Depuis quelques jours, une partie de la presse mainstream salit à la fois Thomas (en déformant la réalité du drame de Crépol et en cherchant toutes les excuses du monde à des racailles venues armées dans un bal de village), tout en vomissant sur « l’ultra droite », en réalité sur des manifestants dont le seul « crime » est de dénoncer ce meurtre..et tous les autres.
++ WEBTUBE : Cette année, les fameux studios fondés par Walt Disney fêtent leur centenaire. L’occasion de faire la fête ? Pas pour ses actionnaires, semble-t-il. En effet, Bob Diger, son PDG, vient de faire repentance, à l’occasion du DealBook Summit, prestigieux événement organisé par le New York Times : « Les créateurs ont perdu de vue ce que devait être leur objectif numéro un. Nous devons d’abord divertir. Il ne s’agit pas d’envoyer des messages. »
Venant de celui qui, dès le début des années 2000, a poussé la firme aux grandes oreilles à basculer dans le progressisme militant, voilà qui ne manque pas de sel et encore moins de ketchup. Surtout quand cet homme de 72 ans profite de l’occasion pour battre sa coulpe sur la poitrine de ses salariés. Car le baiser homosexuel de Buzz l’éclair (2022), la nouvelle Petite Sirène (2023), héroïne du folklore danois, désormais incarnée par l’actrice noire Halle Bailey, c’est lui ; sauf à considérer qu’il ne soit pas le patron de sa propre entreprise.
Sans oublier Blanche-Neige et les sept nains, version new-look prévue à l’horizon 2025, avec « créatures magiques » en guise de nains et une Rachel Zegler affirmant, à propos de son interprétation : « Blanche-Neige ne sera pas sauvée par le prince. Et elle ne rêvera pas du véritable amour. Elle rêve de devenir la leader qu’elle sait pouvoir être. » Bref, de quoi donner, par anticipation, des sueurs froides aux actionnaires plus haut évoqués, rien qu’à imaginer une Blanche-Neige façon Angela Davis. Car il y a un facteur à ne pas négliger : le royaume enchanté de l’oncle Walt demeure avant tout celui du roi dollar.
Quand l’action Disney perd la moitié de sa valeur…
La preuve en est que du point de vue du box-office, les bides s’enchaînent depuis quelques années. Échecs critiques, tout d’abord, ce qui n’est pas le plus grave, mais, surtout, échecs publics ; ce qui l’est plus. Et quand on sait les budgets faramineux qui sont en jeu (pas un film ne se fait à moins de deux cent millions de dollars, somme généralement à doubler avec les frais de promotion), ça ne rigole plus.
Et celui qui rigole encore moins, c’est le fameux Nelson Peltz, activiste boursier à la tête du fonds Trian, qui a déjà investi trois milliards de dollars dans les studios Disney : « Depuis que nous avons donné à Disney l’occasion de prouver qu’il pouvait redresser le navire, […] les actionnaires ont perdu 70 milliards de dollars… » Résultat ? La cotation boursière de cette entreprise n’est plus que de 170 milliards de dollars. Soit moitié moins qu’il y a deux ans.
Si l’on résume, en admettant que le wokisme ait payé un jour, force est de reconnaître qu’il ne paye plus. Et ça, à Hollywood, ça ne pardonne pas. À ce propos, on est d’ailleurs en droit de se demander par quelle aberration ces décideurs, tous issus des écoles les plus prestigieuses, ont pu commettre de telles erreurs de débutants. Car la marque Disney, depuis sa création, a toujours été portée sur ces valeurs traditionnelles et familiales, fédératrices par nature ; donc tournées vers un grand public qu’il convient plus d’émerveiller que d’éduquer.
Même le cinéma marginal n’est plus à l’abri du wokisme
Pour le cinéma militant, il y avait John Waters, par exemple, l’un des premiers à mettre en scène transsexuels et drag-queens et assumant crânement sa marginalité, quoiqu’il soit à son tour victime du wokisme, n’hésitant pas à affirmer au Point, le 10 mai 2023 : « Même RuPaul [drag-queen américaine emblématique, NDLR] ne peut plus utiliser l’expression “tranny”, mot familier pour qualifier les personnes trans, jugé trop offensant. […] Aujourd’hui, la censure vient davantage de la gauche que de la droite. »
Mais cela, les nouveaux dirigeants de Disney semblent l’ignorer, confondant grand public et public de niche. D’où ce réveil brutal, façon Victoria’s Secret, célèbre marque de lingerie obligée d’en revenir à ses fondamentaux historiques : faire défiler de jolies filles aux formes généreuses.
