. [Mieux vaut en rire] Joe Biden ressuscite Mitterrand !

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++ WEBTUBE : Cette semaine, Amélie Oudéa-Castéra se téléporte, le RN sur la pente de l’écofascisme et Joe Biden ressuscite Mitterrand ! Retrouvez chaque vendredi le meilleur des perles politiques de la semaine !

. Le communautarisme au travail : « A cause du racisme anti-blanc, j’allais au travail la boule au ventre, en vomissant »

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++ WEBTUBE : LES CONSÉQUENCES DU COMMUNAUTARISME AU TRAVAIL

. JO 2024, Paris 12 : un campement de migrants démantelé, une partie transférée à Strasbourg, Orléans et Beaucouzé près d’Angers

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++ WEBTUBE : Un campement informel sous un pont de Paris où vivaient plus de cent migrants a été démantelé mardi 6 février 2024 et une cinquantaine d’exilés ont été transférés en province notamment dans un hôtel à Beaucouzé, près d’Angers (Maine-et-Loire). Depuis plusieurs mois, des associations dénoncent un « nettoyage social » de la région francilienne, progressivement vidée selon elles de ses populations les plus précaires vivants à la rue en vue des Jeux olympiques 2024, tandis que les autorités font valoir que 120 000 personnes sont hébergées chaque nuit au titre de l’urgence en Île-de-France, indique l’AFP.

Mardi 6 février, les autorités ont procédé à l’évacuation du campement formé sous le pont Charles-de- Gaulle, qui relie la gare de Lyon et la gare d’Austerlitz, dans le XIIe arrondissement de Paris, a indiqué sur X (ex-Twitter) le collectif Accès au droit, un observatoire interassociatif qui a publié les photos de dizaines de tentes et de matelas à même le sol, encadrés par un dispositif policier.

[…]

Ces personnes sont montées à bord de trois bus à destination de Strasbourg, Orléans mais aussi à Beaucouzé, près d’Angers (Maine-et-Loire). Depuis le 10 mai 2023, dans le cadre d’un dispositif national, un hôtel de la zone d’activités du Pin, à Beaucouzé accueille des hommes et des femmes ayant fui leur pays.[…]

Ouest-France

. Biden assure avoir rencontré le chancelier allemand François Mitterrand

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++ WEBTUBE : Joe Biden affirme avoir rencontré lors de son premier G7 en 2021, le « Président Mitterrand d’Allemagne » avant de se reprendre et de dire « de la France, je veux dire ». L’ancien Président français, François Mitterrand, est décédé en 1996.

Apparemment, Biden confond Mitterrand et Macron.

Joe Robinette Biden va avoir 82 ans en novembre prochain.

Théoriquement, il est censé présider l’Amérique jusqu’à ses 86 ans.

Ce n’est pas sérieux.

Manifestement, certains politiques veulent un homme complètement sénile dans le Bureau ovale. La seule raison valable pour cela étant de déclencher une guerre mondiale sans opposition interne ?

Il y a un autre avantage, c’est de lui choisir un vice-président qui le remplacerait en cas de mort.

Heureusement pour eux qu’ils truquent les élections, sinon il est peu probable qu’il puisse se faire réélire en novembre prochain.

Lu dans R.P.

. Nicole Belloubet : un ministre de l’Éducation nationale ne devrait pas dire ça

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++ WEBTUBE : Un pas à droite, un pas à gauche, retour au centre et un dernier coup de barre à gauche. Après Jean-Michel Blanquer, Pap Ndiaye, Gabriel Attal et l’éphémère Amélie Oudéa-Castéra, c’est au tour de Nicole Belloubet de faire ses premiers pas rue de Grenelle. Une nomination incohérente – compte tenu du virage à droite impulsé par son prédécesseur et actuel Premier ministre – qui ne manque pas d’interroger. Laïcité, uniforme, autorité… Par ses prises de position passées, Nicole Belloubet semble en effet aux antipodes des dernières réformes mises en place par le gouvernement.

Contre l’uniforme

Dans la cour du 110 rue de Grenelle, en ce 9 février 2024, c’est une Amélie Oudéa-Castéra encore marquée par les polémiques qui auront eu raison de son poste qui cède sa place à une Nicole Belloubet ravie de revenir sur le devant de la scène politique. Dans son court discours de prise de fonction, l’ancien garde des Sceaux (2017-2020) promet de continuer l’œuvre de ses prédécesseurs. « Refondation quotidienne de la République »« autorité »« émancipation par les savoirs »… L’ancien professeur de droit devenu ministre martèle l’un après l’autre les principes qui ont façonné la politique éducative de Gabriel Attal. Se plaçant sous le patronage des révolutionnaires de 1789 – femme de gauche oblige -, Nicole Belloubet promet que son ministère travaillera à « former des citoyens républicains ». Mais comment la croire ?

