Emmanuel Macron agacé par les fiascos littéraires de ses ministres

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« Les Français vont finir par se dire que les ministres ne foutent rien ! » Selon Le Canard enchaîné, Emmanuel Macron serait excédé par la profusion de livres signés de ses ministres. Marlène Schiappa, Emmanuelle Wargon, Jean-Michel Blanquer… Mais que font-ils, à part écrire des livres qui ne se vendent pas ? Sur sa calculette « années 80 » offerte par son épouse, Emmanuel Macron compte et recompte.

Récapitulons : Marlène Schiappa, 64 exemplaires + Emmanuel Wargon, 75, auxquels s’ajoute le chiffre faramineux de 620 pour le ministre de l’Éducation nationale. Égale : 759. Un coup de fil avertit le chef de l’État qu’une librairie vient de vendre un 65e livre de Marlène Schiappa, mais un SMS indique que deux lecteurs exigent le remboursement de celui d’Emmanuelle Wargon. Tous les comptes sont à refaire.

Sur le bureau présidentiel, les scores de La France n’a pas dit son dernier mot s’étalent sans aucune pudeur. Aux alentours de 190.000. Désespérant.

Marlène informe la cellule de crise littéraire qu’elle prévoit un autre ouvrage pour le 26 janvier. Tenter d’égaler Éric Zemmour est un travail à plein temps. L’ex-ministre à l’Égalité femme-homme expose son plan de bataille : à raison de 3.000 livres par an qui se vendraient chacun à 63 exemplaires, le record de l’ex-chroniqueur de CNews peut être égalé. Voire dépassé, si Jean Castex s’y met. Un manuel intitulé Comment retrouver ses lunettes lorsqu’on les a sur le nez trouverait un large écho auprès du public.

C’est précisément à ce moment que le Président explose et lâche son fameux « Les Français vont finir par se dire que les ministres ne foutent rien ! » rapporté par Le Canard. Un retour au bercail s’impose. Assez de pages noircies par des d’états d’âme sans intérêt. Être en tête des sondages et enchaîner bide sur bide en librairie n’est plus possible. Oui, l’électeur votera Macron, mais à quoi bon mettre en lumière qu’il le fera par pur réflexe machinal. Le produit ne l’intéresse pas. Seule la crainte de l’inconnu motivera son choix. La force de l’habitude. « Le changement dans la continuité. » L’auteur de cet oxymore électoral avait tout compris. Promettre un changement qui ne changera rien. Plutôt souffrir avec ce que l’on connaît que tenter le diable promis par les médias… Bien des électeurs iront voter Macron avec le livre de Zemmour sous le bras. Merci pour le tour de manège et à dans cinq ans.

Les révélations pourtant explosives du livre Le traître et le néant n’y changeront rien. L’affaire n’est pas politique mais psychologique. L’alternance centre gauche centre droit est un ronron qui rassure l’électeur. Un feu de cheminée que le Français approvisionne tous les cinq ans d’une bûche identique à la précédente… Sans voir qu’il alimente un incendie.

Jany Leroy, Boulevard Voltaire

Menu 100 % halal à Science Po : Grenoble terreau de l’islamo-gauchisme

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Grâce à l’Union nationale inter-universitaire (UNI), l’information a fait le buzz : la cafétéria de Science Po Grenoble ne servira que du halal et des plats végétariens.
C’est la confirmation de la progression de l’islam et de l’halalisation dans notre pays que notre association dénonce en permanence depuis dix ans, depuis la création de Vigilance Halal.

Première constatation : cela se passe à Grenoble, ville gangrenée par l’islamo-gauchisme dont le maire Europe Ecologie Les Verts (EELV), Éric Piolle, défraie la chronique régulièrement. On se souvient des graves évènements de djihad urbain au quartier « sensible » de La Villeneuve, à ses actions pour l’accueil sans condition des « réfugiés ».

Deuxième constatation : c’est à ce même Science Po Grenoble que, en novembre 2020, deux professeurs avaient été victimes d’une cabale de la part d’étudiants pour cause d’islamophobie supposée et avaient vu leur nom jeté en pâture pour un lynchage en règle, sous la direction de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), syndicat totalement acquis à l’islamo-gauchisme. Tout ceci après l’assassinat de Samuel Paty. L’un de ces enseignants, professeur d’allemand et d’origine allemande, est même accusé de « nazisme génétique » !

Troisième constatation : c’est également à Grenoble que des actions militantes pro-burkini à répétition ont été organisées avec grand battage médiatique.
C’est dans ce terreau fertile grenoblois, gangrené par l’islamisation et en voie d’halalisation rapide que se produit le passage au halal de la cafétéria. C’est inadmissible certes, mais totalement logique et prévisible. En effet, sous la poussée d’une immigration musulmane massive conjuguée à la lâcheté et l’aveuglement, on a multiplié les accommodements « raisonnables ».