En d’autres termes, c’est le retour du principe de réalité. Réalité de l’argent, principalement ; en l’occurrence plus efficace que l’appel à la plus élémentaire des décences ou du simple bon sens.
++ WEBTUBE : Comme chaque année, le sapin de Noël trône au centre de la place Kléber de Strasbourg. Cette année, le 30 novembre, sur les coups de 17 heures, à l’heure où tous se pressent autour du sapin pour assister au lancement des illuminations, des militants écologistes de Dernière Rénovation ont troublé la fête. Contournant le dispositif de sécurité, l’un d’entre eux a déployé une banderole « Dernière Rénovation », les deux autres militants ont aspergé de peinture orange les branches inférieures de l’arbre sous les regards interloqués des touristes...
Leur message : dénoncer la COP28 de Dubaï inaugurée le même jour. Sur leur chasuble est inscrit ce slogan : « COP28, criminal gang ». Ils ont été arrêtés par l’intervention d’un agent de la sécurité et par un touriste excédé : « C’est Noël, allez emmerder Macron », a-t-il lancé en arrachant la banderole, selon BFMTV. Les forces de l’ordre sont arrivées rapidement et les militants se sont laissé interpeller sans opposer aucune résistance.
Haut de près de 30 mètres, enguirlandé de quelque 7 kilomètres de câbles électriques, ce conifère fait la fierté du Christkindlemärket (marché de l’Enfant Jésus). Sa renommée le précède. En 2022, ce ne sont pas moins de 2,8 millions de visiteurs, selon les estimations de la ville, qui ont foulé les pavés de ce marché de Noël. Un record de fréquentation pour cette capitale de Noël !
Ce sapin avait résisté, en 2020 à l’idéologie écologiste. En effet, alors que le maire de Bordeaux Pierre Hurmic (EELV) décidait de remplacer « l’arbre mort » traditionnel du centre-ville par un sapin en verre recyclé, le maire de Strasbourg Jeanne Barseghian (EELV) avait réitéré son souhait de maintenir la tradition strasbourgeoise née en 1570. Mais cette fois-ci, les activistes écolos ont eu raison de l’arbre de Noël. Leur acte autoqualifié de « résistance civile non violente » s’apparente plutôt à un acte de vandalisme.
Hélène Laporte : « Ça n’a rien d’écologique comme réaction »
Hélène Laporte, députée RN du Lot-et-Garonne et vice présidente de l’Assemblée nationale, relève l’absurdité de ce geste. Elle commente auprès de BV : « C’est complètement stupide, ça n’a rien d’écologique comme réaction ». En effet, la députée RN explique que ce sapin est lui-même un symbole d’écologie : il respecte les principes de gestion durable de l’Office national des forêts. Il aura une seconde vie, précise-t-elle, une partie sera recyclée et le bois sera confié à une association qui le transformera en instruments de musique. « Je ne comprend pas ce symbole, poursuit-elle. C’est du saccage qui correspond à leur étiquette politique. Ils saccagent et ils détruisent, comme quand ils peinturlurent une œuvre d’art ou crèvent les pneus des 4×4. »
Hélène Laporte souligne que ce sapin de Noël ravit les enfants pendant des semaines et offre un bonheur visuel gratuit à ces familles, dans un contexte économique très difficile où les plaisirs de Noël ne sont plus à la portée de tous. Elle conclut, excédée : « Faire parler d’eux, faire le buzz en faisant croire qu’ils vont sauver la planète… Ils ne sauvent rien, ils dégradent. »
Le groupe d’opposition à la municipalité a publié un communiqué de presse. Jean-Philippe Vetter, élu municipal LR, l’a transmis à BV, manifestant son mécontentement : « Nous devons condamner les méthodes contre-productives et dommageables adoptées par certains groupes. » Jeanne Barseghian, maire EELV de la ville de Strasbourg ne s’est pas (encore) exprimée publiquement sur le sujet. Contacté par BV, le collectif Dernière Rénovation n’a pas encore donné suite à notre demande.