Il y a neuf ans, alors membre du Conseil constitutionnel, Nicole Belloubet défendait ainsi avec vigueur la réforme du collège impulsée par Najat Vallaud-Belkacem. Une réforme détricotée par les gouvernements successifs depuis 2017… L’année suivante, dans un article au titre volontairement provocateur – Supprimer le ministère de l’Éducation nationale » – exhumé par Marianne, le nouveau ministre ironisait sur les « fariboles sur la restauration de l’autorité ou le port de la blouse ». Soutiendra-t-elle, alors, l’expérimentation sur le port de l’uniforme voulue par son prédécesseur ? Participera-t-elle au rétablissement de l’autorité au sein de l’école ? Difficile d’y croire… À moins qu’elle ne renie ses propres convictions, ce qui, pour un ministre d’Emmanuel Macron, ne serait pas une première. Dans ce même article, publié dans la revue après-demain, Nicole Belloubet appelait également à « sortir du cadre rigide du cours magistral, laisser du temps et de l’autonomie aux jeunes, ménager le droit à l’erreur… » Une litanie de réformes qui rejoint, certes, son engagement en faveur de la politique menée par Vincent Peillon, mais qui apparaît en totale contradiction avec la politique menée jusque-là par Gabriel Attal.

Sur la question de l’autorité, par ailleurs, le bilan de Nicole Belloubet est loin de plaider en sa faveur. Pour rappel, alors garde des Sceaux, sous le premier quinquennat d’Emmanuel Macron, elle engageait une réforme du système des peines judiciaires. C’est à elle que l’on doit, ainsi, l’interdiction des peines de prison de moins d’un mois. Et pour les peines de prison de moins d’un an, le ministre de la Justice appelait les magistrats à les aménager au maximum afin d’éviter aux condamnés de séjourner derrière les barreaux. Cette même volonté de rendre la prison hors la loi la conduira, à l’aube de l’épidémie de Covid, à libérer plus de 6.000 délinquants détenus pour éviter la « propagation du virus ».

Elle n’hésitait pas non plus à s’immiscer dans les affaires en cours d’instruction comme l’affaire Traoré. En 2020 alors que la famille Traoré instrumentalisait la mort de George Floyd aux États-Unis pour médiatiser sa cause, Nicole Belloubet proposait de les rencontrer. Une demande déclinée par les Traoré mais qui en dit long sur sa vision de la séparation des pouvoirs…

Rétablissement d’un délit de blasphème ?

Enfin, sur la question de la laïcité, thème central de l’Éducation nationale, Nicole Belloubet s’est illustrée en 2020 au micro d’Europe 1 à propos de l’affaire Mila, cette jeune fille menacée de mort pour avoir critiqué l’islam. Le garde des Sceaux, s’il condamnait les menaces de mort, déclarait alors que « l’insulte à la religion, c’est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c’est grave ». Une « expression maladroite », dira-t-elle un peu plus tard, mais qui laisse transparaître une certaine ambiguïté sur les questions de religion.

À ce sujet — [EDITO] Remaniement : Macronie, un canard sans queue ni tête

Nicole Belloubet, au-delà d’être un choix incohérent, apparaît donc comme un signal inquiétant envoyé à l’Éducation nationale. L’Éducation n’était-elle pas l’une des nombreuses priorités d’Emmanuel Macron ?

Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire

. Qui est cette députée écologiste qui veut la peau de CNews et C8 ?

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++ WEBTUBE : « Stop C8 et Cnews ! » Depuis le jeudi 8 février, Sophie Taillé-Polian a épinglé ce message en haut de son fil X. La députée écologiste du Val-de-Marne souhaiterait que les chaînes gratuites du groupe Canal+ soient bannies de la TNT. Pour ce faire, elle tente d’influencer l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique), qui doit renouveler ou non les fréquences de 15 chaînes du réseau numérique au 31 août 2025.

