++ WEBTUBE : Darmanin l’ineffable vient d’annoncer qu’il allait supprimer à Mayotte le droit du sol. La gauche crie au scandale, la droite est dubitative. Magnifique ont crié les naïfs, on va pouvoir reparler du droit du sol en France et peut-être pouvoir le supprimer parce que si Mayotte a droit à cette suppression, nous devons aussi avoir ce droit, sous peine d’être discriminés. Simple, non ? On va donc, grâces soient rendues à Darmanin, pas si traître que ça, reparler du droit du sol… non ? Eh non ! Inutile de se réjouir trop vite. En fait Darmanin a assorti cette décision sur le droit du sol à la suppression du titre de séjour territorialisé, dispositif empêchant les détenteurs d’un titre de séjour mahorais à Mayotte de venir en France.
Et donc ? Donc, les Comoriens et autres Africains arrivés à Mayotte vont pouvoir à nouveau circuler et se rendre directement en France.
C’est une idée de la député Estelle Youssouffa : répartir les immigrés comoriens à Mayotte, entre l’État français et Mayotte. « L’État ne se donne pas les moyens d’arrêter l’immigration comorienne à Mayotte mais il n’assume pas pour autant d’en répartir la charge avec l’hexagone» dit-elle.
Estelle Youssouffa est charmante. Elle fait son boulot de député de Mayotte.
Jolie, elle parle français à la perfection, ce à quoi on ne s’attend pas forcément chez une mahoraise. Elle convaincrait presque.
Au poste de député, elle joint celui de responsable des chatouilleuses. Les chatouilleuses étaient des commandos de femmes qui dans les années 1960 luttaient contre l’influence des Comoriens en les soumettant à des chatouilles. Avouez que c’est loin de nos traditions, mais bon…
C’est très logique ce que demande Estelle Youssouffa, on est obligé de l’admettre ! Que la France assume ! Voilà qui va nous faire regretter encore plus la décision de l’agité Sarkozy de garder Mayotte comme le cent unième département en 2011. On aurait sans doute mieux fait de laisser Mayotte aux Comores.
Cette idée de partage est aussi celle de Voynet, ancienne ministre de l’Environnement, jamais rebutée par une idée délirante, un peu comme la Sardine Ruisseau : «Il y a trop de monde à Mayotte mais en même temps, les personnes qui sont en situation régulière ont des visas qui ne leur permettent pas de quitter Mayotte », a évoqué Dominique Voynet en avril dernier, détaillant sa proposition : « S’il y avait 100.000 Comoriens en métropole sur 70 millions d’habitants, on les voit pas; alors qu’à Mayotte, on ne voit que ça ».
Elle est amusante, Dominique Voynet. Allez donc voir à Marseille si les 100 000 migrants comoriens ne se voient pas. Ils vivent en communauté et on ne voit qu’eux ou presque. Ils ont transformé la vie marseillaise avec leur cuisine, leurs fêtes et tout simplement leur présence.
Depuis la fin des années 2010, il y a plus d’étrangers que de Français à Mayotte. Aujourd’hui, l’île compte huit fois plus d’habitants qu’elle n’en avait en intégrant la République française dans les années 1970. De 44.000 habitants, elle est passée à plus de 350.000.
La situation devient ingérable. La suppression du droit au sol et du visa territorialisé ne va rien arrêter, nous dit le démographe Gérard-François Dumont. Ce mouvement dure depuis un quart de siècle et il va plutôt être aggravé.
Les migrants sont attirés par l’Eldorado Français où on rase gratis (les migrants, pas bien sûr les Français de souche). Ils viennent à Mayotte attirés par nos allocations. Ils viennent des trois autres îles Comoriennes, Anjouan , la Grande Comore et Moheli. Ils viennent aussi du Congo et de Somalie.
Avec la fin du visa territorialisé, ils ne feront plus qu’une escale à Mayotte, dont ils ont déjà tiré presque tout ce qu’il était possible de piller, aggravant la pauvreté du pays dont la crise de l’eau n’est qu’un aspect, et détériorant la sécurité. Ils iront en France.
À nous les Comoriens, les Congolais, les Somaliens et tous les autres. Ils feront de la France un nouveau Mayotte. Un Mayotte où on ne sera jamais sûr de rentrer chez soi le soir, où même les enfants seront attaqués à la machette… où l’on vivra sur le fil du rasoir. Où l’économie s’effondrera. Comme à Mayotte.
Darmanin a bien l’intention de faire venir tous ces gens-là en France, il l’a dit dans une vidéo avant son départ pour Mayotte : «Je suis venu vous dire que les personnes qui sont réfugiées, qui ont l’asile à Mayotte, vont pouvoir être rapatriées dans l’Hexagone.»
Rapatriées ! Mais on ne peut rapatrier dans un pays que des gens dont c’est le pays ! Les Comoriens, Congolais ou Somaliens qui vivent à Mayotte n’ont aucun titre à venir chez nous. La France n’est pas leur patrie. Que Darmanin ouvre un dictionnaire et regarde le mot “rapatrier” : assurer le retour d’une personne sur le territoire du pays auquel elle appartient par sa nationalité.
De plus ils sont musulmans, avec tout ce que cela implique.
Il faut savoir que la charia s’applique à Mayotte – ce qui est un scandale pour ce département français – et évidemment aussi dans les Comores.
Non seulement on ne va pas supprimer le droit du sol en France, mais la suppression du visa territorialisé va nous envoyer toute la misère du monde en plus grand nombre encore. En Afrique il y a de nombreux candidats…
La gauche est insatiable sur ce fait. Elle aime l’immigration et en veut toujours plus.
