. Effondrement de la civilisation : l’Africaine Aya Nakamura aux « Victoires de la Musique »

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°° WEBTUBE : J’aurais mis moins de courtoisie dans la critique, mais en effet cette personne un peu “ronde”, avec un nom d’emprunt japonais qui fait du bruit primitif, incarne bel et bien la déchéance des arts sous l’effet du remplacement démographique.

Il faut tout de même écouter un truc au hasard pour mesurer l’ampleur du naufrage. On se croirait dans un bar en palettes de Bamako.

La chanson est un art mineur et, en général, un truc de femmes. Les femmes ont besoin de s’identifier à une femme qui met des mots simples sur ce qu’elles ressentent à propos de leur quotidien.

Par exemple, l’autre « révélation » de ces Victoires de la Musique est une Zaho de Sagazan. Elle a fait une chanson sur les femmes qui essayent d’arrêter de fumer.

Quelques aspirations et la spirale commence Pour de l’inspiration madame caresse la démence Mais jamais ne s’arrête et jamais ne s’arrêtera Cette voix dans la tête qui toujours la ramènera À sa jolie cigarette Sa jolie cigarette C’est sa dernière cigarette De celles qui font tourner la tête Quelques aspirations et la spirale recommence Pour de l’inspiration je deviens bête tout devient dense Mais jamais ne s’arrête et jamais ne s’arrêtera Cette voix dans la tête qui toujours me ramènera À ma jolie cigarette Ma jolie cigarette C’est ma dernière cigarette De celles qui font tourner ma tête Tourner la tête, tourner la tête, Tourner la tête, tourner ma tête Dernière cigarette, dernière cigarette, dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière, dernière, dernière cigarette

Sur la forme, c’est à peu près tout ce qui ne va pas chez les Françaises de race blanche en 2024. Voix masculine et monocorde de tabagique, énergie vitale à zéro, dépressive narcissique. C’est justement ce qui remporte les suffrages des Françaises tabagiques, dépressives et égoïstes, forcément.

Ces voix d’hommasse accroc à la clope sont une nouveauté du 21e siècle. Il y a 50 ans, les femmes françaises étaient encore féminines, réservées, et savaient se tenir.

Du coup, Aya Nakamura, contrairement à l’autre, a au moins pour elle de renvoyer de l’énergie positive, même si cette énergie provient de l’âge de pierre.

Et, dans le registre de la chansonnette, les Américains ont la princesse aryenne Taylor Swift sur le marché.

Les Sud-Coréens, eux, ont des traînées en bonne condition physique qui suivent un entraînement militaire et une sélection impitoyable pour ressembler à quelque chose sur scène.

Nous, nous avons des chanteuses qui font des textes.

C’est atroce.

Lu dans D.P.

. En 1995, quand je dénonçais les dangers liés à l’espace #Schengen (trafic de drogue, terrorisme islamique, #immigration clandestine…), on me répondait que je voulais “flatter certaines peurs” !

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°° WEBTUBE : Presque 30 ans plus tard, qu’en pensez-vous ?

. 1.300 euros la nuit d’hôtel : la vie de palace de Delphine Ernotte

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°° WEBTUBE : Rien n’est trop beau pour Delphine Ernotte. Ni trop luxueux. Quand elle est en déplacement professionnel, la patronne de France Télévisions ne transige pas avec le confort. Des couverts en argent et des draps de soie, cela va de soi. Du cinq étoiles, c’est un minimum. Madame veut du palace et pas du Novotel ou de l’hôtel Ibis. Ah non, sûrement pas ! Ça, c’est bon pour les sans-dents. Au mois de mai dernier, par exemple, la baronne du petit écran est allée passer une dizaine de jours à Cannes en compagnie de trois collaborateurs. Le petit groupe a posé ses valises griffées au Majestic, luxueux établissement de la Croisette. Montant : 112.123 euros. Une bagatelle pour des personnalités de ce standing, mais une petite fortune pour le commun des mortels. Avec des tarifs à plus de 1.300 euros la nuit, on est loin en effet de ce que s’offre d’ordinaire le service public. Selon nos confrères de Marianne, le forfait alloué aux salariés « normaux » ne dépasse pas… 74 euros.

