Après les personnes âgées d’au moins 65 ans et celles souffrant de comorbidités, au tour des soignants ? Probablement. La Haute autorité de santé préconise ce mercredi que les professionnels de santé, médico-sociaux, mais aussi l’entourage des personnes immunodéprimées soient invités à recevoir une dose de rappel de vaccin contre le Covid-19 (le plus souvent une troisième dose), au moins six mois après la dernière injection. Au total, près de 3,7 millions d’habitants seront concernés.
Dans ce nouvel avis, la HAS rappelle que les vaccins perdent en efficacité au fil des mois, surtout contre l’infection. Or, les soignants sont « à la fois plus exposés et plus susceptibles de transmettre la maladie par leur contact direct avec les patients » et la dose de rappel permettra de « leur conférer la meilleure protection possible face au variant Delta ». Le vaccin Pfizer est le seul à disposer d’une extension d’autorisation de mise sur le marché européen pour de tels rappels, mais la HAS note que Moderna peut aussi être utilisé.
Moderna, c’est de la bonne.
Rien de tel qu’un cœur détruit à 30 ans pour obéir à Macron.
« On ne revient pas sur les précédentes recommandations qui ont été faites (c’est-à-dire commencer par les personnes âgées ou fragiles) mais on n’a pas encore assez de données pour recommander une dose de rappel pour tous », souligne le Pr Jean-Daniel Lelièvre, chef du service d’immunologie clinique et maladies infectieuses et tropicales du CHU Henri Mondor (Créteil) et expert auprès de la HAS.
Celle-ci met aussi en avant la situation sanitaire actuelle très favorable ainsi que « les données encore limitées sur les conséquences d’un déclin de l’efficacité vaccinale au cours du temps chez les adultes jeunes, sans comorbidités ». Mais elle précise aussitôt après que « l’administration d’une dose de rappel (pour toute la population) deviendra probablement nécessaire au cours des mois qui viennent ».
Concernant les éventuels effets secondaires, comme les péricardites, la HAS dit disposer de données « rassurantes ». « Il faudra être un peu patient pour avoir une idée précise de la réactogénicité des doses de rappel, mais il n’y a pas eu de signaux particuliers pour l’instant », nous indique Cyrille Cohen, immunologue à l’université Bar-Ilan (Tel-Aviv) et membre du conseil consultatif sur les essais cliniques des vaccins contre le Covid-19.
Pendant que les Français […] non vaccinés paieront de leurs poches pour ne pas être empoisonnés par Pfizer et Moderna, la CMU et la CAF continueront de soigner l’Afrique gratuitement.
Les tests de confort gratuits, c’est bientôt de l’histoire ancienne ! Dans moins de dix jours, le 15 octobre exactement, les tests de dépistage de la Covid-19 deviendront payants et donc non pris en charge pour la Sécurité sociale, sauf exceptions. Comme l’a confirmé à Capital ce jeudi 7 octobre le cabinet du ministre des Solidarités et de la santé Olivier Véran, les tarifs iront d’au moins 22 euros pour un antigénique et jusqu’à 44 euros pour un test PCR. Attention, passer un test antigénique en laboratoire de biologie médicale coûtera légèrement moins cher qu’en pharmacie : 22 euros en laboratoire contre 25 euros en pharmacie. Le tarif en officine grimpera même jusqu’à 30 euros le dimanche.
En revanche ils seront gratuits pour les injectés.
C’est une taxe à payer au gouvernement (((Pfizer))).
🇫🇷 FLASH – Les tests #COVID19 coûteront minimum 22 euros pour les antigéniques et 44 euros pour les PCR pour les personnes non vaccinées sans ordonnance, à partir du 15 octobre. Les tests resteront gratuits pour les personnes vaccinées sur présentation du #PassSanitaire. (BFMTV)
Il y a une alternative moins coûteuse. Cherchez une pharmacie qui réalisent vend et réalisent des autotests. C’est 22 euros la boîte de 5 tests et 12,90 euros avec la vérification du test par le pharmacien.
L’Islande a suspendu vendredi le vaccin anti-Covid-19 du laboratoire américain Moderna, invoquant de légers risques accrus d’inflammations cardiaques. Avec cette décision, le pays va plus loin que ses voisins nordiques qui ont, eux, simplement limité son usage.
«Comme l’approvisionnement en vaccin Pfizer est suffisant sur le territoire (…), le chef épidémiologiste a décidé de ne pas utiliser le vaccin Moderna en Islande», indique un communiqué publié sur le site de la Direction de la Santé.
