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La campagne pour la troisième dose de vaccin contre le Covid-19 a débuté depuis septembre en France pour certains publics. La question de son intégration pour la validation du pass sanitaire est actuellement en discussion.
Troisième dose et pass sanitaire : où en est-on en France ?
La question est en suspens depuis plusieurs semaines. Le pass sanitaire sera-t-il bientôt conditionné à une troisième injection pour les Français ? Le 18 octobre dernier, le Premier ministre Jean Castex évoquait cette hypothèse en affirmant qu’il serait possible de conditionner le pass sanitaire des Français à l’injection d’une dose de rappel et donc, par extension, de suspendre le document des individus qui refuseraient cette fameuse troisième dose.
Toutefois, il plaçait la balle de la décision finale dans le camp de la Haute Autorité de Santé : « Les conditions pour bénéficier du pass sont fixées par la HAS. À la HAS de nous dire si nous devons ou non étendre l’éligibilité du pass à la troisième dose ? L’avis est sollicité ».
Une tendance alors confirmée par Matignon auprès de BFMTV : « La question de suspendre le pass vaccinal à une troisième dose va être soumise à l’arbitrage du président de la République et du Premier ministre. Puis, si c’est validé, il faudra un avis de la HAS et du Conseil scientifique ».
Cette question de l’éventuelle suspension du pass sanitaire faute d’une troisième dose agite exécutif depuis plusieurs semaines. Interrogée le 14 octobre sur Europe 1 quant à une possible perte du sésame pour les Français refusant cette troisième injection, la ministre du Travail Elisabeth Borne rétorquait : « C’est quelque chose que l’on est en train de regarder ».
Olivier Véran de nouveau sollicité sur la dose de rappel
Dernières déclarations en date sur le sujet, celles du ministre de la Santé Olivier Véran, qui était auditionné le 26 octobre au Sénat dans le cadre du projet de loi « vigilance sanitaire ». Les élus de la commission des lois et des affaires sociales ont demandé au ministre si une dose de rappel du vaccin contre le Covid-19 allait bientôt être nécessaire pour valider le pass sanitaire.
« Comptez-vous dans les mois à venir adapter le schéma de vaccination obligatoire et rendre nécessaire la troisième dose ? », a ainsi questionné la sénatrice LR, Pascal Gruny.
Olivier Véran a répondu ne pas avoir la réponse pour le moment : « Ça fait l’objet de réflexions et d’une saisine et aux autorités sanitaires compétentes, le comité de stratégie vaccinale, la Haute autorité de santé et le Conseil scientifique. Est-ce qu’il y a lieu ou non, pour conserver le bénéfice de son passe, d’une troisième dose, lorsqu’on est particulièrement fragile ? Je n’ai pas la réponse mais j’ai posé la question ».
Actuellement, la campagne de vaccination pour la troisième dose en France concerne les plus de 65 ans, les personnes présentant des comorbidités, les personnes sévèrement immunodéprimées ainsi que celles ayant reçu le vaccin Janssen.
Depuis le 5 octobre, à la suite de l’avis de la Haute Autorité de Santé, sont aussi concernés les professionnels de santé, l’ensemble des salariés du secteur de la santé et du secteur médico-social, les aides à domicile intervenant auprès de personnes vulnérables, les professionnels du transport sanitaire et les pompiers, quel que soit leur âge. Mais aussi les proches (de plus de 18 ans) de personnes immunodéprimées.
Kamel Madani, le taulard repenti, idole des médias, face à son passé
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La vidéo d’Éric Zemmour en visite plus ou moins électorale à Drancy, en Seine-Saint-Denis, sa terre natale, où on le voit dialoguer de manière plus que virile avec Kamel Madani, ancien voyou devenu professeur, n’en finit plus de tourner sur les réseaux sociaux.