Et personne ne hurle devant ces décisions prises sans nous. De Gaulle avait raison, les Français sont des veaux.
++ WEBTUBE : C’était le 13 février 1984, il y a 40 ans. Jean-Marie Le Pen, pour la première fois, était invité à une émission grand public, “L’heure de vérité”, animée par François-Henri de Virieu. Après que ce dernier se soit senti obligé de justifier cette première, le président du FN devait faire face, pendant 1/4 d’heure chacun, aux questions de trois journalistes : Alain Duhamel, Jean-Louis Servan-Schreiber et Albert du Roy.On connaît depuis les raisons de cette invitation. Un calcul sournois de Mitterrand, qui, pour faire oublier sa politique de rigueur et donc son échec économique, transforma le socialisme en combat antiraciste, qui devait se substituer au combat social. D’où la création de SOS Racisme, avec derrière toute l’intelligentsia de gauche et Julien Dray aux manettes. Et pour garder le pouvoir, la stratégie de diviser la droite, en faisant monter le FN, et en le diabolisant toujours davantage, empêchant, par la lâcheté des leaders de l’époque, tout accord électoral. D’où l’invitation de Jean-Marie.
Il dut, pendant de longues minutes, s’expliquer à propos des accusations de racisme, d’antisémitisme. “Je ne suis ni raciste, ni fasciste, ni extrémiste”. Il se dit scandalisé de voir son nom ou sa photo associés aux défilés de l’armée allemande ou à la photo d’Hitler. Sur le plan politique, Jean-Marie Le Pen se considère comme un “démocrate churchillien”. Il répond aux journalistes sur la violence “qu’il n’aime pas, car il en est la victime”, sur les réactions de l’épiscopat français, sur les problèmes relatifs à l’immigration, sur les régimes instaurés en Espagne et au Chili par Franco et Pinochet, sur ses activités militaires en Algérie et les accusations en 57 de tortures. “J’ai servi en Algérie et j’en suis fier. J’ai été décoré de la croix de la Valeur militaire”, sur les interventions de la France au Tchad et au Liban, sur l’URSS, sur la politique économique et sociale.
Il y avait donc déjà Alain Duhamel, tout jeune, avec sa tête de premier de la classe et toute son hypocrisie ! Signalons d’ailleurs que, 40 ans plus tard, Marion, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen, répondait aux questions du neveu de Duhamel, Benjamin…
Le Jean-Louis Servan-Schreiber, qu’on attendait sur l’économie, joua le rôle d’un sinistre procureur de l’antiraciste. Il se contenta d’énumérer des citations reprises sur des publications diverses, et somma Jean-Marie de se justifier sur des déclarations qui n’étaient pas toujours de lui. Ce grand bourgeois se fit ridiculiser à plusieurs reprises par le Menhir.
Albert Du Roy essaya d’embrouiller le président du FN sur les travailleurs immigrés, mélangeant l’Africain qui travaille et l’Américain qui est au chômage. Il permit au président du FN d’expliquer que la socialisation de l’économie tuait les industries françaises.
Tout au long de cet entretien, le président du FN rendit coup pour coup, avec une faconde et une confiance en lui qui eut d’énormes répercussions chez des millions de téléspectateurs, étonnés qu’un homme ose dire sans le moindre complexe le contraire de ce qu’on lui assénait à longueur de temps. C’était l’époque où la tyrannie du politiquement correct interdisait de contester les bienfaits de l’immigration, même en période de chômage de masse.
Deux choses à remarquer. D’abord, le fait que Jean-Marie Le Pen ponctue souvent ses interventions par l’expression “C’est un détail”, ou “C’est un détail de l’Histoire”, sans qu’il ne soit besoin que cette formule ne soit associée aux 6 millions de Juifs tués pendant la guerre. Et d’autre part, à l’époque (nous étions en 1984), il justifiait, lors d’un deuxième tour, le vote à droite contre la gauche, estimant, malgré les trahisons de ses dirigeants, que la droite était plus près de ses valeurs que la gauche. C’était avant l’UMPS, et l’aventure Macron, qui a clarifié les choses.
Tout au long de l’émission Jean-Marie Le Pen est grandiose, il crève l’écran et désarçonne par son absence de complexes les journalistes-procureurs et le bon sens populaire de ses réponses.
Il se révèle surtout, et sur d’autres sujets que la simple immigration, notamment sur la dette, l’économie française, la vision géo-politique du monde, comme le visionnaire exceptionnel qu’il a toujours été. Et chose étonnante, quand on écoute l’émission, les journalistes savaient se tenir, et n’interrompaient pas sans arrêt leur invité. Voilà qui a dû faire rêver Éric Zemmour et Marine Le Pen…
++ WEBTUBE : Darmanin va tout aggraver à Mayotte. Son programme, c’est un monumental appel d’air. Quel que soit le sujet à traiter, ce gouvernement est incapable de faire face. Adepte des rustines inefficaces et des promesses sans lendemain, Macron et son équipe de bras cassés continuent de laisser le pays à l’abandon. Jugez plutôt : Alors que les Australiens ont mis fin à l’invasion migratoire venue d’Asie sur leur île continent 14 fois plus vaste que la France, Darmanin est incapable de maîtriser les flux migratoires qui submergent Mayotte, ce confetti de notre ex-empire colonial de 374 km2 de superficie.
L’Australie, c’est 20 000 fois Mayotte. Comment font les Australiens ?
Que Darmanin aille donc s’instruire à Canberra !
