendre trois mois pour que Nevil soit interpellé et placé en garde à vue (durant six heures, seulement), alors même qu’il avait reconnu les faits en envoyant un message d’excuse (voir en commentaire). Le 27 novembre, la justice informe Mickaël que l’affaire a été classée… avant de faire savoir, trois semaines plus tard, que c’est une erreur et que son agresseur sera bien jugé le 13 février, c’est à dire 11 mois après les faits.
Non seulement la justice n’a donc pas été rapide, mais on ne peut pas dire que la peine décidée soit particulièrement sévère…
L’agresseur, qui avait un casier vierge, a été jugé en CRPC: comparution en reconnaissance préalable de culpabilité.
Ce mode de jugement, réservé aux délits mineurs comme les délits routiers, nécessite que l’auteur ait reconnu les faits. En bref: le procureur convient d’une peine avec le mis en cause, puis, si le mis en cause accepte cette peine et se montre coopératif, cette peine est validée par un juge lors d’une brève audience. Faute avouée, à moitié pardonnée, telle est la logique de cette procédure. On peut s’étonner que l’auteur ait pu en bénéficier vu la graviter des faits…
Mais continuons: Nevil, l’agresseur, a donc été jugé via une CRPC ce mardi et condamné à 6 mois de prison avec sursis, soit bien moins que la peine prévue par le code pénal qui indique que « les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours sont punies de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. »
Autre décision étonnante, la justice a fait une fleur à l’agresseur en acceptant de ne pas mentionner sa condamnation au casier judiciaire (B2)…. afin qu’il puisse renouveler son titre de séjour, parce qu’il est de nationalité camerounaise.
Mickaël de son côté, avait lui aussi formulé une demande: que son agresseur soit visé par une mesure d’éloignement de l’Essonne, pour ne pas le recroiser. Cette « fleur » lui a été refusée. On lui a simplement conseillé d’appeler la gendarmerie au cas où son agresseur s’approcherait de lui. Incompréhensible pour lui:
« Je savais que le justice était lente, qu’elle n’était pas toujours à la hauteur, mais je ne pensais pas qu’on était dans des cas aussi extrêmes. Pour moi, c’est incompréhensible » explique Mickaël, dont le témoignage a été diffusé hier dans #SoirInfo.