Un goût du luxe qui passe mal

Évidemment, cette différence de traitement ne pouvait pas laisser les syndicats indifférents. Une plainte pour « détournement de fonds » et « abus de confiance » a ainsi été déposée, le 12 février dernier, contre Delphine Ernotte. Le syndicat CFE-CGC souligne des faits qui « soulèvent des préoccupations quant à la gestion financière de France Télévisions et à la légitimité des dépenses ».

Dans sa plainte, consultée par le quotidien La Lettre, l’avocat du syndicat évoque notamment deux suites, la « Prestige Mer » et la « Deluxe Ville », respectivement à 1.759 et 1.319 euros la nuit. Le petit déjeuner et le mini-bar étaient-ils compris dans le forfait ? L’histoire ne le dit pas…

Petit arrangement entre amis

Mais pour la direction de France Télévisions, tout ceci n’est que polémique stérile. Circulez, y a rien à voir. Tout a été fait dans les règles de l’art. « Pas un euro d’argent public n’a été utilisé pour ces frais », jure-t-on dans l’entourage de dame Ernotte. Et pour cause : c’est une société privée dénommée TEC qui a réglé la note. Pour arriver à ses fins, France Télévisions a eu recours à l’ingénieux système de « barter », permettant au groupe d’échanger un espace publicitaire invendu contre des services. En clair, le principe est le suivant : je te file un espace publicitaire et tu me paies mes nuits d’hôtel. Rien d’illégal à ce troc, certes, mais rien de très moral non plus. N’aurait il pas été possible de faire en sorte que ce « service » à 100.000 euros profite à l’ensemble du groupe – voire aux usagers – du service public, plutôt qu’il serve à financer le train de vie dispendieux de sa patronne ? L’idée n’a manifestement pas traversé l’esprit de Delphine Ernotte. Qu’elle ne saisisse pas, en plus, en quoi ce petit arrangement financier peut choquer en dit long sur la déconnexion et le sentiment de toute-puissance de la petite élite dont elle fait partie.

Jean Kast, Boulevard Voltaire

. Marine atomise Olivier Véran en pleine assemblée !

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°° WEBTUBE : Quelques minutes plus tard, @MLP_officiel atomise @olivierveran qui quitte l’Assemblée nationale en longeant les murs.

. Eric Naulleau : sur CNEWS, une liberté totale face à la censure !

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°° WEBTUBE : Alors que le Conseil d’État censure CNEWS dans une décision inédite, nous avons reçu Éric Naulleau qui y est chroniqueur, pour revenir sur de nombreux sujets passionnants : la gauche et l’extrême gauche, la dérive de Mélenchon, l’attaque du 7 octobre et la vie quotidienne sur CNEWS !

. Réponse de Geoffroy Lejeune à Reporter Sans Frontières après l’attaque envers CNEWS

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°° WEBTUBE : “J’ai été quotidiennement insulté, lynché et traité de tous les noms durant tout l’été par la presse de gauche. Où était Reporters sans frontières ?” – @GeoffroyLejeune, directeur de la rédaction du JDD.

. Le coup de gueule salutaire de Robert Ménard à l’antenne de CNews

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°° WEBTUBE : En France, si vous êtes fiché journaliste de droite, vous êtes fichu : c’est ce que Reporters sans frontières veut nous faire comprendre. Il suffit de lire l’édito de Gabrielle Cluzel, ce mardi 13 février, pour saisir toute la problématique de la « fatwa » lancée par Christophe Deloire, directeur général de Reporters sans frontières, et le Conseil d’État contre CNews, en passe de devenir la première chaîne d’information de France et pour les Français.