Kamel Madani, c’est une sorte de conte de fées républicain. En effet, notre homme a commis quelques « bêtises » durant sa folle jeunesse, tel un braquage à main armée, « bêtise » un peu plus grave que celles consistant à chiper des pommes dans le verger du voisin, dira-t-on. La preuve en est qu’en 2014, il passe par la case prison. Il n’empêche, le Jean Valjean des « quartiers difficiles », même si né à Angers, ville pas tout à fait « difficile », sait faire preuve de « résilience », comme on dit aujourd’hui. La preuve par la page d’accueil de son site, « Naître innocent, se perdre pour se retrouver, assumer son passé, mais devoir combattre pour se réinventer. » C’est beau comme du Marc Lévy.
Mieux, « mon histoire est celle d’un enfant battu ». Snif. Mais, la rédemption, après son séjour carcéral où il passe tout plein de diplômes, n’exclut pas un avenir radieux : « Cette histoire de vie a été retranscrite dans un film documentaire sur France 3 et fait aujourd’hui l’objet d’un projet de développement audiovisuel. » Youpi. Car la vie édifiante de Kamel Madani a déjà fait l’objet d’un livre, De voyou à prof. Lequel lui vaut d’innombrables émissions télé, dont le Sept à huit de TF1, saint-Graal du genre. Comme quoi la France n’est finalement pas si mauvaise fille vis-à-vis des plus turbulents de ses enfants.
Seulement voilà, passé minuit, le carrosse peut aussi se changer en citrouille et les bondieuseries laïques en diableries relevant de simples faits-divers. D’où cet article de Ouest-France, remontant à 2018, et rappelé aux mémoires parfois défaillantes, par ces vilains taquins du site Fdesouche : « Angers, le voyou devenu prof… redevient détenu. » Malgré des initiales « KM » ne trompant finalement personne, c’est bien du même Kamel Madani dont il s’agirait.
Voilà qui nous rappelle à point nommé son jugement, le 10 octobre 2018, pour « harcèlement sur son ancienne compagne, mère de ses deux enfants ». On remarquera qu’en mars de la même année, il avait déjà écopé de six mois de prison avec sursis et d’une interdiction d’avoir le moindre contact avec ladite compagne. Et la procureure d’alors, Sophie Valente, de rappeler : « Il n’a pas cessé de violer ses obligations. » On remarquera encore que sur sa page Facebook, Kamel Madani affirmait, le 16 septembre 2020 : « J’ai fait partie depuis ma plus tendre enfance de ces RARES JEUNES qui refusent la misogynie, la mère de mes enfants peut en témoigner. » Docteur Kamel et mister Kadani ?
De même, celui qui se donne pour « enfant battu », allant même jusqu’à mettre sa jeunesse délinquante sur le dos de son père, est-il si net que ça sur la question ? Pas forcément, à en croire Ouest-France : « Il est poursuivi pour 1.100 messages et appels téléphoniques. Certains SMS vont au-delà de la prise de nouvelles des enfants. […] Il se sert de ses deux enfants pour pouvoir atteindre son ex. […] Crainte en parti justifiée par un rapport d’un conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation qui pointe un “risque de passage à l’acte violent contre son ex, homicidaire ou suicidaire.” Mardi 4 septembre, il “était convoqué au commissariat, il ne s’est pas présenté”, rappelle la représentante du ministère public. »
Certes, il est toujours délicat de juger de la paix des ménages mais le cas de Kamel Madani apparaît quelque peu problématique, puisque taulard réputé repenti, conjoint donné pour « violent », il n’y a pas si longtemps que ça, et qui, fort de ces états de service, se permet de donner des leçons de vertu à un potentiel candidat à la présidence de la République.
Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire
À Drancy, Zemmour va au carton : il n’est jamais mieux servi que par la (triste) réalité
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Lundi, pour la première de l’émission « Face à la rue » de Jean-Marc Morandini, Éric Zemmour est retourné dans la ville de son enfance, Drancy, en Seine-Saint-Denis.