Cette décision est motivée par «l’augmentation de l’incidence de myocardite et de péricardite après la vaccination avec le vaccin Moderna, en plus de la vaccination avec Pfizer/BioNTech», a précisé le chef épidémiologiste dans un communiqué.
Depuis deux mois, l’Islande procédait à l’administration d’une dose supplémentaire «presque exclusivement» avec le vaccin Moderna pour les Islandais vaccinés avec Janssen, sérum unidose commercialisé par le laboratoire américain Johnson & Johnson, ainsi que pour les personnes âgées et immunodéprimées ayant reçu deux doses d’un autre vaccin.
Cela n’aura pas d’incidence sur la campagne de vaccination dans la vaste île de l’Atlantique nord de 370’000 habitants, où 88% de la population âgée de plus de 12 ans est déjà entièrement vaccinée.
Depuis jeudi, la Suède et la Finlande ont également suspendu l’emploi du vaccin Moderna mais uniquement pour les moins de 30 ans, et le Danemark et la Norvège l’ont formellement déconseillé pour les moins de 18 ans, en raison d’un risque d’inflammation du myocarde, muscle cardiaque, et du péricarde, la membrane recouvrant le cœur.
Selon les autorités suédoises, la plupart de ces inflammations sont bénignes et passent d’elles-mêmes, mais un avis médical est recommandé en cas de symptômes.
Les maltraitances infligées aux enfants font couler de l’encre et du pixel, entre la remise du rapport de la CIASE à l’Église catholique et l’intervention musclée d’Éric Zemmour au micro d’Europe 1. Il n’a pas hésité à comparer la prescription, à des enfants qualifiés de transgenres, de bloqueurs de puberté aux expériences du tristement célèbre docteur Josef Mengele, qui se servait de déportés comme d’un matériau d’expérience médicale. Il dénonce, en outre, la complaisance du ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer, dont la circulaire ouvre la boîte de Pandore : l’Éducation nationale qui se veut plus inclusive tentera de s’adapter aux désirs de l’enfant en matière d’identité/désignation (prénoms/pronoms), de vêtements et d’usage des lieux dits d’intimité (toilettes, vestiaires, internats).
Bien sûr, Éric Zemmour ne vise que ceux qui promeuvent des médications précoces aux enfants. Blanquer serait, selon Zemmour, celui qui leur ouvre la porte.
L’usage des bloqueurs de puberté a pour objectif d’inhiber, de minimiser l’expression des marqueurs physiologiques liés au sexe, à l’adolescence. Le principe sous-jacent est qu’une fille qui se sentirait garçon souffrirait du développement de sa poitrine et de l’apparition de ses règles ou qu’un garçon qui, à l’inverse, se sentirait fille déplorerait une trop abondante pilosité, une voix grave ou l’apparition d’une pomme d’Adam. Les traitements de réassignation (chirurgie) ultérieurs deviennent, de fait, moins invasifs, moins lourds quand la puberté a été bloquée. Mais l’usage de ces médicaments est dangereux et présente des effets secondaires sérieux et nombreux. Des médecins demandent l’arrêt de toutes ces thérapies. Bien sûr, les tenants du lobby LGBT présentent ces traitements comme un simple bouton « pause » sans autre effet que celui recherché.
Il serait tellement plus sage d’écouter la voix du bon sens, incarnée par Marie-Estelle Dupont au micro de CNews. Oui, prendre trop au sérieux la parole d’un enfant perturbé relève de la maltraitance. Il est temps que les adultes deviennent responsables. Et que le ministère de l’Éducation nationale redevienne celui de l’instruction publique.
«Le rôle de l'adulte, c'est d'accompagner l'enfant dans ce processus de deuil pour qu'il aime son genre […] On fonce tout droit dans un délire psychotique», Marie-Estelle Dupont, psychologue et auteure dans #HDProspic.twitter.com/s2cx01c7KJ
Ce 5 octobre 2021, Éric Zemmour, que le sondage Challenges-Harris Interactive donne au deuxième tour de l’élection présidentielle, s’est longuement confié, sans fard et sans tabou, au micro de Boulevard Voltaire. Son nouveau statut, Bernard Tapie, son livre La France n’a pas dit son dernier mot, les limites du libéralisme, les chefs d’État qui l’inspirent : Zemmour nous dit tout. Durant quatre jours, nous publions pour vous en quatre épisodes le son et le texte des confidences de celui qui fait trembler le paysage politique français. Voici aujourd’hui l’épisode 3. Vous retrouverez les épisodes 1 et 2 déjà publiés sur le site.