Reporters sans frontières : une auto-trahison

« Quand on a créé Reporters sans frontières, c’était exactement pour pas avoir cette attitude-là », lance, « atterré », Robert Ménard, l’un des co-fondateurs de cette organisation non gouvernementale (qui a vu le jour en 1985), à l’actuel secrétaire général de RSF qui s’est invité sur le plateau de CNews. L’actuel maire de Béziers et, par ailleurs, l’un des fondateurs de BV, a voulu rappeler l’origine du projet de RSF : « Qu’un certain nombre de points de vue jamais entendus » le soient enfin, le « boulot » n’étant pas d’être « l’arbitre des élégances ou de dire ce qu’il convient de faire, ou de ne pas faire ». Et d’insister, enfin, sur la nécessaire publicité d’opinions parfois dérangeantes. Au cœur de la réflexion – et du coup de gueule ! – de Robert Ménard, cette même philosophie qui l’amena à la création de notre média en 2012, aujourd’hui vaillamment porté par Gabrielle Cluzel et toute l’équipe de rédaction. Philosophie illustrée par cette sentence, improprement prêtée à Voltaire : « Je défendrai mes opinions jusqu’à ma mort, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez défendre les vôtres »).

Mais cette trahison des valeurs mêmes qui étaient à l’origine du projet de Reporters sans frontières ne se limite pas à cette inquiétante et récente dérive (quoique certainement mijotée depuis un moment) : c’est une trahison du sens même du journalisme, comme l’ont rappelé à Christophe Deloire les invités de droite (et de gauche !) du plateau de Pascal Praud, ce mercredi matin. « À partir de quand considérez-vous que nous sommes dans le commentaire et non dans l’énoncé de faits ? » lui somme de répondre Charlotte d’Ornellas. « Vous dites “CNews teste la démocratie” mais vous n’êtes pas fichu de nous expliquer en quoi », assomme à son tour l’homme de gauche Éric Naulleau.

À ce sujet — [EDITO] Dans la série « Qui veut la peau de CNews », voici… le Conseil d’État !

Boycottés contre notre gré

Au-delà des considérations techniques et du débat (certainement intéressant) sur ce qu’est et ce que doit être le journalisme, la véritable question au cœur de cette polémique est posée par l’homme fort de CNews, Pascal Praud : « Quand Sophie Binet voit un micro de CNews et refuse de parler, comment je fais ? Quand j’invite Sandrine Rousseau et qu’elle ne veut pas venir, comment je fais ? C’est eux qui ne veulent pas venir ! » À qui la faute ? À qui la responsabilité sur ce « manque de pluralisme » imputé à la chaîne ? À ceux qui remuent ciel et terre pour avoir Mathilde Panot ou Danièle Obono en plateau, où à ceux qui refusent prestement ces invitations ? À La France insoumise qui va, toute honte bue, là où on ne veut pas d’elle mais refuse les lieux où on ne cesse de la quémander ? La réponse est dans la question.

Pourquoi CNews et BV dérangent

Christophe Deloire est venu sûr de lui et confiant (et de sa propre initiative) pour s’expliquer ce mercredi matin chez CNews. Il n’a commis qu’une erreur : celle d’avoir sous-estimé les journalistes et chroniqueurs de l’antenne, qui ont précisément fait leur travail en lui posant les questions qu’il fallait. Résultat : tout le monde a compris. Chaque spectateur aura bien compris ce qui dérangeait, au fond, Reporters sans frontières, le Conseil d’État et l’Arcom : que des médias, enfin, permettent aux Français d’accéder à une information vérifiée, authentique, fiable, mais surtout représentative du réel. Et avec un certain succès.

Jordan Florentin, Boulevard Voltaire

. Estelle Youssoufa s’emporte contre les “âneries” d’un député LFI : «Vous êtes d’une mauvaise foi inouïe quand vous parlez de Mayotte»

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°° WEBTUBE : « Je vous ai laissé débiter des âneries, j’ai rien dit. Donc vous allez supporter d’entendre des faits vérifiés » Échange tendu entre la députée de Mayotte Estelle Youssouffa et le député LFI François Piquemal