C’est, sans conteste, l’émission la plus importante, la plus significative de son tour de France de précampagne. Et c’est sans doute pour cela que l’on veut réduire cette balade en Seine-Saint-Denis à une série de polémiques, de « punchline » et de gestes « honteux, déplacés », comme on peut lire sur les réseaux sociaux.
Bref, on lui demandait, à lui qui dénonce à longueur d’ouvrages et d’émissions l’islamisation de la France, lui qui a réussi – véritable tour de force – à imposer le terme – et le thème – tabou du « Grand Remplacement » dans le débat public, contraignant tous les responsables politiques, bien malgré eux, à s’emparer de la question identitaire et civilisationnelle, on lui demandait d’aller « au carton », de confronter ses idées avec la réalité. Et ce fut mouvementé !
Petit passage en revue.
Pendant une heure trente, il a déambulé dans les rues, discutant avec la population et avec des élus. La séquence avec Rachida Boukris, une musulmane qui revendique de porter le voile islamique « par choix » depuis quelques mois, a été très critiquée : la jeune femme est, depuis, la cible d’insultes de la part de certains de ses coreligionnaires. « Mon cœur, ma foi m’a guidée vers ce voile, vers ma confession qui est musulmane, pourtant je suis française », explique-t-elle. « Est-ce que vous imaginez, à La Mecque, une jeune femme en mini-jupe ? » lui rétorque Zemmour. « Vous dites à tout le monde « je suis musulmane, la France c’est la laïcité, on n’est pas dans un pays arabo-musulman »… Dans l’espace public, on ne dit pas à tout le monde « je suis musulmane », on dit je suis française. Le vêtement est éminemment politique […] il y a antithèse entre la liberté individuelle que vous revendiquez et l’islam qui ne connaît pas la liberté individuelle. » Elle lui propose d’enlever son voile pour montrer qu’elle est libre… et le remet aussitôt. « Vous vous contredisez, vous dites que c’est un acte de liberté et vous le remettez car c’est un signe religieux. » Elle tente : « Je suis musulmane et je suis une femme, vous êtes juif, ce n’est pas écrit sur votre front. » Une perche tendue saisie bien volontiers par le presque candidat : « Non, ce n’est pas écrit sur mon front, mais sur le vôtre, si. Merci madame. »
Séquence suivante, il rencontre Kamel, né en Algérie, délinquant multirécidiviste, qui possède la double nationalité et qui travaille, maintenant, pour l’Éducation nationale. Éric Zemmour lui dit qu’il aurait dû être expulsé vers l’Algérie, Kamel lui répond : « Mais l’Algérie n’est pas une poubelle ! » « La France non plus, monsieur, n’est pas une poubelle ! » lui renvoie-t-il. L’occasion était trop belle, c’était faire une insulte à son intelligence de ne pas croire qu’elle allait être saisie…
Puis une séquence avec un boucher halal à qui Jean-Marc Morandini demande si elle est française. Réponse : « Elle est musulmane. » Conclusion d’Éric Zemmour, un peu hilare : « Vous voyez, c’est pas moi qui le dis ! » Fermez le ban.
Il y eut aussi une rencontre avec le secrétaire général du Syndicat des commissaires de la police nationale, David Le Bars, sur les réponses à apporter à cette inflation de la haine anti-flics, à « une partie de la population qui conteste la police et qui est cautionnée par une partie de la classe politique qui trouve ça normal » (Le Bars), à ces « policiers qui sont vus comme des coupables en puissance alors qu’ils sont les vraies victimes » (Zemmour), à ce constat commun que la chaîne pénale, les lois et la plupart des juges qui appliquent ces lois sont défaillants. Lors de ces rencontres, à chaque déplacement, tandis que la foule grossit, elle devient plus contestatrice, plus bruyante, plus virulente : « La France, c’est nous, monsieur Zemmour », crient-ils. Cette même foule qui se met à hurler lorsque Zemmour propose de supprimer toutes les aides sociales aux parents d’enfants délinquants.