Marc Baudriller : On attendait un débat entre Marine Le Pen et Macron, ce ne sera peut-être pas cela.[Dans « la survie de la France en tant que France », ndlr], il y a tout l’enjeu de la présidentielle. Nous sommes effectivement, (avec Emmanuel Macron) les deux pôles d’un vrai débat non pas de société mais de civilisation. Ce débat aura lieu grâce aux sondages. Ce débat ne pourra pas ne pas avoir lieu. Nous avons déjà eu Marine Le Pen au second tour et elle n’a pas imposé ce débat, elle a parlé d’autre chose. Je pense que c’est cela, qui se passe aujourd’hui. Lorsqu’elle en avait l’occasion, elle n’avait pas choisi d’imposer cette question-là. Elle a préféré parler de l’Europe et de l’euro, qui sont des questions importantes. Donc, son tour est passé…
M. B. : Une campagne, c’est un peu d’argent. Avez-vous des donateurs ? Êtes-vous prêt à passer sous les fourches de la déclaration de patrimoine ?
Je trouve que cette transparence obsessionnelle est assez malsaine, mais je respecte la loi. Maintenant, pour l’argent de la campagne, on verra bien. Ce sont des questions que je ne maîtrise pas encore vraiment. Pour l’instant, je ne peux pas en parler.
M. B. : Pensez-vous à une alliance avec les nationaux, Front national, Dupont-Aignan, LR ou une partie de LR ? À votre avis, qui est le plus dangereux pour vous, parmi les candidats à la candidature LR ?
J’ai milité depuis vingt ans pour la destruction de ce stupide et suicidaire front républicain dans lequel la droite s’est emmêlée les pinceaux depuis trente ans, tombant dans le piège. J’ai vu que Valérie Pécresse affirmait que tout son engagement politique reposait sur ce front républicain. Grand bien lui fasse ! Personnellement, j’ai d’autres engagements politiques et je pense qu’il y a des choses beaucoup plus importantes. Le front républicain est stupide. Il a divisé des électorats qui étaient faits pour être ensemble et qui furent ensemble au temps du général de Gaulle, au temps de Georges Pompidou et même, dans une moindre mesure, au temps de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Ce sont des électorats patriotiques, c’est la bourgeoisie patriote. La séparation entre ces deux électorats est criminelle, pour la droite. Par conséquent, il faut les rassembler. Le problème, c’est que le Front national n’a que les classes populaires et que LR n’a que les retraités CSP+. Dans cette configuration, personne ne peut gagner. Il faut donc rassembler les deux et je pense que c’est possible. Est-ce que la France restera la France, c’est-à-dire, comme disait le général de Gaulle, un pays de race blanche, de religion chrétienne et de culture gréco-romaine ? Je suis favorable à cela. Il est possible de rassembler ces électorats. Maintenant, la présidentielle n’est pas l’élection législative. Nous ne sommes pas en Allemagne. Nous n’allons pas faire des coalitions. Les présidentielles, c’est un homme, un peuple, et après, qui m’aime me suive ! Celui qui est au second tour rassemble des gens qui sont avec lui et contre l’adversaire. C’est comme cela que cela se passe, dans la Ve République. Il n’y a pas d’alliance de partis, pas de coalition. Je crois que c’est ainsi qu’il faut voir les choses.
G. C. : Comment vous définiriez-vous ? Conservateur, réactionnaire, libéral, colbertiste, souverainiste, somewhere parmi les anywhere ? Tout cela à la fois ? N’est-ce pas contradictoire ?
C’est effectivement tout cela à la fois. Je dirais aussi patriote, gaulliste. On peut être conservateur parce qu’il faut conserver ce qui est beau et ce qui est en danger. On peut être réactionnaire sur certains points parce qu’on estime que, dans le passé, les choses marchaient mieux sur ces points. Par exemple, l’école et l’assimilation, dans les années 1960, fonctionnaient mieux. Il faut s’inspirer de ce qui se faisait. Je remarque, pour l’école, que les Asiatiques qui sont à la pointe de la modernité font exactement ce que l’on faisait dans les années 1960 : l’école sur le mérite, sur l’excellence et pas du tout sur notre obsession de l’inclusion. On peut être souverainiste dans le sens où il faut récupérer le maximum de la souveraineté que nous avons abandonnée à l’Europe, voire aux régions et autres. Il faudrait que l’État récupère cette souveraineté car cela a été une perte irréparable. On est un peu tout cela, le mouvement gaulliste, bonapartiste. Dans l’histoire des idées politiques de la France, on sait ce que c’est. Lorsque je vous parlais d’alliance sociologique entre les classes populaires et la bourgeoisie patriote, c’est en fait Napoléon III, Disraeli en Angleterre, Bismarck en Allemagne, Clemenceau en 1917 ou le général de Gaulle. On sait ce qu’est cette sociologie-là et ce qu’est ce créneau politique.