++ WEBTUBE : Dans la série « Continuons à casser ce qui marche encore dans ce pays », un nouvel épisode : le recteur de Paris a annoncé aux lycées Chaptal (VIIIe) et Lamartine (IXe) la fermeture d’une de leurs trois classes préparatoires littéraires, comme le rapporte le Parisien. Ce sont ces fameuses khâgnes et hypokhâgnes qui préparent aux concours de l’École normale supérieure (ENS). Naguère vivier des élites françaises, elles ont depuis longtemps été supplantées par les prépas scientifiques et commerciales. Il n’empêche qu’elles poursuivent contre vents et marées cette mission d’excellence. Et même si, contrairement aux autres prépas, il y a peu d’élus à l’arrivée, tous ceux qui sont passés sur leurs bancs, même sans parvenir à décrocher le prestigieux concours, reconnaissent la formation unique qu’ils y ont reçue, gage de leur réussite ultérieure, notamment aux concours d’enseignement et à l’agrégation...
Bien sûr, cela fait des décennies qu’elles ont été menacées par l’idéologie anti-élitiste de la gauche. Et comme la gauche ne renonce jamais, elle est capable de multiplier les arguments, comme les gens de trop mauvaise foi : pas assez diversitaires, les prépas. Et puis trop chères ! Et oui, un élève en prépa coûte plus cher qu’un étudiant en fac, mais si l’on regarde à l’arrivée, le gain pour la nation s’inverse, vu les taux d’échec massifs à l’université. Car la grande rivale des prépas, le modèle de la gauche, c’est l’université. Et il est donc piquant de voir une députée LFI de Paris défendre ce modèle honni par son camp : « En tant qu’élue, je veux dire que ce qui se passe est vraiment incroyable. C’est une casse de l’enseignement supérieur public littéraire. » Si Danielle Simonnet a fait sa révolution, plus besoin de démontrer les vertus de l’élitisme.
Mais, en bon petit soldat de cette idéologie socialo-libérale, le recteur de Paris a fondé sa décision de fermeture sur cet argument d’anti-élitisme et sur le désintérêt pour la filière littéraire. Faut-il lui rappeler qu’il est train de fermer le vivier qui lui fournira les bons professeurs de demain, alors qu’il doit gérer une pénurie historique d’enseignants, notamment dans les disciplines littéraires ?
Un fait personnel vécu cette semaine vous dira mieux l’importance de préserver ces classes préparatoires, notamment en province et dans ces lycées qui ne sont pas parmi les plus élitistes. Chargé de cours en Histoire dans une université de province, il se trouve que j’évaluais cette semaine la poignée de L3 issus de la khâgne de cette même ville de province qui n’ont pas eu le concours : tout en ayant dû s’adapter très rapidement au fonctionnement de l’université, ils figurent bien parmi les meilleurs étudiants de la promotion : méthode, culture générale, maîtrise de la langue, capacité à assimiler un programme lourd. Tous les universitaires – eux-mêmes normaliens ou anciens khâgneux au demeurant – vous confieront d’ailleurs à quel point il sont heureux de voir arriver progressivement ces étudiants de prépa à tous les niveaux du cursus.
Les enseignants et les étudiants des lycées visés ont donc lancé une pétition en ligne pour défendre ces petites prépas littéraires. Ils ont raison, et Gabriel Attal, qui sait mieux que personne l’importance d’une formation élitiste, et qui remet sur la table la question des groupes de niveau, serait bien inspiré d’intervenir.
++ WEBTUBE : En Corse, aucun juge n’aurait osé emprisonner des patriotes, comme à Romans. La Corse est le dernier bastion où les racailles des cités ne font pas la loi, comme sur le continent. Et il est impensable qu’un juge se permette de persécuter et de condamner les Corses défendant leur identité. Si la France appartient à tout le monde sauf aux Gaulois, la Corse n’appartient qu’aux Corses. Le monde entier sait cela. Et les incidents de Sisco l’ont rappelé à ceux qui en doutaient.
Le peuple corse se fait respecter non seulement par les minorités, qui n’ont pas intérêt à bouger, mais aussi par le pouvoir, qui n’a pas intérêt à pratiquer une justice à deux vitesses. On ne condamne pas un Corse innocent pour l’exemple, au prétexte qu’il voudrait se faire justice lui-même…
Il n’y a pas de zone de non droit en Corse. Il n’y a pas de barbus régnant sur un quartier. Et quand les Corses décident de se faire justice eux-mêmes, puisque l’Etat poltron en est incapable, personne ne bêle au racisme ou au retour des ratonnades.