Et ainsi de suite : la rencontre avec une responsable d’association, avec un membre du comité de soutien d’Assa Traoré, avec un élu LREM, un autre de La France insoumise… Autant de mises en situation de tout ce que la France peut compter d’opposition à l’ex-journaliste du Figaro. Et autant de preuves par l’exemple de ce qu’il dénonce ?
Une série d’instantanés qui donnent à voir ce qu’est devenue cette France des banlieues, la puissance de la présence islamique en France, la vitalité de sa démographie et, plus généralement, la dimension de ce qui se joue dans cette élection présidentielle où, enfin, on parle de la France, de son passé qui l’a faite grande, de son présent qui la voit faible et des clés qui pourraient la restaurer ou l’abattre à jamais, diluée, engloutie dans une civilisation qui est son exacte antithèse.
Il ne convaincra pas les tenants du multiculturalisme, les gauchistes, les écolos : ces banlieues sont leur fonds de commerce. Mais il faudrait peut-être montrer cette plongée dans la banlieue française à tous ceux pour qui, tout à leur vision économiste de la politique, prétendent être rassurés par la gestion du pays de l’ancien de la banque Rothschild.
Il faut en finir avec cette vision amputée, et aujourd’hui criminelle, du destin français.
Boulevard Voltaire
Si les banlieues s’embrasent, l’armée parviendra-t-elle à les pacifier ?
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A-t-on les moyens d’affronter victorieusement une guerre civile ?
Telle est en fait la question que se posait Christian de Moliner, auteur de « La guerre de France » en 2018.
Il ne s’agit pas de jouer la carte du sensationnel mais de rester lucide face à une menace potentielle.
Le spectre d’une guerre civile plane depuis longtemps sur notre pays, menacé d’un embrasement généralisé par une immigration totalement incontrôlée et de moins en moins intégrée. Une guerre interconfessionnelle que les élites dirigeantes refusent de considérer, alors que les personnages les mieux renseignés du pays l’ont ouvertement évoquée.
Face à cette tragédie de plus en plus crédible, l’immense majorité des citoyens reste inconsciente du danger, bercée dans le confort de la société de consommation et anesthésiée par le discours bien-pensant de la diversité heureuse.
Et chez les élites, ceux qui tirent la sonnette d’alarme sont régulièrement diabolisés par les ayatollahs de la mondialisation, qui nient sciemment la réalité de la menace.
Même Emmanuel Macron préfère taire le sujet, avouant pitoyablement à Eric Zemmour :
« Si je parle comme vous, c’est la guerre civile. » Terrible aveu de soumission aux événements sans la moindre volonté de les affronter, sans la moindre volonté de sauver le pays de la tragédie ! Voilà le genre de dirigeants que nous avons depuis des décennies. Des lâches incapables de protéger la nation.
Le sage Boualem Sansal écrivait en 2020, après la décapitation de Samuel Paty :
« Tout cela montre que la France ne comprend toujours pas la réalité à laquelle elle est confrontée. Elle se croit frappée par des terroristes, des jeunes fichés S ou non, alors qu’elle subit une guérilla qui peu à peu prend son élan pour un jour atteindre les dimensions d’une guerre totale, comme beaucoup de pays l’ont vécue et la vivent encore à des degrés divers (Algérie, Mali, Afghanistan, Irak, Syrie, Libye, Somalie). »
La France connait une guerre civile à bas bruit, dit Jean-Pierre Chevènement.
Et en 2018, Gérard Collomb, parfaitement renseigné sur la situation explosive des banlieues, avouait :
« Aujourd’hui, nous vivons côte-à-côte. Je crains que demain nous vivions face-à-face. »
Par conséquent, si cette guerre civile éclate, serons-nous capable d’y faire face et de rétablir l’ordre républicain sur tout le territoire ? La question reste posée.