Gabrielle Cluzel : N’y a-t-il pas confusion dans le terme libéral avec ce que l’on pourrait appeler le petit libéralisme, le vôtre, celui des petites et moyennes entreprises qui ont envie que l’État descende de leur dos quand elles veulent entreprendre et le grand libéralisme, l’ultralibéralisme, celui des grandes entreprises qui prônent le mondialisme et l’ouverture des frontières pour prospérer ?
C’est même pire que ce que vous dites. Depuis les années 1980, le libéralisme est devenu l’allié des libertaires soixante-huitards, avec de grandes entreprises qui font le jeu des idéologies d’extrême gauche, Benetton et Compagnie. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas tenir un discours qui, enfin, réduise le poids des charges sociales et même des normes environnementales. Les entreprises ont délocalisé et les patrons des petites entreprises accablés de charges, d’impôts et de droits de succession ne peuvent pas transmettre à leurs enfants l’outil de travail qu’ils ont souvent édifié de leurs mains. C’est la folie française. En Italie, ils ont réduit à presque rien les droits de succession sur les entreprises. Ils ont pu, ainsi, conserver tout un tissu de petites entreprises qui irriguent le pays, en particulier le nord, et qui a permis à l’Italie de garder 24 % ou 25 % de part de l’industrie dans sa production, comme l’Allemagne, alors que nous, nous sommes descendus à 12-13 %. Nous étions pourtant, aussi, à 24 %. La désindustrialisation a touché la France, mais n’a pas touché l’Italie ni l’Allemagne. Il y a tout de même des raisons propres à la France. On peut être très critique sur l’euro ou le libre-échange, Dieu sait si j’ai été critique. L’entrée de la Chine dans l’OMC a été une folie de nos dirigeants occidentaux en 2001. Ils ont vraiment sacrifié les productions européennes et américaines aux consommateurs. Paul Krugman, économiste américain, disait : « Qu’est-ce que la mondialisation ? C’est l’alliance entre le Parti communiste chinois et Walmart », le super Carrefour américain. Il ne faut pas oublier que l’on a choisi le consommateur, l’Europe étant le porte-drapeau de cette idéologie consumériste uniquement axée sur la concurrence et le meilleur prix du consommateur. On a oublié que l’on était aussi des producteurs. Nous avons sacrifié plus [que nos voisins]. L’Allemagne et l’Italie n’ont pas sacrifié leur industrie. Si réduire les charges, les impôts, les normes, c’est être libéral, alors je suis libéral ! Si c’est plébisciter le libre-échange à tout crin et l’idéologie libertaire, je ne suis pas libéral. Ce mot ne veut plus rien dire. Ce mot est né à gauche au XIXe siècle et il est passé à droite sous l’influence des communistes. C’est devenu un mot-valise qui ne fait plus sens.
M. B. : Y a-t-il des chefs d’État actuels qui vous inspirent ?
J’apprécie des gens qui sont des patriotes et qui défendent leur pays. Poutine, Orbán défendent leur pays et une certaine idée de l’Europe chrétienne. Ils ont compris les enjeux historiques de cette vague démographique venue du Sud et ils en tiennent compte. Je pense que ce sont vraiment les grands hommes d’État de ce début de XXIe siècle. Le reste [des hommes d’État] ne veut pas comprendre et se soumet à la doxa dominante, se soumet à la démographie, se soumet aux juges et se soumet aux médias. En Occident, on a renoncé complètement à défendre son pays et l’avenir de son peuple.