Parallèlement, des plats végétariens sont la seule alternative et le consommateur se trouve pris en étau entre deux idéologies destructrices de notre identité et de notre art de vivre.
Aux dernières nouvelles, cette initiative du halal ne serait plus d’actualité !
D’où l’utilité de la mobilisation et de la médiatisation de cette information qui a fait le buzz grâce à la « fachosphère ».

On ne pourra s’en sortir qu’en comprenant que l’islam est essentiellement une idéologie politique, juridique et culturelle et finalement assez peu une religion, et en tarissant le terreau sur lequel il se développe.

Alain de Peretti, Riposte Laïque

Marseille : Brigitte Macron dans les quartiers nord pour gratter des voix aux arabes.

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Bain de foule dans la France profonde pour Brigitte.

Maintenant on ne sait plus si les algériennes portent la burka ou le masque.

D.P.

Jules Torres : « 67% des Français considèrent qu’il y a un Grand remplacement. Il n’y a pas que les fans de Zemmour qui trouvent que leur pays n’est plus vraiment le leur »

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En lien :

23 octobre 2021 : en direct, un samedi de mobilisations

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Ce 23 octobre, les Gilet jaunes se rassemblent à Paris et plusieurs villes en région pour participer à une nouvelle manifestation anti-gouvernementale. Les protestataires s’opposent à la flambée du prix des carburants ainsi qu’à l’extension du pass sanitaire.

I-Média n°367 : Zemmour a la presse en ligne de mire !

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Zemmour a la presse en ligne de mire ! Eric Zemmour s’est déplacé au salon Milipol, un évènement dédié à la sécurité intérieure. Il a eu l’occasion de prendre en main un fusil de précision avec lequel il a tenu les journalistes en joue sur le ton de la blague. Les journalistes en sont restés blafards et Marlène Schiappa a réagi. Le prétendu “massacre du 17 octobre” est un bobard ! Chaque année, les médias relaient le récit forgé de toute pièce du “massacre du 17 octobre 1961”, selon lequel les policiers français auraient tué 200 algériens et en auraient jeté une bonne partie dans la Seine. Jean-Yves Le Gallou dézingue ce bobard historique ! Revue de presse Les séries Netflix : une influence destructrice sur les adolescents. Les séries Netflix telles que Sex Education font la promotion auprès des jeunes d’une “déconstruction” de la sexualité et prônent l’homosexualité et une sexualité décomplexée. De quoi désemparer les adolescents, encore en questionnement et en pleine construction.

La chanson du jour, Koop Island Blues – Koop Island Blues

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Voici un morceau où l’assemblage des voix et des instruments fonctionne à merveille. Musique totalement reposante avec beaucoup d’originalité. Le week-end commence bien.

Comment l’égalitarisme va tuer la société

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Nos anciens avaient choisi, et cela avait dû s’imposer à eux comme une évidence, de ne reconnaître qu ‘une « égalité de droits » aux êtres humains qui constituaient la Société.

Depuis quelques décennies, de nombreux mouvements, dont l’apparition n’est peut-être pas aussi spontanée qu’on voudrait le faire croire, ont entrepris de défendre ce qu’il est convenu d’appeler des minorités.

S’il était simplement agi de défendre les droits de ces minorités par rapport aux respect de la réglementation, éventuellement d’obtenir, en raison de certaines particularités, des amendements justifiés destinés à les protéger ou bien leur faciliter l’existence, personne n’aurait trouvé à y redire.

Un mal plus profond

Tant qu’il était question d’étendre certains droits à des groupes sociaux qui s’en voyaient écartés, comme -à titre d’exemple- le droit de vote des femmes ou de baisser l’âge de la majorité, cela ne remettait pas en cause les bases de notre organisation sociale.

Par contre, passer de la notion de l’égalité de droits à celle de l’égalité tout court risque de remettre en question l’essentiel de notre organisation.

Avant le Droit, régnait la Force

C’est ce qu’on appelle le « droit du plus fort » que d’aucuns comparent au « droit de la jungle ». Avant que le Droit ne soit codifié, par oral ou par écrit, le plus fort gagnait. Les plus faibles, qui n’étaient pas protégés, perdaient à tous les coups. Dans ce système, on voit que la survie de l’espèce risque d’être limitée car la notion de force ou de faible est relative. On peut donc considérer que le Droit est indispensable s’il est là pour protéger le faible des excès du fort.