On se souvient qu’Eric Zemmour avait évoqué un « Plan Ronces », que nos armées auraient élaboré en s’inspirant de l’expérience israélienne de la guérilla urbaine, afin de reconquérir les banlieues entrées en insurrection.
Que les armées aient opposé un démenti pour ne pas attiser les braises n’étonnera personne. Mais il va de soi que nos unités de l’armée de Terre sont formées à la guérilla urbaine. Le contraire serait irresponsable.
Comme l’a dit Christian de Moliner, la probabilité d’une guerre civile est éminemment plus grande qu’une guerre entre Etats. Les émeutes de 2005 furent un avant goût d’une insurrection généralisée des 150 ou 200 territoires qui sont en perpétuelle ébullition à travers le pays.
La police serait dans l’impossibilité de rétablir l’ordre. Une émission de France 2 avait été annulée à Grigny 91, parce que les forces de l’ordre n’étaient pas en mesure d’assurer la sécurité des journalistes ! Et ça se passe en France, pas au Liban, ni au Mali, ni en Afghanistan, ni en Irak ! Nos policiers et gendarmes sont devenus impuissants, totalement paralysés et désarmés par un pouvoir poltron tétanisé par la peur des émeutes.
Un renoncement permanent qui sème les germes de cette guerre civile que le gouvernement veut éviter à tout prix. C’est reculer pour mieux sauter.
Il faudrait donc recourir à l’armée pour pacifier les banlieues entrées en rébellion.
Mais la France ne possède que quelques unités de combat, après des décennies de réductions d’effectifs et de coups de sabre dans le budget de la Défense. Voilà 40 ans que l’on « récupère les dividendes de la paix ».
Le budget est passé de 6% du PIB en 1960 à 1,6% en 2021. Il est tombé de 150 milliards à 40 milliards, en euros constants. C’est une armée squelettique qui devra se lancer à la reconquête des banlieues. Si on aligne 70 000 combattants, ce sera un exploit. On a déjà bien du mal à tenir sur la durée pour mener une opération Barkhane qui monopolise seulement 5000 soldats. Nous sommes incapables de supporter un conflit de grande intensité.
Comme le dit Christian de Moliner, en Algérie, nous avons aligné 1 million de soldats dans un pays de 10 millions d’habitants à l’époque. Notre armée de métier est à bout de souffle.
Sans oublier que nous avons 20% de soldats musulmans, dont la fiabilité et la fidélité ne sont pas garanties. Certains ont refusé de partir en Afghanistan combattre leurs « frères musulmans ».
Ce qui n’empêche pas les sunnites et les chiites de s’entretuer depuis 14 siècles, mais passons…
Et souvenez-vous de la mutinerie d’une soixantaine de marins musulmans sur le Foch en 1999. Certaines personnalités ont démenti, d’autres ont confirmé la véracité des faits.
Et de nombreux actes d’insoumission et de désertion ont été signalés dans les armées au temps de la conscription. Un problème majeur qui n’est pas étranger à la professionnalisation des armées voulue par Chirac.
Il est donc probable qu’en cas d’insurrection des banlieues, certains soldats musulmans refuseront de combattre ou rejoindront les insurgés.
J’ajoute que de nombreux combattants musulmans étrangers tenteront de venir prêter main forte à leurs frères contre les « mécréants ». Tel fut le cas en Tchétchénie lors de la guerre contre les soldats russes.
Christian de Moliner est catégorique. Nous n’avons pas notre « Garde nationale » à l’américaine.
« Nous sommes démunis et si une déflagration éclatait nous devrions faire face avec des moyens squelettiques. Regardons la vérité en face : nous n’avons pas pour le moment les moyens de gagner la guerre de France. »
Devant une telle affirmation, on aimerait avoir l’avis de militaires de haut rang, au fait de la situation.
Mais quand l’armée aura reconquis certains quartiers qu’il faudra occuper durablement, elle devra faire face à une guérilla permanente. Le tout avec des effectifs squelettiques.