Outre son message sur les réseaux sociaux, elle a lancé une pétition dans laquelle elle rappelle que des signalements ont été faits au régulateur pour « des faits de désinformation, de racisme, de sexisme, d’incitation à la haine, de non-respect du pluralisme et d’un manque “d’honnêteté dans l’information” ». Elle demande « que l’Arcom prenne toute la mesure du danger et ne reconduise pas l’agrément de CNews et C8 » car « le pluralisme et la qualité de l’information ne sont pas respectés ». Un manque de pluralisme dont elle pourrait en partie être tenue pour responsable puisqu’en juin 2021, alors qu’elle était invitée sur le plateau de la matinale de la chaîne d’information, elle a refusé de s’y rendre.

À ce sujet — Voilement des fillettes et burkini dans les piscines : le Sénat durcit le ton

Acharnement médiatique

L’Arcom sera sans doute sensible à tant de cohérence au moment de prendre sa décision. D’autant plus qu’au vu du nombre de publications qu’elle consacre aux chaînes du groupe Canal+ sur son compte X, sa pétition et ses interventions s’apparentent plus à de l’acharnement ou à un coup de com’ qu’à une mise en garde bienveillante.

Il faut dire que Sophie Taillé-Polian est particulièrement douée pour s’emparer de sujets secondaires ayant un fort potentiel médiatique. Depuis son arrivée dans l’Hémicycle, elle ne fait quasiment que cela. Elle a déposé neuf propositions de loi, parmi lesquelles la création d’une contribution additionnelle sur les bénéfices exceptionnels des grandes entreprises, l’encadrement de l’ouverture du feu par les forces de l’ordre en cas de refus d’obtempérer et la condamnation de la « théorie du Grand Remplacement ».

Elle a également pris position, au nom du féminisme, en faveur du burkini, pour l’inscription de l’IVG dans la Constitution mais contre la mise en place d’une politique de natalité, car il faut « laisse[r] le ventre des femmes tranquille » et défend bec et ongles la liberté de la presse et s’oppose à la liberté éditoriale. Tout en ayant une action politique proche du néant, elle parvient, à grands coups de n’importe quoi, à faire parler d’elle.

Néant politique

En revanche, concernant son sujet de prédilection, elle se fait plutôt discrète. Sophie Taillé-Polian a beau être vice-présidente du groupe écologiste à l’Assemblée nationale, elle s’intéresse peu à ce domaine, comme en témoignent ses très peu nombreuses interventions sur les réseaux sociaux et à la télévision sur le sujet. D’ailleurs, elle ne fait pas partie d’un mouvement écologiste mais de Génération.s (en écriture inclusive évidemment !), le parti de Benoît Hamon qui mange à tous les râteliers en se disant à la fois humaniste, écologiste, féministe, solidaire, antiraciste, social, européen et populaire.

Est-ce à cause de ce multi-militantisme qu’elle se pense légitime pour attaquer C8 et CNews quasiment quotidiennement et sur tous les sujets ? La question se pose. Quoi qu’il en soit, elle a trouvé un os à ronger lui permettant d’exister et d’être très bien reçue sur les chaînes concurrentes, notamment BFM TV. Elle ne devrait pas le lâcher de sitôt.

Sarah-Louise Guille, Boulevard Voltaire

. On recherche un sauveur…

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++ WEBTUBE : Ce n’est pas mépriser ou injurier le Salvador que de rappeler qu’il s’agit d’un petit pays. Le plus petit, et le plus pauvre, d’Amérique centrale, quelque part entre Honduras et  Guatemala. Six millions et demi d’habitants – le dixième de la population française – s’y entassent sur 20.000 kilomètres carrés – les deux tiers de la Belgique. Le nom du Salvador lui a été donné par les Espagnols, en référence à Jésus-Christ Sauveur du monde, et force est de constater, ma foi, qu’en juin 2019, lorsque Nayib Bukélé Ortez, âgé de trente-sept ans et parfaitement inconnu à l’extérieur, en devint le président avec 53 % des suffrages exprimés, sa malheureuse patrie, en danger, avait grand besoin d’un sauveur.

Miné par une corruption généralisée, rien ne semblait pouvoir arrêter le Salvador sur la pente fatale qui le voyait glisser, à l’image de l’Équateur et surtout du Mexique, vers le chaos, à savoir l’infiltration puis la submersion de l’État de droit et de la société entière par le crime organisé, en l’espèce les seigneurs du narcotrafic et leurs gangs tout-puissants dont les membres, sûrs de leur impunité, affichaient sans peur et sans vergogne leur affiliation à telle ou telle bande ou mafia dont ils se faisaient tatouer sur le visage et sur le corps le nom et les emblèmes.