Tout immigré sait qu’en Corse il vaut mieux raser les murs que de sortir des clous.
Il y a 3 000 agressions gratuites chaque jour en France, dont seulement 1 000 déclarées, mais pas une seule en Corse.
Vous ne verrez pas de viols en tournante en Corse
Vous ne verrez pas de personnels soignants agressés aux urgences
Vous ne verrez pas de pompiers caillassés. Ceux qui ont essayé à Ajaccio, se souviennent encore de la réponse musclée des habitants.
Vous ne verrez pas d’enseignants menacés, tabassés par des racailles contestant le programme enseigné.
La Corse, c’est encore la France tranquille des années cinquante et ça le restera.
Evidemment, je ne soutiens ni la politique, ni la violence des indépendantistes, qui ont conduit au pire en assassinant lâchement le préfet Erignac. Ce sont des méthodes barbares que la République doit combattre sans aucun état d’âme.
Mais ce que j’admire chez les Corses, c’est leur courage à défendre leur identité insulaire contre toute agression. Ils sont solidaires, quand nous sommes égoïstes. Si les Continentaux se conduisaient comme les Corses, il n’y aurait jamais eu de Bataclan, de massacre de Charlie-Hebdo ni de meurtres quotidiens, il n’y aurait pas eu de Crépol.
La France est le pays le plus dangereux d’Europe, mais la Corse est sans doute la région la plus sûre.
Imaginez seulement un nouveau Crépol qui se déroule en Corse.
Dans l’heure, des centaines de Corses auraient réglé leurs comptes à leur façon avec les coupables.
Et le juge qui emprisonnera, comme à Romans, des patriotes corses qui n’ont agressé personne, n’est pas encore né.
La justice à deux vitesses, qui laisse les malfrats en liberté et enferme les patriotes, c’est réservé au continent, où l’arbitraire et l’iniquité sont devenus la norme. Des repris de justice sont encore au pouvoir ou bien recasés bien au chaud à des postes prestigieux. Et ce sont ces délinquants qui se permettent de mener une politique répressive contre les patriotes qui entendent défendre leur identité !
Il est grand temps que le peuple gaulois se réveille et prenne exemple sur les Corses, pour lesquels il n’y a rien de plus précieux que leur identité.
A une époque où la France est en train de disparaitre par la volonté de ses dirigeants vendus à l’idéologie mondialiste, seul un sursaut du peuple peut renverser la table et mettre un terme à la politique maléfique qui nous détruit.
WEBTUBE : le 5 juillet dernier, la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, a déclaré : “On ne représente pas la France telle qu’elle est mais telle qu’on voudrait qu’elle soit.” Le message est clair : le service public souhaite changer la France, changer de société, tout en laissant le pluralisme au placard.
Le rôle du service public est d’apporter l’information la plus objective possible, en respectant le pluralisme. Or, le 5 juillet dernier, la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, a déclaré : "On ne représente pas la France telle qu'elle est mais telle qu’on voudrait… pic.twitter.com/i6edjezish
++ WEBTUBE : L’homme décédé est un touriste allemand qui a aussi la nationalité philippine, a appris Le Figaro de source policière. Il a reçu plusieurs coups à la tête, au dos et aux épaules. Deux autres personnes ont été blessées dans l’attaque. L’une d’elles, un touriste anglais, a été frappée à coups de marteau à l’œil. Il a été pris en charge par les pompiers. L’autre personne blessée reste «choquée». «Leurs vies ne sont pas en danger», a précisé Gérald Darmanin qui s’est rendu sur place. Une quatrième personne, la compagne de la victime tuée, est «choquée», selon les mots du ministre de l’Intérieur.