Imaginons un instant qu’il en soit décidé autrement et qu’il n’y ait plus de distinction entre les êtres humains. C’est la définition de l’égalité, que de ne faire aucune différence entre deux individus.

Cela va naturellement à l’encontre de toute forme d’ordonnancement, car tout ordre suppose au moins un critère.

Sans la notion d’ordre, pas de société

La notion d’ordre est fondamentale. Le mathématicien fait une distinction entre l’ordre relatif et l’ordre total ou absolu. Pour expliciter, l’ordre relatif est le jeu de cartes qui s’appelle la « bataille » Deux cartes de couleur différentes ont la même valeur. Il faut jouer un tour supplémentaire pour savoir qui gagne. C’est un ordre relatif qui ne s’exerce que dans la couleur des cartes. Si, de plus, on met, comme c’est le cas du jeu de bridge, un ordre des couleurs entre elles, nous obtenons un ordre total.

Dans notre société, nous avons un ordre relatif, mais il est très important. Imaginez que, en raison du principe d’égalité de tous et de toutes, on supprime tous les concours car ceux qui sont refusés serons lésés par rapport à ceux qui sont reçus. Il en sera de même pour tous les systèmes de sélection. Pourquoi lui ou elle et pas moi ?

Cela vaut également pour les élections, et en particulier les élections de liste où le simple fait de figurer en position « éligible » implique l’élection, qui sera contestée par les non-élus.

C’est la négation même de toute forme de mérite, et plus personne ne sera capable d’exercer la moindre autorité sur d’autres personnes, ce qui est à peu près la définition de l’anarchie.

La parité, exemple type de cette déviance

Dès l’instant ou s’impose comme critère de recrutement un caractère qui vient troubler l’ordre naturel du mérite, ce dernier n’a plus de sens. Quelque soit le ou la candidate victorieuse, si la place suivante se doit d’être attribuée à quelqu’un de différent par son sexe, sa couleur, sa taille ou quoi que ce soit d’autre, on ne peut plus parler de mérite car le second reçu peut avoir un niveau très inférieur au troisième et l’ordre n’est donc plus respecté. L’obligation de parité homme-femme présente ce risque. Autant, alors, procéder par tirage au sort. La parité sera respectée mais peut-être aussi que la qualité du recrutement s’en ressentira et cela induira également une notion d’inégalité entre ceux qui seront choisis et les autres…

Peut-on imaginer une société sans ordre ?

Même en théorie pure, cela paraît impossible. La première nécessité, qui est celle de l’apprentissage des principes sociaux, suppose que les parents possèdent une autorité sur leurs enfants. Ensuite, à l’école, les enseignants doivent pouvoir également imposer leur autorité sans qu’elle soit contestée et il en set ainsi à tous les niveaux de l’organisation sociale. Peut-on imaginer une armée sans obéissance aux ordres donnés. Même dans les groupes non hiérarchisés, comme les associations, l’acceptation aux décisions est nécessaire, même s’il faut convaincre plutôt que contraindre.

En définitive, il semble que la phrase de Charles Péguy  prenne tout son sens :

« le désordre mène à la servitude, l’ordre -et l’ordre seul- génère la liberté. »

Jean Goychman 

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
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Lille : un terroriste échappe à son expulsion en refusant les tests PCR

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Un détenu condamné pour terrorisme a, pour l’instant, réussi à échapper à son expulsion vers le Maroc en refusant, à quatre reprises, de faire un test PCR, rapporte La voix du Nord.  

Une stratégie habilement menée

Mohamed Achir n’a pas le profil habituel des djihadistes : titulaire d’un DEUG de sociologie, il ne ressemble pas à un Salah Abdeslam ou aux frères Kouachi. Futé, celui qui a, comme le rappelle La Voix du Nord, fait « le tour de France des prisons » arrive à échapper à son expulsion vers le Maroc… en refusant de se soumettre aux tests PCR, obligatoires, à quatre reprises. 

Frappé d’un arrêté de reconduite à la frontière après sa condamnation pour terrorisme en 2019, ce trentenaire, arrivé en France à l’âge de cinq ans, sait comment se jouer du système judiciaire.

Gilbert Collard fait part de son exaspération

Une roublardise qui a choqué maître Gilbert Collard, qui s’est ému sur ses réseaux sociaux que pendant qu’on « vire nos médecins car ils ne sont pas vaccinés […] on ne peut pas virer les terroristes car ils refusent de se soumettre à un test #PCR ».

Le monde à l’envers pour l’avocat, qui fustige un « gouvernement de piqués ».

Boulevard Voltaire

Menaces d’incendie d’une école catho à Poitiers : tout est bon contre les cathos !