En sept ans de pouvoir, notre orgueilleux et narcissique président, qui prétend avoir hérité d’une France ayant 10 ans de retard et nous promet de nous la laisser en 2027 avec 10 ans d’avance (le ridicule ne tue pas), a aggravé la situation dans des proportions dramatiques.
Car c’est Macron qui a décidé en 2018 de mettre en place des associations d’aide aux migrants qui prospèrent sur les flux migratoires. Le député LR de Mayotte Mansour Kamardine l’affirme :
“Ces associations sont subventionnées en fonction du nombre de migrants qu’elles accueillent. Elles ont tout intérêt à les faire venir ! Plus elles accueillent de migrants, plus elles ont d’argent et mieux elles seront payées”.
Un peu d’histoire.
L’archipel des Comores, situé entre Madagascar et le continent africain, comprend quatre îles, Grande Comore, Moheli, Anjouan et Mayotte.
Lors du référendum pour l’indépendance, programmé pour chacune des îles en 1974, seule Mayotte a décidé de rester française, au grand dam du nouvel État comorien indépendant.
Mayotte aujourd’hui, c’est 320 000 habitants avec plus de 50 % d’étrangers, clandestins pour la plupart.
Imaginez la métropole avec 35 millions de clandestins !
C’est la ruée venue des trois îles voisines et de l’Afrique de l’Est, depuis la Somalie jusqu’au Mozambique. Mayotte, c’est le tremplin idéal pour gagner l’Europe.
Le PIB par habitant à Mayotte, c’est 10 fois celui des Comores et 20 fois celui de Madagascar. Sans compter le jackpot que procure le droit du sol ! Rappelons qu’un Africain vit avec 1 500 dollars par an en moyenne.
C’est en 2009 que Sarkozy a fait de Mayotte le 101e département français, vieille promesse électorale de la droite depuis Chirac.
Dès lors, le droit du sol va attirer toute la misère de la région.
La maternité locale est devenue la première d’Europe par le nombre de naissances, majoritairement d’origine étrangère.
Avant son changement de statut, Mayotte était un havre de paix, un petit paradis exotique où une quinzaine de gendarmes et un détachement de la Légion étrangère assuraient l’ordre et la souveraineté de l’île. On y circulait en toute sécurité.
Aujourd’hui, malgré la présence de 800 gendarmes, l’ordre républicain n’est plus assuré. Preuve que le lien immigration/criminalité n’est pas un fantasme d’extrême droite mais une réalité incontestable. Et ce ne sont pas les Mahorais qui diront le contraire.
On se barricade dès 18 heures. Les coupeurs de route font la loi, on rackette les automobilistes, on pille, on viole, on trafique, on règle ses comptes à coups de machette, voire avec des armes à feu.
De leur côté les Mahorais exaspérés montent des barrages filtrants pour exiger des réponses fermes du gouvernement.
L’opération Wuambushu n’a rien réglé. Darmanin déplace le problème et va transférer les demandeurs d’asile en métropole. Cela a déjà commencé pour 150 d’entre eux.
Sur les 200 000 étrangers et clandestins sur l’île, combien finiront à Marseille et Paris ?
Les deux promesses de Darmanin :
1- Suppression locale du droit du sol
Seuls les enfants nés de parents français en bénéficieront. Mais attention. Darmanin envisageait de l’accorder aux enfants nés de deux parents en situation régulière et non français ! À suivre
Gauche et associations qui vivent de l’immigration sont vent debout.
Et la droite réclame cette suppression sur tout le territoire national. Elle a raison, la nationalité française n’est pas un dû.
2 – Abandon du visa de territorialité
Actuellement, les étrangers régularisés bénéficient d’un visa limité leur interdisant de gagner la métropole. La suppression de ce visa strictement local va donc se traduire par un afflux de migrants vers le territoire métropolitain. On déplace le problème et on l’aggrave chez nous, alors que Darmanin veut évacuer nos migrants de Paris vers la province.
En conclusion, rien de sérieux n’est entrepris. La suppression locale du droit du sol, si elle aboutit après une modification de la Constitution, ne changera rien.
Toute la planète sait que Mayotte, avec un visa désormais national et non limité localement, sera la porte idéale pour gagner l’Europe.
Ce sera le plus grand appel d’air que puissent espérer les Africains et les Comoriens.
Encore une fois, que Darmanin prenne exemple sur l’Australie, au lieu de patauger lamentablement dans ce chaos immigrationniste qui empire depuis des décennies.
Mais il est clair que Macron n’a aucune intention de limiter l’immigration. En 2027, il nous léguera un champ de ruines, en proie à un chaos racial sans précédent. C’est cela le programme mondialiste. Mayotte n’est que le laboratoire expérimental du grand village mondial de demain, sans nations ni frontières.
++ WEBTUBE : Pour avoir voulu interrompre une bagarre dans un skate park de Meinerzhagen (Rhénanie du Nord-Westphalie), un jeune Allemand de 16 ans, Filipp S., est arrivé jeudi à l’hôpital en état de mort cérébrale. Son décès a été enregistré le vendredi 9 après que la famille eut demandé que l’on débranchât les appareils qui le maintenaient artificiellement en vie... Le Grand Remplacement a commencé et les jeunes Filipp et Thomas en sont les innocentes victimes.