M. B. : Vous ne parlez pas de Boris Johnson ou de Trump.
Je pourrais, effectivement. Je ne comprends pas toujours la position et les choix politiques de Boris Johnson. Il m’a l’air un peu moins ferme sur ses convictions, mais il faut reconnaître que c’est Boris Johnson qui a reconstitué, en Angleterre, l’alliance bonapartiste gaulliste entre les classes populaires et une bourgeoisie patriote. On a vu des régions qui votaient travailliste depuis l’après-guerre et qui, soudain, se sont retournées et ont voté pour le Parti conservateur. Le même parti qui, trente ans plus tôt, avec Margaret Thatcher, les avait saignés aux quatre veines. Je pense, effectivement, que la stratégie politique de Johnson a été remarquable. Pareil pour Trump. Non seulement Trump a réussi cette alliance, mais, en plus, il a très bien identifié instinctivement les deux moteurs et les deux axes politiques essentiels que sont l’immigration d’un côté et l’industrie de l’autre. Sa campagne de 2016 marchait sur ces deux pieds-là. C’est comme cela qu’il a battu les démocrates et c’est comme cela que lui aussi a récupéré une partie de l’électorat populaire qui votait démocrate depuis les années 1960.
G. C. : Tirez-vous une leçon personnelle, pour l’avenir, de l’échec de Donald Trump à se faire réélire ?
Je pense que Donald Trump a vraiment perdu, au-delà des histoires de fraudes. Je ne suis pas aux États-Unis et je ne connais pas cela de l’intérieur, mais je pense que Donald Trump a été victime de son ego. Tactiquement, il est tombé dans le piège des démocrates. Les démocrates ont voulu faire de cette élection un référendum pro et anti-Trump et il est tombé dans ce panneau-là par vanité. Ce fut une erreur de sa part. C’est facile à dire de loin, mais on voit mieux de loin. Il aurait dû revenir sur ses fondamentaux. Je crois que la politique, c’est d’abord le combat des idées. Et Trump avait les bonnes idées : immigration et industrie. En France, on rajouterait l’école pour des raisons évidentes. Je pense que ce sont les thèmes fondamentaux sur lesquels 70 % de la population française sont d’accord. Je crois que Trump l’a oublié. Il avait tous les médias contre lui, l’establishment contre lui et l’État profond contre lui. Ce n’était pas simple, je ne donne pas de leçons, mais j’essaie d’analyser à froid. Ce sont mes restes de journaliste politique. Je pense que ce fut son erreur.
Monsieur Richard Boutry dérape dans une vidéo (voir en bas de cette page). Le site Rutube.fr qui avait un lien vers la chaine “La Une TV” retire ce lien suite à ces idées de Richard Boutry.
L’avis de Pierre Cassens :
Vidéo hallucinante de Richard Boutry, qui, à la veille des manifestations contre le passe sanitaire, attaque gratuitement Éric Zemmour, faisant le jeu de la caste politicienne qu’il prétend combattre.
Plusieurs angles scandaleux dans cette vidéo. D’abord la victimisation des musulmans, et le fait qu’il parle de la dignité des voilées, accusant Éric Zemmour, qui défend la France et son mode de vie, d’être l’agresseur qui les menace.
Mais surtout la haine des juifs, et une obsession à leur encontre digne de la ligne d’Égalité et Réconciliation. Il ose qualifier Zemmour de “juif berbère algérien”, lui niant ainsi, de manière raciste, toute appartenance à la Nation française.
On en a connu qui ont fini devant la 17e chambre pour moins que cela. Mais eux n’attaquaient pas Éric Zemmour, contre qui tous les coups paraissent permis par le régime, et sa fausse opposition.
1) Covid, les Français la corde au cou Depuis près de deux ans et l’arrivée du Covid-19, Emmanuel Macron a choisi de gérer la crise avec la coercition et les restrictions des libertés individuelles. Alors que l’épidémie est stabilisée à des seuils très bas, le gouvernement planche toujours sur une prolongation du pass-sanitaire. Nicolas Dupont-Aignan, président de DLF et candidat à la présidentielle, alerte les Français sur ce qu’ils ont tendance à laisser faire. 2) Zemmour, le candidat qui chamboule tout ? Pour la première fois depuis 2013, un sondage (Harris Interactive) exclue Marine Le Pen du second tour de la présidentielle. Donné à 17%, le pas encore candidat Eric Zemmour se hisse dans le duel pour l’Elysée face à Emmanuel Macron. Bulle médiatique ou salut public, que penser de cette hypothétique candidature ? Nicolas Dupont-Aignan doit-il se rallier à un candidat mieux placé dans les sondages ? 3) Où va le pognon ? Alors que la France a un taux de prélèvement obligatoire record, la crise du Covid-19 a montré combien le service public – et particulièrement les hôpitaux – était à l’agonie. Dans son livre “Où va le pognon ?” (Ed. L’Archipel), Nicolas Dupont-Aignan explique comment il redresse la ville de Yerres (Essonne) où il est devenu maire en 1995. Avec des explications simples, il explique comment lutter contre la fraude sociale (cartes vitales, retraites à l’étranger, etc…), réindustrialiser le pays et rendre du pouvoir d’achat aux Français sans peser sur les entreprises.