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) December 2, 2023
Les trois victimes sont des touristes, selon nos informations. L’homme qui a été poignardé à mort est né en 1999. L’une des victimes blessées est un touriste anglais né en 1957, une seconde victime est de nationalité allemande. (…)
L’homme décédé est un touriste allemand qui a aussi la nationalité philippine, a appris Le Figaro de source policière. Il a reçu plusieurs coups à la tête, au dos et aux épaules. Deux autres personnes ont été blessées dans l’attaque. L’une d’elles, un touriste anglais, a été frappée à coups de marteau à l’œil. Il a été pris en charge par les pompiers. L’autre personne blessée reste «choquée». «Leurs vies ne sont pas en danger», a précisé Gérald Darmanin qui s’est rendu sur place. Une quatrième personne, la compagne de la victime tuée, est «choquée», selon les mots du ministre de l’Intérieur.
L’individu a commencé son équipée mortelle peu après 21 heures entre le quai de Grenelle et Bir-Hakeim. Il attaque d’abord le touriste allemand. Il prend ensuite la fuite en traversant le pont de Bir-Hakeim grâce à l’intervention d’un chauffeur de taxi qui a vu la scène. Il rejoint le 16e arrondissement. C’est à ce moment qu’il est poursuivi par un équipage de policiers du 7e arrondissement et qu’il attaque les deux autres personnes.
Quand les quatre policiers sortent de leur véhicule pour interpeller le suspect, ce dernier «garde les mains dans son manteau et explique avoir des explosifs sur lui». Il prend à nouveau la fuite avant d’être interpellé. Face aux menaces «violentes» du suspect, l’un des fonctionnaires a, «par deux fois», tiré avec son taser, a expliqué le ministre de l’Intérieur. (…)
(…) [il] aurait crié “Allah Akbar” avant d’être interpellé avenue du Parc de Passy. Les policiers ont fait l’usage d’un pistolet à impulsion électrique (…)
(…) “Après son arrestation, il a dit qu’il ne pouvait plus supporter que des musulmans meurent tant en Afghanistan qu’en Palestine“, a rapporté Gérald Darmanin. (…)
L’auteur des coups mortels, Armand R. [NdeFDS : Rajabpour-Miyandoab], né en mars 1997 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) et de nationalité franco-iranienne (…)
(…) l’assaillant avait déjà été arrêté en juillet 2016 car il projetait de commettre une action violente à La Défense. Il avait été condamné pour association de malfaiteurs terroriste à cinq ans de prison dont un avec sursis mis à l’épreuve. Il était sorti de prison depuis 2020. (…)
L’auteur de l’attentat était notamment en lien avec :
Adel Kermiche (assassinat du père Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray).
Larossi Aballa (assassin des policiers à leur domicile de Magnanville).
a déjà retweeté l’auteur tchétchène de l’attentat ayant tué Samuel Paty.
🔴 @Valeurs | Le ministre de l'Intérieur confirme le profil de l'auteur: musulman de nationalité française, suivi par la DGSI, radicalisé et déjà condamné pour un projet terroriste en 2016 à La Défense, souffrant de troubles psy. Au moment de son interpellation, l'auteur a…
Articles de 2016 (Le Parisien) et de 2017 (Mediapart) :
(…) Placé aussitôt sous surveillance, Armand R., connu des services de police pour des faits de dégradation, est observé alors qu’il affiche clairement sa sympathie pour la cause djihadiste. Plus inquiétant : le garçon figure, sur Facebook, parmi les « amis » de Larossi Abballa, auteur de l’assassinat d’un couple de policiers à Magnanville (Yvelines) le 13 juin. Ce dernier a été abattu par les policiers du Raid. (…)
++ WEBTUBE : « Il faut sauver la planète ». Personne n’y échappe, cette formule est partout. Omniprésente à l’école, dans les journaux, à la télévision, dans les films, dans les débats. Partout, tout est prétexte à son invocation. Et en ce moment la nouvelle COP28 est réunie à Doha au Qatar pour en remettre une couche sur le sujet...
Le climat, avec son prétendu « dérèglement climatique », serait dû à l’augmentation de CO2 dont l’activité humaine serait responsable, menacerait l’existence de la vie sur terre. Cela justifierait au nom de « l’urgence climatique » d’imposer à l’humanité une quantité invraisemblable de décisions et de mesures, sans aucun fondement scientifique, mais qui vont avoir des conséquences innombrables et dramatiques pour une large part de la population.
Il est assez fascinant d’observer à quel point notre société moderne a fait de nos populations des abrutis complets qui gobent tout sans aucun recul ni réflexion dès lors que l’information émane d’une autorité ou de médias ayant pignon sur rue.