Son frère rapporte au magazine Bild (repris par Fdesouche) : « Un témoin m’a raconté qu’un groupe de 15 personnes d’origine arabe se sont battues avec trois amis russes et ukrainiens de mon frère […] Filipp est intervenu pour interrompre le combat. Les jeunes Arabes l’ont d’abord frappé au visage. Lorsqu’il était au sol, ils auraient continué à le frapper. Je crains que ces voyous restent impunis car ils sont tous censés être mineurs. »
Incurable déni de réalité
Un « fait divers », dira-t-on, comme il en arrive quotidiennement dans tous nos pays d’Europ, et particulièrement en France. Un fait divers de plus alors que, ce lundi matin, sur Europe 1 et CNews, Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise, expliquait à Sonia Mabrouk que « pour résoudre les problèmes de Mayotte, on n’a pas besoin de moins de République mais de plus de République ». À comprendre qu’« il ne faut certainement pas entamer le droit du sol qui est un des piliers fondamental (sic) de notre République ». Manuel Bompard refuse de « faire un lien » entre l’immigration et la délinquance. Et donc, la solution, dit-il, c’est d’« accueillir une partie, notamment des mineurs, qui traînent aujourd’hui dans les rues à Mayotte. On les accueille pour une partie dans l’Hexagone pour ne pas laisser les Mahorais seuls face au problème. »
C’est vrai, si les Mahorais pouvaient partager ce trésor avec les habitants de La Ferté-sous-Jouarre ou de La Ferté-Imbault, ce serait beaucoup mieux. Ben oui, parce qu’il le sait, lui, Manuel Bompard : « Non madame, l’ensemble des mineurs qui sont dans la rue ne sont pas des bandes criminelles. » Fin de l’histoire. Le déni de réalité est une maladie incurable, et le jeune Filipp comme le jeune Thomas à Crépol ont succombé aux coups de jeunes gens bien sous tous rapports.
Reste que le coût humain et financier de l’idéologie immigrationniste défendue par les Bompard et consorts est colossal.
Dans leur Livre noir, étude sur le coût de l’immigration en Allemagne, des économistes écrivent qu’« il n’existe aucun scénario dans lequel l’immigration aurait un impact positif sur les finances publiques », cela car « la plupart des immigrés qui viennent en Allemagne ne travaillent pas et la grande majorité d’entre eux ne travailleront jamais, car ils n’ont pas les qualifications les plus élémentaires ». Est-ce différent de ce côté de la frontière ? Hélas, non. La conclusion de Bernd Raffelhüschen (université de Fribourg) est sans appel : « Nous devons faire un choix : soit nous continuons à ouvrir nos portes aux migrants illégaux d’Afrique et d’Orient et nos États-providence s’effondreront, soit nous fermons les frontières, nous rapatrions les migrants illégaux et nous nous attelons à la tâche colossale de la reconstruction économique. C’est l’un OU l’autre. Nous ne pouvons pas avoir les deux : l’ouverture des frontières ET l’aide sociale ! »
Ce discours de bon sens est malheureusement inaudible pour une bonne part de la classe politique, comme il est inaudible pour les instances européennes qui, à l’instar d’un Bompard, affirment que la solution est dans le « toujours plus ». Et qu’importe le coût social et humain, qu’importent les vies fauchées.
Dans une préfiguration de ce qui nous attend, nos voisins allemands s’apprêtent à voir entrer dans le jeu électoral aux européennes des listes de l’AKP, le Parti de la justice et du développement du président turc Recep Tayyip Erdoğan. Simple question de justice, nous dit-on, sachant que 1,3 million de citoyens allemands sont issus de l’immigration turque, soit 1,6 % de la population totale du pays. Chez nous, des listes communautaires sont déjà apparues dans nos banlieues lors des municipales. Ne doutons pas qu’elles réclameront bientôt de dépasser le cadre des scrutins locaux.
Au nom de la démocratie représentative, la gauche qui refuse les statistiques ethniques poussera des listes qui le seront ouvertement. Le Grand Remplacement a commencé et les jeunes Filipp et Thomas en sont les innocentes victimes.
++ WEBTUBE : En voilà une information intéressante. On note dans cet article que pour certaines associations d’aide aux migrants (ici Coallia), il existe des rénumérations peu encadrées qui plombent les resultats de ce type d’association. De là à imaginer que leur existence sert surtout l’intéret de certains membres qui se paient largement sur le dos de l’association il n’y a qu’un pas. Quand en plus on se rend compte que l’Etat qui subventionne ces associations (c’est à dire vous) n’a pas les moyens de mettre en place un contrôle strict de leur activité, on a tout compris. Vous montez une association humanitaire d’aide aux migrants : vous devenez visible, bon samaritain et bien pensant et en plus vous avez le moyen de vous en mettre plein les poches. Tiercé gagnant, Bingo !Ces associations ont encore de belles années devant elles…. Tant que l’Etat pourra payer.
De nombreux dysfonctionnements et une situation financière précaire jette le doute sur l’avenir de Coallia. Cette association d’aide aux migrants ne garde la tête hors de l’eau que grâce aux subventions publiques.
Coallia (ex-Association pour la Formation des Travailleurs Africains et Malgaches – AFTAM) est l’un des opérateurs français spécialisé dans le logement des travailleurs migrants et des populations « fragiles ».
Portée par l’intensification des flux migratoires, elle a mené une politique de croissance sans maîtrise ni contrôle. En 2021, elle employait près de 4 300 salariés répartis entre 755 établissements.
Proche de la cessation de paiement en 2016, l’association, perfusée avec de l’argent public, a remanié sa gouvernance en 2017, mais sans réformer radicalement son organisation et sa gestion.