« Des poches d’insoumission parsèmeront notre territoire, tandis qu’attentats et meurtres au couteau seront quotidiens dans tout le pays », ajoute de Moliner.
Bombes dans les cinémas et les restaurants seront au menu. Un remake de la bataille d’Alger disait Zemmour, mais sur notre sol. Ce n’est pas exactement ce que prévoyait la « mondialisation heureuse »…
Mais quand un pays est dirigé par des ânes inconscients depuis 40 ans, le pire devient possible. Ils n’ont jamais voulu admettre que les cultures ne se mélangent pas, et l’islam encore moins que les autres.
Un équilibre s’instaurera, avec une partition de certains quartiers, des enclaves où ni la police ni l’armée n’entreront. Les islamistes et les caïds y imposeront leur loi, comme c’est déjà le cas.
Des havres de paix et de sécurité se créeront, comme on le voit en Afrique du Sud depuis l’explosion de la violence. En fait, on assistera à une libanisation du pays, avec des no man’s lands abandonnés par la République.
La partition dont parlait Hollande sera devenue réalité.
Mais cédons la parole à Christian de Moliner :
« Je laisse les lecteurs estimer s’il s’agit d’une bonne chose ou d’une abomination raciste et réactionnaire, mais on ne pourra pas toujours ignorer le désir d’une partie des Français ordinaires de vivre dans des zones où leurs valeurs (qui sont basées sur la liberté et l’égalité devant la loi) s’appliqueront. Certains de nos compatriotes sont en effet fatigués d’être continuellement traités de racistes alors qu’ils ne le sont pas, ils ne supportent plus d’être sommés de s’excuser pour des crimes commis par 0,02 % de leurs ancêtres, alors que ceux qui les accusent ont parfois des aïeux esclavagistes. »
« On ignore si le Pouvoir actuel a conscience de la gravité de la situation ou s’il laisse aux seuls militaires le soin de dresser des plans, mais avec le naufrage économique qui nous attend il s’agit du plus grave problème que rencontre la France de 2020. »
Non, les dirigeants n’ont pas conscience de la gravité de la situation. Quand on voit le comportement misérable de Macron à Saint-Martin, on comprend qu’il n’a rien du chef de guerre lucide et responsable. N’est pas de Gaulle qui veut. Le seul qui puisse nous éviter un conflit interconfessionnel sanglant, c’est Eric Zemmour.
Les autres sont de sinistres pantins.
Certains verront dans cet article un fantasme d’extrême droite, un pur délire de « facho », comme on l’entend pour le Grand Remplacement ou l’insécurité. Je les invite à réécouter la tribune des généraux parue il y a quelques mois, lesquels dénonçaient le risque bien réel d’une guerre civile. Un risque aussitôt mis sous le tapis par Macron.
A ce jour, c’est encore la politique de l’autruche qui prévaut. Continuons donc à danser sur le volcan en ébullition, en attendant la déflagration dans l’insouciance la plus totale.
Le fracas des kalachnikovs mettra tout le monde d’accord…
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
La chute de la fréquentation des cinémas, concerts et théâtres atteint jusqu’à -75% !
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Le passeport sanitaire fonctionne parfaitement.
Le problème, c’est que les gens sont trop terrorisés par la Grippe 19 pour oser s’en servir !
CNews :
Le constat est alarmant. Selon une étude réalisée en septembre par Harris Interactive à la demande du gouvernement, près d’un Français sur deux ne s’est pas rendu dans un lieu culturel depuis l’instauration du pass sanitaire le 21 juillet dernier, alors qu’ils étaient 88 % à les fréquenter avant la pandémie.
C’est ce que révèle le journal Le Monde, qui a pu se procurer les conclusions de cette étude. Alors que la ministre de la Culture Roselyne Bachelot doit revenir, ce mercredi 27 octobre, sur ces résultats, les chiffres font froid dans le dos.