*De nombreuses manifestations contre le pass sanitaire sont prévues ce 9 octobre dans plusieurs villes de France. A Paris, trois cortèges sont attendus, dont un de Gilets jaunes et un autre organisé par le parti Les Patriotes de Florian Philippot. #France#Paris#manifestation
🔴 @Valeurs a eu accès aux derniers éléments versés à l'instruction du procès sur la mort d' #Adama#Traoré. Qu'y découvre-t-on ? ➡️Que les enquêteurs ont mis la main sur différents éléments & témoignages qui tendent à confirmer l'importance des pblm de santé d' #Adama Traoré pic.twitter.com/bOsOxjGEUp
Les choses pourraient bien changer avec les nouveaux éléments versés au dossier d’instruction, que Valeurs actuelles a pu consulter. Parmi eux, le témoignage d’un second témoin de l’arrestation d’Adama Traoré, dont l’identité demeurait jusqu’ici inconnue, et qui a pu être dévoilée grâce à des analyses ADN. Ce dernier, que nous appellerons Yassine R., est intervenu lors de la première tentative d’interpellation d’Adama Traoré par un gendarme dans le parc de la mairie de Beaumont-sur-Oise, après une course-poursuite. Yassine R., qui connaît Adama depuis l’enfance, cherche alors à s’interposer entre celui-ci et le gendarme, sans savoir, explique-t-il au cours de son audition, qu’il a affaire à une interpellation, puisqu’il ne voit pas le brassard de l’agent et que ce dernier a la peau noire, comme Adama. « Pour moi, les deux personnes se confondaient », déclare-t-il.
Interrogé par les enquêteurs sur l’état physique d’Adama, lors de cette “bagarre”, il se souvient que les deux hommes étaient « essoufflés », mais que « le gendarme était bien moins essoufflé qu’Adama ». Dans le feu de l’action, accaparé par Yassine R., le gendarme échoue à retenir Adama, qui s’enfuit une nouvelle fois mais d’une surprenante manière, puisque, selon ce témoin, il « est parti en marchant », ce qui prouverait que son état physique ne lui permettait pas de courir. Hypothèse que semble valider ce témoin auditionné : « Pour moi, c’est comme si son corps ne réagissait pas, Adama semblait être absent et essoufflé. » Et d’ajouter : « Il était dans un état qui n’était pas habituel, il ne parlait pas. » Proche de la famille Traoré, qui lui avait conseillé de témoigner – et donc peu susceptible d’être à la solde des gendarmes -, il raconte encore : « Habituellement, quand Adama faisait du sport [du football, NDLR] avec moi, il était essoufflé comme moi, il continuait à me parler, mais là ce n’était pas le cas. »
Mais les enquêteurs ont également recueilli un autre témoignage intéressant : celui d’une conseillère de l’agence Pôle emploi de Persan, qui s’est occupée d’Adama Traoré entre 2012 et 2014. Celle-ci se souvient très bien du cas du jeune homme, alors en insertion sur des chantiers de déménagement, via l’association NOE. Pourquoi ? Parce qu’elle fut informée de difficultés rencontrées par Adama dans ses tâches de déménageur, à cause de son état physique. « Il n’arrivait plus à descendre et à monter les escaliers avec les meubles », relate-t-elle au cours de son audition, avant de préciser : « Ça m’avait marquée, car il y avait un décalage entre son physique et cette donnée d’essoufflement. » Elle explique qu’en conséquence, Adama avait été orienté vers des chantiers de paysagisme, une tâche « plus cool », c’est-à-dire davantage adaptée à son état de santé. Elle affirme d’ailleurs l’avoir vu à l’œuvre sur un de ces chantiers de paysagisme, confirmant ainsi cette reconversion.[…]
C’est une agression particulièrement violente qui s’est déroulée jeudi au domicile d’une nonagénaire, dans un pavillon d’une ruelle voisine du boulevard Michelet (9e). Plusieurs individus ont pénétré dans l’habitation afin de la fouiller tandis que l’un d’eux se jetait sur la victime, âgée de 95 ans pour l’étrangler et la menacer à l’aide d’un sécateur et d’un cutter. Les malfaiteurs ont pris la fuite avec un modeste butin de 200 euros.