Résultat, elle fait l’objet d’un rapport de la Cour des comptes qui souligne que si elle a pu éviter la cessation de paiements en dégageant quelques liquidités de court terme, sa viabilité n’est pas assurée.
Il est temps « … que les services de l’État eux-mêmes, en tant que commanditaires et financeurs principaux de Coallia, exercent une vigilance toute particulière dans le suivi des restructurations à mener, qui seules sont à même de garantir la pérennité de Coallia » écrivent notamment les magistrats financiers.
La situation de Coallia, lourdement endettée, est plombée par la croissance des redevances payées pour l’occupation des locaux où elle loge des migrants et une activité d’habitat social déficitaire.
Elle est détentrice d’un parc immobilier vieillissant dont le rendement ne suffit pas à dégager la marge de manœuvre financière nécessaire à sa modernisation.
Les dirigeants de Coallia pointés du doigt
Les magistrats financiers pointent du doigt les responsables de Coallia qui ne sont pas parvenus à déployer un nouveau système d’information des ressources humaines qui devait pourtant « faciliter, fiabiliser et sécuriser » la gestion des personnels.
Parmi les exemples à charge cités par la Cour, l’incapacité d’un suivi infra-annuel de la masse salariale ou encore la « fiabilisation des éléments de paie ».
L’administration de Coallia accepte des documents non standardisés, notamment pour la paie des salariés, « ce qui est une source potentielle d’erreurs de traitement » commente pudiquement l’institution de la rue Cambon.
Malgré un total de 411 millions d’euros de produits d’activités sur l’ensemble de ses métiers (2021), Coallia ne garde la tête hors de l’eau que grâce aux subventions publiques.
Elle est passée d’un modèle économique fondé sur des dotations publiques pérennes à la recherche de subventions annuelles fournies par des tiers financeurs, à commencer par le contribuable.
Parmi ses recommandations, la Cour des comptes préconise un renforcement du contrôle interne et de maîtrise des risques ainsi que la restructuration de la filière administrative, comptable et financière de l’association avec mise en place d’une comptabilité d’engagement.
De même sont conseillés la mise en place d’un plan de redressement des activités structurellement déficitaires et une correction des valeurs inscrites au bilan au titre des immobilisations corporelles (immeubles, etc.).
Après avoir traversé une grave crise révélée par l’Ancols en 2017, Coallia a changé de gouvernance, amélioré sa trésorerie et répondu aux sollicitations de l’État pendant les crises sanitaire et ukrainienne. Mais l’association présente encore des “fragilités multiples” qui “soulève[nt] de sérieuses interrogations sur [s]a viabilité”, écrit la Cour des comptes dans un rapport paru le 19 janvier 2024. Un rapport déjà daté, répond son DG Arnaud Richard, car l’association a adopté un nouveau projet d’entreprise en décembre 2023, qui va être mis en œuvre par de nouveaux dirigeants.
++ WEBTUBE : Qu’append-on ici finalement ? Que les bobos, gauchos, donneurs de leçons et de bien pensance sont les premiers à se servir dans la caisse et à se goinfrer sur le dos des contribuables ? Est-ce vraiment une info ? Une caste je vous dis, des profiteurs de première… mais pas discrets pour un sou ! Surtout je me montre et je donne des leçons avec l’argent des autres…. C’est encore plus jouissif. Un dernier mot : ces individus sont préservés de tout dans leur appartement ou villa de luxe en laissant les français se débrouiller avec l’insécurité et la violence des rues….. Qu’ils nient bien entendu.
Le syndicat CFE-CGC saisit la justice contre France télévisions pour “détournements de fonds” et “abus de confiance”. L’organisation dénonce les coûts engendrés par le séjour de quatre de ses dirigeants pendant le Festival de Cannes.
++ WEBTUBE : Faut-il rappeler que l’enseigne Quick certifie sa viande Halal, cela nous donne une idée de la poulation qui fréquente ce type de restaurant. Rien de bien grave finalement il suffit d’éviter de fréquenter l’enseigne Quick Hala et d’aller dans des restaurants plus conventioennels. Ce sera plus calme et mieux fréquenté. Quant à Quick, on ne peut plus rien pour eux, ils ont choisi leur clientèle, qu’ils assument l’ambiance culturelle associée. Il en faut pour tout le monde... C’est ça la diversité !
🔴 @Valeurs | Concernant ces images de violences dans un restaurant de l'enseigne Quick, à Schiltigheim (Bas-Rhin, 67), voici les infos obtenues de sources policières :
Les faits se sont déroulés aux alentours de 20h45, ce dimanche 11 février au soir. La police a été appelée… pic.twitter.com/9V73qAAX1M
Il pourrait s’agir d’un affrontement entre bandes rivales, indique une source policière au Figaro. Deux jours plus tôt, un affrontement avait éclaté entre une bande de Cronenbourg et une bande de Hautepierre, et une future vengeance avait été annoncée.
(…)
Selon nos informations, les intrus visaient cinq personnes en particulier qui se trouvaient attablées dans le restaurant. Quand la rixe a éclaté, plusieurs clients apeurés ont pris la fuite, tandis que les employés se sont réfugiés dans les cuisines. Deux personnes ont été blessées à l’arme blanche : l’une a été poignardée dans le dos au niveau des côtes, l’autre dans la cuisse, précise notre source. Les victimes ont été transportées par les sapeurs-pompiers au centre hospitalier de Hautepierre, à Strasbourg.
++ WEBTUBE : Véronique Bouzou est professeur de français depuis une vingtaine d’années et enseigne dans un collège public de région parisienne. Elle vient de publier « Un monde sans profs », fiction dans laquelle elle décrit les problèmes qui minent le système scolaire français. Nous l’avons interviewée ci-dessous au sujet de son livre.