De même, il est non moins stupéfiant de voir à quel point vous êtes mis à l’index par les bien-pensants, les médias, les partis et les autorités si vous vous déclarez opposé à ces théories dont j’ose affirmer qu’elles sont totalement bidons et bidonnées. Le pire étant que de nombreux citoyens vous montrent également du doigt alors que si vous les interrogez ils ne savent même pas vous dire le pourcentage de CO2 dans l’atmosphère (0,04%). Ce qui confirme qu’une grande partie de la population répète bêtement et sans réfléchir le message « officiel ». C’est le résultat de plus de 40 ans de décérébration de nos jeunes par l’Éducation nationale, ainsi que par l’emprise de la pensée « écologiste », c’est à dire gauchiste, le tout relayé et amplifié par des médias largement de gauche qui ne savent qu’être l’écho de la voix de son maître – la « ligne du parti » – comme au plus beau temps du stalinisme.
Pourquoi ces théories sont-elles « bidons » et « bidonnées » ? Oh, c’est tout simple à démontrer.
C’est le GIEC, organisme de l’ONU regroupant scientifiques et non-scientifiques qui s’occupe des questions climatiques depuis la fin des années 80, qui le premier s’est mis à inventer la théorie du « réchauffement climatique », vite rebaptisée « dérèglement climatique » pour avoir été pris la main dans le sac à truander des données “scientifiques” afin d’aboutir à ce qu’il prétendait démontrer. En fait cette polémique est celle qui a été nommée la « courbe en crosse de Hockey ».
De quoi s’agit-il ? En 1998, le dénommé Mickaël Mann (une sommité du GIEC) a produit une courbe (publiée par le GIEC en 2001), résultant d’une étude dont la conclusion était :
Jusque récemment le climat était globalement constant, et ce depuis la nuit des temps
À compter des années 50-60 et en relation avec le développement de l’activité humaine l’augmentation du CO2 produit dérègle le climat, car le CO2 est un gaz à effet de serre qui génère un réchauffement de l’atmosphère ce qui va avoir des conséquences catastrophiques et menace même l’existence de la planète
On voit bien sur cette courbe (en “crosse de hockey”) qu’il n’y a pas dévolution significative du climat sur plus de 1000 ans mais qu’à partir de 1950 environ la température se dérègle et ne cesse de grimper.
Cette courbe qui s’est révélée être une « escroquerie scientifique » a été le point de départ de la théorie du réchauffement climatique rebaptisée « dérèglement climatique » pour les raisons que je viens d’indiquer.
Il est tout a fait intéressant de relever qu’avant Mann, le GIEC (ICPP en américain) avait une autre courbe (1990), représentant l’évolution du climat sur la même période, elle, bien représentative de la réalité.
Que voit-on sur cette courbe ?
Le « Medieval Warm Périod » c’est « l’optimum médiéval », une période pendant laquelle une très forte vague de chaleur (bien plus élevée que la hausse actuelle et pourtant l’activité humaine ne pouvait être en cause) a été constatée et qui a duré plus de 3 siècles. On faisait pousser des vignes en Angleterre à cette époque et c’est aussi pour cette raison que le Groenland porte son nom (« Terres Vertes ») car à l’époque au Xe siècle lorsque les Vikings ont colonisé ces terres elles n’étaient nullement les terres arides et gelées actuelles.
Le « Little Ice Age » est le « petit âge glaciaire », période qui a duré un peu plus de 4 siècles et s’est achevée en 1850 environ. Cela a correspondu à une période extrêmement froide. La Tamise à Londres était gelée chaque hiver. Et bien sûr il n’y avait plus de vignes en Angleterre.
Donc cette courbe démontre, et le GIEC était d’accord, qu’il y a eu dans les 1000 ans précédant la période actuelle des variations climatiques considérables pour lesquelles l’homme et son activité n’étaient nullement des facteurs à prendre en compte.
En fait, de très nombreux scientifiques attribuent ces variations climatiques à des cycles longs dont le soleil serait responsable ainsi que les nuages et à la quantité de vapeur d’eau dans l’atmosphère (gaz à effet de serre autrement plus important et puissant que le CO2).
Il en est de même actuellement et la décision d’attribuer ce changement à l’homme et ses activités est une décision politique relevant à 100% de l’idéologie mais ne découlant en aucun cas de faits scientifiquement constatés.