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« Brûle l’usine à fachos. »

Cette école tenue par des religieuses est « une institution à Poitiers » : c’est ainsi que nous la décrit Sabine de Préville, une mère d’élèves. Dans la nuit de lundi à mardi, des affiches sont placardées partout dans le centre de Poitiers et aux abords des différents bâtiments de l’école. Un texte haineux, incohérent et, pour tout dire, stupide et qui se termine par un appel à brûler « l’usine à fachos ». La bêtise de la cathophobie ordinaire qui sévit, en toute impunité, un peu partout en France y est fort bien représentée et les auteurs n’y vont pas de main morte : « Traditionalisme, normes de genre binaires imposées et intégrisme vont de pair avec des idéologies réactionnaires et haineuses. » Et comme il n’y a pour eux de vrai plaisir que dans l’insulte à 360°, les activistes qui pratiquent (les veinards) une haine « autorisée » tentent, sur ces affichettes, de fourrer l’intégralité de leur petit lexique antifasciste : >« Nous dénonçons cet enseignement qui entretient le sexisme, l’homophobie et la transphobie […] Nous dénonçons l’embrigadement des jeunes pictavien.ne.s dans des groupuscules fascistes. »Puis, à la fin de la page, « Nous dénonçons les mouvements chrétiens ayant pour but de priver les personnes LGBT de leurs droits. Les établissements comme l’Union chrétienne de Poitiers font grossir les rangs de l’extrême droite : brûle l’usine à facho »agrémenté du logo de l’école en flammes.

À la veille de la fête anniversaire de l’école – les 390 ans de la congrégation fondée par saint Vincent de Paul -, les religieuses, devant une telle violence dans les termes, ont porté plainte. Sabine de Préville, relayant un courrier de l’APEL [Association de parents d’élèves de l’enseignement libre, NDLR], explique qu’elles ont été rassurées par la police « quant au danger d’agression physique ». Pourtant, selon France Info« des collectifs d’extrême gauche ou de défense des droits LGBT font parties (sic) des pistes étudiées par les enquêteurs poitevins ».

Ils sont, bien sûr, connus pour leur extrême pacifisme.

Et puis ? C’est tout ?

Lors de la messe qui a rassemblé près de 1.200 personnes, le mercredi, la police était néanmoins présente : était-ce pour éviter l’irruption d’activistes sur le modèle des Femen ou par crainte d’un passage à l’acte ?

Lorsque des étudiants de l’ICES [Institut catholique d’études supérieures, NDLR] ont commis le crime impardonnable, et chèrement payé, d’aller crever trois ballons à un stand LGBT, la direction de l’ICES, la presse, que dis-je, le monde entier s’en est ému : la condamnation fut unanime, la répression exemplaire.

Ici, dans un silence assourdissant, des activistes LGBT d’extrême gauche peuvent, en toute impunité, aller traquer et injurier des religieuses, des parents et des enfants pour leur reprocher, surfant sur la puissante vague de la christianophobie, d’enseigner… le catéchisme dans une école catholique.

Car ils n’en sont pas à leur coup d’essai. Si Sabine de Préville, soutenue par une amie, a décidé d’alerter les médias pris très souvent d’une étrange torpeur dès qu’il s’agit de dénoncer ou simplement d’évoquer des agressions christianophobes, c’est que, dit-elle, « dans Poitiers, il y a en permanence des affiches LGBT, qui sont hyper virulentes. Tout le temps. On est placardé en permanence. Nous sommes deux mères de famille. On ne veut pas laisser passer ça, on n’utilise pas la force ni la violence mais on va s’adresser aux journaux. »

Et de conclure : « S’il s’était agi d’une autre structure que notre école, on n’aurait pas eu le même discours de la part des autorités. »

Et de la part de ces associations militantes ? Pourquoi est-ce toujours les catholiques qui sont attaqués ? Parce que, toujours, ils tendront l’autre joue ?

Après Vincent Peillon, la désastreuse Najat et Jean-Michel Blanquer, l’Éducation nationale fait preuve, depuis une dizaine d’années, d’un regain d’hostilité à l’égard du christianisme. Que ce soit dans la vision de l’école et de l’enfant, dans le contenu des enseignements dispensés, dans la volonté, aujourd’hui quasiment sans limites, « d’arracher l’enfant à ses déterminismes » – comprenez la famille, la religion et même la patrie (on ne parle plus jamais de la France, et toujours de la République) -, l’avancée totalitaire se poursuit sur les cerveaux de nos enfants. Cette violence idéologique faite aux Français continue, quotidienne, martelée année après année, a engendré la violence ici verbale – et demain physique – que nous voyons aujourd’hui à l’encontre de ce qu’il reste de la France.

Marie d’Armagnac, Boulevard Voltaire