Breizh-info.com : Pouvez- vous vous présenter à nos lecteurs ?
Véronique Bouzou : Professeur certifiée de Lettres modernes en région parisienne depuis vingt-cinq ans (comme le temps passe !), j’ai commencé ma carrière dans des collèges étiquetés alors sous le doux euphémisme de « sensibles ». Pas étonnant dès lors si j’ai choisi d’intituler mon premier livre paru en 2005 Manuel de survie à l’usage d’un prof de banlieue… Tout un programme !
Puis au fil des années, j’ai continué à écrire pour témoigner et analyser ce que je vivais au quotidien. Les essais se sont succédé : Confessions d’une jeune prof (Bartillat, 2005), Le vrai visage de la téléréalité (Jouvence, 2007), L’École dans les griffes du septième art (Éditions de Paris, 2008), Ces profs qu’on assassine (Jean-Claude Gawsewitch, 2009), Je suis une prof réac et fière de l’être (Éditions du Toucan, 2012) et Génération Treillis (autoédition, 2017).
Dans chacun d’eux, j’ai abordé la thématique de l’enseignement et de l’éducation à travers un angle bien précis : l’attrait de la téléréalité chez des jeunes cherchant à devenir « stars », le traitement caricatural de l’école au cinéma, le mal-être des enseignants qui ont peur de « finir à la Verrière », c’est-à-dire, dans un établissement de santé psychiatrique, le politiquement incorrect pour une prof de banlieue ou encore le rôle que pourrait jouer l’armée pour la sauvegarde de l’autorité.
Enfin, je me suis orientée vers la fiction pour imaginer l’école du futur où Miss Robot prend la place d’une enseignante dans Les hussards noirs de la robotique (autoédition, 2021). Dans mon dernier livre, Un monde sans profs (autoédition, 2023), j’ai décidé de raconter le parcours de dix professeurs fictifs confrontés aux dysfonctionnements du système éducatif.
Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a inspiré à écrire “Un monde sans profs” et comment cela reflète-t-il vos expériences personnelles dans le système éducatif ?
Véronique Bouzou : Tous les enseignants – collègues ou confrères – que j’ai pu rencontrer durant toutes mes années passées à l’Éducation nationale m’ont inspiré les personnages d’Un monde sans profs. Pour bon nombre d’entre eux, des idéalistes soucieux d’instruire les élèves mais désillusionnés par un système ubuesque où les directives ministérielles trop souvent déconnectées de la réalité vont et viennent au gré des locataires de la rue de Grenelle.
Des professeurs confrontés à des incivilités répétées de la part de certains élèves qui ne respectent plus aucune figure d’autorité. Des professeurs sceptiques devant des idéologues désireux de diffuser le plus largement possible le wokisme à l’école. Enfin, des professeurs démunis devant une forme de pédagogisme qui a largement contribué à une certaine “désinstruction” de la jeunesse prise en otage par des pédagogues auto-proclamés responsables du laxisme et de la faillite actuelle du système éducatif.
Les professeurs de mon livre ont les yeux grand ouverts. Ce n’est, hélas, pas le cas de tous les enseignants. Serait-ce donc leur extrême lucidité qui conduit mes personnages à démissionner ? Sans doute… même si, certains, dont je fais (encore) partie, préfèrent rester coûte que coûte, derniers remparts face à la déliquescence de l’école. Comme dirait le célèbre Cyrano de Bergerac avec panache : « C’est encore plus beau quand c’est inutile ».
Breizh-info.com : Parmi les défis actuels que rencontrent les professeurs, lesquels vous semblent les plus urgents et pourquoi ?
Véronique Bouzou : L’école étant en quelque sorte un miroir de la société, les défis actuels ne manquent pas ! Endiguer en priorité la crise de l’autorité. Les professeurs se plaignent souvent de devoir enseigner dans un brouhaha permanent. C’est pourquoi, les élèves qui se comportent mal et qui gênent systématiquement le bon déroulement des cours doivent pouvoir être exclus.
L’autorité du professeur passe également par la reconnaissance de son expertise en matière disciplinaire. En guise d’exemple, si un adolescent obtient de piètres résultats à la fin de sa scolarité au collège, il ne devrait pas être en mesure d’exiger le passage dans une voie qui ne lui est visiblement pas appropriée. Il faut donc en finir avec le clientélisme et l’assistanat : aux élèves de retrouver le goût de l’effort et non aux professeurs de leur mâcher le travail en permanence !
Mettre un terme ensuite au nivellement vers le bas et à la déculturation. « Si les gens ne savent pas bien écrire, ils ne sauront pas bien penser, et s’ils ne savent pas bien penser, d’autres penseront à leur place. » écrivait de manière prémonitoire George Orwell en 1949 dans son roman dystopique 1984. Il faudrait donc déjà que tous les enseignants puissent être dotés d’une vaste culture générale, d’une solide maîtrise de la langue et de compétences disciplinaires irréprochables. Or, étant donné que le nombre de candidats au concours de recrutement des professeurs se réduit à peau de chagrin, les nouvelles recrues ne sont pas toujours à la hauteur !
Breizh-info.com : Comment la tendance du “politiquement correct” affecte-t-elle, selon vous, la capacité des enseignants à instruire efficacement ?