Ainsi depuis l’instauration du pass sanitaire dans les lieux de culture, seulement 51 % des Français qui se rendaient au cinéma, au moins une fois par an, sont retournés dans les salles obscures. Même son de cloche du côté des musées puisque seuls 40 % des amateurs d’art ont retrouvé les allées de ces lieux. L’art vivant est quant à lui encore plus durement touché. Un peu plus de 70 % des mélomanes se rendant au moins une fois dans l’année à un concert n’ont pas assisté à un tel événement. Les théâtres sont eux aussi désertés selon ces chiffres, puisque 75 % des spectateurs n’ont pas mis les pieds dans une salle de spectacle depuis le 21 juillet.
Résumons :
- Cinémas : -49%
- Musées : -60%
- Concerts : -70%
- Théâtre : -75%
C’est la preuve que ça marche.
Des chiffres qui donnent le vertige et pourraient être amenés à durer. Près d’un tiers des Français assurent en effet qu’ils fréquenteront dorénavant moins les lieux culturels. En cause ? La crainte, pour 52 % d’entre eux, d’être contaminés en se rendant dans ces établissements. Des cinémas, musées, théâtres, qui pourraient également avoir à faire face à la concurrence des contenus numériques, alors que près de 25 % des Français pensent plébisciter ces formats à l’avenir.
C’est sans importance. Dans un système soviétisé, il suffit que l’Etat imprime de l’argent pour acheter des tickets imaginaires.
A six mois des élections, Macron va déverser des milliards supplémentaires sur le showbiz gauchiste.
Les gueux devront ensuite les rembourser !
Merci à D.P.
Point sur la vaccination et ses possibles effets secondaires
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Clémence Houdiakova et l’équipe de la «Ligne Droite» ont proposé jeudi 21 octobre une émission spéciale où des victimes d’effets secondaires graves et indésirables du vaccin contre le Covid-19 ont témoigné de leur expérience. Pour décrypter leurs témoignages, étaient en présents: ~ Alexandra Henrion-Caude, généticienne, directrice de l’institut de recherche Simplissima, ancienne directrice de recherche à l’Inserm ~ Dr Olivier Soulier, médecin généraliste, responsable des soignants du Collectif Reinfo Covid, co-fondateur et responsable presse du syndicat Liberté Santé ~ Marc Doyer, témoin
Biarritz : Éric Zemmour rend hommage à Philippe Monguillot, chauffeur de bus tué à Bayonne, en présence de sa veuve Véronique
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Retour sur l'émission #FaceALaRue d'hier sur #CNews. “Est-ce que la réalité n'a pas dépassé vos pronostics ? demande un lecteur à #Zemmour. “Non, répond-il. Tout le monde sait ce qu'il se passe, il n'y a que les gens de la télé et les politiques qui nient la réalité.”
— Jules Torres (@JulesTorres17) October 26, 2021
Eric Zemmour est venu constater que sa popularité était au beau fixe sous le soleil de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques). Ce mardi 26 octobre, 1 200 personnes sont venues écouter l’ancienne star de CNEWS à la salle Iraty, dont les militants de Génération Z. Parmi les sympathisants venus écouter celui qui n’est pas encore officiellement candidat, on note la présence de Véronique Monguillot. Eric Zemmour a rendu hommage à son mari, le chauffeur de bus Philippe Monguillot, « ignoblement assassiné » dans l’exercice de son métier en juillet 2020. L’auteur du Suicide français a remercié la veuve d’être venue l’écouter : « votre mari n’aurait jamais dû être assassiné et serait toujours à vos côtés si on avait mené une politique sérieuse en matière d’immigration et de sécurité depuis 20 ans».
Ce soir, j’ai voulu rendre hommage à Madame #Monguillot et à son mari Philippe, chauffeur de bus, lâchement assassiné par la racaille à Bayonne. Nous devons nous battre pour ces familles meurtries dans leur chair.#Biarritz pic.twitter.com/RQ2XvhbFWc
— Eric Zemmour (@ZemmourEric) October 26, 2021