Le CO2 est-il responsable de quelque chose?
Absolument pas. D’abord, un peu de bon sens. Comment un gaz qui ne représente que 0,04% de l’atmosphère pourrait-il générer des dégâts aussi importants que ceux dont il est accusé ?
Mais surtout, on trouve la preuve qu’il n’est pas responsable dans des études faites par des scientifiques à partir de forages réalisés dans la banquise et de prélèvements, à cette occasion, de carottes de glace. Ces carottes permettent d’analyser les gaz emprisonnés dans la glace, notamment le CO2, tout en sachant dire quelle période de notre histoire est en cause. Ces scientifiques ont ainsi pu prouver que l’évolution de la quantité de CO2se fait avec 800 ans de retard par rapport à l’évolution de la température.
En clair, ce n’est pas l’élévation de la quantité de CO2 dans l’air qui fait augmenter la température. C’est l’inverse qu’on constate. C’est à dire que l’élévation de la température constatée entraîne avec 800 ans de retard une augmentation de la quantité de CO2 dans l’atmosphère.
Nous pouvons donc conclure de ce que je viens d’indiquer que le climat n’a nullement été constant par le passé et des scientifiques ont démontré que l’évolution du CO2 dans l’atmosphère était la conséquence de la modification des températures. Pas l’inverse.
Une seconde conclusion s’impose : si hier le CO2 n’était nullement responsable de l’augmentation de la température, il en est donc de même aujourd’hui.
Donc tout le battage fait pour affoler les populations n’a aucun fondement. C’est par idéologie pure qu’il est affirmé que le grand responsable de tout cela serait le CO2 résultant de l’activité humaine. Mais si on reconnaît que le CO2 n’est pas coupable, cela a des conséquences tout à fait considérables :
Finie la mauvaise blague sur l’impératif de la neutralité carbone en 2050
Finie la comédie sur l’obligation d’arrêter d’utiliser du pétrole, du charbon et du gaz
Finie la comédie sur l’obligation d’arrêter les voitures à moteur thermique
Finie la prétendue obligation de passer aux voitures électriques
Finie la mascarade sur la transition énergétique
Finis les mensonges sur l’obligation de recourir à l’éolien et à la méthanisation
Finies les directives européennes sur l’obligation de rénover tout le parc immobilier
… etc.
On voit donc que les conséquences de l’arrêt du délire sur le nécessaire « sauvetage de la planète » aura des conséquences incalculables, en bien, pour les populations. Mais qui seront catastrophiques en termes d’intérêts économiques pour les producteurs d’éoliennes, de panneaux solaires, de voitures électriques, etc. c’est à dire pour tous ceux qui auront misé sur l’urgence climatique” afin d’en faire une source considérable de profits.
C’est pourquoi tous ceux qui sont liés au combat contre le CO2, par idéologie ou par intérêts économiques, ne veulent surtout pas qu’un débat honnête, argumenté et étayé par des éléments scientifiques, ait lieu.
Il faut donc faire taire tous les mal-pensants. Et comme d’habitude, le COVID en a donné un autre exemple, c’est par le terrorisme intellectuel qu’ils entendent arriver à empêcher le public d’être informé.
Le site internet «Le Média en 4-4-2» rapportait que :
« En août 2023, plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel de physique, les Norvégiens Clauser et Ivar Giaever, ont signé une déclaration affirmant qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que l’appel à l’action sur le climat a évolué en une forme d’hystérie collective. Les sceptiques font valoir que la transformation radicale de sociétés entières se déroule sans un débat approfondi, et qu’elle est basée sur des affirmations scientifiques douteuses amplifiées par un journalisme impulsée par l’émotion ou par une orientation idéologique plutôt que de suivre une méthodologie journalistique objective et basée sur des preuves. »
Ces scientifiques n’auront jamais la parole dans les grands médias bien-pensants.
L’affaire est de ce fait loin d’être gagnée, mais le combat contre « l’urgence climatique » déjà engagé est absolument indispensable, notamment du fait des enjeux innombrables liés à cette question.
Il est donc de la responsabilité de chacun de s’associer à ce combat contre cette idéologie délirante qui veut effrayer les populations avec des arguments fallacieux et imposer ce point de vue par le terrorisme intellectuel.