Véronique Bouzou : Les professeurs s’auto-censurent car ils n’ont pas envie de devenir des cibles sur les réseaux sociaux. Tous les sujets peuvent aujourd’hui passer pour “sensibles” quand ils sont mal interprétés par des jeunes manquant singulièrement de recul et de culture générale. Résultat : certains professeurs se taisent, quand d’autres préfèrent s’en tenir à la doxa. Après tout, pourquoi les enseignants qui ne sont nullement protégés devraient-ils prendre tous les risques quand les dirigeants politiques se montrent pour la plupart si lâches sur ces mêmes sujets ?
Breizh-info.com : Parmi les fléaux responsables de la destruction progressive de l’Education nationale et de l’instruction de nos enfants, peut-on citer le gauchisme qui a pénétré largement l’école depuis 1968, mais aussi l’immigration extra-européenne massive qui a totalement chamboulé le contenu des enseignements, mais aussi les comportements et les codes culturels dans les salles de classe ?
Véronique Bouzou : Oui, tout cela à la fois.
Breizh-info.com : Face à la crise de la vocation enseignante que vous décrivez, quelles mesures proposez-vous pour revitaliser la profession ?
Véronique Bouzou : Pour commencer, il faudrait déjà que des étudiants qualifiés aient envie de se présenter aux concours de recrutement que propose l’Éducation nationale ! Les salaires de tous les enseignants français ne devraient pas rester à la traîne de leurs homologues des pays membres de l’OCDE. Bien sûr, le salaire n’est pas tout : d’autres facteurs que la rémunération entrent en jeu dans la désaffection de ce métier comme le manque de perspectives professionnelles en cas de reconversion.
L’imbroglio des mutations pose également souci puisque les enseignants n’obtiennent pas toujours les vœux de leur choix en matière de lieu d’affectation, surtout les premières années. Ils se retrouvent alors isolés, loin de leur famille – parfois de leur conjoint. Il faudrait donc que la gestion des personnels puisse revêtir une approche plus humaine et prenne davantage en compte les demandes des néo-titulaires.
Enfin – et surtout – si beaucoup hésitent à embrasser la carrière d’enseignant, c’est très certainement qu’ils redoutent de devoir gérer les problèmes d’incivilités et de violences. Sans même parler de devoir mettre leur vie en péril ! Les deux assassinats d’enseignants sur notre territoire n’ont fait qu’accentuer une peur toute légitime. Voilà pourquoi il faut que l’État protège ses enseignants. À quand la totalité des établissements dotés de portiques de sécurité, à défaut d’un agent de sécurité devant chaque établissement ?
Au-delà d’une protection physique, les enseignants doivent également bénéficier d’une protection morale. À quand l’exclusion définitive du système scolaire pour des élèves qui menacent ou agressent physiquement leur professeur ? À quand la responsabilisation des parents à qui les allocations familiales pourraient être supprimées en cas de violences perpétrées contre un enseignant ? Enfin, il faut en finir une bonne fois pour toutes avec le « pas de vague ». Les instances hiérarchiques de l’Éducation nationale doivent soutenir les professeurs et non les culpabiliser en les jugeant de facto comme inaptes à tenir leur classe !
Breizh-info.com : Quelle est votre vision de l’équilibre entre les méthodes d’enseignement traditionnelles et les exigences de l’ère numérique ?
Véronique Bouzou : Le numérique doit demeurer un outil au service d’une pédagogie mûrement réfléchie, non une fin en soi. Je ne m’oppose pas systématiquement au numérique dans la mesure où aujourd’hui, il est difficile de s’en passer. À commencer quand il s’agit de remplir le cahier de textes en fournissant aux élèves les pièces jointes nécessaires pour réviser, s’entraîner. C’est également un outil utile pour communiquer avec les parents qui peuvent suivre de manière plus transparente le suivi de leur enfant.
En cours, je l’utilise par le biais du tableau numérique où je peux projeter à la classe des pages de manuels en ligne, des œuvres artistiques, des exercices… Même les tablettes dont commencent progressivement à être dotés tous les collégiens peuvent avoir leur utilité quand je leur demande de rédiger un travail d’écriture au long cours qui donne lieu à la rédaction d’un recueil de nouvelles publié à la fin de l’année scolaire.
Il en est de même pour les autres disciplines que le français.
Mais cela ne m’empêche pas de m’insurger contre le tout numérique à l’école. Je me suis aperçue que les méthodes d’enseignement traditionnelles, peut-être plus rébarbatives de prime abord, demeuraient encore les plus efficaces. À commencer par l’apprentissage de la lecture et de l’écriture où je rejoins totalement Michel Desmurget, auteur du livre La Fabrique du crétin digital. Les dangers des écrans pour nos enfants (Éditions du Seuil, 2019). Après avoir misé sur le tout numérique à l’école, les autorités suédoises ont décidé de faire marche arrière après avoir constaté une baisse significative du niveau des élèves liée aux écrans ! Il serait bon que les dirigeants français en prennent de la graine…
Je sais par ailleurs que des études dans les domaines des neurosciences et de la psychologie cognitive ont permis de montrer que l’écriture manuscrite favorisait l’activité cérébrale propice aux apprentissages. Les élèves parviennent ainsi à se concentrer sur le temps long et ne passent pas leur temps à “zapper” sur des écrans.
En conclusion, je ne suis pas contre le numérique à l’école mais en matière d’apprentissage des fondamentaux, il faut restreindre son usage.
Breizh-info.com : Quelles sont, selon vous, les causes profondes des changements de comportement et de respect chez les élèves, et comment le système éducatif peut-il y répondre ?