Quelques chiffres spectaculaires pour donner une idée de la situation. Pour toute l’année 2019, le Salvador enregistrait 2.400 homicides, à comparer avec les quelque 1.000 relevés en France, dix fois plus peuplée, rappelons-le. Le taux des meurtres pour 100.000 habitants s’élevait à 58 pour 100.000 habitants, contre 1,2 chez nous.

Un réel passage à l’acte

Deux ans plus tard , le nombre des homicides au Salvador avait baissé, à 1147. En 2023, il s’établissait à 495 et le taux pour 100.000 habitants tombait à 7,8, le plus bas jamais constaté au Salvador. C’est que le président avait décrété l’état d’urgence et ne s’était pas borné à déclarer dans les mots mais avait poursuivi dans les faits et dans le droit une guerre totale contre le crime  en mettant l’armée, la police et la justice au service de cette priorité absolue.

Les médias du monde entier ont braqué leurs projecteurs, ces dernières semaines, sur les formes et sur les conséquences de cette offensive que le président Bukélé entend mener jusqu’à la victoire, et d’abord sur les gigantesques centres de rétention qu’il a voulus et conçus à la mesure du problème qui lui était posé. Pour ce faire, il n’a par hésité à faire arrêter et incarcérer plus de 60.000 délinquants supposés, soit 1 % de la population du Salvador identifiés sur la base de leurs tatouages, de leurs forfaits ou de simples soupçons. Certains se sont élevés contre des arrestations arbitraires, contre la lenteur des procédures qui ont abouti à la libération d’innocents injustement inquiétés. Ils n’ont pas tort sur le principe, mais ils refusent de voir que c’était le prix à payer pour aboutir au résultat cherché, la mise hors d’état de nuire des dizaines de milliers de déclassés, de dévoyés et d’opportunistes qui avaient plus ou moins clairement parié sur la pérennité et la victoire de la mafia et cru trouver des emplois plus rémunérateurs et paradoxalement plus sûrs en dehors de la légalité.

Une réélection qui en dit long

Le peuple salvadorien a tranché, et de quelle manière ! En réélisant Bukélé avec 83 % des suffrages, en élisant 58 députés de son parti sur les 60 membres du Parlement au terme d’une consultation dont nul n’a contesté la régularité, il a plébiscité un homme qui a retenu son pays au bord du précipice et qui, à défaut de lui apporter dès à présent la prospérité, a restauré l’État en lui faisant remplir la première mission qui lui incombe : assurer la prééminence de la loi sur la violence, du droit sur le crime, garantir la sécurité et la vie des citoyens.

Nous suivons en France un tout autre chemin. La violence sociale, sous toutes ses formes, après avoir longtemps et continument reculé, progresse de nouveau à bas bruit. Au lieu de construire des prisons à la mesure des chiffres de la délinquance et des besoins de l’ordre public, la justice module de plus en plus ses condamnations sur l’insuffisance  des espaces dévolus à l’incarcération. La police voit les tribunaux détricoter chaque matin par le biais des sursis, des aménagements et des réductions de peines le travail ingrat qu’elle a réalisé la nuit précédente. Plus grave : en conjuguant la prohibition théorique des diverses sortes de stupéfiants mais en déléguant dans la réalité leur commercialisation au crime organisé, nous avons permis à la Mafia de la drogue de recruter une armée du crime qui, suivant les ordres qu’elle recevra, peut indifféremment maintenir la paix sociale ou déchaîner la guerre civile. Nous aussi, comme les Salvadoriens, nous sommes en quête mais, moins chanceux qu’eux, nous sommes en peine d’un sauveur.

Dominique Jamet dans BV

. La chanson du jour, Sufjan Stevens – Mystery of Love (From “Call Me By Your Name” Soundtrack)

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++ WEBTUBE : J’ai entendu cette chanson des millions de fois mais je n’ai jamais lu les commentaires, mais aujourd’hui, pendant que je la faisais, j’ai été émerveillé par leurs paroles magiques. j’avais l’impression de revoir le film et que l’amour s’épanouit à travers ces commentaires et cette chanson est un verger d’amour. Finalement au milieu de toute cette violence il existe encore un peu d’espoir…. Qui sait ?

++ WEBTUBE : I heard this song million times but never went through the comments but today while i was doing it, i got awestruck by their magical words. i was feeling like i am seeing the movie again and love blossoms through these comments and this song is orchard of love.❣ Finally in the midst of all this violence there is still a little hope…. Who knows?