Véronique Bouzou : On cite souvent le passage du philosophe grec de l’Antiquité, Platon qui dans La République écrit : « Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne, alors c’est là en toute beauté et toute jeunesse le début de la tyrannie ».
On pourrait donc penser que c’est le propre de la jeunesse de manquer de respect aux aînés. Cependant, sans vouloir passer pour une réac – que je suis malgré tout ! – qui estimerait que « c’était mieux avant », je dirais que les jeunes – et très jeunes – manquent aujourd’hui, pour beaucoup d’entre eux, d’empathie et le temps passé sur les écrans n’a rien arrangé.
À cela s’ajoute un manque de vocabulaire et de culture générale qui favorisent le passage à l’acte violent. Quand ils n’ont plus de mots pour s’exprimer, comprendre, argumenter, ils n’ont alors plus que la violence comme moyen d’expression. Enfin, une partie de la jeunesse issue d’une immigration extra-européenne voue à la France un véritable désamour – quand ce n’est pas une vive animosité. La langue, l’Histoire, la culture française les révulsent et ils se montrent réfractaires à l’enseignement qu’ils reçoivent dans les salles de classe.
Que faire alors ? Restaurer l’autorité du professeur qui passe déjà par l’autorité parentale. Les adultes doivent exercer leur rôle de parents en pourvoyant à l’éducation de leurs enfants sans faire preuve d’un laxisme éhonté. Aux professeurs ensuite d’instruire des élèves bien élevés. Il faut également en finir avec la logique pernicieuse de victimisation dans laquelle les politiques ont enfermé les jeunes issus de l’immigration et de repentance pour les Blancs et Occidentaux jugés responsables de tous les maux. Offrons à la jeunesse des héros à la hauteur de leurs rêves en redonnant par exemple toute sa place aux « grandes figures » du récit national.
Breizh-info.com : Comment espérez-vous que votre livre influencera les éducateurs, les décideurs et le grand public dans leur approche de ces problèmes ? Quelle touche d’espoir pour nos enfants, pour les parents ?
Véronique Bouzou : Pour que mon livre puisse influencer tout ce beau monde, encore faut-il qu’il soit lu ! En effet, afin d’éviter toute censure et rester maître à bord, j’ai décidé de publier ce dernier livre (ainsi que les deux précédents) à compte d’auteur. Les libraires et les médias étant frileux à donner de la visibilité à des livres autoédités, c’est grâce à Internet et aux internautes que je peux aujourd’hui faire entendre ma voix qui, je peux vous l’assurer, en dérange plus d’un ! Mon livre est disponible sur Amazon mais les lecteurs réticents à passer commande sur cette plateforme peuvent le commander directement sur mon blog (http://veronique-bouzou.blogspot.com).
En poussant une hypothèse à son paroxysme, en l’occurrence un monde où il n’y aurait plus de profs du tout, je vous laisse imaginer quels seraient les impacts sur les élèves et leurs parents, ne serait-ce qu’en terme d’organisation. Heureusement, nous n’en sommes pas là. Je me considère aujourd’hui comme une lanceuse d’alerte en permettant à mes lecteurs d’entrer de plain-pied dans les établissements scolaires et de constater ce qui s’y passe réellement. En guise de conclusion, je vous laisse méditer sur cette phrase de Sénèque : « C’est quand on n’a plus d’espoir qu’il ne faut désespérer de rien. » Vous avez deux heures avant que je ne ramasse les copies !
++ WEBTUBE : L’immigration égyptienne enrichit les Siciliennes. Si Giorgia Meloni était au pouvoir, un tel drame ne se serait pas passé…. Rappelez moi qui est au pouvoir en Italie ? Une certaine Giorgia non ?
Une jeune fille de 13 ans aurait été victime d’un viol collectif dans des toilettes publiques sous les yeux de son petit ami.
La police affirme que sept suspects ont été impliqués dans cette horrible attaque qui a eu lieu mardi dernier en Sicile, en Italie.
Les policiers ont maintenant arrêté sept jeunes Égyptiens – quatre adultes et trois mineurs, âgés de 15 à 19 ans.
Les enquêteurs affirment que la victime et son petit ami, âgé de 17 ans, ont été attaqués alors qu’ils se promenaient dans le parc de Villa Bellini vers 19h30 dans la ville côtière de Catane, à l’est de la Sicile, le 30 janvier.
Le petit ami a ensuite été battu, puis maintenu au sol et forcé à regarder pendant qu’au moins deux des suspects violaient la jeune fille de 13 ans dans des toilettes publiques.
Le couple a finalement réussi à s’enfuir pour se mettre à l’abri.
La victime a ensuite pu identifier deux garçons mineurs, mais pas les cinq autres, comme elle l’a déclaré : « Je n’ai pas vu leurs visages, je ne veux pas accuser les innocents ».
C’est son petit ami qui a identifié les cinq autres suspects.
L’un des sept suspects a tenté de fuir la ville, mais a été rattrapé par la police, rapporte Ansa.
L’enquête se poursuit et les suspects comparaîtront bientôt lors d’une audience.
Ce crime a suscité la fureur de toute l’Italie, le Premier ministre Giorgia Meloni ayant déclaré : « Je suis frappée que le jour où l’on célèbre une très jeune martyre de la tradition chrétienne [Sant’Agata], on voie une autre très jeune victime de violence sexuelle ».
« Je veux dire ceci pour exprimer ma solidarité avec elle et sa famille. L’État sera là et la justice sera rendue », a-t-elle ajouté lors de sa visite à Catane.
Si Giorgia Meloni était au pouvoir, un tel drame ne se serait pas passé.